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Le grand et le petit soleil

ManipuraVoici une connaissance qui n’est pas très répandue dans le public et que je vous présente avec plaisir, cela parce qu’il est juste que vous le lisiez ou l’entendiez au moins une fois…Vous en ferez ensuite ce que bon vous semble, en toute liberté. Le Chakra N° 3, en montant, est nommé « Manipura », c’est-à-dire « le Gemme Flamboyant », en sanskrit. En français, il est nommé « Centre Solaire. »

Ce Chakra fut, jadis, le Centre psychique de référence de la Race Atlante, la quatrième, dont la mission était de produire une conscience humaine sensible et intelligente. Les Atlantes non-initiés pensaient et ressentaient avec leur Centre Solaire et ce dernier, durant les quatre périodes de l’Atlantide qui couvrirent plusieurs milliers d’années, reçut une telle attention et donc, une telle stimulation, qu’il devint par la suite le Centre exclusif de conscience vivante et sensible de la plupart des êtres humains, atlantes ou non.

 

 

 

dragonCe Centre est aussi celui de l’intellect (le fameux Dragon de l’Apocalypse) et c’est également par le Chakra Manipura ou « petit soleil » que l’être humain, actuellement encore, est relié à une chose redoutable qui se trouve dans cette mer énergétique qu’est l’inconscient collectif humain.

Cet inconscient collectif était jadis appelé « Les Grandes Eaux » et une prophétie (qui inspira l’Apocalypse bien plus tard) disait quelque chose comme ceci :

« Des Grandes eaux, issue du Dragon, sortira une Bête Immonde qui adombrera et mènera à leur perte tous les humains du [branchés au] Rayon Horizontal… »

 

 

 

Louis XIVLe désir de tout gérer, maîtriser et planifier, suractive énormément le Chakra Manipura et polarise la conscience individuelle dans ce Foyer énergétique de conscience. A la vue spirituelle (et non pas psychique, merci de noter la différence) le Chakra Manipura des gens qui sont encore sous la tutelle tyrannique du Régent de ce Monde (voir plus loin à son sujet), apparait comme une sorte de corole ouverte (ou offerte) orientée ou dirigée fermement vers l’avant, c’est-à-dire sur une ligne horizontale.

 

 

 

Manipura-ChakraOr, cette horizontalité permet au Chakra Manipura de « capter » la fréquence particulière de celui qu’on appelle « Le Grand Deva » ou encore « Le Faux-Dieu » ou encore « le petit soleil » ou, plus ésotériquement, « Le Régent de ce Monde. »

Ce fameux « Régent » est en fait un immense égrégore collectif qui est plus connu, à notre époque, sous le nom apparemment peu menaçant et « connu » d’ego. En fait, personne ne possède un ego individuel; les êtres humains sont tous branchés,  peu ou prou, à une onde mentale d’une certaine longueur, captée (ou non) par le troisième Chakra (Manipura/Solaire.)

Tous ceux qui ont encore un « Océan du vide » (voir par exemple les écrits de Shri Mataji dans le Sahaja Yoga, à ce sujet) et donc un Chakra Solaire orienté vers l’horizontal ET NON VERS LA VERTICALE DU CORPS, son branchés sur l’ego planétaire et reçoivent leurs directives d’un faux dieu Collégial.

 

 

 

manipura-02Il est intéressant de noter que le Chakra Manipura est dit posséder huit « pétales », c’est à dire huit formes différentes de rayonnement. Cette « qualité » fait de ce Centre psychique le premier Foyer de conscience complet qui se suffit à lui-même et qui peut être développé presque sans limite. De fait, des personnes très instruites, qui semblent maîtriser correctement leur vie et qui se sentent « connectées au divin », peuvent très bien n’être en fait que les infortunées victimes inconscientes du «faux dieu», c’est-à-dire de l’ego. Non pas de « leur » ego personnel et spécifique, mais de cet ego collectif qui, en effet, peut très bien se faire passer pour un dieu, tant sont grands ses pouvoirs et ses connaissances (qu’il tire d’ailleurs des humains qui lui vouent un culte, sans même le réaliser et depuis des millénaires.)

 

 

 

Chakra00Le fait que la partie qui couvre la région du plexus solaire soit appelée « l’Océan d’Illusion » ou « Royaume de Maya » (son mari étant « Mara » le Divin Architecte auquel se réfère le Bouddha) démontre que cette zone est le siège d’un puissant secret. Elle est en fait le siège d’un « endormeur de première », d’un puissant gourou dont la plus grande force consiste à faire croire en la liberté totale de tous ceux qu’il contrôle sans aucune pitié. D’ailleurs, ne dit-on pas que la plus grande victoire du Diable consiste à nous faire croire qu’il n’existe pas ?

 

 

 

Il y a un « trou » énergétique dans le conduit naturel du Canal Central « Sushumna », ce Nadi vertical qui relie notre structure corporelle (le premier chakra, tout en bas) à la pure conscience d’Être (Chakra 7 et +) Du fait de ce trou éthérique, de ce « bout de tuyau qui manque », si je puis dire, l’être humain est coupé du Divin, du vrai Dieu, c’est à dire du Grand Soleil. Il est donc obligé de s’approvisionner en énergie autrement et… Autre part ! Alors, le Chakra Manipura est orienté vers le dehors et vers les autres, c’est à dire dans le sens horizontal, là où se trouve de l’énergie qu’il faudra désormais voler à ceux qui la vole aux autres ou, mieux encore, qui la produisent pour eux-mêmes.

 

 

 

spirale blancheVoilà donc ce qui permet aux Grands Maîtres et aux Maîtres de savoir instantanément qui est « illuminé » -ne serait-ce qu’un peu- ou non et, surtout, qui VEUT VRAIMENT l’être ou pas, à savoir qui présente un Chakra « carnivore » et désireux de bouffer autrui, ou qui est prêt à quelques sacrifices d’orgueil pour devenir capable de se connecter de nouveau à la Source Divine et à tourner sa face en direction du Vrai Soleil. Un Soleil qui, d’ailleurs, Brille en nous et tout autour de nous.

Nota : c’est pour cette raison qu’il est dit que « ne plus manger de viande animale » n’est pas suffisant pour faire d’un être qui se veut « spirituel », un véritable végétarien ! Il faut encore qu’il cesse de « bouffer » les autres, à savoir, de leur piquer de l’énergie, même sans le réaliser.

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Aimez-vous Dieu ?

vnz4xri9Voici une bien étonnante question, non ?
« Aimez-vous Dieu ? »
Certains répondront par l’affirmative et sans réfléchir, plus par réflexe que par véritable conviction. Ne pas aimer Dieu, est-ce une chose à révéler en public ? Est-ce une chose acceptable lorsqu’on se dit ésotéristes, spiritualiste  voire initié aux choses de l’esprit ? Alors la plupart d’entre nous répondront : «Évidemment que j’aime Dieu, la bonne blague !» Ah ? Est-ce une chose si évidente que cela ou qui tombe sous le sens ? En quoi est-il «évident» d’aimer Dieu, si on y croit ? Et c’est qui ou bien c’est quoi, Dieu, d’abord ? Peut-on aimer une chose sans la connaître vraiment ? Ou est-ce l’amour qui apporte la véritable compréhension ?

