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Ne jamais oublier de vibrer haut

Ne jamais oublier de vibrer haut

Lorsque les choses évoluent ou semblent le faire, rien n’est jamais remplacé : tout est toujours ajouté, du moins, en termes de découverte, car tout existe déjà, ne serait-ce qu’en esprit… Un peu comme nous découvrons d’autres pays inconnus, lors de vacances à l’étranger. Ces autres pays ne sont pas créés juste pour nous et lorsque nous les visitons : ils étaient là avant, c’est juste que nous ne les connaissions pas ou juste de nom. Ainsi, la 3D ne sera jamais remplacée par la 5D ou n’importe quelle autre dimension fréquentielle. Sa découverte et son emploi régulier s’effectueront tout naturellement, comme pour la plupart des découvertes humaines. Toutefois, la 5D ne sera pas non plus « ajoutée », du moins dans le sens que nous attribuons à ce concept précis. La 5D existe déjà : c’est juste que, jusqu’à présent, très peu de gens réussissaient à y accéder.

De même que nous n’avons pas à « ajouter » une profondeur sous-marine quelconque : elle existe déjà mais, sans doute n’a-t-elle pas encore été atteinte par beaucoup de gens, d’où le fait que presque personne n’en parle. Il est évident que la plupart des gens vont demeurer en 3D. Non pas parce qu’ils sont bêtes ou manquent d’évolution mais simplement parce qu’ils pensent comme ils le font depuis toujours et se croient incapables de changer d’état d’esprit général. Ils ne seront ni « punis » ni défavorisés d’une quelconque façon : il s’agit là de libre arbitre et chacun a le droit de penser comme il l’entend. Et ne pas pouvoir penser autrement fait également partie du libre arbitre humain. Pour l’esprit, ne pas pouvoir et ne pas vouloir sont deux choses identiques. Il s’agit simplement d’un choix et chacun d’eux est scrupuleusement respecté par l’esprit.

Ceux qui « passeront en 5D », voire ceux qui y sont déjà et depuis quelques petites années, y sont simplement parce que leur mental vibre à la fréquence de base que nous nommons « la 5D. » La 5D n’est en fait qu’un état de l’esprit différent, une manière de voir la vie, les autres et soi-même différemment. C’est la manière de penser ainsi que le contenu formel de cette pensée qui décide du niveau vibratoire à partir duquel un être humain peut prendre conscience de lui-même et de son environnement, les autres compris. Pour l’esprit, il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises pensées : il y a ce que nous choisissons plus ou moins consciemment de penser, ce en quoi nous croyons et notre manière de nous positionner face à notre vision de la vie, en général. Il faut bien comprendre cette vérité étonnante : pour l’esprit, tout est égal ! Rien n’est « mieux » ou « meilleur » : tout est utile. C’est à l’homme qu’il appartient de juger et de choisir son état d’esprit général.

La carotte existe en même temps que la tomate et aucune des deux n’est « supérieure » à l’autre. C’est la diversité qui engendre le véritable choix. C’est donc parce que les gens, en général, pensent ce qu’ils pensent et de la manière qu’ils le font, qu’ils vivent ce qu’ils vivent et y réagissent comme ils le font. Le fait qu’un grand nombre de personnes pensent comme elles le font et vivent donc ce qu’elles vivent, n’est pas un gage de vérité ni même d’erreur. Le fait de penser comme tous les autres peut être rassurant mais c’est surtout piégeux, d’un point de vue humain s’entend. En effet, de là à penser que puisque tout le monde pense pareil, cette manière de penser est la seule ou la meilleure, il n’y a qu’un pas que beaucoup se sont empressés de franchir allègrement. Penser comme d’autres nous permet évidemment de nous sentir intégrés, voire en harmonie avec l’extérieur et les autres. Mais cela signifie simplement que nous sommes en accord avec certaines personnes, quel que soit leur nombre.

Penser autrement peut en effet s’avérer pénalisant, surtout si ceux qui refusent notre manière de penser différente sont persuadés « d’être dans la vérité » Dès lors, il ne nous reste plus que le « choix » opposé, à savoir « d’être dans l’erreur » ! En réalité, penser différemment nous permet simplement de vivre différemment. Un peu comme le fait de changer de destination pour nos vacances, peut changer l’expérience que nous en aurons. Nous vivons toujours en accord avec nos processus mentaux, selon ce qu’ils énoncent comme vérité du moment. Et notre vérité est toujours « du moment », même si elle doit durer toute une vie terrestre. Notre vérité n’a pas le pouvoir de changer l’actualité, à savoir ce qui se produit vraiment, mais cela peut changer notre perception de cette actualité et la transformer en notre réalité intérieure du moment.

Une société dans laquelle les gens sont persuadés de devoir bosser dur pour gagner leur vie et qui croient que de bien vivre n’est pas à la portée de toutes et de tous, engendre une société de pauvres et de d’esclaves du travail, dans ses aspects les plus rébarbatifs ou méprisables. De nos jours et plus que jamais, il est vital de comprendre cette loi incontournable du fonctionnement de l’esprit. Personne ne vit ce qui se produit dans les faits : chacun vit en fonction de ce qu’il pense de ce qui est perçu par le mental conscient. Cela dit, ce même mental conscient est capable de véritables choix ! Il peut, et par exemple, ne retenir que ce qui l’arrange de ce qu’il peut percevoir par ailleurs. Nous le faisons tous déjà, plus ou moins volontairement. N’avons-nous pas ce réflexe de ne retenir que ce qui nous arrange ou, du moins, ce qui ne nous dérange pas outre mesure ?

Il ne s’agit pas de tricher avec la vie ou encore de nous abuser volontairement : il est ici question de véritables choix ! Il est primordial de bien faire la différence entre le fait de se mentir et celui de ne retenir que ce qui nous convient vraiment. On ne peut se mentir qu’en niant ce que nous ressentons vraiment. Par exemple, nous avons peur mais nous affirmons que ce n’est pas le cas. Ce faisant, nous nions une chose dont nous avons pourtant conscience, ce qui est très dangereux pour notre équilibre psychologique. Tandis que ne retenir que ce qui nous convient ou même, ce qui nous arrange, n’est pas de nature émotionnelle mais de nature mentale. Il s’agit d’un simple choix délibéré de ne retenir que ce qui est bon et agréable pour nous, en somme. Il n’est pas question d’inventer non plus ce qui n’existe pas encore mais seulement de changer ce regard que nous posons sur les choses et sur les êtres.

