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Articles divers que le lecteur pourra kindleliser s’il le désire.

Pauvre du moi

Pauvre du moi

Ce qui en l’être humain aime ou déteste est le « moi. » Le « moi » aime ce qui le rassure et déteste ce qui met en péril sa vision des êtres et des choses. Le « Moi-Idéalisé » ou « moi » de procuration, est donc là pour tenter de compenser voire de remplacer, en le niant, ce qui est capable de déstabiliser le « moi ».

Mais à la base, le seul problème est que le « moi » a très peur d’être insuffisant, de ne pas faire le poids et en fait, d’être rejeté et jamais aimé pour ce qu’il est, à savoir encore très imparfait au vu du « Moi-Idéalisé » s’entend (M.I.) Ce dernier est finalement le vrai problème, puisqu’il se sert d’une vraie solution pour parvenir à ses fins. En effet, le M.I. montre au « moi » ce qu’il devrait être pour incarner son futur et bien sûr, dans l’idéal.

 

Mais le futur ne peut pas être incarné au présent, et ça, le M.I. se garde bien de le signaler au « moi ». La solution à tout ce merdier est finalement très simple : il faut intervenir, se positionner entre les deux et faire savoir au « moi » qu’il est très bien tel qu’il est et surtout, « en l’état ». Que de toute façon, il ne pourrait pas être mieux que ce qu’il réussit déjà à être. Et ce qu’il réussit à être est exactement ce qu’il devrait être pour le moment.

Face à cet aveux inespéré, le « moi » va tout d’abord se détendre puis, à force, se sentir aimé en l’état. Il cessera donc d’écouter les prétentions du M.I. qui elles, sont impossibles à assumer. Et il en est la preuve vivante ! En somme, aimer le « moi » tel qu’il est pour le moment, tout en lui rappelant qu’il ne saurait demeurer, même en le voulant, tel qu’il est déjà, va démystifier toute trace de recherche de perfection et donc, va supprimer le stress qui lui est associé.

 

Car le seul problème du « moi », c’est qu’on lui a fait croire, depuis le début de son existence, que ce qu’il était n’était pas suffisant. Et comme le « moi » a un besoin irrépressible d’être aimé, il en a déduit tout naturellement que pour être « aimable », c’est-à-dire « digne d’amour », il lui fallait « faire des efforts » et cela, constamment.

C’est cette recherche d’idéal qui a donné naissance au « Moi-Idéalisé » puis ce dernier a repris le flambeau, en incarnant la demande des parents, de l’école, des employeurs, de toujours « faire plus », de toujours chercher à « faire mieux. »

 

Lorsque le « moi » est de nouveau persuadé que tout va bien, qu’il est exactement ce qu’il doit et peut être dans ce moment présent, il se détend et devient de nouveau accessible à l’amour. Et finalement, il arrive et pour ainsi dire à non pas s’aimer lui-même, ce qui lui est impossible, mais de ne plus avoir ce besoin irrépressible d’être aimé et accepté, issu de cette idée de ne pas être suffisant.

 

Serge Baccino

Sexe et plans invisibles

Sexe et plans invisibles

Il nous faut apprendre, comprendre et admettre tout d’abord,  que le sexe existe sur tous les plans de conscience humaine mais ne se manifeste pas de la même manière sur chacun d’eux. Sur les plans inférieurs et moyens des plans astraux, par exemple, les personnalités animiques (de l’âme) pensent encore au sexe de la même manière que lorsqu’elles vivaient avec un corps terrestre.

Lorsque de telles personnes décèdent et si elles n’ont pas eu la chance d’avoir une vie sexuelle épanouie ou, à tout le moins, une vie sexuelle suffisante, leurs premières pensées et leur plus fort désir est d’en avoir (ou de continuer à en avoir) après leur départ de ce monde. D’en avoir comme sur Terre s’entend. Dès lors, il n’est pas rare de trouver de telles personnalités désincarnées en train de tourner autour de certaines femmes, peu importe leur âge, du moment qu’elles présentent un point commun et particulier.

