Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Le noyau de la vie (Dr C. W. Littlefield – extraits)

________________

 

Voici un extrait des travaux du Docteur Charles W. Littlefield, qui fut vraiment un scientifique d’exception dans le domaine de la biologie. Lisez ce qu’il a écrit au sujet du noyau que l’on trouve au centre de chaque cellule, qu’il soit visible ou non, puis notez, en bas de page, l’époque ou vivait cet auteur.

 

 

DR CHARLES W. LITTLEFIELD« Par suite de la croyance abusive en la possibilité d’expliquer, par l’activité du protoplasme, tous les phénomènes vitaux, on considérait comme sans importance la présence d’un noyau dans la cellule. Telle était l’attitude scientifique en biologie, en ce qui concerne le protoplasme et le noyau des cellules, lorsque le professeur Huxley écrivit son fameux essai sur « La place de l’homme dans la nature » et son livre « Les bases physiques de la vie ».

 

Depuis, les méthodes d’études des cellules ont été grandement développées et, en se servant de microscopes, les savants se rendirent compte qu’il y avait, dans les cellules, des noyaux qu’ils n ‘avaient pas encore vus. Finalement, ils en vinrent à la conclusion qu’aucune cellule ne peut vivre sans noyau, et nous pouvons ajouter que le protoplasme ne peut vivre lui-même sans une ou plusieurs cellules.

 

En réalité, on peut dire maintenant que les cellules vieillies ayant perdu toute activité n ‘ont plus de noyau et, à notre connaissance, que toutes les cellules en pleine activité possèdent ce corps essentiel. Il a été montré, par des expériences appropriées, que toute cellule de laquelle on retire le noyau perd immédiatement toute activité.

 

D’autres ont été coupées en diverses parties, et lorsque ces parties contenaient un noyau, ou seulement une partie de noyau, une vie active continuait en elles, alors que dans les parties n ‘ayant pas de noyau, la vie s’arrêtait rapidement.
Ces faits démontrent, d’une manière concluante, que le siège de la vie est dans le noyau et qu’il est donc le centre de la vie cellulaire.

Cela nous confirme que, pour la continuation de la vie et pour sa reproduction, c’est dans le noyau que se trouve la force de la cellule et non dans le protoplasme. Par conséquent, il n ‘est pas vrai, comme se plaisaient à le dire les anciens biologistes, que le protoplasme est la base de la Vie ».

 

 

DR CHARLES W. LITTLEFIELD, 1859-1945

 

Les croyances ont la vie dure ! (N. Copernic – Extraits)

 

Les croyances ont la vie dure !

 

Nicolas Copernic 5Parmi les postulats scientifiques qui ont marqué la Renaissance, le plus célèbre est sans conteste celui de Nicolas Copernic qui, dans son ouvrage intitulé « De Revolutionibus Orbium Coelestium » (« Des révolutions des orbes célestes« ), a établi la conception héliocentrique de notre système planétaire. A juste titre, nous pouvons dire qu’elle a révolutionné la science de l’astronomie. La citation présentée ci-dessous est extraite de cet ouvrage. Elle reflète la sagacité des savants de cette époque et l’importance qu’ils accordaient à l’étude des phénomènes naturels. Elle montre aussi combien il est difficile de lutter contre les fausses croyances et de faire admettre les vérités nouvelles.

 

« Or, la Terre est le lieu d’où nous observons la rotation des deux et où celle-ci se déploie devant nos yeux. Ce mouvement semble embrasser le monde entier et, en fait, tout ce qui est hors de la Terre, avec, comme seule exception, la Terre elle-même. Mais, si l’on devait admettre que les deux ne possèdent Nicolas Copernic3aucunement ce mouvement, mais que la Terre tourne d’ouest en est, et si l’on devait considérer cela sérieusement en ce qui concerne le lever et le coucher apparents du soleil, de la lune et des étoiles, on constaterait que telle est bien la vérité. Du fait que les deux qui contiennent et gardent toutes choses sont la demeure de toutes choses, on ne comprend pas immédiatement pourquoi un mouvement n’est pas plutôt attribué à la chose contenue qu’au contenant, à ce qui est situé dans un emplacement plutôt qu’à l’emplacement.

Pourquoi ne voulons-nous pas reconnaître que l’apparence d’une rotation quotidienne appartient aux deux, mais sa réalité à la Terre ?
La relation entre ces faits est similaire à celle dont l’Énée de Virgile dit : « Nous voguons hors du port, et les pays et les villes reculent ».

