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Shirdy ou comment vivre un départ en Paix.

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Ceux qui sont venus sur mon blog connaissent Shirdy (…) petite chatte qui fut près de moi pendant de longues années 17 ans pour être précise. Shirdy était malade depuis un certain temps et malgré les soins que je lui prodiguais, sa santé s’améliorait pendant quelques jours puis la maladie reprenait sa route. Je voyais bien que sa corde d’argent s’effilochait et que son Deva récupérait les informations, il était bientôt temps qu’elle retourne sur son plan.

 

SV100639Shirdy est sans force, le diagnostic du vétérinaire est sans appel cette petite boule de poils est arrivée au bout de son chemin, et elle doit passer la porte qui l’amènera dans son monde. La décision n’est pas facile mais de cela tout le monde confronté à cet évènement le sait, donc je ne m’étendrais pas sur ce moment. Tout en étant prés d’elle , Shirdy rejoint sa maison, ou son Deva, son âme groupe  l’attend. Rentrés à la maison, nous voilà en famille, j’informe de la décision que j’ai prise et je demande que tout ce qui appartient de loin ou de près à Shirdy disparaisse de ma vue. Alors dans les minutes qui suivent ses couvertures, sa gamelle et tout ce sur quoi mon esprit pouvait s’arrêter pour pleurer, regretter ma petite Shirdy est enlevé de ma vue.

Certaines affaires sont jetées, d’autres mises de côté pour la copine qui a elle-même un chat. Puis nous sommes passés à table, nous ne parlerons plus de Shirdy et cela pendant les 2 jours qui suivront son départ comme si elle était partie en vacances. Pendant cette période, Je voyais bien que mon esprit partait du côté gauche, du côté du souvenir, de son absence et des larmes venaient alors d’un geste mental je recentrais mon esprit. Et La paix s’installait automatiquement. J’entendais le pas de Shirdy descendre les escaliers, mais comme je ne me sentais pas assez forte pour penser à elle, je me recentrais sur mon coronal sur des pensées élevées.

Quelques jours ont passés…

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Je me suis laissée aller à accepter cette pensée qui me visitait, sa disparition et je me laissais pénétrer par l’idée que je ne pourrais plus la caresser, la prendre dans mes bras, j’acceptais de pleurer, puis lorsque je décidais qu’il n’était pas utile pour ma paix intérieure comme pour la sienne de continuer à pleurer, je me recentrais de suite …. Et je vaquais à mes occupations. Cela fait quelques mois qu’elle est partie et parfois, elle vient me voir psychiquement lorsque je travaille avec les Deva (chats) et je lui fais les grattouilles comme lorsqu’elle était présente physiquement. Je la vois passée parfois devant mes jambes et se placer à côté  du  pouf pour monter dessus. Elle me regarde et attend comme avant, que je l’aide à s’installer dessus. Dans son corps de chair, elle avait quelques problèmes d’articulations, elle n’avait plus la force de grimper, alors elle nous regardait et attendait que l’on vienne la poser sur le pouf.

 

Bibi

Aujourd’hui, je vois Shirdy avec son corps psychique, et je lui envoie le message qu’elle n’a plus de problème puisqu’elle n’a plus de corps physique, elle peut monter toute seule, elle a repris l’agilité propre à son espèce. Et la voilà grimper avec souplesse sur son fameux pouf. Puis Serge, mon mari qui, quelques minutes après, me dit « Tiens, j’ai vu Bibi, elle me montrait qu’elle était agile en grimpant sur une branche. » Shirdy ne peut me manquer car elle est présente dans mon cœur comme tous ces animaux avec qui nous avons fait des bouts de vie côte à côte. Nous avons vécu ce départ avec sérénité. Il ne s’agit pas de ne plus y penser, de ne plus les aimer il s’agit de vivre en Paix une séparation provisoire.

 

Laetitia@FréquenceSoi

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Quand des âmes sont prisonnières …

astraliensEn 1995, une femme se présente, son enfant de 2/3 ans dort mal la nuit, il pleure tous les soirs et se réveille le matin fatigué. Cela fait des mois que cela dure et lui comme elles n’en peuvent plus. Cette femme est médecin, et elle ne trouve pas de solution pour son petit garçon. Je propose de regarder ce qui ne va pas, d’en connaitre les raisons.

