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Aider

Ce mot, pour certains est tel un baume au cœur, pour d’autres, une simple énergie, pour d’autres encore ce sont des poils qui se hérissent sur les bras, en s’écriant « Tout mais pas ça ! »

Qu’est-ce qui me pousse à aider ? Rien si ce n’est le plaisir de le faire. C’est un mouvement qui passe, j’y rentre ou pas. Suis-je en attente de résultats ? Non c’est toujours le plaisir qui prime. Vous-êtes vous posé la question ? Qui aidez-vous dans la journée ? Quelle est votre quote-part d’aide ? Dans une même semaine, avez-vous noté le nombre de fois où vous avez aidé ? 

S’occuper de Soi est primordial, mais cela ne veut pas dire se renfermer sur soi et d’être allergique au moindre élan extérieur et vers autrui. Je ne parle non plus de ceux ou de celles qui se glorifient d’avoir aidé telle personne ou tel animal et qui sans ces « pauvres êtres » aurait une vie insipide et bien pauvre ! Ce qui leur permet de détourner le regard de leur propre misère.

Je parle de cette aide, de cette énergie qui permet d’équilibrer deux conditions. Une plante a besoin d’eau pour vivre et s’épanouir, on ne voit pas l’eau qui, toute fière, vient s’enorgueillir d’avoir permis un tel acte. Elle ne se pose pas de question si ce qu’elle fait est bien ou pas. La nature ne s’embarrasse pas de telle fioritures car elle est trop occupée à le vivre.

Avoir dépassé le besoin d’aide c’est être libre d’aider enfin, d’aider vraiment. Dans ce cas, la personne peut, si elle le désire, aider sans faire remonter à la surface, de vieilles idées ou de faux sentiments.

C’est après avoir aidé, bien mal peut être, qu’aujourd’hui enfin, l’humanité va commencer à s’aider comme il faut. A s’aider vraiment.

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

Une petite tondeuse écologique

La tonte écologique un avenir meilleur pour ces êtres et notre planète.

Il y a quelques années de cela, je pratiquais l’équitation. Le centre équestre était à quelques mètres de notre maison et il m’arrivait de me rendre disponible afin de lâcher les chevaux pour qu’ils se nourrissent dans leur champs et gambadent en toute liberté.

Arrive le printemps, la nature s’éveille après les mois d’hiver. Nous avions un petit terrain, une pelouse à entretenir et il était prévu d’utiliser notre fameuse tondeuse à essence !  Mais, nous vient l’idée de tondre cette pelouse avec nos compagnons du centre équestre : les poneys. Nous voilà donc avec nos trois petites têtes dans notre jardin sous le regard attentif de Shirdy.

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Nous n’avions pas de clôture, nous étions donc obligés de les tenir avec une longe.

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Mais si cette idée commençait à « faire des petits » dans tout l’hexagone ? Qu’aurions nous plus tard ? Des brebis, des biquettes élevées dans le seul but de brouter l’herbe et plus pour la consommation de leur chair. Fini le bruit assourdissant des tondeuses des dimanches matins, fini les odeurs d’essence. Au lieu de cela, un paysage serein en la présence d’animaux qui, tranquillement, vous rendent service en taillant l’herbe de votre jardin.

Unknown

Nous avions opté pour ce mode de tonte il y a quelques années déjà, mais je ne vois toujours pas cette idée plus développée que cela de nos jours. Pour l’homme, le mouton et l’agneau ne sont que tripes, côtes ou bien cuisseaux. N’avons nous donc pas plus de considération envers nous même que nous reproduisons sur les animaux dits « de bétail« , le même comportement ?

Et si ce monde changeait grâce à un changement de paradigme, d’état d’esprit ? Et si l’homme commençait à assumer ses responsabilités, ne commencerait-il pas à revoir la façon dont il considère sa relation à ses pensées ainsi qu’à ses émotions ?

 

 

On nous parle d’un monde meilleur pour nos enfants… Mais est-ce en critiquant ce monde qu’il changera ou bien en devenant partie intégrante de ce monde ? On parle de pollution mais savez-vous qu’elle commence et s’installe grâce à la pollution mentale ?

Toutes ces idées destructrices telles que la calomnie, la jalousie, la vengeance, l’hypocrisie, les critiques, sont autant de fréquences vibratoires malsaines qui nous tirent vers le bas et font de nous le premier pollueur de cette planète. Y aviez-vous pensé ?

Aujourd’hui pourquoi ne pas commencer par offrir une vie meilleure à ces êtres qui ne demandent qu’à se nourrir sur de verts pâturages au lieu de nous nourrir de leur chair et de leur innocence ? imagesAinsi notre innocence, notre spontanéité, seront de nouveau « bien gardées » et pourront de nouveau gambader en toute liberté sur un état d’esprit (un sol) capable de les accueillir et de les nourrir.

 

 

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

 

Un éléphant est tombé ce matin …

Elle git à terre, elle ne peut plus se relever, sa mémoire est pleine de souvenirs difficiles. Car elle en contient cette mémoire, et elle est si grande ! Sa mère l’a dotée de la plus grande mémoire terrestre après elle. Elle est son souvenir toujours actualisé afin qu’on n’oublie pas.

Mais voilà; au lieu de respecter celui qui porte sur ses épaules et dans son regard toute la mémoire de ses ancêtres, de notre Mère, cet Être au pas lourd et assuré est persécuté, abattu pour ses défenses, meurtri dans sa chair par des pics à glace, on lui enlève ses enfants et on le harcèle jusqu’à qu’il flanche, que son esprit soit cassé et soumis ! Alors oui, elle est tombée et ne peut plus se relever.

