Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Dedans comme dehors

Dedans comme dehors

Tout est double : si nous sommes placés en esclavage humain à l’extérieur, c’est que nous sommes esclaves, à l’intérieur, l’un ne pouvant aller sans l’autre. Ce qui nous rend esclaves, à l’intérieur, nous le savons, il s’agit de l’identification au « moi », au persona, au masque. Nous ne sommes pas la somme de nos Mémoires et pourtant, nous nous identifions à elles. Voici à présent ce qui nous a rendus esclaves, à l’extérieur. Lorsque nous sommes nés, nos parents sont allés nous déclarer en mairie. Ce jour fut établi un certificat de naissance.
Cinq ans plus tard, ce certificat de naissance est détruit et remplacé par l’acte de naissance, qui rend l’état propriétaire du nouveau-né.

L’acte de naissance ne concerne pas ma naissance, mais bien la naissance de ma personne, ou celle de la personnalité juridique que je possède, remarquez bien les mots employés ici, une possession signifie quelque chose que j’ai, et non quelque chose que je suis. Je possède un nom, le nom ne me possède pas. La personnalité juridique ou « homme de paille » est ce qui permet à ceux qui gouvernent de nous manipuler, de nous confondre (confondre ce que nous sommes et ce que nous représentons.) Lors de notre naissance, l’Hôpital ou la clinique crée le premier de tous les documents me concernant, c’est-à-dire l’enregistrement d’une Naissance vivante, c’est comme ça que ce document se nomme.

Bien que cela soit difficile, il serait très utile de récupérer cet enregistrement, car il prouve, à lui seul, que nous sommes bien un être vivant, et non une vulgaire marchandise. Un certificat de naissance a bien été envoyé à nos parents, certifiant que nous, l’homme (humain), sommes le seul bénéficiaire concernant cette personne nommée, par exemple, Henri Dupont. Ce certificat est la preuve qu’une sûreté existe, concernant notre personne, et la seule signature sur ce document public est celle du directeur de l’état civil, donc, la sûreté est le gouvernement. (Ou pour le gouvernement.) À présent, écoutez bien la suite et voyez le lien direct avec l’enseignement de la psy éso, au sujet de l’identification au « moi » !

L’éducation publique nous a entraînés à devenir puis à être cette personne, au lieu d’avoir cette personne, pour que nous, l’être humain vivant et conscient, soyons la sûreté.
 Autrement dit, le gouvernement ne peut nous mettre nous, l’humain vivant et conscient, en collatéral versus la dette publique, ça serait de l’esclavage pur et simple. Définition du terme « collatéral », en finance : « Actif déposé en garantie par le débiteur au prêteur lors d’un emprunt. En cas de défaillance du débiteur, le prêteur a le droit de conserver les actifs remis en collatéral afin de se dédommager de la perte financière subie. »

C’est la raison d’être de la création d’une personne, car cette personne, étant donné que ce n’est pas nous, peut être mise en collatéral. Tout au long de notre éducation, on nous fait croire que nous sommes cette personne, ce qui est un mensonge. Et nos parents participent, bien inconsciemment, à cette forfaiture. (Déf. (Droit féodal) : Violation par un fonctionnaire public, un magistrat des devoirs essentiels de sa charge. Chacun de nous a une personne (ou la possède), mais n’est pas une personne. Cette personne est juste une entité légale pour faire du commerce. Tout ce qui implique des lois et/ou de la monnaie issue par le gouvernement et régie par des lois est du commerce. Uniquement une personne est reconnue dans le domaine légal / du commerce. Pas un homme ou une femme.

Quand vous vous réveillez, vous êtes un homme ou une femme. Quand nous travaillons, nous utilisons notre personne. Nous administrons une personne. Nous sommes donc les seuls administrateurs autorisés pour la personne qui nous colle à la peau. 
La personne n’est pas à vous. Elle a été créée par l’état. L’état peut faire ce qu’il veut avec ses personnes. Cette personne est, par exemple, un plombier, un citoyen, un contribuable, un électeur, un résident, mais en un mot, elle est surtout une esclave, cela parce que celui qui crée quelque chose est propriétaire de cette chose.

