Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Mémoires et discernement

Mémoires et discernement

 

Tout est double : le sujet de la mémoire ne peut donc pas y échapper. Il existe deux formes de mémoires : celle relative à l’esprit de Dieu et celle relative à « l’esprit de l’homme. » Ou si vous préférez, il existe la Mémoire générale et impersonnelle de l’univers (ou du Tout Esprit) et il existe cette partie de l’esprit qui est impliquée dans l’Aventure Humaine.

En clair, la polarité « A » de chaque particule d’esprit, mémorise tout et définitivement. Cette mémoire-là étant celle de Dieu et consistant en son expérience propre, elle est ineffaçable. La polarité « B » de chaque particule d’esprit forme ce que l’on nomme « notre mémoire » (ou « mon esprit ») : C’est cette partie de la Mémoire globale de l’esprit divin qui est « effaçable. »

En réalité, on ne doit rien effacer mais remplacer une idée par une autre, nous convenant mieux, ponctuellement ou même définitivement (pour une vie terrestre, par exemple.) Si on se contente d’effacer, voire simplement « d’oublier », cela engendre un déséquilibre polaire au sein de l’esprit.

Évidemment, celui qui use de cette partie de l’esprit du Tout se sentira déséquilibré. S’il persiste dans cette façon de réagir en violation de la Loi, il deviendra mentalement déséquilibré, voire pire. +Nous devons donc REMPLACER une version mentale mémorisée, par une autre, soit meilleure, ponctuellement, soit carrément (et au mieux) opposée et complémentaire.

Exemple : nous pensons que nous avons manqué d’intelligence (ou autre) à un moment précis de notre passé. Nous réalisons brusquement que nous sommes en train de commettre une grossière erreur de jugement, car nous jugeons un acte posé sans en connaître les finalités, APRÈS en avoir connu les mêmes finalités (en connaissant les résultats et après coup.) Ce qui consiste non pas en un manque d’intelligence mais en un manque de discernement.

Le discernement arrivant avec l’expérience, cette expérience-là contribue donc à notre discernement futur. L’erreur est donc réparée, l’idée première remplacée par l’idée seconde, preuve s’il en est d’intelligence ! Une autre solution de remplacement durable, celle-là, est de prendre conscience qu’on ne peut jamais connaître les effets d’une cause avant que les deux n’aient pu avoir le temps linéaire de se concrétiser et nous, de les vivre.

En clair, nul ne peut savoir ce que va donner un acte quelconque avant qu’il ne porte ses fruits. Cette « loi secondaire » permet alors de ne plus se sentir bête en se souvenant d’actes passés alors que nous ne pouvions pas encore en mesurer les conséquences. Les divers interdits de l’enfance l’ont poussé à insister, à tenter de convaincre. Insister et convaincre devient donc un gage de réussite, de paix, de plaisir, de sécurité, etc.

Dans les familles nombreuses, les enfants apprennent très tôt à se lier ou même ligueur pour réussir à convaincre les parents. D’où cette habitude de croire, plus tard, qu’à plusieurs, on est plus sûr de gagner, etc. A noter que sur FB, on retrouve ce besoin de convaincre….

 

Serge Baccino

Ou il est question d’Inconscient Collectif

Où il est question d’Inconscient Collectif

Voici une question qui nous paraît intéressante : pourquoi est-il si difficile de changer ou même de seulement évoluer, pour une personne lambda ? Nous pourrions tout aussi bien demander pourquoi il y a des personnes qui se soucient de leur évolution comme de leur première paire de chaussettes, le résultat serait le même, car la cause est identique. Voici la réponse : parce que les gens, tous les gens, ne peuvent pas faire autrement que de penser, d’avoir des processus mentaux et que ces derniers sont tous puisés au sein de l’Inconscient Collectif (ou I.C. pour faire plus court.)