Voici trois exemples grossiers, certes, mais surtout très parlants. Imaginons que nous observons un verre d’eau qui est rempli à moitié. Ce verre est-il à moitié vide ou à moitié plein ? Le mot « vide » n’est pas agréable pour notre fonctionnement mental en rapport avec les déductions et associations d’idées que fait sans cesse notre subconscient, que nous le sachions ou pas. Le mot « plein », au contraire, est synonyme de richesse, de plénitude et il est estimé comme étant bien plus favorable pour notre subconscient. Alors et désormais, nous ne voyons plus que des verres à moitié pleins. Par choix délibéré et donc conscient. Et en toute compréhension des lois du fonctionnement de l’esprit, ce qui ne gâche rien ! Il en va de même au sujet du jugement que nous avons tous tendance à poser, ne serait-ce que par défaut, par pur réflexe, comme pour nous débarrasser de quelque chose de supposé gênant.

Par exemple, nous avons un membre de notre famille que nous apprécions et qui, brusquement, adopte un comportement indigne de lui ou qui a le pouvoir de nous chagriner. Nous aimons cette personne. Nous n’aimerions pas, par contre, avoir à regretter, plus tard, d’avoir posé un jugement exagéré ou très négatif sur elle, car nous pourrions avoir à retrouver cette personne telle qu’elle a toujours été, par la suite. Devrions-nous éluder notre jugement pour nous sentir mieux ensuite ? Nous mentir ? Mentir à la personne concernée ou encore nous trouver quelque excuse pour avoir agi comme nous l’avons fait, à savoir juger durement comme si la personne nous était indifférente ou étrangère ? Dans ce cas, nous adoptons la compréhension par défaut et rejetons le jugement gratuit. Cette personne aimée nous parle mal ou agit d’une manière injuste ? Elle ne peut pas être devenue stupide du jour au lendemain. Elle a donc des raisons, pas nécessairement logiques ou rationnelles, pour agir ou réagir comme elle l’a fait.

Nous cherchons à savoir plutôt qu’à condamner. Chercher à savoir invoque des réponses tandis que condamner permet simplement de passer à autre chose en laissant des interrogations en souffrance. Dernier exemple. Nous pénétrons dans une grande salle, un mariage, un baptême ou peu importe comme motif de se retrouver réunis à plusieurs. En arrivant, immédiatement, nous reconnaissons des têtes qui ne nous sont pas agréables ou favorables et seulement deux ou trois convives que nous apprécions particulièrement. D’ailleurs, en nous reconnaissant, ces deux ou trois visages nous sourient rapidement, comme dans une muette invite. Une invite à quoi ? Simplement à faire un choix et le plus rapidement possible ! Ce choix consiste à oublier carrément les têtes qui peuvent vous faire la gueule ou vous reprocher votre seule présence en ce lieu, pour vous concentrer complètement sur les visages familiers et aimés.

Dans cette salle vous pouvez faire un choix décisif pour tout le reste de votre journée ou soirée, cela en comprenant que tout existe déjà, là, pour vous et en simultané ! Vous avez le droit de pester, de vous sentir mal à l’aise et même, de lancer des regards agressifs à ceux qui ne vous aiment pas. Vous êtes libres, comprenez-vous enfin ? Et vous pouvez, en invoquant cette même liberté, ne retenir de « ce qui est » que ce qui vous convient et trouve grâce à vos yeux. Enfin, vous pouvez faire la même chose avec toutes ces pensées plus ou moins rationnelles ou intéressantes qui vous visitent à chaque instant de votre vie. Vous pouvez ne retenir que celles qui vous dérangent le plus et ont ce pouvoir étonnant de « flinguer votre journée », comme disent certains. Mais vous pouvez tout aussi bien ne retenir que celles qui produisent du plaisir ou de la joie, par exemple.

Cela en sachant que ce sont les trains d’ondes mentales que vous allez choisir librement, qui vont hausser sensiblement votre fréquence vibratoire ou l’abaisser à un point tel que vous aurez très vite le sentiment de vivre en enfer. L’enfer et le paradis ne sont tout deux que de simples états d’esprit, ne l’aviez-vous pas encore compris ? Si vous choisissez des processus mentaux navrants, vous resterez en 3D, comme la plupart des gens sur cette Terre et pour le moment. Mais à l’inverse, si vous choisissez librement, en pleine conscience de votre responsabilité en la matière, des processus mentaux qui produisent une hausse de la fréquence vibratoire de votre corps psychique ou « âme », vous allez « grimper » au moins en 5D ! Le but n’est pas vraiment de monter haut. Du moins pour le moment. Le but est de vous maintenir à un niveau vibratoire satisfaisant mais surtout, constant. La constance crée l’habitude et l’habitude rend l’effort inutile. Ceux qui sont constants dans leur état d’esprit général, prennent l’habitude de vibrer haut et ils le font rapidement sans même plus y penser, si l’on peut dire.

 

Serge Baccino

 

 

L’alignement vibratoire mental

L’alignement vibratoire mental

Que se passe-t-il lorsque vous écoutez quelque chose ? Quand vous observez quelque chose ou même, quand vous essayez de comprendre ce que vous raconte votre voisine, encore en robe de chambre et en bigoudis, dans son jardin et à 13 h 00 de l’après-midi ? Réponse : il se passe une seule et même chose, un phénomène méconnu, voire inconnu, surtout de cette science dite « officielle », expression pratique pour éviter d’affirmer carrément qu’elle est la seule qui soit autorisée. Mais tout d’abord, étudions de plus près en son entièreté, la loi spirituelle en présence ou concernée. La première partie de cette loi se présente ainsi : « Nous ne pouvons pas prendre conscience d’une chose qui ne soit pas dans notre conscience, en termes d’imagerie mentale de la chose concernée. »

Autrement dit, si vous percevez quelque chose, quoique ce soit, c’est qu’une représentation mentale se trouve bien dans votre conscience. La seconde partie de cette même loi s’énonce ainsi : « Nous ne pouvons pas prendre conscience d’une chose et en mentaliser une autre (qui soit différente.) » Avec les deux parties de cette même loi spirituelle, nous pouvons déjà arriver à de très intéressantes conclusions. La première partie nous informe du fait que si nous sommes conscients de quelque chose, n’importe quoi, c’est bien la preuve que ce quelque chose se trouve dans notre conscience. Sinon, nous ne pourrions pas en être conscients. C’est aussi simple que cela. Évidemment, si nous observons un arbre ou une maison, cela ne signifie pas que ces deux choses peuvent se trouver dans notre conscience « en l’état », c’est-à-dire sous la forme matérielle d’un arbre ou d’une maison de deux cents mètres carrés !

