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La poule qui aimait les moutons.

Léonie avait été trouvée dans un triste état sur un site dans lequel chats et poules avaient été abandonnés. L’association Pirate avait  pris en charge Léonie et l’avait amenée chez le vétérinaire. Suite à cela Amélie s’en était occupée afin qu’elle puisse reprendre des forces. Et c’est ainsi que nous avons adopté Léonie, La Blanche Dame, lui faisant profiter d’un véritable suivi médical, car elle avait un déséquilibre très important suite au coup qu’elle avait dû recevoir sur la tête. Elle avait du mal à se tenir droite et devait s’appuyer contre une paroi pour gérer son équilibre.

 

 

Nos poules ne s’entendaient pas avec Léonie bien que cette dernière essayait de discuter avec elles, tant cette brave  » poule de chair  » était bavarde pour le moins. Elle avait aussi peur de nous, malgré nos attentions : dès que l’on rentrait dans son espace, elle courait comme elle le pouvait pour se cacher. Puis un jour d’avril, nous avons adopté deux jeunes agnelles nommées Hope et Clochette. Lorsque pour la première fois, Clochette s’est approchée de Léonie, cette dernière a  complètement changé de comportement.

 

 

 

Ce jour-là, j’étais dans le potager, occupée à aménager des fraisiers, tout en observant le manège de Léonie essayant d’attirer mon attention, caquetant en longeant le grillage du poulailler, essayant sans doute et à sa manière, de communiquer. Je me suis approchée d’elle, lui ai ouvert la porte et au lieu de se sauver, elle a couru pour sortir et aller droit vers les deux agnelles. Puis, comme rassurée par la présence de ces dernières,  elle est revenue vers moi et s’est mise à gratter la terre, à mes côtés.

 

 

 

Une nouvelle Léonie était née. De ce jour, elle est devenue la chef des poules rousses ! Elle mangeait avant elles et allant même jusqu’à refuser de partager sa mangeoire, nous obligeant à en racheter une autre. Elle avait parfois des problèmes de santé,  elle voyait donc le vétérinaire et comme son système immunitaire n’était pas des plus performants, elle dormait dans mon atelier de peinture, au sous-sol mais au sec et au chaud. Un déshumidificateur y était installé à sa seule intention, ainsi que des fumigations spéciales pour améliorer ses voies respiratoires.

 

 

Il est clair, pour notre petite maisonnée, que Léonie n’était pas une poule comme les autres. Elle connaissait très bien son nom et venait lorsqu’on l’appelait. Bien qu’elle avait conservé son côté dominant et ne se laissait pas faire pour autant. Elle discutait beaucoup, il suffisait de lui demander si elle allait bien et la voici qui devenait intarissable ! Elle était curieuse, courageuse et savait ce qu’elle voulait mais surtout ce qu’elle ne voulait pas.

Oui mais voilà, sa vie avant chez nous avait été des plus éprouvantes. Le petit cœur de Léonie était bien fatigué et malgré les soins prodigués à ma petite poule adorée, elle s’est mise à donner des signes évidents de faiblesse, de fatigue puis d’épuisement. En moins de 48 heures, Léonie avait quitté notre maison pour rejoindre le paradis des plus Belles et Nobles Gallinacées.

 

Ce soir là, j’étais dans le salon, assise sur le canapé et une vision est venue me visiter. C’était celle d’un gros oiseau tout blanc qui s’envolait vers les cieux. Ce gros oiseau c’était Léonie, qui venait faire son dernier tour d’honneur en guise de dernier au revoir.  Je suis descendue la voir et, effectivement, son corps était gisant et désormais inanimé. Il  n’arbitrait plus l’âme de Léonie.

 

A présent, son corps maintes fois meurtri par la vie cruelle des hommes, repose près d’un chêne, en terres de Plazac. Mais nul doute que là où elle se trouve, elle poursuit son bavardage, car elle a tant de chose à raconter à son Deva, désormais ! Et en particulier, cet amour profond et inconditionnel qu’un être humain lui a donné. Jolie Dame Blanche, tu vas me manquer…

 

 

Laetitia@Fréquence Soi

 

L’invitation

 

On ne s’impose pas dans le cœur d’un homme ou d’une femme, on lui demande  sa permission! On ne s’impose pas dans l’esprit d’un homme, on lui propose des idées ! On ne pénètre pas dans votre maison sans avoir reçu au préalable votre invitation ! Tout comme on ne pénètre pas dans une forêt sans lui avoir demander son accord ! On ne cueille pas une fleur sans lui avoir demander si elle voulait s’éteindre !