Cela dit, même si l’I.C. contient la somme des processus mentaux issus de l’esprit planétaire et utilisable par les autres humains, il existe tout de même plusieurs niveaux d’activités mentales, plusieurs « couches », pourrions-nous dire, ceci afin d’expliquer les différences entre les êtres. En effet, tandis que celui-ci présente des processus mentaux d’une grande élévation morale, en relation avec la qualité de ses actes, celui-là pense comme un charretier et est capable des plus viles bassesses. Ici, pour simplifier s’entend.

Dès lors, notre question pourrait gagner en précision si nous demandions plutôt pourquoi ceux qui se situent à un niveau mental relativement bas, ont tant de mal à s’extraire de la zone psychologique qu’ils occupent au sein de l’un des niveaux inférieurs de l’I.C. Présentée ainsi, cette question partirait d’une prémisse facilement vérifiable, en tout temps et sur la plupart des gens, que ces derniers stagnent véritablement sur l’un quelconque des niveaux ou des couches de l’Inconscient Collectif ou I.C. Qu’est-ce qui les empêche d’évoluer ? Ou, devrions-nous dire, qu’est-ce qui les empêche de réaliser qu’il serait urgent pour eux et pour autrui, qu’il le fasse (d’évoluer enfin) ?

Pour le comprendre, il faut tout d’abord être informé du fonctionnement de l’I.C. Ce dernier fonctionne selon ce que nous pourrions appeler de « l’autosuffisance » énergétique et informationnelle. Ce qui signifie que l’I.C. reçoit autant qu’il donne, ce qui lui permet de plus recevoir encore, en terme d’informations et d’énergie. Par exemple, une personne qui serait branchée mentalement sur les premières couches de l’I.C. ne s’intéresserait qu’à elle et refuserait de dépenser la moindre goutte d’énergie pour venir en aide à autrui. Elle tire cet état d’esprit de l’un des contenu formel de l’I.C. et comme la personne est en accord avec cet état d’esprit, elle cautionne puis renforce la programmation, lui apportant plus d’énergie encore (ou de vitalité.)

En retour, l’I.C. va convaincre la personne du bien-fondé de son état d’esprit, ce qui alimentera encore plus cette même façon de penser au sein de cette couche de l’I.C., et ainsi de suite. Nous avons-là un superbe cercle vicieux autogène, ce qui est une autre manière de nommer l’autosuffisance évoquée plus haut. Il a été question, à une époque, de juger de la qualité morale et psychologique d’une personne au fait qu’elle est plus ou moins adaptée à son milieu. Et par extension, la personne est de ce fait réputée être aussi bien adaptée à sa situation géographique, à son époque, à son ethnie et à la société dans laquelle elle évolue. Ou est censée évoluer !

Or, il nous paraît un brin suspect de parler d’évolution, tout en arguant du fait qu’une personne devrait être parfaitement adaptée, ne serait-ce que socialement parlant. Le fait même de considérer une personne comme étant « adaptée » lui interdit, justement, d’évoluer vraiment. Si elle évolue, c’est au sein ou dans le cadre limité d’une société dont le principal souci semble vouloir limiter le niveau de conscience et donc, d’intelligence de ses représentants.

Être parfaitement intégré, aligné ou en harmonie avec la société actuelle et donc, avec un seul et unique niveau de fréquence mentale au sein de l’I.C., est assurément un signe de mauvaise santé mentale. Certain spiritualiste l’ont fort judicieusement compris et exprimé. C’est d’ailleurs cette quasi-impossibilité d’évoluer, en passant d’un niveau fréquentiel de l’I.C. à un autre, lui étant supérieur, qui a donné l’idée, à quelques-uns, de chercher des moyens de s’extraire de ces niveaux inférieurs de conscience mentale. Autrement dit et selon l’enseignement de la psy éso, de conscience par soi. ( note : conscience relative aux processus mentaux qui sont les nôtres.)