Car, quand un navire vogue calmement, tout ce qui est en dehors de lui paraît avoir, pour les passagers, un mouvement correspondant au mouvement du navire, et les voyageurs sont sous la fausse impression qu’eux-mêmes et tout ce qu’ils ont avec eux, sont immobiles.

 

Nicolas Copernic4Cela peut, sans aucun doute, s’appliquer aussi au mouvement de la Terre, et il peut sembler que c’est tout l’univers qui paraît tourner. Si l’on admet l’immobilité du soleil et si l’on transfert la rotation annuelle du soleil à la Terre, le résultat serait exactement le même que celui effectivement observé, à savoir le lever et le coucher des constellations et des étoiles fixes qui, pour cette raison, deviennent des étoiles du matin et du soir ; et il deviendra ainsi apparent que les arrêts et le mouvement en arrière et en avant des planètes ne sont pas des mouvements de celles-ci, mais de la Terre, qui leur prête seulement l’apparence de mouvements planétaires ».

 

NICOLAS COPERNIC, 1473-1543

 

 

Incarnations ?

incarnation5Il existe plusieurs façons de considérer le sujet de « l’incarnation » et de la « réincarnation », les deux étant très différents. S’incarner est en effet très différent de se réincarner : le second implique que nous reproduisions les mêmes schémas mentaux, c’est-a-dire que nous revenions incarner un même état d’esprit. Une incarnation a ceci de différent que la personnalité ne revient pas : elle n’a pas d’antériorité dans la chair, cela parce que son incarnation terrestre dense, est à la fois unique et originale.

 

 

l'homme de demainIl existe sans doute autant de « réincarnés » que « d’incarnations », les seconds étant ce qu’on pourrait appeler des « êtres réalisés » (ou en passe de le devenir), qui viennent « faire chair » ou « faire corps » avec un état d’esprit inusité sur terre, novateur, unique, etc. Il est vrai que le simple fait d’avoir le courage de penser différemment et de conserver, contre vents et tempêtes, une façon personnelle et novatrice de penser, est déjà un miracle en soi, surtout à notre époque qui encourage la planification (nivèlement) des consciences, dans le but des les aligner sur un même état d’esprit général (plus facile à manipuler ensuite.)

 

 

avatars2Gautama et Jésus étaient des Incarnations supérieures (Avatars) dans le sens où ils ne revenaient pas incarner une succession d’état d’esprit différents, mais un seul état d’esprit harmonieux et parfaitement aligné sur le divin. Ce qui, à l’époque, était pour le moins nouveau ! Avec cette façon originale de voir le sujet, les  « vieilles âmes » seraient en fait les âmes qui n’ont pas encore réussis à incarner un état d’esprit assez équilibré pour que leur divinité potentielle puisse l’habiter. Elles représenteraient donc tous ceux et toutes celles qui ne réussissent toujours pas à penser seuls ou à s’assumer vraiment, hors d’un groupe, d’une famille, etc.

 

 

ames jeunesLes « jeunes âmes » seraient non pas celles qui ne se sont jamais ou très peu « incarnées » mais celles qui n’ont pas le fardeau, derrière elles, d’une longue antériorité (schémas relatifs à la mémoire de vies passés du Soi, et non de la personnalité) et qui auraient la prétention (voire le toupet !) de penser non seulement seuls, mais d’une manière quelque peu inusitée… Un Angle de vision qui méritait d’être au moins signalé. Ne le partageront que celles et ceux qui se sentiront de le faire !

 

 

Serge Baccino

 

Le plan astral

Il arrivera sans doute, et de plus en plus, que des personnes s’intéressant aux choses de l’esprit, expérimentent ce que l’on nomme soit des dédoublements (le terme technique étant « projection psychique« ) soit des extensions de conscience, ce qui est plus courant (sans quitter votre corps, vous vous retrouvez aussi ailleurs.) Il est important dès à présent de bien comprendre ce qui suit. Tout comme sur terre vous pouvez avoir affaire à des gens sérieux et intelligents et à des gens pas du tout sérieux et cons comme c’est pas permis (lol), de même, dans le plan astral de cette planète (le premier plan où l’on sort en dédoublement), vous pourrez rencontrer des personnages très intéressants et aussi des rigolos de première, qui n’ont que cela à faire de tromper ou d’induire en erreur le visiteur peu au fait des lois spirituelles concernant les différent plans de conscience.