 

Ce jour la Mère a informé ses enfants (humains) et une grande chaine de solidarité est venue aider son enfant dont le poids de ses souvenirs, de ses traumatismes est si lourd qu’elle ne peut plus le supporter et donc, ne se supporte plus. Toute cette mémoire meurtrie est contenue dans sa chair, dans son cœur et dans son esprit  qu’elle a décidé de ne plus se relever. de toutes manières, elle n’en a plus la force.

Autant sur cette terre, nous avons des êtres dont l’argent est source de conflit, au point de devenir un monstre, autant nous avons des êtres qui ne peuvent accepter l’insoutenable ! Alors un camion arrivera ce jour la pour la transporter, d’autres feront des soins  afin de lui donner cette énergie qui lui manque tant.

Lavons cette mémoire afin que l’âme puisse se redresser.

Voilà ce que nous devons faire. Ce jour là, l’Appel est si fort que la connexion se fait de suite. Je ne ne peux y résister et je m’installe afin de me connecter à cet Être au pas pesant mais dont l’âme aurait du demeurer si légère.

Son Deva, me demande d’effacer sa mémoire.

Je suis surprise car cet animal est le symbole même de la mémoire. Alors aidée par  son Deva, on me laisse pénétrer dans une cavité immense où se trouve les souvenirs. Le Deva ne peut l’effacer, ce n’est pas son rôle. C’est à cause des hommes qu’il est tombé. Alors il est de notre devoir d’homme de réparer, de soigner, de panser et de permettre à l’un de ses enfants de se relever. J’efface donc cette mémoire et une belle lumière éblouissante vient de rendre cet espace pur comme si l’homme n’avait jamais porté la main sur lui. Son Deva me montre un autre endroit, me permet d’y pénétrer ce que je fais, avec un profond respect, et là, je vois des connexions absentes, l’ordre de se mouvoir n’est plus d’actualité, l’ordre n’arrive plus à ses membres antérieurs et postérieurs. Le Deva me montre quoi faire et je m’exécute.

 

Je vois la connexion se réaliser devant mes yeux psychiques… Un rayon de lumière descend le long de sa trompe prends des informations puis remonte toujours le long de sa trompe et vient informer l’entité qu’elle peut à nouveau marcher. Vint ensuite un réseau de lumières informant tout son corps vital qu’il est à nouveau un éléphant digne de ce nom, qui n’a jamais connu la face obscure de l’homme qui, pour quelques pièces seulement, pouvait être capable du pire, rarement du meilleur.

 

 

Le corps éthérique renferme en lui nos Mémoires : chaque coup donné dans notre cœur, dans notre esprit et dans notre corps, est retransmis à nos cellules. Ce subconscient ou l’intelligence de nos cellules, informe le corps qu’il ne peut plus bouger : tous les coups donnés à la chair ont eu raison de son endurance et la souffrance a cédé la place à la maladie.

 

A tous ceux dont le poids du passé est devenu trop lourd à porter, allégez vos Mémoires vivantes, afin de pouvoir à nouveau marcher et créer votre propre chemin. Ne vous blessez plus à coup de pic, ne jetez pas votre mal être à la face de votre cœur ou de votre entourage.

Ne faites pas de l’argent un moyen de blesser, car il n’est qu’une énergie comme une autre : il permet le plaisir, mais le véritable plaisir ne saurait se construire au détriment d’un autre. Il y en a suffisamment pour le distribuer autour de vous et de permettre à d’autres de vivre à vos côtés en étant libres.

 

 

N’enchainons plus les enfants de notre mère, et nous ne serons plus enchainés en nourrissant cet état d’esprit. Rien au monde ne peut justifier la souffrance. Nos animaux sont enchainés parce que nous le sommes aussi. Ils sont derrière des barreaux parce que nous avons enfermé notre  sensibilité derrière ces mêmes barreaux

 

 

 

Ils sont traités comme du bétail parce que c’est ainsi que nous traitons nos semblables. Nous avons donné pouvoir à un autre principe directeur d’agir à notre place, de nous limiter et de créer ainsi des troupeaux d’âmes suivant et défendant ses oppresseurs. Devenons des Hommes libres de tous schémas restrictifs et ainsi ces animaux que l’Homme considère comme étant inférieurs, pourrons à leur tour vivre libres et heureux.

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

 

Vos cœur et esprit sont libres ou enchainés ?

VacheEtVeauAuChamp

 

Dernièrement, ceux à qui nous avons donné notre pouvoir d’expression en votant pour eux, ont décidé à notre place de juger si une loi était viable ou pas. On leur a donné cette liberté d’agir, donc nous avons perdu la notre ! Pourquoi ? Parce que l’on a décidé de ne pas assumer nos choix, (l’énergie d’agir selon nous, notre propre ressenti et bien-être) en leur donnant notre voix, nous nous sommes égarés et avons perdu la Parole. (Nous nous sommes laissé cloué le bec, et cela donne de par la Loi de cause à effets et de correspondance, que nous laissons couper le bec à des poussins et enlever les dents à des cochons, ceci afin qu’ils n’expriment pas leur mécontentement, leur condition de vie ou casser leurs codes sociaux !)

Cette petite digression pour vous parlez d‘un sujet qui me tient à cœur depuis bien longtemps, j’ai nommé : les animaux. Pourquoi eux, et bien parce qu’ils représentent notre sensibilité, notre relation avec nos émotions, notre innocence. Un veau, vient de naitre. Il est la promesse d’une belle émotion qui pourra s’expanser (vivre dans son pré en toute quiétude) et devenir adulte (vache) si l’homme lui en donne le droit !

