Archive for » novembre, 2014 «

La Clairverance

 

Clairverance-MédiumLA CLAIRVERANCE

   Résumé du contenu du livre :

La Clairvérance ou « l’attention lucide » est un ouvrage de vulgarisation qui traite de sujets de hauts vols, ordinairement réservés à des personnes très au fait des choses de l’esprit, d’une part (ésotérisme) et de la psychologie analytique et transpersonnelle, d’autre part. Cet ouvrage démontre que l’homme n’est non seulement pas libre de penser (conditionnement mentaux) mais que, de plus, sa pensée est carrément faussée, en plus d’être incapable de répondre à ses questionnement les plus élémentaires et donc, les plus légitimes. La plus importante de ses questions est sans doute celle-ci : « Est-ce que mes sens rendent vraiment compte de la réalité ou sont-ils conditionnés, eux aussi, par mon vécu et les divers traumatismes psychologiques qui ont émaillés mon existence ? »

Avant-propos de l’éditeur :

Ce livre pose des questions. Des questions embarrassantes auxquelles il faudra bien que l’homme, un jour, accepte de répondre. Mais avant de répondre à des questions, encore faut-il réapprendre à « répondre de soi. » Mais ce livre ne se contente pas de poser les bonnes questions : il propose aussi de bonnes réponses, des réponses qui renvoient l’homme à l’homme et l’initié à lui-même.

Pourquoi sommes-nous trop souvent incapables de voir clairement la vérité, que ce soit à notre sujet ou à propos des autres ? Qu’est-ce qui nous empêche de demeurer objectifs ? Pourquoi sommes-nous malheureux sans pour autant connaître nécessairement les causes précises ? L’homme est-il capable d’accéder à la vérité ? Mais d’abord, existe-t-il une vérité qui puisse dépendre d’autre chose que de notre propre vision des choses et des êtres ?

Pouvons-nous, et dans quelle mesure, faire confiance à ce que perçoivent nos sens et à ce que notre esprit comprend de ce qu’il perçoit ? Sommes-nous condamner à croire ou pouvons-nous connaître et savoir qui nous sommes et qui sont les autres ? Autant de questions, parmi tant d’autres, auxquelles cet essai tente de répondre d’une manière quelque peu inusitée, il est vrai. Un livre tiré d’un enseignement vieux de plus de six mille ans et qui, au cours des âges, a inspiré la plupart des grands penseurs et des Maîtres spirituel du passé.

Un enseignement remis au goût du jour, avec une phraséologie moderne et plus aérée, permettant à celles et à ceux qui cherchent, de trouver un moyen de faire le point sur le chemin parcouru et celui qu’il reste encore à parcourir. Un ouvrage de « psy éso » qui, comme les quatre premiers, témoigne de la grande connaissance psychologique de ces Maîtres du passé grâce auxquels nous pouvons, aujourd’hui, mieux comprendre comment fonctionne l’esprit humain et en devenir ainsi le maître au lieu de demeurer son esclave inconscient, une vie durant… A tous ceux qui cherchent et qui, un jour, vont bien finir par se trouver, ce livre est dédié. Avec toute cette tendresse et cette admiration que je voue aux Maîtres du passé.

Serge Baccino

 

Détails pratiques concernant ce livre

                État: En ligne et à la vente depuis le 29 Novembre 2014

                Prix : EUR 9,99 TTC

  • Format : Format Kindle
  • Taille du fichier : 869 KB
  • Nombre de pages de l’édition imprimée : 298 pages
  • Vendu par : Amazon Media EU S.à r.l.
  • Langue : Français

 

 

 

Un nounours enlevé, un coeur brisé !

L’observatrice se retrouve dans une famille de 2 enfants, deux petites filles.

petite fille et son nounoursElle observe l’ainée qui tient dans ses bras son nounours. Cette peluche est le plus fidèle ami et confident de cette petite fille. Il en voit de toutes les couleurs et parfois se retrouve sur les genoux de sa maman qui avec précaution lui recoud sa petite tête de peluche. A force d’être tenu et trimballé par la tête, cette dernière a été fragilisée.peluche

Les années ont passées cette petite fille a maintenant 9-10 ans, son nounours est toujours présent il a sa place dans sa chambre.Cette petite famille s’est agrandit, un garçon est né, la joie des deux parents après deux filles. Le petit garçon a un faible pour le nounours de l’ainée. Alors à force d’insister, cette dernière lui prête parfois mais ce nounours est le sien, il ne faut pas l’oublier. Il est son ami le plus proche, celui qui est toujours présent à n’importe quelle heure de la journée. Il connait tous ses secrets mais jamais il ne les répète, elle a toute confiance en lui.

Alors, lorsque le petit frère désire passer une nuit avec sa peluche, elle accepte mais pas tous les soirs, c’est le deal ! Cela ne se passe pas toujours bien, car le petit frère sait comment parler à sa mère, il fait des crises, il pleure, il se tape la tête contre le carrelage. Puis lorsqu’il obtient l’objet de son désir il se calme. A force de réclamer ce nounours, la mère essaye de faire entendre à son ainée qu’elle est grande maintenant, il serait bien qu’elle lui donne sa peluche. Il est encore petit, elle pourrait montrer ainsi qu’elle est raisonnable et par cet acte lui montrer qu’elle l’aime.

