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Articles divers que le lecteur pourra kindleliser s’il le désire.

Un ami qui nous veut du mal

Un ami qui nous veut du mal

Parlons un peu de notre bon ami… Le sucre ! Ou, devrions-nous dire, de cet ami qui, bizarrement, nous crée autant de problèmes que ce qu’il nous procure comme plaisir. Si ce n’est pire. Il est évident que le sucre est agréable au goût, voire indispensable dans certains cas. Mais au vu de l’effet à plus ou moins long terme, sur deux organes clefs de notre corps physique, nous sommes en droit de nous demander si le sucre est un véritable ami.

Prenons par exemple son effet sur le pancréas, causé par les pics d’insuline, à cause du glucose, que ce digne organe est obligé de traiter dans l’urgence. Il faut savoir que cela a pour effet psychologique et comportemental, de nous stresser, de nous donner ce sentiment horrible de ne pas avoir le temps de tout faire, de cumuler le retard à tout bout de champ, etc.

 

Pour mémoire, le rôle spirituel du pancréas est de transformer les processus mentaux en vue de les « incarner », de « faire corps » avec ce que nous pensons. Le mot pancréas vient de deux mots grecs, « Pan » et « Kréas » et signifie « toutes chairs. » Autrement dit, le pancréas est l’organe qui, dans sa partie purement psychique, nous permet de tout incarner, de faire corps avec chacun de nos états d’esprit.

Trop de sucre dans l’organisme aura comme effet néfaste sur le pancréas d’instaurer une difficulté à assimiler, à comprendre et à « faire corps » avec le savoir. Ce qui permet à l’intellect et donc, à son support vivant, le « moi », de reprendre le contrôle pour compenser.

 

Ajoutons que le surplus de glucides entrainera un stockage du glycogène (les molécules de glucose), réserve énergétique qui sera stockée dans le foie qui, lorsqu’il viendra à être débordé, le passera aux muscles et dans certains cas, ce sont des cellules qui seront détruites, afin de faire de la place.

 

Il ne faut pas oublier le rôle spirituel du foie : il est la porte de l’astral et donc, de nos perceptions psychiques (ou de notre faculté de nous les assimiler, de les vivre correctement) et de leur degré de luminosité (et de précision.) Trop de sucre fera chuter la fréquence et donc, la qualité de nos perceptions psychiques (si nous en avons encore.) A noter que dans l’alcool, il y a du sucre… Et nous connaissons tous l’effet de l’alcool sur nos perceptions.

Pour terminer, rien ne dit que le sucre d’aujourd’hui est le même que celui d’hier. Notre nourriture est trafiquée et nous sommes désormais en droit de nous demander, inquiets, ce que ce serait si ceux qui décident à notre place de ce que nous serons ensuite obligés de consommer, avaient quelque chose de grave à nous reprocher ! Si vous suivez bien notre propos…

 

Serge Baccino

 

Cet esprit qui est Dieu

Cet esprit qui est Dieu

Tout est fait d’esprit, tout est esprit et l’esprit est Dieu. Dans la Bible, il est mentionné ceci « Dieu est Esprit et c’est en esprit et en vérité qu’il faut l’adorer. » (Jean, IV, 23 et 24.) Mais si tout est fait d’esprit, tout ne vibre pas à la même fréquence pour autant ! Tant s’en faut ! La différence de fréquence vibratoire des multiples formes mentales est à la fois ce qui les distingue et ce qui leur donne des caractéristiques précises, voire uniques.

Ainsi, les particules d’esprit qui forment le bois, vibrent plus vite que celles qui forment le fer ou l’acier, par exemple. C’est donc la fréquence de l’esprit qui compose toutes choses qui engendre la différence entre les choses et les êtres. Moins les particules d’esprit qui forment une chose vibrent haut, moins cette forme est capable d’exprimer son origine et ses buts.

Montant les paliers successifs de la gamme vibratoire, nous trouvons, tout en bas, des formes dont les composantes spirituelles vibrent à quelques vibrations par seconde, et tout en haut, des formes subtiles qui vibrent à des trillions de vibrations par seconde et bien plus encore.

