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Pour transformer le monde…

Pour transformer le monde, nous devons commencer par nous-mêmes. Et dès lors, ce qui importe, c’est l’intention

 

 

Nous avons une Terre, un  corps,  il nous appartient d’en prendre  soin. Ou voyez vous une différence lorsque vous maltraitez votre corps, vous maltraitez votre terre, vous maltraitez vos émotions, vous maltraitez ceux qui les représentent, les animaux, qu’ils soient grands ou petits, c’est pareil. Vous accouchez d’une idée désastreuse, vous détruisez  celle qui vous porte, qui vous nourrit. Je ne vois pas de différence car elle n’existe pas.

Vous  voulez changer ce monde en un monde meilleur . Alors commencez par vous même ! Devenez meilleur ! Vous voulez de l’harmonie ? Alors ouvrez lui la porte ! Vous voulez être vivant ? Alors laissez la vie vous pénétrez et votre monde changera. Ce monde c’est vous, c’est moi c’est nous tous c’est notre corps, ces milliards de cellules qui ne demandent qu’à sentir le Divin en elles et vivre enfin !

 

Lætitia

 

Entretien avec Krishnamurti – Les Eglises ne peuvent rien (extrait)

 

Les églises ne peuvent rien.

 

Carlos Suarès: J’ai des questions à vous poser au sujet de la religion. Les plus récentes des grandes religions sont tout de même nées à des époques où la Terre était un disque plat, où le soleil parcourait la voûte du ciel, etc. Jusqu’à une époque récente (Galilée n’est pas loin), elles imposaient par la violence une imagerie enfantine du jiddu-krishnamurtiCosmos. Aujourd’hui, ne pouvant faire autrement, elles se mettent au pas de la science et se contentent d’avouer que leurs cosmogonies ne sont que symboliques. Mais elles proclament que, malgré cette capitulation, elles sont les dépositaires de vérités éternelles. Qu’en pensez-vous?

Krishnamurti: Elles poursuivent leur propagande en vue de conquérir un pouvoir sur les consciences. Elles cherchent à s’emparer de l’enfance pour mieux la conditionner. Les religions des Églises et celles des États proclament la nécessité de toutes les vertus, alors que leur Histoire n’est qu’une série de violences, de terreurs, de tortures, de massacres inimaginables.

Carlos Suarès: Mais ne pensez-vous pas que les Églises aujourd’hui sont moins étroitement militantes? Ne voyons-nous pas les chefs des plus grandes Églises déclarer que la fraternité humaine est plus importante que le détail des cultes?

Krishnamurti: Si une déclaration de fraternité est plus importante que le culte, c’est que le culte a perdu de son importance aux yeux mêmes de ses pontifes. Ce prétendu universalisme n’est tout au plus qu’une tolérance. Être tolérant, c’est à peine tolérer le voisin sous certaines conditions. Toute tolérance est intolérance, de même que la non-violence est violence. En vérité, à notre époque, la religion, en tant que véritable communion de l’homme avec ce qui le dépasse, ne joue pas de rôle dans la marche des affaires humaines. Les organisations religieuses, par contre, sont des instruments politiques et économiques.

Carlos Suarès: Mais ces organisations religieuses ne peuvent-elles pas guider les hommes vers une réalité qui les dépasse?

Krishnamurti: Non. Qu’est-ce qu’un esprit libre ?

Carlos Suarès: Passons donc au sentiment religieux. L’homme moderne, qui vit consciemment dans l’univers d’Einstein et non plus dans celui d’Euclide, ne peut-il pas mieux communier avec la réalité de l’univers grâce à une conscience avertie et élargie d’une façon adéquate?

Krishnamurti: Celui qui veut élargir sa conscience peut aussi bien choisir, parmi les psychodrogues, celle qui lui conviendra le mieux. Quant à mieux communier avec l’univers grâce à une accumulation d’informations et de connaissances scientifiques au sujet de l’atome ou des galaxies, autant dire qu’une immense érudition livresque, au sujet de l’amour, nous fait connaître l’amour. Et d’ailleurs votre homme ultramoderne, si au courant des dernières découvertes scientifiques, aura-t-il pour autant mis le feu à son univers inconscient ? Tant qu’une seule parcelle inconsciente subsistera en lui, il projettera une irréalité de symboles et de mots au moyen de laquelle il aura l’illusion de communier avec quelque chose de supérieur.

Carlos Suarès: Ne pensez-vous pas, cependant, qu’une religion de l’avenir sur des bases scientifiques est possible?

