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Fin de la Matrice Archontique (extraits)
Qu’est-ce que la Matrice Archontique, déjà ? Réponse : c’est le faux monde extérieur qui a été créé par les Archontes, il y a très longtemps de cela et qui est normalement renforcée tous les cents ou deux cents ans, environ. Le renforcement de ce monde onirique et semi-hypnotique se nomme généralement un « Reset » ou « Grand Reset ». Ce dernier aurait dû avoir lieu aux alentours de 2030 ou un peu avant. Tout dépend, dans l’affaire, des réactions humaines. Les gens demeurent-ils endormis, sous l’influence matricielle ? Alors le « Great Reset » est retardé. Les gens commencent-ils à s’éveiller, de ci, de là, créant un véritable foyer probable de révolution ? Le Reset est avancé.
La Matrice extérieure ou « Archontique » ne craint pas les diverses révolutions humaines. La plupart du temps, ce sont ses agents d’entretien (humains ou non) qui les organisent généreusement à l’attention des peuples devenant un peu trop curieux ou exigeants.
Et lorsque de véritables révolutions populaires font mine d’apparaître, elles sont immédiatement étouffées dans l’œuf, que ce soit par conspiration, meurtres ou actions musclées contre les belligérants. Dans la Matrice Archontique, même les lois supposées défendre la population, sont ainsi faites afin que cette même population n’ait que le sentiment d’être protégé et en sécurité, et non dans le but que cette même population le soit vraiment.
Depuis les tout débuts, qui restent encore confus d’un point de vue historique ou linéaire, les Archontes et leur bras armé terrestre nommé « le Deep State » ou « État Profond », mènent la Danse d’une main aussi ferme qu’intelligente. Lorsqu’un être fait mine de s’éveiller, ils ont ordre de le laisser faire et ne peuvent absolument pas intervenir, même s’ils peuvent en suivre le développement, du début à sa finalité probable. Ils ne peuvent pas intervenir sur un seul être, tant que ce même être ne commet pas l’erreur grossière de se prendre pour un meneur ou Guide des consciences. Mais lorsqu’un être, quel qu’il soit, fait mine de partager sa connaissance de la vérité et de pousser à l’éveil ses semblables, les Archontes et l’État Profond sont alors en droit et en mesure d’intervenir. Pourquoi cela ?
Il est difficile d’expliquer correctement ce sujet sans tomber nécessairement dans des lieux communs ennuyeux et qui, en fin de compte, n’expliquent rien du tout, bien au contraire ! Mais pour résumer, disons que de Très Hautes Intelligences Cosmiques savent que le « Bien » et le « Mal » ne sont que de simples concepts humains. À tel point que le Bien peut faire beaucoup de mal et ce qui était considéré comme étant Mal peut produire beaucoup de bien. Dès lors, plutôt que d’user de termes désuets tels que « Bien » et « Mal », les Hautes Instances Spirituelles se fient à ce que nous connaissons comme étant « l’économie de la Vie ». À savoir qu’ils laissent faire ce qui semble mal mais peut générer des choses au moins utiles, pour ne pas dire bonnes, tandis qu’ils acceptent que soit stoppée toute action se révélant, à la longue, plus contre-productives qu’autre chose.
Il n’est pas important de savoir si ce dernier concept « échappe » ou non à notre intelligence humaine. L’important est de savoir qu’il existe ce que l’on nomme « un Codex » concernant ce qu’il est possible ou non de vivre, de faire ou même d’être, durant une incarnation humaine sur la planète Terre. Tant que les lignes générales de ce Codex sont respectées et ce, « des deux bords », tout ce passe au mieux que possible et en vertu des grandes lignes de ce même Codex. Mais dès que l’une des deux factions probables, nommées ici et par sens pratique « le Bien » et « le Mal » outrepasse ses droits ou agit de manière à perturber le délicat équilibre des Forces en Présence, quelque chose dont nous ignorons l’essentiel et que nous nommons « La Source », intervient pour remettre les choses à leur juste place.
Ce qui a été qualifié comme étant « les deux bords » ou « les deux factions probables », se résume à ce que nous, humains, considérons comme étant bénéfique ou maléfique, agréable ou désagréable, soit ce qui nous semble faire partie du « Bien » ou de son opposé complémentaire, le « Mal. » Au cours des siècles, ces deux entités impersonnelles issues de l’humanité mais surveillées par « Bien Plus Haut », ont essayé de faire régner leurs idées et règles. Cela a même donné naissance à cette idée séduisante pour certains, qu’il existe une sorte de Grande Loge Blanche ainsi que son opposée, une Grande Loge Noire. L’idée, nous l’aurions compris, était de séparer celles et ceux œuvrant pour le bien commun de celles et ceux œuvrant d’une manière égoïste et, évidemment, aux dépens des premiers et de ceux qu’ils se proposent de défendre.
Est-ce que ces deux factions humaines et « surhumaines » puisque perdurant après l’abandon du corps physique, en fin d’incarnation, avaient le droit d’exister et de se produire librement ? La réponse est mitigée, comme toujours, car plus subtile qu’une simple question de nature binaire. En fait, « Oui et non » est la seule réponse la plus approchante, bien qu’elle puisse mériter de plus amples explications. Oui, chacune des deux factions avait et a encore le droit d’exister, mais pas d’une manière « légale », si l’on peut dire. En fait, c’est un peu comme dans le cas de ces « polices » civiles de quartier, consistant en un comité de défense de personnes résidant en un même quartier et soucieuse de se défendre du fait que les forces de police officielles se révèlent dépassées par le nombre de forfaits.
Normalement, les gens n’ont pas le droit de se faire justice eux-mêmes, mais les forces de police ferment les yeux, à condition que ces « polices civiles de quartier » se résument à des gens non armés et qui, en cas de danger, font bien appel à de véritables policiers. Il en va de même pour les deux fameuses « Loges », définies comme étant supposément « Blanche » et « Noire ». Tant qu’aucune des deux ne prend le pouvoir absolu et définitif sur les membres de la faction adverse, les Hautes Instances Cosmiques ferment les yeux sur les nombreuses exactions et laissent l’humain faire « mumuse », comme on dit. Pourquoi ? Parce que, simplement, aucune des deux factions humaines ou pas, ne peut prendre des décisions ou commettre des actes dont la nature ne relève pas de la juridiction du Codex Originel. Autrement dit, il est laissé une certaine liberté d’être et d’action aux êtres humains ou pas en présence.
Mais dès que certaines limites sont franchies, à savoir dès que certains évènements ne sont plus utiles à l’Économie de la Vie, alors il y a intervention. On pourrait arguer du fait que, depuis des lustres, c’est le Mal qui l’emporte et haut la main. D’un point de vue purement humain, cette version est on ne peut plus respectable. Mais l’humain est-il vraiment ce qu’il croit être ? Et surtout, doit-il réellement demeurer ce qu’il est depuis ? Voici une question intéressante : « Que fait ce que l’on nomme l’être humain sur cette planète ? Pourquoi y voit-il le jour ? » dans l’élan, en voici une autre : « Qu’est-ce qui différencie vraiment un être humain d’un autre ? » La réponse est purement ésotérique ou spirituelle : son degré de Conscience. (Fin de l’extrait.)
Serge Baccino