Alors le moment venu, je me connecte à cette âme qui se trouve dans le corps de ce petit garçon. Au-dessus de son lit, se trouve une forme noire, un être empêche l’âme de quitter son corps comme elle devrait le faire à chaque fois lorsque celui-ci  est inconscient. Cette âme étouffe, et essaye par tous les moyens de pouvoir se recharger mais cette forme l’en empêche et la maintiens prisonnière de son corps physique.  Je prends contact avec l’être (cette ombre) et lui demande de laisser cette âme tranquille afin qu’elle puisse recharger son énergie. L’être rit… Alors je lui demande une deuxième fois de laisser cette âme tranquille. Puis une troisième fois. L’être me regarde et essaye de m’intimider. Je ne rentre pas dans son jeu et reste indifférente, je lui impose le mien. Cette être viole le libre arbitre de cette âme, il est devenu hors la loi et de ce fait j’ai toute latitude de la libérer de cette présence.

 

Mage Rouge-femme

 

Avec les Êtres de Lumière avec lesquels j’ai l’habitude de travailler, nous déplaçons cet être de l’espace de ce jeune enfant et la voilà prise en charge par mes Amis.  Le lendemain, la mère de ce jeune enfant informe qu’il a fait une nuit entière, sans pleurer alors que cela faisait des nuits que cela n’était pas arrivé.  L’âme a pu ainsi continuer son chemin tout en étant protégée.

Avant le grand saut de l’incarnation, certains Soi envoient une extension avec le souvenir que rien ne peut les nuire puisque sur le plan sur lequel ils se trouvent est harmonieux, sans conflit et surtout sans résistance. Ils ont oubliés sur terre que c’est le seul endroit où tous les plans sont mélangés.  Alors certaines âmes, font des rencontres afin de leur permettre de rester et de pouvoir continuer ou de commencer ce pourquoi elles se sont incarnées.

 

 

 

Lætitia

 

Dick ou la trahison coeur-sensibilité

C’est aujourd’hui nous dit-on ! Le chef de famille va le chercher ce soir ! C’est un jeune chien un «bâtard» croidick4sé berger allemand avec un chien de chasse. Il aura comme nom Dick. Dick est enfin là: il grandit dans une famille de 3 enfants mais manifeste une nette préférence pour le chef de famille, qu’il respecte et aime comme personne n’avais encore jamais aimé cet homme, femme et enfants compris. Il l’aime comme on aime un dieu et ce père de famille le sera pour lui, en tout cas. Et le deuxième choix de ce brave Dick ira vers l’ainée de la famille. On comprendra plus tard pourquoi ce chien sera pour eux deux, la bouée de sauvetage de leur cœur… Un coeur, ça parle mais encore faut-il avoir envie de l’écouter…

 

Il vit ainsi pendant de longues années, part en vacances avec toute la famille, est bien nourri et soigné correctement. Il a toujours sa place, sa couverture pour dormir et a toujours un toit pour l’abriter puisqu’il vit à la maison, comme n’importe quel membre de cette famille. C’est un brave chien, il est gentil et intelligent.dikc2 Voici l’été, la famille part en vacances « sur l’ile », comme tous les ans. L’ainée a trouvé un travail et s’y installe. Le chef de famille décide de lui laisser ce brave animal qui le vénère depuis de longues années… Dick a 14/15 ans, déjà. Il est encore en pleine forme et il a une confiance totale en ce maître, à ce père de famille. Comment pourrait-il en être autrement, c’est Dick !

