Archives de catégorie : Ce qu’ils ont dit

Calendrier Maya

 

Nota : Je vous présente un extrait, parmi tant d’autres, qui traite du Calendrier Maya. L’avantage de celui-ci est qu’il est un des rares articles qui mentionne une date précise (Octobre 2011) qui concorde avec les « pronostics » des psy éso (Octobre-Novembre 2011) – Généralement, la date vedette du Calendrier est le 21 Décembre 2012. Cette date nous paraît faussée et découler de calculs qui ne tiennent pas compte des dates réelles de première augmentation brutale de fréquence mais plutôt du moment où l’ensemble de l’humanité sera capable de ressentir cette même hausse ayant eu lieu presque un an auparavant. En clair, l’évènement arrive en Octobre ou Novembre 2011 (la fameuse « Vague énergétique » ou « de Conscience ») mais les gens ne sont ensuite capables d’en ressentir les effets qu’aux alentours de Décembre 2012. Le fait que des planètes soient alignées au 21 Décembre 2012 NE PROUVE PAS que la Vague doit nécessairement commencer à déferler à cette date précise. Mais je vous laisse plutôt prendre connaissance de cet extrait qui me semble intéressant. Les phrases en gras, couleur et soulignées sont de mon fait.

——-

 

L’évolution continue

Extraits d’une conférence de IAN XEL LUNGOLD sur le calendrier Maya (Sedona – Arizona en février 2005)

 

Calendrier MayaCe calendrier n’a jamais été un calendrier, il a toujours été un compteur, un compteur de la création. Jour après jour, il a suivi le fil du flux, du niveau et du but de la création. Je pense qu’il n’y a qu’une loi dans l’univers, une simple loi, et que tout découle de là : « Ce à quoi vous prêtez attention, vous en devenez conscient ». On ne peut pas briser cette loi. Une fois que vous avez prêté attention à quelque chose, vous en devenez alors conscient.  Le temps a suivi un ordre décroissant. Actuellement, les changements se produisent tous les 360jours.

Mais dans le cycle de la co-création consciente, les changements se feront tous les 20jours. Autant de transformations en 20 jours qu’actuellement en une année. Cela représente un réel problème pour le mental. Nous avons développé ce mental pendant 2 millions d’années pour mettre en place la conscience similarité/différence. Il a une vitesse limite : 24 pensées par seconde : c’est la vitesse de fonctionnement maximale du mental. C’est de cette façon dont les films fonctionnent et les effets spéciaux.

 

 

Maya4Donc, quand toujours plus d’informations sont stockées dans le mental, il peut de moins en moins en traiter. Cela occasionne du stress dans tout le système. Cela fait partie de notre évolution, c’est construit ainsi. Si quelque chose ne vous convient pas, votre corps ressent des tensions. Vous recherchez alors à remédier à la situation, c’est très naturel. Mais nous ne vivons pas de façon si naturelle, nous cherchons à nous adapter au stress, ce qui cause de graves problèmes physiques, des défaillances mentales, des problèmes de violence, sur la route, au travail, dans les couples. Et la tuerie de Colombine, et le terrorisme.

Tout ceci est le syndrome de la violence.
Le mental a alors un plan : s’il ne peut pas supporter tout ce stress, alors il devient inconscient, ou bien il fait semblant de ne pas voir. Nous voyons tout ceci autour de nous. Les gens se jettent dans toutes sortes de distractions pour ne pas être conscients de ce qu’il se passe réellement dans leur vie. Donc le mental a un problème, et tant que l’homme sera associé a son mental, croyant en ce qu’il lui dit, il continuera a avoir des problèmes.

 

 

Mayas2Par contre, il y atout un autre système à notre disposition, et qui est inné, il est appelé L’INTUITION. Il est assez évident que le mental va s’emballer, très bientôt. Parce que l’accélération va se poursuivre. Ce que vous pensiez faire 15 minutes plus tôt, vous ne pourrez plus le faire à cause de votre agitation mentale. Le mental va partir en vrille. Votre intuition n’a pas de vitesse limite, elle n’a pas de vitesse du tout. Votre intuition est votre propre connexion avec votre connaissance innée, personnelle, qui fait partie de tout ce qui peut être connu.

Avez-vous remarqué que votre intuition est toujours juste ? Et qu’elle est plus juste que votre mental ? Que vous disaient vos profs pendant les examens ? Fiez-vous toujours a votre 1ère idée, parce que la 2ème sera fausse, parce qu’elle vient de votre mental, alors que la 1ère vient de votre intuition.

