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Articles divers que le lecteur pourra kindleliser s’il le désire.

Évolution et perte de repères psychologiques

Quand on commence ne serait-ce qu’un peu à évoluer, le « ménage » se fait automatiquement, autour de soi. Il semble que la plupart de nos « amis » nous tournent le dos, nous quittent ou même, nous trahissent. Au départ, cet état de fait peut être interprété comme étant éminemment négatif, mais en réalité, le nombre de nuisibles que nous nous charrions, une vie durant, est proprement hallucinant ! Vous ne devez plus confondre « Je m’attache à ceux qui prétendent m’aimer » avec « Eux m’aiment aussi. » Si vous voyez ce que je veux dire !

Bien sûr, de notre point de vue, surtout si nous sommes sincères et fidèles en amitié, cela peut créer un choc de voir des gens changer de comportement puis nous fuir comme si nous avions la peste ! Mais observez plus attentivement ce que vous ne faites apparemment que subir, sous le coup de l’émotion, compréhensible, certes, mais qui trompe le discernement dont vous faites montre par ailleurs. Certains ne se permettent-ils pas de se comporter, avec vous ou bien de vous parler, d’une manière que vous n’oseriez leur retourner ? Que se passe-t-il le jour où, devenus plus libres, vous commencez à traiter vos proches et amis, comme eux vous traitent depuis toujours ?

 

La réponse est aisée : ils s’affolent, perdent pied et ne le supportant pas, ils se barrent ! Alors quoi ? Eux avaient des « droits » que vous ne possédiez pas ? Comme c’est intéressant ! D’où vient le problème, si vous changez en mieux et que les autres, autour de vous, le vivent mal, cela au point de préférer vous éviter (pour les plus élégants d’entre eux) ? N’est-ce pas plutôt le signe que puisque vous ne vous manquez plus de respect, les autres n’ont alors plus le droit de le faire avec vous ? En vérité, ceci est une Loi incontournable : les autres auront toujours le droit de vous faire ce que vous vous faites à vous-mêmes ! Mais eux peuvent agir de la sorte en toute impunité !

 

Si vous êtes en pleine évolution, lorsque votre élévation spirituelle atteindra un de ses multiples paliers et que, de ce fait, vous réussirez à vous « stabiliser », en termes de fréquence vibratoire, les choses vont un peu changer. Pour le moment, vous poursuivez votre « Envol » vers les cimes et la fréquence de votre corps psychique ou « âme » augmente graduellement, mais d’une manière continue. Du coup, c’est un peu comme si vous changiez sans cesse, et qu’il soit impossible aux autres de vous atteindre, de vous comprendre, voire de vous cerner, psychologiquement parlant !

 

Vous « bougez » (évoluez) alors qu’eux sont statiques, se contentant d’être ce qu’ils sont, depuis le début de leur existence. Forcément, à leurs yeux, c’est vous le problème, puisque « c’est vous qui avez changé » ! Mais changer ne signifie pas nécessairement devenir quelque chose de moins bien ! Bien que cela soit possible et envisageable pour tous, celui dont l’âme progresse ne « bouge » pas seulement : il évolue ! Ce qui implique de passer d’un point bas à un point haut, car la véritable évolution n’est pas linéaire et plane, mais « en dents de scie » et selon une progression ascendante.

 

La progression est dite ascendante, du fait que l’évolution est synonyme d’amélioration personnelle. Et elle est dite « en dents de scies », du fait que nous ne progressons pas tous d’une manière régulière et en continue, mais d’une façon qui est rythmée par des moments de progression qui se terminent par des paliers, avant de repartir de plus belle. Or donc, tant que vous progressez, vous « bougez » trop vite pour que les autres puissent « vous suivre ». Ce qui est une image heureuse et ma foi précise de cette difficulté qu’éprouveront les autres à vous comprendre, tandis que vous évoluez, que vous êtes « en mouvement. »

 

Toutefois, quand vous atteignez l’un quelconque des nombreux paliers qui vous permettent de souffler un peu avant de reprendre votre ascension, aussi longtemps que vous demeurez sur ce palier, celles et ceux qui en partagent le niveau, arrivent dans votre vie ou la traversent sans vraiment s’arrêter (pour les paliers très courts), et vous avez alors cette agréable impression d’avoir enfin trouvé des gens qui vous comprennent, qui savent vraiment vous apprécier et qui, en un mot comme en cent, vous respectent et vous traitent enfin comme leur égal.