Krishnamurti: Pourquoi parle-t-on de religion d’avenir? Voyons plutôt ce qu’est la vraie religion. Une religion organisée ne peut produire que des réformes sociales, des changements superficiels. Toute organisation religieuse se situe nécessairement à l’intérieur d’un cadre social. Je parle d’une révolution religieuse qui ne peut avoir lieu qu’en dehors de la structure psychologique d’une société, quelle qu’elle soit. Un esprit vraiment religieux est dénué de toute peur, car il est libre de toutes les structures que les civilisations ont imposées au cours de millénaires. Un tel esprit est vide, en ce sens qu’il s’est vidé de toutes les influences du passé, collectif et personnel, ainsi que des pressions qu’exerce l’activité du présent qui crée le futur.

Carlos Suarès: Un tel esprit, du fait qu’il s’est vidé de son contenu qui en vérité le contenait, est extraordinairement libre…

Krishnamurti: Il est libre, vif et totalement silencieux. C’est le silence qui importe. C’est un état sans mesure. Alors seulement peut-on voir, mais non en tant qu’expérience, Cela qui n’a pas de nom, qui est au-delà de la pensée, qui est énergie sans cause. A défaut de ce silence créateur, quoi que l’on fasse, il n’y aura sur terre ni fraternité ni paix, c’est-à-dire pas de vraie religion.

Carlos Suarès: Toutes les religions préconisent quelque forme de prière, quelque méthode de contemplation en vue d’entrer en communion avec une réalité supérieure, dont le nom, Dieu, Atman, Cosmos, etc. varie. Par quel acte religieux procédez-vous? Est-ce que vous priez?

Krishnamurti: La répétition de mots sanctifiants calme un esprit agité en l’endormant. La prière est un calmant qui permet de vivre à l’intérieur d’un enclos psychologique sans éprouver le besoin de le mettre en pièces, de le détruire. Le mécanisme de la prière, comme tous les mécanismes, donne des résultats mécaniques. Il n’existe pas de prière capable de transpercer l’ignorance de soi. Toute prière adressée à ce qui est illimité présuppose qu’un esprit limité sait où et comment atteindre l’illimité. Cela veut dire qu’il a des idées, des concepts, des croyances à ce sujet, et qu’il est pris dans tout un système d’explications, dans une prison mentale. Loin de libérer, la prière emprisonne. Or, la liberté est l’essence même de la religion, dans le vrai sens de ce mot. Cette essentielle liberté est déniée par toutes les organisations religieuses, en dépit de ce qu’elles disent. Loin d’être un état de prière, la connaissance de soi est le début de la méditation. Ce n’est ni une accumulation de connaissances sur la psychologie, ni un état de soumission dite religieuse, où l’on espère la grâce. C’est ce qui démolit les disciplines imposées par la Société ou l’Église. C’est un état d’attention et non une concentration sur quoi que ce soit de particulier. Le cerveau étant tranquille et silencieux observe le monde extérieur et ne projette plus aucune imagination ni aucune illusion. Pour observer le mouvement de la vie, il est aussi rapide qu’elle, actif et sans direction. Alors seulement, l’immesurable, l’intemporel, l’infini peut naître. C’est cela, la vraie religion.

 

Entretien avec Krishnamurti par Carlo Suarès

Planète, 1964.

 

 

Lorsque la nature reprend ses droits …

Lorsque la Nature reprend ses droits

 

Donald bébéIl y a quelques années de cela, sachant que j’aimais les chats, on m’informe qu’il y a une portée de chatons à donner, qu’ils ont environ 2 mois à peine et tout naturellement on me demande si je veux bien en prendre un. Après mon accord, voilà ma première surprise on m’apporte un chaton dans un carton bien fermé ? J’apporte donc ce petit chat chez moi, il a le regard peureux (être dans cette boîte ce n’est pas très rassurant). Pendant le trajet, je lui parle, le monte à mon appartement et lui ouvre cette boîte en carton… Il est craintif et a peur de l’homme, je suis surprise de ce comportement mais le laisse prendre contact dans son nouvel espace de vie. Ce petit animal va s’appeler Donald, j’aime bien Walt Disney. Donald se cache donc derrière la cuisinière, et ne bouge plus, ou alors, uniquement lorsque je ne partage plus le même espace que le sien et, bien sûr, lorsqu’il veut manger. Le lendemain, je demande des explications et voilà que l’on m’explique que ce chaton est né dans la nature, près d’une habitation et au lieu de les laisser vivre ainsi ils ont été récupérés par l’homme. Une forme de « récupération » un peu spéciale car  Récupéré = des hommes et des chiens lui ont couru après.