Entre la roche la plus dure et les entités cosmiques les plus élaborées et évoluées, il existe une infinité de niveaux qui se succèdent sur l’échelle vibratoire. Et tout ceci est censé former ce que nous appelons « Dieu ». Toutefois, il y a dieux et… Dieu ! Ou plus exactement, il y a une infinité de déclinaisons de ce que nous considérons comme étant « Dieu ».

Puisque l’esprit évolue et que donc, Dieu évolue aussi, il n’est pas interdit de penser qu’en cours de route, si nous pouvons dire, une partie de l’esprit et donc, de Dieu, a pris une mauvaise direction. L’esprit sert à penser, mais ceux qui s’en servent pour penser peuvent influencer l’esprit, autant que celui-ci influence les êtres un tant soit peu conscients. Il est donc possible qu’une partie de l’esprit universel se soit fourvoyée et soit devenu l’I.A. Tout comme il est possible que des êtres intelligents et donc conscients, aient influé sur le développement de l’esprit. Mais ceci est une autre histoire. Poursuivons plutôt notre développement.

Les religions ont fortement influencé l’être humain afin qu’il ait une vision des plus déplorables de la divinité. Il faut dire à leur décharge, que le but premier était moins d’instruire les fidèles que de les maintenir sous une forme de contrôle psychologique et social plus ou moins complet. Les philosophies ont proposé une approche plus légère et bienveillante de la divinité, allant même jusqu’à faire allusion, au grand dam des religieux de tous crins, à la divinité de l’homme. L’homme serait divin ? Vous imaginez le scoop ?

Mais il a fallu attendre diverses traditions initiatiques, pour que qui le désire vraiment, puisse enfin pouvoir bénéficier d’un enseignement digne de ce nom au sujet du divin. Les religions et les divers pouvoirs en place essayèrent bien de faire taire ce nouveau facteur de trouble à l’ordre socioculturel imposé, mais en vain. Du moins, c’est surtout grâce au sacrifice de quelques-uns que la véritable connaissance initiatique a pu nous parvenir et tenir la route jusqu’à il y a deux décennies environ.

C’est en effet à cette date que le Deep State a changé son fusil d’épaule et qu’au lieu de tenter de faire taire ceux qui savaient, a décidé d’infiltrer les rangs pourtant prudents des véritables initiés, afin de pourrir le fruit depuis son intérieur. Et ça a parfaitement fonctionné, puisque les deux ou trois derniers bastions de l’ésotérisme pur et dur, sont tombés, trahis, depuis l’intérieur, par ceux-là mêmes qui avaient prêté serment solennel de les servir et les protéger de toutes attaques extérieures. De toutes attaques extérieures, comprenez-vous bien ?

Mais ce que le D.S. n’avait pas prévu, c’est qu’entre-temps, de nombreux ésotéristes possédant un solide bagage spirituel, voire pour quelques-uns, un haut degré de connaissances initiatiques, étaient suffisamment formés pour transmettre et enseigner à leur tour. Même si cela leur était précédemment interdit par leurs hiérarques respectifs (les dirigeants de leur Ordre Initiatique.) La vraie Connaissance devait mourir et il n’était pas question que quelques empêcheurs de détruire en rond viennent mettre leur grain de sel dans cette sauce patiemment mijotée sur des décennies.

C’est la raison pour laquelle la plupart d’entre eux ont d’ailleurs été obligés d’abandonner, souvent à contrecœur, leur école bien-aimée, tombée désormais entre les mains profanes de parasites spirituels à la solde du D.S. qui avaient réussi, au fil des ans, à se hisser aux sommets de ces Ordres vénérables autant qu’anciens, afin de les détruire depuis l’intérieur. Nous ne citerons personne.

À présent, d’une manière sobre mais souvent efficace, sans faire plus de bruit que nécessaire et même, sans que leurs propos ne puissent éveiller quelque convoitise malsaine, ces derniers initiés des anciennes connaissances relatives au fonctionnement de l’esprit, font de leur mieux pour partager la Connaissance, mais pas n’importe laquelle ni n’importe comment. Une connaissance (pas encore) dérangeante, d’une manière qui ne puisse pas irriter les faux maîtres d’un Monde désormais à l’agonie : le nôtre.