Cependant, cela signifie que l’image que nous percevons de cet arbre ou de cette maison, se trouve bien en notre conscience car dans le cas contraire, nous ne pourrions pas la percevoir. C’est ce qui a fait dire aux ésotéristes d’antan que « Tout se trouve en nous ». Autrement dit, que dès que nous sommes capables de conscientiser une chose, c’est bien la preuve que cette chose se trouve bien dans notre conscience. Si elle se trouvait au-dehors seulement, nous ne pourrions pas en faire l’expérience. Nous devons être conscients que quelque chose est là, existe et se manifeste pour nous et pour cela, il est nécessaire que la manifestation se produise en nous, au sein même de notre conscience. De là à affirmer que « Tout est déjà en nous », il n’y avait qu’un pas que les ésotéristes du passé, voire du présent, se sont empressés de franchir allègrement.

Même si cela ne rend pas compte vraiment du phénomène, car il serait sans doute plus exact de dire que « tout peut se manifester en nous », plutôt que « tout est déjà en nous. » En effet, si  tout était déjà en nous, alors nous serions conscients de… Tout ! Ce qui est bien sûr impossible. De toute manière, nous ne pouvons pas nous concentrer sur plus d’un sujet d’attention à la fois. Ceci nous permet d’obtenir une concentration maximale sur chacune des images mentales qui défilent devant l’écran de notre conscience objective, nous permettant ainsi d’en prendre conscience avec un maximum de précision et de clarté. Même si cela peut paraître secondaire dans notre présent propos, il est à noter une nette différence possible entre le fait d’être pleinement conscient d’une chose, et le fait de comprendre parfaitement ce dont nous prenons ainsi conscience.

Par exemple, vous pouvez observer et détailler à loisir le moteur d’un hélicoptère, mais ignorer totalement son mode de fonctionnement, ainsi que les noms et fonctions de chacun des éléments composant ce même moteur d’hélicoptère. Voici les trois temps forts que nous devons retenir de ces quelques explications fournies plus tôt :
1. Pour prendre conscience de quelque chose, cette même chose doit nécessairement se trouver dans notre conscience, sous la forme d’une image mentale s’entend.
2. Nous ne pouvons pas, et par exemple, prendre conscience d’une chose et penser à une autre. Même si les deux choses peuvent se succéder, de par le fonctionnement du raisonnement déductif.
3. Nous ne pouvons pas nous concentrer pleinement sur deux sujets d’attention mentale à la fois. Même si les deux peuvent là encore se succéder rapidement.

Reprenons à présent chacune de ces trois propositions qui, nous le rappellerons ici, consistent en des lois du fonctionnement de l’esprit, et non en des choix laissés aux caprices de l’homme. La première proposition implique cette nécessité que ce dont nous avons conscience se trouve du même coup dans notre conscience.
Voilà qui est des plus intéressant et peut expliquer rapidement certains mystères apparents de la psychologie moderne. En effet, si ce dont je suis conscient se trouve bien dans ma conscience, alors cela signifie que j’accueille, sans le savoir, une forme spirituelle dans mon propre espace mental et que, du moins le temps de la prise de conscience, elle fera partie intégrante de ce même espace mental qui est le mien. Et nous savons que l’esprit est vivant et qu’il peut même être conscient, c’est-à-dire contenir des besoins et des buts.

Cela peut s’avérer très positif si ce dont nous prenons conscience vibre sur une très haute fréquence et possède ainsi ce pouvoir remarquable de nous permettre de ressentir l’un quelconque au moins des quatre grands états (pour mémoire : amour, paix, joie, plaisir.) Ce serait un peu comme avoir l’insigne honneur d’accueillir chez soi un personnage illustre et admirable sous bien des rapports et de l’inviter à demeurer chez nous, voire à nous revisiter quand bon lui semble. Mais cela peut aussi bien s’avérer très négatif si ce dont nous prenons conscience présente une fréquence spirituelle très basse. Cela reviendrait à inviter chez soi un voyou soucieux de critiquer et de souiller notre intérieur. Hélas, il faut bien admettre que dans les deux cas, nous allons être, disons « marqués », par le phénomène. En clair, nous allons penser souvent à nos prises de conscience agréables et tout aussi souvent, à celles beaucoup moins agréables.

À moins que nous commettions l’erreur grossière de « chasser » nos souvenirs les plus accablants et que, du même coup, nous placions, sans le réaliser, un poison au cœur même de notre organisme. Poison qui aura tout le temps de diluer sa substance nocive sans que nous puissions en avoir conscience, puisque nous avons refoulé le souvenir même d’une expérience sous prétexte de son haut degré de négativité. En première conclusion, nous pouvons déjà comprendre que le fait d’accueillir par exemple une simple idée en notre mental conscient, consiste en une expérience qui est évidemment toujours enrichissante, d’un point de vue pédagogique mais qui, en même temps, peut s’avérer très importante, et pas seulement d’un point de vue très heureux. L’idée, ici, n’est pas d’avoir peur et de refuser ensuite de jouer le jeu de la conscience, mais bien de savoir, en toute connaissance de cause, ce qui se produit à chaque fois que nous prenons conscience de quelque chose.

Nos arrière-grands-parents possédaient une forme de sagesse intuitive et recommandaient à leurs propres enfants, devenus des parents, de bien surveiller les fréquentations de leurs rejetons. Tout devient clair lorsque nous comprenons qu’un enfant, pour se sentir intégré à un groupe quelconque, aura ce réflexe naturel de s’adapter, de « s’aligner » sur les fréquences mentales de ses camarades de jeu. Autrement dit et dès le départ, il cherchera à comprendre l’état d’esprit général de ceux qu’il désire rejoindre, accueillera en sa conscience ce même état d’esprit puis tentera, au mieux de ses possibilités, de s’aligner sur les prétentions de cet état d’esprit. Un groupe d’êtres humains, enfants ou adultes, consiste avant tout en une sorte de conscience « collégiale », c’est-à-dire en une manière plus ou moins commune voire unique de penser. On parle aussi d’égrégore.

Généralement, cet état d’esprit commun et alignée sur celui ou celle qui se veut à la tête de ce même groupe. Tout individu souhaitant penser autre chose et donc, autrement, est immédiatement exclu de ce groupe. Quand on se demande pourquoi, on comprend dès lors la raison pour laquelle un simple virus, microscopique, peut produire les dégâts que nous connaissons dans un organisme complexe et bien plus élaboré. Présenté autrement, disons que nous avons tout intérêt à vérifier l’état vibratoire réel de ce que nous accueillons dans notre conscience mentale. Surtout s’il s’agit de quelque chose de nouveau. Car même s’il s’agit seulement d’une simple idée aux allures passagères, il sera peut-être difficile ensuite de nous en débarrasser et elle pourra éventuellement détruire l’édifice ou la construction mentale personnelle que nous avions construite.

