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Rencontre avec Frank Hatem – Volet 2

Voici le second volet de notre rencontre avec Frank Hatem, à l’Université Francophone de Métaphysique (UFM)

Bon visionnage, et d’ici un jour ou deux, la troisième et dernière !

 

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Rencontre avec Frank Hatem (DSD)-Premier volet

Voici une vidéo, la première, faisant partie d’une trilogie, que mon mari et moi avons tourné, lors de notre visite à l’Université Francophone de Métaphysique.
Nous avons eu le privilège d’y être reçu par son directeur, Frank Hatem, Docteur en Ontologie (DSD)
Lors de cette rencontre, Frank nous a parlé de son travail, des buts de l’UFM et de la conscience, ainsi que de l’esprit.

Voici donc le premier volet de cette trilogie, en espérant que vous aurez le même plaisir, en la visionnant, que nous avons eu, en tournant ces trois vidéos !

 

 

D’ici un jour ou deux, la seconde vidéo de cette trilogie, merci de votre patience !

 

Lætitia

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L’énurésie

« Ne crie pas sur moi, maman ! »

C’est un petit garçon, il a 4/5 ans, son attention est rivée sur sa maman. Cette dernière pleure, se plaint toute la journée, car elle vit une situation difficile. Elle vient de divorcée, se retrouve seule, se sent démunie.

Ce petit bonhomme se tient devant son bol de chocolat et tout en buvant sa boisson chaude écoute maman lui déverser un trop plein d’émotions dont elle n’arrive pas à se débarrasser. Elle se plaint auprès de lui, car il est le seul à l’écouter, sa petite sœur est encore un bébé et ne peut pas encore lui prêter une oreille attentive, devenant ainsi un possible réceptacle à sa souffrance de femme. Cela dure des jours, des semaines.

 

Le soir venu, ce petit garçon va se coucher. Il appréhende cette fin de journée, car il pressent qu’il va vivre un moment difficile et honteux pour lui : il sait qu’il va encore se réveiller en pleine nuit car il aura fait pipi au lit. Maman se lève avec patience et compréhension les premières nuits. Les premiers incidents sont mis sur le compte de la séparation des deux parents. Mais les autres incidents qui surviendront, les autres nuits, seront agrémentés de reproches. Elle lui demandera de faire un effort. Pour elle.

 

Le temps passe. Maman en a assez de changer les draps tous les matins. Elle est fatiguée :  elle travaille de nuit, parce que c’est mieux payée, car dit-elle à son petit garçon, papa nous a abandonné (elle est divorcée), il nous a laissé tombé et c’est difficile, pour une femme seule, de vous élever tous les deux. Parce qu’il  y a la petite sœur, n’est-ce pas, sur laquelle il doit veiller, désormais. Maman ne peut pas, elle travaille.

C’est beaucoup trop d’émotions pour ce petit bonhomme. Il n’a pas la capacité de les conserver en lui. Maman lui crie dessus ou le gronde. C’est parce qu’elle n’en peut plus de cette situation. On comprendra ici que pour seul résultat, elle le culpabilise.  Ce petit bonhomme se sent responsable. Il croit que c’est à cause de lui qu’elle doit travailler aussi dur. Alors, son subconscient en déduit que c’est à lui de supporter le trop plein d’émotions déversé chaque jour par maman.

 

Mais le corps de ce petit garçon n’a pas la capacité de contenir ce débordement incessant d’émotions. Surtout des émotions d’adultes, qu’il ne comprend même pas et qui, d’ailleurs, ne le concernent pas. Pas encore. La Nature humaine n’a pas prévue que nos organes d’élimination servent à compenser le déversement émotif d’autrui, même si cet autrui fait partie de notre famille. Ce n’est pas prévu par la nature et cela ne le sera jamais.

 

Alors le soir venu, lorsque le corps psychique se sera décalé, l’intelligence cellulaire (subconscience) prendra le relais et videra le surplus d’émotions (eau.) A ce moment, rien ne peut manifester la volonté de se retenir puisque l’enfant dort. Il le vivra par ce que l’on appelle l’énurésie. Le corps a la capacité de gérer une quantité d’émotions qui provient de son propriétaire exclusif, et uniquement de lui. Quant au reste, le surplus, tout ce qui ne provient pas du légitime occupant de ce corps de chair, tout est évacué par les voies naturelles. Le subconscient est pré-programmé ainsi et a ordre de fonctionner selon ce programme de base.