« Tout est fait d’esprit et l’esprit est Dieu. »

Vous connaissez cette Loi Ontologique ? Elle est tirée, entre autre, de la Bible originelle mais se trouvait auparavant dans des textes bien plus anciens, dont les Shiva Sutra, par exemple. Si vous connaissez cette Loi donc, vous auriez tout intérêt à aimer Dieu, n’est-ce pas, attendu que vous êtes fait de Lui ! Ne pas aimer Dieu en étant fait d’esprit, reviendrait à ne pas s’aimer soi-même !

 

 

RayonantEt ne pas s’aimer soi-même reviendrait non seulement à ne pas aimer Dieu mais, de plus, à n’aimer personne d’autres dans tout l’univers ! (Partant de la prémisse que Tout est fait de Lui et que Tous sont fait de Lui, n’est-ce pas ^^) Alors, aimez-vous Dieu ? Connaissez-vous une question plus redoutable que celle-là, une fois que l’on a conscience de ses incroyables implications ? Est-il important d’aimer Dieu «en tant que Dieu», c’est-à-dire en tant que Créateur Suprême de Toutes Choses ? Non, certainement pas ! Cela vous semble-t-il paradoxal ? Cela ne l’est pas, vous allez pouvoir le constater…  Smile

 

 

Imaginons qu’une seule fois dans votre vie, vous soyez touché profondément par la Grâce… Par quelque chose de Beau, de Grand, de Noble, de fascinant. Imaginez que vous ressentiez alors un profond sentiment de respect se muant rapidement en un débordement que l’on puisse qualifier d’amour

Attention : Vous venez d’aimer quelque chose ou quelqu’un !…

 

 

 

esoterikosEn réalité, vous venez d’accomplir, sans le réaliser, un véritable Miracle : vous venez d’aimer Dieu, de le faire Grandir dans votre cœur et donc, de lui donner plus de place encore dans l’univers ! Dans cet univers qui est en vous, au cœur de vous. Vous venez de vous aimer vous-mêmes et d’aimer toutes choses dans l’univers, car l’amour qui est ressenti par la plus petite particule d’esprit, est ressenti par Tout, par Tous et par Dieu en son Entièreté.

Chaque fois que vous ressentez de l’amour, vous faites Grandir l’esprit et vous «Respiritualisez la matière.»

 

 

ClairaudienceCar l’amour est une force qui élève énormément la fréquence vibratoire des particules qui composent toutes choses : l’esprit. Et en élevant la fréquence de l’esprit, vous faites de nouveau évoluer Dieu vers son propre Dieu à Lui. Vous donner à l’esprit la FORCE de redevenir l’Esprit, c’est-à-dire la Conscience de « Qui-il-Est-vraiment. »

 

 

 

 

Christ+cosmiqueAimez-vous Dieu ? Toute personne qui vous permet de ressentir de l’amour est PRÉCIEUSE pour l’univers, comprenez-vous ces mots d’une puissance évocatrice démesurée ? Chaque fois que vous aimez, vous faites Grandir Dieu ! Souvenez-vous éternellement de cette révélation ! Toute personne qui vous aime vous, fait de vous une personne très PRÉCIEUSE pour l’univers ! En produisant de l’amour -en se servant de vous comme support- cette personne aime Dieu, vous aime, s’aime et aime toutes choses dans l’univers.

Et cette personne fait Grandir Dieu.

 

 

 

dans le coeurVeillez sur ceux qui vous font ressentir de l’amour comme vous veilleriez sur une montagne de pierres précieuses, car en vérité, ces personnes sont comme des Diamants purs pour l’Univers ! Veillez sur vous-mêmes si vous permettez à d’autres de ressentir de l’amour pour vous, car en vérité, même une montagne de pierres précieuses serait peu de chose à comparaison de votre valeur ! Vous voici devenus producteurs conscients d’énergie spirituelle ! Aimez-vous ce que vous êtes ? Vous êtes l’esprit et l’esprit est Dieu. Car…

« Dieu réside en vous en tant que vous. »

[Shiva Sutra, 4000 ans avant J.-C.]

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Demeurer sur sa propre planète

le corbeauComme vous le savez, il existe, sur le Net, certaines «informations» qui tendent à produire des vagues de peurs et pousser les gens à entretenir des pensées très négatives et porteuses de souffrances. Les médias, friands de nouvelles à sensations fortes, se font une joie de répandre des informations dont ils ne prennent même plus la peine de vérifier les sources, tant leur besoin de surprendre le public et de battre de vitesse leurs concurrents directs est grand.

 

 

En fait, nous sommes à une époque où peu importe la nature et l’origine de l’information, l’essentiel étant qu’elle puisse se vendre. Et vous savez aussi bien que moi que les nouvelles positives n’intéressent pas le Français moyen.

Si nos journaux s’amusaient à nous vendre du positif, du gaie et du bucolique, plus personne n’achèterait son canard quotidien ou n’allumerait son poste de télévision aux alentours de midi/une heure.

 

 

Que faire ou, du moins, comment réagir face à cette déferlante de négativité, à ces vagues de peur savamment entretenues par ceux et celles qui vivent de leur existence ? Devons-nous sous prétexte de «positiver», fermer les yeux face aux médiocrités humaines qui existent à notre insu ou, au contraire, devons-nous devenir passionnés par tout ce qui est dangereux et négatif, ceci, afin de nous défendre, le cas échéant ?

 

« Les corbeaux du Net » (comme je les nomme) sont passés maître dans l’art de faire circuler des informations capables de vous glacer rien qu’en les lisant. Certes, tout n’est pas harmonieux et sain, dans le monde ou même en nos propres cœurs, mais tout n’est pas non plus aussi définitivement morbide que ce que l’on essaye de nous le faire croire.

 
Voici comment un psychologue ésotériste voit la chose…
Imaginons que vous rentriez chez vous et que vous réalisiez que votre chat a renversé un pot de fleurs, dont la terre encore humide de l’arrosage du matin, souille désormais votre beau tapis Persan (et non percé) Qu’allez-vous faire dès lors ? Vous avez plusieurs solutions, de la plus exubérante à la plus sobre.

 

1. Vous pouvez par exemple vous mettre à hurler, vous emparer d’un robot Moulinex avec la ferme intention de mixer votre… [ici censuré] de chat de [censuré] ! (lol)

2. Vous pouvez courir chez votre voisine en hurlant « Retenez-moi ! Retenez-moi ou je trucide mon chat ! »
Et ameuter ainsi tout le quartier.

