Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Sur la réincarnation (extraits)

Voici un texte de Cicéron, orateur, homme politique et philosophe romain. Dans ce texte, qui est extrait de son ouvrage intitulé « Sur la vieillesse », il expose sa conception de l’immortalité de l’âme avec beaucoup de clarté et montre parfaitement pourquoi il est convaincu qu’elle évolue de vie en vie.

« L‘âme est d’origine céleste, précipitée ici-bas hors de sa demeure qui se trouve dans les deux les plus hauts et, pour ainsi dire, mise sur terre en un lieu totalement en opposition avec sa nature divine et son immortalité.

Et ce ne sont ni la raison ni la déduction qui m’ont amené à cette croyance, mais la grande réputation et l’autorité des philosophes les plus distingués.
J’ai souvent entendu dire que Pythagore et les pythagoriciens -presque tous natifs de notre pays et que l’on a appelés autrefois l’école italienne des philosophes- n’ont jamais douté que nos âmes aient été envoyées par l’Intelligence divine universelle.

De plus, il m’est souvent revenu à l’esprit le discours de Socrate, tenu le dernier jour de sa vie, sur l’immortalité de l’âme, Socrate, le plus sage de tous les humains.

Inutile d’en dire plus, je me suis moi-même convaincu et je maintiens, à cause du rapide mouvement de l’âme, de sa vivante mémoire du passé et de sa connaissance prophétique du futur, de ses nombreux talents et de l’immensité de son savoir, qu’une nature possédant des dons aussi variés ne peut être elle-même mortelle.

Et, puisque l’âme est toujours en mouvement, bien qu’elle n’ait pas de source extérieure pour lui en fournir, car elle se meut d’elle-même, j’en conclus aussi qu’il n’y aura pas de fin à ce mouvement, car il ne semble pas qu’elle doive s’arrêter jamais.

On trouve également une forte preuve de ce que les êtres humains connaissent beaucoup de choses avant la naissance, dans le fait qu’ils comprennent -n’étant encore que des enfants- des faits innombrables avec une telle rapidité qu’ils démontrent qu’ils ne les saisissent pas alors pour la première fois, mais s’en souviennent d’une autre vie et ne font que se les rappeler…».

 

CICÉRON (106-43 avant Jésus-Christ)

 

Le vrai Maçon

Nous avons tous un père et une mère biologiques. En tant que spiritualistes ou ésotéristes, nous avons également un Père et une Mère spirituels : L’esprit et la force vitale. Le premier nous permet de penser et consiste en le moule de tout ce qui est créé dans l’univers. Le second nous permet d’être vivant, de percevoir, de ressentir des émotions et de vivre tels des êtres sensibles et réceptifs. La Force Vitale ou « Pouvoir Divin » (Shakti, en sanskrit), est ce qui se précipite dans le moule spirituel formé par nos processus mentaux, pour leur donner vie, force et durée. Mais tout comme le jeune garçon doit tôt ou tard s’émanciper et se passer de la direction éclairée de ses parents terrestres, de même, le véritable initié devra un jour se passer des deux Principes Directeurs qui guidaient son existence.

 

A longueur de vie, nous entretenons des processus mentaux qui produisent ou induisent à leur tour des sentiments ou des émotions. Nous savons que toutes pensées et toutes émotions connexes, ne sont pas, loin s’en faut, positives et lumineuses (ou simplement agréables.) Pourtant, dans la Bible, il est écrit noir sur blanc : « Dieu est esprit » (Évangile de Saint-Jean, Ch. 4 v. 24) Mais si Dieu est esprit, et que c’est ce même esprit qui nous sert à penser, doit-on en déduire que Dieu accepte que sa propre texture puisse donner forme à des pensées négatives ? Auquel cas, Dieu est très large… euh… D’esprit ! Mais les pensées qui nous visitent sont-elles toutes intéressantes pour nous ? Comment définir les pensées que nous devons conserver, et celles que nous devons chasser, fussent-elles faites de Dieu (d’essence spirituelle, donc) ?

