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Césarienne et le corps il en dit quoi ?

 

Cette femme a du subir une césarienne qu’elle a mal vécue. Il y a de quoi. Premièrement, elle a gardé en elle ce qu’elle devait donner à cette âme (l’enfant) processus qui se fait lors de l’accouchement par les voies naturelles. Et deuxièmement, lors de cette césarienne, et malgré les deux piqures faites pour cet acte chirurgical violent, elle est restée sensible : elle pouvait ressentir la lame du bistouri et malgré cela, malgré le fait d’en informé, l’obstétricien ne l’écoute pas, se contentant de rétorquer que ce n’est pas possible. Alors elle subira un accouchement douloureux et son corps en gardera la mémoire.

Lors de cette séance, lorsque je me connecte à son corps, ce dernier me montre sa souffrance, ses cris, il n’a pas été entendu, il n’a pas été écouté. La conscience cellulaire a vécu une césarienne dans la douleur.

C’est pour cela qu’elle n’écoute pas son corps non plus et qu’elle n’est pas écoutée à son tour. Cette femme, comme tant d’autres, va créer des protections et va vouloir contrôler. Mais comme toutes les autres, elle va surtout se durcir et ne plus être à l’écoute de son corps. Alors certains maux liées à l’expression vont se déclarer.

Pour empêcher que ces choses-là arrivent, lors de cette séance avec l’aide des Êtres qui m’accompagnent lors des soins, ce corps sera de nouveau accouché, mais cette fois, de toutes les douleurs liées à cette mémoire… Une mémoire qu’il traine depuis longtemps, qui le conditionne et lui font dire qu’il a mal !

 

Lætitia

Avortement

 

Combien de femmes ont du avorter durant leur vie ? Beaucoup … Que ce soit pour une grossesse non voulue, un avortement thérapeutique même si cet acte est depuis longtemps rangé dans une malle posée dans le grenier de leur espace mental, le corps lui, n’a pas oublié.

La première fois que j’ai pris conscience de ce fait, c’est il y a au moins 20 ans. Une jeune femme me contacte car elle se ne sentait pas bien dans sa peau. En fait son corps ne se sentait pas bien, elle avait avortée suite à la séparation avec son ami. Le corps avait gardé en lui la mémoire qu’il devait préparer un futur corps pour qu’une âme vienne y prendre place. Le processus avait été interrompu et le corps se sentait perdu car il n’avait pas été correctement informé.

 

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Des idées qui n’aboutissent pas ou qui sont subitement avortées !

 

Lors de cette séance, je vois deux avortements …. Alors je demande à cette femme si c’est le cas. Elle acquiesce :  » Effectivement, me dit-elle, mais il y a des années de cela.  »

Peut-être des années pour elle mais le corps lui vit au présent et chaque jour il avorte d’idées. Cette femme n’arrive pas à aller au bout de son plaisir car il est souvent interrompu par des « éléments extérieurs » alors qu’il est tout simplement inscrit dans sa subconscience que le plaisir ne mène pas à la créativité. Alors elle ne crée rien si ce n’est des idées et encore des idées. Elle n’en dort plus et ses nuits sont souvent interrompues par ces idées qui essayent de naitre.

 

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Une autre femme a mis le plaisir de côté ; cet avortement l’a beaucoup contrarié et elle en veut à son mari, alors tout ce qui a a trait au plaisir devient acide. Alors elle vient de se créer une mycose !

Le corps éthérique conserve la mémoire de ce qui a été vécu et plus l’émotion est forte, plus l’empreinte et les conséquences sont fortes car reliées à la subconscience. Il est des choix difficiles pour une femme  et cette expérience l’est aussi bien pour la personne que pour le corps qui a vécu cela comme un déchirement ou un abandon pour certains et cela en fonction du vécu de la personne.

 

Lætitia

Arthrose ….

 

 

Madame M, est une petite dame qui vit pratiquement seule dans sa grande maison familiale. Elle a environ 70 ans et nous contacte, Serge et moi, pour un problème récurrent…

Elle se sent inutile dans sa vie. Elle est mariée à un brave homme qui passe son temps à s’occuper des affaires des autres. Autres que celles de sa famille. Ses enfants sont grands et sont partis faire leur vie depuis quelques années de cela, loin d’elle. Madame M se plaint qu’elle ne peut plus faire la vaisselle, elle me montre ses mains, elles ont de l’arthrose et commencent à se déformer. Cela lui fait mal mais elle insiste sur l’inutilité de sa vie, pas sur ces douleurs.

« Je ne peux plus rien faire maintenant je ne sers à rien ! », dit-elle. Et cela plusieurs fois, de peur de ne pas être entendue et comprise. C’est la personnalité qui nous parle elle est le reflet de son vécu mais tout au fond de cette être se cache une âme encore vive et pleine de ressources.