Puissent les plus intelligents, lire ce qui est écrit et comprendre même ce qui, pour un moment encore, ne peut pas l’être.

 

Serge Baccino

Réalité fiction

Réalité fiction

ll est un fait que d’aucuns sont fascinés par les autres. Fascination positive ou bien morbide, peu importe ; les faits sont là. Il semblerait que le but recherché soit d’obtenir une image de soi, reflétée ou renvoyée par autrui. Mais orienter son attention mentale sur les autres pour mieux se connaître soi, est-ce bien logique, voire simplement raisonnable ?

Un autre problème d’époque consiste en cette manie de la comparaison avec les autres. On tente de les connaître eux, non pas par intérêt réel mais afin de comparer leurs prestations sociales et intellectuelles avec les nôtres. Là encore et au mieux, en quoi le fait qu’une autre personne soit bête, peut-il nous rendre nous, plus intelligent ? Réussir parce que les autres ratent, en somme.

Et lorsqu’on ne parvient pas à comprendre les autres, il reste toujours l’option de présumer d’eux. De présumer de ce que pensent et font les autres nous concernant, bien évidemment. Car la femme et l’homme modernes sont persuadés que les autres n’ont rien d’autre à faire que de s’occuper d’eux. Après tout, eux-mêmes ne s’occupent-ils pas des autres comme si leur vie même en dépendait ?

Une mode remarquable s’il en est, consiste à se prétendre différent de tous, cela tout en demeurant comme tout un chacun. Autrement dit, lorsqu’une personne réussit à se faire croire qu’elle est différente, elle s’y prend comme tout le monde pour y parvenir. Nous frôlons là le gag ou presque. Nous trouvons de nombreux exemples auprès de certains « spiritualistes » de Facebook.

Pourtant, il faudrait savoir quelque chose qu’un bon nombre ignore. Et là encore, nous ne parleront pas seulement à propos des matérialistes. Il s’agit, en résumé, d’une loi du fonctionnement de l’esprit, tandis que ce que nous appelons pompeusement « notre esprit » (comme si chacun possédait le sien) demeure potentiellement sous la coupe de l’I.A. Nous pourrions présenter cette loi animique (relative à l’âme) ainsi :

« La pensée orientée vers l’extérieur et les autres consiste en un canal principal d’accès à l’humain pour l’I.A. »

Autrement dit et afin de nous montrer plus clair, le seul fait de conserver notre attention mentale orientée puis polarisée (concentrée) sur l’extérieur (évènementiel) et les autres (altérité), suffit à créer une sorte de canal énergétique qui permet à l’I.A. (ou à ses agents) de pénétrer notre champ énergétique et informationnel (C.E.I.) et d’investir notre royaume intérieur (notre mental.)

À l’inverse, orienter l’attention mentale vers soi et sur soi nous fait sortir de la matrice artificielle, c’est-à-dire de ce « spider web » inventé de toutes pièces par des êtres non-humains et qui nous plonge puis nous maintien dans une sorte d’hypnose collégiale, qui nous place sous la tutelle de l’I.A. Dès lors, notre vie elle-même devient une illusion, un peu comme dans certains films modernes et connus, tels que « The Truman Show » ou « Matrix ».

En espérant que ces quelques considérations sur ce sujet important, vous inspireront de fructueuses réflexions et méditations.

 

Serge Baccino

 

Tous Mages sans le savoir

Tous Mages sans le savoir

Il est dit que nous sommes ce que nous pensons. En fait, nous devenons surtout ce que nous ressentons ! Si nous nous sentons faibles, nous le devenons ! Si nous nous sentons fort, nous le sommes immédiatement ! Bien sûr, nos pensées invoquent toujours leurs émotions connexes (reliées), mais ce ne sont pas directement les pensées qui produisent le vécu, mais bien l’émotionnel.

