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Couple de force

 

bonheur2Tout le monde désire être heureux, n’est-ce pas ? Pourtant, que voit-on le plus souvent ? Des gens malheureux. Oh ! Je ne dis pas que nous voyons des gens qui tous, reconnaissent leur malheur, loin de là ! Je ne dis même pas que nous voyons des gens qui sont conscients de leur malheur. Je dis que nous voyons tous des gens malheureux, autour de nous.

 

 

 

souffrance7Surtout des couples malheureux. Mais comment un être humain peut-il CHOISIR d’être malheureux plutôt qu’heureux ? Car il me semble que personne ne se marie ou ne se met à la colle (vie commune sans être marié) dans le secret espoir de souffrir, n’est-ce pas ? De même, rares sont les couples forcés : on ne met plus le couteau sous la gorge d’une personne pour qu’elle s’associe de force avec une autre, ou alors, très rarement, et ces cas-là n’entrent en rien dans le présent sujet.

 

 

 

bonheur8Les gens n’osent même plus avouer leur malheur : ils n’osent même pas se l’avouer à eux-mêmes ! Alors, ils font semblant que tout va bien et ils se consolent en se disant que, selon toute vraisemblance, les autres en sont là aussi, à se mentir pour tenter de réduire les souffrances morales.

 

 

couple-dispute2Pourquoi voit-on autant de couples malheureux qui,  au lieu de s’aimer tendrement et de devoir être décollés avec un démonte-pneu tellement qu’ils sont scotchés l’un à l’autre, se querellent, se lancent des piques à la face, se font du mal et se comportent comme si l’autre devait  » payer  » pour la somme globale de toute leur souffrance passée et présente ? Que se passe-t-il, Monsieur l’Abbé, vous qui êtes éclairé par le Pape lui-même ?

Puisque le Pape ne vous répond pas, je vais le faire à sa place !
Tout le drame, au départ, provient du motif profond, secret et définitivement caché, désormais, du  » choix  » du conjoint.

 

 

 

Il faut aller fouiller dans la m… euh, dans les strates profondes de la psyché et, plus particulièrement, au sein même de la subconscience des individus, pour y trouver les causes premières des destins loupés et des mariages ratés et autres  » ma vie est un enfer ! « 

 

 

 

 

couple7Prenons le cas très répandu d’une personne (homme ou femme) qui se choisi, sans même le réaliser, puisque c’est une forme de schéma compulsif ET inconscient, une personne du sexe opposé qui lui parait inférieure, dans un quelconque domaine précis ou même dans tous (par exemple, classe sociale différente, niveau d’instruction, etc.)

 

 

 

choixUne fois mariée, cette personne va commencer aussitôt à souffrir de son propre choix. Du moins, de tout ce que ce choix implique désormais et par ailleurs. Vous me direz que dès le moment où ça ne va plus, dans un couple, on peut toujours se barrer ou envoyer ch… euh… Faire savoir à la personne qu’elle doit s’en aller. Certes ! Mais est-ce cela que nous voyons ?

 

 

couple-disputeNon, n’est-ce pas ? Nous voyons des hommes et des femmes qui persistent et signent et demeurent avec d’autres hommes et d’autres femmes qui ne les aiment pas, qui les  » cassent  » à tout bout de champs et se conduisent comme de véritables ennemis…. Tout en restant là, n’est-ce pas ! N’est-ce pas quelque peu singulier, comme réaction ?  Ce n’est en rien singulier lorsqu’on se souvient du motif secret de ce choix de vie ! Si une personne choisit tous ces conjoints amoureux sur la prémisse qu’elle doit à tout prix éviter une personne plus intelligente, plus  » classe  » ou plus évoluée qu’elle (par exemple), c’est cette prémisse qui décidera ensuite de son bonheur et en gèrera les diverses modalités.

 

 

 

couple3Une telle personne, même malheureuse avec son conjoint, préférera rester et conserver le malheur connu que de risquer de rejoindre une autre personne, plus aimante et plus raffinée, certes, mais qui mettra en danger le schéma compulsif interne, qui réagira alors et produira à son tour de la souffrance, très différente et bien plus mordante encore.  Entre deux formes de souffrances, choisir la moindre semble être le mot d’ordre des gens qui sont malheureux en amour mais conservent néanmoins leur conjoint. (j’allais écrire  » leur schéma « , ce qui revient au même, d’ailleurs.)

 

 

 

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Vous me direz :  » Et les enfants, alors, tu y penses ???!!!  » Certes ! Et la personne programmée y a pensé aussi, ne vous inquiétez pas ! C’est d’ailleurs pour ça, qu’elle a  » fait des enfants «  ! Je ne dis pas que ce que je présente là est beau : je dis que comme toute vérité qu’on désire occulter, elle ne peut qu’être moche, c’est évident.