Donc , il y a quelques temps de cela une loi a été votée : l’Assemblée nationale, a entériné la qualité symbolique d’ « êtres vivants doués de sensibilité » pour les animaux domestiques dans le Code civil. On peut ressentir un contentement dans le cœur de certains hommes. Mais nous faut-il une loi pour reconnaître si des êtres sont sensibles ou pas ? C’est un petit pas pour certains animaux (certaines émotions domestiquées et conditionnées selon nos codes). Mais quant est-il des animaux sauvages ? Ceux qui vivent dans nos forêts, qui n’ont pas besoin de nous pour vivre, pour se nourrir, pour élever leurs petits et qui vivent selon leur code et non selon les nôtres ?

L’article visant à reconnaître un statut aux animaux sauvages a été retiré du projet de loi. Une femme s’y est opposée ! Une femme, entendez-vous ? Celle-là même qui devrait symboliser l’amour, la compassion, la tendresse et la beauté. Mais à la place, nous avons eu droit une femme incarnant un être humain sans cœur ou, et du moins, possédant une tête qui a muselé son cœur. La raison à tout cela ? Toujours la même ! Le profit, les intérêts et, vraiment en tout dernier, sa propre sensibilité. L’objectif de cet amendement était d’empêcher que les animaux sauvages dotés eux, d’une sensibilité, vivant à l’état de liberté et n’appartenant pas, hélas, aux « espèces protégées », ne soient plus chassés par des méthodes tout particulièrement cruelles.

 

AlchimieC’était, il me semble, la moindre des choses ! Pour revenir à nous, les hommes (ou assimilés), la question doit être posée différemment : Quant est-il de nos idées novatrices et créatrices, qui vont à l’encontre d’un système ? Ce fameux système dans lequel nous nous sommes tous et désormais englués. Et aussi, ce désir d’être pris en charge et ce, dans tous les domaines de la vie. Une volonté de se laisser porter, de se laisser penser, au lieu de penser, et de ressentir, pour soi-même et par soi-même. Une volonté, aussi, de correspondre à des normes socio-éducatives, d’adhérer pleinement, cœur et âme, à cet inconscient collectif, dans lequel la fréquence des idées émises est proche d’un encéphalogramme plat !

L’article visant à reconnaître un statut de notre sensibilité non domestiquée (libre) par des pensées non conditionnées (animaux sauvages) a été retiré du projet de loi. En même temps, ce qui n’est pas conditionné ne peut pas s’inscrire vraiment dans le cadre étriqué d’une loi conditionnée et promulguée par l’homme ! On comprend ces hommes, auxquels on a donné le droit de voter pour nous et à notre place. Ils ne vont pas aller dans le sens contraire de leur intérêt. Ils ne sont pas fous ou bien inconscients, eux ! C’est un peu comme si on leur demandait d’abandonner toute pression sur nous (avec notre accord), de nous permettre d’incarner notre état d’esprit le plus ludique et en toute liberté. On parle de la France avec sa trilogie fantôme : Liberté, égalité et fraternité: il serait temps que la France se mette à vivre selon ce qu’elle prêche aux autres !

Mais au fait, sommes-nous tous préparés à vivre selon nos idéaux ? Que pouvons nous oser répondre à cette question, surtout quand nous pensons à ces animaux maltraités, humiliés, asservis, leur chair écorchée à vif, leur code social bafoué, leurs progénitures qui leurs sont enlevés et ce, à peine nées (vaches laitières) ou qui sont broyés (poussin ou canard mâles), envoyés à l’abattoir pour finir euthanasiés dans les pires conditions ? Les animaux dits « de bétails », conditionnés ou la moindre expression de liberté est de suite sanctionnée, interdite par des agissements brutaux de la part de ceux qui les élèvent.

Comment peux-on accepter cela si ce n’est en réalisant que notre propre sensibilité est elle aussi, en cage, maltraitée, et envoyée à l’abattoir, cela parce qu’un programme, en nous, a jugé qu’elle n’était pas viable ? Nous trouvons que ce monde est peu sensible aux conditions des animaux (domestiques, sauvages et de bétail), mais comment peut-il en être autrement, surtout si nous passons notre temps à faire aux animaux ce que nous nous faisons ?

 

agneaux L’agneau représente notre innocence, notre spontanéité, cet enfant en nous qui ne demande qu’à jouer, à goûter cette vie qui se propose à lui, accompagné par une mère présente et attentionnée. Ce même agneau dont la vie est écourtée par le tranchant d’une lame, comme peut l’être notre intellect lorsqu’il désire blesser. Laissons s’exprimer l’agneau en nous et, du même coup, des vies à l’extérieur, seront épargnées. Ce que nous faisons à l’extérieur et sur les autres, fussent-ils « de simples animaux », c’est à nous-mêmes que nous le faisons. C’est notre sensibilité ainsi que notre candeur d’âme que nous égorgeons et saignons à blanc.

Il n’y a pas un seul animal sur notre planète qui ne soit tué, maltraité, asservi sans que l’une de nos émotions ne suivent cette même voie, sans que notre propre sensibilité ainsi que notre cœur, ne s’en retrouvent asséchées ! Si nous voulons que ce monde change, il est impératif de changer nous-mêmes et auparavant, de « montrer l’exemple » en passant par notre propre cœur ! Et ce n’est pas en sauvant uniquement des animaux que nous allons sauver ce monde ! Il est des relations qui démontrent notre capacité à aimer, à permettre à l’autre (femme, enfant, ami, etc.) de s’exprimer librement dans le respect et l’harmonie.