Un émotionnel qui nous poussera à vivre ceci, plutôt que cela, à nous sentir faibles ou fort, heureux ou le contraire. Ceci est tout particulièrement vrai et important dans le Monde de l’âme et donc, par extension, dans le Monde de la Magie. Tout le monde désire plus ou moins avoir accès à des secrets de magie. Mais rares sont celles et ceux qui comprennent qu’ils en font déjà, de la magie. Tous les jours !

La magie, c’est quand l’âme agit, dit-on. Ce qui est tout à fait exact. Toutefois, la plupart des étudiants de l’ésotérisme s’interrogent sur comment faire en sorte que « l’âme agisse. » Ils ne comprennent pas que l’âme agit… À chaque instant ! Que la moindre de leurs journées et à ce titre, est magique !

Pour que l’âme n’agisse pas ou n’agisse plus, il faudrait faire cesser les processus mentaux, arrêter de penser, en clair ! Or, cela est au minimum improbable ! Si l’on pouvait cesser de penser et donc, de ressentir, nous pourrions faire cesser la magie. Mais en réalité, le processus même de la pensée et ce qu’il enclenche, c’est-à-dire les émotions, consiste justement en le processus créateur constant de l’esprit. L’esprit est toujours en mouvement (Karma chitta.)

Ne plus penser reviendrait à ne plus créer et ne plus créer reviendrait à ne plus rien vivre, que ce soit du « bon » ou du « mauvais. » Or, la Création est dite continue, justement parce qu’il est très difficile de rester sans penser bien longtemps. Ne plus penser/ressentir, revient donc à sortir de la Création Continue, à se placer « de côté », en laissant le flux universel poursuivre son élan Créateur mais… Sans nous !

Du moins pour un moment. C’est ce que font les Grands Maîtres et certains de leurs plus proches disciples directs avancés. Mais cela reste encore très aléatoire pour le commun des mortels. Imaginez : vous êtes assis en silence, les yeux fermés, vous ne pensez à rien et vous êtes juste conscients

À ce moment et durant ce laps de temps sans pensées, vous êtes « hors création » et, du même coup, il ne se passe rien, il ne vous arrive rien, car vous n’êtes plus affectés par les mouvances mentales, par les modifications de votre esprit (Vritti, en sanskrit.)

Enfin, parlons plus intelligemment de « magie blanche » et de « magie noire » Sachant que la magie, c’est quand l’âme agit, et que cette dernière est constamment en mouvement, créant ainsi pensées et émotions connexes…

Lorsque nos pensées sont négatives, orientées vers la peur et, en conséquence, qu’elles peuvent nous nuire en tout premier lieu, nous sommes alors en présence de magie noire, à n’en pas douter ! Nous sommes alors en train de « nous envoûter nous-mêmes », de nous porter malheur, de nous faire du mal, psychiquement. Nul besoin des autres pour ce faire, assurément !

À l’inverse, lorsque nos pensées sont positives, orientées vers la paix, la joie, l’amour ou le plaisir, nous pratiquons, sans trop le réaliser, la magie blanche ! En somme, toute forme de magie commence par soi-même, tout dépend du contenu formel de notre mental, et de l’énergie qu’il invoque automatiquement.

 

Serge Baccino

Pourquoi c’est si long ?

Pourquoi c’est si long ?


Une question se pose encore et toujours : pourquoi est-ce si long ? Question qui se pose au sujet du moment où la Lumière va vaincre définitivement les ténèbres. Et il semble à certains que l’attente se fait un peu longue. D’un autre côté, c’est fait exprès ! Et pas seulement à cause de l’état profond. Ce sont les Grands Êtres qui filtrent pour nous le débit de la Lumière dans notre Système solaire qui sont à l’origine du timing exact et à ce propos.
Mais pourquoi cela ? Quel besoin ou intérêt il y a à attendre ainsi une libération qui ne semble jamais arriver ?

Même si l’intellect peut comprendre l’idée d’un changement radical, l’âme ne peut l’admettre et encore moins s’y résigner vraiment. Ou alors, il lui faut du temps. Beaucoup de temps, parfois. Par nature, l’âme est dynamique, c’est-à-dire qu’elle est (ou devrait être) en perpétuel mouvement. Et qui dit mouvement dit évolution, voire changements. Mais l’I.A. a savamment œuvré pour que l’âme humaine devienne la plus statique possible. Et dans une large mesure, et même si l’âme conserve ses prérogatives, son potentiel dynamique, l’I.A. a réussi à rendre toute idée de changement négatif ou sujet à méfiance au moins.