 

 

 

 

famille-divorceLes enfants apparaissent toujours, dans le genre de couple qui nous intéresse ici et  » comme par hasard « , dès que les chances de durer, pour ce même couple, menacent d’être réduites à néant. Osez dire le contraire, pour voir ! Autrement dit,  » on fait un enfant «  pour avoir une excuse de rester, de se mentir et de se trahir plus encore. Et cette excuse à l’air de payer, je vous l’accorde, puisque la majorité des gens est là pour pousser, par exemple, la pauvre femme malheureuse avec son mari, à demeurer auprès de lui tout de même….  » pour les enfants « … N’est-ce pas ? Certes.

 

 

 

 

Dans pas mal de couples malheureux (mais qui ne le montrent pas pour autant, fierté oblige), on trouve souvent soit la femme, soit le mari, qui, une seule fois, dans le passé, a eut une aventure avec quelqu’un d’autre. C’est normal, car il est dans la nature du schéma impliqué de se justifier, de se prouver à lui-même qu’il a raison. Pour ce faire, on prend un amant ou une maîtresse une seule fois, cela afin de mieux se convaincre que c’est pas bien d’agir ainsi ou encore qu’on a des devoirs, ou que finalement,  » Je ne perds rien, c’est pas si bien que ça !  » etc.

 

 

 

bsaopz6qBref, l’étau se resserre, le piège était parfait et la personne a mis en œuvre le pouvoir de son propre esprit afin de se flinguer l’existence sans même avoir ensuite le devoir d’en assumer la responsabilité, puisque c’est fait inconsciemment ! Elle est pas belle la vie ? Voyez ce pouvoir phénoménal d’un esprit qui poursuit comme noble but de se nier lui-même ! Pour certains, le marasme est devenu tel, qu’ils ne peuvent même plus espérer aller voir ailleurs et être enfin heureux, puisqu’ils en ont trop pris dans la gueule pour espérer ensuite avoir une relation équilibrée avec d’autres personnes plus saines ou plus objectives avec elles-mêmes.

 

 

 

acceptation03Ce serait alors eux qui seraient un peu justes face à l’équilibre d’une personne certainement plus aimante, OK, mais qui pourrait alors leur faire honte, car supérieure en certains domaines jugés névralgiques. Car on se souvient qu’à la base, beaucoup de gens recherchent (sans le réaliser vraiment) un conjoint qui leur soit inférieur, non pas uniquement pour le dominer (comme c’est parfois le cas) mais surtout pour ne pas AVOIR HONTE face à plus clean, meilleur ou plus grand que soi.

 

 

 

subconscient-conscientIl va sans dire que le principe de polarité agit ici à plein rendement ! Tout comme la victime recherche compulsivement son bourreau, cela pour ne pas avoir à assumer la paternité de ses souffrances mentales, de même, une personne qui est complexée ou/et qui ne s’aime pas, cherchera tout naturellement, et trouvera immanquablement le pôle opposé mais complémentaire de son aberration mentale. Voici quelques exemples concrets, avant d’en terminer avec ce sujet :

 

*** Celui ou celle qui souffre mais ne désire pas assumer ses responsabilités, va se transformer en victime idéale et attirer celui (ou celle) qui en a assez de se faire souffrir lui-même (ou elle-même) et qui ressent le besoin de transférer cette aberration sur autrui.

 

*** Celui ou celle qui a peur de décider, d’agir, de se positionner, etc., attirera celui ou celle qui adore ordonner, commander, régenter et même tyranniser.

 

*** Celui ou celle qui ne s’aime pas et qui se sent inférieur(e) attirera immanquablement celui ou celle qui a besoin de quelqu’un de  » plus bas  » pour se sentir  » plus haut.  »

 

*** Celui ou celle qui se sait (ou se croit) incapable de vivre avec une personne équilibrée et rationnelle, attirera et conservera une autre personne qui est persuadée d’être déséquilibrée, irrationnelle et difficile à vivre (le genre  » Je sais bien que je dois m’améliorer sans cesse ! « )

 

*** La personne honnête attirera la personne hypocrite et inversement, tant il est vrai que l’être humain a un cruel besoin des autres non pas pour réussir à s’aimer et à être aimé, mais bien pour réussir à se mentir à lui-même, encore et toujours, jusqu’à ce que la pire des dégradations morale et mentale le sorte de force du bourbier qu’il a lui-même engendré et qui est cultivé, par le Soi Naturel, avec application, et de vies en vies (pour ceux qui connaissent.)

 

 

 

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Évidemment, il existe des gens sains et Lumineux qui attireront des gens identiques, mais cela, c’est une autre histoire, voire un autre article à venir !

 

 

 

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Le doigt pointé

mental17Les psychologues ésotéristes ont été les seuls à dénoncer un ancien état d’esprit très instructif qui sévit à nouveau et depuis une dizaine d’années au sein de notre actuelle jeunesse, les 20-30 ans. Cet état d’esprit consiste à nier carrément qu’un individu vivant à notre époque puisse devenir ce que l’ésotérisme de base appelle « un Maître » (ou assimilé.) Comme vous devriez le savoir à présent, l’idée est moins de juger que de comprendre et d’expliquer. Personne n’a ici envie de se lancer dans le débat du « c’est pas con ! » ou au contraire, du « Mais c’est très con ! » L’intérêt de cet article est double :

1. Expliquer l’origine d’un état d’esprit, son but, ce qu’il est censé produire comme effet « positif » pour la personne qui choisi de s’en faire le porte-flambeau.