 

Comment nous comportons nous avec nos amis ? Voulons-nous les contrôler, les gérer ou les aimer tels qu’ils sont du moment que la relation est harmonieuse ? Alors pour cet exemple, prenons un chien, il est dit être le plus fidèle ami de l’homme. Pas difficile! Que vous soyez gentil, passez vos nerfs sur lui, ou lui donnez des coups, il remuera toujours la queue. Même s’il vous aime, il reconnait en vous  le maitre, le dominant. Il est soumis tout simplement car tel est l’ordre qu’il reçoit de son Deva. Le chien sait qui lui donne à manger, et sa captivité fait de lui un animal domestique comme le sont les domestiques, les serviteurs. Je ne parle pas ici des relations équilibrées, harmonieuses ou l’animal est traité comme on se traite, car il n’est pas besoin de loi pour se respecter mutuellement !

 

ChiotIl faut dire que le chien, par exemple, vous sert bien ! Et tant qu’il se comportera selon votre désir, il aura un biscuit ! Et tant que votre ami à quatre pattes acceptera de vous laisser déverser sur lui votre marasme psychologique, qu’il évitera de contrarier vos schémas mentaux, en somme, il aura toute votre gratitude. Avec cette compréhension, nous pouvons voir comment l’homme se comporte avec ceux qu’ils nomment « ses amis » !

Et tant que votre ami (chien) servira votre schéma, (n’ira pas dans le sens contraire) vous le garderez près de vous. Mais gare à lui si ce dernier ne cautionne plus votre état d’esprit ! (S’il commence à ne plus accepter vos coups avec autant de docilité, vos colères sur lui, s’il ne vous obéit pas ou plus comme avant), vous allez le juger, le critiquer, le rejeter, le nier, et le calomnier, puis abandonner l’idée qu’il est un ami (comme on abandonne un chien). Lorsque ce jour arrivera où vous délestant sur lui, vous aurez affaire :

– Soit à un ami qui protestera mais abdiquera par docilité, il prendra le rôle d’un toutou en rejoignant son panier, mécontent mais se sentant obligé d’obéir à son maitre.

– Soit vous aurez affaire à un ami qui prend soin de ses émotions (cœur), de son petit animal (corps) et dont les idées ne sont pas conditionnées et les émotions non domestiquées. Ce dernier préfèrera vous laisser avec votre état d’esprit combatif en restant  chez lui ,(dans son espace mental ou il est libre d’agir à sa guise et vous à la votre, mais sans lui) où il n’est pas obligé de vous obéir comme un toutou.

Alors ce jour la, vous serez de ceux qui ne voteront pas pour le bien être des animaux sauvages car vous ferez partis de ceux qui ne prennent pas soin de leur petit animal (votre corps), de leur cœur (leur sensibilité), que vous aurez muselé pour ne plus le laisser s’exprimer librement en toute harmonie. Vos schémas, auront ce jour là, pris le contrôle de votre vie (car vous aimez contrôler les autres) et votre cœur vous réclamera de la tendresse à travers ses barreaux (animaux en cage, dans les zoos, … ) que vous aurez vous-même bâtis ! 

 

Lætitia@FrequenceSoi

 

 

Comment prétendre ignorer ces choses ?

Lors d’un channeling, un Deva (des vaches) m’interpelle et voici un extrait de notre entretien :

Vous vous dites gardiens de la lumière, frères de la lumière, lumière par ci, lumière par là, que de beaux titres pour vous flatter d’être des hommes de bien ! Mais au fond de votre cœur, je n’y trouve qu’obscurité, je n’y vois que des regards qui se détournent lorsque vous croisez le mien. Vous ferais-je si peur, lorsque vous m’emmenez dans ce mouroir, m’abattre avec la plus grande indifférence ? Vous savez que je suis à votre merci, que je ne peux m’échapper alors pourquoi tant de violence dans vos actes, me tuer ne vous suffit-il pas ? Me manger ne rempli pas votre estomac à votre convenance ? Vous me donnez des coups de bâtons, vous m’enlevez mes enfants pour nourrir les vôtres et à leur place…

Mais tandis que vous vous parez de titres lumineux, comment puis-je me retrouver, moi, dans votre assiette ? Car si le coup est donné, si le couteau entame mes chairs, c’est pour vous, uniquement, vous qui vous honorez d’être des hommes et des femmes de bonne foi. Vous connaissez mon avenir, ma destination , vous vous nourrissez de ma peur, de ma souffrance, vous vous nourrissez aussi de votre hypocrisie.

Alors lorsque je vois un Être qui se défend d’être un homme ou une femme de la lumière, je pose  mon regard dans son cœur et trouve la vérité. Je vous vois tel que vous êtes mais là, dans un certain endroit de votre cœur, oublié de vous, la lumière n’y brille pas. Mon destin est entre vos mains : le jour ou elles seront propres je pourrai, avec mes enfants, gambader dans le pré en toute quiétude, car je saurai que ce jour la, vous me considérerez comme un être sensible et digne de respect, tout comme vous le deviendrez vous-mêmes et en votre temps.

En attendant lorsque vous vous approcherez de moi, à l’avenir, s’il vous plaît, enlever donc ce manteau de lumière, car à mes yeux, vous n’en êtes pas dignes et ma souffrance ainsi que celle de mes enfants, me le rappelle à chaque instant.

©Laetitia@FrequenceSoi

Voici aussi des extraits de Léon Tolstoï :

 » Nous ne sommes pas des autruches et ne pouvons croire que si nous refusons de voir ce que nous ne voulons pas voir, cela n’existera pas. Et cela est particulièrement le cas quand nous ne voulons pas voir ce que nous voulons manger. « 

 » Comment peut-on militer pour la paix tout en étant complice de la violence faite aux animaux ? « 

Léon Tolstoï

 

Végétalisme éthique : leon Tolstoi

 

 

 

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Les Cours par Correspondance

La vie de ces deux enfants….