 

Mais voici que le moment vient pour vous de « reprendre la Route » ! Le palier n’était pas votre Demeure définitive mais une simple chambre d’hôtel ! Et vous voici repartis dans votre Ascension ! Et vous voici à nouveau bien seuls ! Ou du moins en avez-vous le sentiment ! En réalité, vous n’êtes jamais seuls, du moins, vous avez toujours de nouveaux amis, de nouvelles relations enrichissantes qui vous attendent à chaque palier ! Mais tandis que vous progressez, que vous êtes en mouvement, vous avez le sentiment d’avancer seul, alors qu’en vérité, parmi votre entourage, vous êtes bien le seul à avancer !

 

Est-il possible de se sentir entouré, aimé et surtout compris, tandis que l’on Chemine et sans tenir compte de ces quelques moments de répits offerts par ces paliers ? Oui, certainement. Surtout si vous trouvez quelqu’un qui Chemine au même rythme et à la même vitesse que vous ! Bien que peu probable, en vérité, ce n’est pas pour autant impossible.

 

Il arrive toujours un moment où chacun de nous a épuisé ses paliers et atteint sa plateforme, son Plan de Conscience pour cette vie terrestre. Une fois cette limite ou, plus exactement, ce maximum personnel atteint, chacun de nous redevient une personne stabilisée, c’est-à-dire une personne qui, désormais, ne se transformera plus au grand désespoir de ses proches. Aussi bien, on peut croire avoir atteint « la Plateforme », du fait que l’un des paliers dure plus que les autres (de six mois à six ans, en général et au maximum.)

 

Lorsque ce type de palier durable, si je puis dire, est atteint, cela offre les mêmes effets que lorsque la plateforme de vie est atteinte, à la fin. Du coup, les autres, autour de nous, ceux qui vibrent sur une fréquence semblable ou même approchante, vont pouvoir correspondre, communiquer, voire communier avec nous. Si vous vous trouvez actuellement dans la phase active d’évolution (progression, mouvement ascendant), vous devez réussir à vous montrer un peu patients. Vous n’êtes pas encore « stabilisés » (pas sur un des paliers), comme on dit dans le jargon psy éso, c’est-à-dire que pour le moment, vous montez encore, mais vous n’avez pas atteint un palier sur lequel vous puissiez vous « reposer » durant quelques semaines, mois ou même années. Sur ces paliers, vos vibrations et donc, votre personnalité, se stabilisent et les autres peuvent à nouveau vous rencontrer (entrer en relation avec vous.)

 

On dit, en psy éso, que les premiers paliers évolutifs sont à gravir très vite, car ensuite, une fois « stabilisée », une personne n’a plus envie de changer et ne le fera plus qu’une ou deux fois dans sa vie, au maximum. Ceci ne concerne bien sûr que les gens qui ne se soucient guère d’évolution ou de développement personnel, comme on le dit de nos jours. Ceux qui se passionnent pour l’ésotérisme, la spiritualité et le développement personnel, se réjouissent non pas à chaque palier, mais quand ils les quittent enfin ! Ce qui est pour eux la preuve qu’ils évoluent toujours ! Pour eux, ne plus être compris par leurs semblables est plus un gage d’évolution qu’une perte réelle !

 

En psy éso, les six premiers mois d’étude sont très importants, car ils permettent, pour la première fois, de gravir les deux premiers paliers ésotériques. Lorsqu’un tel étudiant dit « J’ai changé, depuis le début de la psy éso », ce qu’il veut dire, c’est qu’il réalise qu’il y a en lui, un changement qui s’opère ou qui s’est opéré. Et pour le réaliser, il doit s’être stabilisé. Chaque palier peut durer de six mois à six années : ce ne sont là, bien sûr, que de simples indications, et non des règles absolues. Lorsqu’on est en train de s’élever, on perd peu à peu l’ensemble de nos repères psychologiques.

 

Et les autres le remarquent immédiatement, s’en plaignent et cherchent, par tous les moyens, à nous ramener à notre ancienne identité, celle avec laquelle ils étaient familiers et… Celle qui leur permettait de conserver un ascendant psychologique sur nous ! Car la plupart des relations sont en réalité des « rapports de force », des sortes de « bras de fer » auxquels se livrent constamment les âmes humaines, cherchant à définir qui est le plus fort et qui, de ce fait, dirigera la relation et tout ce qu’elle implique. Comme si une relation, à deux ou à plusieurs, avait besoin d’un dirigeant et de dirigés ! Mais laissons cela.