L’ainée a 20 ans et la voilà libre. Le chien devient alors le cadet de ses soucis: elle l’oubli et le voici laissé à l’abandon et dormant dehors. Il ne mange plus à sa faim. Certains membres de cette famille informent le père que ce chien passe ses journées sans aucun attention. dick attendC’est Noël: la cadette vient passer ses vacances, elle informe le chef de famille que Dick ne la lâche plus, réclame des caresses comme il ne l’a jamais fait, il a faim et mange beaucoup trop pour son âge et pour son poids mais Dick est à nouveau aimé et fêté et il retrouve le gout de vivre. La cadette demande au chef de famille si elle peut ramener ce brave toutou avec elle, le prendre dans l’avion : il lui suffira de louer une cage et il sera alors rentré chez lui auprès des siens et, surtout, auprès de ce maître qui lui manque tant. Mais le chef de famille aime bien montrer son autorité, surtout sur son chien et c’est lui qui décide ou non de la date de retour de son fidèle compagnon. Dick attendra l’été et s’il le peut alors, il le reprendra en août.

Pour Dick s’était encore un abandon, une trahison…. Il n’a pas la force de rester en vie, et mourra seul, abandonné, sous un escalier en plein hiver sur la place du village. Ceux qu’il aimait le plus ont trahit son cœur comme ils se trahissent eux-mêmes depuis des années et même entre eux. Des années ont passées… Le chef de famille a longtemps fait le deuil de son plus fidèle et dernier compagnon. Il n’a et n’aura plus de Dick.

 

Il se passe au moins 10 années, si ce n’est plus… La cadette ayant quelques dispositions pour le monde de l’invisible, un soir alors qu’elle travaillait sur un sujet donné, une présence se manifeste. Elle arrête momentanément ses travaux et interroge cela qui insistait pour entrer en contact avec elle. Quelle n’est pas sa surprise quand elle reconnaît ce brave Dick ! Il errait depuis dans les limbes, se sentant toujours aussi seul, abandonné et trahis. Elle voit à ses côtés son Deva mais Dick ne le voit pas il attend toujours son maître humain et terrestre…. Elle pensait que les chiens au moins repartaient directement vers la « Lumière » après la mort de leur corps physique. En fait il n’en est rien.

Alors afin que Dick soit pris en charge par sa véritable Famille, celle qui jamais n’abandonne les siens ni ne les trahis,  elle rentre en contact avec lui et lui montre qu’il n’est pas, qu’il n’a jamais été abandonné, car son Deva l’attend afin de l’amener chez lui et panser ses plaies. Dick a compris, il remue la queue, il aboie de joie, il jappe tel une jeune chiot et tourne sur place comme pour s’attraper la queue. C’est ce que font les jeunes chiens lorsqu’ils sont heureux. En plus de la joie, il a trouvé enfin la Paix.

Il est ainsi emmené par son Deva dans la Lumière, c’est-à-dire  «un espace ou la fréquence vibratoire est plus élevée.»  Lors de contacts avec les Deva des chiens, on s’aperçoit que, contre toute attente, cette espèce ne nous aime pas vraiment nous, les humain. Il y a eu des accords de fait entre nos deux espèces, c’est la raison pour laquelle ils sont proches de nous. Ils nous permettent d’ouvrir ce cœur que nous avons bien fermé. Nous ne savons plus écouter, ressentir nos réels besoins. Nous trahissons notre plus fidèle ami : notre propre sensibilité, c’est-à-dire notre propre cœur.

 

Ce genre d’homme comme ce chef de famille prend un chien car il se sent seul, guère aimé, même pas respecté et non reconnu et donc, jamais écouté. Il a enfin quelqu’un qui lui obéit, et s’il fait mine de résister, il sait qu’en tant que maître absolu, il aura le dessus. Il sait aussi que le lendemain, son chien lui fera la fête alors qu’il l’a battu pour se défouler, comme le font tous les êtres inférieurs de son espèce. Il est rare qu’un chien porte plainte contre son maître, savez-vous ? Il est rare qu’un chien ressente le désir de se venger de celui qui lui donne à manger et fait mine de l’aimer. Le chien est un ami fidèle et c’est une victime toute désignée pour un être vil et qui ne s’aime pas.