Il suffit parfois d’une idée, d’une simple pensée apparemment innocente pour nous faire perdre nos moyens. Les chefs de gangs le perçoivent intuitivement et ne laissent jamais à personne l’occasion de contredire leurs ordres ou de refuser de s’aligner sur la volonté commune. Une simple idée ou une seule personne suffit pour détruire tout ce qui avait été préalablement construit. Ici, la taille ou le nombre ne sont pas un gage de sécurité. Ainsi et pour en terminer, nous allons devoir apprendre, très vite, à faire la différence entre une remontée d’énergie mentale refoulée, et une tentative extérieure de nous rajouter quelque chose de négatif en plus. Bonne réflexion à tous !

 

Serge Baccino

L’action des énergies montantes sur nos schémas mentaux

L’action des énergies montantes sur nos schémas mentaux

Vous l’avez sans doute remarqué : depuis quelques années, rien ne va plus ! Que se passe-t-il vraiment ? Des émotions puissantes remontent en force. Mais ça a toujours été le cas, non ? Oui et… Non ! Avant la montée d’énergie vitale planétaire, certaines émotions pouvaient en effet refaire surface et nous surprendre. Mais elles retournaient rapidement au chaud, dans la subconscience. Pourquoi une émotion apparaît-elle ? Parce que, quelque chose (événement) ou quelqu’un (une personne) a invoqué cette émotion dormante. Comment ? En présentant le pôle opposé, mais complémentaire de notre propre demi-schéma.

Car tous nos schémas sont en réalité des demi-schémas, c’est-à-dire une de deux polarités quelconques d’un seul et même schéma. Et il suffit qu’un de ces deux pôles se propose à nous, pour que l’autre polarité remonte à toute vitesse des profondeurs océanes de notre subconscience. Et depuis toujours, nous ne connaissons que cette manière de nous énerver, de péter un câble ou de ressentir une grande peur (par exemple.) Pourtant, voici que tout a changé ! Mais avant de comprendre le « quoi » et le « pourquoi », il nous faut encore définir comment les choses se produisaient auparavant.

Car comme le disent certains, si « nous avons pris cher » (ou si c’est toujours « en cours »), c’est parce que, en plus de la montée d’énergie planétaire, sur ces quatre dernières années, certains d’entre nous y ont ajouté le nettoyage et l’activation de nos Chakra ! Autrement dit, il nous a été servi une double ration ! OK, mais une double ration de… Quoi ? Pour le comprendre, revenons tout d’abord bien que rapidement, sur le mode de fonctionnement des processus émotionnels, ainsi que de la raison de ces mêmes processus. D’ordinaire, nos schémas (ou la demi-polarité qui les représente, en nous) sont dits « dormants ».

Autrement dit, si rien ne vient les réveiller puis les alimenter, il ne se passe rien, du moins en rapport avec ces dits schémas. Toutefois, si une personne vient nous adresser la parole et que son propre subconscient abrite l’autre polarité qui correspond à la nôtre, il se produit alors un phénomène intéressant : les deux polarités étant dormantes et donc, inactives, elles se partagent la même polarité (moins, passif.) Ce qui est impossible, en termes de loi concernant la circulation d’énergie. Et l’énergie, vous pouvez me croire, ne demande que cela, de circuler !

Dès lors, une des deux polarités se transforme automatiquement en pôle positif, actif et donc, émetteur. Ce qui ne laisse à l’autre personne que le rôle négatif, passif et donc, récepteur. Autrement dit, un des deux va s’en prendre plein la gueule, et ce ne sera certainement pas le détenteur du pôle positif ! Immédiatement, l’énergie va se mettre à circuler joyeusement du pôle positif au pôle négatif, à savoir du mental inconscient (mais actif) de l’une des deux personnes, au mental conscient (mais passif) de l’autre. En circulant de la sorte, l’énergie va produire des sensations et, en particulier, des sentiments très précis.

Par exemple, celui qui jouera le rôle peu enviable de pôle négatif aura la désagréable sensation de se faire démonter, psychologiquement parlant. L’autre pourra, et à l’inverse, avoir le net sentiment qu’il « contrôle » la situation ! En réalité, il ne contrôle rien du tout : il est complètement géré par son pôle émetteur et donc, par le schéma qui lui est associé. N’oublions jamais que le pouvoir n’est pas dans le conscient (le « moi » humain) mais dans l’inconscient.

Il est temps que nous comprenions cette vérité : personne ne « réussit » ou ne « rate » jamais rien ! C’est l’esprit qui fait toutes choses, aidé en cela par le pouvoir vital, du moins lorsqu’il est en phase de circulation. L’énergie adore circuler et non pas nous faire souffrir ! Mais nous souffrons, généralement, quand elle circule, pourquoi ? Parce que NOUS RÉSISTONS ! Quel que soit le rôle qui nous est dévolu et qui tombe sous la seule responsabilité de l’esprit, nous résistons ! Nous résistons, parce que, et par exemple, nous refusons ce rôle ingrat de victime, de faible ou de lâche (autrement dit, ce rôle de celui qui subit, qui ne peut rien dire ou faire, etc.)

Nous résistons, également, lorsque nous sommes devenus assez vaniteux pour nous imaginer que des paroles ou certains comportements sont devenus « indignes de nous » (ou de ce que nous croyons être et incarner.) Dans ces deux cas, nous résistons. Notez au passage que nous sommes parfois presque envieux, face à ces personnes réputées « sans figure ni honneur » et qui sont capables de dire ou de faire n’importe quoi, sans avoir honte, sans même culpabiliser ensuite et qui réussissent à bien dormir chaque nuit ! Parce que nous, voyez-vous, nous en sommes incapables ! (Comprendre : « Nous sommes trop extraordinairement évolués pour ça ! ») Prout ! (« Oh, pardon, Monsieur l’Abbé ! »)

Est-ce tout ? Certainement pas ! Nous sommes encore loin de tout comprendre, de tout savoir à ce sujet ! Avant la montée d’énergie planétaire et le fait que quelques-uns aient retrouvé les techniques les plus efficaces de travail sur les Chakra, lorsque nos schémas étaient invoqués, ils se produisaient en nous et pour nous durant un certain laps de temps. Puis ils retournaient dans la subconscience et redevenaient passifs. Des deux côtés. Dès lors, il devenait de nouveau impossible de définir l’état d’esprit à l’origine (ou à la base) de ces émotions intempestives qui nous déstabilisent souvent et qui surgissent sans crier gare (ni même « Arrêt de bus ».)

