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La prière de Jésus (Extrait)

Extrait : La vie des Maitres de Baird Thomas Spalding.

L’attaque du village par quatre mille cavaliers. La prière de Jésus. Les bandits s’entre-tuent.

« ….. Cinquante cavaliers partirent en avant-garde, puis toute la bande remonta le ravin dans un galop éperdu, cravachant et éperonnant les chevaux. Le fracas des sabots heurtant le sol rocheux joint aux clameurs de défi formait un tintamarre indescriptible. Même si les circonstances n’avaient pas été aussi tragiques, le spectacle de cette grande masse de cavaliers se ruant en avant aurait suffi pour inspirer la terreur.

Jésus sortit par cette porte et vint sur le balcon. Il avança directement jusqu’au bord et se tint immobile un instant, campé dans une pose sculpturale d’un équilibre admirable. Nous comprîmes instantanément qu’il était en train de parler, et ses paroles nous parvinrent clairement et distinctement au bout de quelques secondes. Dès que Jésus se mit à parler, tous les habitants du village recouvrèrent un calme parfait.  Voici, revues par lui-même, les paroles qu’il prononça.

Tandis que je me tiens seul dans ton grand silence, Dieu mon Père, une lumière pure flamboie dans mon sein et emplit de son grand rayonnement chaque atome de mon corps. La Vie, l’Amour, la Force, la Pureté, la Beauté et la Perfection dominent en moi de toute leur puissance. Tandis que je regarde au coeur même de cette lumière, j’en vois une autre – liquide, douce, d’un blanc doré, et radieusement claire – qui absorbe, nourrit, et irradie le feu caressant de la plus grande lumière. Je sais maintenant que je suis Dieu, ne faisant qu’un avec tout l’univers de Dieu. Je murmure à Dieu mon Père, et rien ne me trouble. Voici, je suis né de nouveau, un Christ est là Dieu mon Père, je suis libre avec la grande lumière de ton Esprit. Ton sceau est placé sur mon front. J’accepte. : Je tiens ta lumière haute, Dieu mon Père. À nouveau, j’accepte.

Quand Jésus cessa de parler, un rayon éblouissant de pure lumière blanche jaillit de son plexus solaire vers le ravin et toucha le sol à un endroit où la gorge faisait un tournant brusque vers la gauche, juste en avant du premier groupe des cavaliers de tête. Un grand barrage semblable à une muraille de pierre s’éleva instantanément au point de contact. Il en sortit de longs dards semblables à des flèches de feu. Les montures de tête s’arrêtèrent si brutalement dans leur folle course en avant qu’elles désarçonnèrent un grand nombre de cavaliers.

Beaucoup de chevaux restèrent quelque temps cabrés sur leurs pieds de derrière, puis firent volte-face et foncèrent le mors aux dents vers l’aval du ravin, en sens inverse du gros de la bande. Quand ils en approchèrent, les cavaliers qui n’avaient pas été désarçonnés s’efforcèrent, mais en vain, de reprendre en main leurs chevaux emballés. Ils se heurtèrent en même temps que les chevaux sans cavaliers à la masse principale des brigands, ce qui brisa l’élan des premiers rangs.

Les rangs suivants, ne réalisant pas le danger, arrivèrent au galop dans cette confusion, et le ravin offrit l’aspect d une masse grouillante et désordonnée d’hommes et de chevaux. Pendant un instant, il y eut un calme de mort troublé seulement par les hurlements sauvages des hommes épouvantés et les hennissements des chevaux emballés.

Puis une scène terrible se produisit à l’endroit où la ruée forcenée de l’avant-garde revenant sur ses pas s’était heurtée aux rangs avancés de la bande. Les chevaux sans cavaliers, entièrement libres de leurs mouvements, avaient foncé dans la masse et désarçonné par leurs bonds effrénés un grand nombre d’autres cavaliers dont les montures, emballées à leur tour, ajoutèrent à la confusion. Celles-ci commencèrent à ruer, à plonger, et à hurler comme seuls peuvent le faire des animaux muets dans un moment de folle épouvante. Puis la mêlée s’étendit à toute la horde massée dans le ravin en dessous de nous.

