Une nuit, allongée sur mon lit j’ai décidé de descendre en conscience dans mon monde intérieur, dans ce que j’appelle « mes entrailles. »
À peine cette idée émise, je me suis retrouvée dans une grotte où se trouvait un bassin dont l’eau, de couleur turquoise, était éclairée par une source de lumière. Mon regard a été attiré par cette lumière et je pouvais voir, au sommet de cette grotte, un ciel d’un bleu azuréen.
Plus je maintenais mon attention mentale focalisée vers ce ciel, plus l’ouverture devenait grande et je me suis sentie aspirée et me suis retrouvée sur une plage de sable fin. Dans une crique, plus exactement. L’eau était claire, des vaguelettes venaient couvrir mes pieds, comme une invite à m’avancer à sa rencontre.
Ce que je fis sans hésiter. Je me suis retrouvée à marcher dans l’eau puis sous l’eau, sans avoir l’idée de nager. Je m’enfonçais plus encore dans cette eau limpide.
Puis je me suis posé cette question existentielle : « Comment j’allais respirer sous l’eau ? » Mais je fus rassurée par l’idée par ailleurs fantasque que j’avais déjà respiré sous l’eau, lorsque je faisais de la plongée sous-marine. Puis je me suis souvenue que mon corps physique était allongé sur mon lit, dans ma chambre et que de ce fait, n’avais nul besoin de respirer.
Cette seule pensée eut le don de me rassurer complètement. Comme si quelque chose en moi n’attendait que ce signal, je fus transportée dans les profondeurs marines et flottais ainsi, à quelques brasses du fond.
L’eau y était d’un bleu bien plus profond. Des sortes de lignes lumineuses se traçaient devant moi, tel un réseau de communication. Ces lignes étaient émises par ces nobles vaisseaux des mers que l’on nomme baleines, elles-mêmes en connexion avec des êtres d’un autre niveau de conscience. Je dirais même que ce sont ces Êtres qui sur terre sont incarnés en nos baleines. Le réseau est également en contact avec des dauphins qui, eux aussi, représentent ou sont en connexion avec des Êtres d’une autre dimension. J’étais là, émerveillée, et percevais toutes ces informations circuler librement au sein de cet océan.

Je comprends, à présent, pourquoi les baleines et les dauphins sont chassés et impitoyablement tués par certains pays. Leur seul tort étant, entre autres capacités, de permettre la libre circulation des énergies et de l’information, un peu à la manière d’un réseau wifi, sans autres interférences autres que celles engendrées par l’homme. Je comprends de même pourquoi d’autres pays ne bougent pas, ne font rien pour mettre un terme à un massacre sans nom. Car, voyez-vous, il ne faudrait tout de même pas que l’humain soit en contact avec sa Source.
À peine cette pensée émise, je me retrouve dans une forêt, assise, le bas de ma colonne vertébrale en contact avec la terre. Je sens que cela fait réagir mon sacrum. Devant moi se trouvent des arbres géants qui communiquent entre eux aussi bien au niveau des frondaisons que de leur tronc et jusqu’à leurs racines, par lesquelles circulent, là encore, des informations lumineuses. Cette circulation d’énergie et d’informations est si intense, si palpable, que l’on pourrait communiquer avec eux. Je saisis, intuitivement, que lorsqu’un de ces grands arbres tombe malade, les énergies collégiales convergent vers lui afin de l’aider.
Je comprends aussi pourquoi des forêts sont détruites. Cela perturbe l’information, cela crée des interférences et fausse les signaux. Le réseau doit constamment se réorganiser afin de conserver le contact, de poursuivre l’échange énergétique et informationnel.
Des ponts d’énergie sont alors créés pour maintenir le lien entre tous les arbres, qui sont autant d’antennes vivantes pour la surface de la terre. Mais malgré ce besoin de détruire et de tuer toute la Beauté de la Vie, les énergies ainsi que l’information continuent de circuler.
Puis je suis rappelée par mon corps de chair qui se languit de moi, allongé et immobile, dans une chambre située à la surface de la Terre.
Laetitia Beretti





dernier. « Le vaccin est vu pour l’animal ou son corps éthérique comme un étranger qui vient s’installer chez lui, dans son habitat, sans qu’on lui ai demandé son avis. Il va donc lutter contre lui afin de conserver intact son territoire. Il est donc préférable, si la personne désire vacciner son animal, de le faire lorsque ce dernier est en pleine forme, car le corps éthérique aura assez de force pour le maintenir à distance tout en le laissant vivre chez lui. Mais à partir de ce moment là, il faut savoir que c’est un « étranger » qui vit chez lui et le corps de l’animal a la sensation de ne pas être entièrement maitre dans son propre monde. Il peut arriver que si l’animal se sente mis de côté, pas à sa place, ou se sente faible, cela parce que cet « étranger » qui vit en lui prend le dessus et lui cause des problèmes de santé. »
M
Il était contre l’harmonie dans ma propre vie et essayait de me prouver que ce que je vivais,
Selon moi, personne ne peut vivre assez vieux et avoir été assez souvent trompé pour accumuler une telle inquiétude à l’idée d’être abusé. C’est un peu comme si ce démon avait eu des siècles et des siècles à subir ce qui l’effrayait tant. Croyait-il, ce démon, avoir trouvé, en ma modeste personne, quelqu’un capable de le venger, de compenser des siècles de marasme mental ? Comptait-il faire de moi sa « championne », celle qui partirait en croisade pour guerroyer avec, pour ennemi, l’ensemble de l’humanité ? Je n’étais ni le père (pensées) ni la mère (émotions) de ce démon et n’avait que faire de ses rêves de pouvoir et de vengeance.
Pourtant, il continuait à me faire sentir comme véritable, le fait que telle personne essayait de profiter de ma générosité ainsi que de mes biens (alors que pour ces derniers, je n’en avais aucun.) Ces choses là m’étaient totalement étrangères et pourtant, son seul espoir semblait être de me faire croire que toutes ces scories m’appartenaient en propre, faisaient parties de mon héritage, de mon patrimoine génétique. Le laisser s’exprimer revenait donc à
M’étant distinguée de cette monstruosité, j’ai commencée à repérer les liens qui m’unissaient pourtant à lui, les pensées de doute quand à la valeur exacte de l’engagement de celles et ceux qui se prétendaient « pour moi » ou « avec moi. » Puis j’ai enlevé ces liens, en réalisant que de toutes manières et tôt ou tard, ceux qui n’étaient pas « de moi » réagiraient autrement qu’à ma manière et que ceux qui n’étaient « pour moi » se trahiraient en révélant leur vrai visage. Et bien souvent, ce visage véritable a la couleur et l’odeur de l’argent ainsi que du pouvoir sur les autres.
Nos pensées se raccordent instantanément à des égrégores mentaux (nommés ici « démons ») et nous ne pouvons penser une chose sans 

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C’est Noël: la cadette vient passer ses vacances, elle informe le chef de famille que Dick ne la lâche plus, réclame des caresses comme il ne l’a jamais fait, il a faim et mange beaucoup trop pour son âge et pour son poids mais Dick est à nouveau aimé et fêté et il retrouve le gout de vivre. La cadette demande au chef de famille si elle peut ramener ce brave toutou avec elle, le prendre dans l’avion : il lui suffira de louer une cage et il sera alors rentré chez lui auprès des siens et, surtout, auprès de ce maître qui lui manque tant. Mais le chef de famille aime bien montrer son autorité, surtout sur son chien et c’est lui qui décide ou non de la date de retour de son fidèle compagnon. Dick attendra l’été et s’il le peut alors, il le reprendra en août.
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