Archive for » septembre, 2018 «

Césarienne et le corps il en dit quoi ?

 

Cette femme a du subir une césarienne qu’elle a mal vécue. Il y a de quoi. Premièrement, elle a gardé en elle ce qu’elle devait donner à cette âme (l’enfant) processus qui se fait lors de l’accouchement par les voies naturelles. Et deuxièmement, lors de cette césarienne, et malgré les deux piqures faites pour cet acte chirurgical violent, elle est restée sensible : elle pouvait ressentir la lame du bistouri et malgré cela, malgré le fait d’en informé, l’obstétricien ne l’écoute pas, se contentant de rétorquer que ce n’est pas possible. Alors elle subira un accouchement douloureux et son corps en gardera la mémoire.

Lors de cette séance, lorsque je me connecte à son corps, ce dernier me montre sa souffrance, ses cris, il n’a pas été entendu, il n’a pas été écouté. La conscience cellulaire a vécu une césarienne dans la douleur.

C’est pour cela qu’elle n’écoute pas son corps non plus et qu’elle n’est pas écoutée à son tour. Cette femme, comme tant d’autres, va créer des protections et va vouloir contrôler. Mais comme toutes les autres, elle va surtout se durcir et ne plus être à l’écoute de son corps. Alors certains maux liées à l’expression vont se déclarer.

Pour empêcher que ces choses-là arrivent, lors de cette séance avec l’aide des Êtres qui m’accompagnent lors des soins, ce corps sera de nouveau accouché, mais cette fois, de toutes les douleurs liées à cette mémoire… Une mémoire qu’il traine depuis longtemps, qui le conditionne et lui font dire qu’il a mal !

 

Lætitia

Avortement

 

Combien de femmes ont du avorter durant leur vie ? Beaucoup … Que ce soit pour une grossesse non voulue, un avortement thérapeutique même si cet acte est depuis longtemps rangé dans une malle posée dans le grenier de leur espace mental, le corps lui, n’a pas oublié.

La première fois que j’ai pris conscience de ce fait, c’est il y a au moins 20 ans. Une jeune femme me contacte car elle se ne sentait pas bien dans sa peau. En fait son corps ne se sentait pas bien, elle avait avortée suite à la séparation avec son ami. Le corps avait gardé en lui la mémoire qu’il devait préparer un futur corps pour qu’une âme vienne y prendre place. Le processus avait été interrompu et le corps se sentait perdu car il n’avait pas été correctement informé.

 

——————

 

Des idées qui n’aboutissent pas ou qui sont subitement avortées !

 

Lors de cette séance, je vois deux avortements …. Alors je demande à cette femme si c’est le cas. Elle acquiesce :  » Effectivement, me dit-elle, mais il y a des années de cela.  »

Peut-être des années pour elle mais le corps lui vit au présent et chaque jour il avorte d’idées. Cette femme n’arrive pas à aller au bout de son plaisir car il est souvent interrompu par des « éléments extérieurs » alors qu’il est tout simplement inscrit dans sa subconscience que le plaisir ne mène pas à la créativité. Alors elle ne crée rien si ce n’est des idées et encore des idées. Elle n’en dort plus et ses nuits sont souvent interrompues par ces idées qui essayent de naitre.

 

 ———————–

Une autre femme a mis le plaisir de côté ; cet avortement l’a beaucoup contrarié et elle en veut à son mari, alors tout ce qui a a trait au plaisir devient acide. Alors elle vient de se créer une mycose !

Le corps éthérique conserve la mémoire de ce qui a été vécu et plus l’émotion est forte, plus l’empreinte et les conséquences sont fortes car reliées à la subconscience. Il est des choix difficiles pour une femme  et cette expérience l’est aussi bien pour la personne que pour le corps qui a vécu cela comme un déchirement ou un abandon pour certains et cela en fonction du vécu de la personne.

 

Lætitia

Le vaccin est -il bien accepté par le corps éthérique de l’animal ?

Lors d’une séance pour un petit chien, la personne m’a demandé si le vaccin était bien accepté par l’animal ? Alors j’ai interrogé le corps éthérique de ce dernier. « Le vaccin est vu pour l’animal ou son corps éthérique  comme un étranger qui vient s’installer chez lui, dans son habitat, sans qu’on lui ai demandé son avis. Il va donc lutter contre lui afin de conserver intact  son territoire. Il est donc préférable, si la personne désire vacciner son animal, de le faire lorsque ce dernier est en pleine forme, car le corps éthérique aura assez de force pour le maintenir à distance tout en le laissant vivre chez lui. Mais à partir de ce moment là, il faut savoir que c’est un « étranger » qui vit chez lui et le corps de l’animal a la sensation de ne pas être entièrement maitre dans son propre monde. Il peut arriver que si l’animal se sente mis de côté, pas à sa place, ou se sente faible, cela parce que cet « étranger » qui vit en lui prend le dessus et lui cause des problèmes de santé. »

 

Lætitia Beretti

 

L’éducation selon la Psy éso

Il fait chaud ce jour la, je décide, accompagnée de ma nièce d’aller à la piscine pour nous rafraichir. Nous voila, barbotant dans cette eau bien agréable. Ma nièce a 10-12 ans et elle adore faire de la gym aquatique, c’est sa nouvelle passion. Jusqu’ici tout va bien : elle s’amuse, je nage et tout le monde est en harmonie et concentré sur son propre plaisir.