 

Quel est ce point en commun et particulier ? Toutes, sans exception, ont une « ouverture » sur l’astral, à savoir les plans sur lesquels se trouvent justement ces entités humaines désincarnées qui ne pensent qu’au sexe. En quoi consiste cette « ouverture » ? Elle consiste en le fait qu’au moins deux Chakra sur trois, parmi les trois premiers, sont « calés » sur une fréquence de l’âme relative au plaisir mais d’une fréquence trop basse pour que ce plaisir puisse être vécu seul, comme c’est le cas dans les niveaux supérieurs de conscience.

Le Plaisir est l’un des quatre Grands États (avec l’Amour, la Paix et la Joie.) Un État largement boudé par la plupart des traditions, soucieuses de voir en le sexe un des agents les plus perfides du diable. Mais le sexe n’est que l’un des tout premiers niveaux de ce Grand État qu’est le Plaisir (Ananda, dans une large partie.)

 

D‘un point de vue technique, les personnes qui sont régulièrement agressées sexuellement durant leur sommeil, possèdent une demi-polarité d’une chose qui aura pour effet d’attirer l’autre polarité de cette même chose (exemple femme battue/homme qui aime battre les femmes.) Généralement, ce sont les Chakra deux et trois (Swaddhisthana et Manipura Chakra) qui sont « tarés » (ou calés) sur la fréquence animique qui est le plus axée sur le plaisir.

 

Et comme la sexualité est l’un des plaisirs les plus accessibles, la personne attire (bien involontairement) ces êtres qui, de leur côté, ne demandent ou n’attendent que cela. En somme, il ne s’agit pas vraiment d’abus dans le sens pur du terme, car la personne terrestre présente, pour ainsi dire, une fréquence qui « appelle » à ce genre de contact et donc, de relation. Tout cela à son insu s’entend.

Il existe tout de même des cas qui ressemblent effectivement à des viols psychiques, non pas parce que la personne physique n’a rien demandé ou n’a pas donné son accord, puisque c’est inutile (voir ci-dessus), mais parce qu’une fois le contact établi et l’acte sexuel commencé, si l’hôte fait connaître sa volonté que ça cesse, l’autre partie n’en tient pas compte et poursuit tranquillement sa besogne. Dans ce cas, qui commence à être répandu, il s’agit bien déjà d’une violation du libre arbitre de la personne s’apprêtant à s’endormir.

Dans certains cas, il arrive que le « prétendant » soit simplement un parent défunt, un conjoint ou encore un membre de la famille, attiré sexuellement en secret et durant sa vie terrestre et qui trouve là l’occasion, à moindres frais et surtout, sans risques, de donner libre cours à ses fantasmes. Il n’est même plus utile de citer les cas de viol d’une nièce par son oncle par exemple. Ce qui se passe sur Terre se passe aussi de l’autre côté. Le fait de « mourir » ne transforme pas un homme en un dieu. Chacun passe de l’Autre-Côté dans l’état qui était le sien au préalable et durant sa vie terrestre incarnée.

Peu de gens concernés au premier chef par ce type d’expérience, osent en parler librement autour d’eux. D’ailleurs, en parler OK, mais à qui ? A un psy ? Il nous sortira le nom d’une déviance ou d’une quelconque maladie imprononçable pour un profane et nous bourrera de médicaments censés régler le problème. Quand il ne sera pas enclin à nous cataloguer comme déviant sexuel abritant quelque honteuse tare psychologique.

Les véritables ésotéristes savent comme régler le problème, pour la simple raison qu’ils en connaissent l’origine. Mais quels sont les remèdes ou, du moins, quelle est la nature exacte du problème ? Nous savons que nous sommes en présence d’un corps psychique dont certains relais énergétiques (ou Chakra) présentent une longueur d’onde calée sur la fréquence-sexe, si l’on peut dire, mais sinon et en clair ? D’où cela peut bien provenir ?