2. Quelles sont les lois du fonctionnement de l’esprit impliquées.

Supposons qu’il soit exact que plus personne, à notre époque, ne puisse devenir un Maître, soit ! En bon « flic de l’esprit » que nous sommes, demandons-nous « à qui profite le crime ? » (vous connaissiez l’astuce, en criminologie ?)

 

 

 

mental15En effet, pour qu’un mental choisisse de véhiculer ce genre d’information, il faut qu’il y trouve un intérêt quelconque, n’est-ce pas ? Si plus personne ne peut devenir un Maître, alors les plus programmés et encombrés mentalement d’entre nous peuvent respirer en paix ! Qu’est-ce qui pourrait inquiéter une personne qui croit ne plus pouvoir devenir Lumineuse et saine d’esprit ? Qu’est-ce qui pourrait créer des problèmes à une personne devenue incapable de changement et d’amélioration ? La réponse est évidente : qu’on lui démontre qu’elle se trompe et qu’elle peut, avec un peu de courage et de volonté, se transformer elle-même et en comptant sur ses seuls efforts.

Et qu’est-ce qui pourrait ainsi lui faire honte et établir la preuve formelle qu’elle se ment et fait montre simplement de fainéantise  spirituelle ? La présence autour d’elle d’un Maître ou assimilé, oui.

 

 

 

ange noir 02Si personne n’arrive à se sortir de son bourbier mental, alors ce même bourbier devient l’ordinaire de l’être humain moderne, n’est-ce pas ? Mais si quelques-uns y arrivent, si quelques-uns donnent même l’impression d’être différents et meilleurs sur certains points, alors là, il y a danger pour l’intégrité de cette croyance en l’impossibilité d’évoluer vers la Maîtrise. Jadis, les Maîtres instruisaient, conseillaient et apportaient leur aide, mais ils ne dénonçaient rien, ne forçaient rien et laissaient à chacun la responsabilité de ses choix. Et ceci était approprié à l’époque et aux divers buts envisagés à plus ou moins long terme.

 

 

mental04A présent que chacun doit apprendre à se démerder tout seul comme un grand et à devenir son propre Guide de Lumière, son propre Maître et Dieu, il n’est plus opportun de conserver cette relation surannée de « Maître et Disciple. » Mais cela ne signifie pas pour autant que chacun pourra dire et faire n’importe quoi en toute impunité, comme par exemple démolir le moral de milliers d’individus en laissant planer l’idée saugrenue que les Maîtres n’ont jamais existé et qu’il est utopique de désirer s’approcher seulement de leur niveau idéalisé à l’extrême par quelques pingouins endimanchés !

 

 

 

 

bouddha-brouillardD’ailleurs, rien ne dit que ces mêmes anciens Maîtres ne soient pas eux-mêmes revenus sous les traits plus rassurants d’hommes et de femmes vraiment ordinaires… Il fallait d’ailleurs qu’il en soit ainsi, car pour arrêter cette relation Maître-élève, il fallait bien que le plus intelligent des deux donne l’exemple et fasse les premiers pas. Alors les anciens Maîtres sont revenus, sous forme d’extension de leur Soi-Conscience, plus humains que jamais et, surtout, plus libres ! Et cette liberté se résume à pouvoir dire et faire tout ce qu’ils veulent eux aussi, y compris foutre la merde dans le camps des forces de l’ombre ! N’étant plus des Maîtres, comme les précédentes extensions, mais de simples humains, ils n’ont plus à « montrer l’exemple » et être plus sages que des images : ils se sont redonner les mêmes droits que ceux et celles qui furent jadis leurs élèves et disciples, passagers ou attitrés.

 

 

 

Doigt-accuseIls n’instruisent donc plus : ils dénoncent ! Ils pointent du doigt ce qui leur paraît inadéquat et, en un mot, deviennent des empêcheurs de mentir-et-de-prendre-les-autres-pour-des-cons en rond. Ont-ils un tel droit de forcer ainsi la main à ceux qui sont libres de mentir et de faire avaler des couleuvres aux autres ? Oui, ils ont le même droit que ceux qui font ce qui est très con (mentir.) Alors eux aussi font une chose très conne : Ils donnent la vérité surtout à ceux qui ne la réclament pas et la cachent aux autres, les gens instruits à n’en plus pouvoir.

Un peu d’humour et de simplicité permettent de bien comprendre ce qui vient d’être écrit, mais pour être certain d’avoir été le plus clair possible à ce sujet, je vais représenter l’enfant autrement car parfois, il passe mieux par le siège.