 

 

Mayas3Donc votre intuition est juste, mais pourquoi ? Il est possible que, quand on est dans l’intuition, quand on est centré, dans un temps et un espace donnés, on se sente comme sur la bonne voie. Les athlètes l’appellent « la Zone ». Quand on est dans cette zone, tout semble naturel. On sait quelle est la bonne chose à faire. On est centré. Il est possible que cet endroit soit le niveau d’où l’on puisse créer le futur. Cela expliquerait pourquoi l’intuition semble si juste. Vous créez l’instant suivant, et nous allons voir comment c’est possible.

(…)

 

Pour lire les vidéos-conférences de l’auteur de cet extrait d’article : http://www.youtube.com/watch?v=fPvC7dv-ROo

 

Pourquoi les ex-fumeurs prennent du poids ?

Les scientifiques auraient découvert pourquoi les ex-fumeurs prennent du poids

 

Par Jennifer Larcher

 

Pourquoi les ex-fumeurs prennent-ils du poids lorsqu’ils arrêtent ? Est-ce à cause des repas ? Une étude répond non et donne la réponse.

 

cigaretteLorsque les fumeurs décident de stopper cette addiction, ils ont tendance à prendre du poids. Immédiatement, certains compensent ce manque en se jetant sur la nourriture. D’autres grossissent alors qu’ils ne changent pas leur habitude. Une étude a été réalisée par le Fonds national suisse pour la recherche scientifique. Les scientifiques estiment que l’arrêt de la cigarette n’a pas d’impact sur la hausse des calories et l’augmentation du nombre de repas. Selon le Huffingtonpost, le coupable serait donc la flore intestinale.

 

Les résultats de l’étude

 

Cigarette2Cette étude a été menée, car les scientifiques ont constaté que certains anciens fumeurs avaient tendance à prendre du poids alors que leur régime alimentaire n’avait pas changé et était équilibré. Une expérience a donc été menée sur 20 personnes, cinq avaient l’habitude de fumer, cinq autres n’avaient pas touché à une cigarette et les 10 restants avaient stoppé cette addiction une semaine avant le début de cette étude selon le journal. Ils ont ensuite récolté les excréments pour obtenir des réponses à leurs questions. Les échantillons des non-fumeurs et des fumeurs ne mettaient pas en avant des changements de la diversité microbienne intestinale. Par contre, le résultat était bien différent pour le groupe qui avait stoppé la cigarette avant l’étude.

 

Développement des bactéries

 

Cigarette3Lorsqu’une personne arrête la cigarette, un bouleversement microbien serait repéré, ainsi ceux qui n’avaient pas changé leur habitude alimentaire prenaient environ deux kilos. Les scientifiques ont conclu que les bactéries des ex-fumeurs changent et elles apportent à leur organisme de l’énergie. La prise de poids ne serait donc pas due à l’alimentation, mais à un bouleversement et au changement des bactéries de la flore intestinale. Elles auraient ainsi un impact sur les vitamines, le développement de la muqueuse intestinale et le bon fonctionnement de la digestion.

 

Crédits photos : Roman Pavlyuk + Divers Internet.

 

Source : http://www.24matins.fr

————-

Où sont les humains ?

Il y a fort longtemps de cela (certains parlent de plus de 500 000 ans) des êtres venus d’autres dimensions et de degré d’évolution plus ou moins élevés, selon les cas (ils ne venaient pas tous du même endroit), vinrent s’incarner dans des corps de chair humanoïdes. Le deal était plus qu’extraordinaire, car la planète « Terre » était alors LA SEULE de l’univers connu sur laquelle la vie humaine -telle que projetée en esprit et dans le mental de ces entités-, était possible…

Ce deal était double, en fait : d’un côté les « aliènes » (tous en corps psychiques uniquement) avaient de ce fait l’occasion unique et très tentante d’expérimenter la vie dans la chair, d’un autre côté, c’était là l’occasion, pour l’humain primitif, de se mélanger à des fréquences infiniment plus élaborées (complexes) et d’en retirer une génétique « boostée »….
De nos jours, il ne resterait plus d’humains dans le sens primitif de ce terme.

 

Autrement dit, il n’existe plus de « natifs » de cette planète : nous sommes tous des « sangs mêlés »….(et des E.T.)
Dit d’une autre façon encore, notre corps ET notre âme, représentent un mixage entre l’humain des origines et notre propre identité première…
Nous sommes donc TOUS des aliènes ! (voire des aliénés, mais cela est une autre histoire ^^) Nous ne sommes pas de cette Terre et notre contrée lointaine commence sérieusement à nous manquer…. (ici un gros soupir que certains pourront comprendront facilement.)