Tout à coup nous vîmes des hommes dégainer leurs courts sabres de bataille et frapper sauvagement dans tous les sens. D’autres saisirent leurs armes à feu et commencèrent à tirer sur les hommes et les chevaux pour se frayer un chemin et s’enfuir. L’ensemble se transforma bientôt en une bataille pour la survie des plus forts. Elle se termina par une folle ruée vers les espaces libres de ceux qui eurent la chance d’échapper à la boucherie. Ils laissèrent le ravin rempli d’un monceau d’hommes et de chevaux morts ou blessés.

Baird Thomas Spalding.

La Loi s’écrit ici et maintenant…

anima-hommeNous sommes le 12 mai 2014, allongée dans mon lit, comme tous les soirs prête pour un exercice psychique, Shirdy dit Bibi (petite chatte, aujourd’hui partie au paradis des chats) vient me voir et réclame ses grattouilles comme, lorsqu’elle était dans notre monde. Je caresse donc ma petite Bibi, et tout d’un coup un groupe de chats vient me voir il devait y en avoir 6 ou 7 et me demande de l’aide. En fait c’est l’âme groupe de Shirdy qui se présente et elle est la chef de file ! Interpellée par cette demande si urgente, je me sens attirée dans une sorte de tunnel assez sombre. Au fond des yeux de braise fort et puissant, je le reconnais ce Grand Deva et celui-ci me montre une scène qui se passe sur terre : cela se passe en Roumanie d’après ce que je capte et vois, une salle ou grange sale, vétuste, les outils utilisés sont vieux , cela sent la peur, l’angoisse, j’entends des cris sourds, vois des regards horrifies … Et là l’horreur : des chats sont dépecés vivants, on leur enlève la peau alors qu’ils sont conscients, la peau est mise de côté et le cadavre du chat est balancé dans une sorte de tonneau en ferraille. Il m‘est montré que la peau est dédiée à des femmes, elles attendent leur livraison pour se parer de leur manteau. Le Grand Deva me dit qu’il ne peut intervenir seul, de faire quelque chose…

Moi : « Mais quoi ? Ce sont « des hommes avec la loi des Hommes ».

Lui : « Édicte une Loi, comme tu l’as déjà fait. »

C’est vrai il y a quelques mois de cela, en décembre 2013 et toujours pour cette espèce nous avons édicté une loi pour la maltraitance. Alors me voilà avec ce Grand Deva éditant une loi qui peut leur permettre de créer un plan. Et je sens qu’au moment où cette loi s’écrit, ce plan se créer. C’est un tribunal pour ces âmes, pour ces Soi qui participent à cette boucherie, à cette cruauté ou… Laissent faire, ce qui revient au même.

Alors nous écrivons une Loi qui précise que les âmes participant à de telles cruautés, seront punies de suite et leur Soi aussi puisqu’il les laisse faire. Des Êtres de Lumière sont présents lors de cette signatures et de Grands Êtres viennent prendre part à l’Édit Astral là, sur ce plan.

Je me dirige vers ces Soi(s) en compagnie du Grand Deva, en arrière-plan se trouve ces Grands Êtres de Lumière et la Loi est citée aux oreilles des Soi(s) et de ces âmes : le tribunal est ouvert et l’amour leur sera donné à la même mesure que celui qui aura prévalu durant leurs actes si cruels.

Ceux qui ont lu «La Vie des Maitres», de Baird Thomas Spalding,  savent ce que cela fait lorsque de l’Amour est envoyé à des pillards, à des hommes sans Amour.  A votre mesure, essayez d’envoyer de l’Amour, de la compréhension à une âme qui se les refuse, et cela fera de très nombreux et profonds dégâts, vous pouvez me croire et parfois il vaut mieux y être soi-même indifférent.