 

Il n’est pas prévu par la Nature que les êtres humains se déversent sur d’autres êtres humains, dans l’espoir de se sentir mieux. Le petit corps d’un enfant n’a pas (encore) la capacité de se défendre, cela en distinguant ce qui provient de lui de ce qui provient des autres, en matière d’émotions. Les enfants sont prisonniers de l’emprise psychologique quasi-totale de leurs géniteurs, voire de la plupart des adultes qui gravitent autour d’eux (famille.) Lorsqu’un adulte se déverse sur un enfant, il fait endurer à ce dernier un véritable calvaire émotionnel.

 

Comprenons bien que sa maman est un véritable dieu, aux yeux d’un enfant ! Il ne peut qu’accepter tout déversement émotionnel; il ne peut que recevoir les flots d’émotions refoulés puis projetés des adultes. Surtout si cet adulte se nomme « Maman« . Une maman incapable de maîtriser les vagues émotionnelles qui la submergent, débordée qu’elle est par sa situation de femme seule et abandonnée, avec deux enfants sur les bras.

 

Ce n’est pas de la faute de cet enfant qui n’entend rien aux affaires des adultes et ne peut que subir ce que d’autres vont lui imposer sans même le réaliser. Mais puisque le corps ne peut accepter ce débordement, cela parce que ces vagues d’émotions ne lui appartiennent pas, ce petit corps n’aura comme ultime recours que d’évacuer ce trop-plein. En particulier lorsque l’enfant est inconscient, c’est-à-dire lorsqu’il est plongé dans un sommeil sans rêves.

La mère ignore tout des faits; elle n’a aucunement l’intention d’affaiblir les résistances psychologiques de son propre enfant, mais c’est pourtant ce qu’elle réussit à faire en transmettant au petit bonhomme, son lot d’émotions. Cette âme que l’on appelle « Maman » est et demeurera sans doute inconsciente des torts causés à son enfant. Et lorsque ce dernier fera régulièrement pipi au lit, elle croira que c’est lui qui a un problème, qui vit mal la perte de son père…

Et c’est lorsque l’enfant sera malade que la mère pourra se sentir un peu mieux. Alors elle prendra son enfant dans les bras et lui dira : « Allez ce n’est pas grave, va jouer avec ta petite sœur, elle a besoin de toi. »

Cette mère devrait sentir quel est son degré exact de responsabilité. Elle devrait savoir que les enfants n’ont pas un système psycho-émotionnel capable de percevoir toutes les subtilités du relationnel des adultes. Eux-mêmes n’y arrivent que peu souvent ! A croire que certaines femmes ne font des enfants que pour se sentir mieux, pour se débarrasser de toutes leurs souffrances ou «  pour sauver leur couple « , comme disent quelques-unes d’entre elles, sans même frémir d’horreur en s’écoutant parler… Mais qui s’écoute parler, à notre époque ? Qui le fait correctement s’entend.

 

Mon but n’est pas de faire le procès des femmes qui sont aussi des mères, ni de dresser d’elles un portrait aussi injuste qu’exagéré. Mon propos est de faire réfléchir les consciences disposées à le faire sans arrières-pensées ni réflexe de justification. Aussi, j’aimerais que les mères qui ont des enfants qui font pipi au lit, se tournent vers leur propre problématique, avant de rechercher celle de leurs enfants, encore trop jeunes pour prétendre en avoir.

J’aimerais montrer l’importance de cette relation charnelle entre la mère et son enfant. Même après la naissance, tout ce que ressent et subit la mère, l’enfant le ressent et le subit également. Du moins les cinq premières années, environ. Mais pour lui, les dégâts sont bien plus importants et peuvent l’accompagner ensuite, et toute une vie durant.

J’aimerais, enfin, montrer l’importance du moindre de nos gestes, de la plus innocente des paroles ou des réparties, lancées comme ça, sans même prendre le temps d’y réfléchir. L’enfant est bloqué dans sa souffrance, car cette dernière le taraude depuis son propre intérieur, depuis ses tripes et jusque dans son âme.