 

Mais, me direz-vous… Où sont passés les « vrais humains », c’est à dire les âmes qui se trouvaient alors dans ces corps physique il y a de cela plus de 500 000 ans ? A vrai dire, je l’ignore… Je sais seulement ce qu’il est actuellement possible de savoir et de « fouiller », si on sait comment le faire.
Hélas, je n’ai pas le pouvoir de fouiller plus que ce qu’il est actuellement permis de le faire…. Même pour un extraterrestre ! 🙂

 

A. Nonyme

 

Pandémie de Mensonges

Voici un article tiré du site http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com et qui mérite d’être diffusé. L’article est loin d’être récent, je vous l’accorde, mais comme le français a tendance à avoir la mémoire courte, une petite injection de « Ne le saviez-vous pas déjà ? » ne saurait nuire à notre belle Démocratie 😀

__________________

 

Lettre envoyée aux autorités médicales, gouvernementales et à tous les médias du Québec.

 

 

Lettre à l’intention des autorités médicales, gouvernementales et à tous les médias du Québec:

 

Collectif Liberté en Santé – «D’abord, ne pas nuire » – Hippocrate

collectifliberteensante@yahoo.ca

Montréal, le 8 décembre 2009,

À l’attention du ministre de la santé et des services sociaux du Québec, M. Yves Bolduc et de M. Alain Poirier, directeur national de la Santé Publique du Québec.

 

Monsieur le Ministre, Monsieur le Directeur national,

Nous sommes un groupe de citoyens concernés par la confusion et par les messages contradictoires qui circulent au sujet de la grippe A H1N1, des vaccins contre cette grippe et de l’approche de santé publique choisie. De nombreux citoyens et citoyennes sont inquiets du manque de clarté et du non respect de la liberté d’expression et de choix. Des scientifiques au Québec et ailleurs dans le monde ont exprimé des doutes quant à la pertinence et à l’innocuité des vaccins contre la grippe AH1N1 et au sujet des risques associés aux adjuvants et conservateurs (squalène, thimérosal, formaldéhyde…) (Annexe 1) Afin de clarifier la situation et de permettre à tous les citoyens de recevoir une information complète et ainsi d’exercer leur libre arbitre, nous avons préparé des questions à votre intention pour lesquelles nous souhaitons obtenir des réponses qui reflèteront toute la rigueur scientifique que vous avez le devoir et la responsabilité de présenter.

1 – Qu’est ce qui justifie les mesures exceptionnelles de santé publique pour faire face à la grippe A H1N1 lorsque d’une part, dans l’immense majorité des cas cette grippe se manifeste par des symptômes bénins (c’est-à-dire les mêmes symptômes que la grippe saisonnière) et d’autre part, les décès reliés à cette grippe sont très loin des chiffres de décès attribués à la grippe saisonnière ? (Un rapport de l’OMS datant du 27 novembre attribue 7820 décès à la grippe A H1N1 en 7 mois alors que la grippe saisonnière serait responsable de 250 000 à 500 000 décès par année.) Autant dire que si la grippe saisonnière avait eu la même médiatisation frénétique que la grippe A H1N1, nous aurions été sans cesse dans une effroyable pandémie sans en avoir conscience. (Annexe 2)

2 – Comment pouvez-vous nous garantir l’efficacité des vaccins antigrippaux alors que l’étude internationale la plus exhaustive sur ces vaccins (menée par la Collaboration Cochrane, sous la direction de Thomas Jefferson) a analysé toutes les études en la matière sur une période de 40 ans et a conclu récemment que les vaccins antigrippaux ont une efficacité très limitée, voire inexistante ? Auriez-vous, ainsi que les experts de l’OMS, omis de prendre en compte cette étude ? (Annexe 3)

3 – Face à la crainte d’une éventuelle mutation plus virulente, quels sont les éléments vous amenant à croire que les vaccins contre la grippe A H1N1 pourraient avoir une quelconque efficacité contre le virus muté lorsqu’il est écrit noir sur blanc dans votre dernier rapport : Vaccin contre l’influenza pandémique A H1N1, qu’ «il n’y a pas de données d’efficacité disponibles pour le vaccin contre la souche pandémique A(H1N1) 2009.» (Annexe 4). N’est-ce pas à cause des mutations constantes des virus de la grippe saisonnière qu’on incite les gens à se faire vacciner année après année pour s’immuniser ?