Toujours dans cette continuité, je sors de l’eau, ouvre mon parasol afin de me protéger des rayons du soleil, m’installe sur un transat et prend un livre. Mais voila que ma petite nièce trouve ludique de me proposer un rôle : être juge. Elle fait ses acrobaties et je dois la noter. Un peu comme si elle faisait une compétition devant un jury.

Je vois que cela lui fait plaisir, et je ne me sens pas en manque ! J’accepte sa proposition et ce pour 10 minutes, ce qui la réjouit. Les 10 minutes passent, je l’informe que je vais m’occuper de moi en me plongeant non pas dans la piscine mais dans mon livre. Oui mais voila, petite nièce ne l’entends pas de cette façon, en suppliant une rallonge : je cède une fois. A la deuxième demande , elle essuie un refus catégorique de ma part et ce tranquillement.

Voila que le petit démon dans petite nièce se réveille ! Elle continue son manège, m’interpelle, me sollicite jusqu’à ce que mon indifférence l’oblige à s’arrêter. Car elle ne peut être animée que par l’énergie que je lui donne : mon attention mentale.

Petit démon ainsi mis en sourdine, car n’étant plus alimenté, petite nièce continue donc à patauger dans l’eau en s’inventant son propre scénario sans moi. Nous restons ainsi l’une prenant plaisir à lire et l’autre prenant plaisir à s’inventer diverses acrobaties. Nos deux mondes peuvent désormais cohabiter paisiblement et comble de luxe, sans gêner l’autre !

 

Un autre jour, se propose à nous. Nous revoilà toutes deux au bord de la piscine, petite nièce et moi. Il faut dire que c’est plaisant de se baigner lorsque les températures sont élevées.
Ce jour, je propose à petite nièce de jouer à la bataille avec des matelas pneumatiques.

Plaisir partagé par nous deux. Et nous voila dans cette eau bien agréable, enfourchant nos matelas et livrant bataille ! C’est amusant, certes, mais aussi assez fatiguant, car il faut sans cesse remonter sur les matelas : on ne fait pas semblant ici !

Puis petite nièce en a marre, elle fatigue,ce n’est pas la reine de la bataille. elle demande d’arrêter de jouer. Je la regarde en coin et y vois l’opportunité de le montrer ce qu’est le respect de l’autre, de ses plaisirs, de sa paix. Je ressens en moi une énergie ludique, et je lui dit allez encore 10 minutes, c’est trop rigolo, cela m’amuse. Elle refuse. J’insiste Encore un refus.

j’insiste jusqu’à la pousser à réagir ! Et la, je lui demande : « Ce n’est pas agréable ce que je te demande, ( suivre mon plaisir) tu en as marre, tu préfères faire autre chose ?»
« Oui me dit-elle : Je veux nager tranquille ». (Et suivre ainsi son propre plaisir.)

Je lui demande sans rire : « Te rappelles-tu la dernière fois où tu as insisté pour que je suive le tien de plaisir ?» «Oui», me dit-elle.  « Et bien je vivais ce que tu vis actuellement. C’est tout sauf plaisant n’est-ce pas ? Alors la prochaine fois lorsque tu insisteras pour que l’on suive ton plaisir tu pourras pressentir ce que l’autre vit suite à ton insistance. »

Depuis ce jour, petite nièce n’a plus jamais demandé à ce que son plaisir dépende des autres et nos deux mondes peuvent ainsi cohabiter ainsi sans que l’autre se sente privée d’énergie.

 

Laetitia@FréquenceSoi

Aider

Ce mot, pour certains est tel un baume au cœur, pour d’autres, une simple énergie, pour d’autres encore ce sont des poils qui se hérissent sur les bras, en s’écriant « Tout mais pas ça ! »

Qu’est-ce qui me pousse à aider ? Rien si ce n’est le plaisir de le faire. C’est un mouvement qui passe, j’y rentre ou pas. Suis-je en attente de résultats ? Non c’est toujours le plaisir qui prime. Vous-êtes vous posé la question ? Qui aidez-vous dans la journée ? Quelle est votre quote-part d’aide ? Dans une même semaine, avez-vous noté le nombre de fois où vous avez aidé ? 

S’occuper de Soi est primordial, mais cela ne veut pas dire se renfermer sur soi et d’être allergique au moindre élan extérieur et vers autrui. Je ne parle non plus de ceux ou de celles qui se glorifient d’avoir aidé telle personne ou tel animal et qui sans ces « pauvres êtres » aurait une vie insipide et bien pauvre ! Ce qui leur permet de détourner le regard de leur propre misère.

Je parle de cette aide, de cette énergie qui permet d’équilibrer deux conditions. Une plante a besoin d’eau pour vivre et s’épanouir, on ne voit pas l’eau qui, toute fière, vient s’enorgueillir d’avoir permis un tel acte. Elle ne se pose pas de question si ce qu’elle fait est bien ou pas. La nature ne s’embarrasse pas de telle fioritures car elle est trop occupée à le vivre.

Avoir dépassé le besoin d’aide c’est être libre d’aider enfin, d’aider vraiment. Dans ce cas, la personne peut, si elle le désire, aider sans faire remonter à la surface, de vieilles idées ou de faux sentiments.

C’est après avoir aidé, bien mal peut être, qu’aujourd’hui enfin, l’humanité va commencer à s’aider comme il faut. A s’aider vraiment.

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

J. Krishnamurti

http://legacy.jkrishnamurti.org/fr/krishnamurti-teachings/video.php