3. Vous pouvez pousser un cri, prendre votre chat, lui mettre le museau dans la terre qui souille le tapis Persan non percé, puis lui administrer une raclée afin de lui apprendre à vivre.

4. Vous pouvez vous mettre les mains sur la tête et allez prendre une douche pour vous déstresser, tout en vous demandant pourquoi Dieu vous en veut ainsi à vous et en particulier.

5. Vous pouvez pousser un soupir, prendre votre chat, lui faire un rapide câlin puis vous permettre un léger soupir avant de vous mettre courageusement à nettoyer votre tapis.

 

 

Quelle option choisissez-vous ? Vous êtes libre, c’est à dire capable de changer non pas « le Monde » (ce qui est un brin prétentieux) mais bien votre monde, c’est à dire la petite planète perso sur laquelle vous vivez et sur laquelle repose l’ensemble de vos processus mentaux.
Je pense qu’il en va de même avec toutes ces « informations » qui ressemblent plus à des scenarii catastrophes qu’à une véritable actualité.

 
L’idée est de noter sobrement ce qui est proposé, d’ouvrir l’œil pour voir si votre action peut être souhaitée et efficace à long terme, puis passer à autre chose.
A moins que quelque chose en vous ait un besoin viscéral de se plaindre, d’avoir peur et de dépendre -pour être spirituel et le demeurer- de quelque chose d’extérieur ?
A méditer. Si on souhaite demeurer Authentique et Vrai.

 

Serge

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Hier chez les Atlans

Nota : Ce dossier présente une série de textes qui, à l’origine, n’étaient prévus que pour les membres du forum d’une association culturelle présidée par mon épouse, Lætitia. Avec le temps, il apparaît comme évident que son contenu pourrait, peu ou prou, intéresser aussi certaines personnes complètement étrangères à cette association ainsi qu’à son esprit. C‘est en ce sens que cette série de texte rassemblée et présentée sous la forme compacte d’un dossier est portée à la connaissance du public. Le fait que ces textes soient prévus pour un public restreint et, en particulier, pour des personnes qui se connaissent personnellement et physiquement, explique le ton badin voire carrément décontracté employé ici. J’ai préféré courir le risque d’un peu choquer le lecteur par trop conservateur plutôt que d’en remanier la forme ainsi que la texture. A chacun de réagir selon ses propres limites et, pourquoi pas, d’en tirer des conclusions personnelles qui s’imposent !


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Comme je le présentais déjà, il y a quelques années en arrière à quelques uns qui me connaissent depuis longtemps, en Atlantide, il n’y avait pas deux clans ou deux factions, au moment de sa chute, mais bien trois. D’ailleurs, il est IMPOSSIBLE à l’homme d’être soit tout blanc, soit tout noir, et l’idée même qu’il puissent y avoir « des gentils » et des « gros vilains » en place, à l’époque de la chute, démontre le côté naïf voire pudique de certains visionnaires qui décidèrent à un moment de notre histoire, de nous livrer un pan ou un autre de l’épopée Atlante. Sachez que nous nous retrouvons de nouveau dans la même « atmosphère psychologique » que du temps de l’Atlantide et que presque tous les acteurs de ces temps jadis sont désormais incarnés et… en place (connus du public, actifs, même si certains sont encore jeunes.)

Bien sur, les conditions sociales et technologiques sont un peu différentes; les divers gouvernements ont largement abusé de leur influence sur la masse et qu’ils ont fait en sorte que, d’un point de vue technologique et social, nous soyons un peu en retard. Mais aucun gouvernement, occulte ou déclaré, n’avait le pouvoir d’empêcher qu’une chose se produise à l’instant « T » : c’est le climat psychologique (comment se sentent les gens, leurs réactions et leur état d’esprit général.) Le vrai pouvoir est de nature psychologique et, cette fois ci, il n’a pas été laissé entre les mains inexpérimentées des hommes mais entre celles de leurs Frères Ainés.

Or donc, en Atlantide, et dans la quatrième période, il se forma des factions, c’est à dire que le peuple pris comme un tout et jusque là soudé, se divisa progressivement en plusieurs factions ennemies ou, pour le moins, qui ne se côtoyaient guère et si ce n’est avec la plus grande prudence. Il n’était alors plus question de « bas peuple », de magistrature, de science, de religion et de noblesse (comme se fut le cas à un moment) mais bien de « fidèles à la Loi » « d’enfants rebelles » « de frères du loup », etc. Je sais bien que certains ont écrit sur ce sujet, qu’ils ont proposé des noms tels que « Fils de la Loi de Un » et « Enfants de Bélial », par exemple. Mais il n’y avait PAS seulement deux factions mais TROIS et, en fait, il y en avait bien plus que cela, car chacun des trois camps principaux, se scindaient eux-mêmes en plusieurs sous-camps. Peu d’âmes étaient alors capables de se montrer soudées et honnêtes, même envers leur propre groupe (on retrouve cela à notre époque, ouvrez bien les n’oeils !)

J’ai proposé moi-même, il y a de nombreuses années, des appellations un peu différentes, non pas parce que j’adore faire du zèle mais parce que j’adore rattacher les mots au pouvoir (Matrika Shakti) qui les a fait naître. Ainsi, comme les Atlantes adorèrent « Adon-Inca » (le Seigneur Incréé) à une époque, au lieu de « Fils de la Loi de Un », je préfère dire quand à moi « Fils d’Adon-Inca » et au lieu de « Enfants de Bélial », je préfère proposer « Enfant de Belzatl » qui signifie en atlante « qui demeure fidèle aux mouvances de ses émotions » (la racine « Atl« , en Atlante, a le même sens qu’en Quiché (Maya) et en Berbère (Arabe), c’est à dire « Eau » et « Belz » = « remuer, foncer, mouvances désordonnées », etc. en Atlante) Donc, parmi les Fils d’Adon-Inca, il y avait déjà plusieurs factions car même les plus brillantes particules qui forment la Lumière ne sont pas toujours d’accord entre elles, quant à savoir quand il faut briller, combien de temps et… Avec qui, surtout ! Sans rentrer dans des détails politico-religieux, disons que les uns affirmaient péremptoirement qu’il fallait aider les plus c… euh… les moins évolués (lol) tandis que les autres étaient persuadés que d’instruire les cons, ça les rend plus cons encore !

L’idée n’est pas de savoir qui avait tort ou raison, qui était un enc… euh.. un radin et qui était dégoulinant d’amour jusque dans son slip. L’idée qui nous intéresse ici, d’un point de vue psychologique, c’est que même les Maîtres de l’époque et à ce moment de l’histoire de l’humanité, n’étaient pas d’accord entre eux. Ils ne se disputaient pas, certes, mais leurs avis divergeaient parfois énormément, ce qui pourra déjà surprendre et en faire réfléchir quelques-uns. Suite dans un autre post, pour ne pas alourdir, mais j’attends d’abord vos réactions avant d’écrire la suite car, croyez-moi, ce sujet est TRÈS lourd de réflexion et de découvertes étonnantes sur soi-même !
(Pour le voisin, on verra plus tard, hein !)