Et peu importe que nous soyons généralement celui qui joue le rôle de bourreau ou de victime. Mais l’énergie planétaire continue de monter, le saviez-vous ? Et elle n’est pas près de s’arrêter en si bon chemin ! Elle désire nous conduire jusqu’en 5D, sur un palier vibratoire situé entre 100 et 120 cycles (Schumann) soit entre 10 et 13 hertz. Et nous en sommes encore assez éloignés (les pics ne comptent pas, il est question de stabilisation.) Voilà ce que j’ai trouvé sur internet : « Ces résonances globales dans la cavité formée par la surface de la Terre et l’ionosphère, qui fonctionne comme un guide d’ondes, sont excitées par les éclairs. Le mode principal a une longueur d’onde égale à la circonférence de la planète et donc une fréquence de 7,8 Hz. »

On connaît donc exactement la circonférence de la planète ? Mais que c’est intéressant ! Cette résonance pourrait-elle monter et par exemple à 12 ou 13 Hz ? Dans ce cas, la circonférence de la planète devrait changer, non ? À moins que… Mais laissons cela pour le moment. Donc, OK, l’élévation des énergies planétaires couplée au nettoyage en profondeur et à l’activation des Chakra, ont pour effet de faire remonter l’essentiel de nos schémas et, notamment, les plus importants et donc, le plus souvent et volontairement refoulés ! Et aussi les plus anciens.

Mais c’est comme d’habitude, non ? Sauf que là, c’est plus fort ? Non, pas du tout : c’est TRÈS différent, cette fois ! D’habitude, les schémas « remontent » un par un puis « redescendent » dans le subconscient. Sauf si nous avons le temps ou la chance d’en saisir la CAUSE, à savoir la pensée (de merde) qui se cache juste derrière, mais se trouve, hélas, toujours dans l’inconscient et donc, hors de portée de notre mental (ou conscient objectif.) Auparavant, les émotions s’activaient sur commande, ou presque (sur invitation d’autrui, disons) puis repartaient hors de portée de nos sens. C’était un effet yo-yo, des « montagnes russes », pour ainsi dire !

Avantage de cet état de fait apparemment navrant ? Cela nous laissait, à chaque « remontée », l’occasion d’en définir la cause mentale et donc, de nous en débarrasser. Toutefois, les choses ont changé ! L’émotion remonte toujours, mais désormais, elle est plus forte et surtout, dure plus longtemps ! OK, mais pourquoi ? Parce que cette fois, ces émotions remontent pour la dernière fois pour s’en aller ensuite et… Définitivement. Cool, non ? Eh bien non, justement : pas cool du tout ! Pourquoi ? Parce que l’âme humaine ne peut évoluer en termes de qualité (amour, paix, joie, plaisir) qu’à la condition expresse qu’elle soit débarrassée, définitivement, de l’essentiel de ses schémas mentaux les plus débilitants.

C’est bien ce qui va se passer, non ? Tout va disparaître ! Oui et… Non ! Car pour évoluer vraiment, l’âme a besoin de la Conscience ! Et cette dernière résulte de la prise de conscience consécutive à l’apprentissage graduel de la cause de nos schémas mentaux. Autrement dit, il ne faut surtout pas qu’un effet disparaisse AVANT que l’on puisse en définir la cause ! Car dans le cas contraire, l’âme ne peut plus se libérer de ce schéma, tant qu’elle réside dans le même corps de chair, sur Terre. Voilà pourquoi montée d’énergie ou pas, Chakra purifiés et activés ou non, nos émotions sont devenues si fortes et durent si longtemps !

C’est pour qu’elles ne disparaissent pas avant que notre âme soit informée du pourquoi et du comment. Bien sûr que d’un point de vue purement humain, rien n’est plus agaçant que de se sentir ainsi ballottés par nos sentiments et émotions ! Bien sûr que nous aimerions tous, sans exception, que cela cesse rapidement ! Et, justement, tout cela va cesser, mais… Notre évolution risque de cesser en même temps ! Alors, que faut-il faire ? Faire ? Rien du tout ! Être ? Un maximum ! Si vous n’oubliez jamais qui vous êtes vraiment ainsi que « Qui vous voulez être et devenir », alors vous pourrez remporter haut la main cette toute dernière épreuve. Ensuite, vous n’aurez plus de soucis majeurs.

1. Vous devez éviter de refouler, dans un premier temps.

2. Vous devez vous défier de cette tendance grotesque du « moi », qui veut que tout soit sérieux, grave et important.

3. Vous devez mettre à profit le temps alloué par la persistance émotionnelle : tant qu’elle se manifeste, vous pouvez trouver ce qui la cause et vous débarrasser… Des deux polarités d’un même schéma !

Des deux polarités ? Mais les autres ne sont-elles pas dans le subconscient des gens que nous côtoyons et qui nous font ainsi réagir ? En effet, c’est bien le cas. Mais n’oubliez pas ceci : ces mêmes autres personnes subissent actuellement le même processus de nettoyage par le vide que vous ! Ce qui signifie que toutes les autres demi-polarités de nos propres demi-polarités vont être virées de ce monde en même temps que les nôtres ! Ce qui fait que nous allons bien être débarrassés de nos schémas au complet, les deux polarités comprises. Et de toute manière, si vous êtes débarrassés de l’une des deux polarités, par exemple la vôtre, l’autre demi-polarité n’est plus activée et vous en êtes libérés, comme si elle avait été désactivée.

 

 

Serge Baccino

Ou il est question de libre arbitre

Où il est question de libre arbitre

Qu’est-ce que le libre arbitre, en clair ? Voici ce que propose Wikipédia : « Le libre arbitre, parfois orthographié Libre Arbitre, est l’aptitude de l’être humain à se déterminer librement et par lui seul, pour agir et penser. Cette notion s’oppose au déterminisme ou au fatalisme, qui affirment que sa volonté est régie par des « forces » qui l’y obligent. » Étymologie : vient du latin libertum arbitrum. Dictionnaire Larousse sur internet (extrait) : « Libre arbitre : faculté qu’a la volonté de se déterminer (par opposition au serf arbitre) ; volonté non contrainte : Conserver son libre arbitre. »

Dictionnaire de philosophie Christian Godin (extrait) Sens ancien : synonyme de liberté ; « Capacité de se déterminer par soi-même, spontanément et volontairement. » Sens moderne : « Capacité de choisir entre deux ou plusieurs comportements, sans incliner a priori d’un côté ou de l’autre. Autrement dit : capacité d’être cause première ou absolue de nos actes. » Selon Nietzsche, « Les hommes ont été considérés comme libres, pour pouvoir être jugés et punis, pour pouvoir être coupables. » Cette phrase est bien plus profonde et logique qu’il n’y paraît de prime abord. Pourquoi ? Parce que si l’homme n’était pas préalablement libre et innocent, par exemple, il ne pourrait devenir prisonnier et coupable.

