Archive for » septembre 23rd, 2018«

Césarienne et le corps il en dit quoi ?

 

Cette femme a du subir une césarienne qu’elle a mal vécue. Il y a de quoi. Premièrement, elle a gardé en elle ce qu’elle devait donner à cette âme (l’enfant) processus qui se fait lors de l’accouchement par les voies naturelles. Et deuxièmement, lors de cette césarienne, et malgré les deux piqures faites pour cet acte chirurgical violent, elle est restée sensible : elle pouvait ressentir la lame du bistouri et malgré cela, malgré le fait d’en informé, l’obstétricien ne l’écoute pas, se contentant de rétorquer que ce n’est pas possible. Alors elle subira un accouchement douloureux et son corps en gardera la mémoire.

Lors de cette séance, lorsque je me connecte à son corps, ce dernier me montre sa souffrance, ses cris, il n’a pas été entendu, il n’a pas été écouté. La conscience cellulaire a vécu une césarienne dans la douleur.

C’est pour cela qu’elle n’écoute pas son corps non plus et qu’elle n’est pas écoutée à son tour. Cette femme, comme tant d’autres, va créer des protections et va vouloir contrôler. Mais comme toutes les autres, elle va surtout se durcir et ne plus être à l’écoute de son corps. Alors certains maux liées à l’expression vont se déclarer.

Pour empêcher que ces choses-là arrivent, lors de cette séance avec l’aide des Êtres qui m’accompagnent lors des soins, ce corps sera de nouveau accouché, mais cette fois, de toutes les douleurs liées à cette mémoire… Une mémoire qu’il traine depuis longtemps, qui le conditionne et lui font dire qu’il a mal !

 

Lætitia

Avortement

 

Combien de femmes ont du avorter durant leur vie ? Beaucoup … Que ce soit pour une grossesse non voulue, un avortement thérapeutique même si cet acte est depuis longtemps rangé dans une malle posée dans le grenier de leur espace mental, le corps lui, n’a pas oublié.

La première fois que j’ai pris conscience de ce fait, c’est il y a au moins 20 ans. Une jeune femme me contacte car elle se ne sentait pas bien dans sa peau. En fait son corps ne se sentait pas bien, elle avait avortée suite à la séparation avec son ami. Le corps avait gardé en lui la mémoire qu’il devait préparer un futur corps pour qu’une âme vienne y prendre place. Le processus avait été interrompu et le corps se sentait perdu car il n’avait pas été correctement informé.

 

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Des idées qui n’aboutissent pas ou qui sont subitement avortées !

 

Lors de cette séance, je vois deux avortements …. Alors je demande à cette femme si c’est le cas. Elle acquiesce :  » Effectivement, me dit-elle, mais il y a des années de cela.  »

Peut-être des années pour elle mais le corps lui vit au présent et chaque jour il avorte d’idées. Cette femme n’arrive pas à aller au bout de son plaisir car il est souvent interrompu par des « éléments extérieurs » alors qu’il est tout simplement inscrit dans sa subconscience que le plaisir ne mène pas à la créativité. Alors elle ne crée rien si ce n’est des idées et encore des idées. Elle n’en dort plus et ses nuits sont souvent interrompues par ces idées qui essayent de naitre.

 

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Une autre femme a mis le plaisir de côté ; cet avortement l’a beaucoup contrarié et elle en veut à son mari, alors tout ce qui a a trait au plaisir devient acide. Alors elle vient de se créer une mycose !

Le corps éthérique conserve la mémoire de ce qui a été vécu et plus l’émotion est forte, plus l’empreinte et les conséquences sont fortes car reliées à la subconscience. Il est des choix difficiles pour une femme  et cette expérience l’est aussi bien pour la personne que pour le corps qui a vécu cela comme un déchirement ou un abandon pour certains et cela en fonction du vécu de la personne.

 

Lætitia