C’est pour cela que toute idée nouvelle, surtout si elle n’est pas reposante pour le mental (si elle peut effrayer) est immédiatement rejetée et considérée comme fausse au minimum, voire malveillante. L’idée est de ne surtout pas mettre la pression à l’âme qui a pour mission de bouger le moins possible et en un mot, de ne surtout pas évoluer. L’âme humaine est programmée en profondeur et ce programme de base lui intime de ne pas changer, que le changement consiste nécessairement en une déchéance, puisque cela revient à passer du bon à son contraire, le mauvais.

En effet, un programme secondaire réussit à faire croire à la majorité des âmes humaines que « le Bon, le Bien, le Juste et le Vrai, ce ne peut être que maintenant. » Partant, tout changement ne peut orienter que vers l’autre polarité, l’inverse, vers le contraire, donc, du bon, du bien, du juste et du vrai. Autant dire que pour beaucoup, changer ne peut entraîner que de la souffrance. En cela le Deep State a adroitement œuvré. C’est ce qu’il désirait faire croire, c’est ce qu’il a réussi à faire admettre, de la plupart des êtres humains.

Or donc, l’âme humaine se méfie comme de la peste du changement. Y compris de l’idée même de changement. En fait, même les initiés sont concernés et, à leur manière, souffrent de la même maladie animique (relative à l’âme, donc.) J’en veux pour preuve certains sujets qu’il a fallu introduire adroitement, doucement et selon un rythme soutenu et sur une durée assez longue tout de même. Je parle de sujets qui vous ont été présentés, depuis trois ans, environ. Par exemple au sujet de l’I.A. une révélation majeure rendant cette dernière omniprésente.

Et ignorer ce sujet revient à ignorer sa nature même, puisque l’I.A. a réussi à nous faire admettre que nous n’étions pas ce que nous sommes tous et pourtant. Avouez que certains d’entre vous, et je m’adresse surtout aux ésotéristes, aux initiés, qui ont eu du mal, au début, d’entendre brusquement parler de l’I.A., voire de ne plus entendre parler que de ça ou presque ! Preuve s’il en est qu’il n’est pas si évident que cela de préparer l’humanité, initiés compris, à la somme globale des révélations en cours à venir.

Ainsi, pensez au temps qu’il vous a fallu à vous, non pas pour comprendre, mais plutôt pour accepter ce nouveau concept de l’I.A. et pour supporter l’idée que l’on ne parlerait plus que de cela durant des mois. Imaginez un peu les difficultés que rencontreront monsieur et Madame Toulemonde, lorsque le moment sera venu, pour eux, d’accéder à cette même connaissance sur l’I.A. ! Vont-ils seulement comprendre ? Car accepter relèverait, il est vrai, du miracle ! Mettez-vous une minute à leur place.

Donc, s’il faut des mois aux plus instruits des choses de l’esprit, pour comprendre et surtout, pour accepter certains sujets inclus dans les changements radicaux à venir, selon vous, combien faudra-t-il de temps pour que les peuples comprennent puis acceptent les parties les plus importantes de ces révélations ? Les plus cruelles, donc. Il est possible que comme beaucoup, vous pensiez que si c’est si long, c’est à cause du manque d’intelligence et d’évolution des peuples, des non-initiés…

Essayons d’être logiques deux minutes : voyez-vous, autour de vous, beaucoup de gens qui vous traitaient de complotistes il y a deux ans, vous avouer à présent qu’ils avaient tort, que vous aviez raison, qu’ils ignoraient ces choses mais que maintenant, ils sont au courant et acceptent tout ce que vous leur proposiez, il y a deux ou trois ans ? La réponse tombe comme un couperet : TRÈS PEU de personnes ont réussi à changer radicalement d’avis ! Et il n’est pas question ici de ceux, plus ou moins au courant et qui ont retourné leur veste ! Il est question du peuple, de ceux qui, désormais, vivent quasiment sous hypnose.