On pourrait croire que le Deep State a préalablement œuvré pour nos droits, pour notre bien, puisqu’il a lui-même instauré des lois censées nous protéger. En réalité, le D.S. n’a fait que respecter certaines lois spirituelles et les tourner à son avantage. Par exemple, pour qu’une personne puisse « perdre » quelque chose, elle doit au préalable posséder cette chose ou, du moins, croire la posséder. Ainsi, pour être déclaré coupable, il est nécessaire que nous soyons préalablement réputés innocents. Et pour pouvoir être jugés puis punis d’emprisonnement, nous devons partir de la condition sociale opposée, à savoir être libre ou présumé tel.

Il fallait juste que l’être humain croie fermement en l’acquisition du premier pôle (innocence/liberté) pour le mettre en état potentiel d’esclavage. La fraude ou complot planétaire dont nous subissons – désormais consciemment – les derniers outrages, va bien plus loin qu’une « simple » fraude du Nom légal. Le complot était total, parfait et prévu pour être définitif, sans aucun moyen humain ou autre de s’en échapper. Notons ces termes très importants : « que nous subissons désormais consciemment. » Voilà ce qui a déclenché le processus d’annihilation du complot planétaire global.

Et aussi le fait que, contrairement à d’habitude, ceux qui deviennent conscients de ne pas être libres, développent cette volonté incontrôlable de rendre également les autres conscients des faits. Jadis, à ceux qui découvraient l’essentiel de ce complot, il était conseillé de n’en rien dire, de conserver pour eux une prise de conscience censée faire plus de dégâts que de bien. Alors les êtres se libéraient les uns après les autres, isolément et sans rien laisser paraître à ceux considérés comme non encore prêts pour de telles révélations. « …considérés comme non encore prêts »… Par qui ?

Par ceux qui étaient en charge de notre présente humanité, à savoir certains grands êtres de la Hiérarchie ésotérique, plus connue sous le vocable de « Grande Loge Blanche » ceux qui occupaient alors cette auguste assemblée de grands maîtres, formaient quant à eux ce que l’on connaît sous le nom de « Grande Fraternité Blanche. » Rien à voir, évidemment, avec aucunes de ces piètres copies humaines (de même nom) qui ont tenté d’usurper ces rôles, titres et appellations. Le but de ces êtres héroïques était-il de nous laisser croupir dans l’ignorance ? Bien sûr que non !

Le but était essentiellement de « protéger » chaque être humain de terribles révélations que leur âme elle-même n’aurait jamais supporté. Il n’était donc pas question, comme se l’imaginent un peu rapidement certains initiés, de juger de qui pourrait être libre et de qui ne pourrait pas l’être : il était vraiment question d’agir au mieux pour tous, en respectant, justement, le libre arbitre de chacun et de tous. Avec le recul et, surtout le développement mental exceptionnel qui est celui des humains de notre présente époque, il est facile de se laisser abuser par les apparences, de voir en ces grands maîtres du passé, des êtres peu recommandables, surtout soucieux de demeurer les seuls à savoir, avec une petite minorité issue de leur choix partial.

En réalité, nulle erreur n’a été commise, nulle violation du libre arbitre humain. Pour l’époque, il s’avérait nécessaire que certaines grandes âmes prennent sur elles le lourd fardeau de devoir décider à la place d’être si peu conscients de leur possibilité de choix véritables. Lorsque certaines conditions mentales planétaires ont évolué, c’est-à-dire durant la période allant de 1970 à 1985, environ, cette Hiérarchie de grands êtres a été dissoute, la Grande Loge Blanche a déserté ses locaux spirituels et la Fraternité associée a cessé d’exister, du moins d’un point de vue formel. On comprend désormais la raison de ces actions concertées de la part des grands maîtres de la Loge Blanche : les gens n’étaient vraiment pas prêts à apprendre et à comprendre l’ampleur du complot terrestre et plus.

On comprend également pourquoi, au vu de l’évolution des consciences mentales, il est désormais possible non seulement de découvrir la vérité, mais de plus, chose nouvelle, de pouvoir la partager avec quelques-uns seulement. Car la plupart des gens demeurent inaptes à ce type de savoir et le demeureront sans doute jusqu’à ce qu’ils aient quitté leur enveloppe de chair. Mais désormais, il n’est plus interdit de partager avec qui veut bien entendre, car ce n’est plus un secret. Mais revenons au libre arbitre et essayons de savoir s’il existe ou pas, en fin de compte.

Pour cela, nous devons évoquer de nouveau l’action des premiers grands maîtres de la Hiérarchie Ésotérique, du temps où elle avait encore le pouvoir d’imposer une certaine forme de sagesse adaptée à l’état d’esprit général humain. Comprenons autrement et d’une manière plus subtile encore, pourquoi seuls quelques-uns, parmi les initiés d’antan, pouvaient accéder à ce qui était considéré alors comme un secret et se nommait, déjà, à cette époque, « le complot cosmique » (pour ceux qui ont déjà lu ou entendu ces termes.) Reprenons une partie des définitions acceptées du libre arbitre :

« Le libre arbitre, parfois orthographié libre arbitre, est l’aptitude de l’être humain à se déterminer librement et par lui seul, pour agir et penser. » Ou encore : « Capacité de se déterminer par soi-même, spontanément et volontairement. »

Voici une question qui n’en est pas vraiment une : « Sommes-nous vraiment libres de penser ? Sommes-nous certains qu’aucun conditionnement mental et qu’aucune croyance infondée, ne viendra jamais interférer dans nos processus mentaux ? » Est-il seulement utile d’apporter une réponse ? Nous savons pertinemment que nous ne sommes pas libres de penser, que certains schémas, voire pires, nous POUSSENT à penser d’une manière que nous sommes les premiers à réprouver. Si nous ne sommes même pas d’accord avec certains de nos processus mentaux et que ces derniers semblent nous imposer leur présence débilitante, pouvons-nous sérieusement affirmer que nous sommes libres de choix, que nous possédons cette capacité enviable de nous déterminer par nous-mêmes ?