Il ne peut être remis dans la nature car maman n’est plus là, ses frères et sœurs non plus.  Alors il va se passer des jours, des semaines ou doucement ce petit animal va reprendre confiance en lui. Je lui donnais à manger puis partais ou lui parlais, je ne le touchais pas, parfois, je lisais, pas très loin de lui et à même le sol, afin que je n’apparaisse pas comme un géant à ses côtés. Le soir Donald venait sur le lit mais dès que je bougeais, je sentais ce petit corps quitter le lit avec un sursaut.

donald01Donald a grandi, petit à petit, s’est rapproché de moi, avait confiance et lorsque du monde venait à la maison, elle allait se cacher puis dans la soirée s’approchait de ces hommes et femmes uniquement si j’étais présente dans la pièce. Chez le vétérinaire, elle n’était pas agressive mais venait se cacher dans mon dos en s’agrippant entre mon pull et mon manteau. Car Donald était en fait une fifille ! Les mois ont passé et Donald devenait lentement mais sûrement une petite chatte adorable et, un jour, elle a eu de beaux chatons. Pendant nos vacances, elle a même pris l’avion avec son chaton sans aucun stress mais Donald avait gardé une peur en elle, la peur de sa propre espèce.

Donald a déjà 2 ans et un jour, la laissant chez une amie, pour l’emmener en week-end à la campagne comme j’avais l’habitude de le faire, elle s’est fait agresser par le chat de la maison.  Le soir après le travail, je vais donc à la rencontre de Donald qui s’était cachée dans le maquis. M’entendant elle s’approche de moi, je la caresse et la prends dans mes bras pour l’emmener chez nous. Elle voit la maison ou elle a été agressée et pris de panique, peur que je l’amène encore là-bas, elle s’échappe violemment de mes bras et retourne dans le maquis. Je reste quelques secondes seule, puis je retourne la chercher. Donald avait toujours peur de sa propre espèce.

donald02Sur le petit chemin, j’appelle Donald et à la place sort d’un talus, un chat. C’est un chat sauvage qui a élu domicile dans le maquis, il a cette tête de baroudeur, il me regarde et là je vois non pas un simple chat mais cette présence reconnaissable lorsque le Déva participe de près à la vie de son extension. Nous nous regardons et restons dans le silence, je me sens scanné par lui, puis une petite tête sort du talus, Donald est là et me regarde. Elle n’a plus peur de sa propre espèce et ce beau matou la protège. Je sais à ce moment-là qu’elle ne reviendra pas vers moi mais qu’elle me dit au revoir. Je remercie ce beau matou et regarde Donald se retirer doucement avec son nouveau compagnon dans le maquis. Je suis retournée chez moi sans Donald, certes, mais en paix, car elle aussi avait trouvé la paix. Et cela seul comptait.  Une famille d’homme nourrissait des chats depuis des années, Donald étant opéré, elle ne pouvait pas lui apporter d’autres petits et risquer eux aussi d’être poursuivis par d’autres hommes et chiens. La trajectoire spirituelle de cette petite chatte impliquait d’être avec les siens et en confiance. La vie a organisé les bonnes rencontres et j’ai toujours cette tendresse en moi pour Donald.

 

Lætitia

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L’altérité ou la peur des autres

La peur des autres, de l’altérité.

 

peur des autresComment s’en débarrasser ? Surement pas en la mettant dans notre machine à laver en mode Eco ou à 40°. Il s’agit bien d’un vêtement mais celui-ci, nous l’endossons à notre naissance et cela, à chaque fois qu’un corps se met à sortir son premier cri. Cette peur circule dans notre sang et alimente nos cellules. Ces dernières restent sur leur garde, elles savent ce que cela fait de faire confiance à l’autre, de se retrouve sur le bucher ou écartelé, tant psychologiquement que physiquement. Car il n’y a pas de différence pour elles : ce que nous vivons en esprit ou en vérité et tandis que nous sommes dans un corps, nos cellules le reçoivent de la même façon, car elles ne font pas la différence entre ce que nous croyons qui nous arrive et ce qui nous arrive en fait (entre la réalité et l’actualité, donc.) Et d’ailleurs, lorsque nous quittons définitivement notre enveloppe charnelle, nous emmenons avec nous nos peurs, nos doutes et toute la panoplie d’émotions qui circulait en nous et alimentait en énergie astrale les cellules formant notre corps.

 

peur2La peur des autres, de l’altérité, circule telle une particule d’esprit contenant un programme zippé et vient nourrir continuellement nos cellules. Et lorsque ce programme pénètre dans la cellule par la membrane cytoplasmique, il se dézippe et voilà notre pauvre cellule à nouveau sur ses gardes….« Attention à l’autre ! Tu es en danger ! » Hier donc, je décidais d’aller voir de près cette peur atavique et formelle qui empoisonne les cellules de tout être humain qui nait d’une femme et sur cette Terre… En travaillant psychiquement sur ce programme lié à cette peur, mon attention est focalisée dessus, la partie gauche de mon corps se raidit et devient inerte, comme paralysée. Me vient l’impression que je ne peux plus bouger mais comme toute impression psychique, celle-là est à dépasser avec la volonté. Et je la dépasse sans problème. Je continue mon cheminement à travers mon corps et un centre se fait plus présent : le plexus solaire.  Et j’y trouve la raison de cette peur de l’altérité : ici, Dieu n’est plus présent, nous y avons mis un faux dieu, il s’appelle « société, papa, maman, les autres »… Mais Dieu dans tout cela a laissé la place, puisque nous l’avons voulu ainsi. Et maintenant, nous ne pouvons plus faire confiance aux autres et pour cause !