 

lumiereAlors lorsque vous avez perdu un animal, prenez soin de vérifier ou de faire vérifier, qu’il soit bien parti dans la Lumière, vers des plans supérieurs. Les chiens qui ont été aimé et accompagnés jusqu’à leur dernier souffle, partent directement vers la lumière rejoindre leur propre Deva. Pour les autres, ceux qui ont failli à leur engagement (n’ont pas été fidèles à leur propre cœur, à leur propre sensibilité), sachez que votre animal n’aura même pas droit à cette récompense, à cette Lumière… Il ne suffit pas de faire le deuil de la disparition d’un animal de compagnie car son amour à lui perdure même après la tombe. Et même si vous avez réussi à vous libérer de votre attachement et de la souffrance bien compréhensible qui en a résulté, assurez-vous que lui aussi est désormais libre de vous et dans la paix qu’il a bien mérité. Si votre cœur est en paix, assurez-vous que le sien le soit aussi. C’est une cadette issue d’une famille sans amour à offrir aux autres, qui vous le demande, pour tous les Dick de l’avenir.

 

 

 

Laetitia@FrequenceSoi

(Reproduction interdite sans accord des ayants droits.)

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque la nature reprend ses droits …

Lorsque la Nature reprend ses droits

 

Donald bébéIl y a quelques années de cela, sachant que j’aimais les chats, on m’informe qu’il y a une portée de chatons à donner, qu’ils ont environ 2 mois à peine et tout naturellement on me demande si je veux bien en prendre un. Après mon accord, voilà ma première surprise on m’apporte un chaton dans un carton bien fermé ? J’apporte donc ce petit chat chez moi, il a le regard peureux (être dans cette boîte ce n’est pas très rassurant). Pendant le trajet, je lui parle, le monte à mon appartement et lui ouvre cette boîte en carton… Il est craintif et a peur de l’homme, je suis surprise de ce comportement mais le laisse prendre contact dans son nouvel espace de vie. Ce petit animal va s’appeler Donald, j’aime bien Walt Disney. Donald se cache donc derrière la cuisinière, et ne bouge plus, ou alors, uniquement lorsque je ne partage plus le même espace que le sien et, bien sûr, lorsqu’il veut manger. Le lendemain, je demande des explications et voilà que l’on m’explique que ce chaton est né dans la nature, près d’une habitation et au lieu de les laisser vivre ainsi ils ont été récupérés par l’homme. Une forme de « récupération » un peu spéciale car  Récupéré = des hommes et des chiens lui ont couru après.

Il ne peut être remis dans la nature car maman n’est plus là, ses frères et sœurs non plus.  Alors il va se passer des jours, des semaines ou doucement ce petit animal va reprendre confiance en lui. Je lui donnais à manger puis partais ou lui parlais, je ne le touchais pas, parfois, je lisais, pas très loin de lui et à même le sol, afin que je n’apparaisse pas comme un géant à ses côtés. Le soir Donald venait sur le lit mais dès que je bougeais, je sentais ce petit corps quitter le lit avec un sursaut.

donald01Donald a grandi, petit à petit, s’est rapproché de moi, avait confiance et lorsque du monde venait à la maison, elle allait se cacher puis dans la soirée s’approchait de ces hommes et femmes uniquement si j’étais présente dans la pièce. Chez le vétérinaire, elle n’était pas agressive mais venait se cacher dans mon dos en s’agrippant entre mon pull et mon manteau. Car Donald était en fait une fifille ! Les mois ont passé et Donald devenait lentement mais sûrement une petite chatte adorable et, un jour, elle a eu de beaux chatons. Pendant nos vacances, elle a même pris l’avion avec son chaton sans aucun stress mais Donald avait gardé une peur en elle, la peur de sa propre espèce.

Donald a déjà 2 ans et un jour, la laissant chez une amie, pour l’emmener en week-end à la campagne comme j’avais l’habitude de le faire, elle s’est fait agresser par le chat de la maison.  Le soir après le travail, je vais donc à la rencontre de Donald qui s’était cachée dans le maquis. M’entendant elle s’approche de moi, je la caresse et la prends dans mes bras pour l’emmener chez nous. Elle voit la maison ou elle a été agressée et pris de panique, peur que je l’amène encore là-bas, elle s’échappe violemment de mes bras et retourne dans le maquis. Je reste quelques secondes seule, puis je retourne la chercher. Donald avait toujours peur de sa propre espèce.