Il ne peut pas s’échapper, du moins au début. De même qu’il ne peut se couper des liens maternels. Et son amour pour sa mère est encore le pire de ces liens. Comment se défier de celle qui incarne la sécurité à l’état pur ? Comment ne plus lui faire confiance ? Comment réussir à la haïr, sans avoir eu le temps de devenir un adulte pour se faire ?

Chères maman, pensez d’abord à vos enfants et essayez d’être heureuses au moins pour eux. Et cessez de croire que vos enfants ont assez d’expérience vivante et un ego assez développé pour pouvoir se payer le luxe de souffrir. S’ils souffrent tout de même, ce n’est que bien rarement à cause d’eux.

 

Merci pour eux.

 

Laetitia@FréquenceSoi

 

Changer de passé : c’est possible

penseurCe qui nous marque du passé n’est pas l’événement lui-même mais notre manière d’y réagir, d’en être plus ou moins affecté. Par exemple, deux personnes assistent à un accident : l’une va être traumatisée, l’autre sera juste légèrement perturbée sur le moment. La première se souviendra de cet accident, même vingt ans après, la seconde aura oublié au bout d’un mois. Pourtant, ces deux personnes ont bien vécues la même chose, n’est-ce pas ?

Seulement, elles n’y ont pas réagi de la même façon et n’en ont pas été toutes deux affectées avec autant de profondeur, dirons-nous ici et pour simplifier. Alors quoi ? Quel est donc ce passé si présent à notre conscience et qui nous effraie ou qui nous perturbe tant ? Est-ce seulement le passé qui nous chamboule ainsi ? Certainement pas ! Alors l’événement ? Pas moins. Alors quoi ?

Réponse : L’empreinte psychologique.

C’est notre réaction à l’événement passé et la profondeur a laquelle il s’est installé en notre mémoire vitale, qui fait qu’un prétendu « événement passé » peut nous perturber, même des années plus tard.


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n somme, c’est le souvenir que nous avons de l’événement, et non l’événement en lui-même, qui est  perturbant. La preuve ? D’autres l’auraient vécus différemment ! Ainsi, en allant revisiter l’idée passée de l’événement (ou son souvenir), qui demeure la même, et en changeant le scénario de son souvenir, nous pouvons « changer notre passé » ! Et du même coup, transformer notre présent. Évidemment, nous ne pouvons pas supprimer l’événement lui-même. Ni même faire en sorte qu’il ne se soit jamais produit ! En plus, cela est inutile. Ce que nous pouvons faire de mieux est bien plus simple et efficace, en vérité !

 

Nvieillir2ous pouvons effacer « notre version » et donc, notre vision de l’époque, cela en lui imposant notre version et donc, notre vision d’aujourd’hui ! Nous n’écrivons pas l’histoire différemment ; nous réécrivons seulement la nôtre, telle qu’elle aurait pu être, finalement. Puisque d’autres avaient la possibilité de réagir différemment, alors nous le pouvons aussi, même « après », même « maintenant » ! chacun de nous décide librement de son « profil psychologique. » Et le fait que très peu d’entre nous le sache ou en soient conscients, ne change rien à la Règle ! Nous possédons, en nous, cette extraordinaire capacité d’évolution et donc, cette faculté de changer sans cesse.

Partant, pourquoi serions nous, quelques vingt ans plus tard, la même personne que celle que nous étions, vingt années auparavant ? En faisant appel aux « Réalités probables », nous trouvons là un moyen formidable de transformer notre vie présente, cela en transformant le scénario de notre vie passée.

esprit-ouvertContrairement à la croyance populaire, qui se nourrit volontiers d’à-peu-près, nous ne sommes pas ce que nous avons vécu ; nous sommes tout ce que nous avons pensé et donc ressenti de tout ce que nous avons vécu !

Changeons nos pensées de jadis et le souvenir de ce même jadis changera. Et si le souvenir change, notre vie présente change aussi ! C’est aussi simple et magnifique que cela ! Les seuls outils nécessaires à cette transformation, à cette renaissance ? La volonté de changer notre vie présente, l’imagination et la visualisation, c’est tout !

Serge Baccino
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Vos cœur et esprit sont libres ou enchainés ?