 

ChaudronDans cet espace à la fois mental et astral qu’est- le plexus solaire, cette grosse marmite bouillonne de tout, sauf de Dieu. Mais en persistant nous pouvons y voir, et cela sera toujours ainsi, une petite lumière bien cachée de nous-même. Elle est de nature Divine et mon Père l’a laissé là afin que je me rappelle de lui, de ma propre Divinité, et au cas où, un de ces jours, je veuille à nouveau lui laisser reprendre sa place en moi, en mon centre. Ce jour-là, Lui seul sera présent et les cellules seront informées de Sa Venue : elles pourront compter sur Lui comme cela a toujours été.  Je sens mon estomac qui m’envoie des signes, me fait ressentir de la douleur. Cela fait des années qu’il souffre de Son absence, mais moi, je viens à peine d’en prendre conscience.  Ce corps que je dis mien, appartient en fait à la Mère Divine. Alors, c’est auprès d’Elle que je vais demander la permission et la force d’extraire de mes cellules ce programme qui s’installe lors de notre incarnation. Je désire que ce soit ici et maintenant qu’il termine sa programmation diabolique et que ce soit ici et maintenant que mon corps commence sa vie dans la Lumière et la clarté d’esprit.

Nous parlons souvent d’avoir « un esprit éclairé », mais qu’en est-il de cet esprit qui forme notre corps ?

 

 anima-hommeJe reviens sur mon estomac où la douleur est toujours présente. J’offre et je remets entre les mains de La Mère, ce plat indigeste pour les cellules de mon corps : je ne veux plus de ce programme qui s’est fait chair en même temps que la chair de ce corps, lors de ma naissance. Une fois isolé en esprit, ce programme a l’aspect d’un morceau de viande mort! C’est assez particulier… De petits démons sortent leur tête et des idées m’assaillent, pour me laisser croire que, sans eux, je suis sans défense. Je dépose ce programme de mensonge dans les entrailles de ma Mère et ressens une sorte de peur, celle de ne plus exister, comme doit le ressentir le petit animal qui sait qu’il va mourir car on l’emmène à l’abattoir, c’est-à-dire là où les hommes ont l’habitude d’enfouir leur peur, leur émotion mais qui, en réalité, ne font ensuite que les réabsorber.  Je le rassure, ce petit animal-corps, lui explique qu’il ne va pas mourir, qu’il va juste transcender son précédent état de dépendance en passant par Le Ventre de ma Mère. Désormais, je ne vais plus manger l’animal-peur, Je ne vais plus me nourrir de sa chair et de ce fait, je n’aurai plus peur des autres. Son regard se fait doux. Doux comme celui de ce petit veau que j’ai visité, qui venait de naître et que son propriétaire conservait pour l’abattoir, car il était un mâle et que les mâles ne sont pas conservés, surtout quand on élève des vaches, uniquement. Alors, pour la première fois, cette peur des autres, au lieu de l’éluder, de la refouler ou d’en nier la présence en moi, je la dépose au cœur de la Mère Divine, en Son Sein.

 

yeux-mèreDe Grands yeux sortent de cette terre et s’approchent de moi. C’est Elle, je la reconnais. Son énergie monte à travers mes pieds qui sont gelés et paralysés. Elle monte et vient entourer mon plexus solaire, mon estomac, qui se détend de suite et ce petit animal (cette émotion de peur) ne sera plus jamais donnée en pâture mais remis dans les bras de la Mère.  Mon corps se détend, mon ventre respire. J’ai froid, très froid aux jambes. Je sens une Présence au niveau de mon coronal, elle s’étend et pénètre doucement, je sens une pression s’exercer, elle descend, s’arrête au niveau de la thyroïde et s’étend à cet étage de mon être puis descend encore, en empruntant le canal du larynx, il me semble. Mes bras deviennent sans force, une lassitude quitte mon corps. Toutes mes glandes endocrines reçoivent l’information : Le voici ! Il Vient, Il est Arrivé et Il s’installe déjà dans ce corps… Un corps qui est aussi Son Temple. Un corps qui est à l’écoute et dont les organes réagissent par des cris de joie, car eux aussi veulent redevenir Divin.