 

 

Ainsi, ce qui agace nos proches, c’est que non seulement nous ne vivons plus comme eux mais qu’en plus de cela, ils ne nous comprennent plus et… Ne nous contrôle plus ! D’ailleurs, le degré de contrôle initial ou antérieur, se mesure à la compulsion de nos proches ! Plus un proche se montre virulent, face à notre évolution, plus on peut en déduire qu’il est persuadé d’avoir beaucoup à perdre s’il ne peut plus nous contrôler, comme auparavant ! Ce qui n’est que pure logique, même si le réaliser peut un peu piquer les yeux, du moins au début !

 

Alors les gens qui essayent de nous contrôler, s’agacent de nous voir évoluer, car pour eux, c’est comme si leur cible ne cessait de remuer ! Ils essayent tant bien que mal de s’adapter, de « faire avec », comme on dit, mais finissent tout de même par nous faire une crise ou par carrément péter un câble ! Ce qui est normal, puisque le temps pour eux de s’adapter à l’un de nos paliers, nous voici de nouveau en chemin et eux, occupés à s’adapter encore et toujours ! Eux qui enfin croyaient nous comprendre, voire « nous récupérer », voilà que nous changeons déjà ! Autant essayer de s’asseoir sur la margelle d’un autobus en marche !

 

Voilà pourquoi votre évolution dérange votre entourage ou vous fait perdre vos (prétendus) amis ! En somme, vous ne perdez, au final, que vos propres illusions au sujet des autres, de ceux qui prétendent vous aimer, vous respecter et « ne désirer que votre bonheur » (Prout !)

Cordialement, à tous les véritables Chercheurs de Vérité !

 

Serge Baccino

Facebook et relationnel véritable

Facebook et relationnel véritable

Ou « Pour ceux qui semblent attirer les boulets voire les emmerdes. »

Il arrive souvent que quelqu’un, sachant que je m’occupe de psychologie comportementale et que je suis spécialisé dans le relationnel, en spiritualité, se confie à moi en ces termes : « Hier, je me suis encore pris la tête avec Untel… » Ma réponse, mon conseil, quand ils sont les bienvenus, sont toujours les mêmes, depuis trente-cinq ans : « Pour se battre, il faut être deux… » Ou qu’une partie de nous-mêmes soit en conflit permanent avec une autre ! Celui qui a besoin de se battre, à l’extérieur, n’a fait qu’extrader sa propre colère et son manque d’amour mûr. 90% de nos rixes verbales (disputes) proviennent du fait que de plus en plus de personnes, sont littéralement fascinés par ce que les autres peuvent penser ou dire d’elles. Ou ce qu’ils peuvent faire pour s’opposer à elles.

En clair, lorsque vous dites ou écrivez quelque chose, vous remarquerez qu’il y a toujours un petit malin pour venir vous affirmer, sans broncher, que vous êtes dans l’erreur, que vos propos ou vos écrits sont ceux d’un imbécile. Et bien sur, son avis est supérieur au vôtre, et il arrive donc à point nommé pour vous sauver de votre connerie ! Évidemment, personne, et surtout pas vous, n’a sonné cet opportuniste en quête de reconnaissance, pour réclamer qu’il vienne s’exprimer librement et si possible, à vos dépens ! Sachant, par ailleurs, que cette « libre expression » est faite dans l’espoir de dénigrer, de flétrir ou de vous interdire de penser différemment. C’est ici que se situe non pas le problème, mais sa solution ! Sa solution définitive, qui plus est ! En effet, puisque personne n’a réclamé de cet autre qu’il vienne poser ses déjections mentales sur vous, pourquoi devriez-vous l’autoriser à le faire tout de même, cela en acceptant d’entrer dans son jeu ?

Vous n’allez pas « entrer en discussion » avec lui mais plutôt « entrer en conflit. » Car seuls ceux qui ne sont jamais d’accord, avec personne ni avec rien, s’opposent aux idées d’autrui et en profitent pour imposer les leurs, avec un aplomb et une violence qui en dit long sur le respect qu’ils doivent témoigner à leurs proches, parents et amis.

Ceux qui partagent une idée se contentent généralement d’approuver et même, d’en souligner les courbes et les profondeurs, soucieux qu’ils sont de renforcer plutôt que d’affaiblir. Car c’est là la véritable spiritualité, voyez-vous ? Cesser d’en parler et commencer à la vivre, plutôt que d’expliquer aux autres, qui n’ont rien demandés, comment ils doivent être, dire et faire pour mériter cet enviable label. Quelqu’un arrive et vous signifie son désaccord, OK. Mais en quoi, s’il vous plaît, son avis est-il préférable au vôtre ? Êtes-vous si bête que vous ne sachiez décider seul ? En quoi est-il plus valorisant, pour vous, de changer éventuellement d’avis ? Êtes-vous incapable de logique, de bon sens ou de discernement ? L’autre « accident de la nature » est-il plus à même que vous de juger ce qui est bon ou pas pour vous ?