 

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Or donc, en Atlantide, dans la quatrième et dernière période, il y avait plusieurs factions qui se disputaient plus ou moins le droit de gérer certains conflits internes. A notre époque, nous parlerions presque de « guerre civile », mais il ne s’agissait pas vraiment d’une guerre dans le sens où nous l’entendons de nos jours mais plutôt d’un climat tendu. Depuis de nombreuses années, les Maîtres n’avaient plus qu’un pouvoir purement consultatif, au niveau des trois grands blocs qui se partageaient un « pouvoir » plus illusoire que réel : le Royaume, l’Armée et le Commerce (en fait, l’industrie de la mer.) Le Royaume était constitué du premier Atlan (Roi) et de tous les membres de la Cour Royale. Le Royaume était un peu comparable à la royauté en Angleterre : ce n’était pas une monarchie à proprement parler, mais plutôt une forme de tradition conservée plus par habitude que par réelle nécessité ou envie.

Le Roi était bien plus respecté que aimé, certes, mais de toutes façons, il ne s’occupait guère de gérer les affaires du royaume. Pour cela, il y avait une sorte de Haut Conseil formé de douze personnes, chacune à la tête d’une sorte de ministère formé de douze autres personnes (ce qui faisait 144 personnes, notez le nombre.) Le Haut Conseil n’était pas vraiment formé de « ministres » mais de sortes de personnages qui étonneraient, de nos jours, car ils étaient à la fois prêtres, scientifiques, médecins et avocats ! Le mode de fonctionnement de ce Conseil de sages (qui ne l’étaient plus guère), posait plus de problèmes qu’il n’apportait de solutions, car pour qu’une décision soit prise, il fallait qu’une cellule de douze ministres étudient un problème puis donne le résultat de son travail d’équipe à un membre du Haut Conseil. Ce dernier soumettait alors le fruit du labeur de ses ministres et le tout était soumis à vote, par exemple les soirs où la lune était « vide »

Inutile de dire que cette tentative de démocratisation du pouvoir par des représentants du peuple, paralysait la bonne marche du royaume, car il fallait parfois des mois pour que les hiérarques du haut Conseil réussissent à tomber d’accord. Et pour qu’une solution soit retenue, il fallait un vote… à l’unanimité, ce qui n’était presque jamais le cas ! Ensuite venait les pontes du Commerce et de l’industrie de la mer qui, selon certaines mauvaises langues, détenaient le véritable pouvoir temporel, cela grâce à une alliance officieuse (mais avérée) avec l’Armée. Les personnes qui siégeaient au Commerce avaient surtout à cœur non pas de faire prospérer le royaume mais surtout, de faire prospérer leurs propres bourses et assoir chaque jour un peu plus leur pouvoir temporel.
Il est vrai qu’en ce temps reculé, maîtriser l’industrie de la mer revenait à avoir la main-mise sur le monde et tous ceux qui l’habitent.

Ensuite venait l’Armée et, ma foi, il me semble inutile d’expliquer à quoi sert une armée et comment elle fonctionne, puisque cela n’a pas varié depuis des millénaires. Sauf que cette armée là n’était plus occupée à se battre mais à faire carrière dans la politique et à fomenter intrigues et complots en tous genres.
L’armée n’était pas sous le contrôle du Royaume (le premier Atlan ou Roi) mais sous celui de quelques membres du Haut Conseil qui, depuis belle lurette, avaient pris l’habitude de se passer du suffrage universel pour prendre quelques viriles décisions, s’imposant pour conserver le pouvoir et s’enrichir un peu plus, et ce, en bonne intelligence avec le Commerce et l’Industrie de la mer. C’est pour un peu vous camper le décors que je vous raconte ces choses qui, bien que secondaires, permettent de se faire une petite idée du climat quelques temps avant la chute. Et les Maîtres, dans tout cela ?

Un des ministères du Haut Conseil avait pour charge d’encourager la recherche dans tous les domaines, y compris ceux que nous qualifierions, aujourd’hui, de « cosmo-physique » (je ne trouve pas d’autres termes modernes, désolé.)
Les Atlantes étaient très avancés en matière de « philosophie cosmique » et c’est depuis belle lurette que les religions, telles que nous les concevons encore de nos jours, avaient été supprimées au profit d’une sorte de mélange entre l’astrophysique et le mysticisme. (à ce titre, Hubert Reeves n’est pas un précurseur mais quelqu’un qui perpétue une très ancienne tendance, sans même s’en douter !) Cette « cosmo-physique », alliant recherche spirituelle et maîtrise des lois universelles, commençait à prendre une tournure qui laissait dubitatifs les Maîtres de l’époque. En effet, tandis que ces derniers recommandaient un développement moral et psychologique devant aller de pair avec une augmentation du pouvoir personnel (psychique et mental), certains « avant-gardistes » affirmaient haut et fort que « la prise de conscience de certaines valeurs vient du pouvoir, et non l’inverse. »

En clair, tandis que les Maîtres recommandaient à leurs contemporains de muscler leur âme au lieu de briguer le pouvoir spirituel et temporel, d’autres commençaient à émettre l’idée qu’après les diverses religions et philosophies, il était sans doute temps de mettre au placard l’enseignement des « Frères du Silence », comme on appelait alors les Maîtres. Enseignement qui était jugé par beaucoup comme étant rétrograde et indigne d’une personne libre et consciente de sa valeur.

C’est à ce moment que se détachèrent les deux factions qui ont été retenues par l’histoire ésotérique, à savoir celles des « Fils d’Adon-Inca » et des « Enfants de Belzatl. » C’est du moins l’appellation retenue par les psy éso et qui est non officielle. D’autres préfèreront dire « Fils de la Loi de Un » et « Enfants de Bélial ».

L’enseignement des Frères du Silence dispensé depuis des générations avec largesse, était pour ainsi dire tombé dans le domaine public. Imaginez que l’on enseigne l’ésotérisme aux enfants, à l’école et ce, dès les classes préparatoires, par exemple. Toutefois, les Frères conservaient encore quelques menus secrets ésotériques qu’ils réservaient prudemment à leur élèves les plus sincères et zélés. Voilà qui n’était pas du gout des Enfants de Belzatl qui trouvaient injuste de devoir travailler dur sur eux-mêmes afin de se développer psychiquement, alors qu’il était clair qu’il était possible de gagner plusieurs années de labeur, simplement en connaissant certains secrets réservés à ceux qui étaient considérés comme « les larbins des Maîtres. »

Cet état d’esprit marqua très fortement l’inconscient collectif, cela au point que des milliers d’années plus tard, on le retrouve encore et largement répandu. En résumé, il consiste à désirer obtenir sans effort la même chose que possèdent ceux qui ont bossé dur pour l’obtenir, et si cela n’est pas possible, de priver ceux qui détiennent cette chose, pour les remettre au même niveau que ceux qui ne possèdent pas encore…. Vous reconnaissez quelques proches et « amis » ? (lol)

 

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La connaissance qui était diffusée depuis des siècles dans les universités atlantes était d’assez haut niveau, sans toutefois excéder un certain niveau de sécurité qui était imposé par les Grands Maîtres, non incarnés à cette époque, mais en contact télépathique quasi permanent avec les Maîtres. La Loi Atlante laissait beaucoup de liberté à tout le monde, même à ceux qui ne faisaient que des conneries avec cette même liberté. L’idée était que personne ne peut devenir responsable de sa vie et de sa relation à autrui s’il existe trop d’instances, au-dessus de lui, pour régenter cette vie et ces relations à autrui.