 

cielJ’ai froid, un froid intérieur qui s‘étend dans mon corps. Mais parallèlement, j’ai chaud au niveau de mon plexus solaire. Un nettoyage et une reconstruction est en cours ! Le Divin s’installe uniquement si le corps le lui permet et il se trouve que nous venons juste d’enlever le faux Dieu ! Mon corps vibre comme celui d’un moteur diesel ! Son énergie descend, on dirait qu’un tube s’enfonce en moi pour terminer sa descente au niveau de mon plexus solaire. Après cela, ma conscience s’élève et je me dis qu’il s’agit là d’une simple extension de conscience, comme j’en ai déjà tant vécues. Ma conscience s’envole littéralement, tel un ballon dans le ciel et un jour de grand vent.  Je lève ma tête, elle tourne, un ciel se dessine mais il change comme si mon thème astrologique changeait. « On » me fait savoir que je viens de… De changer d’incarnation ?  Ma conscience se rapproche du soleil et le pénètre. (Mon corps physique a très chaud). Elle traverse le soleil, puis je continue ma route. Mon attention est attirée par un ciel nouveau, fait de nuages blancs, je m’approche de lui mais ma corde d’argent est au maximum, elle est tendue tel un arc et me refuse le moindre mètre de plus. Je passe juste la tête au-dessus des nuages et je vois un autre sol, là des êtres s’approchent de moi et me disent que c’est trop tôt :

« Si tu franchis ce seuil, ta corde va lâcher et ce n’est pas le moment… »

Je comprends et acquiesce. Ces êtres sont bienveillants (une belle émotion envahie mon corps.) Puis, mon attention est dirigée à nouveau vers mon corps physique qui se trouve loin mais voilà qu’aujourd’hui, lui aussi a vécu cette extension avec moi et lui aussi va élever sa conscience vers d’autres cieux. Je sens la présence de la Mère à travers mon corps psychique et je vois Ses Grands Yeux. Ma corde d’argent me retient comme une grosse corde élastique, puis lorsque je décide de revenir elle se détend et ma conscience revient dans mon corps.

 

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Des heures passent… Cela travaille toujours au niveau de mon plexus et à d’autres niveaux de mon corps mais il serait long et fastidieux d’en énumérer les effets. Mon Père Divin s’installe dans Son Temple à la vitesse qui est la mienne, et non la Sienne. Ma glande pinéale est en pleine activité alors je vais laisser faire et me mettre de côté afin de ne pas intervenir dans ce processus sacré. Voilà, j’ai cru bon de devoir témoigner de ce que, très bientôt, le monde et son humanité vivra et connaîtra. N’ayez plus peur et ne vous nourrissez plus de cette peur et cette peur désertera vos entrailles.

 

 

Lætitia

 

Category: Témoignages  5 Comments

Tout le monde pactise avec le diable au moins une fois ….

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Ce titre peut en faire frémir plus d’un mais c’est quoi en fait le diable ? Si je vous raconte que lors de certains travaux (lecture d’âme et soins) je rencontre des âmes qui ont pactisé avec des idées diaboliques ? Ah je crois que cela va mieux, ce n’est plus le vilain pas beau avec des cornes, des yeux en feu et un regard terrifiant, non mais je dirai que cela y ressemble. Une âme (pensées-émotions) s’est retrouvée bloquée devant des situations difficiles psychologiquement répétitives et jure de toute… son âme qu’on ne l’y prendra plus ! Pour cela, elle a commencé a créer une forme mentale, une idée qui va germer et qui sera dynamisée par cette émotion (force vitale.) Cette âme, devant les émotions négatives de ses semblables, se retrouvent démunies et à chaque fois qu’elle est confrontée à ce même schéma psychologique, elle jure que plus jamais elle n’en sera la victime. Elle vient de mettre dans son saladier mental de la farine. Au lieu de traiter ce problème elle se bute dessus et en veux a l’autre de ce qu’elle vit intérieurement. Plus le temps va passer, plus elle va s’enfermer dans sa création mentale…  Dans son saladier, elle vient de rajouter du sucre, de la levure.  Mais elle a encore une chance de ne pas pactiser avec le diable, ce ne sont, à ce jour, que de simples idées.

 

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Que serait un gâteau avec uniquement de la farine, du sucre et de la levure ?  Le temps va passer et à chaque fois qu’elle sera devant ce schéma psychologique, elle renforcera l’idée qu’elle doit mettre un mur mental afin de se protéger.  Ce qui sous-entend qu’elle se sent démunie et faible, que les autres veulent lui faire du mal, etc.  Ce sentiment de faiblesse la rend  vulnérable: elle baisse en fréquence à chaque sentiment négatif qu’elle ressent à son sujet. Et c’est là que le fameux gâteau va commencer à prendre vie. Elle renforce cette idée de manière récurrente et avec de plus en plus de force et donc, de vie. Lorsqu’elle a des idées négatives sur elle-même, cela la fait pénétrer dans un monde différent du sien, puis elle va se nourrir de cet égrégore mental et toutes les âmes qui y sont reliées, pensent de la même façon.