Sachez que discuter, c’est déjà commencer à entrer en conflit !

Nécessairement, vous allez défendre vos idées, voire vos droits et l’autre, en plus d’en faire de même, tentera, par tous les moyens, si possible les moins nobles, de vous faire sentir que sa version est supérieure à la vôtre. Et s’il n’y parviens pas, il s’en ira en claquant la porte et en vous laissant une merde scripturale fumante, sur votre tapis, afin de bien vous signifier que vous êtes trop con pour mériter sa seule présence. Mais voyons… Puisque sa version de la vérité vraie est supposée être « supérieure » à la vôtre, pourquoi n’est-il pas tranquillement en train de la vivre et… De son côté ?  La réponse est évidente : cette personne se moque éperdument de son propre avis sur la question : sont but, son devoir, dirais-je, est de vous dissuader d’être différent de lui et donc, d’être vous-mêmes et librement. Il aimerait que vous deveniez « lui », c’est-à-dire aussi paumé et malheureux qu’il peut l’être lui-même.

Car quand on est sur de soi et heureux, on ne va pas voir chez les autres s’ils ont besoin de notre orgueilleuse lumière : on attend qu’il nous le demandent et, au mieux, on s’oblige à s’occuper de nos propres fesses. Qui en ont bien besoin ! Alors quoi ? Que faut-il faire pour échapper à cette apparente malédiction de « la dispute quotidienne et obligatoire » ? Quand elle n’a pas quelques autres sœurs ! C’est très facile, mais cela demande un peu de confiance non pas « en soi » seulement, mais en la vie, tout bêtement.

Si la Grande Vie (ou tout autre expression de votre choix) vous a permis de naître et de devenir « vous », ce n’est certes pas pour vous plier à la volonté, aux désirs et aux idées des autres ! Sinon, autant venir sur Terre « en tant que eux », plutôt que « en tant que vous » ! Comprenez-vous ces Paroles écrites ?

Vous êtes un être unique et vous devez absolument le rester.

Sinon, autant disparaître que de croire être mais ne vivre que par les autres seulement ! Or donc, voici la technique, qui est cruellement efficace si vous avez l’habitude de fréquenter les pages Facebook. Lorsque un autre arrive sur votre page de discussion ou sur votre Groupe et commence à critiquer vos idées, croyances ou propos, sachez qu’il le fait et agit de la sorte parce qu’il se sent bien à l’abri derrière son écran. Cette personne n’est donc pas intéressante et le temps précieux que vous pourriez lui accorder vous manquera ensuite et vous risquez de le regretter amèrement. Mais il sera alors trop tard pour faire machine arrière, lorsque vous aurez commencé vous aussi à traiter l’autre de tous les noms d’oiseaux.

Il sera alors trop tard car vous serez vous aussi, devenu comme lui, c’est-à-dire une personne oisive qui n’a que ça à foutre que de se prendre le bec avec autrui. Et vous avez mieux à faire que ça, puisque vous devez incarner qui vous êtes vraiment ! Et cela prend toute une vie : la vôtre, et la vôtre seulement !

Mais pour y parvenir, vous devez refuser à quiconque toute violation de votre espace mental ! Et cet espace est violé lorsque vous laissez les propos corrosif d’une autre personne, pénétrer dans votre mental pour y foutre le bordel ! Ainsi, quand une personne fait mine de vouloir vous agacer, ne répondez rien ! Ignorez-la copieusement puis virez-la séance tenante, de votre page (ou Groupe) et de vos amis Facebook ! Puis pour faire bon-poids, bannissez-là pour lui éviter de se manquer de respect plus encore en affirmant que vous n’aviez pas le droit de ne pas l’aimer et de la virer de votre espace mental !

Évidemment, cette technique n’a de valeur que si vous restez chez vous ! Et si vous êtes « en visite » chez les autres (pages ou groupes de vos amis), sachez que vous n’y êtes qu’un invité qui, s’il ne peut cautionner ce qu’il lit ou voit, n’a pour seul droit que celui de SE TAIRE et de se casser ailleurs !

Seuls l’orgueil et le besoin de reconnaissance peuvent pousser un être à affirmer publiquement son désaccord, alors que personne ne lui demande rien ! Car dans ce cas, pourquoi ne pas aller de force chez les gens, s’imposer à leur table, goûter à leurs plats, puis cracher à terre en disant que leur bouffe, c’est de la merde ? Et cela sous prétexte que cette personne est  » amie de vos amis  » !