donald02Sur le petit chemin, j’appelle Donald et à la place sort d’un talus, un chat. C’est un chat sauvage qui a élu domicile dans le maquis, il a cette tête de baroudeur, il me regarde et là je vois non pas un simple chat mais cette présence reconnaissable lorsque le Déva participe de près à la vie de son extension. Nous nous regardons et restons dans le silence, je me sens scanné par lui, puis une petite tête sort du talus, Donald est là et me regarde. Elle n’a plus peur de sa propre espèce et ce beau matou la protège. Je sais à ce moment-là qu’elle ne reviendra pas vers moi mais qu’elle me dit au revoir. Je remercie ce beau matou et regarde Donald se retirer doucement avec son nouveau compagnon dans le maquis. Je suis retournée chez moi sans Donald, certes, mais en paix, car elle aussi avait trouvé la paix. Et cela seul comptait.  Une famille d’homme nourrissait des chats depuis des années, Donald étant opéré, elle ne pouvait pas lui apporter d’autres petits et risquer eux aussi d’être poursuivis par d’autres hommes et chiens. La trajectoire spirituelle de cette petite chatte impliquait d’être avec les siens et en confiance. La vie a organisé les bonnes rencontres et j’ai toujours cette tendresse en moi pour Donald.

 

Lætitia

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Une sortie de corps …. Bien pratique !

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Poussin-juillet-2013

 

J’ai passé mon permis moto, il y a quelques années de cela. J’avais quelques difficultés à rester en équilibre sur la moto, pas très grande je m’évertuais tant bien que mal à trouver mon équilibre. Je sentais bien que quelque chose bloquait en moi mais même avec mes efforts, je ne voyais pas d’amélioration.

Alors un soir alors que je n’arrivais pas à dormir, je fis un exercice psychique dans le but de débloquer ce déséquilibre. Et me voilà projetée à la vitesse d’un éclair au-dessus de la savane ! Je volais ou, plus précisément et au tout début,  j’essayais de trouver mon équilibre. Parfois je penchais sur la gauche puis sur la droite. C’était très désagréable… Survoler la savane, quel plaisir !

 

 

 

 

Alors les premières secondes je me suis concentrée sur mon vol et sur mon équilibre. Lorsque je réussie  à trouver mon équilibre, je me suis mise à voler à toute vitesse, une vitesse enivrante… Je montais dans les airs puis redescendait, je survolais les girafes, la plaine, je rasais le sol et remontais dans les airs. J’étais comme un oiseau maitrisant son vol et prenant plaisir. Cela dure quelques secondes puis, au-dessous de moi, je vois des guépards qui me courent après pendant que  je volais assez bas. Oh ! Me suis-je  dis, ils vont me rattraper ! Je remontais dans les airs mais je sentais une résistance comme si j’avais un frein, je n’arrivais plus à monter et  je commençais à descendre… Et… Et non; je ne fus pas mangée par les guépards… C’est simplement que mon corps psychique était revenu dans mon corps ! 😀

 

 

 

 

Poussin sur son Monstre-Tropical St-Cannat

Deux jours plus tard, j’avais un cours de moto. Ce jour-là, Je pris la moto  comme si c’était un vélo, je fis mes exercices avec, comme passager, mon moniteur. Et voilà que ce véhicule si difficile à maîtriser, quelques jours avant, était devenu une extension de moi-même, comme si j’avais toujours conduit une grosse cylindrée !

Je ne conduisais plus une moto : je dansais avec ! A partir de ce jour, ma conduite avait complètement changée, j’étais à l’aise, comme lorsque je volais dans les airs en sortie de corps.

 

 

 

Lætitia

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Nous sommes en Mars 1997

ShirdyNous sommes en mars 1997, Shirdy petite chatte européenne (voir photo à gauche) a eu trois chatons, youpi ! Ils ont quelques semaines et ils grandissent tranquillement, en attendant de rejoindre leur nouvelle famille d’accueil.

Je me régale à m’occuper, de ces petites boules de poils qui sont bien attachantes. Jusqu’ici tout se passe bien et Shirdy est une maman prévenante et présente. Mais voilà qu’à un moment, je m’aperçois que le mâle de cette portée traîne l’arrière train, il ne peut se déplacer sur ses quatre pattes.