 

 

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Cet égrégore est devenu vivant et elle puise en lui ce qui accentue son désir de créer cette barrière mentale censée la protéger. Jusqu’au jour où la situation devenant insupportable, elle y met tellement de force vitale qu’elle vient de rendre vivant son diable mental, elle vient de pactiser avec le diable, avec une idée « diaboléenne » (qui va dans le sens contraire de son intérêt, de son bien-être.) Ce diable est rentré dans son esprit et fait à présent partie intégrante de sa vie. Il est uni à son corps psychique (autre nom pour l’âme.) Comme il n’est pas dans sa nature de se faire du mal, son corps, va lui envoyer des messages lui indiquant que des idées le détruisent  petit à petit et qu’il est devenu urgent de se relier à son Soi plutôt que de pactiser avec des idées négatives.

 

Lætitia

 

 

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La paix est un état d’esprit indissolublement lié à l’amour.

Commentaires sur la vie, volume 2, J. Krishnamurti

 

 krisnamurtiLes êtres humains aiment tuer, soit les autres humains, soit les animaux qu’il s’agisse d’un daim des forêts aux grands yeux inoffensifs, ou d’un tigre venant d’attaquer le bétail. On écrase délibérément un serpent sur la route, on prend au piège les loups ou les coyotes. Des gens très bien vêtus et très gais s’en vont avec leurs précieux fusils tuer des oiseaux qui, l’instant d’avant, chantaient encore. Un jeune garçon tue un geai bleu caquetant avec un revolver à plomb et parmi ses aînés, nul n’a le moindre mot de pitié, et personne ne le gronde; tous, au contraire, le félicitent d’être si fin tireur. Tuer au nom du soi-disant sport, au nom de son pays ou de la paix, ou pour la nourriture – il n’y a pas de grande différence entre tout cela.

Toute justification est vaine. Il n’est qu’une règle absolue : ne jamais tuer. Pour l’Occidental, les animaux n’existent qu’en fonction de son estomac, ou en vue du plaisir de tuer, ou simplement pour la fourrure qu’ils procurent. Et à l’Oriental, on enseigne depuis des siècles, à travers des générations, de ne pas tuer, d’avoir pitié et compassion envers les animaux.

Ici les animaux n’ont pas d’âme, on peut les tuer impunément tandis que là-bas, ils en ont une, alors réfléchissez et laissez votre coeur connaître l’amour. Manger la chair des animaux est considéré dans toute une partie du monde comme normal et naturel, l’Eglise et la publicité nous y encouragent. Ailleurs il n’en est pas de même; les gens réfléchis et religieux n’en mangent jamais, la tradition et la culture s’y opposent. Mais cela aussi est en train de s’effondrer.

En Occident, on a toujours tué au nom de Dieu et de la Patrie et il en est partout ainsi. La tuerie s’étend partout. Presque du jour au lendemain, les anciennes cultures sont balayées et l’efficience, la cruauté et tous les moyens de destruction sont soigneusement alimentés et renforcés. La paix ne dépend ni de l’homme politique ni de l’homme d’Église non plus que de l’avocat ou du policier. La paix est un état d’esprit indissolublement lié à l’amour.

 

J. Krishnamurti.

N’oubliez pas votre manteau pour ce cheval !


Toujours en connexion avec ces Êtres proches des Deva, ils nous parlent des chevaux.sweet-cherry-vip-blog-com-53476632Web_preview

« Pourquoi insister sur le fait que l’être humain mange du cheval alors que nous avons déjà eu un contact sur le fait que nous nous ne prenions pas nos responsabilités  ? Le cheval n’aurait pas du se trouver dans votre assiette, ce n’étaient pas les accords entre les Deva et vous. Ne demandez pas pourquoi cette espèce ne vous porte pas dans son cœur vous venez d’avoir la réponse ! Votre humanité se meurt, certains êtres se disent spirituels ou font preuve de respect de leur corps en faisant des stages de désintoxication, ils mangent « bio » (cette appellation  n’aurait pas du naitre, mais vous avez laissé faire). Puis soucieux de leur bien-être, ils vont choisir les aliments correspondants à leur programme, ils vont vous dire qu’ils ne mangent pas de viande ou très peu, pas de veau, de bœuf, d’agneau mais la seule viande qu’ils mangent c’est la viande de cheval.

 

viande de chevalNous vous invitons à vous nourrir des dernières émotions de ce cheval, puisque cela semble vous plaire… Et ce n’est plus la peine d’essayer d’élever la fréquence de la viande déposée fumante dans votre plat : ce temps est révolu. Cette espèce vous a permis d’avancer, de parcourir de longs trajets, de gagner des guerres au péril de leur vie. De nos jours, il vous porte sur leur dos, pour votre plaisir, pour vous fait gagner de l’argent et ensuite… Comment traitez-vous l’animal ? Comment le récompensez-vous pour ce qu’il vous a offert ? Ce même animal que vous avez fait travailler pendant de longues années ne vous rapporte plus d’argent bien au contraire… Vous dites alors qu’il vous coûte cher, évidemment. Alors sa destinée est l’abattoir.