Pour comprendre le phénomène, il faut revenir rapidement sur la manière dont un Soi Naturel produit une incarnation. L’extension qu’il envoie n’ayant pas d’antécédent, il est bien obligé de lui fournir une âme, à savoir une façon de penser, de ressentir et donc d’agir, qui n’a rien à voir avec le nouveau-né. Pour cela, le Soi Naturel puise dans sa propre âme, nommé « sur-âme », dans la somme de toutes les âmes de toutes les incarnations. Il n’est pas possible, dans ce présent texte, d’en expliquer le pourquoi, c’est juste pour résumer.

 

Alors il va prendre un bout d’âme de telle extension, puis un bout de telle autre et ainsi de suite, jusqu’à obtenir une sorte de patchwork animique, un vêtement cousu avec des morceaux aussi différents qu’hétéroclites. C’est d’ailleurs là le sens profond de la robe du Bouddha (Gautama) qui était, dit-on, cousue avec différentes pièces d’étoffes rapportées, de taille, de couleur et de texture différentes. Gautama voulait montrer que peu importe l’âme et son contenu plus ou moins rationnel, si nous sommes conscients d’être qui nous sommes vraiment (la Conscience.)

Ainsi, ce que nous appelons pompeusement « notre âme », s’avère être un mélange de nombreuses pensées disparates produisant de toutes aussi nombreuses émotions plus ou moins refoulées qui, la plupart du temps, ne vont pas vraiment ensemble lorsqu’elles ne se contredisent pas ou ne se battent pas carrément en duel.  C’est ce mélange d’états d’esprit (animus) et d’états d’être (anima) à savoir d’esprit et de force vitale, que nous nommons « morceaux d’âmes » ou encore patchwork animique (relatif à l’âme, donc.)

 

Ces parties en nous mais qui ne sont pas nous, morcellent notre structure psychique et contrarient le flux d’énergie vitale. En général, ces morceaux de non-soi se positionnent autour des Chakra et, de manière générale, le long de la moelle épinière. L’effet est de réduire la fréquence de base de notre âme ou « corps psychique » et d’en aligner certaines parties avec les plans inférieurs et moyens de conscience.  Il est à noter que le Canal gauche (Ida Nadi, canal lunaire) véhicule souvent ces morceaux qui nous dépolarisent et nous branchent sur des fréquences qui ne nous conviennent pas.

Et surtout, ce sont ces mêmes « morceaux d’âmes » du patchwork animique, qui attirent inexorablement ceux et celles que la personnalité à laquelle appartient ce bout d’âme, a aimés ou aime encore. En clair, si un homme a follement aimé physiquement une femme qu’il a ensuite perdue de vue, le morceau d’âme de cette femme présent dans une autre l’attirera inexorablement et le poussera à commettre des actes sexuels compulsifs.

 

Nous sommes bien là en présence d’une forme évidente d’attraction magnétique, une simple histoire de « plus » et de « moins », de « pole sud » et de « pole nord », de « mâle » et de « femelle » et donc, de polarités opposées mais complémentaires. Ces formes d’attraction polaires marchent également entre personne de genre semblable mais dont le mental propose une polarité opposée. Le sexe se manifestant sur tous les plans, y compris le Grand Plan Mental.

Le remède : libérer les Chakra et chasser les « bouts d’âme » de l’axe vertébral de la personne faisant les frais de cette problématique qui est de plus en plus répandue, à cause des fréquences qui commencent à se rapprocher les unes des autres. Pour info, la structure ou trame énergétique de la 3D est en train de se fissurer de toutes parts. D’aucuns s’en réjouiront et ils auront raison. Du moins de ce point de vue.