L‘une de ces « techniques » plus ou moins heureuses, consiste à tout faire pour tenter de se démarquer du reste du troupeau. Ce peut être par le biais d’habillements ou de coiffures sortant de l’ordinaire (au mieux) ou de tout autre artifice extérieur tendant à affirmer une éventuelle différence.  Hélas, ceci attire l’attention mais ne produit pas, loin s’en faut, de réelle différences. Si différence il doit y avoir, celles-ci ne peuvent être que MENTALES, et non s’appuyer uniquement sur des actes extérieurs.

Ce qu’ignorent ces infortunées personnes désirant se distinguer de la masse, c’est que L’I.C. contient déjà toutes les idées et formules permettant censément de « se distinguer ». En somme, le contenu de l’I.C. autorise l’âme humaine à se distinguer… Comme les autres ! (Ou dans les limites connues, si vous préférez.) Ajoutons qu’une personne passe inaperçue lorsqu’elle se trouve parfaitement alignée avec les ondes magnétiques de l’I.C. C’est un peu comme si elle se tenait en son centre et ne présentait aucune différence de potentiel (DDP) entre son propre état d’esprit et ce que propose le niveau auquel elle est intimement reliée.

Lorsqu’une personne cherche vraiment l’originalité, c’est comme si elle se décalait d’un côté ou de l’autre du cercle fermé de l’I.C. (ou encore en haut, ou en bas, etc.) Mais lorsqu’une personne s’approche trop de la lisière énergétique et informationnelle, l’I.C. réagit, et ce sous la forme concrète de l’un quelconque de nos amis ou proches parents, afin de tenter de nous ramener « à la raison » (ou « dans le cercle ») le plus vite possible. Pour l’I.C., passer la limite, c’est perdre le moyen d’informer une personne de ce qu’elle doit être, faire, dire, etc. C’est perdre tout pouvoir sur elle et donc, perdre de l’énergie.

 

Serge Baccino

 

A propos de mémoires

A propos de mémoires

(Les Brèves de la psy éso)

Nous sommes affectés par nos Mémoires. Pour que les Mémoires nous affectent, présentement, il faut qu’elles se manifestent, présentement.  Les Mémoires ne sont pas originaires du passé : elles doivent être présentes en nous pour affecter notre présent.

Les Mémoires sont sans cesse réactualisées, du fait que nous les invoquons sans même le réaliser. Sans cette invocation constante, il n’y aurait aucun passé, aucunes Mémoires mais un présent correspondant parfaitement à qui nous sommes ou voulons être.

Se référer au passé donne du pouvoir au « moi » (ou ego). Se positionner dans le présent donne la prépondérance au Soi. La preuve : quand je ne pense à rien, je ne subit aucune souffrance relative « au passé » et donc, aux Mémoires.

Pour souffrir, il faut penser et se recréer un passé au sein même de notre présent.

 

Serge Baccino

Où il est question de voyance

Où il est question de voyance

(les Brèves de la psy éso)

Un voyant capte uniquement l’instant présent, ce moment où nous formons notre futur. Futur qui se produira si nous continuons de le former de la sorte, en pensant de la même façon.

Le clairvoyant perçoit les diverses probabilités, à savoir ce que nous sommes en train de produire, comme futur probable, ainsi que ce que nous pourrions aussi bien construire et par ailleurs.

Le Clairvérant est, comparé aux deux premiers, le seul capable de comprendre l’état d’esprit présent de la personne, pourquoi elle se forme tel ou tel autre futur probable et ce qu’il serait utile de lui expliquer pour qu’elle devienne libre de se créer le futur de son choix, voire d’en changer radicalement en cours de route.

Le voyant se borne à exprimer ce qu’il voit. Le clairvoyant se borne à énoncer les diverses autres possibilités, mais seul le Clairvérant est capable de transmettre à la personne des lois mentales qui lui permettront, par la suite, de devenir son propre consultant en voyance.

Mais dans tous les cas, quoique nous soyons en train de créer, comme futur probable, nous pouvons en changer rapidement et à volonté. Cela seul doit être retenu, en fin de compte.