 

 

Comprenez que la plupart des gens, lorsqu’ils « meurent » (en fait, quand ils quittent leur corps), se retrouvent sur l’un des sous plans (il y en a douze, sept pour les humains non initiés et cinq de plus pour les Maîtres) du grand plan astral. En général, sur le 5e ou 6e sous-plan astral. Or, il faut savoir qu’en dessous du 7e ou de 8e sous-plan astral, les personnes que vous rencontrerez son celles qui ont le même niveau de conscience que ce brave ouvrier d’usine qui rentre tous les soirs dans sa famille et qui ne sait même pas qu’il existe une vie après la mort. Je ne dis pas ça dans un soucis de sectarisme social, j’énonce simplement des faits. Dès lors, demander ou recevoir des conseils d’individus rencontrés dans les six premiers sous-plans astraux, reviendrait à demander un conseil d’ésotérisme ou de psychologie ésotérique à votre voisin de palier qui se moque de vos croyances bizarres.

 

 

Le fait de mourir ne rend pas moins con, vous savez ! Cela ne rend pas plus subtil et la science infuse n’attend pas celui qui vient de quitter son corps et se retrouve brusquement « de l’autre côté », comme on dit… Tout le monde passe par le plan astral, en projection psychique ou en extension de conscience, mais le plus grand nombre s’arrête là, car c’est, il est vrai, d’une grande beauté. Sans doute que ce genre de conseil ne vous servira pas avant quelques années et sans doute aussi, seulement pour quelques-uns qui seront appelés, un jour ou l’autre, à se retrouver en contact avec l’un quelconque de ces sous-plans astraux. A ceux-là je demanderai ici de se montrer prudents et de ne pas tout prendre pour argent comptant et en clair, de faire preuve d’un minimum de discernement. Dans l’astral, même dans les niveaux moyens, on « voit » et on « entend » très souvent ce que l’on a le plus envie de voir et d’entendre, si vous me suivez bien…

 

 

C‘est là un domaine de prédilection pour le Moi-Idéalisé, qui trouve dans ce plan « de belles illusions rendues concrètes par l’esprit », un moyen définitif de flinguer l’évolution de la personnalité. Il faut bien comprendre que, dans l’astral, tout ce que le mental est capable d’imaginer, l’esprit est capable de le créer, de le rendre « réel », c’est-à-dire d’offrir à l’imaginaire une forme concrète et bien palpable, du moins pour un corps psychique. Il est donc loisible de s’y inventer de toutes pièces un monde bidon dans lequel tout sera parfait et dont l’inventeur pourra devenir le Roi incontesté. Le plan astral est la sphère réflectrice de toutes nos émotions, les bonnes comme les moins bonnes, mais il est surtout et avant tout le plan de l’illusion la plus parfaite, à tous les sens du terme. Où croyez-vous que « vibre » (plutôt que « se trouve ») l’Inconscient Collectif, ce « Grand Deva » ?

 

 

Ce n’est qu’à partir du plan mental, et surtout dès le cinquième sous-plan, que les infos reçues s’avèrent à la fois raisonnables et constructives pour l’homme, en toute occasion où le mental humain a droit de citer (par exemple pour les inventions, les arts, les sciences, etc.) Le plan astral est un parfait miroir face auquel se sont perdues des générations entières de chercheurs de Lumière. Alors faites attention à vos fesses et usez, plus que jamais, de ce discernement qui fait tant défaut à l’homme, depuis des millénaires.

Ce qu’il faut retenir de tout cela, ce sont les « dangers » relatifs au plan astral. Sa beauté fait rapidement oublier qu’il n’est qu’une sphère réflectrice de tous nos désirs, phantasmes et émotions refoulées. Même ou surtout quand c’est magnifique et dégoulinant d’harmonie, de paix et d’amour (Tsoin tsoin !) Tout ce qui résulte d’un manque, d’une déception, d’une peur ou d’un refoulement, est incapable de traduire la Splendeur de notre Nature la plus véritable et peut, le cas échéant -et pour les Mondes de l’Astral en particulier-, nous en éloigner dangereusement.