C’est pourtant ce que font tous les Trolls spirituels de service sur Facebook, depuis quelques années. Au départ un outil de communication, le voici devenu un ring sur lequel se fighter avec les autres ! Un moyen formidable de vider ses poubelles dans la salle à manger de son voisin, en toute impunité ! Ne vous prêtez plus à ce massacre de dignité humaine et interdisez à quiconque de vous perturber ! Votre paix est à ce prix, que cela vous plaise ou non.

Alors voici ce qu’imposent noblesse d’âme et dignité humaine : vous ferez aux autres ce que vous aimeriez qu’il vous fassent à vous-mêmes et, ce faisant, vous serez en harmonie avec la Loi qui gère le Relationnel humain.

Et si vous ne vous sentez pas assez fort pour faire aux autres quoique ce soit de bon, du moins abstenez-vous du contraire, cela en refusant de leur faire à eux, le mal que vous refuseriez qu’ils vous fassent à vous-mêmes ! Mais le nec plus ultra, en matière de Relationnel (et de spiritualité véritable) si vous l’osez, c’est encore de chercher puis de trouver des gens qui sont déjà comme vous ! Ainsi, vous n’aurez pas à les baratiner pour qu’ils deviennent… Ce qu’ils sont déjà ! Et ce qu’ils sont déjà, c’est comme vous !

Alors leur pouvoir mental s’unira au vôtre et le vôtre au leur. Et tout le monde en profitera, au lieu de perdre son temps à se battre contre une adversité qui n’existe que parce que chacun, en son esprit ou en son cœur, en entretien la brûlante flamme.

 

Serge Baccino

(Note : cet article est inspiré de l’enseignement séculaire de la psy-éso. ) Tous droits réservés – psy-éso © 2006-2022

 

Nettoyer son propre box, pas toute l’écurie !

 

Nota : Ce texte s’adresse uniquement à toutes les personnes étant à la fois « en recherche de spiritualité », comme on dit souvent mais qui, parallèlement à cela, ont une vision très négative de leur propre valeur et qui, comble de malchance, croient en plus de cela, aux vies « antérieures » et donc « successives » de leur propre âme. La psy éso enseigne que seul le Soi est le véritable Être humain qui a plusieurs vies, non pas linéaires (une après l’autre, mais simultanées (puisque le temps n’existe pas, n’est-ce pas ^^)

La personnalité actuelle n’est qu’une « extension » de l’une quelconque de ces personnalités multiples.

L’avantage de cette nuance ou de cette différence qui, en fin de compte ne change pas grand chose aux incarnations mais seulement à « qui » ou « quoi » s’incarne plusieurs fois. Cet avantage est IMMENSE ! Quand il est correctement saisi par le mental humain, il apporte la paix et la compréhension de très nombreuses choses. Mais lisez plutôt ce texte ou, et plus exactement, cette partie de texte, tiré de l’enseignement bien plus complet et détaillé de la psy éso que j’enseigne, depuis de très nombreuses années…

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Ecuries d'AugiasVous ne croyez pas qu’il serait peut-être temps que vous cessiez de nettoyer les écuries d’Augias ? (Le contenu global de l’âme unique de votre Soi.) Si vous n’arrêtez pas de prendre pour vous toutes LES MERDES accumulées sur des millénaires (et surtout en Atlantide ^^) par votre Soi, vous ne serez jamais en paix et heureux !
Pourquoi ne pas tout simplement juger de votre valeur par rapport non pas au bien que vous avez fait mais par rapport au mal que VOUS (la personne actuelle), vous n’avez pas fait ?

Votre Soi a des raisons (très) valables de culpabiliser et d’avoir des doutes sur sa valeur humaine, vous pouvez me croire ! Mais vous ? Combien avez-vous eu d’années pour NUIRE à l’humanité et à cette planète ? Qu’avez-vous commis comme crime, comme « actes irréparables », dans cette courte vie ? N’êtes-vous pas fatigués de payer pour les autres ? Alors cessez, bon sang ! Ou continuez à croire que vous avez eu « plusieurs vies », et vous verrez en quoi va se transformer votre vie, si vous n’y faites pas gaffe !