VacheEtVeauAuChamp

 

Dernièrement, ceux à qui nous avons donné notre pouvoir d’expression en votant pour eux, ont décidé à notre place de juger si une loi était viable ou pas. On leur a donné cette liberté d’agir, donc nous avons perdu la notre ! Pourquoi ? Parce que l’on a décidé de ne pas assumer nos choix, (l’énergie d’agir selon nous, notre propre ressenti et bien-être) en leur donnant notre voix, nous nous sommes égarés et avons perdu la Parole. (Nous nous sommes laissé cloué le bec, et cela donne de par la Loi de cause à effets et de correspondance, que nous laissons couper le bec à des poussins et enlever les dents à des cochons, ceci afin qu’ils n’expriment pas leur mécontentement, leur condition de vie ou casser leurs codes sociaux !)

Cette petite digression pour vous parlez d‘un sujet qui me tient à cœur depuis bien longtemps, j’ai nommé : les animaux. Pourquoi eux, et bien parce qu’ils représentent notre sensibilité, notre relation avec nos émotions, notre innocence. Un veau, vient de naitre. Il est la promesse d’une belle émotion qui pourra s’expanser (vivre dans son pré en toute quiétude) et devenir adulte (vache) si l’homme lui en donne le droit !

Donc , il y a quelques temps de cela une loi a été votée : l’Assemblée nationale, a entériné la qualité symbolique d’ « êtres vivants doués de sensibilité » pour les animaux domestiques dans le Code civil. On peut ressentir un contentement dans le cœur de certains hommes. Mais nous faut-il une loi pour reconnaître si des êtres sont sensibles ou pas ? C’est un petit pas pour certains animaux (certaines émotions domestiquées et conditionnées selon nos codes). Mais quant est-il des animaux sauvages ? Ceux qui vivent dans nos forêts, qui n’ont pas besoin de nous pour vivre, pour se nourrir, pour élever leurs petits et qui vivent selon leur code et non selon les nôtres ?

L’article visant à reconnaître un statut aux animaux sauvages a été retiré du projet de loi. Une femme s’y est opposée ! Une femme, entendez-vous ? Celle-là même qui devrait symboliser l’amour, la compassion, la tendresse et la beauté. Mais à la place, nous avons eu droit une femme incarnant un être humain sans cœur ou, et du moins, possédant une tête qui a muselé son cœur. La raison à tout cela ? Toujours la même ! Le profit, les intérêts et, vraiment en tout dernier, sa propre sensibilité. L’objectif de cet amendement était d’empêcher que les animaux sauvages dotés eux, d’une sensibilité, vivant à l’état de liberté et n’appartenant pas, hélas, aux « espèces protégées », ne soient plus chassés par des méthodes tout particulièrement cruelles.

 

AlchimieC’était, il me semble, la moindre des choses ! Pour revenir à nous, les hommes (ou assimilés), la question doit être posée différemment : Quant est-il de nos idées novatrices et créatrices, qui vont à l’encontre d’un système ? Ce fameux système dans lequel nous nous sommes tous et désormais englués. Et aussi, ce désir d’être pris en charge et ce, dans tous les domaines de la vie. Une volonté de se laisser porter, de se laisser penser, au lieu de penser, et de ressentir, pour soi-même et par soi-même. Une volonté, aussi, de correspondre à des normes socio-éducatives, d’adhérer pleinement, cœur et âme, à cet inconscient collectif, dans lequel la fréquence des idées émises est proche d’un encéphalogramme plat !

L’article visant à reconnaître un statut de notre sensibilité non domestiquée (libre) par des pensées non conditionnées (animaux sauvages) a été retiré du projet de loi. En même temps, ce qui n’est pas conditionné ne peut pas s’inscrire vraiment dans le cadre étriqué d’une loi conditionnée et promulguée par l’homme ! On comprend ces hommes, auxquels on a donné le droit de voter pour nous et à notre place. Ils ne vont pas aller dans le sens contraire de leur intérêt. Ils ne sont pas fous ou bien inconscients, eux ! C’est un peu comme si on leur demandait d’abandonner toute pression sur nous (avec notre accord), de nous permettre d’incarner notre état d’esprit le plus ludique et en toute liberté. On parle de la France avec sa trilogie fantôme : Liberté, égalité et fraternité: il serait temps que la France se mette à vivre selon ce qu’elle prêche aux autres !