J’ai dis que la connaissance initiatique avait atteint un très bon niveau, mais les Maîtres se réservaient le droit d’offrir à qui ils jugeaient bon, un enseignement plus « pointu » encore… Dans celui-ci, il était offert aux élèves les plus responsables et avancés, l’occasion de tester directement et « en live » quelques-uns des hauts pouvoirs spirituels ou « psychiques. » Les Maîtres décidaient de qui était prêt ou non en fonction du degré d’écoute, de responsabilité et, surtout, du travail effectué sur soi pour progresser. A un moment, les Maîtres eurent l’occasion unique de démontrer, d’une manière à la fois pratique et magistrale, le pouvoir de l’esprit sur la matière, la nature et les éléments… (Chose qui était théoriquement présenté aux élèves des universités, en même temps que les études d’ingénierie, de physique, de sociologie et d’industrie.)

Un des volcans d’une des sept iles se remit brusquement en éruption et menaçait de détruire des milliers d’habitations et de tuer toute forme de vie marine sur deux kilomètres de côte à la ronde… Les Maîtres demandèrent à la population de la capitale (Atlxanti) de se rassembler aux pieds de ce qui est l’actuel « Mont Pico » (archipel des Açores), c’est à dire sur la Grand Place ou trônait, voici plusieurs centaines d’années plus tôt, le Grand Temple de M… et son fameux Autel sacré sur lequel brulait une Flamme sans chaleur, à présent retirée par les Grands Hiérophante, quatre cents ans plus tôt, à la suite de la destruction du Temple et du meurtre de l’un des derniers Incala (Grand-Prêtre) vraiment initiés. (Nous aurons à en reparler une autre fois, les Atlantes n’en étaient pas à une connerie près ! )

Donc, une fois la populace rassemblée là (et non avertie de ce qu’on attendait d’elle), les Maîtres demandèrent à quelques-uns de leurs meilleurs disciples, de bien vouloir s’assoir, de se bander les yeux et les oreilles afin de mieux pouvoir se concentrer, puis de visualiser l’intérieur du Volcan et de demander à l’esprit qui compose la matière de bien vouloir cesser ces enfantillages (lol) et de tout remettre en ordre comme au départ. Les Maîtres précisèrent qu’ils avaient le plein accord des Grands Hiérophantes (ceux que nous appelons « Grands Maîtres »), ce dont la foule se foutait pas mal, vu que la plupart des Atlantes n’avaient plus aucune idée de ce que pouvaient être ces fameux « Hiérophantes » ou même quel était leur rôle exact (ou s’ils existaient seulement ! ) En réalité, les gens avaient surtout du mal à comprendre qui étaient les Maîtres, ce qu’ils foutaient là et pourquoi ils avaient tant d’idées à la con, impossibles à incarner lorsqu’on est un homme digne de ce nom…

Donc, les Maîtres réclamèrent le silence, et quelques Ministres du Commerce et de l’Industrie firent des signes discrets à la foule qui décida de tenir compte de « l’intérêt du pouvoir en place » à la simple présence intrigante de ces fameux Maîtres… Aussitôt, l’atmosphère changea et devint différente, comme alourdie.
Les oiseaux cessèrent de chanter, les animaux se tinrent immobiles et quelques chiens pourtant joueurs se mirent même à trembler sur place en gémissant doucement. La foule senti que quelque chose se passait de pas commun et prêta alors plus attention au petit manège des 23 individus assis apparemment comme des cons sur la mosaïque artistiquement posée de la Grand Place.

Un des Maîtres demanda si quelques-uns ne ressentaient pas une pression inhabituelle au niveau des oreilles ou au sommet du crâne, ce à quoi plusieurs parmi la foule répondirent discrètement par l’affirmative. Puis un des disciples ôta son bandeau, se dressa souplement, ses 22 autres collègues en firent de même et tous se dispersèrent dans la foule sans émettre le moindre commentaire ni faire le moindre signe à leurs compagnons. Le lendemain, la Citée d’Atlxanti fut informée que l’activité du volcan avait brusquement cessée, à des dizaines de kilomètres de là, et que plus aucune secousse, plus aucune fumée ne s’était manifestée depuis plusieurs heures… Cette nouvelle eut l’effet d’un coup de tonnerre. Il est clair, vu depuis notre époque, que l’effet obtenu alors fut bien plus étendu (et inattendu) que ce que les plus expérimentés et intelligents des Maîtres n’avaient pu le prévoir !

Quelques figures représentatives du peuple demandèrent qu’une cellule d’inspection soit rapidement formée pour définir le pouvoir exact que les Maitres avaient à leur disposition et, surtout, pour savoir dans quelle mesure certaines connaissances pourraient être conservées secrètes pour les yeux et les oreilles du commun, alors qu’apparemment, certains proches de ces Maîtres y avaient un droit de regard…

 

 

Ceux de l’Industrie et du Commerce avaient déjà et en quelque sorte le pouvoir, d’un point de vue social, mais ce pouvoir là n’était pas vraiment affirmé ni même ouvertement déclaré. En fait, les Notables du Conseil auraient bien voulu se débarrasser à la fois et du Roi, et du Collège des Maîtres.
L’armée ne posait pas de problème car, de toutes façon, les Atlantes étaient devenus un peu comme les Romains : décadents, gras du dedans et vivant sur le compte de leur réputation sans plus chercher à en démontrer le bien fondé.
L’armée était surtout une armée d’incapables qui ne pensait qu’à s’enrichir, se goinfrer, trousser de la gueuse et, surtout, faire une carrière politique rondement menée… Bref, vous voyez le tableau.

Bien sur, les Notables ne pouvaient pas directement s’attaquer au Roi et encore moins aux Maîtres, mais ils savaient que personne n’est immortel et inattaquable, que chacun possède des faiblesses et qu’il vient toujours un temps où il devient possible de renverser même les plus hautes montagnes.
(Notez bien cette phrase, elle résonne encore dans l’éther de la planète, douze mille années plus tard, je l’ai juste marquée en Français.)