 

bas-astralIl existe de l’autre côté presque deux sous plans astraux « remplis à bloc » de personnalités en souffrance, qui errent comme « des âmes en peine », sans but, sans aucune conscience autre que celle de « devoir souffrir » mais sans plus savoir pourquoi, au juste ! Je vous assure que vous n’aimeriez pas aller voir ça ! C’est pour cela que pour le moment, votre Soi Divin, cet « Archange de Miséricorde », comme disaient les premiers Chrétiens réellement initiés, gère la plupart de vos facultés psychiques de haut niveau, pour vous et à votre place, vous évitant ainsi d’aller régulièrement visiter ce genre de sous plan de conscience sur lequel vont des milliers et des milliers d’êtres humains, semblables à ceux que vous croisez, chaque jour et dont une partie va encore aller grossir les rangs de ces Mondes de Désolation, d’ici quelques décennies… (à leur « mort », comme on dit.)

A vous de décider mais faites-le vite ! Comptez combien il vous reste de temps présumé à expérimenter cette vie dans un corps de chair, qui vous protège de « certaines réalités cosmiques » (ou spirituelles), car lorsque ce temps alloué à l’Aventure Humaine charnelle sera épuisé, vous verrez d’un seul coup l’ensemble de vos facultés psychiques vous être restituées, ceci afin que vous viviez de nouveau et ce, pleinement, LE CONTENU DE VOS PENSÉES !
Méditez bien sur ces derniers mots, en majuscules, car ils sont à prendre à la lettre, pour une fois !

Après cette vie, vous irez « habiter vos pensées » !

 

Alors gare à vos fesses et essayez de vite changer d’état d’esprit ! Ne soyez pas « plus positifs » (ce qui est inutile) mais soyez simplement moins négatif et ça fera alors franchement l’affaire ! Si vous arrêtez de saccager votre propre IMAGE de soi, vous n’aurez alors plus besoin de tenter d’être « positifs » POUR COMPENSER un mal que vous ne vous ferez plus ou pour palier à votre manque de discernement au sujet de votre valeur réelle.

 

Serge Baccino

Comment prouver sa bêtise spirituelle

facebook-01Dernièrement, sur un fil de discussion de Facebook, pour ne pas le nommer, j’écrivais sur ma façon de voir les choses à propos des gens qui ne sont pas d’accord et qui passent d’ailleurs leur vie à ne pas être d’accord, cela au point d’en oublier avec quoi ils pourraient bien être en accord ! Bien sûr, nous avons le droit de ne pas être d’accord avec les autres mais posons-nous la question : « Est-ce que ces mêmes autres bénéficient des mêmes droits que nous, en l’occurrence ? » Et sont-ils réellement intéressés de connaître la pensée d’autrui ? Doivent-ils absolument la subir sans rien dire ?

 

facebook-02Car ne nous voilons plus la face : dire sur sa propre page Facebook ou sur un forum ou encore sur son propre blog, que l’on préfère ceci à cela, est-ce sous-entendre que n’importe qui peut, du même coup, venir nous dire que nous avons tort ? En vertu de quel droit, de quel « passe-droit », devrais-je plutôt écrire ? En le nom de quelle vérité absolue ? Qui a « tort », en l’occurrence ? Et d’ailleurs, « tort » par rapport à qui ou à quoi ? Est-ce à dire que ces doctes personnages, à l’inverse de nous, détiennent une vérité capable de supplanter celle de tous les autres ?

Par ailleurs, en quoi est-il utile d’aller faire suer les autres, sur leurs propres pages, en leur disant que nous ne sommes pas d’accord avec eux ? N’est-il pas plus intelligent (et reposant pour tous) d’écrire sur ses propres pages, avec quelles idées précises nous sommes en plein accord ou non ?

La liberté d’expression n’est pas à sens unique.

 

facebook-04Pourquoi mettre ainsi l’accent sur le négatif (« Je NE suis PAS d’accord ») alors qu’il suffirait de faire aux autres ce que l’on aimerait tant que l’on nous fasse à nous-même, à savoir NOUS CONFORTER dans nos propres convictions ? N’est-ce pas agréable de voir des gens se grouper autour de nous pour nous assurer d’une pensée égale ou complémentaire ? N’est-ce pas cela le début de l’amour et du Partage, les vrais, pas ceux qui transpirent d’un ego en mal de reconnaissance ?

Posez-vous donc la question suivante : que cache vraiment cette manie morbide d’aller faire savoir aux autres et en plus, chez eux, que nous ne sommes pas en harmonie avec leurs dires ? De quoi je me mêle, bon sang ? Les gens sont-ils devenus si mesquins et tristes de l’âme qu’ils ne puissent concevoir leur vie sans aller miner les fondations mêmes de la vie d’autrui ? Il semblerait que oui.