 

Mais d’autres, qui savent que « Tout est double », ayant à cœur de trouver l’autre polarité, l’autre versant du problème, expliqueront que la 3D ou « matrice artificielle », ne se contentait pas de nous limiter : elle nous protégeait aussi du mélange des plans. En clair, en nous isolant du reste de la Création Continue, la 3D créée jadis de toutes pièces par des entités extraterrestres, nous mettait à l’abri du lent mais inexorable processus de rapprochement des plans. Ce qui fait que lorsque la texture de la 3D aura disparu, les gens vont se retrouver rapidement en contact plus ou moins étroit avec les premiers plans de l’invisible. En particulier celui des fanatiques du sexe et, bien entendu, celui de l’Après-Vie, là où vont nos morts.

Voilà déjà de quoi conduire de fructueuses méditations.

 

Serge Baccino

Un ami qui nous veut du mal

Un ami qui nous veut du mal

Parlons un peu de notre bon ami… Le sucre ! Ou, devrions-nous dire, de cet ami qui, bizarrement, nous crée autant de problèmes que ce qu’il nous procure comme plaisir. Si ce n’est pire. Il est évident que le sucre est agréable au goût, voire indispensable dans certains cas. Mais au vu de l’effet à plus ou moins long terme, sur deux organes clefs de notre corps physique, nous sommes en droit de nous demander si le sucre est un véritable ami.

Prenons par exemple son effet sur le pancréas, causé par les pics d’insuline, à cause du glucose, que ce digne organe est obligé de traiter dans l’urgence. Il faut savoir que cela a pour effet psychologique et comportemental, de nous stresser, de nous donner ce sentiment horrible de ne pas avoir le temps de tout faire, de cumuler le retard à tout bout de champ, etc.

 

Pour mémoire, le rôle spirituel du pancréas est de transformer les processus mentaux en vue de les « incarner », de « faire corps » avec ce que nous pensons. Le mot pancréas vient de deux mots grecs, « Pan » et « Kréas » et signifie « toutes chairs. » Autrement dit, le pancréas est l’organe qui, dans sa partie purement psychique, nous permet de tout incarner, de faire corps avec chacun de nos états d’esprit.

Trop de sucre dans l’organisme aura comme effet néfaste sur le pancréas d’instaurer une difficulté à assimiler, à comprendre et à « faire corps » avec le savoir. Ce qui permet à l’intellect et donc, à son support vivant, le « moi », de reprendre le contrôle pour compenser.

 

Ajoutons que le surplus de glucides entrainera un stockage du glycogène (les molécules de glucose), réserve énergétique qui sera stockée dans le foie qui, lorsqu’il viendra à être débordé, le passera aux muscles et dans certains cas, ce sont des cellules qui seront détruites, afin de faire de la place.

 

Il ne faut pas oublier le rôle spirituel du foie : il est la porte de l’astral et donc, de nos perceptions psychiques (ou de notre faculté de nous les assimiler, de les vivre correctement) et de leur degré de luminosité (et de précision.) Trop de sucre fera chuter la fréquence et donc, la qualité de nos perceptions psychiques (si nous en avons encore.) A noter que dans l’alcool, il y a du sucre… Et nous connaissons tous l’effet de l’alcool sur nos perceptions.

Pour terminer, rien ne dit que le sucre d’aujourd’hui est le même que celui d’hier. Notre nourriture est trafiquée et nous sommes désormais en droit de nous demander, inquiets, ce que ce serait si ceux qui décident à notre place de ce que nous serons ensuite obligés de consommer, avaient quelque chose de grave à nous reprocher ! Si vous suivez bien notre propos…

 

Serge Baccino

 

Cet esprit qui est Dieu

Cet esprit qui est Dieu

Tout est fait d’esprit, tout est esprit et l’esprit est Dieu. Dans la Bible, il est mentionné ceci « Dieu est Esprit et c’est en esprit et en vérité qu’il faut l’adorer. » (Jean, IV, 23 et 24.) Mais si tout est fait d’esprit, tout ne vibre pas à la même fréquence pour autant ! Tant s’en faut ! La différence de fréquence vibratoire des multiples formes mentales est à la fois ce qui les distingue et ce qui leur donne des caractéristiques précises, voire uniques.