 

 

 

On n’abat pas un arbre, on lui demande s’il veut bien donner sa vie ! On ne vole pas la vie d’un animal sans lui demander s’il est d’accord pour vous l’offrir. On n’impose pas des idées contraires à notre bien-être ni à ceux qui partagent notre planète.

 

 

L’homme est un être subtil constitué de particules d’esprit lumineuses mais à force de se conduire comme un bourrin sa fréquence baisse, il croit que tout lui appartient alors que ce monde qui nous entoure est fait de toutes les particules d’esprit de ceux qui la peuplent. Nous avons un peu d’esprit de la vache, du mouton en nous, du cheval, de la poule, et c’est une erreur de croire que ce que leur faisons subir ou vivre à cause de nous ne nous concerne pas ou nous est étranger. Chaque fois que nous leur portons un coup, c’est à nous que nous le portons, car ils font partie de nous et ce depuis le tout début de l’Aventure Humaine.

 

L’homme est un être divin qui se croit distinct de son Être Intérieur, de son Soi. L’animal est lui aussi un être divin mais il n’a pas la prétention d’être distinct de son Deva, il lui est lié ! En se respectant, l’homme respecte sa terre et tout ceux qui y vivent, car elle n’est que le reflet de son propre esprit, de son cœur et de son véhicule terrestre : son corps !

Prendre soin de son cœur, de son esprit et de son corps, c’est ne plus laisser une tierce personne venir vous agresser, vous juger ! Cette tierce personne se situe  dans votre cœur, dans votre esprit avant de la rencontrer dans votre vie. N’acceptez plus de laisser pénétrer des idées qui vous éloignent de votre Divinité et si elles sont encore présentes alors il est temps de les virer afin de prendre plaisir à vivre sur cette Terre !

 

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

 

 

Césarienne et le corps il en dit quoi ?

 

Cette femme a du subir une césarienne qu’elle a mal vécue. Il y a de quoi. Premièrement, elle a gardé en elle ce qu’elle devait donner à cette âme (l’enfant) processus qui se fait lors de l’accouchement par les voies naturelles. Et deuxièmement, lors de cette césarienne, et malgré les deux piqures faites pour cet acte chirurgical violent, elle est restée sensible : elle pouvait ressentir la lame du bistouri et malgré cela, malgré le fait d’en informé, l’obstétricien ne l’écoute pas, se contentant de rétorquer que ce n’est pas possible. Alors elle subira un accouchement douloureux et son corps en gardera la mémoire.

Lors de cette séance, lorsque je me connecte à son corps, ce dernier me montre sa souffrance, ses cris, il n’a pas été entendu, il n’a pas été écouté. La conscience cellulaire a vécu une césarienne dans la douleur.

C’est pour cela qu’elle n’écoute pas son corps non plus et qu’elle n’est pas écoutée à son tour. Cette femme, comme tant d’autres, va créer des protections et va vouloir contrôler. Mais comme toutes les autres, elle va surtout se durcir et ne plus être à l’écoute de son corps. Alors certains maux liées à l’expression vont se déclarer.

Pour empêcher que ces choses-là arrivent, lors de cette séance avec l’aide des Êtres qui m’accompagnent lors des soins, ce corps sera de nouveau accouché, mais cette fois, de toutes les douleurs liées à cette mémoire… Une mémoire qu’il traine depuis longtemps, qui le conditionne et lui font dire qu’il a mal !

 

Lætitia

Avortement

 

Combien de femmes ont du avorter durant leur vie ? Beaucoup … Que ce soit pour une grossesse non voulue, un avortement thérapeutique même si cet acte est depuis longtemps rangé dans une malle posée dans le grenier de leur espace mental, le corps lui, n’a pas oublié.

La première fois que j’ai pris conscience de ce fait, c’est il y a au moins 20 ans. Une jeune femme me contacte car elle se ne sentait pas bien dans sa peau. En fait son corps ne se sentait pas bien, elle avait avortée suite à la séparation avec son ami. Le corps avait gardé en lui la mémoire qu’il devait préparer un futur corps pour qu’une âme vienne y prendre place. Le processus avait été interrompu et le corps se sentait perdu car il n’avait pas été correctement informé.