De son poste d’observation, bien loin du système solaire, cet Être observe la vie qui elle, se déroule sur une planète. On l’appelle l’observatrice.  Elle est témoin de la naissance d’un être, et de son évolution. C’est une fille, les parents ont de la chance. Elle est élevée avec ses sœurs, son lait n’est pas maternel pas assez pour la communauté dit-on. Elle reçoit tous les vaccins possible, l’ordre médical l’oblige, on lui donne même un numéro qui la suivra jusqu’à sa mort. Elle grandit ainsi au milieu de ses sœurs, ne manque pas de nourriture, elle est bien nourrie, c’est une belle jeune fille.

Mais la famille veut la mariée assez tôt afin de continuer la progéniture, donc dès que cela est possible, elle aura un beau et fort prétendant. Et la voici enceinte. Son enfant vient de naitre, c’est un garçon, tant pis dit la famille, il ne nous sert pas à grand-chose, on n’a plus besoin de lui dans les campagnes, il partira au loin voir un autre monde et il nous rapportera quelques sous. Maintenant, elle a rejoint ses grandes sœurs et tous les soirs elle donne ce qu’elle a de plus cher en elle afin de rassurer le chef de famille.

Des années ont passé, elle a vieillie et a bien remplie son rôle. Mais elle n’est plus rentable alors elle aussi, ira rejoindre ce mouroir et rapporter quelques sous à ceux qui l’ont nourrit pendant des années.  Non loin de là, une naissance a lieu au même moment, c’est un garçon. Il sera probablement fils unique, les parents n’ont pas encore décidé, cela coute cher un enfant.

La mère n’a pas assez de lait, alors il reçoit lui aussi des substituts comme la petite fille. Il est vacciné aussi et on lui injecte aussi des antibiotiques pour combattre les pesticides contenus dans ses aliments. Il ne manque de rien, il est bien nourrit, on le conditionne comme la petite fille, mais il ne s’en aperçoit pas car l’éducation qu’il reçoit l’empêche de penser par lui-même, comme la petite fille. Il est doté d’un numéro qu’il gardera jusqu’à sa mort comme la petite fille.

Devenu adulte, il vient d’épouser une femme, il doit avoir une progéniture car le chef de famille, l’état d’esprit général qu’il abrite en son cœur, en a décidé ainsi, comme la petite fille. Il travaille, donne le meilleur de lui-même et les années passant, ses forces diminuent, il n’est plus rentable, comme la petite fille. Alors trop vieux et coutant trop cher au chef de famille, à la communauté il rejoint lui aussi un mouroir ou un hospice.

Ces deux mondes bien semblables se passent sur la même planète mais selon deux plans différents le premier est un plan astral dit inférieur il est le reflet du plan astral du petit garçon. Ces deux êtres ont été élevés de la même façon.

La petite fille est issue d’une famille qui n’a pas eu la chance de pouvoir choisir sa vie, le chef de famille a tout pouvoir sur elle, par contre le petit garçon avait les moyens de choisir, mais il était tellement bien programmé qu’il ne sait pas rendu compte qu’il avait la même vie que la petite fille.

On lui a fait croire que bien se nourrir, posséder de belles choses était signe de liberté et d’abondance, et pendant toute sa vie il n’a pas remis en cause ce système qui lui a broyé son individualité. Il a vécu en troupeau, a suivi les mêmes règles de ladite société, il ne s’est pas soucié de ce que la petite fille, sa voisine vivait à cause de lui et pour lui.

Le soir, lorsqu’il rentrait chez lui il se mettait à table, devant son poste de télévision qui lui dictait sa façon de vivre, lui programmait ses réactions, ses émotions, lui faisant croire qu’il était vivant.  Et trop heureux de sa petite vie, lorsqu’il se mettait à table c’était pour déguster son plat préféré : la petite fille… Qui n’était qu’autre que cette vache qui l’avait nourrit pendant des années en lui donnant son lait, et qui avait été élevée comme du bétail, tout comme lui.

Mais elle, elle n’avait pas et n’a jamais eu le choix de sa vie. Lui il était né pour montrer que tout être avait le droit et le pouvoir de vivre en toute liberté sans être asservi par un chef de famille, un chef de clan.

Ce soir, ce qu’il mangeait étaient ses propres émotions qu’il avait refoulées dans ce plan astral dit inférieur et c’est parce qu’il ne se sentait pas la force de les exprimer que la petite fille a été envoyée dans un abattoir après des années de service…..Tout comme lui.

 

Lætitia Beretti

(Reproduction interdite sans accord des ayants droits.)

 

 

 

Bénévolat,vous avez dit bénévolat !

Grive

 

Ce jeudi une petite grive a eu la mauvaise idée de frapper violemment son petit corps contre la vitre de notre fenêtre, puis comme si cela ne suffisait pas, elle s’est fait chahutée par un chat, ces mésaventures faisaient que ce petit volatile ne pouvait plus voler.  Étant informée d’une ligue pour la protection des oiseaux la LPO, j’ai donc pris contact auprès de cette association afin qu’un(e) bénévole puisse s’en occuper. Et là commence le mensonge d’une femme, bénévole de cette association, ou devrais-je dire le mensonge de ces bénévoles qui brillent par leur absence d’honnêteté. Mais avant tout, définissons le rôle d’un(e) bénévole : c’est de venir en aide à la faune sauvage en détresse, notamment aux oiseaux, qu’ils soient mazoutés, blessés, trop jeunes ou anormalement affaiblis.

 

Grive-pendueMe voilà donc un certain vendredi soir, laissant un message sur le portable d’une bénévole, la plus proche de mon domicile. Je l’informe qu’une grive avait été blessée et que la LPO m’avait donné ses coordonnées afin de prendre en charge cet animal blessé.

18h pas de nouvelles….

19h toujours pas de nouvelles.