 

 

Par exemple, si un homme perd sa femme dans le sens où elle se barre avec un autre homme, il y a fort à parier que, toutes les nuits, même s’il ne le conscientise pas, cet homme se projette sur l’un des sous-plans astraux (en général entre le 4e et 5e sous-plan) et y vive le parfait amour avec une femme très amoureuse et fidèle ! Tout cela étant « réel » pour lui, mais illusoire au niveau de l’actualité terrestre, de ce qui se passe en fait, donc. Bref, vous aurez compris que dans l’astral, on y trouve tout ce que nous espérons, croyons ainsi que nos peurs, nos doutes, nos remords, etc. (le bien comme le mal, le beau comme le laid.)

 

 

Il est possible de définir si on se trouve sur le Plan Astral (la nuit durant le sommeil ou en projection psychique) : sur ce plan, l’air à une « consistance » particulière. On dirait qu’il est « palpable » ou vivant, c’est assez dur à expliquer avec des mots, mais très facile à reconnaître une fois expérimenté ne serait-ce que quelques secondes. Sur le Plan immédiatement supérieur, le Mental, l’air (ou l’atmosphère ambiante) n’a pas de texture. On reconnaît que l’on est sur ce Plan à un autre détail très marquant, mais je ne le donnerai pas ici afin que l’intellect ne s’en empare pas et n’ait pas de pouvoir de suggestion l’esprit des plus influençables qui, du même coup, se croiront les locataires exclusifs du Grand Plan Mental alors que leur lieu de prédilection demeure le 5e sous-plan du Plan Astral.

 

 

Entendons-nous bien sur un point : je ne dis pas que tout ce qui est vu et entendu dans l’astral est faux ! Je dis seulement que, la plupart du temps, ce que l’on y vois et entend ou expérimente, se résume à ce que nous aimerions bien voir, entendre et expérimenter sur Terre mais qui semble nous y être refusé. Il est bien entendu humain de croire, d’espérer, de se faire des films dans lesquels nous incarnons le rôle enviable du héros qui ne meurt jamais à la fin… Mais bien que toutes ces choses soient humaines, elles n’en demeurent pas moins illusoires.

Il y a bien entendu des cas (assez rares) où des Maîtres descendent sur l’un des sous-plans astraux (les 6e et 7e, en général) pour y rencontrer leurs élèves les plus avancés, cela parce que pour diverses raisons, (santé, moral, etc.) ces derniers sont temporairement incapables de monter plus haut afin d’y recevoir aide et assistance (plan Causal, idéalement.) Il faut se souvenir que, normalement, les Maîtres désincarnés répugnent à descendre plus bas que le plan Causal. Avec l’expérience (le mot magique !), on arrive assez vite à savoir non seulement à quel niveau on se trouve, mais aussi, quel est le degré d’évolution de ceux qu’on y rencontre.

 

 

Voici une petite astuce que je puis donner à ceux qui se retrouvent dans l’astral avec des âmes qu’ils ne connaissent pas et dont ils aimeraient connaître au moins le degré d’évolution… Vous portez votre attention juste au-dessus de la tête de celui (ou celle) qui vous parle et vous demandez, mentalement, de connaître « la tonalité de base » de votre vis-à-vis. En réponse, vous verrez une couleur apparaître. Selon la couleur, vous connaîtrez son degré d’évolution moyen (car nous varions tous.) Toutes les tonalités en dessous du vert appartiennent au plan astral. (Rouge, orange et jaune, donc) Du vert au bleu clair ====> Plan Mental. Le bleu foncé et profond (indigo), le violet, le blanc nacré et l’or appartiennent, respectivement, aux êtres évolués des plans supérieurs (Bouddhique et Atmique, par exemple.)

 

 

Djwal-KhulLes vrais Maîtres ont en général deux tonalités principales dans leur aura : leur ton de base individuel et celui qui « explique » leur fonction. Leur ton de base n’est jamais sous le bleu (dans la gamme chromatique) et selon leur affectation (ou spécialité) vous verrez sûrement du violet, du rouge aux reflets adamantin, du blanc ou encore de l’or pur, par exemple. Bien évidemment, ce ne sont là que des considérations d’ordre général, juste de quoi donner une vague idée d’un sujet qui est bien plus complexe que cela dans les faits.