 

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Des idées qui n’aboutissent pas ou qui sont subitement avortées !

 

Lors de cette séance, je vois deux avortements …. Alors je demande à cette femme si c’est le cas. Elle acquiesce :  » Effectivement, me dit-elle, mais il y a des années de cela.  »

Peut-être des années pour elle mais le corps lui vit au présent et chaque jour il avorte d’idées. Cette femme n’arrive pas à aller au bout de son plaisir car il est souvent interrompu par des « éléments extérieurs » alors qu’il est tout simplement inscrit dans sa subconscience que le plaisir ne mène pas à la créativité. Alors elle ne crée rien si ce n’est des idées et encore des idées. Elle n’en dort plus et ses nuits sont souvent interrompues par ces idées qui essayent de naitre.

 

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Une autre femme a mis le plaisir de côté ; cet avortement l’a beaucoup contrarié et elle en veut à son mari, alors tout ce qui a a trait au plaisir devient acide. Alors elle vient de se créer une mycose !

Le corps éthérique conserve la mémoire de ce qui a été vécu et plus l’émotion est forte, plus l’empreinte et les conséquences sont fortes car reliées à la subconscience. Il est des choix difficiles pour une femme  et cette expérience l’est aussi bien pour la personne que pour le corps qui a vécu cela comme un déchirement ou un abandon pour certains et cela en fonction du vécu de la personne.

 

Lætitia

Le vaccin est -il bien accepté par le corps éthérique de l’animal ?

Lors d’une séance pour un petit chien, la personne m’a demandé si le vaccin était bien accepté par l’animal ? Alors j’ai interrogé le corps éthérique de ce dernier. « Le vaccin est vu pour l’animal ou son corps éthérique  comme un étranger qui vient s’installer chez lui, dans son habitat, sans qu’on lui ai demandé son avis. Il va donc lutter contre lui afin de conserver intact  son territoire. Il est donc préférable, si la personne désire vacciner son animal, de le faire lorsque ce dernier est en pleine forme, car le corps éthérique aura assez de force pour le maintenir à distance tout en le laissant vivre chez lui. Mais à partir de ce moment là, il faut savoir que c’est un « étranger » qui vit chez lui et le corps de l’animal a la sensation de ne pas être entièrement maitre dans son propre monde. Il peut arriver que si l’animal se sente mis de côté, pas à sa place, ou se sente faible, cela parce que cet « étranger » qui vit en lui prend le dessus et lui cause des problèmes de santé. »

 

Lætitia Beretti

 

L’éducation selon la Psy éso

Il fait chaud ce jour la, je décide, accompagnée de ma nièce d’aller à la piscine pour nous rafraichir. Nous voila, barbotant dans cette eau bien agréable. Ma nièce a 10-12 ans et elle adore faire de la gym aquatique, c’est sa nouvelle passion. Jusqu’ici tout va bien : elle s’amuse, je nage et tout le monde est en harmonie et concentré sur son propre plaisir.

Toujours dans cette continuité, je sors de l’eau, ouvre mon parasol afin de me protéger des rayons du soleil, m’installe sur un transat et prend un livre. Mais voila que ma petite nièce trouve ludique de me proposer un rôle : être juge. Elle fait ses acrobaties et je dois la noter. Un peu comme si elle faisait une compétition devant un jury.

Je vois que cela lui fait plaisir, et je ne me sens pas en manque ! J’accepte sa proposition et ce pour 10 minutes, ce qui la réjouit. Les 10 minutes passent, je l’informe que je vais m’occuper de moi en me plongeant non pas dans la piscine mais dans mon livre. Oui mais voila, petite nièce ne l’entends pas de cette façon, en suppliant une rallonge : je cède une fois. A la deuxième demande , elle essuie un refus catégorique de ma part et ce tranquillement.

Voila que le petit démon dans petite nièce se réveille ! Elle continue son manège, m’interpelle, me sollicite jusqu’à ce que mon indifférence l’oblige à s’arrêter. Car elle ne peut être animée que par l’énergie que je lui donne : mon attention mentale.