Mais au fait, sommes-nous tous préparés à vivre selon nos idéaux ? Que pouvons nous oser répondre à cette question, surtout quand nous pensons à ces animaux maltraités, humiliés, asservis, leur chair écorchée à vif, leur code social bafoué, leurs progénitures qui leurs sont enlevés et ce, à peine nées (vaches laitières) ou qui sont broyés (poussin ou canard mâles), envoyés à l’abattoir pour finir euthanasiés dans les pires conditions ? Les animaux dits « de bétails », conditionnés ou la moindre expression de liberté est de suite sanctionnée, interdite par des agissements brutaux de la part de ceux qui les élèvent.

Comment peux-on accepter cela si ce n’est en réalisant que notre propre sensibilité est elle aussi, en cage, maltraitée, et envoyée à l’abattoir, cela parce qu’un programme, en nous, a jugé qu’elle n’était pas viable ? Nous trouvons que ce monde est peu sensible aux conditions des animaux (domestiques, sauvages et de bétail), mais comment peut-il en être autrement, surtout si nous passons notre temps à faire aux animaux ce que nous nous faisons ?

 

agneaux L’agneau représente notre innocence, notre spontanéité, cet enfant en nous qui ne demande qu’à jouer, à goûter cette vie qui se propose à lui, accompagné par une mère présente et attentionnée. Ce même agneau dont la vie est écourtée par le tranchant d’une lame, comme peut l’être notre intellect lorsqu’il désire blesser. Laissons s’exprimer l’agneau en nous et, du même coup, des vies à l’extérieur, seront épargnées. Ce que nous faisons à l’extérieur et sur les autres, fussent-ils « de simples animaux », c’est à nous-mêmes que nous le faisons. C’est notre sensibilité ainsi que notre candeur d’âme que nous égorgeons et saignons à blanc.

Il n’y a pas un seul animal sur notre planète qui ne soit tué, maltraité, asservi sans que l’une de nos émotions ne suivent cette même voie, sans que notre propre sensibilité ainsi que notre cœur, ne s’en retrouvent asséchées ! Si nous voulons que ce monde change, il est impératif de changer nous-mêmes et auparavant, de « montrer l’exemple » en passant par notre propre cœur ! Et ce n’est pas en sauvant uniquement des animaux que nous allons sauver ce monde ! Il est des relations qui démontrent notre capacité à aimer, à permettre à l’autre (femme, enfant, ami, etc.) de s’exprimer librement dans le respect et l’harmonie.

 

Comment nous comportons nous avec nos amis ? Voulons-nous les contrôler, les gérer ou les aimer tels qu’ils sont du moment que la relation est harmonieuse ? Alors pour cet exemple, prenons un chien, il est dit être le plus fidèle ami de l’homme. Pas difficile! Que vous soyez gentil, passez vos nerfs sur lui, ou lui donnez des coups, il remuera toujours la queue. Même s’il vous aime, il reconnait en vous  le maitre, le dominant. Il est soumis tout simplement car tel est l’ordre qu’il reçoit de son Deva. Le chien sait qui lui donne à manger, et sa captivité fait de lui un animal domestique comme le sont les domestiques, les serviteurs. Je ne parle pas ici des relations équilibrées, harmonieuses ou l’animal est traité comme on se traite, car il n’est pas besoin de loi pour se respecter mutuellement !

 

ChiotIl faut dire que le chien, par exemple, vous sert bien ! Et tant qu’il se comportera selon votre désir, il aura un biscuit ! Et tant que votre ami à quatre pattes acceptera de vous laisser déverser sur lui votre marasme psychologique, qu’il évitera de contrarier vos schémas mentaux, en somme, il aura toute votre gratitude. Avec cette compréhension, nous pouvons voir comment l’homme se comporte avec ceux qu’ils nomment « ses amis » !

Et tant que votre ami (chien) servira votre schéma, (n’ira pas dans le sens contraire) vous le garderez près de vous. Mais gare à lui si ce dernier ne cautionne plus votre état d’esprit ! (S’il commence à ne plus accepter vos coups avec autant de docilité, vos colères sur lui, s’il ne vous obéit pas ou plus comme avant), vous allez le juger, le critiquer, le rejeter, le nier, et le calomnier, puis abandonner l’idée qu’il est un ami (comme on abandonne un chien). Lorsque ce jour arrivera où vous délestant sur lui, vous aurez affaire :

– Soit à un ami qui protestera mais abdiquera par docilité, il prendra le rôle d’un toutou en rejoignant son panier, mécontent mais se sentant obligé d’obéir à son maitre.