Évidemment, personne ne peut affirmer être propriétaire de l’homme ou la femme que vous êtes, en tant qu’être vivant et conscient !
Il fallait donc créer une astuce et réussir à faire croire à chacun de nous que nous sommes bien une entité juridique dont la dénomination appartient à l’État. Voilà comment le système basé sur un mensonge a créé des esclaves volontaires et consentants, par ignorance parce que le système d’éducation publique s’est assuré de vous mentir par omission pour mieux vous contrôler. Nous sommes bien en présence d’un dol, c’est-à-dire d’une fraude, d’une manœuvre frauduleuse, d’une tromperie, en droit.

Le dol suppose à la fois, de la part de l’auteur des manœuvres, une volonté de nuire et, pour la personne qui en a été l’objet, un résultat qui lui a été préjudiciable et qui justifie qu’elle obtienne l’annulation du contrat fondée sur le fait que son consentement a été vicié.
 Votre nom et prénom sont des titres de la personne que vous avez et elle n’est pas à vous… Quand vous vous identifiez avec le prénom nom, vous vous identifiez à la personne. Surtout si le nom est écrit en majuscule. Le vouvoiement est d’ailleurs une adresse à la personne. Lisez n’importe quel document du genre « convention de carte de crédit » et ils commencent tous pas « vous”, “votre”, “vos”, ci-après la personne… Est-ce que chacun de nous se décline au pluriel ?

Sommes-nous nombreux en étant seulement nous-mêmes ? Est-ce que chacun de nous est une organisation à lui tout seul ? Chacun de nous est un être vivant et conscient. Aucun de nous n’est au pluriel quand quelqu’un nous parle. Le vouvoiement dit « de politesse » est une arnaque à l’identité.
 Quand vous signez un document pour la personne juridique, vous acceptez le rôle de sûreté pour la personne. Pourtant, vous n’avez jamais consenti à avoir cette personne. Vous n’avez jamais consenti à devoir racheter des dettes publiques que vous n’avez jamais contractées. Ces dettes publiques ont été inventées par les Banques pour nous voler en toute impunité. Un de vos droits les plus importants est votre droit de refuser de contracter.

C‘est pour ça qu’il existe une sûreté pour chaque personne (et non pour l’être vivant et conscient.) 
Tous les biens matériels dont vous jouissez (maison, meubles, voiture, y compris votre dernier iPad) ont été achetés par la personne et appartiennent à la personne. Hélas, cette personne appartient à l’état. L’ensemble de vos biens lui appartient donc aussi. Raison pour laquelle il peut les « saisir », comme on se saisit de vulgaires marchandises sans propriétaire légal. En réalité, vous êtes bénéficiaires de cette personne. Vous avez droit à tout ce qui appartient à cette personne. Cela parce que vous êtes créditeurs de toute valeur dans cette personne, par votre temps, votre énergie et vos connaissances.

Rien de tout ça n’appartient à l’État et l’État n’a pas le droit d’essayer de se l’approprier. 
Le droit actuel est le droit maritime. Imaginez que vous êtes le propriétaire d’un vaisseau. Vous êtes en mer et en vous penchant, vous tombez à l’eau. Après des recherches infructueuses, vous êtes déclarés disparu en mer. Le capitaine du vaisseau devient responsable de sa cargaison, mais pour autant, il n’en est pas le propriétaire. Arrivée au quai, si personne ne se réclame de ce navire, sa cargaison est réputée appartenir au port et à ses représentants. Le capitaine ne pourra pas empêcher que l’on monte sur son bateau afin de se saisir de tout bien s’y trouvant.

Nous sommes actuellement dans cette situation. Nous sommes disparus en mer. Et lorsque nous prétendons faire jouer nos « droits », devant un tribunal, nous « montons à la barre », mais le juge et les autres hommes de loi, ont pour mission de nous faire passer pour le capitaine de notre embarcation et non pour son propriétaire légal.