20h : Je rappelle et là j’ai la bénévole qui m’informe qu’elle ne sera pas disponible, enfin peut-être… Ou pas bref, ce n’est pas très clair. Mais je veux connaitre la marche à suivre, je ne suis pas bénévole moi !  Nous convenons donc d’un rdv probable et me propose dans le cas où elle serait disponible de lui déposer ce samedi matin à 9h30 la petite grive.  A noter qu’elle ne me donne pas son adresse, ni son tel fixe malgré ma demande, elle reste évasive. Je n’aime pas les réponses évasives, surtout de la part de personnes qui cherchent à briller, cela en montrant sa belle carte de bénévole, rôle qu’elle a décidément du mal à remplir avec quelque efficacité.  Bref, le lendemain matin (8h30), sans nouvelles de sa part, je téléphone sur son portable, je tombe directement sur sa messagerie, je laisse un message, toujours pas de nouvelles. Qu’à cela ne tienne: je téléphone sur son fixe, et oui madame la pseudo bénévole, les pages blanches existent aussi pour vous !

Et là, Madame la bénévole me répond que si elle n’a pas allumé son portable c’est qu’elle ne voulait pas être dérangée, qu’elle déjeunait et que, de ce fait, elle n’était pas disponible pour 9h30. Mais qu’elle accepte un rdv pour déposer l’animal mal en point vers 11h00.

 

Grive2Cette réponse n’était pas satisfaisante, l’animal n’est pas au mieux de sa forme, je recontacte la LPO qui me donne les coordonnées d’une autre bénévole. Je commence à avoir l’habitude, je tombe sur la messagerie, un portable n’a jamais eu la fonction d’être joignable ou de servir à communiquer, cela se saurait ! Un quart d’heure passe ou plus… Je recontacte ma deuxième bénévole qui doit être fière d’avoir sa carte de BÉNÉVOLAT.

Bien sur, elle me répond qu’elle n’est pas disponible ! Non pas possible ! Tenace, je recontacte la LPO, qui me donne un autre numéro de téléphone, je laisse un message à cette troisième bénévole, mais sauvée une grive n’est pas valorisant pour l’ego, dans tous les cas personne ne veut d’elle et cette autre « bénévole » n’a jamais répondu à cet appel. Pendant ce temps, la petite grive a épuisé son quota d’énergie : un dernier souffle et son petit cœur s’est arrêté.

J’ai été confrontée à ces êtres qui se glorifient de porter un badge de « Protecteurs de la Nature et des Animaux » mais qui font tout pour cacher la Vérité. Pour eux, être bénévole est une façon de faire briller leur petite personnalité en mal d’importance. Des animaux, ils s’en foutent pas mal ! Aujourd’hui, je tenais à les « mettre en vedette », à les placer « au-devant de la scène », là où elles adorent être. Mais pas pour le rôle pour lequel elles ont laissé en bas du formulaire, leur prestigieuse signature mais pour démontrer qu’elles ne sont même plus de bonnes actrices mais des femmes paumés qui ne savent plus cacher leur misère morale. Pourtant, La LPO a besoin d’hommes et de femmes responsables et véritablement engagées, sur lesquelles elle puisse compter. Ce qui ne fut pas le cas ce samedi matin, hélas pour le pauvre oiseau.

 

pomponner-miroir

 

Pour vous, Mesdames puisque je n’ai eu que des femmes se pomponnant devant le miroir du bénévolat, arrêtez de vous mentir, vous faites perdre le temps à une association, à des gens qui sont investis dans un rôle courageux et qui méritent mieux que vous !

Ils comptaient sur vous pour mener à bien une petite partie seulement de leur mission. Une partie que vous n’avez même pas su assumer et remplir comme il faut. Pourtant, personne ne vous a obligé à quoi que ce soit, surtout pas à vous manquer de respect, à  vous enlaidir l’âme. Un jour votre miroir vous renverra la véritable image que vous devriez avoir de vous-même….

Et ce jour là, je ne voudrais pas être à votre place ni même à celle de votre miroir. Et encore moins à celle d’un oiseau, pour vous insignifiant.

 

 

 

Lætitia

L’animal en nous

Prémisse :

 

Certaines espèces animales existeront tant qu’existeront en nous certaines émotions.
Notre comportement émotionnel ne diffère pas trop de celui des animaux.
La présence sur terre de certains mammifères est due à la présence d’émotions que nous abritons et que nous désirons « nourrir » (et donc conserver vivantes).

Même si nous faisons partie de l’espèce la plus évoluée, nous manifestons encore des comportements proches de ceux des animaux.
Lorsque nous laissons déborder nos émotions nous exprimons notre côté animal.
Dans un groupe, les mâles s’attaquent entre eux, il y a toujours un dominant et des dominés.

De plus, le temps de libre est employé à vérifier si dominants et dominés sont bien ce qu’ils prétendent être.
Il est rare que l’homme « s’attaque » à une femme , se compare ou se mesure à elle et veuille en supplanter les aspects les plus valorisants.

Excepté dans le cas d’une aberration mentale et donc d’un trouble psychologique affectant l’esprit et le comportement qui en découle.
Dans ce dernier cas on peut tout aussi bien rencontrer le cas typique de femmes voulant supplanter le rôle convoité (ou critiqué) de « mâle dominateur. »
En effet, ce qui est critiqué est souvent pour nous d’une nature aussi attractive que ce qui est envié.

Dans le premier cas, il s’agit d’une forme « d’attraction morbide » et dans le second cas, il s’agit d’une forme de mimétisme.