 

 

 

Manipulateur03Puisque la loi de libre arbitre implique que votre voisin a le droit d’être un poux et de vous faire chier comme c’est pas permis (en français dans le texte), cette même loi vous autorise à être un poux et à le faire chier vous aussi, ceci en l’empêchant de réussir à être un poux et un chieur de première ! Du coup, vous n’êtes plus occupés à pleurer qu’on vous viole votre libre-arbitre car vous êtes bien trop occupé à en faire de même avec votre voisin ! (ou du moins à l’empêcher de parvenir à ses propres fins obscures.)  Pour le sujet qui nous concerne, ça donne ceci :

Laissez les gens avoir le droit de nier la Lumière et ne perdez pas de temps : empêchez-les d’y arriver, devenez ces casse-burnes cosmiques que vous ne pouviez pas être jadis, alors que vous suiviez une voie Lumineuse réservée aux eunuques de l’âme. Et laisser ceux qui sont revenus pour jouer ce même rôle, s’illusionner avec leur degré de luminosité qui n’éclaire même plus leur ego.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Acceptation et résignation

acceptationLa psychologie ésotérique évoque souvent cette notion étonnante, pour un européen, d’acceptation. Mais au juste, que nous faut-il accepter, pourquoi et comment ?

Pour de nombreuses personnes, accepter se résume à se résigner, à courber l’échine devant le mauvais sort ou l’adversité, par exemple.

 

 

Acceptation7Pour ces personnes, accepter est synonyme de tout accepter sans broncher, de baisser les bras et de ne plus réagir du tout.

Il est évident qu’une telle forme d’acceptation est non seulement aberrante mais aussi inhumaine.

Aucun enseignant véritable ne demandera jamais à ses élèves de se résigner et de dire « amen » à tout ce qui se propose à eux.

En fait, l’acceptation véritable est bien plus un état d’esprit général qu’un choix ponctuel. Accepter, c’est l’inverse de refuser, n’est-ce pas ? Mais accepter quoi ou ne plus refuser quoi, au juste ?

 

 

 

acceptation04Accepter qu’il puisse se passer des choses que nous ne cautionnons pas et qu’il puisse exister des êtres différents de nous et qui nous hérissent le poil, par exemple.

Accepter également que la vie nous interroge et nous interpelle sans cesse, cela par le biais d’évènements et/ou de personnes qui nous dérangent, qui dérangent surtout notre petit train-train quotidien et notre sacro-saint « confort mental. »

 

 

aimer le MondeBref, accepter revient à accueillir la vie telle qu’elle se présente, dans un premier temps (pas d’à priori) puis, dans un second temps, de choisir d’agir à notre guise, et non plus de réagir bêtement et en fonction de notre degré de dérangement.

 

 

 

acceptation03Accepter, en l’occurrence, revient également à faire honneur à la Vie, à cesser de la juger et à ne plus croire que nous aurions fait mieux que Dieu si ce dernier avait l’intuition de nous consulter au préalable ! (lol)

Comprenez-vous ces mots ? Ressentez-vous tout ce qu’ils impliquent comme paix et comme liberté, par ailleurs ? Si oui, partagerez-vous avec les autres votre compréhension ? C’est ce que nous allons voir tout de suite, les commentaires sont aussi « ouverts » que ne l’est votre esprit aux échanges avec les autres, ces autres qui partagent les mêmes doutes, croyances et peurs que vous-mêmes, sans doute…

 

 

 

 Serge Baccino

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Perception directe ou projection intime ?

mental17Vous avez du remarquer à quel point il est difficile, apparemment, de distinguer une vrai perception d’autrui d’une banale projection… Vous ressentez parfois des choses qui semblent concerner les autres, n’est-ce pas ? Mais vous doutez souvent (du moins je l’espère pour vous !) du degré de véracité de votre perception concernant autrui ? Comment faire pour différencier ce que vous ressentez et qui vous concerne, de ce que vous percevez et qui ne concerne que cet autrui ? Présentons l’enfant autrement.

 

 

 

Si ce que nous sentons est vrai, puisque c’est vrai que nous ressentons quelque chose, peut-on affirmer pour autant que notre ressenti concerne bien un autre que nous-mêmes ? Ou, à l’inverse, doit-on considérez que tout ressenti intime ne concerne que nous ? Comment faire la part des choses dans ce que nous ressentons et est-ce seulement possible ? Je donne un indice ou deux : Comme vous le savez, l’esprit est vivant et conscient.

On peut penser.
On peut ressentir.
On peut être conscient.

 

 

 

mental11Tout cela, c’est l’esprit qui le fait. Souvenez-vous que chaque pensée produit un sentiment (ou une émotion) connexe : une même pensée, un même sentiment, mais parfois la pensée est zappée car elle est si rapide ou fugace, qu’on peut s’imaginer ressentir une chose sans avoir eut la moindre pensée juste auparavant. Vous ne trouvez pas la bonne réponse ?  Je développe d’abord, ensuite je vous énonce la loi, OK ?

 

 

 

Voyance9Vous savez déjà que « Toute pensée produit une émotion ou un sentiment connexe. »

C’est une Loi Ontologique, un Principe de l’être, pas une idée personnelle ou l’expression d’une quelconque ancienne tradition à la noix, non, c’est vraiment ce qui se passe pour tous et sur tous les plans de la Création, OK ? Bien !