– Soit vous aurez affaire à un ami qui prend soin de ses émotions (cœur), de son petit animal (corps) et dont les idées ne sont pas conditionnées et les émotions non domestiquées. Ce dernier préfèrera vous laisser avec votre état d’esprit combatif en restant  chez lui ,(dans son espace mental ou il est libre d’agir à sa guise et vous à la votre, mais sans lui) où il n’est pas obligé de vous obéir comme un toutou.

Alors ce jour la, vous serez de ceux qui ne voteront pas pour le bien être des animaux sauvages car vous ferez partis de ceux qui ne prennent pas soin de leur petit animal (votre corps), de leur cœur (leur sensibilité), que vous aurez muselé pour ne plus le laisser s’exprimer librement en toute harmonie. Vos schémas, auront ce jour là, pris le contrôle de votre vie (car vous aimez contrôler les autres) et votre cœur vous réclamera de la tendresse à travers ses barreaux (animaux en cage, dans les zoos, … ) que vous aurez vous-même bâtis ! 

 

Lætitia@FrequenceSoi

 

 

Le Livre de la Meditation et de la Vie de Krishnamurti

Voici un audio extrait du livre de la Méditation et de la Vie de Krishnamurti 

« Le monde est notre relation à l’autre, c’est la projection de nous-même ! Nous  projetons ce que nous sommes ! »

« La vraie révolution se fait en changeant individuellement ! »
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Cette illusion qu’on appelle « maladie »

La Sortie Astrale

La sortie astrale par Serge baccino

 

/https://www.youtube.com/watch?v=BZpQdLHqgEg

Comment prétendre ignorer ces choses ?

Lors d’un channeling, un Deva (des vaches) m’interpelle et voici un extrait de notre entretien :

Vous vous dites gardiens de la lumière, frères de la lumière, lumière par ci, lumière par là, que de beaux titres pour vous flatter d’être des hommes de bien ! Mais au fond de votre cœur, je n’y trouve qu’obscurité, je n’y vois que des regards qui se détournent lorsque vous croisez le mien. Vous ferais-je si peur, lorsque vous m’emmenez dans ce mouroir, m’abattre avec la plus grande indifférence ? Vous savez que je suis à votre merci, que je ne peux m’échapper alors pourquoi tant de violence dans vos actes, me tuer ne vous suffit-il pas ? Me manger ne rempli pas votre estomac à votre convenance ? Vous me donnez des coups de bâtons, vous m’enlevez mes enfants pour nourrir les vôtres et à leur place…

Mais tandis que vous vous parez de titres lumineux, comment puis-je me retrouver, moi, dans votre assiette ? Car si le coup est donné, si le couteau entame mes chairs, c’est pour vous, uniquement, vous qui vous honorez d’être des hommes et des femmes de bonne foi. Vous connaissez mon avenir, ma destination , vous vous nourrissez de ma peur, de ma souffrance, vous vous nourrissez aussi de votre hypocrisie.

Alors lorsque je vois un Être qui se défend d’être un homme ou une femme de la lumière, je pose  mon regard dans son cœur et trouve la vérité. Je vous vois tel que vous êtes mais là, dans un certain endroit de votre cœur, oublié de vous, la lumière n’y brille pas. Mon destin est entre vos mains : le jour ou elles seront propres je pourrai, avec mes enfants, gambader dans le pré en toute quiétude, car je saurai que ce jour la, vous me considérerez comme un être sensible et digne de respect, tout comme vous le deviendrez vous-mêmes et en votre temps.

En attendant lorsque vous vous approcherez de moi, à l’avenir, s’il vous plaît, enlever donc ce manteau de lumière, car à mes yeux, vous n’en êtes pas dignes et ma souffrance ainsi que celle de mes enfants, me le rappelle à chaque instant.