4 – Pouvez-vous prouver scientifiquement que tous les décès attribués à la grippe AH1N1 le sont sans AUCUN doute ? Nous vous rappelons qu’il est essentiel de tenir compte de l’état de santé initial des personnes atteintes afin de ne pas faussement attribuer les décès au H1N1 et ainsi induire la population en erreur. (Annexe 5)

5 – Pouvez-vous faire preuve de transparence et d’intégrité en vous engageant à informer la population des décès survenus APRÈS l’injection du vaccin ainsi que les décès liés aux effets secondaires et complications potentielles des médicaments administrés tel que le Tamiflu dont l’usage est fortement controversé dans de nombreuses recherches internationales? (Annexe 6)

6 – Vous avez assuré à la population à maintes reprises que les vaccins utilisés au Québec étaient sécuritaires. Sur quels tests, sur quels cobayes, pendant combien de temps (semaines, mois ?) et sur combien de personnes ces vaccins ont-ils été évalués avant d’être injectés dans des centaines de milliers de personnes?
Des tests ont-ils été effectués afin de déterminer les risques et les effets sur les fœtus et les enfants de 6 mois à 3 ans?
Étant donné l’importance de l’enjeu – la santé publique – pouvez-vous nous confirmer que ces tests ont été réalisés par des laboratoires indépendants afin d’éviter tout conflit d’intérêts? (Annexe 7)

7 – Avez-vous informé la population des risques toxiques et neurologiques à court et long terme des composants des différents vaccins utilisés au Québec? ( Annexe 8 )

8 – Avez-vous prévu un budget d’indemnisation des victimes possibles des vaccins contre la grippe A H1N1 ?
Quels sont les recours possibles pour des victimes potentielles de la vaccination sur les plans provincial et fédéral ? Qui paierait les indemnisations ? Les contribuables ou les fabricants des vaccins?

9 – Est-ce que les industries pharmaceutiques fabriquant les vaccins jouissent de l’immunité contre toutes poursuites judiciaires que des victimes et familles des victimes de la vaccination et de ses effets secondaires seraient en droit d’exiger ? Si oui, qu’est-ce qui justifie ce privilège en comparaison avec d’autres industries ? (Annexe 9)

10– Avis scientifiques différents.
Pourquoi avez-vous menacé des professionnels de la santé de représailles s’ils osaient remettre en question la pertinence des vaccins contre la grippe A H1N1? Votre attitude est-elle démocratique et conforme au code de déontologie des médecins qui stipule clairement le devoir de tout médecin de faire part de ses doutes face à un traitement proposé ? (Annexe 10)

11– 90 000 Québécois infectés et 4000 décès – la grippe AH1N1 ? – Non, il s’agit du nombre annuel des victimes des maladies nosocomiales (infection contractée au cours d’une hospitalisation). Quel budget avez-vous consacré à cette grave problématique en comparaison des 200 millions et plus dépensés pour la grippe AH1N1? Expliquez-nous, s’il vous plaît, la logique de vos choix budgétaires, c’est-à-dire l’utilisation de nos impôts pour améliorer la santé publique. (Annexe 11)

12 – Quels sont les critères précis qui justifieraient le déclenchement de l’état d’urgence sanitaire que, selon vos propres paroles, vous N’HÉSITEREZ PAS à instaurer ?
Veuillez indiquer clairement aux Québécois et Québécoises les droits et libertés dont ils seront privés.
Une telle menace contre nos droits humains fondamentaux ne peut s’exercer à la légère et la population doit être consciente des risques d’atteinte à nos libertés et à notre intégrité.
Pouvez-vous vous engager à faire diffuser ces informations et explications au grand public, notamment les articles 123 et 126 de la loi sur la santé publique ?(Annexe 12)

13 – Messieurs Bolduc et Poirier, vous arrive-t-il de lire la presse étrangère ? Si tel n’est pas le cas, nous vous invitons instamment à lire ce qui se passe en Europe où des médecins, du personnel infirmier et autres professionnels de la santé se posent de sérieuses questions quant à la pertinence et l’innocuité des vaccins contre la grippe AH1N1. Ce sont des scientifiques de formation médicale eux aussi, leurs points de vue n’ont-ils aucune valeur ? Nous vous invitons ainsi que tous les Québécois et Québécoises à lire un document qui devrait vous faire réfléchir et qui a été rédigé par le docteur Marc Girard, expert en pharmacologie (Annexe 13)