Les Notables du Conseil étaient à la fois patients, raisonnables et à l’affût de la moindre occasion de se débarrasser, peu ou prou, de ces deux empêcheur de régner en rond qu’étaient « le Royaume » et ce que nous pourrions nommer « le Magistère » (le Collège des Maîtres dirigé par l’Incala.) Ce manège dura une soixantaine d’années, environ, et à l’époque qui nous intéresse ici, il n’y avait plus beaucoup de Maîtres en Atlantide (300, peut-être) et l’Incala savait qu’il serait le dernier de sa longue lignée.

Le Roi (qui portait un nom imprononçable pour nous, on va donc éviter de l’écrire !) était lui-même un « Frère du Silence », c’est à dire un de ces Maîtres qui, déçus par le manque de probité morale de leurs semblables, avaient décidé de ne plus instruire personne et de cacher son savoir et ses capacités hors du commun. (Ici, le mot « silence » signifie « cacher, ne plus révéler. ») Le Roi savait très bien ce qu’il se passait car il lisait dans le cœur de tous ses frères atlantes aussi bien que nous lorsque nous lisons la marque de la bière que nous buvons.
Mais son appartenance au Collège d’Adon-Inca, ainsi qu’à un autre beaucoup plus ancien et infiniment plus précieux à son cœur, lui interdisait d’intervenir dans les affaires de ses semblables.

Car il faut comprendre certaines choses pour être à même de juger sainement des actes et des non-actes des Maîtres du passé… Et nous allons devoir nous arrêter un moment sur ce sujet avant de pouvoir aller plus loin, car sinon, vous ne pourrez pas comprendre correctement la suite… D’ailleurs, même de véritables ésotéristes n’ont toujours pas compris, de nos jours, pourquoi certaines choses ont pu arriver malgré la présence lénifiante d’individus qui étaient capables de changer la face du monde s’ils l’avaient désiré…

 

Développement :

 

Au sujet du nom « Adon-Inca »… Cette racine « Inca » signifie à peu près « Incréé ». Un peu d’histoire politico-religieuse, même si je ne l’avais pas prévu dans ce topic ! Les Atlantes savaient depuis belle lurette et quasiment dès l’école préparatoire (ou assimilée de l’époque) qu’il n’existe pas de « Dieu » tels que certains cornichons modernes le supposent encore. Cela était si évident, pour les Atlans, que l’idée même de disserter sur le sujet, même par plaisir, aurait parut immédiatement suspecte. L’homme et la femme « moyens » savaient que « seul existe l’esprit » et que ce dernier est au service de la conscience individuelle, même si, fait amusant, c’est l’esprit qui, « dans son mouvement et dans son progrès éternel », donne vie, force et durée à toutes les individualités conscientes. Toutes naissent de l’esprit, aucune ne peut disparaître ensuite, et, bien évidemment, tous les êtres n’ont pas le même « âge », si on peut présenter l’enfant ainsi…

Donc, l’esprit était considéré comme une incroyable machine à engendrer la conscience d’être et d’exister. Mais tous savaient que « l’esprit ne veut rien et ne poursuit d’autre but que celui de bouger, de remuer sans cesse dans l’espoir de créer de nouvelles formes, de plus en plus complexes et capables, tôt ou tard, de manifester la conscience potentielle contenu dans l’esprit depuis toujours et à jamais. » Partant d’une telle prémisse, on peut facilement imaginer les innombrables débordements qui peuvent naître de cette prise de conscience que « rien n’est au-dessus de celui qui est conscient de sa propre divinité et de sa liberté sans limite »…

Comme la religion « n’accrochait » pas, chez les Atlans, cela à cause de leur culture et de leur degré d’intelligence (pour l’époque), il fallait bien créer des garde-fous afin que nul n’ait l’idée de prendre la place d’un Bon Dieu puisque cette dernière était apparemment vacante ! (En clair : pas de lois, pas de règles = c’est le bordel ! ) Pour notre mentalité actuelle, il est difficile d’imaginer ce qu’étaient les premiers « sages » qui eurent le rôle de Médiateurs entre le pouvoir illimité de l’esprit en chaque être, et sa propre capacité à l’assumer sans péter un câble ou sans se transformer en tyran spirituel absolu…

Imaginez des hommes et des femmes qui seraient à la fois des scientifiques, des médecins, des prêtres et des légistes, et vous aurez une vague idée de ce que furent les premiers Maîtres du Haut Conseil de l’Atlantide. Cette fonction quasi « sacerdotale » fut d’abord celle de vrais Maîtres qui, n’hésitons pas à l’avouer aujourd’hui, avaient surtout pour rôle de surveiller et d’intervenir sans se poser des questions existentielles, lorsqu’un individu commençait à partir en quenouille et à se prendre pour Napoléon ! Bref, les Maîtres du début ressemblaient plus à un tribunal sévère et attentif aux moindres déviations psychiques qu’à des instructeurs remplis d’amour et de compassion dégoulinante ! Ensuite, un certain équilibre fut atteint et « En Haut Lieu » on compris que de surveiller ainsi des êtres considérés comme des enfants jouant avec des mitraillettes chargées, ça n’allait pas le faire bien longtemps !

En effet, l’aventure humaine devait offrir un riche panel d’émotions, d’idées, d’actes et d’expériences vivantes en tout genre : une vraie responsabilité devait aller de pair avec un authentique liberté, fut-elle capable de raser tout un continent (sans commentaires ) en cas d’expression non contrôlée.
Il fut donc décidé de rendre « laïque » (façon de parler) le Collège de sages qui avait à charge ce qu’on pourrait considérer comme la somme de toutes les règles concernant la morale, l’éthique et l’économie de la vie. Rapidement, ce ne fut plus des Maîtres exclusivement qui siégeaient à ce Conseil, mais des hommes et des femmes « ordinaires » et pas nécessairement si initiés que cela.
Il fallait que « l’homme surveille l’homme avec le regard d’un homme et non celui d’un Dieu. » L’homme qui se dirige lui-même, se prend enfin en main et se prouve à lui-même, en son âme et conscience, qu’il est prêt ou non à se servir de toute la liberté spirituelle qui lui revient de droit…

Comment imaginer, à notre époque, que des Maîtres apparemment si intelligents et puissants, n’aient pas su, par avance, ce qui allait arriver, et comment imaginer qu’ils n’aient pas eu le pouvoir de l’empêcher ? En effet, c’est difficile de l’imaginer ! (lol) En fait, ils savaient pertinemment ce qu’il allait advenir de l’Atlantide. Et oui, ils avaient, même seulement à trois ou quatre cent, le pouvoir de tout arrêter, et même le pouvoir de transformer leurs semblables, même sans leur accord et même sans leur participation ! (ça vous la coupe, hein ?)