 

(Textes collégiaux. )

 

Quand la résistance à l’effort devient utile

Quand la résistance à l’effort devient utile

Nous sommes nombreux à soit nous préparer à quitter la 3D, soit à la quitter carrément. Pour le moment, cela se fait sur le plan Mental supérieur. Autrement dit, le mental des gens qui fonctionnait au niveau moyen ou médian (Centre Solaire et plexus du même nom), fonctionne, désormais, à partir du Mental supérieur (Chakra et plexus Laryngé, thyroïde psychique.) Il faut bien comprendre la différence entre l’État Profond (ou Deep State), et les forces de résistance et d’opposition. Le Deep State ne peut fonctionner qu’à partir de la 3D et sur tout ce qui s’y trouve, humains compris.

Autrement dit, au niveau purement terrestre, même si, par certains côtés, la manipulation mentale allait bon train ces quelques dernières années. Quant aux forces de résistance et d’opposition, il convient de bien distinguer leur « spécialité » respectives. Les forces d’opposition, comme leur nom l’indique, sont là pour s’opposer carrément à notre liberté, du moins, la grande partie sur laquelle nous ignorons tout ou presque. Les F.O. ont pour mission de nous hypnotiser et de nous faire croire que nous ne pouvons pas faire certaines choses, que nous n’y avons pas droit ou que cela serait malsain de notre part de s’attendre à plus ou autre chose que ce à quoi nous avons déjà droit.

Les forces de résistance (F.R.) quant à elles, se bornent, comme leur nom l’indique, à résister, c’est-à-dire à ne surtout pas nous faciliter le travail ou la vie. L’exemple le plus flagrant de F.R. est l’entité nommée « administration française » qui semble avoir été créée seulement pour nous compliquer l’accès à nos droits les plus élémentaires. Il est important de bien comprendre la différence entre s’opposer carrément à notre liberté d’être, et nous opposer une résistance même soutenue et donc, quelque peu efficace.

Les forces d’oppositions sont désormais vaincues. Rien n’est plus capable de vraiment s’opposer à notre libre arbitre. Toutefois, nous sommes si habitués à obéir, à changer d’avis, à capituler face à l’oppresseur et surtout, à dépendre d’un tiers, qu’il faudra sans doute des mois encore pour que les gens réalisent qu’ils sont libres désormais. Cependant, les forces de résistance continueront un an ou deux, au maximum, cela parce que certains d’entre nous ont besoin de s’adapter et que leur capacité à le faire et la vitesse à laquelle ils sont capables de le faire, avoisine le zéro absolu.

 

Serge Baccino

Considérations passées et présentes sur les programmations mentales

Nota : Voici un extrait d’une ancienne conférence issu de l’enseignement de la psy éso, datant des débuts de la fausse pandémie et de ce qui, à cette époque, était encore d’actualité. Même avec le recul et le temps qui a passé, certains aspects de ces extraits semblent intéressants. Car autant, la mémoire des hommes a tendance à devenir rapidement inconsciente.

Considérations passées et présentes sur les programmations mentales

Le désir de regrouper tous ceux qui présentent une même programmation mentale et donc, un même état d’esprit n’est pas des plus heureux. Ce sont les problèmes psychologiques qui sont ainsi regroupés, associés et partagés. Pas les solutions à ces problèmes. De plus, fréquenter ceux qui présentent un même schéma mental, représente le plus sûr moyen de renforcer ou d’installer cet état d’esprit plus profondément encore dans notre subconscient. En effet, à force de côtoyer des êtres qui présentent une même tournure d’esprit, nous pourrions arriver à en conclure qu’elle est normale et hautement souhaitable puisque largement partagée. C’est d’ailleurs sur cette prémisse fausse que se basent les connaissances scientifiques et sociales actuelles.