Nous espérons que votre curiosité scientifique est intacte et que vous serez ouverts à lire ce que des collègues médecins experts ont à dire.
En conclusion, Monsieur le Ministre et Monsieur le Directeur national de la santé publique, nous aimerions rafraîchir vos mémoires en citant quelques passages du serment d’Hippocrate et du Code de déontologie du Collège des Médecins du Québec :

 

Serment d’Hippocrate – version 1982 utilisée au Canada:

 

«Je jure de toujours avoir le courage de DOUTER DE MOI-MÊME et de ne JAMAIS prendre, pour mes patients, LE RISQUE D’UNE ERREUR QUI POURRAIT METTRE LEUR SANTÉ EN PÉRIL»

Dans le cas présent, pouvez-vous jurer Messieurs Bolduc et Poirier que les vaccins H1N1 ne mettent pas en péril la santé des personnes vaccinées?

Code de déontologie

Section VII – Intégrité

Art 83 : le médecin doit s’abstenir de GARANTIR, expressément ou implicitement, l’efficacité d’un examen, d’une investigation ou d’un traitement ou la guérison d’une maladie.

Art 88 : Le médecin qui utilise un média d’information s’adressant au public doit communiquer une information FACTUELLE, EXACTE ET VÉRIFIABLE.

Art 90 : Le médecin qui informe le public d’un procédé nouveau de diagnostic, d’investigation ou de traitement INSUFFISAMMENT ÉPROUVÉ doit mentionner les RÉSERVES APPROPRIÉES qui s’imposent.

Collège des Médecins – ALDO-Québec – 2009

p. 117

Qu’est-ce que le consentement libre et éclairé?
Le consentement est «la manifestation de la volonté expresse ou tacite par laquelle une personne approuve un acte que doit accomplir une autre». En reconnaissant au patient le droit de consentir à des soins, on lui reconnaît aussi, implicitement, celui de LES REFUSER.
Voir également l’article 11 du Code Civil du Québec.

 

Serment professionnel :

 

«Je donnerai au patient les informations pertinentes et je respecterai ses droits et son autonomie».

 

Étant donné l’urgence de la situation, nous vous demandons de nous répondre dans les dix jours. Il s’agit de la santé de toute la population du Québec qui est en jeu ainsi que la liberté d’expression et le droit pour les citoyens et les professionnels de la santé d’exprimer librement leurs doutes, leurs réticences et leur remise en question de pratiques et d’approches possiblement nocives.

Veuillez croire, Monsieur le Ministre et Monsieur le Directeur national de la santé publique, à l’expression de nos sentiments distingués et préoccupés.

 

Collectif Liberté en Santé

 

Contacts :

collectifliberteensante@yahoo.ca

Porte-parole du collectif : Frédéric Hazard, Corinne Ardon, Jérôme Boutin

Copies de la lettre envoyées aux destinataires suivants :

– Médias et journalistes québécois et internationaux

– Députés de l’Assemblée Nationale

– Autres collectifs de citoyens au Québec et en Europe

– Internet.
_________________

Source de cette page, copie intégrale : http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com

 

La « secte des adversaires des sectes »

_________

 

Je n’ai pas résisté au plaisir de vous livrer ici des extraits de « lettres ouvertes à la secte des adversaires des sectes » (1997) de l’Historienne et professeur belge Anne Morelli. Il m’a semblé que ces citations se passent de tout commentaires, si ce n’est un « Bravo » pour le courage et la clairvoyance évidente de l’auteure. Mais tout d’abord une courte biographie de ce professeur de critique historique Belge.

 

________________

 

 

Anne MorelliAnne Morelli est une historienne belge et professeur de critique historique appliquée aux médias modernes et d’histoire des Églises chrétiennes contemporaines et de Textes chrétiens contemporains. Elle a participé en tant qu’experte à la Commission d’enquête parlementaire sur les Sectes. Avec ses élèves en sociologie des religions, elle a étudié près de 90 groupes religieux, habituellement appelés « sectes », ce qui lui a donné matière pour ce court essai qui dénonce le lobby « anti-sectes ». Sa philosophie morale pourrait se résumer ainsi :

« Si vous n’aimez pas ça, n’en dégoûtez pas les autres ! »

Commençant par poser la question « qu’est-ce qu’une secte ? », Anne Morelli nous entraîne rapidement vers une autre question : « quelle différence y a-t-il entre une secte et une religion ? ». Pour elle, il n’y a pas d’autre différence que le regard que pose la société et ses médias sur tel ou tel groupuscule, mouvement, Église. Toutes deux procèdent du même phénomène humain, la croyance en une certaine forme d’irrationnel. Dans ces conditions, pourquoi l’Etat belge reconnaît-il et finance-t-il l’Eglise catholique et pas les Témoins de Jéhovah et la Scientologie ? Une question de rapport de force.