Alors je me connecte à cette âme et lui demande : « Que feriez-vous si vous n’aviez plus d’arthrose ? »

Elle me regarde et ce n’est plus le même regard qui vient de s’allumer. Celui-ci est brillant, ses petits yeux bleus sont étincelants, on dirait une jeune femme, celle-là même qui sommeillait en elle depuis trop longtemps, et qui vient de se réveiller. Son visage est détendu : tout à coup, l’âme se remet à nouveau à y croire ! Elle vient de vivre en pensée, tout en m’énumérant ce qu’elle ferait… Si elle n’avait plus ses doigts douloureux ! « Je ferais de la broderie », dit-elle.

 

Je la quitte et laisse passer quelques jours, afin que cette âme puisse s’imprégner de ce qu’elle vient de vivre en pensée. Quelques jours plus tard, nous reprenons rendez-vous pour ce problème récurrent, puis comme l’âme était toujours présente et surtout vivante en elle : elle m’annonce gaiement qu’elle a toujours envie de faire de la broderie et que désormais, elle y croit.

Elle s’est renseigné afin de connaître sil y avait des ateliers de broderie près de chez elle. Et cela tombe bien, il y en a un justement un pas très loin. Toutes ces synchronicités ont ravivé cette flamme qui attendait de flamboyer en elle.

 

Alors je l’informe que je vais pouvoir m’occuper de son arthrose. Je me connecte à son corps éthérique et ce n’est que joie que je découvre en lui. Seul bémol, l’âme ne sait pas comment trouver la clé pour enclencher le processus.

Qu’à cela ne tienne ! Je demande à l’un des Êtres avec lesquels je travaillais à l’époque, et ce dernier me montre où je dois travailler et quoi faire exactement. Je m’exécute et je peux ressentir le plaisir ressenti dans ce corps et dans cette âme, qui commence à recevoir cette nouvelle énergie.

Le soin terminé, la dame se lève, monte les escaliers pour nous raccompagner puis s’arrête et, me tendant ses deux mains, elle s’étonne puis s’exclame : « Je ne sens plus rien ! Regardez : je n’ai plus de douleurs dans les mains ! »

Elle est émerveillée, pareille à une petite fille qui redécouvre la vie. Une nouvelle vie et je lis dans ses yeux qu’elle en est pleinement consciente en ces instants.  Elle va enfin pouvoir se faire plaisir et se sentir de nouveau utile à ses propres yeux.

Il a fallu que peu de séances pour en arriver là, car elle a fait ce que d’autres n’osent plus même espérer : elle a osé y croire et dès ce moment, elle a laissé pénétrer en elle cette partie de soi qu’elle avait mis de côté depuis bien trop longtemps.

 

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

 

Quand un Soi décide de ne pas donner suite à une future incarnation

Quand un Soi décide de ne pas donner suite à une future incarnation.

 

Cette femme me contacte pour une séance, car une grande tristesse l’accompagne chaque jour ou plutôt, dès qu’elle se ne sent pas bien, elle réactualise un sentiment de tristesse qu’elle porte en elle. La séance commence je me connecte à son corps qui renferme bien des souffrances. Alors j’interroge ce dernier et lui demande d’où provient cette tristesse.

Un lien me connecte à ses Annales Akashiques (ses Mémoires) et il m’est montré que cette femme à avorté, il y a bien des années de cela, et qu’elle en a gardé une profond sentiment de culpabilité. Sentiment à l’origine de cette grande tristesse. Un fardeau qui l’empêche de prendre plaisir à cette vie qui est la sienne.

Je vois bien que dans cette histoire, cette décision (avorter) est due à une autre intelligence que la sienne. C’est le Soi de cette future âme qui a stoppé le processus, parce que les conditions « négatives » devant présider à cette vie, n’étaient plus réunies. La future mère avait décidé de quitter l’homme à l’origine de sa grossesse. Hélas, il s’agissait là d’une décision qui changeait pas mal de choses. Du moins pour ce Soi.

Elle avait décidé de retrouver sa liberté, mais cela ne faisait pas l’affaire du Soi. Lui voulait expérimenter, à travers cette future âme, certaines difficultés relatives à l’incarnation terrestre, dans l’espoir de « la muscler. » Les conditions n’étant plus remplies pour que cette expérience puisse avoir lieu, il n’était plus aussi intéressant pour le Soi de continuer le processus de nativité.

 

Alors d’un commun accord entre lui et le Soi de cette future mère, elle a été influencée pour avorter. Et c’est ce qu’elle fit.

Sauf que cette femme, même si elle pensait que c’était la meilleure solution pour elle, n’en parlait pas, comme si son geste n’était pas divin ou en accord avec l’idée qu’elle se faisait à propos de Dieu. Elle s’était libérée de la présence d’un homme, mais pas de cette idée qui l’handicapait dans sa vie.