Les enc…. ! Me direz-vous, dans un élan viril d’émotion spontanée (lol)
C’est une façon de voir, oui Smile Pour tenter d’expliquer une chose qui ne plaira certainement pas à quelques-uns, parmi les plus émotifs (on va le dire ainsi, hein), je vais prendre l’exemple d’une mère qui adore ses deux enfants, cela au point de se soucier d’eux à chaque instant et de devancer tous leurs désirs et de faire disparaitre chaque problèmes qu’ils pourraient créer ou qu’on pourrait leur créer, cela avant même qu’ils ne soient eux-mêmes concernés par ces problèmes potentiels… Une telle mère serait assurément bénie entre toutes les femmes et considérée comme une sainte, non ? o_Ô
Pourtant son amour peut se transformer rapidement en une catastrophe pour ses deux enfants… A tel point que tous deux s’écrieront un jour et en chœur :

« Mamaaaaaaan ! Arrête de nous aider, de nous mâcher tous le travail et d’aplanir le chemin sous nos semelles, car tu es en train de faire durer, en nous, cette immaturité spirituelle et sociale propre aux enfants qui réclament, en effet, toute l’attention et la prévention d’une mère aimante ! Si tu nous aimes vraiment, lâche-nous la grappe et laisse-nous commettre nos propres erreurs, connaître nos propres réussites et, en clair, laisse-nous vivre enfin ! »

(Ils causent bien, les petiots, non ? Moi je dis… ^^)
Quand l’Âme humaine (cette conne) n’est pas occupée à vivre son incarnation, c’est à dire lorsque toute l’attention mentale individuelle n’est pas (ou plus) investie dans les choses de ce monde, elle est en contact permanent avec ceux que nous appelons les « Maîtres » et les « Grands Maîtres »… En contact même avec les Anges, Archanges et autres Principautés (Monaco mis à part, bien entendu.) Du coup, les Âmes humaines (ou Soi), c’est à dire ces anciens anges qui ont accepté de venir se fendre la poire au sein de l’aventure humaine, ont de tout temps la capacité et le pouvoir de demander de l’aide, de la refuser, de dire « oui » et de dire « non », même aux plus rutilants des Archanges de la Face. Et devinez quoi ? Les Âmes humaines demandèrent à ce que l’on arrête de les prendre pour des Tanches de la Baltique et exigèrent le droit à l’autogestion…
Évidemment, cela leur fut accordé sans problème mais toutes furent averties que, désormais, la responsabilité de la suite de l’Aventure Humaine serait sous leur seule et entière responsabilité, les Hiérarques ne demeurant là et n’étant actifs qu’à titre consultatif et, éventuellement, pour empêcher certains de faire sauter tout un quartier de l’univers en faisant mumuse avec leurs nouveaux pouvoirs ! Alors voilà pourquoi les Maîtres n’intervinrent pas (ou si peu, les coquins !) dans la suite de l’Épisode Atlante dont vous présumez la fin dernière…

Vous me direz : « Mais alors, Mec, à quoi servent les Maîtres, depuis des millénaires ? » A initier ceux qui le demandent, pardi !
Ah bon ? Voui ! (En Provençal dans le texte.) Parce que, pour être libre, il faut avoir la possibilité de refuser ou, à l’inverse, de réclamer de devenir moins con que tous les autres….

 

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Au fur et à mesure que les Membres du Conseil se transformaient plus en marchands, en politiciens véreux et en personnages plus soucieux de prestige personnel que de bien-être pour le peuple, les Maîtres se « retiraient » de plus en plus… Ils ne se retiraient pas dans le sens physique du terme, bien que comme tout un chacun, ces Maîtres devaient, tôt ou tard, passer par l’expérience inéluctable de la « transition » (décès du corps physique), mais ils se tenaient « en arrière », d’un point de vue psychologique, par rapport à la scène sociale.

Il faut se souvenir qu’il existe toujours plus haut que soi : les Maîtres comme toutes les créatures vivantes et conscientes, avaient leurs propres Instructeurs, que nous appellerions de nos jours et en Français : « Les Grands Maîtres. »
Évidemment, les rapports étroits qui unissaient, à cette époque, les Maîtres avec leurs propres Instructeurs des Consciences, étaient très différents des rapports qu’un Maître pouvait alors entretenir avec ses propres élèves ou « disciples », avancés ou non.
Tout le monde apprend, même les Dieux.

Si vous comprenez VRAIMENT ce qu’implique cette simple phrase, vous comprenez déjà beaucoup de choses, vous pouvez me croire sur parole !
Mais il faut vraiment comprendre, non pas le sens littéraire de cette phrase, mais plutôt, tout ce qu’elle implique par ailleurs… Les Grands Maîtres apprirent beaucoup du comportement des Maîtres et de leurs disciples…
Plus haut, certaines individualités que vous connaitrez lorsque vous serez prêts, apprirent également beaucoup des Grands Maîtres et de « plus bas qu’eux« …
Et encore plus haut…
Et encore plus haut…
Sans fin !

Ressentez-vous ? Ressentez-vous cet Amour inconditionnel, sans limite, proprement effarant, écrasant, monstrueux peut-être, pour nous frêles créatures de chair, qui se cache derrière… la vérité ? Si ce n’est pas encore le cas, cela ne saurait tarder.

Tout le monde sait un jour…
Tout le monde saura…
Et quand vous saurez… Eh bien ! Vous saurez, hein !

S’étant retirés, les Maîtres laissèrent donc le peuple Atlante montrer ce qu’il avait dans le ventre. Précisons, pour être honnête, que c’était la toute première fois dans l’histoire Atlante, que les Maîtres se plaçaient ainsi volontairement en recul. Personne ne les avait obligés à le faire; leur action était concertée et devait aider à la prise réelle de pouvoir de l’humanité « en cours » sur sa planète, sur son monde, sur sa fréquence propre.

Les parents doivent, tôt ou tard, agir de la sorte envers leurs propres enfants car s’ils ne le font pas, s’ils ne savent pas, le moment voulu, se placer « en arrière », alors leur progéniture n’atteindra jamais l’âge de maturité spirituelle. Seul leur corps vieillira et l’avancée en âge sera confondue avec l’avancée spirituelle. (Comme c’est encore le cas de nos jours.) Une fois les Maîtres en arrière plan, c’est à dire une fois que leur seule présence bienveillante ne pouvait même plus « faire honte » à ceux dont la pensée n’était plus orientée vers le Bon et le Bien de tous, les choses s’accélérèrent un peu…

Les membres du Conseil prirent la discrétion des Maîtres pour de la faiblesse, du découragement, ou encore pour une sorte de désintérêt pour « plus bas qu’eux » (sic) Ces gamins turbulents et attardés que furent les Atlantes de cette époque, étaient lâchés à eux-mêmes et les premiers effets de cette émancipation forcée ne se firent pas attendre…

 

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C‘est à ce moment que se manifestèrent deux groupes d’individus qui jouèrent, sans le réaliser, un rôle important dans la suite des évènements qui menèrent ce peuple à sa ruine morale, sociale et biologique. Les premiers furent plus tard nommés « les Tièdes » et formèrent cette troisième faction atlante dont personne, chroniquer ou voyant, ne semble désirer parler ou même évoquer même discrètement l’importance (on se demande pourquoi.)