Petit démon ainsi mis en sourdine, car n’étant plus alimenté, petite nièce continue donc à patauger dans l’eau en s’inventant son propre scénario sans moi. Nous restons ainsi l’une prenant plaisir à lire et l’autre prenant plaisir à s’inventer diverses acrobaties. Nos deux mondes peuvent désormais cohabiter paisiblement et comble de luxe, sans gêner l’autre !

 

Un autre jour, se propose à nous. Nous revoilà toutes deux au bord de la piscine, petite nièce et moi. Il faut dire que c’est plaisant de se baigner lorsque les températures sont élevées.
Ce jour, je propose à petite nièce de jouer à la bataille avec des matelas pneumatiques.

Plaisir partagé par nous deux. Et nous voila dans cette eau bien agréable, enfourchant nos matelas et livrant bataille ! C’est amusant, certes, mais aussi assez fatiguant, car il faut sans cesse remonter sur les matelas : on ne fait pas semblant ici !

Puis petite nièce en a marre, elle fatigue,ce n’est pas la reine de la bataille. elle demande d’arrêter de jouer. Je la regarde en coin et y vois l’opportunité de le montrer ce qu’est le respect de l’autre, de ses plaisirs, de sa paix. Je ressens en moi une énergie ludique, et je lui dit allez encore 10 minutes, c’est trop rigolo, cela m’amuse. Elle refuse. J’insiste Encore un refus.

j’insiste jusqu’à la pousser à réagir ! Et la, je lui demande : « Ce n’est pas agréable ce que je te demande, ( suivre mon plaisir) tu en as marre, tu préfères faire autre chose ?»
« Oui me dit-elle : Je veux nager tranquille ». (Et suivre ainsi son propre plaisir.)

Je lui demande sans rire : « Te rappelles-tu la dernière fois où tu as insisté pour que je suive le tien de plaisir ?» «Oui», me dit-elle.  « Et bien je vivais ce que tu vis actuellement. C’est tout sauf plaisant n’est-ce pas ? Alors la prochaine fois lorsque tu insisteras pour que l’on suive ton plaisir tu pourras pressentir ce que l’autre vit suite à ton insistance. »

Depuis ce jour, petite nièce n’a plus jamais demandé à ce que son plaisir dépende des autres et nos deux mondes peuvent ainsi cohabiter ainsi sans que l’autre se sente privée d’énergie.

 

Laetitia@FréquenceSoi

Aider

Ce mot, pour certains est tel un baume au cœur, pour d’autres, une simple énergie, pour d’autres encore ce sont des poils qui se hérissent sur les bras, en s’écriant « Tout mais pas ça ! »

Qu’est-ce qui me pousse à aider ? Rien si ce n’est le plaisir de le faire. C’est un mouvement qui passe, j’y rentre ou pas. Suis-je en attente de résultats ? Non c’est toujours le plaisir qui prime. Vous-êtes vous posé la question ? Qui aidez-vous dans la journée ? Quelle est votre quote-part d’aide ? Dans une même semaine, avez-vous noté le nombre de fois où vous avez aidé ? 

S’occuper de Soi est primordial, mais cela ne veut pas dire se renfermer sur soi et d’être allergique au moindre élan extérieur et vers autrui. Je ne parle non plus de ceux ou de celles qui se glorifient d’avoir aidé telle personne ou tel animal et qui sans ces « pauvres êtres » aurait une vie insipide et bien pauvre ! Ce qui leur permet de détourner le regard de leur propre misère.

Je parle de cette aide, de cette énergie qui permet d’équilibrer deux conditions. Une plante a besoin d’eau pour vivre et s’épanouir, on ne voit pas l’eau qui, toute fière, vient s’enorgueillir d’avoir permis un tel acte. Elle ne se pose pas de question si ce qu’elle fait est bien ou pas. La nature ne s’embarrasse pas de telle fioritures car elle est trop occupée à le vivre.

Avoir dépassé le besoin d’aide c’est être libre d’aider enfin, d’aider vraiment. Dans ce cas, la personne peut, si elle le désire, aider sans faire remonter à la surface, de vieilles idées ou de faux sentiments.

C’est après avoir aidé, bien mal peut être, qu’aujourd’hui enfin, l’humanité va commencer à s’aider comme il faut. A s’aider vraiment.

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

J. Krishnamurti

http://legacy.jkrishnamurti.org/fr/krishnamurti-teachings/video.php

Démons ou schémas quelle différence !