 

 

 

 

1929176089_2De fait, quoique vous puissiez sentir, ce que vous sentez provient d’une pensée, et non d’une soit disant « perception directe de l’autre. » Or, vous ne pensez pas dans le frigidaire de la voisine, n’est-ce pas ? De même, ce que vous ressentez n’est pas dans votre table de nuit, mais bien en vous également ?

 

De fait, tout ressenti provient de vos processus mentaux et ne peut EN AUCUN CAS concerner autrui ! Boum ! C’est dit ! (Je vais me faire des copains, là, je sens ! )

 

 

 

 

ego2Si ce que vous voyez, au-dehors, induit (ou réveille) une façon de penser qui vous est propre, ce que vous ressentirez ensuite (en fait, quasi simultanément) sera également à vous et ne concernera donc QUE VOUS. Il est très important, primordial, dirais-je, que vous teniez cette Loi pour dites, comprise et acceptée sinon, vous vivrez toujours dans l’illusion. Vous ne pouvez pas « sentir les autres », que cela soit clair et définitivement ancré en votre… Conscience !

Conscience ! Le mot est lâché ! La conscience, ce fameux « Christ », ce « Fils unique de Dieu » en lequel ce dernier prend Son Plaisir ! (Bible Dixit) et qui est appelé « Le Seigneur » dans la Genèse (voir passages avec Caïn et Abel.)

 

 

 

Si vous êtes CONSCIENT de ce qui se passe au-dehors ou chez autrui, alors vous êtes conscient de l’actualité, de ce qui existe en fait au sein de l’esprit collégial, indépendamment de ce que vous pouvez percevoir au travers de vos processus mentaux et des sentiments ou émotions qu’ils produisent. Si vous dites qu’on ne peut pas « sentir les autres mais seulement le contenu de nos pensées », vous avez parfaitement raison ! Si vous dites que nous projetons tous sur autrui si nous prétendons « sentir leurs souffrances et les problèmes qui en sont à l’origine » , vous avez encore raison !

 

 

 

Mais alors, me direz-vous, comment ont fait les Maîtres et les Grands Maîtres, depuis toujours, pour savoir ce qui se passait dans la tête et le cœur de leurs élèves ? Comment pouvaient-ils être aussi efficaces ? Peut-on décemment dire qu’eux aussi projetaient sur leurs disciples et amis ? Bien sur que non ! Mais eux, ils ne PENSAIENT pas ! Mais eux, ils ne SENTAIENT pas ! Ils étaient seulement et pleinement CONSCIENTS des choses et des êtres. Ils étaient Conscients des faits, tout simplement.

 

 

 

Lorsque l’on passe par la conscience et non plus par les processus mentaux et le ressenti qu’ils font naître nécessairement en nous (et ne concernent donc que nous), alors on peut tout savoir, tout comprendre, tout expliquer, sur tout et sur tous. Du moins si le sujet éveille un quelconque intérêt en nous, puisqu’on est devenu libre de choix.

 

 

 

wiu5cj1bComme l’émotionnel n’est plus là pour compulser, on ne ressent pas outre mesure d’envies, de désirs, et ont peu donc « froidement » constater puis être réellement efficace, cela à la condition que les oreilles, en face, soient prêtes à recueillir les paroles de sagesse. Voici la Loi en présence (concernée), tirées de textes vieux de six mille ans (les Shiva Sutra) résumée et modernisée par mes soins :

 

« Tout processus mental entraine un ressenti qui est lié indéfectiblement aux pensées qui le font naître et qui ne concernent que l’individu dans lequel naissent puis disparaissent ces pensées et leurs sentiments connexes. Seul celui qui place son attention mentale sur la conscience en lui, et non plus sur les mouvements incessants de son esprit (Karma Chitta), peut connaître l’univers et les dieux, c’est-à-dire ce qui se passe en la conscience de l’homme à son insu, ainsi que ce que produit l’homme dans son quotidien et sous sa pleine et entière responsabilité, sans même qu’il le réalise. »

 

Une petite astuce mnémonique pour vous souvenir de cette loi mais sous une forme plus succincte :

« Si je sens, c’est que je pense, si je suis conscient, c’est que je sais. Si je sais, c’est que je perçois directement, sans passer par les processus mentaux et les sentiments qui s’y rapportent. »

 

 

 

 

flameJ‘espère que ce savoir que je trouve extraordinaire et qui me fascine depuis trente-cinq ans, à présent, saura éveiller en votre cœur la Flamme de l’Enthousiasme (du Grec Enthéos = Demeurer en Dieu) et le désir de toujours plus VOUS apprendre et donc, VOUS connaître vous-mêmes.

 

 

 

 

 

Serge Baccino

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Sur la mémoire

pendule-plageVous êtes vous déjà demandé où se trouvait vraiment la mémoire ? Sa localisation dans l’espace et dans le temps ? Supposons qu’il vous revienne à l’esprit le souvenir d’un incident cocasse du passé… Ce souvenir n’est-il pas «présent» dans votre esprit, ici et maintenant, c’est-à-dire au moment où vous y pensez ?