 

 

petit chatMalgré le calcium prodiguer par le veto, aucune amélioration.

Je suis bien contrariée, car quel avenir pour ce chaton ? Un jour, alors que je regardais cette petite famille chat jouer avec maman/chat, mon attention se fixe sur ce chaton qui a la naissance n’a pas reçu l’énergie nécessaire pour son développement. Je demeure ainsi sans penser à rien, comme si dans mon crane, c’était le vide total.

 

 

 

IdéeeEt tout d’un coup, une idée vient s’y déposer.

Je vais dans ma chambre et m’installe pour une « médiation » active. Je demande à mon Soi (Être de Lumière) de me donner l’énergie pour ce chaton afin qu’il retrouve l’usage de ses pattes arrière. Je reste ainsi assise en tailleur et j’attends.

Quelques minutes passent et tout à coup, je ressens à travers mon coronal une puissante énergie qui me traverse le crâne, descend dans ma poitrine puis par mes bras et arrive dans mes deux mains.

De suite, je me lève et d’une allure empruntée, comme si je tenais un vase précieux en cristal entre mes doigts, je me rapproche du chaton et lui impose mes deux mains sur son arrière-train, avec pour intention que l’énergie reçue lui soit transmise.

 

ChatonLe chaton ne bouge pas.

Le lendemain, je vois ce chaton se tenir sur ses 4 pattes comme ses deux sœurs et gambader allègrement avec elles, comme si de rien n’était.

Voilà qu’un miracle a été accompli.

 

Laetitia@Fréquence-Soi

 

 

 

 

 

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L’exterieur ne change pas l’interieur

bothMe sentant en harmonie avec Mère compagne de Sri Aurobindo, j’ai plaisir à vous citer des extraits de l’agenda de Mère dont les sujets sont toujours d’actualité.

Dernièrement plongée dans la lecture du deuxième volume de Mère, je lisais l’histoire d’une fillette âgée de 13 ans, qui était aussi jolie que gentille, issue d’un milieu de brigands (sales, menteurs et voleurs), elle fut emmenée à Paris par un musicien, qui l’éduqua et l’éleva comme une enfant de la famille.
Elle ne manqua de rien et possédant des dons de voyance , elle connut le succès et vécut aisément en France.
Elle semblait être sortie de ces habitudes…..

De retour en Inde et côtoyant Mère pendant un certain temps elle redevenait sale, passait son temps à mentir et à voler malgré le fait qu’elle ne manquait de rien et avait toujours autant d’argent. Mère dut la renvoyer.

Tandis qu’elle se trouvait dans un milieu qui la favorisait, elle était portée et sa nature propre ne pouvait plus s’exprimer.
Revenue dans son milieu naturel, elle exprima à nouveau ce qu’elle était et avait toujours été sale , menteuse, voleuse mais elle était restée gentille.

Les conditions extérieures ne peuvent pas changer un être, ses défauts sont mis en sourdine tant qu’il n’y a pas d’agents révélateurs et si on ne faisait aucun travail sur soi, on quitterait ce corps de chair avec les mêmes défauts et les mêmes qualités qu’à l’arrivée.

On se demande toujours pourquoi si peu d’évolution ?

 

Lætitia

 

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Les Gourmands de la Vie

gourmandsDernièrement nous avons décidé de faire un potager et d’y planter principalement des tomates car que serait le sud sans une salade de tomates dont les fruits ont été fraichement cueillis dans son jardin ?
Comme chacun le sait le pied de tomates est constitué d’une tige principale qui grandit et qui puise sa force dans la terre.

Cette tige se renforce, grossit jusqu’à s’élever et donner de beaux fruits si on s’en occupe bien.
Bien s’occuper, c ‘est de vérifier qu’aucun insecte ne vienne en entraver la croissance, lui apporter l’eau nécessaire et surtout ce qui est primordial, enlever « les gourmands
Les gourmands, ce sont ces petites tiges qui viennent se former au creux d’une branche, ces tiges ne donneront pas de fruits mais se nourriront aux dépends du pied de tomates et finiront par en épuiser la force ce qui aura pour conséquence de diminuer la récolte.