Bien sûr qu’il appartient à l’homme de s’écrire librement. À l’évidence, ce qu’il pense un jour, il devra le vivre un autre jour. Mais est-ce toujours volontairement que nous pensons ? Ne sommes-nous pas quelquefois « pensés », par des idées avec lesquelles nous ne sommes pas vraiment d’accord ? Voilà pourquoi les Hiérarques d’antan avaient décidé de ne pas informer les peuples de leur bien piètre condition humaine. Il est clair que  cela leur aurait fait plus de mal que de bien et, surtout, cela ne les aurait pas rendus plus libres pour autant ! Moralité, le libre arbitre n’existe pas et n’a jamais existé. Il existera le jour où l’homme sera seul à penser dans sa tête, qu’il ne sera plus illusionné par certaines couches de l’astral inférieur et même moyen.

Très bien, mais dans ce cas, pourquoi dissoudre la Grande Loge Blanche et supprimer la Hiérarchie Ésotérique ? Même à présent, nous ne sommes pas vraiment libres, n’est-ce pas ? La raison de cette dissolution (H.E.) ne dépend pas de notre degré de liberté mentale actuelle, mais du fait que protéger est une chose qui ne peut durer qu’aussi longtemps que cette même protection ne se transforme pas en assistanat à caractère possiblement définitif ! Si les hiérarques d’antan avaient dû attendre que tous les humains soient libres dans leur tête, comme on dit, ils n’auraient jamais été libérés eux-mêmes de leur fonction.

Désormais, nous sommes non pas « seuls », mais les seuls à décider si nous nous considérons comme libres ou si cette notion de libre arbitre n’est encore qu’une illusion de plus au sein de la matrice artificielle qui nous tient lieu de réalité collective.

 

Serge Baccino

 

Le Service Planétaire

Le Service planétaire

Puisque tout est double, nous ne pouvons pas avoir seulement un corps de Lumière (Aster, en Latin) : nous devons aussi avoir un corps capable d’absorber puis de contenir son opposé : l’ombre. Ainsi, nous avons tous un corps astral, prévu pour être non seulement lumineux, mais radiant, c’est-à-dire capable de rayonner la Lumière. Nous avons également un corps émotionnel qui, comme son nom l’indique, est capable d’absorber puis de contenir (pour ne pas dire cumuler) l’énergie vitale dévoyée, originaire de nos émotions les plus bassement humaines.

Normalement, le corps émotionnel se situe au niveau du Chakra 3, mais il peut monter au niveau du 4, lorsqu’il est libéré de toute la souffrance qu’il contient. Normalement, le corps astral se situe au niveau du C4, mais un corps émotionnel très lourd peut faire chuter le corps astral qui, de ce fait, ne réussit plus à rayonner (s’il descend au niveau du 3, donc.) À l’inverse, un corps émotionnel nettoyé, déchargé ou allégé, permet au corps astral de « monter » en fréquence et de se manifester sur la « note » du C4, C5 ou même C6. Dans ce dernier cas, on acquiert une plus haute forme d’Illumination psychique qui nous permet de voir clairement la vérité des choses et des êtres (Nommé Clairvérance en psy éso.)

Il va sans dire que le but de l’être humain est de nettoyer son corps émotionnel, pas de travailler sur son corps astral qui lui, est propre, mais se tait, aussi longtemps que le premier corps ne l’est pas (propre.) Lorsque le corps émotionnel est réparé ou allégé, le corps astral devient alors prépondérant. Le corps émotionnel contient la partie énergétique de nos Mémoires qui elles, sont maintenues dans le corps mental, situé soit au 3, soit au 4, selon notre niveau d’évolution. Mais ce n’est pas tout : le C.E. contient aussi ce que l’on nomme « la quote-part » de souffrance générale ou planétaire. Ou encore, de karma collectif, pour simplifier.

Ce que l’on appelle « le Karma » est généré par notre façon de penser. Par ce que nous pensons maintenant, dans cette vie, et non ce qui a été pensé par d’autres et dans d’autres vies. Le Karma est toujours lié au présent, même si ça fait longtemps que nous pensons de telle ou telle autre façon, chaque fois que nous usons de cette même façon de penser supposée « ancienne », c’est maintenant que nous le faisons, pas « jadis » ou même « plus tard. »

Et comme nous ne sommes que bien rarement les seuls à penser comme nous le faisons, alors nous pouvons aussi bien parler de « Karma collectif », puisque c’est collectivement que nous avons des processus mentaux identiques ou très approchants. Nous pouvons très bien épurer voire supprimer notre Karma. Rien de plus facile : il nous suffit de changer radicalement notre façon de penser. Nous pouvons alors parler de « quote-part » à propos du Karma collégial, ceci parce que même si d’autres pensent aussi comme nous, c’est nous qui sommes toujours concernés par ce que nous pensons.

Si nous pensons autrement, c’est-à-dire plus du tout comme le font les autres, alors non seulement nous échappons au « Karma collectif » mais de plus, nous avons effectué notre quote-part de travail (ou de service) planétaire. En effet, ce que nous appelons « notre âme » est en fait celle de l’Esprit Planétaire. Si nous utilisons l’esprit pour penser, alors le seul fait de penser autre chose ou autrement, permet du même coup à cet esprit de prendre un certain recul avec ses processus mentaux les plus usuels. Ce n’est pas l’homme qui s’éveille : c’est une planète qui devient consciente d’elle-même, en tant qu’Entité Spirituelle.

 

Serge Baccino

 

Dedans comme dehors

Dedans comme dehors

Tout est double : si nous sommes placés en esclavage humain à l’extérieur, c’est que nous sommes esclaves, à l’intérieur, l’un ne pouvant aller sans l’autre. Ce qui nous rend esclaves, à l’intérieur, nous le savons, il s’agit de l’identification au « moi », au persona, au masque. Nous ne sommes pas la somme de nos Mémoires et pourtant, nous nous identifions à elles. Voici à présent ce qui nous a rendus esclaves, à l’extérieur. Lorsque nous sommes nés, nos parents sont allés nous déclarer en mairie. Ce jour fut établi un certificat de naissance.
Cinq ans plus tard, ce certificat de naissance est détruit et remplacé par l’acte de naissance, qui rend l’état propriétaire du nouveau-né.

L’acte de naissance ne concerne pas ma naissance, mais bien la naissance de ma personne, ou celle de la personnalité juridique que je possède, remarquez bien les mots employés ici, une possession signifie quelque chose que j’ai, et non quelque chose que je suis. Je possède un nom, le nom ne me possède pas. La personnalité juridique ou « homme de paille » est ce qui permet à ceux qui gouvernent de nous manipuler, de nous confondre (confondre ce que nous sommes et ce que nous représentons.) Lors de notre naissance, l’Hôpital ou la clinique crée le premier de tous les documents me concernant, c’est-à-dire l’enregistrement d’une Naissance vivante, c’est comme ça que ce document se nomme.