©Laetitia@FrequenceSoi

Voici aussi des extraits de Léon Tolstoï :

 » Nous ne sommes pas des autruches et ne pouvons croire que si nous refusons de voir ce que nous ne voulons pas voir, cela n’existera pas. Et cela est particulièrement le cas quand nous ne voulons pas voir ce que nous voulons manger. « 

 » Comment peut-on militer pour la paix tout en étant complice de la violence faite aux animaux ? « 

Léon Tolstoï

 

Végétalisme éthique : leon Tolstoi

 

 

 

Il suffit d’une prise de conscience…

000006685_5Je suis née dans une famille d’omnivore comme  l’on en parle beaucoup actuellement. Nous sommes en 1976, mes parents mangent du cheval et pour moi, vivant dans une grande ville, je ne fais pas encore le lien entre voir un cheval galopant dans un pré et ce morceau de viande saignant sur l’étal du boucher. J’ai donc entre 12/14 ans je ne sais plus exactement.

Un midi, j’écoute leabattoir_10-Maurs2s informations télévisées et il est question de chevaux partant à l’abattoir dans des conditions inhumaines. Je suis là, devant ce poste de télévision et écoute ce qui se passe en vérité. « j’apprends comment on les considère, de quelle manière on les maltraite, le fait que certains arrivent morts, jambes cassées, ensanglantés…  Je ne savais pas ! Je viens de prendre conscience, de faire le lien entre cet étal de viande rouge et la vie qui circulait il y a quelques heures à peine dans ces Êtres. Ces chevaux naissent, sont élevés pour être ensuite abattus afin de remplir nos estomacs !

Je viens de prendre conscience ! J’ai gardé en mémoire ce wagon du train transportant ces créatures entassées les unes sur les autres et ce sera désormais la seule image que je retiendrai. J’ai de la peine, une peine immense ! Je m’en veux, j’étais dans l’ignorance …. Puis un acte mental est posé dans ma conscience. De ce jour-là, je me rappelle m’être réveillée de ce monde de carnassier et grâce à une information et pas à des images ensanglantées, j’ai décidé de ne plus manger de viande chevaline. Je ne voulais plus collaborer à ce monde.

Il y a de cela environ 38 ans. De nos jours et à l’heure même où je couche ces quelques lignes sur l’écran de mon ordinateur, nous voyons défilé des horreurs devant les yeux de notre conscience. Nous voyons des animaux dont une seule image de leur mort, de leur maltraitance, nous ferait prendre conscience que nous ne pouvons pas, tout en mangeant notre délicieux steak, aimer les animaux puisque ce faisant, nous collaborons à ces massacres. Il faudra combien d’images de ce genre, de photos d’animaux abattus, égorgés, pour changer ?

On parle d’amour, de beauté, de compassion, d’aimer son prochain, toutes ces émotions sont vendues sur l’étal du net, mais vous aident-elles à changer ? Non ! On débat, on critique, on s’enflamme pour telles ou telles idées mais en réalité, chacun défend son bifteck. Alors, tant que cela durera, il y aura ces animaux qui partiront rejoindre une partie de ce monde où il n’existe ni amour ni compassion. Cet espace intérieur ou nous avons tué une partie de nous-même, cette émotion que nous avons envoyée à l’abattoir pour ne plus avoir à la ressentir. Mais, elle revient vers nous, car lorsque nous portons à notre bouche cette viande, ce sont nos propres émotions que nous essayons de « manger » puis de digérer (« oublier« ), car nous ne voulons pas ou ne voulons plus les ressentir. Et tant qu’un être humain se mentira ou refoulera une émotion, alors nous aurons encore, sur le fil de l’actualité, un animal/émotion de torturé.

Je ne prône pas le végétalisme ni le végétarisme, je suis pour la vie qui coule en chacun de nous. Mais l’homme aime défendre des idées, des mots sans Shakti (pouvoir), sans conscience (Chitti), mais il temps d’arrêter de débattre sur la place publique et à partir de simples paroles, passer directement aux actes. Il suffit d’une phrase, d’une prise de conscience, pour que le monde change… Mais il ne changera pas sans nous, car nous sommes les réalisateurs ainsi que les acteurs du grand film de l’Humanité.

Alors, quel film voulez-vous réalisez ? Quel monde désirez-vous créer ? Il sera fait selon votre volonté ainsi que selon votre désir ….

 

Laetitia@FrequenceSoi