 

Anne Morelli2Anne Morelli met donc en garde contre les risques de toute chasse aux sorcières et nous amène donc à réfléchir. Avec une certaine ironie, elle plaide pour une tolérance religieuse élargie à tous les « fous de Dieu », qu’ils appartiennent aux grandes « multinationales » de la religion ou aux petits groupes indépendants, parmi lesquels il y a peut-être les futures grandes religions de demain. Mais en conclusion, elle revendique le « droit à la critique et à la dérision de toutes les idées, y compris les croyances et pratiques religieuses ».

« Je pense que les sectes ne sont encore en matière de « nocivité » que de pâles amateurs à côté des grandes multinationales des religions, dont les morts sont à comptabiliser par millions. »

 

 

Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes

 

Anne Morelli

 

Editions Labor, (1997 – 93 pages)

 

Anne Morelli3« Leurs méthodes sont partout semblables : jeter le discrédit sur tous les groupes religieux en dehors des grandes religions classiques et semer à ce sujet la désinformation. La « secte des adversaires des sectes » tenaille donc particulièrement les médias et le monde politique, mais ne néglige pas non plus l’approche du monde de la recherche universitaire. En France, deux associations se partagent ce « marché », correspondant aux deux options fondamentales de la société française : l’une est laïque (C.C.M.M.) et l’autre est catholique (U.N.A.D.F.I.). »

 

« Une autre pratique de désinformation menée par la « secte des adversaires des sectes » est de gonfler les chiffres des adhérents à ces religions minoritaires. Ces chiffres, après douze années d’enquêtes dans ces milieux, je suis plus que jamais incapable de les préciser. En 1981, j’avais – péché de jeunesse – lancé le chiffre de 80.000, mais au fur et à mesure de nos travaux, mes certitudes se sont envolées. Le chiffre, lui, a souvent été repris.

Dans chaque groupe religieux, on a tendance à les gonfler (cela donne du poids à la communauté et à ses croyances), mais curieusement, les adversaires des sectes aussi les gonflent, car la pertinence de leur « lutte » (et donc les moyens qu’ils réclament) est évidemment liée au danger potentiel que représente un groupe. »

 

Anne Morelli8« Lorsqu’un journaliste ne se soumet pas au schéma classique anti-secte, il est aussitôt accusé de complaisance. Ainsi, les auteurs de deux documentaires Arte consacrés aux mormons sont-ils vivement critiqués par « Le Monde » . Ils auraient présenté cette religion avec trop de sympathie… Les auditeurs belges, habitués à entendre l’actualité religieuse commentée par la douce voix de l’abbé Armand Pirard, croient rêver en entendant ces reproches.

Ils imaginent mal qu’à l’occasion, par exemple, de la bénédiction pascale ou d’un voyage du pape, un de ses mièvres commentaires se mette à investiguer à propos des finances du Vatican et de ses opérations douteuses, ou des effets catastrophiques de sa diplomatie pro-Croate.

Mais évidemment, il est des monopoles à ne pas traiter sans « complaisance » et des rivaux qu’il est bon d’enfoncer. On comprend dès lors pourquoi les « sectes » voient rarement avec plaisir débarquer en leurs murs des journalistes, chargés dès le départ de ramener des « informations » croustillantes, sensationnelles et surtout inquiétantes… »

 

Anne Morelli4« [Si un journaliste décrivait la bénédiction papale dans les termes habituellement utilisés à propos des sectes cela pourrait donner ceci:] Le gourou des catholiques s’est adressé à ses adeptes pour leur rappeler quelques-uns des mythes de leur bric-à-brac de croyances irrationnelles. Il leur a rappelé la nécessité d’embrigader leurs enfants pour faire proliférer le christianisme. Il avait son déguisement et ses colifichets habituels pour ce type de mascarade. »