Me voici, il y a quelques années de cela, à débusquer mes schémas, comme certains . Il y en avait un, alors, qui m’ennuyait profondément. Si je l’avais écouté, si je lui avais laissé la bride sur le cou et le pouvoir de conduire et de régenter ma vie, il m’aurait fait croire que les autres n’avaient de cesse d’abuser et de profiter de moi ( alors qu’en fait c’est lui qui profitait de moi). Il s’agissait d’un véritable démon intime, comme il en est tant d’autres, démon dans le sens « diabolique » du terme, car il s’opposait vraiment à mes intérêts personnels.

 

 

Il était contre l’harmonie dans ma propre vie et essayait de me prouver que ce que je vivais, en esprit était vrai et se manifestait dans ma réalité sociale et professionnelle. Évidemment, certains tentent maladroitement d’abuser de la gentillesse des autres…Mais la façon dont ce démon mental réagissait n’avait rien à voir avec mes propres réactions, avec ma personnalité et avec son caractère si particulier. De plus cette force avec laquelle il voulait s’exprimer, laissait entendre une antériorité bien supérieure à mon âge et à notre époque actuelle.

 

 

Selon moi, personne ne peut vivre assez vieux et avoir été assez souvent trompé pour accumuler une telle inquiétude à l’idée d’être abusé. C’est un peu comme si ce démon avait eu des siècles et des siècles à subir ce qui l’effrayait tant. Croyait-il, ce démon, avoir trouvé, en ma modeste personne, quelqu’un capable de le venger, de compenser des siècles de marasme mental ? Comptait-il faire de moi sa « championne », celle qui partirait en croisade pour guerroyer avec, pour ennemi, l’ensemble de l’humanité ? Je n’étais ni le père (pensées) ni la mère (émotions) de ce démon et n’avait que faire de ses rêves de pouvoir et de vengeance.

 

 

Pourtant, il continuait à me faire sentir comme véritable, le fait que telle personne essayait de profiter de ma générosité ainsi que de mes biens (alors que pour ces derniers, je n’en avais aucun.) Ces choses là m’étaient totalement étrangères et pourtant, son seul espoir semblait être de me faire croire que toutes ces scories m’appartenaient en propre, faisaient parties de mon héritage, de mon patrimoine génétique. Le laisser s’exprimer revenait donc à me perdre, à laisser le contrôle de ma propre vie à un autre que moi, à un autre que Soi. Et le conserver en moi revenait à accueillir une gangrène capable, en quelques mois, de ronger mon corps, mon cœur ainsi que mon esprit.

Alors, sur mon plan psychique, je l’ai invité.

Et j’ai vu le visage de cet état d’esprit ou plutôt, tous les visages auxquels ce démon appartenait et avait appartenu, jadis. Je les ai observés paisiblement, comme l’on observe le pan d’une falaise s’écrouler dans la mer. J’ai vu les failles de ce programme diabolique qui prétendait pouvoir vivre de moi, vivre à travers moi et faire ainsi partie intégrante de ma vie. Ces visages n’étaient pas gracieux ; ils étaient nés de la peur. Ils n’avaient rien de commun avec moi et dénotaient franchement sur mon plan psychique.

 

 

M’étant distinguée de cette monstruosité, j’ai commencée à repérer les liens qui m’unissaient pourtant à lui, les pensées de doute quand à la valeur exacte de l’engagement de celles et ceux qui se prétendaient « pour moi » ou « avec moi. » Puis j’ai enlevé ces liens, en réalisant que de toutes manières et tôt ou tard, ceux qui n’étaient pas « de moi » réagiraient autrement qu’à ma manière et que ceux qui n’étaient « pour moi » se trahiraient en révélant leur vrai visage. Et bien souvent, ce visage véritable a la couleur et l’odeur de l’argent ainsi que du pouvoir sur les autres.