On dit aussi que « l’homme reproduit toujours la valence la plus forte (c’est à dire ce qui est considéré comme étant puissant, fort et de valeur) que cette valence soit jugée légitime ou condamnable.
Les animaux sont plus sensibles que nous, ils n’ont pas un intellect leur permettant de raisonner, d’analyser et prendre du recul face à leur comportement ou celui de leurs congénères. La structure de la famille humaine est basée sur un « chef de meute » (voir le loup), même si une certaine hypocrisie sociale préférera sans doute choisir les termes valorisants de « chef de famille ».
Les mot changent mais réussissent rarement à transformer le mensonge en vérité !
Tant qu’il y aura des requins de la finance qui reniflent de loin les bons coups financiers, , il y aura des requins capables de vous sentir de loin pour se régaler de votre chair ! affraid

 

L’animal est le reflet de nos émotions.

 

L’être humain renferme aussi en lui de belles émotions et lorsqu’il les laisse s’exprimer enfin, nous avons le plaisir de rencontrer des dauphins au lieu de loups, qui représentent la spontanéité, l’insouciance, le jeu, la camaraderie, la joie…
En voulant protéger les animaux, nous voulons en fait protéger certaines de nos émotions.
Dès lors, que dire de ceux qui s’évertuent à protéger « les ours » ?

Que penser de ceux qui veulent donner « plus d’espace encore » aux loups ?
Evidemment, je ne souhaite pas dire qu’il faut exterminer, AU-DEHORS, certaines espèces animales…
Comme je craque pour le dauphin, je sais qu’il en restera au moins un sur terre, ceci tant que je laisserais en moi vivre et s’exprimer la spontanéité, la joie de vivre, le jeu, et tous les attributs symbolisés par ce mammifère.

 

Bien à vous…

 

Un Monde de Justesse

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Depuis quelques temps, ce gouvernement français nous pond des lois à n’en plus finir et surtout des lois qui vont à l’encontre de nos intérêts les plus immédiats. Dernièrement, il vient de faire main basse sur notre patrimoine (assurances vies et PEL) Il en a pris possession telle une pieuvre immense qui étend ses tentacules sur la richesse d’autrui. Tout lui appartient et son intention semble être que la notion d’individu (du latin individuum, « ce qui est indivisible ») disparaisse, ceci, au profit de « la masse », du troupeau (de moutons, en l’occurrence.)

Notre identité personnelle, nos droits premiers et pourtant inaliénable, disparaissent sous nos yeux horrifiés. Nous craignions « un » Le Pen (peu importe son sexe ou son âge) alors que nous avons hérité de bien plus fourbe et dangereux que les membres de cette famille ne le seront jamais.

Dégoûtée par tant d’hypocrisie et de mensonges, je me suis branchée sur un autre monde, un monde dit de Justesse, et non de « Justice. » Car la Justice ne saurait être « Juste », c’est-à-dire « Juste ce qu’il nous faut. » Voilà la description de ce monde et je vous avoue qu’il me plait bien.

Toute loi doit être votée par référendum. Ceux qui auront voté en approuvant cette loi seront donc sous cette loi et devront s’y soumettre, puisqu’ils l’ont votée ! Les autres qui ne seront pas dans l’acceptation de cette loi, qui auront voté contre, ne doivent pas en subir les conséquences puisque, dès le départ et très clairement, ils n’étaient pas d’accord ! Voici un exemple concret.

 Une loi vient d’être votée. Les intérêts issus de placements tels qu’assurances vies et PEL, seront taxés de plus de 15% et ceci, même de façon rétroactive.

Autrement dit, même si vous êtes CONTRE cette loi votée sans votre permission et que vous courrez retirer votre maigre pécule, vous serez tout de même taxé car la loi étant rétroactive, les charognards de nos portefeuilles pourront remonter à DES ANNEES en arrière.

Cela ne vous laisse donc AUCUNE CHANCE d’échapper à cet acte de violence inouïe, unique dans les annales françaises ! Vous ne pourrez même pas tricher, c’est-à-dire prendre le risque de vous mettre hors la loi afin d’épargner votre modeste pécule. Il s’agit donc non pas d’une simple « taxe » mais d’un acte de prise de pouvoir absolu.

La prochaine étape ne pouvant être que de déclarer l’état d’urgence en France et passer le pouvoir à la gente militaire afin qu’elle vienne écraser, dans les rues, toute tentative de d’insubordination. (Vous souriez ? On en reparle dans trois ans, alors ^^) Je poursuis donc…

Dans ce monde de Justesse, un monde où les hommes n’ont pas besoin d’être convaincants en public pour montrer qu’ils sont sains et honnêtes, cette loi serait votée par référendum. Et ceux qui auraient voté « pour »  verraient leurs intérêts amputés de cette taxe grâce à leur propre accord. Et les autres ? Eh bien, à l’inverse, ils ne seraient pas taxés et seraient donc autorisés à vivre leur liberté au lieu de seulement en entendre parler, comme nous, les Français. Il m’a été aussi montré le vote d’un Président.

Plusieurs candidats se pressentent et plusieurs candidats sont élus dans ce monde de Justesse. Ceux qui auront voté pour le candidat 1 seront placés sous la tutelle de ce candidat. Et ceux d’un autre candidat, sont placés sous la responsabilité de cet autre candidat. Chacun demeure donc libre de choix mais PERSONNE ne peut ensuite échapper aux responsabilités inhérentes à ces mêmes choix. (Pas comme les Français, lâches s’il en est, qui votent pour l’un puis se demandent ensuite pourquoi il est encore Président !)

Bien entendu, TOUTES les lois qui sont votées, le sont PAR LE PEUPLE et non par des élus, dont le seul rôle se résume, ensuite, à faire respecter la volonté du peuple. Le principe du référendum y est inviolable et inattaquable.