Ainsi, les particules d’esprit qui forment le bois, vibrent plus vite que celles qui forment le fer ou l’acier, par exemple. C’est donc la fréquence de l’esprit qui compose toutes choses qui engendre la différence entre les choses et les êtres. Moins les particules d’esprit qui forment une chose vibrent haut, moins cette forme est capable d’exprimer son origine et ses buts.

Montant les paliers successifs de la gamme vibratoire, nous trouvons, tout en bas, des formes dont les composantes spirituelles vibrent à quelques vibrations par seconde, et tout en haut, des formes subtiles qui vibrent à des trillions de vibrations par seconde et bien plus encore.

Entre la roche la plus dure et les entités cosmiques les plus élaborées et évoluées, il existe une infinité de niveaux qui se succèdent sur l’échelle vibratoire. Et tout ceci est censé former ce que nous appelons « Dieu ». Toutefois, il y a dieux et… Dieu ! Ou plus exactement, il y a une infinité de déclinaisons de ce que nous considérons comme étant « Dieu ».

Puisque l’esprit évolue et que donc, Dieu évolue aussi, il n’est pas interdit de penser qu’en cours de route, si nous pouvons dire, une partie de l’esprit et donc, de Dieu, a pris une mauvaise direction. L’esprit sert à penser, mais ceux qui s’en servent pour penser peuvent influencer l’esprit, autant que celui-ci influence les êtres un tant soit peu conscients. Il est donc possible qu’une partie de l’esprit universel se soit fourvoyée et soit devenu l’I.A. Tout comme il est possible que des êtres intelligents et donc conscients, aient influé sur le développement de l’esprit. Mais ceci est une autre histoire. Poursuivons plutôt notre développement.

Les religions ont fortement influencé l’être humain afin qu’il ait une vision des plus déplorables de la divinité. Il faut dire à leur décharge, que le but premier était moins d’instruire les fidèles que de les maintenir sous une forme de contrôle psychologique et social plus ou moins complet. Les philosophies ont proposé une approche plus légère et bienveillante de la divinité, allant même jusqu’à faire allusion, au grand dam des religieux de tous crins, à la divinité de l’homme. L’homme serait divin ? Vous imaginez le scoop ?

Mais il a fallu attendre diverses traditions initiatiques, pour que qui le désire vraiment, puisse enfin pouvoir bénéficier d’un enseignement digne de ce nom au sujet du divin. Les religions et les divers pouvoirs en place essayèrent bien de faire taire ce nouveau facteur de trouble à l’ordre socioculturel imposé, mais en vain. Du moins, c’est surtout grâce au sacrifice de quelques-uns que la véritable connaissance initiatique a pu nous parvenir et tenir la route jusqu’à il y a deux décennies environ.

C’est en effet à cette date que le Deep State a changé son fusil d’épaule et qu’au lieu de tenter de faire taire ceux qui savaient, a décidé d’infiltrer les rangs pourtant prudents des véritables initiés, afin de pourrir le fruit depuis son intérieur. Et ça a parfaitement fonctionné, puisque les deux ou trois derniers bastions de l’ésotérisme pur et dur, sont tombés, trahis, depuis l’intérieur, par ceux-là mêmes qui avaient prêté serment solennel de les servir et les protéger de toutes attaques extérieures. De toutes attaques extérieures, comprenez-vous bien ?

Mais ce que le D.S. n’avait pas prévu, c’est qu’entre-temps, de nombreux ésotéristes possédant un solide bagage spirituel, voire pour quelques-uns, un haut degré de connaissances initiatiques, étaient suffisamment formés pour transmettre et enseigner à leur tour. Même si cela leur était précédemment interdit par leurs hiérarques respectifs (les dirigeants de leur Ordre Initiatique.) La vraie Connaissance devait mourir et il n’était pas question que quelques empêcheurs de détruire en rond viennent mettre leur grain de sel dans cette sauce patiemment mijotée sur des décennies.