Les seconds étaient les fameux « Enfants de Belzatl » qui furent rebaptisés plus tard « Enfants de Bélial » à la suite des écrits d’un très célèbre visionnaire américain (Edgard Cayce.) Il est vrai que non seulement cette seconde appellation est plus aisée à prononcer mais, de plus, elle a l’avantage de rendre compte symboliquement du principal défaut de cette faction d’excités (le bélier est présumé foncer sans réfléchir.)

Les Tièdes étaient ceux qui n’osaient pas prendre partie, se positionner ou même exprimer leur modeste avis. Non pas qu’ils n’en eurent pas mais plutôt qu’ils n’eurent jamais la force nécessaire pour s’exprimer vraiment et de leur propre chef. Par nature, le « Tiède » était faible et lâche par définition. L’idée même de prendre partie lui donnait le vertige et des nausées. De nombreux tièdes reçurent l’enseignement ésotérique de base, tel qu’il était proposé à cette époque et quelques-uns faillirent même « sortir du rang » et bénéficier d’un certain degré d’illumination spirituelle, mais aucun n’était assez ferme et ordonné d’esprit pour atteindre et connaître la véritable initiation.

Quand aux Enfants de Belzatl, leurs mots d’ordre étaient « justice et équité » et cette devise apparemment légitime cachait en fait une profonde aversion pour les initiés et une jalousie maladive au sujet de ce que ce terme évoquait comme avantages et pouvoirs personnels. En somme et pour résumer le propos, l’Enfant de Belzatl type avait des vues évidentes sur les connaissances ésotériques et les supposés avantages qu’elles impliquent, et aurait tué père et mère pour les acquérir. Bien entendu, il ne pouvait pas supporter l’idée que quelqu’un d’autre, méritant ou pas, puisse posséder des connaissances que lui n’avait pas.

D’ailleurs, que devient la notion de « mérite », c’est à dire « recevoir à la mesure de son labeur », lorsqu’il est question de justice et d’équité ? N’était-il pas légitime que tous les atlantes puissent bénéficier des secrets des Maîtres, qu’ils aient travaillé dur pour les acquérir ou non ? C’est du moins ce que pensaient les Enfants de Belzatl….

Quels pouvaient bien être ces fameux « secrets des Maîtres » ? Pour ceux qui s’en souviennent, il a été évoqué, dans un autre post, certains désordres géologiques au niveau du sol atlante. Les Maîtres eurent la permission de laisser leur élèves se grouper, publiquement, et se servir de leurs connaissances pour en atténuer les effets, voire les annuler carrément. Le but de ces démonstrations était (entre autres) de démontrer que l’union fait la force et qu’il était possible qu’un être humain ordinaire accomplisse de grandes choses à la condition qu’il accepte de s’unir à son prochain au lieu de le craindre. Si la populace pouvait être touchée, cela produirait l’émulation et de nombreuses personnes auraient demandé l’initiation véritable, différente de ce qui était alors dispensé dans les écoles et universités de l’époque.

Et en effet, cette populace fut touchée. Plus que prévu, d’ailleurs ! Tellement touchée, qu’elle manifesta un degré de réaction qui dépassait et de beaucoup les attentes des Maîtres et de leurs disciples directs ! En clair, tous les atlantes désirèrent obtenir les mêmes pouvoirs que les disciples, et si possible sans effort (Tièdes) sans avoir à bosser longtemps (Belzatl) et sans avoir à se grouper nécessairement pour que ça marche (la bourgeoisie ou assimilé.)

Suite quand j’aurais le temps et l’envie de me « reconnecter »…

 

 

Serge
 
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La Nouvelle Initiation

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La Nouvelle Initiation

Résumé du contenu de ce livre :

La nouvelle initiation est un livre qui essaye de démontrer que l’homme moderne est désormais capable d’initier, en lui, un véritable processus d’évolution spirituelle et ce, non pas en s’ajoutant des connaissances ésotériques supplémentaires mais en retirant, de son esprit, tout ce qui en conditionne l’expression journalière. Au fil des pages, avec un humour qui lui est particulier, l’auteur passe en revue différents domaines et concepts qui ont été détournés de leur destination première et de leur sens originel. Cet ouvrage sans prétention, est un moyen de se détendre tout en s’initiant aux arcanes d’un domaine de haute volée et réservé jadis à une élite :

La psychologie ésotérique.

Cette forme de psychologie, qui est très différente de la psychologie académique ou des écoles, consiste en une étude très fouillée de l’âme humaine prenant en compte l’ensemble de ses dimensions.

Pour l’auteur, il importe peu de connaître les origines exactes de cette discipline antique. Il préfère que le lecteur se concentre sur l’idée bien plus créative et positive qu’il existe, désormais, une adaptation purement moderne et simplifiée de cette forme de connaissance de Soi qui permet, à quiconque le désire, de comprendre comment fonctionne son propre esprit, pourquoi il fonctionne ainsi et, surtout, dans quelle mesure il conditionne l’essentiel de la vie humaine.

Cet essai est le premier d’une série d’ouvrages spécialisés et traitant du même thème général que l’auteur souhaite présenter au public. Son but avoué est d’offrir, à ceux qui le souhaitent et qui n’attendent qu’une simple opportunité, des outils mentaux assez puissants et novateurs pour qu’ils redécouvrent ce plaisir extraordinaire qui consiste à apprendre, à comprendre puis à appliquer cette connaissance d’une manière aussi libre de contraintes psychologiques que de dépendance affective et sociales.

Être libre ne consiste pas à inventer une liberté qui n’existe pas encore mais à ôter de notre mental toutes ces barrières qui conditionnent notre conscience et l’empêchent de s’exprimer pleinement.
Puisse cet essaie ébranler quelques pierres de l’un quelconque de ces murs intérieurs et il aura ainsi réussi pleinement sa mission !

État : Disponible sur Amazone

 

Détails pratiques concernant ce livre

État: En ligne et téléchargeable depuis le : 26 mars 2013 à 18 h 00

Prix conseillé :  7.71 euros.

Nombre de pages : (dépend du format de lecture mais aux environs de 200 pages.)

Taille du fichier : 460 KB

Formats disponibles : Kindle sur Amazon.

Pour les lecteurs ayant acheté cet ouvrage (Amazon ou ailleurs) :

Je suis à votre disposition si vous avez besoin de plus amples informations ou si vous avez des questions à me poser à propos de ce livre ou de son contenu. Dans tous les cas, vos commentaires bienveillants sont les bienvenus et il sera répondu à tous.

 

Serge BACCINO

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