Bien que cela soit difficile, il serait très utile de récupérer cet enregistrement, car il prouve, à lui seul, que nous sommes bien un être vivant, et non une vulgaire marchandise. Un certificat de naissance a bien été envoyé à nos parents, certifiant que nous, l’homme (humain), sommes le seul bénéficiaire concernant cette personne nommée, par exemple, Henri Dupont. Ce certificat est la preuve qu’une sûreté existe, concernant notre personne, et la seule signature sur ce document public est celle du directeur de l’état civil, donc, la sûreté est le gouvernement. (Ou pour le gouvernement.) À présent, écoutez bien la suite et voyez le lien direct avec l’enseignement de la psy éso, au sujet de l’identification au « moi » !

L’éducation publique nous a entraînés à devenir puis à être cette personne, au lieu d’avoir cette personne, pour que nous, l’être humain vivant et conscient, soyons la sûreté.
 Autrement dit, le gouvernement ne peut nous mettre nous, l’humain vivant et conscient, en collatéral versus la dette publique, ça serait de l’esclavage pur et simple. Définition du terme « collatéral », en finance : « Actif déposé en garantie par le débiteur au prêteur lors d’un emprunt. En cas de défaillance du débiteur, le prêteur a le droit de conserver les actifs remis en collatéral afin de se dédommager de la perte financière subie. »

C’est la raison d’être de la création d’une personne, car cette personne, étant donné que ce n’est pas nous, peut être mise en collatéral. Tout au long de notre éducation, on nous fait croire que nous sommes cette personne, ce qui est un mensonge. Et nos parents participent, bien inconsciemment, à cette forfaiture. (Déf. (Droit féodal) : Violation par un fonctionnaire public, un magistrat des devoirs essentiels de sa charge. Chacun de nous a une personne (ou la possède), mais n’est pas une personne. Cette personne est juste une entité légale pour faire du commerce. Tout ce qui implique des lois et/ou de la monnaie issue par le gouvernement et régie par des lois est du commerce. Uniquement une personne est reconnue dans le domaine légal / du commerce. Pas un homme ou une femme.

Quand vous vous réveillez, vous êtes un homme ou une femme. Quand nous travaillons, nous utilisons notre personne. Nous administrons une personne. Nous sommes donc les seuls administrateurs autorisés pour la personne qui nous colle à la peau. 
La personne n’est pas à vous. Elle a été créée par l’état. L’état peut faire ce qu’il veut avec ses personnes. Cette personne est, par exemple, un plombier, un citoyen, un contribuable, un électeur, un résident, mais en un mot, elle est surtout une esclave, cela parce que celui qui crée quelque chose est propriétaire de cette chose.

Évidemment, personne ne peut affirmer être propriétaire de l’homme ou la femme que vous êtes, en tant qu’être vivant et conscient !
Il fallait donc créer une astuce et réussir à faire croire à chacun de nous que nous sommes bien une entité juridique dont la dénomination appartient à l’État. Voilà comment le système basé sur un mensonge a créé des esclaves volontaires et consentants, par ignorance parce que le système d’éducation publique s’est assuré de vous mentir par omission pour mieux vous contrôler. Nous sommes bien en présence d’un dol, c’est-à-dire d’une fraude, d’une manœuvre frauduleuse, d’une tromperie, en droit.

Le dol suppose à la fois, de la part de l’auteur des manœuvres, une volonté de nuire et, pour la personne qui en a été l’objet, un résultat qui lui a été préjudiciable et qui justifie qu’elle obtienne l’annulation du contrat fondée sur le fait que son consentement a été vicié.
 Votre nom et prénom sont des titres de la personne que vous avez et elle n’est pas à vous… Quand vous vous identifiez avec le prénom nom, vous vous identifiez à la personne. Surtout si le nom est écrit en majuscule. Le vouvoiement est d’ailleurs une adresse à la personne. Lisez n’importe quel document du genre « convention de carte de crédit » et ils commencent tous pas « vous”, “votre”, “vos”, ci-après la personne… Est-ce que chacun de nous se décline au pluriel ?

Sommes-nous nombreux en étant seulement nous-mêmes ? Est-ce que chacun de nous est une organisation à lui tout seul ? Chacun de nous est un être vivant et conscient. Aucun de nous n’est au pluriel quand quelqu’un nous parle. Le vouvoiement dit « de politesse » est une arnaque à l’identité.
 Quand vous signez un document pour la personne juridique, vous acceptez le rôle de sûreté pour la personne. Pourtant, vous n’avez jamais consenti à avoir cette personne. Vous n’avez jamais consenti à devoir racheter des dettes publiques que vous n’avez jamais contractées. Ces dettes publiques ont été inventées par les Banques pour nous voler en toute impunité. Un de vos droits les plus importants est votre droit de refuser de contracter.

C‘est pour ça qu’il existe une sûreté pour chaque personne (et non pour l’être vivant et conscient.) 
Tous les biens matériels dont vous jouissez (maison, meubles, voiture, y compris votre dernier iPad) ont été achetés par la personne et appartiennent à la personne. Hélas, cette personne appartient à l’état. L’ensemble de vos biens lui appartient donc aussi. Raison pour laquelle il peut les « saisir », comme on se saisit de vulgaires marchandises sans propriétaire légal. En réalité, vous êtes bénéficiaires de cette personne. Vous avez droit à tout ce qui appartient à cette personne. Cela parce que vous êtes créditeurs de toute valeur dans cette personne, par votre temps, votre énergie et vos connaissances.

Rien de tout ça n’appartient à l’État et l’État n’a pas le droit d’essayer de se l’approprier. 
Le droit actuel est le droit maritime. Imaginez que vous êtes le propriétaire d’un vaisseau. Vous êtes en mer et en vous penchant, vous tombez à l’eau. Après des recherches infructueuses, vous êtes déclarés disparu en mer. Le capitaine du vaisseau devient responsable de sa cargaison, mais pour autant, il n’en est pas le propriétaire. Arrivée au quai, si personne ne se réclame de ce navire, sa cargaison est réputée appartenir au port et à ses représentants. Le capitaine ne pourra pas empêcher que l’on monte sur son bateau afin de se saisir de tout bien s’y trouvant.

Nous sommes actuellement dans cette situation. Nous sommes disparus en mer. Et lorsque nous prétendons faire jouer nos « droits », devant un tribunal, nous « montons à la barre », mais le juge et les autres hommes de loi, ont pour mission de nous faire passer pour le capitaine de notre embarcation et non pour son propriétaire légal.

 

(Textes collégiaux. )