Dans mon travail, j’ai réconcilié l’âme de cette femme avec son geste mental, ce qui a eu pour effet d’effacer ce souvenir douloureux, d’en changer l’impact qu’il pouvait encore avoir sur elle. Une fois la charge émotionnelle supprimée, il n’était plus qu’un souvenir sans force particulière. La tristesse s’en était allée.

 

Lætitia Beretti.

 

Exemple de Lecture d’âme

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Voici un premier exemple de Lecture d’âme

Puisque cet exemple correspond à une Lecture réelle effectuée sur une véritable personne, vous comprendrez mon souci de cacher certains détails concernant son identité. D’ailleurs, connaître le nom et l’adresse de cette personne ne vous serait d’aucune utilité pratique, mon but étant seulement de vous offrir un exemple type de Lecture d’âme.

Note : Pour cette Lecture, la personne n’est pas présente; j’effectue donc un travail purement psychique ou « à distance » (si je puis dire.) Ce jour là, la consultante était simplement prévenue que je devais me « brancher » sur elle, à telle heure précise. Le fait qu’elle puisse vaquer à ses occupations habituelles ne me gênant en rien dans mon travail.

 Lecture d’âme de A… – Le 19/10/2013

A… Désigne ici une femme d’âge mûr qui se trouve à une certaine distance physique de moi. A…. Ne sent pas aimée, mais rejetée par certains. Parfois c’est elle qui mets des barrières et évite les élans d’affection de ses amis ou de ses proches. Elle m’a donc demandé si le fait d’avoir été, pour ses parents, « un accident », avait eu une incidence sur son comportement.

 Voici ce que j’ai lu 

Comme nous le savons en psy éso, l’enfant partage le subconscient de la mère pendant toute la grossesse. Durant le laps de temps, l’enfant sera nourri des pensées et des émotions de sa mère, dont certaines le marqueront, parfois en profondeur. Si la mère a mal vécu sa grossesse, il en résultera un déséquilibre psychologique chez l’enfant (cette âme) car ce dernier aura, gravé en lui (ou elle), des idées et des émotions connexes, qui ne correspondent pas à son vécu mais à celui de sa mère (cf. Partage du subconscient maternel.)

 J’ai donc suivi le lien, et je me suis retrouvée face à une âme (la mère) enceinte pour la seconde fois. Elle ne désirait pas ce nouvel enfant mais à l’époque, la pilule n’existait pas et c’est avec colère et découragement, qu’elle apprend qu’elle sera mère une seconde fois, alors que la première est encore en bas âge comme on disait avant. Par ailleurs, cette femme (la mère) en veut à son mari qui n’a pas pris de précaution. Elle en veut également à cet enfant à naître et qui n’était pas souhaité. Elle nourrit en son sein des pensées de colère, d’injustice.

Que vont-ils faire ? Ils (le couple) n’ont pas beaucoup d’argent, les temps sont durs, le mari dit qu’il va travailler plus mais pour elle, le mal est fait. Ce n’est pas suffisant pour cette femme qui se sent abusée par cet homme, qui se perçoit comme étant une victime du sort et, surtout, du manque de maîtrise de son mari. Et c’est avec ce genre de pensées et d’émotions, que le subconscient –celui de cette femme et celui de l’enfant à naître- est nourrit et programmé. Cet enfant est un accident ! Cette femme, mère pour la seconde fois, n’a pas de sentiment d’amour envers lui, elle le porte tel un fardeau et vit sa grossesse comme une épreuve supplémentaire.

Avec le temps elle va s’y faire, se faire à l’idée d’avoir un deuxième enfant. Que faire d’autre, d’ailleurs ? A-t-elle le choix d’options supplémentaires et différentes ? Non ! A… va naitre dans une famille ou on n’oubliera pas de lui rappeler (on ne sait jamais si elle oublie) qu’elle est un accident et ce, « par la faute de son père qui n’a pas su enclencher à temps la marche arrière ! »

 A… Devra attendre l’âge de la cinquantaine pour libérer ses cellules des empreintes issues de  pensées qui forment une sorte de programme négatif la concernant. Désormais, elle comprend bien mieux les raisons pour lesquelles elle a toujours eu du mal à aimer ou à être aimer, voire à se laisser aimer. Comment peut-on aimer un enfant, une adolescente, une femme qui n’est pas désirée et aimée ? Quelle mère le peut, d’ailleurs ? A… En profitera donc pour être libérée de toutes formes de regrets, de remords et même d’éventuelles rancunes envers sa mère biologique.

Note : Un soin à distance, également, suivra cette Lecture.

Fin de cette lecture