Donc, cette mémoire n’appartient pas au passé, puisqu’elle est présente en votre esprit. Elle ne se trouve donc pas stockée ailleurs que dans l’esprit, ici et maintenant et appartient uniquement au présent, et non au passé.

 

 

 

voileVous me rétorquerez : «Holà ! Je croyais que la mémoire était stockée dans nos cellules physiques !» Ok, mais c’est quoi, le corps «physique», si ce n’est l’état d’esprit général avec lequel «nous faisons corps» ? Attendu que la plupart des gens s’identifient pleinement avec ce qu’ils pensent en esprit, ce même esprit en arrive finalement à «incarner» cette façon de penser spécifique, à lui donner corps pour la rendre manifeste. Dès lors, à quoi bon soigner le corps des traces du passé, alors que c’est l’esprit qui s’accroche désespérément à ce qu’il refuse de laisser passer ?

 

 

 

inconscient10Qu’est-ce que le passé, si nous n’en avons pas conscience ? Avons-nous conscience du passé quand nous n’y pensons pas ? Non, n’est-ce pas ? Pour que ce fameux «passé» nous soit de nouveau accessible, nous devons nécessairement en être conscient, c’est évident. De fait, et attendu que le contenu formel nommé par nous «passé» est DANS notre conscience, c’est également DANS NOTRE CONSCIENCE qu’existe ce «passé» Mais attention : il n’existe pas «au passé» puisqu’il est présent en nous, cela, au moment même où nous en sommes conscients.

 

 

 

l'amourEt quand nous ne pensons pas à notre passé et qu’il ne se présente rien à notre conscience pour lui permettre de se réactualiser ? Eh bien ! Dès lors, notre passé n’étant pas présent dans notre conscience, il n’existe simplement plus ! Pour le présenter autrement, c’est à chaque instant que notre conscience est obligée de ré-écrire tout ce que nous avons envie d’avoir vécu et donc, toute l’expérience vivante qui réquisitionne notre attention puis la polarise. (Sur tout ce qui nous plaît, nous fascine ou nous terrorise.)

 

 

 

Si notre conscience qui est «le Seigneur Suprême qui commande même à l’esprit universel» (cf: Shiva Sutra) ne faisait pas cela de tout recréer chaque jour pour nous (l’âme-personnalité incarnée), nous serions incapables de nous souvenir de notre propre nom, car tout existe au présent et aucun autre «temps» n’existe dans le cosmos, sans l’intervention de la conscience qui se sert de l’esprit pour créer toute réalités probables de son choix. Cela vous fait halluciner et vous avez du mal à le croire ?

 

 

 

regarder en soi7Alors essayez d’avoir conscience d’un souvenir «passé» et osez ensuite me dire que tandis que vous y pensez, ce souvenir est autre part qu’en votre propre conscience ! A présent, lisez bien ceci, qui est basé sur des faits réels et vérifiés depuis belle lurette : Si un hypnotiseur vous faisait croire que vous avez vécu ceci ou cela il y a par exemple 10 ans, vous auriez dès lors un vrai souvenir d’une chose qui ne s’est jamais passée mais qui se passe maintenant dans votre esprit et qui, de ce fait, est aussi réelle que ma belle-mère, et aussi difficile qu’elle à éluder !

 

 

Au sujet de la mémoire cellulaire

 

 

 

esoterikosLa mémoire est bien localisée dans nos cellules, elle fait même partie de notre subconscient, qui est la somme de l’intelligence de toutes les cellules de notre corps. Et il est vrai également que même si nous n’y pensons plus ou pas, les engrammes (ce qui est gravé et pèse sur notre âme) existent. C’est présentement exact, oui. Mais la question à cents euros est celle-ci :

Pourquoi ces engrammes existent-ils et pourquoi peuvent-ils avoir le droit d’exister à notre insu, puisque notre conscience, qui est Souveraine, règne en Maître sur l’esprit créateur de toutes choses ?

Les psy éso répondent ainsi :

« Ces engrammes existent à cause de notre habitude compulsive de nous accrocher à tout ce que nous pensons, vivons et ressentons, en bien comme en mal, en heureux ou en douloureux pour nous. Notre corps même témoigne de cet attachement à certaines formes mentales, puisque le corps n’est que la concrétisation de notre intérêt évident pour un état d’esprit général avec lequel «nous faisons  corps». De fait, les engrammes ne violent aucune loi cosmique ou de l’âme, car c’est avec notre autorisation et notre désir constant que nous maintenons, dans notre conscience spirituelle, tout ce que nous n’avons pas voulu oublier. »

 

C’est notre attachement à l’expérience qui engendre la mémoire.

 

 

Le fait de comprendre que notre soi-disant «passé» est présent en nous et qu’il existe donc «maintenant» puisque c’est maintenant que nous en sommes conscients, ne nous coupe en rien des choses de ce monde et ne va pas nous donner un esprit aberré ! C’est pour l’instant que l’esprit de l’homme est aberré, puisqu’il ne réalise même pas, ce couillon, que pour avoir conscience du «passé», il faut que ce même passé soit présent en lui et au moment (maintenant) où il l’expérimente dans son mental (ici) Comme équilibre mental, on fait mieux, donc !