 

Et j’ai vu que tous ces liens venaient prendre accroche dans la région de mon sacrum. Évidemment ! Comment pourraient-ils être reliés à autre chose qu’au siège même du Plaisir ! Alors, en conscience, nous (mon corps, mon cœur et mon esprit) avons ôté ces liens et tandis que je les retirais, je sentais de l’énergie pénétrer à nouveau la région de mon sacrum. Et j’ai reçu, ce jour là, en travaillant depuis mon propre plan sur les attaches de mon corps, une décharge de plaisir, un peu comme une sorte d’orgasme ! Ce foutu schéma, ce démon jadis incarné par d’autres que moi, me bloquait l’accès illimité et volontaire au Plaisir, en prenant au sérieux des évènements qui ne le concernaient pas et qui, d’ailleurs, n’existaient même pas. Ou avaient existé jadis, en d’autres époques de l’humanité et pour d’autres que moi.

 

 

Nos pensées se raccordent instantanément à des égrégores mentaux (nommés ici « démons ») et nous ne pouvons penser une chose sans nous relier, du même coup, à la somme de toutes les pensées du même ordre, semblables ou identiques. Si j’étais tombée dans ce piège détestable, si j’avais écouté ce démon et donné vie à ses délires, je me serais fourvoyée et écartée de ma voie, ainsi que de mon cœur. J’aurais tout simplement permis, à un état d’esprit qui ne m’appartenait pas, de maltraiter mon âme… Et je serais devenue une femme sans aucune empathie pour sa propre trinité intime. Et cela, je l’ai compris avec mon esprit, avec mon cœur et je lui ai donné corps en ce monde Terrestre.

 

 

Laetitia@FrequenceSoi

 

 

 

 

Une petite tondeuse écologique

La tonte écologique un avenir meilleur pour ces êtres et notre planète.

Il y a quelques années de cela, je pratiquais l’équitation. Le centre équestre était à quelques mètres de notre maison et il m’arrivait de me rendre disponible afin de lâcher les chevaux pour qu’ils se nourrissent dans leur champs et gambadent en toute liberté.

Arrive le printemps, la nature s’éveille après les mois d’hiver. Nous avions un petit terrain, une pelouse à entretenir et il était prévu d’utiliser notre fameuse tondeuse à essence !  Mais, nous vient l’idée de tondre cette pelouse avec nos compagnons du centre équestre : les poneys. Nous voilà donc avec nos trois petites têtes dans notre jardin sous le regard attentif de Shirdy.

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Nous n’avions pas de clôture, nous étions donc obligés de les tenir avec une longe.

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Mais si cette idée commençait à « faire des petits » dans tout l’hexagone ? Qu’aurions nous plus tard ? Des brebis, des biquettes élevées dans le seul but de brouter l’herbe et plus pour la consommation de leur chair. Fini le bruit assourdissant des tondeuses des dimanches matins, fini les odeurs d’essence. Au lieu de cela, un paysage serein en la présence d’animaux qui, tranquillement, vous rendent service en taillant l’herbe de votre jardin.

Unknown

Nous avions opté pour ce mode de tonte il y a quelques années déjà, mais je ne vois toujours pas cette idée plus développée que cela de nos jours. Pour l’homme, le mouton et l’agneau ne sont que tripes, côtes ou bien cuisseaux. N’avons nous donc pas plus de considération envers nous même que nous reproduisons sur les animaux dits « de bétail« , le même comportement ?

Et si ce monde changeait grâce à un changement de paradigme, d’état d’esprit ? Et si l’homme commençait à assumer ses responsabilités, ne commencerait-il pas à revoir la façon dont il considère sa relation à ses pensées ainsi qu’à ses émotions ?

 

 

On nous parle d’un monde meilleur pour nos enfants… Mais est-ce en critiquant ce monde qu’il changera ou bien en devenant partie intégrante de ce monde ? On parle de pollution mais savez-vous qu’elle commence et s’installe grâce à la pollution mentale ?

Toutes ces idées destructrices telles que la calomnie, la jalousie, la vengeance, l’hypocrisie, les critiques, sont autant de fréquences vibratoires malsaines qui nous tirent vers le bas et font de nous le premier pollueur de cette planète. Y aviez-vous pensé ?

Aujourd’hui pourquoi ne pas commencer par offrir une vie meilleure à ces êtres qui ne demandent qu’à se nourrir sur de verts pâturages au lieu de nous nourrir de leur chair et de leur innocence ? imagesAinsi notre innocence, notre spontanéité, seront de nouveau « bien gardées » et pourront de nouveau gambader en toute liberté sur un état d’esprit (un sol) capable de les accueillir et de les nourrir.

 

 

 

Laetitia@FréquenceSoi