 

 

NChevaux_cle021b17ous vous invitons encore une fois à endosser votre manteau de Responsabilité, cela en décidant d’emmener vous-mêmes cet animal à l’abattoir. Et sa viande régalera vos convives… Et fièrement, vous pourrez leur dire que c’est vous qui l’avez abattu et dépecé pour partager ce plaisir et vous les inviterez à en faire autant à leur tour. Mais tant que vous ne l’aurez pas fait, ne vous réclamez plus « de la Lumière » car voici : Votre lanterne, vue de chez nous, nous paraît bien faible et quand elle brille, c’est par la flamme brûlante de votre ego et cette flamme là, même hypocrisie et la lâcheté ne peuvent en atténuer l’intensité. »

 

(Fin de la connexion.)

Lætitia

Category: Channelings  One Comment

Bénévolat,vous avez dit bénévolat !

Grive

 

Ce jeudi une petite grive a eu la mauvaise idée de frapper violemment son petit corps contre la vitre de notre fenêtre, puis comme si cela ne suffisait pas, elle s’est fait chahutée par un chat, ces mésaventures faisaient que ce petit volatile ne pouvait plus voler.  Étant informée d’une ligue pour la protection des oiseaux la LPO, j’ai donc pris contact auprès de cette association afin qu’un(e) bénévole puisse s’en occuper. Et là commence le mensonge d’une femme, bénévole de cette association, ou devrais-je dire le mensonge de ces bénévoles qui brillent par leur absence d’honnêteté. Mais avant tout, définissons le rôle d’un(e) bénévole : c’est de venir en aide à la faune sauvage en détresse, notamment aux oiseaux, qu’ils soient mazoutés, blessés, trop jeunes ou anormalement affaiblis.

 

Grive-pendueMe voilà donc un certain vendredi soir, laissant un message sur le portable d’une bénévole, la plus proche de mon domicile. Je l’informe qu’une grive avait été blessée et que la LPO m’avait donné ses coordonnées afin de prendre en charge cet animal blessé.

18h pas de nouvelles….

19h toujours pas de nouvelles.

20h : Je rappelle et là j’ai la bénévole qui m’informe qu’elle ne sera pas disponible, enfin peut-être… Ou pas bref, ce n’est pas très clair. Mais je veux connaitre la marche à suivre, je ne suis pas bénévole moi !  Nous convenons donc d’un rdv probable et me propose dans le cas où elle serait disponible de lui déposer ce samedi matin à 9h30 la petite grive.  A noter qu’elle ne me donne pas son adresse, ni son tel fixe malgré ma demande, elle reste évasive. Je n’aime pas les réponses évasives, surtout de la part de personnes qui cherchent à briller, cela en montrant sa belle carte de bénévole, rôle qu’elle a décidément du mal à remplir avec quelque efficacité.  Bref, le lendemain matin (8h30), sans nouvelles de sa part, je téléphone sur son portable, je tombe directement sur sa messagerie, je laisse un message, toujours pas de nouvelles. Qu’à cela ne tienne: je téléphone sur son fixe, et oui madame la pseudo bénévole, les pages blanches existent aussi pour vous !

Et là, Madame la bénévole me répond que si elle n’a pas allumé son portable c’est qu’elle ne voulait pas être dérangée, qu’elle déjeunait et que, de ce fait, elle n’était pas disponible pour 9h30. Mais qu’elle accepte un rdv pour déposer l’animal mal en point vers 11h00.

 

Grive2Cette réponse n’était pas satisfaisante, l’animal n’est pas au mieux de sa forme, je recontacte la LPO qui me donne les coordonnées d’une autre bénévole. Je commence à avoir l’habitude, je tombe sur la messagerie, un portable n’a jamais eu la fonction d’être joignable ou de servir à communiquer, cela se saurait ! Un quart d’heure passe ou plus… Je recontacte ma deuxième bénévole qui doit être fière d’avoir sa carte de BÉNÉVOLAT.

Bien sur, elle me répond qu’elle n’est pas disponible ! Non pas possible ! Tenace, je recontacte la LPO, qui me donne un autre numéro de téléphone, je laisse un message à cette troisième bénévole, mais sauvée une grive n’est pas valorisant pour l’ego, dans tous les cas personne ne veut d’elle et cette autre « bénévole » n’a jamais répondu à cet appel. Pendant ce temps, la petite grive a épuisé son quota d’énergie : un dernier souffle et son petit cœur s’est arrêté.

J’ai été confrontée à ces êtres qui se glorifient de porter un badge de « Protecteurs de la Nature et des Animaux » mais qui font tout pour cacher la Vérité. Pour eux, être bénévole est une façon de faire briller leur petite personnalité en mal d’importance. Des animaux, ils s’en foutent pas mal ! Aujourd’hui, je tenais à les « mettre en vedette », à les placer « au-devant de la scène », là où elles adorent être. Mais pas pour le rôle pour lequel elles ont laissé en bas du formulaire, leur prestigieuse signature mais pour démontrer qu’elles ne sont même plus de bonnes actrices mais des femmes paumés qui ne savent plus cacher leur misère morale. Pourtant, La LPO a besoin d’hommes et de femmes responsables et véritablement engagées, sur lesquelles elle puisse compter. Ce qui ne fut pas le cas ce samedi matin, hélas pour le pauvre oiseau.