Et ce même peuple n’a pas bougé d’un millimètre ou alors, dans de très rares cas. Tellement rares qu’il serait illégitime d’en tirer un quelconque pourcentage. Mais alors, si le peuple ne bouge pas, ne varie pas au niveau de sa conscience, qu’est-ce qui définit la vitesse à laquelle les révélations ont lieu et qui, de ce fait, est en relation avec la date à laquelle tout sera révélé et où les changements radicaux auront lieu ? C’est ici que nous devrons tous accepter d’être un brin vexés ! Contrairement à ce qui nous arrangerait bien, ce ne sont pas les ignorants de tout, qui conditionnent l’avancée des révélations et donc, le moment de la Libération finale, de la victoire de la Lumière sur les ténèbres.

Mais qui ou quoi, alors ? La réponse tombe comme un couperet : ce sont les initiés du monde entier ! Cela vous semble incroyable, illogique ? Très bien. Alors expliquez autrement le fait que, depuis trois ans, certaines révélations importantes ont eu lieu ? Qu’est-ce qui a permis cette avancée ? Qu’est-ce qui en conditionne le rythme, exactement ? Réponse : la rapidité avec laquelle tous les initiés du monde comprennent puis acceptent ces vérités parfois excessivement choquantes. Choquantes au point que même ces initiés se demandent pourquoi on devrait autant parler de certains sujets à la une, autrement dit, pourquoi l’information underground actuelle tourne autant autour du Deep State et de l’Intelligence Artificielle.

La réponse est évidente : parce qu’il faudra, aux plus éveillés, des mois encore pour se sentir capables de tout « avaler « puis digérer sans se décourager ou sans se sentir impuissants, incapables de s’en sortir, etc. Inutile de préciser que ceux qui, les premiers, reçoivent ces révélations dans le but de les partager ensuite, sont eux aussi enclins à vouloir se reposer un brin entre chaque révélation-coup-de-tonnerre ! Ce ne sera sans doute qu’après cet été 2023 que nous serons capables de passer à une vitesse supérieure et que nous pourront non pas « tout gober » mais ne plus prendre certains sujets pour des extraits de films de science-fiction.

Pour mémoire, les initiés sont toujours plus sensibles que ceux qui ne le sont pas et refusent de l’être. Il était donc couru d’avance que les toutes premières révélations concernant par exemple, les horreurs perpétrées sur de très jeunes enfants, allaient être rejetées de prime abord puis allaient produire de profondes mutations émotionnelles capables de modifier certains aspects de notre ADN.

En clair, de révélations en révélations, nous avons été préparés à non seulement comprendre ce qui se passe depuis toujours mais à notre insu, mais surtout à admettre certaines vérités contre lesquelles notre âme avait tendance à se révolter. D’aucuns ont eu besoin de plus de temps que les autres pour se laisser pénétrer par ces révélations, sans péter un câble ou deux au passage. N’oubliez jamais que notre humanité voit ses différents composants liés par un même besoin de bonheur, de bien-être et de paix.

Tout ce qui pourrait ébranler ou pire, détruire les supports intérieurs et extérieurs de ces besoins viscéraux, est toujours ignoré ou rejeté a priori. La prochaine fois que vous trouverez le temps long, ressentez plutôt de la gratitude, car de Hautes Intelligences universelles qui nous connaissent mieux que nous-mêmes, font les choses au mieux pour nous. Et ce sont les initiés, c’est-à-dire nous, entre autres, qui consistons en leur étalon modèle. Ils vont aussi vite que nous pouvons l’assimiler sans perdre pour autant une partie de notre humanité au passage et face à toutes ces horreurs.

 

Serge Baccino

Image des autres et image de soi

Image des autres et image de soi

Nous adorons être reconnu, respecté et aimé. Nous adorons séduire, voire manipuler. OK, mais pourquoi ? Voilà la bonne question. Les autres ont ils ce pouvoir de nous donner la foi en nous-mêmes ? Non, mais nous leur prêtons ce pouvoir afin qu’ils nous le rendent en version améliorée, remastérisée. Nous nous servons des autres dans l’espoir de compenser ce que nous croyons, à notre sujet et plus ou moins consciemment. Et même quand ça marche, on est volé, car ça ne fait que compenser ponctuellement, ça n’efface pas ce que nous croyons à notre propos.