D’une manière générale, partir en croisade et tirer des plans dans le but de faire partager des idées précises et bien arrêtées à un maximum de personnes, est hautement suspect du moins pour la Psy Eso. Vous remarquerez que la plupart des « alerteurs » ne poursuivent qu’un seul et véritable but : faire admettre ce qu’ils savent ou croient savoir, à un maximum de gens. Cela devient plus proche du matraquage publicitaire que de l’information pure et simple. Sans compter que cela revient à singer littéralement ceux que l’on condamne par ailleurs, à savoir les médias hypnotiques. Autant dire que c’est plus faire le jeu du Deep State que celui de la Lumière.

Pour tous ceux qui s’intéressent à la psychologie, dire que l’être humain est programmé au possible et que son comportement usuel découle de certains schémas mentaux spécifiques est presque devenue un lieu commun. Or, il se pourrait bien que ceux qui prétendent guider leurs semblables vers une voie de réalisation spirituelle, soient eux-mêmes encore plus programmés que la moyenne des individus qu’ils prétendent guider. Les ténors de la spiritualité, en général (mystique ou religieuse) pourraient être encore moins libres que tous ceux qu’ils prétendent « libérer » de l’ignorance. Et nous pourrions dire la même chose de tous ces « influenceurs » engagés dans la lutte contre un ennemi qui se trouve tout d’abord dans leur mental.

Soyons sérieux un instant : Comment peut-on prétendre (sans pouffer de rire) « libérer » une personne de son ignorance en lui proposant une connaissance qui n’est pas la sienne ? Et une connaissance qui n’est pas acceptée est la preuve indéniable qu’elle n’appartient pas encore à celui qui a toutes les raisons valables de la refuser. Et ce refus vient du fait que la personne se base sur tout ce qui existe déjà en elle, comme informations et sentiments connexes. Être libre, d’un point de vue psychologique, revient simplement à exprimer librement ce qui se trouve déjà en soi, et non à rajouter quelque concept original qui correspond à l’état d’esprit idéalisé de certains réformateur de la dernière heure.

Mais dans ce cas, peut-on parler de liberté à propos de celles et ceux qui ont couru se faire vacciner dès la première heure et à peine la chose proposée ? La réponse est oui ! Oui, car ils étaient alors libres de faire confiance à tout ce qui se trouvait déjà en eux et qu’ils considéraient comme étant à eux, voire carrément « eux » ! Était-ce le cas ? Bien sûr que non ! Mais attention aux a priori à propos du mot liberté ! Est dit libre celui ou celle qui est en droit de « pratiquer » l’état d’esprit qui est le sien et de l’exprimer librement. Ce qui ne signifie pas pour autant que cet état d’esprit corresponde à quelque vérité ou soit même des plus heureux ! Ne confondons jamais « être libre » avec « être en sécurité » ou même, « être intelligent » !

Ici, la liberté se réfère au droit d’expression librement consentie et accueillie favorablement par nos pairs. Nous ne sommes plus libres lorsque soit, nous n’osons pas nous exprimer librement, soit lorsque notre mode d’expression n’est pas favorablement accueilli par nos semblables. Et nous n’avons plus aucune liberté lorsque les deux se manifestent conjointement (peur de s’exprimer/ refus d’acceptation d’autrui.) Mais dans ce cas, si être libre n’est pas synonyme d’être « dans la vérité », ni même de posséder un état d’esprit intelligent, comment pourrions-nous mieux comprendre encore cette manie de considérer les autres comme autant de complotistes ? Il existe plusieurs sortes d’explications, mais les deux qui nous intéressent le plus ici se présentent ainsi :

1. Parce que le contenu formel de notre état d’esprit ne correspond pas (ou pas encore) à celui de leur propre état d’esprit.

2. Parce que ce qui leur est proposé, au travers de notre état d’esprit, remet trop de croyances établies en cause et/ ou met en danger certains de leurs schémas mentaux les plus craints par ces personnes.