Pour mémoire, ce n’est qu’à partir du Plan Bouddhique que nous pouvons retenir ce qui est perçu comme étant un matériau pur et noble, capable d’agrémenter nos propres constructions mentales. Nous devrons encore et toujours discriminer, certes, mais à partir de ce niveau élevé de conscience, une forme d’intelligence particulière apparaît et commence à éclairer l’ensemble de nos processus mentaux. Quelques-uns persistent encore à appeler cela « La sagesse. »

 

 

27267_4472402250452_311757500_nLes anciens Mystiques disaient que le « plan incarnatoire » se terminait sur le Plan Causal, c’est à dire sur cette partie du Grand Plan Mental planétaire sur lequel sont gravées les Causes de notre façon de penser, de réagir, de ressentir, ainsi que les diverses raisons, bonnes ou mauvaises (pour nous) Lumineuses ou destructrices (surtout pour autrui) de notre incarnation en tant qu’expressions ponctuelle (personnalité) de notre individualité consciente ou « Soi« . Le sujet est très subtil dans la mesure où il existe deux pièges logiques, même une fois que l’on connaît ces choses :

1. On peut croire que dans l’astral, rien n’est bon et que tous ceux que l’on rencontre sont des fous ou des inconscients (ce qui est faux.)

2. On peut croire, à l’inverse, que sur le plan Bouddhique on ne peut recevoir que des conseils adaptés à ce que nous sommes et devons expérimenter, dans cette vie. (Ce qui est faux également.)

 

 

acceptation6Pour bien me faire comprendre, je vais prendre deux cas de figure assez éloignés l’un de l’autre, mais qui sont inspirés de la réalité terrestre et qui ont été expérimentés par des personnes vivantes, actuellement, sur terre. Imaginez qu’une personne très évoluée vive des évènements si dramatiques et si traumatisants, que sa conscience, passablement « décalquée » par le vécu extérieur, ne puisse plus vibrer, pour quelques mois, que sur la fréquence du sixième sous-plan astral (qui est celui des gens ordinaires mais qui ont un bon fond.)

Si un Maître (ou plus haut) doit pour diverses raisons, contacter cette personne, il ne pourra pas attendre que cette dernière répare les dégâts et puisse de nouveau « monter », par exemple, au premier plan spirituel (le huitième, après l’Atmique, pour nous) afin d’y recevoir de précieuses indications pour la suite de sa vie spirituelle. Du coup, il ne reste à ce Maître (ou au Collège particulier qui accompagne l’initié) de courir le risque de descendre de plusieurs plans afin de transmettre tout de même les infos importantes évoquées. Si la personne croit dur comme fer que tout ce qui vient de l’astral est merdique, alors elle est mal, non ?

Ceci est un exemple assez extrême, mais il a le don de bien correspondre à ce que je désirais exprimer ici.

 

 

545387Second exemple, vous êtes déjà bien préparé, spirituellement, vous allez même, et très bientôt, passer un haute initiation qui vous permettra de culminer largement au-dessus de tous ces pingouins de la spiritualité « New-Âge », qui se croient « investis d’une mission sacrée. » (lol) Tout content, vous gambadez donc sur le Plan Bouddhique comme d’autres vont pisser un coup (notez le degré insoutenable de poésie !) et vous y rencontrez un être exceptionnel dont la radiance laisse largement supposer de son degré d’évolution hors du commun (ce qui est vrai par ailleurs.) En confiance, vous lui témoignez votre respect (si vous n’êtes pas trop orgueilleux) puis vous lui posez quelques questions bien senties au sujet de ce qu’il serait bon de faire dans le futur, pour améliorer votre degré de spiritualité. L’être d’exception s’exécute et vous prodigue quelque sérieux conseils qui vous laissent sur le cul, tellement ils paraissent logiques et pleins de lumière (ce qui est exact par ailleurs, encore une fois.)

 

 

Oui mes voilà ! Cet être d’exception, bien qu’évolué, n’est pas un Instructeur des consciences. Il n’est donc pas formé pour conseiller et guider autrui en fonction d’une trajectoire et d’un but précis. Et les conseils qu’il vous donnera seront des conseils « bateau » qui peuvent marcher pour tous et partout, mais ne sont pas adaptés à ce que vous devez faire ou vivre en fonction de ce que vous êtes actuellement et ce que vous projetez de devenir (ou de faire.) Vous suivez le raisonnement ?

Du coup, et moralité de l’histoire, le discernement et le bon sens valent mieux que la connaissance de certaines lois générales qui peuvent tromper, non pas le débutant, bien au contraire, mais celui qui est presque arrivé à terme de connaître puis de comprendre, les desseins particuliers de sa Soi-Conscience.