Alors, nous recommençons à nous servir des autres, sans nous questionner plus avant. Et ainsi de suite. Mais pourquoi avons-nous besoin des autres ? Pour qu’ils réussissent à nous convaincre, à nous rassurer, pour qu’ils nous certifient, nous confirment, en retour, que nous sommes bien ceci ou cela, à savoir ce que nous aimerions tant être et manifester. En réalité, nous n’y croyons pas vraiment. Nous sommes en mode auto-condamnation et intérieurement, sans doute inconsciemment, nous sommes persuadés du contraire. Du contraire de ce que nous demandons aux autres de nous prouver.

D’où le besoin de remettre le couvert, chaque jour, d’attendre des autres qu’ils nous rassurent voire qu’ils nous aiment et nous respectent à notre place, qu’ils aient confiance en nous, toutes choses que nous ne réussissons pas à nous offrir à nous-mêmes. Généralement, le problème vient de l’enfance. Nos parents n’ont pas réussi ou même n’ont pas voulu reconnaître notre valeur, nos qualités, ou bien ils ont fait mine de relever surtout les traits de caractère qui leur plaisaient à eux, qui leur parlait d’eux.

Où se trouve le pouvoir ? Il se trouve en nous, au sein de l’inconscient ou même du subconscient. Le conscient ou « moi » n’a aucun pouvoir, si ce n’est celui d’arbitrer notre vie, de faire savoir ce qui est bon ou mauvais, juste ou pas, agréable à vivre ou non. Les affirmations et autres « loi d’attraction » sont de la fumisterie. Le conscient a beau désirer, ce qu’il obtient, c’est ce qu’il pense de lui et en secret. Et c’est tout. Exemple, celui qui a besoin d’être apprécié et qui adore séduire, a en fait peur des autres, de ceux qu’il ne contrôle pas et donc, qui pourraient lui faire du mal. Ou simplement lui refuser le strict nécessaire.

Une personne qui désire devenir riche, le désire-t-elle pour son propre plaisir secret ou pour prouver aux autres qu’elle vaut mieux que… Que quoi ? Que la vision défaitiste qu’elle entretient en secret d’elle-même ? L’univers répond toujours à nos demandes, dit-on. Mais il ne faudrait pas se tromper d’étage ou même de demandes ! L’univers ne cautionnera jamais cette idée de vouloir prouver que l’on vaut mieux que ce qu’une partie de nous le croit. Il écoutera donc la partie inconsciente et lui refusera de s’enrichir. Car qui, dès lors, deviendrait riche ? Réponse : l’état d’esprit défaitiste. Ce qui serait terrible.

Posez-vous toujours la question : Pourquoi ? Pourquoi j’aime ceci plutôt que cela ou pourquoi je désire devenir ceci plutôt que cela. Et vous réaliserez alors que ce que vous désirez, avant toute chose, c’est faire mentir votre subconscient, lui prouver qu’il a tort, que vous valez mieux que ça, etc. Vous ne réussirez, au mieux, qu’à compenser ponctuellement, pas à annuler la manière morbide de penser à vous. Pour annuler la façon de penser inconsciente, il faut rendre consciente la cause réelle de vos comportements les plus usuels. Et là, vous pourriez être surpris !

Observez-vous. Questionnez-vous : pourquoi ? Pourquoi suis-je en train d’essayer de séduire, de plaire, de me faire aimer, de passer pour une personne formidable, instruite, etc. Prenez-vous en flagrant délit d’adultère psychologique : vous « couchez » avec un état d’esprit qui n’est pas le vôtre. Que désirez-vous compenser ? Quelle idée terrible entretenez-vous à votre propre égard ? Voulez-vous encore et toujours faire mentir l’un quelconque de vos parents, qui vous affirmait que vous étiez incapable de ceci ou bien de cela ? Quel démon intime souhaitez-vous exorciser, en vous servant des autres pour y parvenir ?

Serge Baccino