 

Si je vous parle des tomates c’est évidement pour en revenir aux idées parasitaires qui viennent se greffer sur un état d’esprit général, qui l’épuise et fait dire à celui qui l’abrite qu’il n’a plus la force de changer, de s’extraire d’un mode négatif de pensées. Vous allez peut-être me dire qu’il est difficile d’enlever ces idées parasitaires et que le fonctionnement de l’esprit de l’homme ne peut être comparé à celui d’un pied de tomates.

:lol:
C’est à voir, car l’esprit de l’homme est ainsi fait qu’il est capable d’abriter des idées parasitaires qui vont à l’encontre de ses intérêts. J’ôte ainsi tout parasite (gourmands) qui pourrait compromettre mon but qui est d’obtenir soit un maximum de processus mentaux agréables et utiles soit un maximum de belles tomates.

De mon état d’esprit général ce qui en ressort c’est le Plaisir et tout en moi me pousse vers lui.

Mais il arrive comme à chacun qu’une idée parasitaire vienne détourner mon attention.

Je prends donc du recul et l’isole de mon état d’esprit général.

Si je laissais vivre ces idées parasitaires en moi alors le plaisir n’aurait plus la force de s’exprimer et je serais obligée d’attendre de replanter un autre pied de tomates mental en étant cette fois-ci plus attentive.
Vous allez me dire que tout ceci est laborieux, fastidieux :grrr: et répétitif, je vous répondrai, prenez votre sécateur et aller couper la tête à cette idée parasitaire. :b:

Comprenez qu’un pied de tomates est une idée nouvelle qui ne demande qu’à porter ses fruits.

Si tel n’est pas le cas ne laissez pas cette idée parasitaire « gourmander » votre vie.

Bien à vous.

Laetitia :p:

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Gaspiller l’énergie

Gaspiller l’énergie.

 

L’être humain ne sait pas garder l’énergie pour se guérir ou se transformer.
Lorsqu’il est malade ou qu’il lui arrive quelque chose, il demande de l’énergie (de la compréhension, énergie vitale pour le corps, etc), il l’a reçoit afin d’ordonner ce qui a été désordonné.

Cette énergie est la pour réparer et donner de la force à se transformer, et permettre de voir et changer la cause de ce désordre.
Mais au lieu de l’utiliser dans ce sens, pour travailler intérieurement (si c’est le cas), l’être humain va se détourner du but, il va la dilapider par différent mode d’expres​sion (parler, bouger, travailler), pour ensuite se retrouver vidé.
Il a tout simplement gaspillé cette énergie.

Si l’énergie n’est pas détournée de son but, elle ne sera pas gaspillée.
Ne pas gaspiller l’énergie, c’est l’utiliser aux fins pour lesquelles elle a été donnée.

Si un employeur donne de l’énergie X (un salaire) pour un travail X et que l’employé effectue un travail Y, ce dernier n’est pas sur de recevoir l’énergie escomptée.
Mais si un employeur donne de l’énergie X pour un travail X mais qu’en arrière plan il voudrait que son employé effectue un travail XY sans le lui dire clairement, l’employeur risque à son tour de se retrouver face à un problème.
Et pour le résoudre, il ne recevra pas assez d’énergie pour régler ce qu’il a lui-même créé car en amont il n’a pas été clair volontairement.

En fait tout est une question d’énergie. Comme le dit Mère :

« Au fond l’immense majorité des êtres humains ne se sent vivre que quand elle gaspille l’énergie, autrement cela ne lui parait pas être la vie. »

L’agenda de Mère – 1951-1960

Quand tout s’écroule qu’est-ce qui reste ?

Voici deux vidéos concernant SATPREM, interviewé par David Montemurri en 1982.

 

Certains connaissent déjà ces deux vidéos mais ne pas parler de SATPREM ou de MERE, la compagne de Shri Aurobindo, cela équivaut à rester ce quelque chose remuant  dans un bocal au lieu d’être un Être conscient dans un corps.

 

 

 

 

 

 

 

 

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