Pour vous donner une image : une personne adhère à un état d’esprit dépourvu d’amour, vous lui insufflez cette énergie, c’est comme si vous dépeciez cette âme de l’état d’esprit avec lequel elle faisait corps. En fait, elle va ressentir, dans son corps psychique, la cruauté de ses actes ainsi elle ne pourra pas dire qu’elle ne savait pas. Ce soir, ce plan a donc été créé et je ne voudrais pas être ces âmes et ces Soi qui, par leurs actes futurs, violeront les nouvelles Conventions Animiques.

Aujourd’hui de nouvelles Lois peuvent être écrites, car l’homme a voulu prendre la place de Dieu (être au-dessus des Lois Divines), alors cela nous permet de créer des Lois pour le salut de ces Êtres que l’on dit inférieurs car différents de nous, les (soi-disant) humains.

 

Fin du channeling.

Lætitia

Note : Je vous recommande vivement de lire  l’extrait de  » La vie des Maitres «  de Baird T. Spalding , La prière de Jésus

 

Category: Channelings  6 Comments

Une lecture de B…

Voici un exemple d’une lecture d’âme que j’ai faite à la demande d’une consultante. Évidement son nom ne sera pas cité, elle sera nommée B…. Voici sa demande :

Je ressens en moi une dualité qui ne me permet pas de vivre ma vie pleinement, comme si quelqu’un d’autre vivait à ma place. Je remarque souvent, après coup, que j’ai prononcé des mots ou des phrases mais que cela ne venait pas de moi. A la longue, j’ai arrêté de m’en vouloir puisque ce n’est pas la solution. Cependant, c’est très désagréable et je sens que je ne maîtrise rien. Si l’on va plus loin, j’ai une peur qui me vient me faisant ressentir un vide et une inquiétude, si l’on me retire ce quelque chose qui gère actuellement ma vie, cela devient un peu glauque. J’aimerais avoir confiance en ma guidance intérieure, redevenir insouciante et enthousiaste à la vie, avoir un mental léger. Je sens que cet aspect en moi me fait louper beaucoup de choses, de synchronicités dans ma vie et je n’en veux plus, elle teinte ce que je suis réellement au point ou je ne me reconnais pas ou plus.

Lecture karmique de B

B. est sur son psychique elle papillonne, tourne sur elle- même en sautillant. Elle s’invente un jeu de marelle, et lance sa boite en plastique dans laquelle se trouve une éponge rouge. Elle prend une corde à sauter et joue pendant quelques minutes. Puis, elle se lasse vite et comme elle ne trouve plus de jouets à ses cotés, elle suce son pouce en s’asseyant à même le sol. Un moment, elle joue avec la terre, fait des petits tas, des semblants de pâtés… Mais  elle ne réussie pas à vaincre son ennuie.

Cette âme B va alors se créer une copine mais quelle drôle de copine, en vérité ! Elle ne s’en rend pas vraiment compte mais, plus tard, cette « copine » que je nommerai B2 ou «  la maitresse », va prendre sa place et ce sera celle qui la dirigera, par la suite.

B… vient de se créer B2 dit « la maitresse. »  

J’essaye de deviner ce que peut être le rôle de cette « B2 ». Dialogue de B… à B2 « la maitresse » :

«  Alors toi, tu seras la maitresse ! Tu me donneras des ordres et je devrais ensuite les exécuter. Si je ne le fais pas tu me gronderas, j’irai au piquet et tu me priveras de plaisir... »

B2 la maitresse n’a pas encore de vitalité en elle, elle vient d’être créée en esprit seulement. Elle se tient debout tel un pantin et attends les ordres de B…. B… repart dans ses jeux d’enfant, la marelle, la corde à sauter et puis, elle se lasse, encore et toujours…

Essayons de définir à quel moment B2 la maitresse a pris le dessus sur B…

Plus B… s’ennuie, plus elle pense à B2-maitresse et plus elle vitalise cette dernière. Autour de B…, il n’y a pas d’enfant de son âge, son plan est vide. Puis un jour alors que B… assise a même le sol s’ennuyait … une voix lui demanda de se lever sur un ton sévère. B… ne compris pas de suite ce qui se passait mais s’exécuta. Debout, elle attendait les ordres. Elle s’était programmée à obéir à B2-maitresse. Et B2-maitresse au début jouait le jeu puis lorsque B… quittait le jeu, B2-maitresse allait gentiment se ranger dans un espace de son mental en attendant le prochain jeu.