 

Eh bien ! Puisque chaque pensée est obligatoirement reliée à un sentiment (ou une émotion), pourquoi ne pas « goûter » chacune de nos pensées, c’est-à-dire juger librement de ce qu’elles nous font ressentir, puis de les virer sur le champ ou de les entretenir, selon le cas ? Mais pour se faire, encore faut-il être capable d’assimiler cette vérité : « Quoique je pense, quoique je ressente, je ne suis pas ce qui est pensé et ressenti, JE SUIS CELA qui pense et qui ressens toutes choses ! »

Si je comprends que JE SUIS la pure Conscience d’être (le Kristos), alors je peux comprendre aussi cette célèbre phrase attribuée à Dieu : « J’ai mis mon Fils au-dessus de moi »

 

Conscience4Si je suis la Conscience, alors je ne suis plus ni guidé par l’esprit, ni asservi par les formes mentales qu’il a permis de générer : Je suis Cela (OM) qui va SE SERVIR de l’esprit pour penser librement. Et donc, pour ressentir librement tout ce qui me procure de la paix, de l’amour et de la joie.  Oui mais…. Une minute, Docteur ! Si Dieu est esprit et que je me sers de ce dernier, est-ce à dire que je vais avoir le culot démesuré de prétendre me servir de… Dieu ? Je vous laisse le soin de répondre vous-mêmes à cette question et de réagir comme bon vous semble.

 

Serge Baccino

 

Les techniques du mal (Dossier – Seconde partie : suite et fin)

forces de l'ombre2Que feriez-vous si vous faisiez partie des Forces de l’Ombre et que votre principal ennemi soit la spiritualité ainsi que ceux qui la défendent ? Drôle de question, dites-vous ? Soit. Alors essayons de prendre le problème à sa source. Non pas au début de notre affaire mais au début de ce que nous pourrions considérer comme étant « les prémisses même de la fin. » Depuis toujours, une poignée d’êtres humains, sur Terre, rêve de s’emparer du sceptre du pouvoir. N’est-ce donc pas déjà le cas, répondrons les moins tristes ou les plus courageux ? Oui et non ! Il est vrai que trois cent personnes suffisent à conduire une Nation, faites de 65 millions d’âmes. Ou de 250 millions. Mais pour conserver le pouvoir relatif qui est encore le leur, ces trois cent personnes doivent se cacher et rivaliser d’ingéniosité autant que de duplicité.

Cela parce que les trois cent susnommés ne conservent le pouvoir que parce qu’ils font tout pour nous faire croire qu’ils n’existent pas et n’ont jamais existé. Tout ceci n’est qu’une légende, à ce qu’il paraîtrait. Et que faire d’une légende, alors qu’il est si facile de faire disparaître un demi-millier d’individus ! Mais ce faisant, ils doivent déployer autant d’énergie que ce qu’ils peuvent être cupides et lâches. Et cela ne leur suffit pas, et cela ne leur suffit plus. Alors, les voici qu’ils se prennent à rêver d’un monde dans lequel il ne leur serait même plus utile de se cacher. Un monde où leur existence serait reconnue et souhaitée, pour ne pas dire désirée. Car n’est-il pas désirable, celui-là qui dénonce le mal, condamne l’injuste et punis les coupables ?

 

forces de l'ombre04Les Forces de l’Axe se prennent désormais à rêver ! Jamais, depuis soixante-dix ans, depuis ce temps pour eux béni où ils faillirent s’emparer définitivement du Monde pour en changer le NOM, une telle chance ne s’était représentée à eux ! Une chance de détruire définitivement, et avec le concours bienveillant et les applaudissements du peuple, tout ce que ce même peuple avait mis des centaines d’années à construire : Un semblant d’intelligence et donc, de liberté. Mais d’où lui viennent cette intelligence et cette liberté, toutes choses précieuses que Dieu ne prête qu’aux Sages et refusent aux mécréants ? Mais elles viennent des Sages, pardi ! N’était-ce pas évident ? Mais de quels Sages parle-t-on, attendu que de Sagesse, l’homme moderne est plutôt démuni ?