Dans le premier cas, il s’agit simplement de la manière dont fonctionne l’esprit d’une personne ordinaire ou non initiée à ces choses. Et dans ce cas, la personne est non seulement « dans son droit », mais de plus, s’avère incapable de « faire plus ou mieux. » Dans cette première catégorie, nous trouvons d’ailleurs les personnes les moins vindicatives et agressives envers nos idées, à savoir les personnes normalement instruites et quelque peu intelligentes. Par exemple, nos parents ou nos amis, certains faisant mine et par exemple, « de s’inquiéter pour nous. »

Dans le second cas, c’est comme si nous demandions à une personne de voir en face et en une seule journée, tout ce qu’elle s’est appliquée à se cacher, une vie durant ! Cela revient presque à une forme d’agression directe et concertée, ce qui explique, voire excuse, les réactions parfois intempestives de quelques-uns. En effet, s’attendre à ce que d’autres, non encore informées ou refusant de l’être, acceptent brusquement de prendre en compte ce qui risque fort de chambouler toute une vie de mensonges et d’ignorance crasse, relève de la plus simple inconscience.

Or, nous, en tant que Psy Eso, non seulement nous nous devons d’être conscients, en tant que Soi mais également, d’être capables de comprendre même ceux qui ne pensent pas comme nous. Voire surtout eux ! Il est donc naturel et sain de ne se grouper qu’avec ceux non pas « qui pensent pareil » ou « la même chose », mais bien avec tous ceux qui au lieu d’avoir des idées sur tout et surtout des idées, se contentent d’être conscients des faits. Être conscient n’est pas donné à tout le monde. Surtout dans un monde où si peu le sont, en vérité ! Le plus dur étant d’être aussi conscient du fait qu’il n’est absolument pas raisonnable de chercher à « faire des émules », à entraîner les autres dans une façon de penser qui nécessite plus d’être conscient que simplement instruit.

Ceci va sans doute vous étonner : ce qu’est en train de comploter le Deep State fait encore et toujours le Jeu Sacré de la Lumière ! Les enjeux sont colossaux, puisqu’il ne s’agit, ni plus ni moins, que d’une sélection naturelle basée sur le niveau de conscience, et non sur celui de la culture ou même des connaissances ésotériques ! Il va falloir mettre temporairement de côté des schémas mentaux aussi lumineux que dangereux pour nos semblables et… Pour nous-mêmes ! Essayez de trouver, derrière le voile trompeur de ce qui a l’accent du « bien » ou celui du « mal », ce qui est du domaine de l’économie de la Vie. Il n’est pas utile de donner des directives précises pour le futur qui s’en vient : chacun devra passer sur cette balance symbolique qui contient, dans l’un des deux plateaux, une simple plume. (Allusion à Mâat, déesse de vérité et de justice.)

Je prendrais donc juste un exemple, qui me semble des plus révélateurs du bon état d’esprit à avoir ces prochains mois au moins. En ce moment, il est question de faire passer une loi non pas nouvelle, mais qui rectifie celle déjà passée et à propos des sectes. L’excuse est évidente : faire taire tous ceux qui ne sont pas en harmonie avec les idées directrices du Deep State ! Vous ne pourrez plus seulement conseiller un parent ou un ami – et encore moins un voisin — à propos des dangers relatifs aux futures injections prévues. Comme ils ne peuvent pas rendre leur merde obligatoire sans déclencher une révolution mondiale et se retrouver jetés dans des bennes à ordures, ils ont trouvé un autre moyen : empêcher ceux qui savent, de prévenir ceux qui ignorent encore (ou ont très peur de savoir.)

