Un éléphant est tombé ce matin …

Elle git à terre, elle ne peut plus se relever, sa mémoire est pleine de souvenirs difficiles. Car elle en contient cette mémoire, et elle est si grande ! Sa mère l’a dotée de la plus grande mémoire terrestre après elle. Elle est son souvenir toujours actualisé afin qu’on n’oublie pas.

Mais voilà; au lieu de respecter celui qui porte sur ses épaules et dans son regard toute la mémoire de ses ancêtres, de notre Mère, cet Être au pas lourd et assuré est persécuté, abattu pour ses défenses, meurtri dans sa chair par des pics à glace, on lui enlève ses enfants et on le harcèle jusqu’à qu’il flanche, que son esprit soit cassé et soumis ! Alors oui, elle est tombée et ne peut plus se relever.

 

Ce jour la Mère a informé ses enfants (humains) et une grande chaine de solidarité est venue aider son enfant dont le poids de ses souvenirs, de ses traumatismes est si lourd qu’elle ne peut plus le supporter et donc, ne se supporte plus. Toute cette mémoire meurtrie est contenue dans sa chair, dans son cœur et dans son esprit  qu’elle a décidé de ne plus se relever. de toutes manières, elle n’en a plus la force.

Autant sur cette terre, nous avons des êtres dont l’argent est source de conflit, au point de devenir un monstre, autant nous avons des êtres qui ne peuvent accepter l’insoutenable ! Alors un camion arrivera ce jour la pour la transporter, d’autres feront des soins  afin de lui donner cette énergie qui lui manque tant.

Lavons cette mémoire afin que l’âme puisse se redresser.

Voilà ce que nous devons faire. Ce jour là, l’Appel est si fort que la connexion se fait de suite. Je ne ne peux y résister et je m’installe afin de me connecter à cet Être au pas pesant mais dont l’âme aurait du demeurer si légère.

Son Deva, me demande d’effacer sa mémoire.

Je suis surprise car cet animal est le symbole même de la mémoire. Alors aidée par  son Deva, on me laisse pénétrer dans une cavité immense où se trouve les souvenirs. Le Deva ne peut l’effacer, ce n’est pas son rôle. C’est à cause des hommes qu’il est tombé. Alors il est de notre devoir d’homme de réparer, de soigner, de panser et de permettre à l’un de ses enfants de se relever. J’efface donc cette mémoire et une belle lumière éblouissante vient de rendre cet espace pur comme si l’homme n’avait jamais porté la main sur lui. Son Deva me montre un autre endroit, me permet d’y pénétrer ce que je fais, avec un profond respect, et là, je vois des connexions absentes, l’ordre de se mouvoir n’est plus d’actualité, l’ordre n’arrive plus à ses membres antérieurs et postérieurs. Le Deva me montre quoi faire et je m’exécute.

 

Je vois la connexion se réaliser devant mes yeux psychiques… Un rayon de lumière descend le long de sa trompe prends des informations puis remonte toujours le long de sa trompe et vient informer l’entité qu’elle peut à nouveau marcher. Vint ensuite un réseau de lumières informant tout son corps vital qu’il est à nouveau un éléphant digne de ce nom, qui n’a jamais connu la face obscure de l’homme qui, pour quelques pièces seulement, pouvait être capable du pire, rarement du meilleur.

 

 

Le corps éthérique renferme en lui nos Mémoires : chaque coup donné dans notre cœur, dans notre esprit et dans notre corps, est retransmis à nos cellules. Ce subconscient ou l’intelligence de nos cellules, informe le corps qu’il ne peut plus bouger : tous les coups donnés à la chair ont eu raison de son endurance et la souffrance a cédé la place à la maladie.

 

A tous ceux dont le poids du passé est devenu trop lourd à porter, allégez vos Mémoires vivantes, afin de pouvoir à nouveau marcher et créer votre propre chemin. Ne vous blessez plus à coup de pic, ne jetez pas votre mal être à la face de votre cœur ou de votre entourage.

Ne faites pas de l’argent un moyen de blesser, car il n’est qu’une énergie comme une autre : il permet le plaisir, mais le véritable plaisir ne saurait se construire au détriment d’un autre. Il y en a suffisamment pour le distribuer autour de vous et de permettre à d’autres de vivre à vos côtés en étant libres.

 

 

N’enchainons plus les enfants de notre mère, et nous ne serons plus enchainés en nourrissant cet état d’esprit. Rien au monde ne peut justifier la souffrance. Nos animaux sont enchainés parce que nous le sommes aussi. Ils sont derrière des barreaux parce que nous avons enfermé notre  sensibilité derrière ces mêmes barreaux

 

 

 

Ils sont traités comme du bétail parce que c’est ainsi que nous traitons nos semblables. Nous avons donné pouvoir à un autre principe directeur d’agir à notre place, de nous limiter et de créer ainsi des troupeaux d’âmes suivant et défendant ses oppresseurs. Devenons des Hommes libres de tous schémas restrictifs et ainsi ces animaux que l’Homme considère comme étant inférieurs, pourrons à leur tour vivre libres et heureux.

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

 

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One Response
  1. avatar Marie dit :

    J’ai ressenti beaucoup d’émotions à la lecture de ce bel article et témoignage.
    Emouvant, touchant il secoue l’âme et donne à réfléchir sur le comportement de l’homme cupide sur l’animal sans tenir compte de sa souffrance.
    L’Homme a été doté d’une conscience, puisse-t-il l’utiliser d’une manière éclairée, l’animal lui n’est pas doté de cette conscience mais il nous offre son affection en retour.
    A l’Homme conscient de faire cesser sa propre souffrance, et celle des êtres sensibles et sans défense qui nous entourent cessera aussi.

    La vie au contact de l’animal, permet qu’une confiance réciproque s’installe au fil du temps et procure beaucoup de plaisir, et de joie, il suffit de les observer vivre, sans crainte et libres, il m’a permis également de travailler ma propre sensibilité souvent refoulée par peur de souffrir.

    Et pour reprendre les termes de Lætitia :
    «  Rien au monde ne peut justifier la souffrance »

    Marie

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