 

facebook-03J’ai déjà dénoncé, plusieurs fois et par ailleurs, l’hypocrisie extraordinaire rencontrée dans les milieux se prétendant, avec force détails, « spiritualistes » (prouuut !) Comme si le fait de se prétendre lumineux nous permettait d’avoir ipso facto, une plume de paon dans le fion ! Vous êtes « lumineux » ? Grand bien vous fasse, braves gens ! Mais pourriez-vous, au nom de l’amour, de la compassion et autres marmelades spirituelles dont vous badigeonnez vos textes et propos dès que possible, nous honorer, nous qui pensons différemment, de cette même compassion, largesse d’esprit et amour des autres qui vous débordent de toutes parts, y compris de l’anus ?

A moins que chez vous, seule la langue soit « lumineuse » et les actes correspondant ne briller que par leur absence ? A force de vouloir critiquer la pensée d’autrui, cela pour le seul bénéfice de se lustrer le Moi-Idéalisé (pour ne pas dire se branler en douce), certains en deviennent franchement cons ! Et je pèse mes mots. Ils étaient déjà exécrables : les voici à présent imbuvables et hargneux. Assurément, eux aussi  » évoluent  » mais à leur façon !

 

facebook-05J’en veux pour exemple un certain usager de Facebook dont le pseudo laisse entendre à qui le veut que « son esprit est libre » (il se reconnaîtra) qui, tout dernièrement, critiquait mon comportement sur l’un de mes propres fils de discussion. Son reproche principal ? Selon lui, je manquerais d’ouverture d’esprit, car je vire sans autre forme de procès, ceux qui me font savoir qu’ils ne sont pas d’accord avec moi mais qui, peut-être, souffrent en secret et mériteraient donc plus de compassion de ma part. Leurs critiques proviendraient de leur souffrance intime et serait en ce sens plus excusable.

Voilà bien le comble de la bêtise humaine qui se manifeste dès que ce sont l’ego et/ou le Moi-Idéalisé qui ont pris les commandes du mental d’un individu ! Car en effet, puisque le reproche ouvertement fait sur ce fil de discussion, est de manquer de largesse d’esprit et de tolérance (en gros), la personne qui se commet dans cette accusation, ne me fait-elle pas profiter à son tour, du même manque d’ouverture d’esprit, de tolérance et de compassion ?

 

facebook-06N’est-il pas à peine croyable de voir une personne apparemment saine d’esprit, faire à un autre exactement la même chose qu’elle reproche à cet autre de faire à autrui ? On croit rêver ! Je ne sais pas si je suis suffisamment clair dans mes propos, car l’intelligence peut brusquement « beuguer » face à la pure bêtise… Mais j’aimerais comprendre en quoi un autre serait autorisé à me faire à moi ce que moi je n’ai pas le droit de faire aux autres ! Bref, ce texte pondu à la va-vite pour tenter de tirer la sonnette d’alarme et faire comprendre à ceux qui persistent à faire savoir aux autres et avec force détails, qu’ils ne détiennent pas la vérité absolue, qu’il serait bon qu’ils se prodiguent, à eux-mêmes, cette même sagesse dont ils se supposent pourvus. « Charité bien ordonnée… » Vous connaissez la suite, non ?

 

facebook-07A dire vrai, depuis que j’ai réalisé à quel point ceux qui s’expriment en contre de ma propre expression (qui n’engage que moi, soit dit en passant) sont inintéressants au possible, je vire leur compte  » ami  » du mien, afin de ne plus avoir à subir leurs déjections scripturales. Et sans même prendre la peine de les en informer. Et à ceux qui penseraient que je manque de ceci ou de cela, prière de vérifier si leur compte animique est lui-même abondamment pourvu en ces mêmes matières, avant de venir chez moi me démontrer, avec succès il est vrai, à quel point ils peuvent être cons en se donnant un peu de peine ! A bon entendeur, allez prêcher votre salut de l’âme ailleurs ou faites-vous admettre chez le Témoins de Jéhovah !

 

Serge Baccino

Penser pareil ou penser comme tous ?

Nous avons tous l’occasion de constater que l’expression du genre : « Je ne conserve auprès de moi que ceux qui pensent comme moi », effraie horriblement la plupart des gens et les fait réagir presque violemment. Vous serez souvent traités de tyrans, de gourous et de je ne sais quel autre nom d’oiseau, cela parce que vous refuserez de penser comme vos proches, c’est-à-dire comme le font depuis toujours vos parents et amis. Alors qu’en fait, vous aurez simplement « oublié » de préciser que vous n’imposez pas aux gens de penser comme vous mais ne retenez, près de vous, que celles et ceux qui pensent DÉJÀ comme vous et… Sans votre aide.

