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Nous voici déjà en 2014 ! N’est-ce pas formidable ? Nous voici rendu plus d’une douzaine d’années après le second millénaire et les gens ne savent toujours pas que c’est l’homme lui-même qui construit son propre monde, ce monde dans lequel il vit et se meut ensuite. Nous ne «sortons» pas au-dehors et ne rencontrons pas «les autres» : nous pénétrons au plus profond de nos processus mentaux et ne rencontrons que L’IDÉE que nous nous faisons de ces autres.
Cela, un jour, l’homme le comprendra, car il sera alors parfaitement «outillé» pour le croire. Ses glandes pinéale et thyroïde seront assez développées pour lui permettre d’expérimenter lui-même et en pleine conscience, tout ce qui, pour le moment, se contente d’exister sous la forme bien fragile de quelques mots écrits et lus sur un blog d’ésotérisme.
Pour quelques temps encore, nous demeurerons à une époque où les gens n’ont toujours pas compris que l’ambiance générale (psychologique et vibratoire) dans laquelle ils vivent et travaillent (foyer, famille, relations, lieu de travail, etc.) consiste en 75% de l’apport vibratoire animique commun. Ce que nous nommerons désormais «AVAC» (Apport Vibratoire Animique Commun) est bien plus facile à comprendre intuitivement qu’à expliquer à ce couillon d’intellect ! Mais nous allons essayer de traiter de ce sujet sans tout en dire, ceci afin de vous laisser le plaisir de découvrir par vous-mêmes ce vaste champs de connaissance et d’expérimentation.
Même quand nous n’en sommes pas conscients, nous vivons dans une mer vibratoire, une ambiance extérieure de base et nommée ici et, pour plus de facilité, « AVAC« . Cette dernière est formée par le dénominateur commun entre notre ambiance personnelle (chez nous, quand nous sommes seuls et en nous sentant en sécurité) et l’ambiance vibratoire générée par ce que nous nommeront simplement le monde extérieur et les autres.
Par exemple, lorsque vous êtes sur votre lieu de travail, que cela soit au bureau, à l’usine ou dans un commerce, vous ne vous sentez certainement pas aussi détendu et à l’aise que lorsque vous êtes chez vous, au sein du cadre familial et avec celles et ceux qui forment ce petit cocon sécuritaire qui est là pour nous recharger et nous détendre après chaque journée de labeur et, n’ayons pas peur de le dire, à la suite de ce stress permanent que forme, désormais, la vie sociale d’un individu moyen.
Du coup, il existe une différence de potentiel (DDP), de nature vibratoire, entre la manière dont vous vous sentez, chez vous et la manière dont vous vous sentez au boulot ou en compagnie des autres, hors de votre foyer. Cela, tout le monde a pu le sentir, le noter, d’où le fait de se languir de rentrer chez soi, chaque soir, ou bien d’attendre le week-end ou encore les vacances, avec une impatience bien compréhensible. Nous aimons tous nous sentir bien, nous savoir à l’aise et en sécurité d’un point de vue psychologique.
Mais ce que peu de gens savent ou comprennent vraiment, c’est que lorsque nous sommes au boulot, nous menons, nous aussi, un peu de «nous», de ce qui forme notre «ambiance vibratoire propre.»
Et il serait temps de comprendre puis d’accepter le fait évident que cette ambiance vibratoire, cette «aura» qui émane de nos processus mentaux et des émotions qu’ils produisent en nous et à longueur de vie, peuvent très bien être AUSSI négatives et débilitantes que celles qui émanent directement des autres et qui les accompagnent à chaque instant de leur existence.
Présenté autrement, cette ambiance plus ou moins agréable que nous ressentons quand nous sommes sur notre lieu de travail (par exemple), est formée par la rencontre de deux états d’esprit aussi différents que limités. Nous ne ressentons pas que «les autres» ; nous ressentons le résultat final et d’ordre purement vibratoire, de ce qui se passe ou se produit lorsque «ce que nous charrions avec nous et dans notre aura», rencontre puis se mélange avec «tout ce que charrient les autres, dans leurs propres auras.»
Jusque là, c’est encore facile à capter en un clin d’œil, plus par intuition que par réelle réflexion. Là où ça devient plus délicat à expliquer et donc, à comprendre, c’est que dans ce «mélange aurique» (relatif à l’aura, donc), dans cette «soupe vibratoire» de fréquences animiques, il existe un « lieu » de rencontre réel, un dénominateur commun à tous les êtres qui se côtoient ainsi.