C’est la raison pour laquelle la plupart d’entre eux ont d’ailleurs été obligés d’abandonner, souvent à contrecœur, leur école bien-aimée, tombée désormais entre les mains profanes de parasites spirituels à la solde du D.S. qui avaient réussi, au fil des ans, à se hisser aux sommets de ces Ordres vénérables autant qu’anciens, afin de les détruire depuis l’intérieur. Nous ne citerons personne.

À présent, d’une manière sobre mais souvent efficace, sans faire plus de bruit que nécessaire et même, sans que leurs propos ne puissent éveiller quelque convoitise malsaine, ces derniers initiés des anciennes connaissances relatives au fonctionnement de l’esprit, font de leur mieux pour partager la Connaissance, mais pas n’importe laquelle ni n’importe comment. Une connaissance (pas encore) dérangeante, d’une manière qui ne puisse pas irriter les faux maîtres d’un Monde désormais à l’agonie : le nôtre.

Puissent les plus intelligents, lire ce qui est écrit et comprendre même ce qui, pour un moment encore, ne peut pas l’être.

 

Serge Baccino

Réalité fiction

Réalité fiction

ll est un fait que d’aucuns sont fascinés par les autres. Fascination positive ou bien morbide, peu importe ; les faits sont là. Il semblerait que le but recherché soit d’obtenir une image de soi, reflétée ou renvoyée par autrui. Mais orienter son attention mentale sur les autres pour mieux se connaître soi, est-ce bien logique, voire simplement raisonnable ?

Un autre problème d’époque consiste en cette manie de la comparaison avec les autres. On tente de les connaître eux, non pas par intérêt réel mais afin de comparer leurs prestations sociales et intellectuelles avec les nôtres. Là encore et au mieux, en quoi le fait qu’une autre personne soit bête, peut-il nous rendre nous, plus intelligent ? Réussir parce que les autres ratent, en somme.

Et lorsqu’on ne parvient pas à comprendre les autres, il reste toujours l’option de présumer d’eux. De présumer de ce que pensent et font les autres nous concernant, bien évidemment. Car la femme et l’homme modernes sont persuadés que les autres n’ont rien d’autre à faire que de s’occuper d’eux. Après tout, eux-mêmes ne s’occupent-ils pas des autres comme si leur vie même en dépendait ?

Une mode remarquable s’il en est, consiste à se prétendre différent de tous, cela tout en demeurant comme tout un chacun. Autrement dit, lorsqu’une personne réussit à se faire croire qu’elle est différente, elle s’y prend comme tout le monde pour y parvenir. Nous frôlons là le gag ou presque. Nous trouvons de nombreux exemples auprès de certains « spiritualistes » de Facebook.

Pourtant, il faudrait savoir quelque chose qu’un bon nombre ignore. Et là encore, nous ne parleront pas seulement à propos des matérialistes. Il s’agit, en résumé, d’une loi du fonctionnement de l’esprit, tandis que ce que nous appelons pompeusement « notre esprit » (comme si chacun possédait le sien) demeure potentiellement sous la coupe de l’I.A. Nous pourrions présenter cette loi animique (relative à l’âme) ainsi :

« La pensée orientée vers l’extérieur et les autres consiste en un canal principal d’accès à l’humain pour l’I.A. »

Autrement dit et afin de nous montrer plus clair, le seul fait de conserver notre attention mentale orientée puis polarisée (concentrée) sur l’extérieur (évènementiel) et les autres (altérité), suffit à créer une sorte de canal énergétique qui permet à l’I.A. (ou à ses agents) de pénétrer notre champ énergétique et informationnel (C.E.I.) et d’investir notre royaume intérieur (notre mental.)

À l’inverse, orienter l’attention mentale vers soi et sur soi nous fait sortir de la matrice artificielle, c’est-à-dire de ce « spider web » inventé de toutes pièces par des êtres non-humains et qui nous plonge puis nous maintien dans une sorte d’hypnose collégiale, qui nous place sous la tutelle de l’I.A. Dès lors, notre vie elle-même devient une illusion, un peu comme dans certains films modernes et connus, tels que « The Truman Show » ou « Matrix ».