 

ambiance lourdeEt il est bon d’oublier de le préciser, au départ ! Ceci afin d’avoir le plaisir de faire remarquer, à la personne qui réagit, à quel point ELLE A PEUR d’être laissée de côté voire d’être abandonnée A CAUSE de sa manière de penser qu’elle croit unique ou propre à elle, à sa personnalité. En fait, cette peur d’être rejeté par autrui est si répandue et les gens qui abritent une telle peur sont si peu originaux, en matière de pensées, qu’ils feraient mieux de réaliser qu’ils pensent COMME TOUT LE MONDE et que, de ce fait, ils ne craignent vraiment rien des autres ! De la masse, je veux dire !

Seuls les gens vraiment à part pensent différemment et ce sont eux qui sont en danger parce que, justement, les autres se sentent agressés par cette différence et n’auront ensuite de cesse de la détruire pour pouvoir affirmer qu’ils sont dans la vérité. La preuve, tout le monde pense comme eux, n’est-ce pas ! Bref, vous l’avez compris, seul le rare implique la convoitise et non le commun.

Les gens pensent tous pareils et sont donc déjà gouroutisés de frais, hypnotisés et conditionnés comme de vulgaires robots.

 

bouletsCeux qui pensent par eux-mêmes ne peuvent pas fréquenter de tels états d’esprit sans se faire salir l’âme. Et se salir l’âme est l’une des plus efficaces manières de redevenir comme tous les autres. Notez celles et ceux qui s’insurgent contre cet état de fait et virez-les de votre vie, si vous y arrivez, car ce sont tous de vrais boulets ! Et vous verrez que :

La complémentarité, en matière de relation, est un leurre inventé par ceux qui manipulent les foules.

Vous aurez donc deux choses à faire d’important :

1. Vous couper au plus vite de ceux qui tombent et souhaitent vous entrainer dans leur chute.
2. Résister aux efforts de l’Ombre pour vous ramener ensuite « dans les rangs« , comme de gentils moutons.

Vous voilà prévenus, la balle est désormais dans votre camp !

 

Serge Baccino

Changer le monde, oui mais…

Le présent texte est issu d’une conversation sur un forum privé réservé aux étudiants de la psy éso et afin de forger leur caractère et devenir capable de faire front au monde d’aujourd’hui ainsi que dans le monde qui s’en vient. Le monde est tel que nous le créons, en esprit et dans notre mental.

 

cerveau-planeteVous devez à tout prix RÉALISER que « changer le monde » ne signifie pas nécessairement « faire du bien à tous » ! Cela signifie que tandis que vous allez attirer des gens bien et les conforter du même coup (ils verront qu’ils ne sont pas seuls !), vous allez également repousser violemment tous ceux qui ne méritent pas votre amour, votre compassion et tous les trésors relatifs à votre individualité naissante. Et cela se produira « sans vous », ce ne sera pas vous qui agirez mais ce sera vous qui produirez cet effet, puisse cette nuance ne pas vous échapper ! Les relations humaines s’opère à 80% à notre insu, à un niveau sous-jacent, depuis la subconscience des gens, si vous préférez.

 

cerveau-surchauffeSi vous ne réalisez pas cela, si vous tablez votre évolution sur « le positif et sain à tout prix », vous allez droit à la catastrophe et en guise de changement mondial en mieux, vous sombreraient dans une profonde dépression issue de vos déceptions à répétition ! Votre Moi-Idéalisé est votre suprême ennemi, en terme d’évolution spirituelle ! C’est LUI qui vous forcera à être gentil même (ou surtout ?) avec celles et ceux qui ne le méritent pas. Et du coup, quand viendra le moment de donner vraiment à ceux qui ont besoin de vous pour survivre, les « gentils », vous n’aurez plus rien à donner ! Vous aurez trop gaspillées vos forces avec les gens moches et incapables d’apprécier ce que vous faites pour eux. Bien sur, vous n’avez rien à « attendre en retour » mais vous devez au moins vérifier si votre action porte un minimum de fruits, sinon, vous gaspillez votre énergie.

 

Le monde a SOIF de gens courageux, pas nécessairement « initiés« , juste courageux ! Des gens qui savent faire la différence à propos de choses déjà différenciées. Notez bien cette dernière phrase : « … à propos de choses déjà différenciées » ! Vous ne condamnez pas ceux que vous rejetez à cause de leur médiocrité, de leur humeur barbare, de leur jalousie maladive et de leur méchanceté gratuite : ils l’ont déjà fait avant vous, sans vous et bien mieux que vous ne sauriez le faire.

Comprenne qui voudra !

 

Serge Baccino