« Les sectes ont généralement repris la tradition en vigueur dans les religions, qui veut que l’engagement total passe par le dévouement total. La vie monastique est évidemment construite sur cette base. Il faut se replonger dans la règle de saint Benoît, norme fondamentale de toute vie monastique en Occident. Tout plaisir personnel doit en être absent, et le temps, sauf l’indispensable à la survie, doit être totalement consacré à Dieu, soit par la prière (Ora et Labora) et rien, absolument rien, ne peut être possédé en propre puisqu’on a renoncé à posséder personnellement des biens. »

 

 

Anne Morelli7« Des Églises catholiques réalistes, comme les Églises américaines et canadiennes, ont d’ailleurs prévu des fonds spéciaux pour indemniser les victimes des prêtres pédophiles, prêtres qui seraient à 20% poussés à cette tendance. »

« La pérennité millénaire des religions n’est due qu’à cet envahissement intempestif des consciences enfantines, cette violation permanente de leur liberté par une information forcée, qui est le propre de tout conditionnement, mais donc aussi sans doute de toute éducation. »

« La secte, comme la communauté charismatique, le couvent, la prison, l’hôpital, la caserne, le pensionnat (et peut-être aussi certains partis ou entreprises lorsqu’il s’agit de Disney ou MacDo) est l’une des institutions totalitaires qui prend, marque, change de nom ou immatricule, imprime dans un moule et déguise pour donner l’impression d’uniformité des corps et des esprits. Elle ôte par essence sa personnalité à l’individu, qui n’a d’intérêt et de dignité qu’en tant que membre du groupe. »

 

 

Anne Morelli5« Il n’y pas de critères utilisables pour vérifier l’existence d’une foi et nous ne sommes pas en mesure de vérifier si ce que Ron Hubbard, fondateur de la scientologie a dit(..) est vrai ou faux. Toutes les croyances sont du domaine de l’irrationnel. »

« En réalité, toute croyance vue de l’extérieur est loufoque et il est impossible d’établir une gradation entre les religions selon leur degré plus ou moins élevé de rationalité. L’irrationnel des religions qui nous sont proches nous échappe parce que nous y sommes habitués. Mais rappelez-vous qu’un concile de l’Église s’est longuement penché sur une question […] : « La vierge Marie est-elle restée vierge également pendant son accouchement ? » […]

Nous atteignons peut-être là des sommets d’irrationnel (bien que le dogme de la trans-substanciation ou transformation du pain et vin en chair et sang réels de Jésus ne soit pas mal non plus!) mais nous nous permettons de rire lorsque la méditation transcendantale nous propose de changer le monde par la matière médiatrice ».

 

Anne Morelli6« Je pense que les sectes ne sont encore en matière de « nocivité » que de pâles amateurs à côté des grandes multinationales des religions, dont les morts sont à comptabiliser par millions. »

« On sait le tumulte que créa la liste des « sectes » à la suite du rapport. Les protestations viendront surtout du milieu catholique n’admettant pas que certains de ses groupes (Œuvre, Opus Dei, Charismatiques, …) s’y retrouvent malgré les appuis officiels qu’ils ont reçus et qui devaient, en principes, les rendre intouchables. »


 

Pour toutes les diverses citations entre parenthèses :

Anne Morelli « Lettre ouverte à la secte des adversaires des sectes »(Editions Labor, 1997)




Le processus de la Présence dans le couple

MICHAEL BROWN et le PROCESSUS DE LA PRÉSENCE

 

INTIMITÉ ET SEXUALITÉ Vidéos (1) et (2)
Une autre voie pour envisager les relations dans le couple.

 

 

 


 

 

LA NOTION DU COUPLE ET DE L’INTIMITÉ

 

 

Pour Michaël Brown, Le moment de la conception est un orgasme et c’est l’une des fréquences les plus élevées que nous puissions amener dans le domaine physique.

La manière dont nous vivons la sexualité est une illustration de l’énergie de manipulation qui anime notre mental à tous les niveaux.
En fait, notre Ego n’hésite pas à pratiquer toute forme de manipulation afin de vivre l’orgasme sous toutes ses formes (Pouvoir social et financier, sexualité…).

 

Dans un couple, l’homme représente le corps mental et la femme le corps émotionnel. Le corps mental (l’homme) cherche à tout prix à obtenir ce qu’il veut, en l’occurrence, l’orgasme. En réalité, le véritable rôle du corps mental et de donner son soutien au corps émotionnel…
Ainsi le véritable rôle d’un homme est de créer un espace pour une femme où elle se sentira assez en sécurité pour qu’elle puisse vraiment devenir ce que doit être une femme… (et qu’elle ne soit pas obligée de se comporter comme un homme pour exister !)