Parlerions-nous de ces Sages, de tous ceux qui vécurent jadis ? De ceux qui, bien que disparus, permettent à leurs plus jeunes frères, de vivre décemment, à l’abri des frasques des plus coriaces d’entre ces animaux qui se rêvent être des hommes ? Oui, c’est bien d’eux dont nous parlons. Nous parlons de ces hommes et de ces femmes qui, bien avant nous, tracèrent les chemins, déjouèrent les pièges et permirent aux hommes de vivre en compagnie de leur âme sans jamais connaître la honte ou le ressentiment. Nous parlons de ces frères en esprit, de ces génies de l’humanité que d’aucuns, avec respect et tendresse, nomment les Maîtres du passé. Et du passé ils furent bien les Maîtres, car c’est grâce à eux qu’existe notre monde moderne et que perdure une sagesse par eux seuls invoquée.

Alors, puisque ce sont ces Maîtres qui appartiennent au passé et qui donnent encore à l’homme moderne sa force et sa stabilité, plutôt que de s’en prendre aux élèves, pourquoi ne pas salir cette image pieuse sur laquelle repose intelligence et liberté ? Allons donc salir ces Maîtres et les éclabousser ! L’homme d’ici n’y verra rien à redire, car depuis  toujours sa vue fût limitée et dépendante de celle de ces Aînés. Eux disparus, ils n’auront pour recours qu’une reposante cécité. Et ils ne sont plus là, ces Aînés, ces Maîtres du passé. Plus là pour défendre leurs cadets, pour les exhorter à comprendre puis à se défier, de celles et de ceux qui, depuis toujours, rêvent bien moins d’être libres que de voler aux autres cette même liberté. Mais par Dieu ! Pourquoi salir ainsi les Aînés de la Race des Hommes, quand on sait que leurs cadets, de nos jours, n’ont plus aucune grâce ni capacité à aimer ?

Ils ne sont pas grands mais ce n’est pas le drame. Bien que c’est cette grandeur d’antan, des autres et d’un autre âge, qui coule dans leurs jeunes veines, comme si elle en était le sang. Et ce sang là, celui des Anciens Braves, est comme une sorte d’anti-venin qui protège de la morsure du Mal. Un sérum efficace contre toute attaque du Malin. On ne peut retirer de leur sang ce vaccin pour leur âme mais l’on peut faire mieux et bien plus pernicieux encore. Que se passerait-il si l’image de ces Frères Ainés des hommes se retrouvait ternie ? Comment réagirait le commun des mortels, vivant à notre époque, s’ils apprenait que ses Modèles, ces Héros d’antan, n’étaient non pas simplement des hommes mais des êtres malsains aux desseins peu louables pour ne pas dire mieux ?

Qu’arriverait-il si le peuple se mettait brusquement à douter de ses Idoles ?

 

forces de l'ombre05Alors ce peuple qui se rêve éveillé afin de mieux dormir sans même en avoir honte, reçoit l’aide bienveillante et Ô, combien désintéressée, d’hommes et de femmes éclairés qui, fort heureusement, vont remodeler le passé afin de lui donner une forme bien plus humaine… Et n’est-il pas dans la nature de l’homme de mentir, de tricher et de se faire plus beau que vrai ? Alors voici les nouvelles vérités, venant sauver le peuple de l’ignorance crasse qui laisse l’espoir se fonder sur des idéaux illusoires. Ne le saviez-vous pas ? Untel a pactisé jadis avec l’Allemagne et Unetelle trichaient, afin de s’attirait confiance et sympathie. De Maître véritables, ils n’en n’ont point connu et leur sagesse n’était fondée que sur des marécages et les châteaux dressés n’avaient pour moellons que du sable. Du sable sans eau.