Est-ce un mal ? Non, au contraire ! Vous n’avez pas, vous n’avez plus à intervenir, désormais. Les jeux sont faits, la séparation entre l’esprit déviant (I.A.) à l’origine de tous les maux terrestres depuis toujours, et la conscience de Soi, est désormais établie. Cela signifie que si vous prenez tout de même le risque de vous la jouer « j’ai le droit de m’exprimer librement », vous allez le payer très cher ! J’insiste ! Et comme ce sera une décision ou un choix librement consenti, personne, dans les hautes sphères, ou ailleurs, ne pourra ou même, n’aura le droit de vous venir en aide. Est-ce à dire que nous devons voir les gens aller au casse-pipe sans intervenir ? Non, cela signifie que vous allez peut-être, et cette fois au moins, comprendre qu’en tant que « moi » humain, vous n’avez aucun pouvoir !

Ou si vous préférez, en tant que simple personnalité qui s’imagine être distincte et séparée de tout et de tous. Quant à l’âme, elle est déjà au courant du scénario, actuel et futur. Du moins au niveau de son « noyau dur ». En ce qui concerne le Soi, est-il seulement utile de préciser que tout cela lui passe bien au-dessus de la tête ? Ainsi, selon vos réactions futures face à L’APPARENT abus total du D.S., vous allez, sans même le réaliser, vous positionner ! À savoir, montrer à la grande vie qui vous désirez être, en fin de compte, c’est-à-dire soit une personnalité devenue vaniteuse à force de nier son sentiment d’impuissance pourtant très pédagogique, soit une âme lumineuse, car éclairée de son seul soleil intérieur qui est le Soi.

Et selon le groupe dans lequel vous atterrirez, en fin de compte et cela, grâce ou à cause de vos propres processus mentaux, vous serez classé soit dans une catégorie, soit dans une autre. Et vous pouvez me croire quand je vous dis que l’une des deux catégories n’a pas un destin très reluisant ! Mais cela ne dépend pas de nous. Et ça n’a jamais été le cas. Sachez seulement que des plans secondaires d’aide à l’humanité, sorte de « rattrapages » pour ceux qui pourraient louper leur diplôme d’humanité, mais qui méritent au moins une seconde chance, seront très bientôt mis en place. Nous rejouons l’Atlantide 2.0 ! Déjà et à cette époque, certains initiés se refusaient d’abandonner leurs semblables, même sous prétexte de lois spirituelles !

Et il a coûté très cher à certains de se croire plus justes et plus aimants que leurs Soi Divins eux-mêmes ! Ne commettaient pas la même erreur. Ou ne permettez pas à vos Soi Naturels de la commettre une seconde fois ! (Clin d’œil.)

 

Serge Baccino

Considérations sur le septième Chakra

Considérations sur le septième Chakra

Le Chakra 7 ou Centre Coronal ou encore Sahasrara Chakra, en sanscrit, est le Centre énergétique le plus mystérieux de tous. Il est la dernière Porte, celle qui donne sur le Plan Atmique, c’est-à-dire sur la partie intérieure de notre être qui est le plus élevé. Le C7 permet de connecter à ce que l’on nomme « les Mondes supérieurs », qui ne sont supérieurs qu’en termes de vibrations, et non de « hauteur », bien évidemment.

Le plan Atmique n’est pas « dans le ciel » ou quelque part ailleurs dans l’univers. De toute manière, l’univers étant en nous, comme toutes choses, le plan Atmique est donc la partie la plus intime de notre être, en quelque sorte son cœur. Il est représenté, dans le corps énergétique de l’homme, comme un tout petit cercle au sein d’un plus grand, lui-même contenu dans ce que l’on nomme « l’amande mystique » (corps Causal.) Cette amande mystique se situe au milieu de la poitrine et affecte la grosseur d’une main ouverte.

D’ailleurs, en parlant de cœur, il faut savoir que c’est au Centre du Coronal que se situe le vrai cœur de l’Homme, avec un grand « H ». C’est en son centre que se manifeste le véritable amour, cette force colossale qui maintient entre elles et à équidistances, les planètes des systèmes solaires. À noter que c’est le clapet Coronal qui gère la pression artérielle, les fonctions spirituelles de l’hypothalamus, ainsi que la connexion supérieure à la Mère, via le premier Chakra.