Dans ce monde de Justesse, chaque manière différente de penser et donc, de ressentir et d’être, constitue un « sous plan » à part entière, un de microclimat qui existe en même temps et au même endroit que tous les autres, sans que l’un n’interfère jamais sur la volonté de choix et donc, la liberté d’action des autres. Et cela change tout. Et cela consiste en la véritable démocratie (Démos Kratos = « le pouvoir au peuple »)

 Certaines personnes votent pour des lois dans le seul et unique but que leurs voisins perdent le peu de faveurs déjà acquises ou bien qu’il subisse les mêmes restrictions.

Par exemple, les artisans qui se plaignent des avantages « inouïs » (^^) offerts aux auto-entrepreneurs et qui ont eu… « Gain de cause », à savoir NON PAS de se voir attribué les mêmes avantages (pour ça, il leur aurait fallu être intelligents en plus d’être évolués) mais uniquement que les seconds PERDENT les nouveaux avantages qu’ils avaient pourtant acquis !

On frôle la prostitution, là ! Vous savez, maman donne un bonbon à petit frère 1 et comme petit frère 2 s’en aperçoit, il hurle et pour avoir la paix, maman reprend le bonbon à petit frère 1 car elle ne possède hélas pas deux bonbons mais un seul ! (la pauvre femme, quel dilemme !) Dans notre monde actuel, on ne court pas acheter un autre bonbon, on retire celui déjà donné « sans réfléchir aux conséquences » (pourtant prévisible dans un peuple de jaloux.)

Dans notre monde, cela est possible mais pas dans ce monde de Justesse que j’ai contacté. Demandez au français s’il veut recevoir lui aussi un bonbon ou… S’il ne préfère pas que celui déjà offert à son frère lui soit retiré ! Vous seriez étonné de l’unanimité des réponses…

Un dernier exemple et j’en finirai avec ce propos qui me colle à la peau comme de la fiente de pigeon. Votez pour savoir s’il faut appliquer le contrôle technique aux motos (par exemple) Vous avez voté « Oui » parce que vous trouvez ça normal ? Ok, alors POUR VOUS et pour vous seulement, il y aura un contrôle technique moto, puisque pour vous (et seulement pour vous), cela est « normal » ! Les autres ? Les autres n’iront pas au contrôle technique car pour eux, citoyen tout comme vous, possédant le même pouvoir que vous, cela n’est pas envisageable alors, tout naturellement, cela ne sera pas envisagé et donc pas voté !

 Puisse chacun subir sa propre Loi ! (le contenu de sa tête.)

 –        Vous avez voté par referendum pour le contrôle technique et donné votre voix, vous serez donc tout heureux de vous soumettre à Votre Loi.

–        Vous avez voté par referendum pour un vol de votre patrimoine, vous serez tout heureux d’y participer et cela ne sera plus un vol car accepté puis entériné par vous.

–        Vous avez voté par referendum pour une augmentation des impôts…. Toujours avec cette même joie vous payerez plus d’impôt que votre voisin qui lui, a voté contre.

 Vous avez voté pour un candidat qui ne vous convient plus, vous démissionnez et aller voir son voisin, cet autre candidat qui propose des lois bien plus intéressantes pour vous et votre bien être. Les votes de 51% n’existent pas dans ce monde car cela  ne correspond pas aux intérêts de chacun mais de seulement une faction se groupant pour penser la même chose et de la même façon..

Et pour ceux qui ne n’auront pas voté pour un candidat, lorsque ce dernier fera passer des lois « dans l’intérêt commun » (sic) seuls celles et ceux qui auront voté pour lui auront à subir ces lois ou, et à l’inverse, à bénéficier de ce qu’elles proposent. Voilà la meilleure façon de permettre l’éclosion d’un peuple fier, responsable et mature. Autrement dit, l’inverse du Français moyen.

 Dans ce monde de Justesse, chaque individu est respecté et  vit selon ces idées, son idéal et cela, sans que les autres n’en subissent les conséquences. Et ceux qui veulent se balader dans les rues ou fréquenter les magasins déguisés en Dark Vador, pourront le faire mais… Entre eux, dans la même ville et dans les mêmes magasins. Aucun Etat ne pourra plus abuser du pouvoir et se comporter en barbeau légitime sur tout un pays car ce dernier ne lui en donnera plus ni la permission ni même l’occasion. Mais en revanche, chaque membre de ce pays devra apprendre à grandir et à émettre autre chose qu’un pitoyable bêlement (si vous me suivez)

Dans un monde de Justesse, chaque homme et chaque femme vit en individu RESPONSABLE de son pouvoir, tout d’abord, et des responsabilités qui vont avec, tout de suite après. Cette vision ne plaira pas à un grand nombre. Et pas seulement à ceux qui sont au pouvoir actuellement. Le peuple de France est si lâche, les hommes si habitués à hurler chez eux et en présence de femme et enfants, que le moment venu, il perd la voix ainsi que le pantalon en présence de ses « supérieurs. » Car le Français moyen ne saurait se passer de ses « supérieurs », quoiqu’il en dise afin d’essayer de « donner le change. »

L’homme de la rue est persuadé qu’il est bête, faible et sans pouvoir aucun. Et il est si habitué à le croire puis en vivre en fonction de cette croyance, qu’il en est réduit à lever le point, certes, mais uniquement lorsque le Pouvoir en place lui a tourné le dos. Mais même cette sorte de Français là va bientôt changé. Je le sais parce que je le « vois. »

En attendant, il n’a que ce qu’il mérite, pour le moment.  Voilà ma Vision de ce Monde de Justesse. Un Monde qui n’attend que notre bon vouloir à tous pour Être et se Manifester, par nous et en nous, avant toutes autres choses.

Lætitia 

Le 26/10/2013.