Pourquoi le ferait-elle ? Elle n’a jamais vraiment accepté sa venue et ce serait lui forcer le cœur et un cœur ne se force pas, ne se plie pas, l’esprit peut le faire mais un cœur se brise. La petite fille ne cède pas, elle lui prête mais ne lui donne pas….… Jusqu’au jour où la mère use de son pouvoir sur son enfant. Cela se passe dans le couloir qui dessert la chambre du petit frère et celle de l’ainée qui n’a que 9-10 ans à peine. La mère en a marre de devoir jongler entre le caprice du petit dernier et le refus d’abdiquer de son ainée. La cadette est dans sa chambre qui donne sur le couloir, elle observe la scène qui va la marquer à vie. La mère a pris le nounours et informe la petite fille que dorénavant ce nounours sera à son petit frère. L’ainée refuse mais rien ne fait changer d’avis la mère, elle est grande dit-elle et son frère a besoin de cette peluche, il doit avoir 2-3ans.

Devant les yeux de la cadette, elle y voit un cœur qui se bat pour garder son ami, son confident. Elle y voit surtout une mère qui n’écoute plus son cœur, lui aussi ne s’exprime plus depuis longtemps. Lui aurait-on à elle aussi enlevé de force son seul et unique ami et confident, c’est bien possible. Ce fut des cris, des larmes, la cadette voit cette injustice devant elle, elle essaye de s’interposer mais elle n’a pas droit de citer. Et c’est avec tristesse et déchirement que l’ainée va se réfugier dans sa chambre, pleurer la perte de son ami et la trahison de sa mère au profit d’un autre.

Le silence s’est installé depuis dans cette famille, un cœur s’est brisé et 40 ans plus tard, cette même petite fille en veut toujours à sa mère de cette séparation forcée. C’est avec un cœur blessé que l’ainée devenue adulte trahira aussi sa propre sensibilité et deviendra injuste comme sa mère. Cette femme, cette mère a placé sa tête à la place du cœur pour avoir la paix, elle a cassé ce jour-là sa petite fille, sa fille ainée, sa préférée.

 

Laetitia@FrequenceSoi

 

(Reproduction interdite sans accord des ayants droits.)

 

Fibromyalgie ou sentiment d’insécurité ?

douleur-02La Fibromyalgie… Une maladie à part entière et qui, pourtant, n’en est pas une, évidemment non reconnue en France ou très difficilement. Une maladie qui présente plusieurs degrés de douleur ou de souffrance… Je m’y suis intéressée, car lorsque je vois certaines personnes qui se plaignent de cette maladie, j’apprends généralement qu’elles ont toutes été confrontées à un sentiment d’insécurité. Cela peut être cette petite fille qui voit sa petite sœur tomber de sa table à langer alors que sa mère s’est absentée. Ce jour, la petite fille a cru qu’elle allait perdre sa petite sœur et s’est sentie absolument impuissante et donc, en danger. C’est aussi ce petit garçon qui du jour au lendemain, n’a plus eu de famille. Le soir même de la mort de sa grand-mère qui l’avait élevé, il est placé dans un orphelinat. Sa situation précaire l’a rendu vulnérable et il va vivre ainsi des années avec ce sentiment d’impuissance et donc, d’insécurité. Pendant des années, son seul souci a été de savoir quelle famille l’accepterait, pendant combien de temps ? Va-t-il encore tomber sur une femme jalouse des enfants et qui lui en voudra d’être ce qu’il est ?

 

douleurs-01Ce ne sont que deux exemples parmi des milliers d’autres mais à chaque fois que je me retrouve confrontée à ce type de maladie, je retrouve immanquablement ces deux sentiments terribles d’impuissance et d’insécurité, ressentis durant l’enfance et, le plus terrible, parfois même oublié ensuite. Oublié par la conscience de veille, pas par celle relative aux cellules du corps qui elles, n’oublient jamais rien. Je ne sais pas encore effacer les effets morbide de cette mémoire cellulaire mais si je fais cet article, c’est pour savoir si vous, qui avez cette maladie déclarée, avez vécu un drame dans votre enfance qui a donné naissance à ces sentiments d’impuissance et d’insécurité. La médecine allopathique ne parle que des effets, jamais des causes sous-jacentes. Mais ce sont les causes, qui m’intéressent, pas les effets. On parle de l’hypothalamus qui va envoyer tel ordre au corps qui aura tel effet… Mais ne semble vouloir ou pouvoir explique pourquoi cette zone cérébrale se met à adresser de tels messages au cerveaux puis aux nerfs et sur quelle impulsion….. D’où provient ce dysfonctionnement ? Pour le moment, le seul fil conducteur digne d’intérêt que j’ai pu trouver, ce sont ces deux sentiment très destructeurs d’impuissance et d’insécurité.

 

douleur-04J‘aimerais que celles et ceux qui me lisent et qui ont cette maladie, me confirment ce qui me semble être des agents déclencheurs probants. Avez-vous personnellement été confronté à l’un et l’autre ou à l’un ou l’autre de ces deux sentiments morbides ? Ou connaissez-vous une autre personne qui l’a été et qui serait susceptible de venir témoigner à la suite de cet article, tout en bas et dans la partie réservée aux commentaires ? D’un point de vue purement psychologique, il semblerait qu’il existe un autre facteur déclencheur important : le fait que presque à chaque fois, il y a défaillance de la mère biologique (absence physique ou même manque d’attention) Neuf fois sur dix, on retrouve une mère qui n’a pas su jouer son rôle, qui a failli à sa mission (être présente, rassurer, défendre, protéger, etc.) Un jour maman n’était pas (plus) là et n’a pas pu intervenir, voir, entendre (ou elle a carrément refusé de le faire) et c’est à la suite de cette défaillance, volontaire ou non, que les deux sentiments évoqués ont pu s’installer dans la subconscience de l’enfant et lui pourrir la vie jusqu’à l’âge adulte voire le reste de sa vie.

 

Tout témoignage visant à confirmer ou même à infirmer, est le bienvenu.

 

Laetitia@FrequenceSoi