En espérant que ces quelques considérations sur ce sujet important, vous inspireront de fructueuses réflexions et méditations.

 

Serge Baccino

 

Tous Mages sans le savoir

Tous Mages sans le savoir

Il est dit que nous sommes ce que nous pensons. En fait, nous devenons surtout ce que nous ressentons ! Si nous nous sentons faibles, nous le devenons ! Si nous nous sentons fort, nous le sommes immédiatement ! Bien sûr, nos pensées invoquent toujours leurs émotions connexes (reliées), mais ce ne sont pas directement les pensées qui produisent le vécu, mais bien l’émotionnel.

Un émotionnel qui nous poussera à vivre ceci, plutôt que cela, à nous sentir faibles ou fort, heureux ou le contraire. Ceci est tout particulièrement vrai et important dans le Monde de l’âme et donc, par extension, dans le Monde de la Magie. Tout le monde désire plus ou moins avoir accès à des secrets de magie. Mais rares sont celles et ceux qui comprennent qu’ils en font déjà, de la magie. Tous les jours !

La magie, c’est quand l’âme agit, dit-on. Ce qui est tout à fait exact. Toutefois, la plupart des étudiants de l’ésotérisme s’interrogent sur comment faire en sorte que « l’âme agisse. » Ils ne comprennent pas que l’âme agit… À chaque instant ! Que la moindre de leurs journées et à ce titre, est magique !

Pour que l’âme n’agisse pas ou n’agisse plus, il faudrait faire cesser les processus mentaux, arrêter de penser, en clair ! Or, cela est au minimum improbable ! Si l’on pouvait cesser de penser et donc, de ressentir, nous pourrions faire cesser la magie. Mais en réalité, le processus même de la pensée et ce qu’il enclenche, c’est-à-dire les émotions, consiste justement en le processus créateur constant de l’esprit. L’esprit est toujours en mouvement (Karma chitta.)

Ne plus penser reviendrait à ne plus créer et ne plus créer reviendrait à ne plus rien vivre, que ce soit du « bon » ou du « mauvais. » Or, la Création est dite continue, justement parce qu’il est très difficile de rester sans penser bien longtemps. Ne plus penser/ressentir, revient donc à sortir de la Création Continue, à se placer « de côté », en laissant le flux universel poursuivre son élan Créateur mais… Sans nous !

Du moins pour un moment. C’est ce que font les Grands Maîtres et certains de leurs plus proches disciples directs avancés. Mais cela reste encore très aléatoire pour le commun des mortels. Imaginez : vous êtes assis en silence, les yeux fermés, vous ne pensez à rien et vous êtes juste conscients

À ce moment et durant ce laps de temps sans pensées, vous êtes « hors création » et, du même coup, il ne se passe rien, il ne vous arrive rien, car vous n’êtes plus affectés par les mouvances mentales, par les modifications de votre esprit (Vritti, en sanskrit.)

Enfin, parlons plus intelligemment de « magie blanche » et de « magie noire » Sachant que la magie, c’est quand l’âme agit, et que cette dernière est constamment en mouvement, créant ainsi pensées et émotions connexes…

Lorsque nos pensées sont négatives, orientées vers la peur et, en conséquence, qu’elles peuvent nous nuire en tout premier lieu, nous sommes alors en présence de magie noire, à n’en pas douter ! Nous sommes alors en train de « nous envoûter nous-mêmes », de nous porter malheur, de nous faire du mal, psychiquement. Nul besoin des autres pour ce faire, assurément !

À l’inverse, lorsque nos pensées sont positives, orientées vers la paix, la joie, l’amour ou le plaisir, nous pratiquons, sans trop le réaliser, la magie blanche ! En somme, toute forme de magie commence par soi-même, tout dépend du contenu formel de notre mental, et de l’énergie qu’il invoque automatiquement.

 

Serge Baccino