 

Serge Baccino

Considérations sur le Centre Ajna

Considérations sur le Centre Ajna

Le sixième Chakra en montant (le Frontal) n’est pas uniquement celui de la vision : il est celui de la volonté, du discernement, de la faculté de se diriger soi-même et il est également le chef d’orchestre de tous les autres Centres énergétiques, majeurs ou secondaires. Cela signifie que lorsque ce Centre est propre et actif, il permet d’activer à volonté n’importe quel autre niveau d’Êtreté.

Il permet également de purifier les autres Chakra vitaux, mais aussi les organes majeurs, tels que par exemple le cœur, le foie, le pancréas, etc. Le nom sanscrit de ce Centre de Force est « Ajna ». À noter que ce mot se rapproche de « Naja » (serpent) et de « Jnana », qui signifie connaissance (comme le Jnana Yoga.) Comme tous les autres, ce Chakra est une Porte qui donne sur d’autres Mondes, et en particulier, en ce qui le concerne, sur le Plan Bouddhique.

Autrement dit, la purification et l’activation de ce Centre, permettent à notre conscience d’accéder aux fréquences supra mentales du plan Bouddhique. À noter que le mot « Bouddhique » vient de la racine sanscrite « Bod » qui veut dire Lumière. Il est intéressant de faire un parallèle entre le mot « Bod » et cet autre mot, anglais, « Body », qui signifie « corps ». Et en effet, le Chakra Frontal est celui qui permet de construire notre « corps de Lumière », prémisse de la Conscience Christique.

Lorsque vous aurez ce Centre nettoyé et activé, vous deviendrez bien plus conscients d’appartenir à la Fraternité des Lumières. Et cela vous rendra tellement joyeux que vous aurez l’impression que le monde extérieur et les autres ont changé, alors que ce sera simplement le regard que vous porterez sur eux qui sera carrément différent. Le Monde ne peut changer que si change votre vision.

 

Serge Baccino

Considérations sur la conscience

Considérations sur la conscience

Comme précédemment présenté, il n’existe qu’une seule conscience partagée simultanément par tous les corps (ou personnes physiques.) Ainsi, chaque personne physique permet à la Conscience Une et indivisible de se géolocaliser. Se géolocaliser, pour la Conscience, revient à percevoir le monde dit « extérieur » ainsi que les autres unités de conscience, selon un point de vue précis autant que limité. Ce point de vue géolocalise bien la conscience par rapport à tout le reste et donc, à tous ses autres « points de vue », dans les deux sens du terme.

Dans son premier sens, « point de vue » se rapporte donc et seulement, à la géolocalisation physique et revient à « voir le monde » d’ici, plutôt que de là-bas, par exemple. Le second niveau de « point de vue » consiste en la manière dont la personne consciente se perçoit elle-même. Il s’agit alors d’une forme peu connue de géolocalisation, de type purement psychologique, qui implique que la personne sache et incarne « qui elle est pour le moment », s’accepte « en l’état » et connaisse ses limites ponctuelles. Ceci nous sera très précieux pour comprendre la suite…

Nous avons tous, plus ou moins, des buts que nous nous donnons dans notre vie. Parfois ces buts sont plus ou moins conscients, plus implicites que clairement formulés. Toutefois, peu d’entre nous parviennent à atteindre leurs buts, même les plus légitimes. Inutile donc de parler des plus audacieux ! Pourquoi cette difficulté à atteindre un but pourtant aussi simple que légitime ? Qu’oublions-nous de faire ? Aurions-nous besoin de plus de connaissance pour se faire ? De plus de connaissance ? Non ! Nous en avons déjà suffisamment comme ça. Ce dont nous manquons, c’est de cette capacité à synthétiser nos connaissances puis de les appliquer judicieusement à notre vie de tous les jours.