 

Serge Baccino

Vous avez dit Daemons ?

Vous avez dit Daemons ?

(Extrait d’une conférence issue de l’enseignement de la psy éso.)

Toute idée est un Daemon. D’entrée, tout est dit ou presque. Leur rôle est d’engendrer notre réalité. Sans eux, il n’y aurait que le RIEN, sans conscience de quoi que ce soit. La conscience humaine a besoin de s’appuyer sur un quelconque objet des sens, afin de former des prises de conscience. On appelle cela la conscience objective, c’est-à-dire cette prise de conscience relative aux objets des sens. Cependant, les fonctions purement subjectives font également office de sens. Du coup, une idée sert aussi bien de support mental à la conscience qu’un objet physique observé.

Les idées ou Daemons sont ce qui engendre la réalité personnelle. Autrement dit, nos idées nous permettent de nous créer une réalité intérieure ou personnelle. Un Daemon peut produire sur l’être humain des effets fastes ou néfastes, soit positifs soit négatifs. C’est la réponse de l’homme aux idées qui donne la mesure de ce qui en résultera pour lui (de l’agréable ou du désagréable.)

Que nous le réalisions ou pas encore, nous vivons de nos idées. Si nous n’avions aucune idée, nous ne serions conscients de rien. L’extérieur n’existe pas. Les autres non plus. Il ne s’agit que de simples idées que nous projetons sur une toile déjà informée (matrice artificielle), elle-même contenue dans une plus grande Matrice, nommée « Matrice Divine » ou Originelle.

Autant dire que même si les Forces de l’Ombre et le Deep State venaient à disparaître, nous serions toujours confrontés au véritable problème. Mais une fois ce problème réglé, nous aurions alors accès à une forme de réalité bien plus agréable, car adaptée au mieux à notre humanité (Celle des niveaux inférieurs ou physiques de la Matrice Divine, soit la 5D.)

Nous n’avons donc aucun problème personnel. Jamais ! Nous ignorons seulement que ce que nous appelons « la réalité », c’est en fait nous-mêmes qui la formons, conjointement avec tous les autres humains. On nomme cela la réalité collégiale, qui n’est pas plus réelle que celle engendrée plus ou moins consciemment par un seul individu. Une somme est supérieure à l’un quelconque de ses éléments constitutifs, mais ce n’est là en rien un gage de véracité.

La première étape pour se libérer du pouvoir des Daemons négatifs, (nommés alors démons, plus simplement) c’est d’apprendre à penser seul, à s’assumer le fait que nous sommes responsables de nos productions mentales et à ne plus être dépendant des uns et des autres. La dépendance à autrui est la forme la plus élevée d’esclavage spirituel, puisque non seulement ce n’est pas nous qui pensons mais de plus, ces pensées ne sont pas les nôtres. Ni à notre avantage.

La seconde étape consiste à réaliser (comprendre) puis à assumer le fait révolutionnaire pour un humain, que désormais, tout dépend de lui, qu’il est devenu responsable de TOUT ce qui lui arrive, de bon comme de mauvais. Nul n’est libre s’il n’est tout d’abord responsable.

Dès lors, la troisième et dernière étape peut être franchie. Elle consiste à « commander aux Démons », comme le disaient les anciens ésotéristes, à savoir être capable de bien faire sentir aux Daemons (les idées) que c’est nous qui commandons, qu’ils ne sont là que pour nous servir et que s’ils tentent encore de prendre le contrôle, ils seront définitivement détruits.

Car nous avons tout pouvoir sur les Daemons, une chose que savent les forces de l’ombre et qu’elles ont tout faits pour nous cacher. Car celui qui comprend qu’il est « Maître des Démons » (et non l’inverse), devient capable de maîtriser sa vie et de commander à l’esprit au lieu de lui être asservi.

 

(Fin de l’extrait.)