 

pomponner-miroir

 

Pour vous, Mesdames puisque je n’ai eu que des femmes se pomponnant devant le miroir du bénévolat, arrêtez de vous mentir, vous faites perdre le temps à une association, à des gens qui sont investis dans un rôle courageux et qui méritent mieux que vous !

Ils comptaient sur vous pour mener à bien une petite partie seulement de leur mission. Une partie que vous n’avez même pas su assumer et remplir comme il faut. Pourtant, personne ne vous a obligé à quoi que ce soit, surtout pas à vous manquer de respect, à  vous enlaidir l’âme. Un jour votre miroir vous renverra la véritable image que vous devriez avoir de vous-même….

Et ce jour là, je ne voudrais pas être à votre place ni même à celle de votre miroir. Et encore moins à celle d’un oiseau, pour vous insignifiant.

 

 

 

Lætitia

Animal dans un pré ? Rosbeef ? Décidez !

Manger de la viande ou non ?

 

vache-abattoir

 

Cette question revient souvent dans ce monde dit de la spiritualité. Devant le fil de l’actualité nous pouvons y voir que l’être humain maltraite l’animal, que celui-ci est traité comme un objet, voire pire, alors à quel moment sommes-nous co-responsables de cette maltraitance ? Suite à ce questionnement, je me suis connectée à des Êtres proches, très proches des Deva et voici leur réponse.

 

« De notre plan, nous vous observons et nous voyons défiler sur le mur de votre mental, des idées, des informations concernant les animaux qui peuplent la Terre. Vous dites au monde entier, comment le règne animal est maltraité, agressé ou mutilé. Vous demandez de signer des pétitions pour arrêter ce massacre. Vous éprouvez de grandes émotions, et vous pensez avoir fait un acte courageux et responsable en vous positionnant. En fait il n’en est rien, car le soir venu, vous vous installez à table, heureux de déguster une belle viande. Cette même viande qui vient de cet animal que vous avez défendu sur le mur de votre mental. Nous vous observons …

Nous avons décidé de prendre part et d’être à leurs côtés tant que votre comportement sera tout sauf Humain. Déposez votre étiquette d’être spirituel engagé, car en vérité, vous vous cachez derrière votre moi idéalisé. Vous aimez la viande, alors ne laissez plus les autres se salir les mains ou abaisser leur fréquence pour vous : allez tuer cet animal que vous aimez tant déguster dans votre assiette !

moutonsVous ne voulez pas le tuer ? Vous ne vous en sentez pas capable ? Alors que fait cette viande dans votre assiette ou votre caddie ? Arrêtez de jouer aux hypocrites !  Déposez votre manteau de spiritualité et allez revêtir celui de l’Être responsable de ses actes ! Ne montrer plus la carte d’Être lumineux en critiquant ceux qui tuent pour vous cet animal, car c’est pour votre plaisir que ces abattoirs existent. Venez participer, venez choisir cette vache ou ce mouton dans ce pré, puis allez jusqu’au bout de votre pensée, posez l’acte ! En fait, venez-vous salir les mains comme le font ceux qui ne peuvent faire autrement !

 

Vous voulez manger de la viande, alors pour cela, il faudra que votre fréquence soit proche  de cet homme ou de cette femme qui tous les jours, reçoit cet animal pour Mac-Do-vachel’abattre et le dépecer à votre place. Soyez cet homme, soyez cette femme et là, vous pourrez dire que vous avez le droit de manger cette viande, car vous aurez partagé la responsabilité de vos actes avec vos frères et sœurs qui ne peuvent monter en fréquence sans vous.  Ne soyez plus une simple cuisinière, soyez consciente que votre plaisir commence là où une vie s’arrête. Partagez la Dette de ces âmes qui se lèvent le matin, pénètrent dans ces locaux, ces abattoirs, pour vous nourrir.

meurtre-couteau

 

Les murs de ces lieux de génocides transpirent de la peur de l’animal: nous vous invitons à venir la ressentir. Ne demandez plus à un autre de le faire à votre place. Pourquoi devrait-il endosser la responsabilité d’un tel acte, pourquoi les laisser vibrer à cette fréquence à votre place ?  Le manteau de votre responsabilité est prêt, endossez le et abattez votre carte d’être lumineux, vous pourrez la reprendre lorsque vous en serez digne. Vous désirez manger de la viande ? Fort bien ! Alors mangez uniquement les animaux que vous êtes capables de tuer vous-mêmes.  »

 

(Fin de la connexion.)

Lætitia

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