D’ailleurs, ont-ils seulement existé, ces Maîtres du passé ? Ne sont-ils pas nés de l’esprit enfiévrés qui dicta jadis ces propos délétères qui font croire à l’homme sot qu’il peut devenir libre et que son intelligence peut rivaliser avec celle des Régnants ? Dès lors, pourquoi ne pourrait-il pas se passer de la saine guidance des quelques élus de Dieu qui savent, bien mieux que lui, ce qui est juste et bien ? Folie que tout cela, hérésie et j’en passe…

Si le moindre péquin pouvait devenir sage, pourquoi n’est-ce pas lui qui, depuis toujours, dirige et éclaire les plus humbles et démunis ? Alors l’homme de la rue comprend qu’il ne faisait que rêver, que l’homme né humble ferait aussi bien de le demeurer, plutôt que de se surprendre à rêver à des cimes sur lesquelles il ne saurait bien longtemps respirer, tellement son air est prévu pour les nobles et les élus de Dieu. Les Maîtres n’étaient qu’un Mythe mais Dieu, qu’il était bon de rêver à cette Lumière qui, croyait-on, éclaire tout autant les humbles que les nantis ! Si les Frères Ainés étaient de piètres hommes, alors le sang qui coule dans les veines du peuple n’avait aucun pouvoir ou, tout au plus, celui de protéger de la réalité et de bercer les êtres d’une douce illusion. Cruel est le réveil de celui qui se rêvait lucide !

 

Fin de la routeEt voici la fin de la route ! La Lumière se retrouve à nouveau sous le boisseau et ce dernier est ajusté afin que nul rai ne puisse filtrer, nul jour transparaitre. Alors l’Ombre n’est plus, car pour qu’il y ait de l’ombre, il faut son opposé. Quand un s’en va, deux nous quittent, il en est ainsi, depuis toujours et à jamais. Mais si l’Ombre disparaît, que reste-t-il aux monde ? Ils lui reste la seule et unique réalité : celle imposée par ceux qui, désormais, règneront en maître et à la place des hommes. De nouveaux maîtres bien réels, bien vivant et qui se feront connaître de tous, pas seulement de quelques élus. Ils penseront parleront et agiront à sa place. N’est-ce point là une réelle bénédiction ? Merci à toi Ô, peuple des hommes, car te voici sauvé. Définitivement. Tu n’auras plus à subir ce lourd fardeau que l’on appelle la liberté de conscience.
 

Serge Baccino

 

Les techniques du mal (Dossier – Première partie)

forces de l'ombreD‘aucuns se diront, en lisant le titre : « Tiens, il donne des techniques pour faire le mal, à présent ? » En fait, nul ne peut compenser ou combattre l’action d’un ennemi, quel qu’il soit, sans le connaître vraiment et sur le bout des doigts. Hélas, il est un fait reconnu de tous les non-hypocrites, que les « forces terrestres de la lumière » sont aussi courageuses qu’une demi-douzaine de chatons apeurés se lançant à la découverte du monde, à un mètre du panier dans lequel ils viennent de naître, sous le regard rassurant de leur féline maman. Disons-le carrément : Les gens transparents à force d’être « lumineux », ont très peur du mal, ainsi que de tous ceux qui ont cette drôle d’idée de commettre les pires exactions sur la personne physique ou morale de « leurs frères. » Mais sans doute le peuvent-ils, faire du mal aux autres, justement parce qu’ils ne les considèrent pas  comme autant de frères ? On est en droit de le croire,  de le supposer, sans doute.

Or donc -et selon vous- qu’est-ce qui est le plus aisé, construire ou bien détruire ? Faire du mal et nuire rapidement et d’une manière efficace, ou faire « du bien aux autres » tout en se construisant, en quelques années, une solide réputation ? Inutile de vous manquer de respect en faisant mine de me répondre, car nous connaissons, vous et moi, la triste réponse, la seule réponse qui soit. Cette réponse que n’osent même plus invoquer les « forces du Bien » qui, pourrions-nous le croire, sont à l’origine même du franc succès que remportent les forces adverses, j’ai nommé : Celles de l’Ombre.