En somme, une partie des autres et une partie de nous «pense et ressent» la même chose, ce qui engendre un «lieu commun», un plan qui est comme une sorte de plateforme sur laquelle des personnalités apparemment très différentes, peuvent à la fois se rencontrer, se comprendre et, surtout, échanger des informations précieuses. Et elles sont précieuses, car elles se rapportent toutes à ce que nous ignorons de nous, à tout ce qui a été refoulé, nié afin de ne pas avoir à à en prendre conscience et donc, à le traiter.
Les premiers mystiques, qui se fiaient plus à ce qu’ils ressentaient que ce qu’ils pouvaient être enclins à comprendre pourquoi il le ressentaient ainsi (l’aspect technique, théorique), conseillaient à leurs disciples de ne jamais refuser les rencontres et les expériences considérées comme négatives, car elles étaient toutes, sans aucune exception, porteuses d’un enseignement utile voire irremplaçable pour leur propre évolution.
Et en effet, si les autres, même lorsqu’ils nous paraissent être à l’opposé de ce que nous sommes, ont en leur aura une fréquence qui coïncide avec quelque chose en nous, il serait plus judicieux de ne pas essayer de nous priver de ce précieux apport, de cet enseignement aussi direct que vivant. Nous pouvons donc déjà un peu mieux comprendre ce que peut être l’AVAC. Il s’agit simplement d’un dénominateur commun entre deux états d’esprit apparemment différents (voire opposés) et donc, de ce qui, à l’intérieur de deux mondes apparemment très différents, est en réalité tout à fait semblable. Mais prenons un exemple concret qui sera bien plus significatif pour nous.
Sans doute faites-vous tout ce qui est en votre pouvoir pour obtenir amour, bonheur, argent ainsi qu’une bonne image de vous-mêmes. Ceci est naturel et il n’est pas question ici de chercher à le remettre en question. Par contre, il est question de définir de quelle façon vous procédez pour arriver à vos fins ! Êtes-vous de celles ou de ceux considérés comme étant «trop bon, trop con» pour ne pas dire naïf et sans expérience de «la vraie vie» (sic), ou êtes-vous plutôt de ceux que l’on considèrent comme étant de véritable salauds, des «requins» qui boufferaient leur propre mère pour arriver à leurs fins ?
Mais, finalement, ces «fins» ne sont-elles pas identiques, malgré le fait évident que vous n’y arrivez pas en suivant le même chemin ? Que peut-il y avoir de commun entre un fumier qui vendrait père et mère pour réussir et celui qui incarne à la perfection le monde des Bisounours ? La réponse est évidente : Tous deux s’y prennent très mal pour parvenir à des fins qui, par ailleurs, sont aussi nobles que respectables car typiquement humaines. Captez-vous mieux ce que je cherche à évoquer ici ?
Ainsi, si vous ne vous sentez pas bien au boulot, si l’ambiance vous paraît souvent lourde et apte à plomber votre journée et ce, contrairement à ce que vous ressentez chez vous, dites-vous bien qu’en vérité, la seule chose qui vous pèse, dans votre vie, c’est votre façon de penser puis d’agir ensuite et en conséquence. OK, mais alors, comment expliquer qu’au boulot vous vous sentiez mal et qu’une fois arrivé chez vous, vous poussiez un soupir de soulagement ? La réponse est évidente mais je suis persuadé qu’il me faut tout de même l’évoquer. «Parce que chez vous, la partie de votre état d’esprit qui demande à être améliorée ou carrément transformée, n’est pas invoquée puis dynamisé ! L’ambiance vibratoire sécurisante, car connue et acceptée, ne vous permet pas (ou plus) de SENTIR à quel point vous êtes responsable de vos malheurs !»
En clair, dans une ambiance sécuritaire, la plupart de nos schémas mentaux peuvent dormir en paix, car rien d’extérieur ou de dérangeant ne peut intervenir avec l’intention de les réveiller. Et pour traiter un problème, encore faut-il en percevoir au moins les contours généraux, ceci afin d’en prendre connaissance et réagir ensuite en conséquence. Dernière question : Comment expliquer qu’au boulot, vous vous sentiez si mal ? Réponse : «Parce que dans cette ambiance peu sécurisante, vous ressentez plus facilement vos propres limites et manquements et ne pouvez plus vous reposer, avec quelque complaisance, sur le rassurant, car connu et accepté.»
Serge Baccino
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)