Cela dura longtemps puis à fore ce de solliciter cette âme, c’est à dire B2-maitresse, cette dernière devint autonome et indépendante. Elle devenait petit à petit, le principe directeur de B….

A ce jour, lorsque je me promène sur le plan de B…, cette jeune âme insouciante joueuse est tenue en laisse par B2-maitresse. Cette dernière faisant croire à B…, quelle est toujours l’âme principale de ce véhicule en lui laissant quelques libertés…. Bien contrôlées.

Je m’invite sur le plan de B….

Je m’approche et elle ressent ma venue. Elle se retourne, c’est B2-maitresse et non la véritable B… Elle tire sur la laisse afin que B… demeure sous son contrôle.

J’engage un dialogue.

Laetitia  : « Il est inutile de t’éloigner B2/Maitresse, tu tiens un petit chien en laisse ? »

B2 la maitresse (croyant ne pas être démasquée à tenir ainsi une âme) :

« oui, oui c’est bien cela. »

Laetitia : « Puis-je tenir ton petit animal en laisse ? On dirait que cela t’amuse beaucoup. »

B/Maitresse n’a pas envie de me donner cette laisse mais n’a pas la force de me résister.

B2-maitresse : « Oui, d’accord mais pas longtemps je dois le ramener chez lui. »

Pendant ce temps, B…. joue le rôle de ce petit animal en laisse, elle obéit à B2 la Maitresse car c’est ainsi qu’elle a distribué les rôles, même si elle n’en a plus conscience aujourd’hui. Je prends la laisse et demande à B… si elle est contente d’être traitée comme un petit animal. Évidemment, B2/Maitresse, à mes côtés n’est pas du tout contente de ma question.

Laetitia : « Alors B… cela te plait-il ? »

B… me regarde avec ses grands yeux, elle n’ose me répondre et se tourne vers la maîtresse qui, à mes côtés, fronce les sourcils.

Laetitia  : Tu peux me répondre, tu ne crains rien ! C’est toi qui la créée avec ton esprit, donc tu peux la « dé-créer » avec ce même esprit.

B… ne comprend pas tout ce que je dis, elle a l’air absente, comme droguée… B2 la Maitresse essaye de s’interposer : elle ne veut pas que B…. se souvienne et surtout, l’efface de sa mémoire. Je regarde B2 la Maitresse et lui demande par un regard imposant de s’éloigner de moi, ce qu’elle fait de suite comme un petit animal que l’on a grondé.

Laetitia  : « As-tu vu B… ?  Cette B2 la Maitresse s’est comporté comme un petit animal, le rôle qu’elle t’a donné depuis un certain temps. »

B… me regarde mais elle semble vide sans force, elle est le fantôme d’elle-même.

Je demande au Soi de B… de venir sur le plan psychique.

Nous nous saluons. Je vois que lui aussi ne sait pas gérer cette situation qui le dépasse, alors je lui demande si il veut bien de mon aide.

Ce dernier acquiesce, je m’approche donc de B… et lui demande :

Laetitia : « B…., il va te falloir prendre une décision, soit tu continues à exister, soit c’est B2 la Maitresse qui le fait à ta place ! »

B…. : « Mais si elle n’existe plus, je vais m’ennuyer encore sur mon plan ? »

Laetitia : Tu as su créer une B2/Maitresse et maintenant tu penses que sans elle, tu n’es rien, que tu n’as pas d’existence propre, est-ce bien cela ?

B..: Oui c’est bien ça : B2 maitresse est tout de même plus intelligente que moi, plus vive et elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Pas comme moi.