 

forces de l'ombre02Car vous ne le saviez pas encore, vous ne le saviez pas déjà ? Si Le Mal est si efficace, contrairement au Bien, ce n’est pas grâce au pouvoir inhérent à sa nature, destructrice en diable mais à cause de l’incompétence tragique des seconds. C’est par le seul fait de cette absence d’adversaire capable de s’opposer à lui, que le Mal retrouve, siècles après siècles, un si franc succès. Celui qui se présente seul à un concours de beauté, sera toujours assuré d’être le plus beau. Si nul ennemi potentiel ne se dresse face aux Forces du l’Ombre (ou même légèrement décalé sur la gauche) c’est parce que, depuis toujours, le bien ne sait que construire ce que le mal se fera ensuite une joie de détruire, avec une application et une célérité dignes d’éloges. Il n’est plus possible de jouer aux gendarmes et aux voleurs, lorsque plus personne ne souhaite revêtir la casquette, le masque et le baluchon qui désignent le voleurs. Bien trop de képis ! Et voici que le jeu s’arrête.

A l’évidence, le Beau et le Bien sont à la fois magnifiques et lumineux mais ils en deviennent grandiloquents à force d’inexistence. Le Beau, le Juste, le Noble, le Bon et le Bien, sont autant de lièvres dodus que l’on pourchasse sans jamais les rattraper vraiment. En faire des trophées est donc une toute autre histoire. Pourquoi est-ce Le Mal qui gagne toujours à la fin, n’en déplaise aux mystiques, aux cinéastes américains et aux sages, presque aussi inutiles que ce qu’ils sont émouvant à entendre, l’hiver au coin du feu ? La seule réponse possible est parce que Le Mal, lui, fait quelque chose et qu’il est aussi simple qu’efficace, tandis que Le Bien, quand à lui, demeure théorique ou au mieux verbal et réclame du temps ainsi que de multiples efforts.

Tout comme il est plus facile de détruire un château de cartes que de le dresser sans que tout s’écroule au moindre souffle d’air, de même est-il plus aisé de détruire l’œuvre des autres que d’en construire une soi-même, cela au risque qu’elle soit détruite par d’autres et à son tour. Ne plus rien faire et se contenter de parler de ce qui est mal et de ce qui devrait être fait par les autres, est devenu le sport favoris de ceux de la Lumière. Si cela continue, le mal se trouvera dans la situation intenable de ne plus rien trouver à détruire sur son chemin. Ce qui serait un moindre mal pour les  » forces «  à l’aveuglante clarté dont personne ne sait plus quoi faire et dont plus personne ne veut vraiment.

Mais peut-on vraiment parler de « force » à propos de ce qui, sa vie durant, demeure assis pour ne pas dire couché ? La personnalité est devenue une personne alitée et rien d’autre. Et ceux qui se tiennent encore debout ne tiennent plus d’outils mais des armes, ne lancent pas de baisers mais des grenades. Et si le combat cessait brusquement faute d’adversaire au Mal ? Cela serait un terrible coup porté aux forces de l’Ombre, car celui qui est fait pour détruire ne saurait cesser de le faire et, en fin de compte, finit un beau jour par se détruire lui-même, faute de matériau extérieur. Alors voilà la victoire des forces de la Lumière ! La voici victorieuse à force d’inexister ! Puisque l’ennemi vient de s’abattre lui-même, faute de combattants, la bataille ne peut que prendre fin.

 

forces de l'ombre03Mais la Lumière n’a pas gagné : Le suicide de l’ennemi ne saurait compter pour victoire. Surtout quand on sait que des deux présumés antagonistes, l’un d’eux seulement avait à cœur de participer aux combats tandis que l’autre fuyait se réfugier dans « la spiritualité. » Un seul des deux Agissait tandis que l’autre ne se battait que contre des ombres ou contre un ennemi qui n’existait qu’en esprit et pour lui seul. Un esprit Ô, combien inefficaces, l’esprit de celle ou de celui qui jamais n’aura seulement accepté de Jouer le Jeu. Pourquoi diable dans la Bible même, est-il écrit que « Dieu vomit les Tièdes » ? On se le demande !