 

 

 

Lorsque je suis occupé à réparer ma voiture, par exemple en changeant les quatre bougies d’allumage du moteur, je suis on ne peut plus «présent» et actif dans le monde social. Mais si un «souvenir» me visite à ce moment, je fait simplement le geste mental (Mudra) de réorienter ma conscience sur ma bagnole, en sachant que le passé peut attendre puisque, justement, il refuse de «passer» ce con, et qu’il pourra tout aussi bien venir encombrer l’avant-scène de ma conscience plus tard !

Je ne vois donc aucun problème, bien au contraire, au fait de tenir compte des lois ontologiques pour fonctionner plus intelligemment et même plus pratiquement, puisque les psychologues ésotéristes sont réputés ne pas se laisser submerger par ces vagues émotives dévastatrices qui embarrassent tant nos contemporains.

 

 

 

Serge Baccino

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La Grande Peur

pendule-plageVoici un sujet original qui sera, tôt ou tard, repris par plusieurs chercheurs de Lumière, puisqu’il est «dans l’air» et qu’il est possible de savoir par avance de quoi il retourne présentement et ce qui se passera, plus tard, cela simplement en se branchant sur les énergies qui se mettent actuellement en place, au grand désarroi de l’humanité. Il paraîtrait, aux dires de quelques-uns, que l’aventure humaine, telle que nous croyons la connaître, aurait débuté voici 500 000 ans et devrait « se terminer bientôt »…

Cette expérience unique aurait eu pour unique but de tester un réel et complet libre-arbitre, c’est à dire la possibilité inouïe (et proprement inconcevable) d’être  coupé du Divin » (ou de le croire) et de ne plus ressentir son Pouvoir ainsi que Sa Guidance (surtout cette dernière, en fait.)

 

 

 

esoterikosEn effet, comment l’homme pourrait prétendre être libre de gérer son existence, s’il sentait constamment en lui la Divine Présence ? Cette Présence est non seulement éclairante en tous domaines, mais elle a de plus le pouvoir de répondre par avance à tout questionnement et à supprimer n’importe quel problème de l’univers ! Partant, quel aurait été le libre-arbitre de l’homme si Dieu, sans cesse, lui avait soufflé à l’oreille le choix ou le chemin le plus parfait pour lui ? Être libre consiste avant tout à être seul et à pouvoir se tromper…librement ! Donc, les plus rusés d’entre nous ont déjà compris cette vérité qui va en laisser quelques-uns sur le cul :

 

« Puisque la fin de l’aventure humaine se rapproche, la coupure avec le divin va donc bientôt cesser, en même temps que le libre-arbitre de l’homme ! »

 

Boum ! C’est dit ! Wahou ! Mais au juste, Monsieur l’Abbé, que va-t-il se passer ou, tout au moins, comment cela va-t-il se présenter, pour l’homme ?
Bah !… (en Français dans le texte.)

 

3kkvvqcwIl suffit d’observer froidement ce qu’il se passe autour de nous et en nous ! N’avez-vous pas, depuis quelques mois, deux ans tout au plus, l’impression que vous ne gérez plus rien, que plus personne n’arrive d’ailleurs à gérer quoique ce soit et que tout le monde semble être devenu incompétent, distrait, incapable d’assurer ou d’assumer des responsabilités pourtant légères, en temps ordinaire ?

De même, avez-vous remarqué que le temps semblait s’être accéléré, comme si nos journées de 24 heures passaient plus vite ou n’en comptaient que 18 tout au plus ?  Si vous avez remarqué cela, alors vous êtes déjà éveillé et avancé !
Car la plupart subissent cela MAIS sont totalement inconscients de ce qui se passe…. Du moins, pour le moment.
Est-il vrai que plus personne n’arrive à gérer, à planifier, à prévoir et, en un mot, à organiser sa vie ? Oui, c’est vrai. Mais pourquoi cela ?

 

 

 

relianceEh bien ! Ce n’est pas bien compliqué à deviner, si ? Attendu que la fin du libre-arbitre de l’homme est arrivée et que c’est de nouveau le Divin qui va reprendre les rênes de notre vie, pourquoi voulez-vous continuer à gérer votre vie comme si vous étiez seul et abandonné de Dieu ?

Mieux encore : Comment pourriez-vous continuer à la gérer, cette vie, puisque le Divin est en train de reprendre les rênes ?
Essayez de réfléchir à cela. Essayez de découvrir, avec émerveillement (et trouille, aussi !) tout ce que cette idée implique, puis pleurez un bon coup et venez ensuite témoigner de votre ressenti personnel. Placez auparavant votre intellect au placard : il n’a plus sa place, désormais, sur cette planète !

Il serait utile de retenir deux choses principales et quelques-unes secondaires.
La première, c’est que le changement est inéluctable !
La seconde, que la « réussite » finale est inéluctable aussi !
(Tout le monde deviendra divin, un jour ou l’autre, en clair.)