 

 

annales akashiques3Souvent, des « presque Maîtres » ou des « presque Illuminés » (pour ceux qui ne tiennent pas à enseigner) se cassent la gueule devant le Parvis du Temple Intérieur, quelques temps avant d’y entrer, et à cause d’un dernier manque de discernement ou… Un mauvais conseil ! Je sais que certains seront choqués d’apprendre que des êtres évolués et lumineux par ailleurs, peuvent induire en erreur (sans le faire exprès, bien entendu), mais je leur signale que si la section « Instructeur des consciences » (que nous on appelle « Maître ») a été créée par les Hautes Entités Cosmiques qui présidèrent au lancement de l’Aventure Humaine, ce n’est pas pour des prunes !

Toute entité cosmique, quel que soit son niveau, qui veut venir jouer avec nous (s’incarner pour expérimenter des trucs rigolos inconnus d’elle) doit d’abord demander la permission de « passer » la grille magnétique qui isole notre monde du reste de l’univers, ou doit attendre son tour, ou les conditions favorables, pour être admise au Collège Permanent des Maîtres Instructeurs. Car eux seuls ont le savoir requis pour instruire chacun en fonction des buts individuels poursuivis et d’une manière parfaite. Buts qui peuvent varier, voire changer carrément et avec le temps, rendant la guidance d’autant moins aisée.

 

 

Un Maître Instructeur demeure un profond mystère, finalement, car il n’a même pas besoin d’être très évolué pour savoir instantanément quoi faire, quoi dire et comment guider telle personne ou telle autre. Disons qu’il est devenu un spécialiste d’une seule et unique chose : « transmettre le savoir aux autres en fonction de leurs besoins particuliers et ponctuels. » Dans d’autres domaines, il peut même être « un peu juste » ou carrément incompétent. Personne ne sait tout, vous le comprenez bien.

A l’inverse, il existe des entités supérieures aux Grands Maîtres qui seraient bien incapables de transmettre quoi que se soit sans commettre d’irréparables erreurs. C’est pour cela qu’elles sont de simples « Invitées » sur cette Planète et ne reçoivent pas l’autorisation d’instruire de la Hiérarchie Planétaire (celle composée depuis le début d’Êtres Divins, et non celle des Maîtres, installée en cours de route et remplacée cycliquement.)

 

 

Voilà pour le moment et au sujet du Plan astral, duquel j’ai largement débordé pour des raisons que capterons intuitivement ceux et celles qui comprennent correctement ces choses. Toutefois, et si vous pensez que le sujet mérite d’être plus avant exploité, ou que je n’ai pas correctement expliqué certains passages, faites moi le savoir à la suite de cet article, par un commentaire. Nous en débattrons alors ensemble.

Je crois que ce sujet mérite d’être considéré avec toute notre bienveillante attention…

(Addenda : Désormais, merci de plutôt commenter sur Facebook.)

 

 

Serge Baccino

 

Michel Pépé – Medley floral et aquatique (Vidéos – extraits)

« Hymne à la Vie » de l’album Divine Oasis

 

 

 

 

« Dans la Forêt Enchantée » –  La Cascade Féerique

 

 

 

 

« Au Contact du Sacré » de l’album Joyaux et Merveilles

 

 

 

 

« Rêve Magique » – Album La Source d’Émeraude

 

 

 

 

« La Sagesse du Chêne » – La Cascade Féerique

 

 

 

 

« Beauté Elfique » – La Cascade Féerique

 

 

 

 

« Paix Intérieure » –  L’Éveil du Lotus

 

 

 

 

Un peu de métaphysique

At HomeOn nous apprend à l’école que les atomes ressemblent à des micro systèmes solaires. Ainsi, et à l’échèle, il existe autant de distance entre le noyau d’un atome et l’un quelconque des électrons qui gravitent autour de lui, qu’entre notre soleil et l’une quelconque des planètes qui gravitent également autour. Mais de quoi peut bien être « rempli » ce vide qui parait exister entre les noyaux atomiques et leurs électrons ?

 

 

La distance est telle, qu’on pourrait imaginer que d’autres choses pourraient se glisser dans ces intervalles. Des choses pas nécessairement visibles à l’aide de nos microscopes, même les plus sophistiqués. Et si les autres dimensions dont parle l’ésotérisme se trouvaient justement dans cet espace entre les particules subatomiques ?

Cela donnerait du même coup raison à certains Maîtres du passé qui enseignaient que tous les mondes cohabitent et existent en même temps et… Au même endroit !

 

Serge Baccino