Puisse cette diatribe ne jamais servir à flatter ceux qui se placent toujours et nécessairement du côté où brillait déjà la Lumière. Une Lumière héritée de celles et de ceux qui, dans un lointain passé, ont Osé avant eux allumer un véritable Feu. Puisse-t-elle encore moins leur laisser croire, qu’ils puissent hériter un jour du moindre de mes respects.

 

Serge Baccino

 

Quand je te sens, c’est vraiment toi

l'esprit4Depuis tout ce temps, quand je te crois, quand je te sais, ce n’est pas Toi, ô, mon Dieu mais quand je te sens, c’est vraiment Toi.

Mon esprit ne peut te concevoir et ce que je sais de toi procède de mon esprit et ne peut être Toi car mon esprit ne peut te concevoir.

Quand je prétends croire en Toi, je crois en fait en toutes ces idées que je puis me faire de Toi, mais tu n’es pas et ne seras jamais toutes ces idées si éloignées de Ta véritable Nature.

Si je parle de Toi, je ne me réfère alors qu’à mon ignorance de ce que tu es vraiment.

Quand je te parle, je ne m’adresse qu’à cette partie de moi-même qui s’imagine naïvement te connaître.

Ainsi, je ne puis ni te saisir par ma pensée, ni exprimer par des mots ton Essence, mais quand je te sens, Ô, mon Dieu, alors c’est vraiment Toi.

En tout temps, tu es la Présence qui habite mon cœur.

En tous lieux tu es là, au-dedans comme au-dehors et je ne puis orienter ma conscience en laquelle tu te trouves sans que mes yeux ne puissent contempler autre chose que Toi.

Dieu de mon cœur, je promets de ne pas penser à Toi et de ne pas parler de Toi dans le seul but de mieux te connaître.

Je promets aussi de ne plus chercher à te trouver autre part que là où tu te trouves déjà de toute éternité, dans mon propre ressenti.

Mon Dieu, quand je te sens, c’est vraiment Toi.

 

Serge Baccino

 

 

Voyage dans l’Energie des Dieux (vidéo – Extrait)

Voyage dans l’Énergie des Dieux

 

« Comprendre et agir sur l’invisible qui nous gouverne »

Phénomène OVNI; Cerveau Vibratoire Quantique & Énergie Circalaire (dite Energie Libre)

Issu d’un rencontre rapprochée avec le phénomène OVNI, la structure du Cerveau Vibratoire Quantique qui émergea des mains d’Emmanuel Guizzo, après sa rencontre avec Jeanine La Jeunesse (qui fut témoin direct de ce phénomène en 1954) se révéla comme étant l’interface entre les forces cosmo/quantiques utilisées par les intelligences ET pour communiquer avec nous mais aussi un formidable moyen pour accéder à une énergie corticale particulière -l’énergie du futur- l’énergie Circalaire (1) , que l’on peut qualifier d’énergie libre.

Ce cerveau se situe dans une dimension de l’espace-temps connexe au nôtre.

L‘accès à cette structure vibratoire quantique amène non seulement à une liberté totale de la Conscience cosmique et de l’être pour celui qui pratique, mais à une connaissance de « l’invisible qui nous gouverne ». Cette Energie Vibratoire Quantique permet de « dialoguer » avec les étoiles (Astrobiotique); elle donne également puissance d’action et santé.

Cette matrice vibratoire particulière -dont on retrouve le symbole dans la mythologie et les civilisations mégalithiques- issue de cette dimension, nous plonge directement dans les énergies matricielles de l’Ère du Verseau en nous invitant à quitter progressivement l’ère du Poisson.

Elle permettent également l’accès direct à l’inconscient -selon la méthode de Biopsychanalyse- pour en effectuer éventuellement le nettoyage afin d’en débarrasser au plus vite des scories de « l’Ancien Fonctionnement » qui interfère gravement pour l’accès à ce fonctionnement « Nouveau » set au passage du fonctionnement carbone au fonctionnement silice.

Ce film est une très bonne approche modélisée de ce fonctionnement.

(1) également appelée énergie Biotique car elle est à l’origine de la vie – cf. La Biopsychanalyse Ed. Celena)

Lien : http://rustyjames.canalblog.com/archi…