 

Serge Baccino

 

 

Inconscience du conscient

Inconscience du conscient

Voici quelques éléments de réflexion qui ne manqueront pas d’intéresser ceux qui aimeraient y voir un peu plus clair au sujet du conscient, de l’inconscient, des Mémoires et de ce qui est considéré comme étant « réel » ou non. Bien évidemment, ce ne sont là que de simples considérations simplifiées, voire vulgarisées, afin d’être accessible à tous et à chacun.

Commençons par ceci : ce que nous recevons de ce que nous demandons, définit la nature ainsi que la qualité de ce que nous avons demandé. Si cela vient de Soi, cela est forcément agréable et bon. Si cela vient du « moi », cela risque de nous décevoir au moins.
Il faut savoir que le subconscient est délibérément entretenu par le conscient. Si vous pensez régulièrement la même chose, vous ressentirez les mêmes choses et, bien sûr, vous vivrez ou expérimenterez les mêmes choses.

Le subconscient sert de poubelle provisoire à tous ce que nous refusons d’admettre comme réel. Est considéré comme étant réel, par nous, tout ce dont nous avons conscience. Le reste est donc considéré comme étant irréel. Irréel, certes, mais présent dans les Mémoires, empoisonnant notre présent, nous faisant vivre « au passé », pour ainsi dire. Ou plus sobrement, nous faisant vivre selon son contenu formel.

À force d’éluder tout ce qui nous dérange, nous n’en sommes plus conscients, certes, mais nous en sommes toujours dérangés ! Le travail d’un psy éso est de rendre de nouveau conscient et donc réel pour soi, tout ce qui se trouve refoulé dans les Mémoires. Le problème est que le rôle du subconscient est de nous protéger du mal. De tout ce qui, et à nos yeux, représente le mal. Et pour nous, est mal ce qui peut troubler notre quiétude mentale. Partant, et puisque nous avons réussi notre œuvre d’inconscience forcée, nous devons nous servir du Pouvoir du Verbe !

Loi : Il est impossible de faire taire le Verbe !

L‘un des rôles du subconscient est de nous protéger de tout ce que nous désirons oublier. Comprendre de nous épargner de devoir connaître à tout prix. Mais il n’entre pas en ses attributs de nous protéger du Verbe et donc, de ce que nous disons. Le problème c’est que plus personne ne s’écoute parler. Si les gens s’écoutaient vraiment, ils réaliseraient, stupéfaits, qu’ils révèlent, à chaque instant et par la parole, tout ce qu’ils désirent cacher, que ce soit à eux-même ou à autrui.

L‘une des facultés d’un véritable psy éso est donc de savoir écouter. D’écouter vraiment, et non de projeter, sur celui qui parle, une idée préconçue de ce qui va être dit ou pire, de ce qui devrait être dit. Certaines phrases ou certains mots-clefs sont exprimés inconsciemment. Ces mots-clefs, véritables déclencheurs, ont la capacité d’éveiller le subconscient de celui qui écoute (ou qui sait vraiment écouter), et de le placer en syntonie vibratoire avec le subconscient de celui qui exprime bien plus qu’il ne le pense.

En clair, ces mots-clefs alignent vibratoirement les deux subconscients (parleur/écouteur) et permettent à celui qui écoute, de recevoir des indications directes et très précieuses, au sujet des véritables problèmes de celui qui s’épanche. Car les gens ne connaissent pas leurs véritables problèmes. S’ils le connaissaient, ces problèmes auraient disparu depuis longtemps !

Celui qui écoute -ou qui a apprit à le faire-  capte bien plus ce que l’on nomme (à tort) les non-dits, que ce qui est exprimé consciemment. Évidemment, celui qui a appris à écouter au-delà des mots usuels, doit être lui-même en harmonie avec son subconscient. Ce n’était ici que quelques bases de réflexion, à vous de découvrir le reste en vous explorant.

 

Serge Baccino