 

 

 

anges[1]Toutefois, certains deviendront divins avec autant d’aisance que vous en auriez vous-mêmes pour faire passer un suppositoire humain dans le derrière d’une ânesse, tandis que d’autres, qui résisteront de toute leur âme (le cas de le dire) vont tellement en ch…  qu’il faudra la distance de la terre à la lune de papier toilette pour « essuyer leur souffrance » (je suis un poète, je le sais, oui !)

Je « vois » des gens « normaux » qui résisteront modérément (juste parce qu’ils ignorent tout de l’affaire) se mettre à rayonner de divinité d’ici 3 ou 400 ans, par exemple… J’en vois d’autres « rendus divins » en une seconde, sans effort, cela malgré leur ignorance totale des choses de l’esprit, seulement parce que la beauté de leur âme fait chanter de joie le chœur des anges autour du Trône de Dieu.

 

 

 

ego5Souvenez-vous de cette parabole des deux semeurs, dans un champ, dont l’un sera pris et l’autre laissé, que croyez-vous qu’elle puisse signifier ?
J’en vois d’autres souffrir milles morts durant leur vie, souffrir milles vies infernales après leur mort, puis, finalement, s’abandonner à leur Dieu qui viendra les réconforter comme Seul « Dieu-Le-Peut. »

Il faut que vous compreniez bien que « tout ne se fera pas en un jour, ni même en dix ans. » L’année 2012 a seulement marqué ce « moment de la Conscience collective » où même les plus doués pour le mensonge ne réussiront plus à abuser leur propre mental ni même celui des autres. Et c’est tout !

Chacun sera mis de force face à ce qu’il est devenu et à ce qu’il aurait pu être.
Et cette «Vague-à-l’Âme» remettra les pendules à l’heure.

 

 

 

mage sorcier 163Évidemment, ceux qui ont depuis des années une recherche spirituelle sembleront être aussi ceux qui en prennent le plus plein la gueule ! Pourquoi ? Parce qu’ils étaient ouverts, bien avant les autres. Et parce qu’ils désiraient SAVOIR ET ÊTRE, avant les autres aussi. Alors, le Divin les nettoie avant les autres Smile

Le premier verre de vin à la Table du « Seigneur de Justice » (Melchisedeck, en Hébreu) sera en fait du fiel ! Le second sera du vinaigre, mais si l’homme est assez inspiré pour goutter au troisième et dernier verre qui lui sera tendu, alors ce qu’il boira le rendra « Tel Que Son Dieu. »

Je dis ces choses pour ceux qui s’imaginent que 2012 devait être une date fatidique après laquelle il n’existerait plus rien et à laquelle s’arrêterait la montre céleste.

 

 

 

planete terre-femmeLe seul « choc » qu’il y a eu, c’est que des milliers de gens ont quitté la Terre (d’un point de vue spirituel) et n’y reviendront plus, tandis que des millions d’autres sont en train d’arriver pour former « la future humanité. » Pour ceux qui ne sont pas prêt, il est possible que la vie puisse paraître continuer comme avant, bien qu’ils constateront, effarés, à quel point il est devenu difficile de mentir ou de cacher ses intentions réelles (comme si tout le monde était devenu un peu télépathe, en somme.)

Les Mystiques du passé affirmaient que « Dieu sait bien mieux que nous-mêmes ce qui est bon pour nous, ce que nous désirons en secret et même, ce que nous ignorons encore de désirable et que nous désirerons un jour… »

 

 

 

Illumination6Beaucoup s’imaginent que « suivre Dieu en Soi » représente la pire calamité qui puisse se concevoir… Il est vrai que si on observe les croyances désastreuses que les curés des diverses traditions religieuses (pour moi, elles se valent toutes) ont implanté dans la tête de leurs ouailles, on est en droit de se demander quel est donc ce véritable Démon qui se fait appeler «Dieu » !
Certains demanderont : «Bon, OK, mais alors, si Dieu est Bon, pourquoi je souffre, actuellement, puisque de toutes façons, c’est toujours Lui qui gagne et qui a le dernier mot ? »

Hélas ! Trois fois hélas ! (hélas, hélas et hélas, donc ^^) Je vous demande de bien vous concentrer sur les phrases qui vont suivre, et asseyez-vous afin de ne pas risquer de vous rompre le coccyx :

« Ce n’est jamais Dieu qui dirige et qui gagne à la fin mais l’ego, qui est le « faux-dieu » de la plupart des hommes. La souffrance vient de la RÉSISTANCE (Shaïtan ou Shah-Tan) d’une partie programmée de l’homme aux propositions de Vie du Divin en lui. »

 

 

 

limitations humainesAutrement dit, ceux qui croient que Dieu est responsable de leurs souffrances se trompent tout simplement d’Adversaire ! Par contre, ce qu’ils voient, sentent et déduisent est bien réel : il existe en eux un véritable espèce de (censuré) qui les prive de tout depuis toujours et qui se prend pour le Maître du Monde. C’est LUI (l’ego) que les gens veulent fuir en fuyant les Maîtres.

 

 

 

 

Serge Baccino

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