Nous connaissons tous cette célèbre sentence de la psy éso : « Tout est double. » Mais nous omettons souvent d’en mentionner la suite, afin de rendre cette sentence aussi logique qu’applicable à tous les domaines de notre vie. La phrase entière pourrait s’énoncer ainsi : « Tout est double, tout s’exprime par paires de pôles opposés, mais complémentaires. » Si nous désirons atteindre un but quelconque, nous devons pouvoir nous positionner par rapport à ce but. Il doit y avoir quelque chose ou quelqu’un pour former le premier pôle, celui de départ, qui est aussi le seul actif des deux. En effet, comment atteindre un point donné si nous ne savons pas comment nous positionner par rapport à ce point d’arrivée ?

Il nous faut préalablement établir non pas un but seulement, mais nous positionner nous-mêmes, par rapport à ce but. Sommes-nous loin de lui ? Sommes-nous juste à côté, et ce, dès le départ ? Cela revient à posséder une carte d’une île au trésor, avoir le « X » pointant la position exacte de ce trésor, mais être incapable de nous positionner nous, sur cette carte, pour définir le point exact de départ de notre quête. Lorsqu’il s’agit d’atteindre un but purement physique, un du genre pouvant apparaître clairement sur une carte, il est juste nécessaire de savoir l’endroit où nous positionner sur cette carte. Le but étant matériel ou physique, c’est bien notre corps physique que nous devons géolocaliser.

Mais qu’en est-il lorsqu’il est question d’atteindre un but purement psychologique ? Par exemple, devenir un grand orateur, capable de parler au micro devant une salle comble ? Dans ce dernier exemple, celui qui nous intéresse le plus, en tant que psy éso, le but est parfaitement défini, n’est-ce pas ? Mais « d’où partons-nous » ? Autrement dit, dans quel état est actuellement notre esprit, alors que nous devrons un jour prochain, présenter toutes les qualités propres à un grand orateur ? Plus simplement, sommes-nous capables, actuellement, de rendre manifeste le but visé ? Si par exemple nous sommes une personne introvertie, qui n’aime pas se retrouver au milieu de nombreuses autres personnes, nous sommes très mal partis !

Mais cela ne saurait nous arrêter ! Alors, étant en possession de notre but et étant capables de nous géolocaliser psychologiquement parlant, nous convenons du fait que, dès que possible, il nous faudra changer certaines tournures d’esprit ou nous débarrasser de certains handicaps liés au fait de parler en public sans tourner de l’œil ! Ici, la géolocalisation ou « point de départ », consiste essentiellement à jauger de notre capacité présente à rendre manifeste notre but projeté nécessairement « dans le futur ». Un futur consistant au temps qu’il nous faudra pour rectifier le contenu de notre mental et le rendre capable de manifester notre but.

Ici, la DDP (Différence de Potentiel) entre notre géolocalisation actuelle et ce qu’implique notre but, est fonction de notre niveau actuel, de notre capacité ou pas de remplir les conditions nécessaires pour atteindre notre but. Il faut bien comprendre les deux points suivants :

1. Pour la Conscience, la géolocalisation et le but sont concomitants, car identiques, puisque le but de la Conscience étant de se géolocaliser pour s’observer elle-même à travers les autres, dès qu’elle y parvient à travers nous, son but est immédiatement atteint !

2. Mais pour que la Conscience puisse SE géolocaliser consciemment, il faut que nous soyons nous-mêmes conscients un minimum, puisqu’elle se géolocalise grâce à nous, grâce à notre personne physique. Si nous ne sommes pas conscients, elle ne l’est pas non plus !

La vraie question, avant de se demander comment atteindre un but, est de « travailler » sur le point de vue ou de départ, à savoir notre capacité à nous connaître, à être pleinement conscients de nos limites, de nos défauts, etc. C’est ici que le mensonge à soi prend toute sa triste importance, car se mentir revient à refuser de savoir « où nous en sommes » et refuser de connaître notre véritable personnalité, revient à refuser de nous géolocaliser. Conséquences : nous ne devenons pas conscients, la Conscience Générale ne peut pas se positionner en nous et à travers nous et aucun but important ne peut être atteint.

 

Serge Baccino