Laetitia: « Explique-moi comment tu te perçois toi par contre ? »

B… : « Moi je suis comme une enfant qui n’a pas grandi, et j’aime bien me créer des personnages afin de jouer avec eux car je me sens seule. »

Laetitia: « Seule comment te perçois-tu ? »

Elle me regarde avec des yeux de chien battu et me dit

B….: «  Vide, sans importance, inintéressante en résumé ».

Laetitia : Et si je te disais que c’est un programme que tu as créé lui aussi, celui de te faire croire que tu e effectivement inintéressante ? Aimerais tu que ce dernier soit effacer sur ton plan psychique et à jamais ? »

B…. (souriante) : «Et c’est possible ça ? »

Laetitia : « Tout est possible il suffit de le désirer et d’y croire, le désires tu B…. ? »

Le regard de B. pétille de joie. Toute excitée, elle applaudit en sautillant sur place.

B: « Oui, oui je ne veux plus de ce programme ! »

Je demande à ce programme de sortir de B… et de se mettre à sa droite. Et il s’exécute. Nous voilà donc sur ce plan avec deux âmes : la maitresse et l‘autre ce programme affirmant à B…. qu’elle n’est rien, si ce n’est insignifiante.

Laetitia: « Alors B…. désires tu que ces deux programmes soient effacés à jamais de ton âme, de ton corps psychique ?

B. a toujours les yeux qui pétille mais je sens qu’une partie d’elle-même n’ose pas encore y croire.  Je demande au Soi de B. de s’approcher de ces deux programmes (la maitresse et l’autre concernant sa valeur.) le Soi s’avance tout d’abord vers la maitresse : elle se tient tel un pantin sans vie, un jouet. Le Soi la prend et l’intègre à lui en élevant la fréquence des particules d’esprit qui composent sa trame éthérique, son « corps » de manifestation.

Ceci fait, le Soi se tourne vers l’âme qui pense qu’elle n’a pas de valeur, qui se pense et se sent insignifiante.

 Le Soi prend par la main cette âme et l’élève à sa hauteur et l‘intègre dans la lumière. Puis, se tournant vers B.

Le Soi : « Veux-tu grandir en moi et avec moi ? Veux-tu que nous marchions tous deux d’un même pas ?

 B…. (a du mal à respirer, elle est excitée, certes, mais encore plus intimidée) :

« Oui, je veux bien !» dit-elle.

Le Soi lui prend sa main gauche et lui demande de se lever à sa suite. Et si le Soi se contente de se redresser, B, quand à elle, grandit pour devenir une femme et non plus une enfant. Son Soi sourit: Il conserve une expression sereine mais je sens qu’il est content de retrouver cette âme telle qu’il l’avait pensé, au commencement. D’un commun accord, ils se retournent vers moi et j’aperçois le sourire sur leurs lèvres et… Les voilà se dirigeant vers leur chemin de vie, ensemble et main dans la main.

 

Fin de la lecture karmique.

Laetitia@Fréquence-Soi

 

Sans contact avec son corps physique

dédoublement17L’une des vidéos de : « Vos questions, nos réponses en vidéos », présentée par, Johnny, Karen et Serge, (réponses à Quentin) m’a fait penser à une expérience que j’ai eu, de ce jeune homme placé sous coma artificiel suite à un accident de voiture.

Sa mère me demande de le visiter à l’hôpital, il est dans le service réanimation et ce depuis au moins un mois. Donc ce jour, je m’installe près de son corps et me connecte à son âme…. Mais elle ne se sent pas concernée par les aventures de son corps physique qui lui, est alité depuis son accident. En fait son âme se promène sur son plan psychique, elle n’est pas informée que son véhicule est dans ce triste état. Je la questionne et elle me dit :