 

 

Michaël nous explique que l’intimité et la sexualité d’un couple peuvent être des outils de guérison par leur haute vibration.

Nous découvrons que nous manipulons continuellement l’intelligence infinie pour un résultat que nous pensons devoir obtenir au lieu d’être capables de recevoir ce qui nous est vraiment donné.

Vous découvrirez les autres vidéos de cette série en visionnage ci-dessous, dans leur ordre chronologique que j’ai quelque peu perturbé en vous proposant de visionner les deux dernières vidéos si passionnantes par rapport aux questions fondamentales qu’elles proposent.

 

 

INTRODUCTION AU PROCESSUS DE LA PRÉSENCE (1)

 

 

 

 

Jusqu’en 1989, Michael Brown, né en Afrique du Sud, vivait ce qu’il appelait «une vie avec bonheur inconscient» en tant que journaliste critique musical.
Pendant cette période de sa vie, il a développé une artérite des vaisseaux temporaux (artères de la face et du cuir chevelu) appelée le syndrome de Horton. Après quatre années de souffrance à travers les approches médicales conventionnelles, il s’est embarqué dans une recherche en vue d’intégrer son expérience à travers une quête personnelle.

 

 

Au fur et à mesure du déroulement de ce processus, Michael a commencé à entrer dans un état d’être de «la conscience du moment présent» qu’il appelle – un paradigme de conscience élargie, s’il est mis en perspective par rapport à notre expérience du monde conventionnelle et courante.
Le fait d’entrer régulièrement dans cet état de conscience, qu’il contacte à travers la pratique de cérémoniaux, de plantes médicinales, et de respiration consciente connectée, a entraîné une diminution de ses douleurs jusqu’à les calmer complètement.

A la fin des années 90, Michaël a tracé une voie méthodique, en conscience, du moment présent, en développant une procédure pratique que n’importe qui, n’importe où, peut suivre pour amorcer cette expérience pour lui-même.

 

 

Cette procédure est désormais internationalement connue sous le nom de PROCESSUS DE LA PRÉSENCE. En 2002, Michael est retourné en Afrique du Sud et a invité d’autres personnes à vivre l’expérience de ce voyage intérieur.

Il a découvert que d’autres humains ayant contacté la conscience du moment présent ont, eux aussi automatiquement expérimenté la disparition d’inconforts physiques, mentaux et émotionnels, y compris celles liées à des troubles psychologiques et de toxicomanie.

 

 

Pour rendre ce voyage accessible à tous, Michael a écrit LE PROCESSUS DE LA PRÉSENCE: Un voyage vers la guérison par la conscience du moment présent. L’ouvrage vient enfin de sortir en français aux Éditions Ariane (Août 2012-Voir ci-contre…)

Depuis, il a parcouru les États-Unis et le Canada pour partager ses idées, créant le site http://thepresenceportal.com/ (Portail de la présence) en tant que centre de ressources pour ce travail, et a également écrit ALCHEMY OF THE HEART (l’Alchimie du coeur), Transformer la tourmente en paix par l’intégration affective, qui se concentre sur la réalisation de la résonance de la paix par le biais de l’intégration émotionnelle.

Michael Brown vit actuellement à Aberdeen, Eastern Cape, en Afrique du Sud, où il observe pousser ses cactus et continue de soutenir ce travail par son site Web LE PORTAIL DE LA PRÉSENCE.

 

LE TRAITEMENT DES ÉMOTIONS (2)

 

 

 

 

LE PLUS GRAND DÉFI (3)

 

 

 

 

 

La cause de tout ce qui nous arrive dans notre expérience quotidienne, n’a rien à voir avec l’action d’autrui, mais plutôt avec ce qui est à l’intérieur de nous-mêmes. Au cours de nos premières années, nous recevons « l’empreinte » émotionnelle de nos éducateurs.

Leur état émotionnel recouvre l’essence de qui nous sommes, de manière à nous comporter tout comme eux, plutôt que de grandir en étant nous-mêmes.
Dans L’alchimie du Cœur, il nous est demandé de devenir conscient de la façon dont nous recevons cette empreinte et la manière dont ses « traces » dirigent notre comportement.
Notre guide pour atteindre cela est le Cœur et le langage du ressenti des perceptions. A travers ce langage, le coeur nous permet de devenir « Parent » de nous-mêmes et nous rend libres de nous aimer inconditionnellement.

 

 

AIMER, C’EST ÉVOLUER (4)