« J’ai eu un premier choc ou je ne suis sentie « éjectée » j‘ai suivi mon corps physique. Puis à nouveau, je l’ai réintégré. J’analysais ce que je vivais, je savais que certaines informations n’arrivaient plus (des circuits étaient bloqués) puis une odeur désagréable (une fréquence) s’est fait sentir elle coulait tout le long de mon corps. Je ne pouvais pas rester et je fus à nouveau éjectée de mon corps. Depuis je n’ai plus de contact. Je ne savais pas que cela faisais si longtemps que mon corps était dans cet état sans bouger, car moi j’étais en mouvement. »

âme10Je l’informe que sans elle, ce corps commence à se durcir et qu’il doit lui aussi se mouvoir à nouveau en sa présence. Elle a du mal à l’accepter car elle se sent bien là où elle est, mais je lui fais comprendre que son corps est actuellement comme un véhicule sans chauffeur. Après quelques hésitations, elle accepte de revenir, de le réintégrer et de l’animer de sa présence. Je la remercie pour cette personnalité qui a encore des expériences, des prises de conscience à vivre ici et maintenant.

Je relate à sa mère, le contact que j’ai eu avec l’âme de son fils. Le lendemain matin, elle me téléphone et m’informe qu’après ce mois passé sous coma artificiel, les médecins ont décidé de le réanimer. Il a fallu l’accord de cette âme pour que la chose soit rendue possible.

A tous ceux qui ont un être cher dans le coma…

 

Lætitia

Je suis agoraphobe et la vie est un enfer !

S a de gros problèmes avec les autres ; elle est et agoraphobe. Elle n’est pas capable de sortir de la maison très longtemps cela l’épuise, la fait pleurer très souvent. Elle ne sort pratiquement plus. Ce jour elle me demande une lecture d’âme et un soin. Après avoir pris conscience du contenu de sa lecture, nous convenons d’un soin à distance. Ce soin se déroule bien et avant de terminer, je demande à S (du moins, à son corps psychique) de marcher vers son Soi et là, impossible : elle est bloquée. Apparait entre son Soi et elle, un mur immense opaque, comme fait de plexiglass.

Moi-même me sentais coincée dans cet espace de travail. L’espace de S est tellement restreint que nous ne pouvons pas y tenir à deux. L’apparition de ce mur fut si brutale, lors de ma demande d’aller vers son Soi, que je demande à voir le programme responsable de cet état. Et là, je vois se décaler sur la droite de S un être vêtu de noir. Je lui demande les raisons de sa présence.

En fait, S ne pouvant faire face toute seule aux diverses émotions de ses contemporains, a créé, avec le temps, un programme censé « la protéger » mais qui en réalité s’est avéré être carrément diabolique (cf : contraire à ses intérêts, à son bien-être.) Et ce programme a édifié une muraille afin de la protéger mais, en réalité, il ne fait que la couper du monde, tout en conservant la peur initiale à l’intérieur de son être psychique.

J’en informe ce programme que l’être de Lumière ou « Soi« , est maintenant présent sur le plan de S, qu’il va la prendre en charge et la guider sur son chemin, ceci afin qu’elle s’épanouisse en tant que femme mais avant tout, en tant qu’Être.  Le programme m’oppose un refus catégorique, tout d’abord puis cède devant la justesse de ma demande.  Lorsque ce programme quitte ce plan, aidé en cela par les Êtres avec lesquels je travaille, le mur opaque éclate en morceaux puis disparaît.

Le Soi de S est là, assis sur un banc et il attend. Je demande à S d’aller vers lui. Elle sourit puis met un pied sur ce sol qui, auparavant, était fait de sable. Grâce à ce geste mental, son nouveau sol devient verdoyant et se transforme en un nouvel état d’esprit dans lequel et grâce auquel elle va pouvoir naître à nouveau.  S qui ne s’aventurait plus en dehors de chez elle (cf : « En dehors de ses états d’esprit« ) a depuis repris le chemin de la liberté, celui que l’on se donne à soi-même, librement.

Elle me dit plus tard, qu’après la lecture, elle a senti une grande libération.

Et elle me dit, après le 1er soin:

« Je marche plus longtemps à l’extérieur et me sent presque transportée ! »


Lætitia