Un Soi discute avec un Deva

Cela se passe sur un plan supérieur, un Soi (Être de lumière de l’humain) discute avec un Deva (son équivalence dans le monde animal).

« Voilà, dit le Soi, sur terre je suis plus évolué que toi, selon certains critères et afin de bénéficier de mon avancée, je te demanderai de m’aider dans mes taches. Si l’un des miens (les hommes) a besoin de la vie de l’une de tes extensions pour survivre, tu la lui donneras. Mais comme toute vie est sacrée, je n’en abuserais pas. Elle sera respectée tout comme nous nous respecterons ici sur Terre. »

Une loi est donc signée entre ces deux Êtres sur ce plan.

Deva-02Les voilà sur Terre, à présent. Au début, tout se passe bien. L’homme migre vers des contrées lointaines, certains de ses animaux meurent et afin de rester en vie, ils les mangent. Il prend leur peau pour se couvrir mais cela reste aussi ponctuel que relatif à des besoins vitaux. Puis l’homme commence à penser qu’il serait intéressant de ne se nourrir que de viande et il y voit même un certain profit. Il se dit, par exemple : « Tout est bon dans la vache ! » Bien sûr, il devient hautement conscient de son pouvoir sur ces êtres qui, à ses yeux, sont nécessairement inférieurs, puisqu’ils le servent. La loi est pour lui, pas pour eux. Eux qui ne sont que de vulgaires animaux. Après tout, même la Nature ne leur a pas donné le droit à la parole. Alors l’homme de la Terre se met en devoir de faire croire à ses semblables, que manger de l’animal est bon pour la santé. En fait, cela est surtout bon pour ses affaires, des affaires qui grâce à cette viande animale, vont se transformer en une une affaire des plus juteuses pour lui. Ces êtres, ces animaux, ne se plaignent pas. De toutes manières, ils ne le peuvent pas. L’avantage est que s’il en a assez de les manger et donc, de les nourrir, il peut toujours les mettre à mort. Peu importent les moyens, la loi est pour lui.

 

Le Deva est bien ennuyé mais n’a pas les moyens d’agir. Au départ, être proche de l’homme ne voulait pas dire devenir son repas principal ou son cobaye. La loi première a été signée avec un Soi, elle stipulait que le don de vie de ses extensions était une aide ponctuelle découlant d’une nécessite vitale, pas un asservissement de son espèce. De même, elle ne devait pas conduire à de la maltraitance. Le don de vie devait rester sacré. Si l’homme se comporte comme un barbare, alors il ne peut plus être considéré comme un homme digne de ce nom. Sa signature vibratoire ayant changée, les accords préalables ne tiennent plus. Cette loi devra donc être abrogée par un autre Soi ou plusieurs, mais de signature vibratoire équivalente. Et c’est ainsi que des êtres s’éveillent et sortent de ce conditionnement, en permettant l’annulation d’une loi qui a été violée par ceux-là même qui signée puis l’avaient mise en place.

 

Deva-01L’animal est le symbole de notre sensibilité. Il suffit de voir la façon dont nous maltraitons les animaux pour comprendre comment l’homme traite ceux de sa propre espèce. Il malmène depuis toujours sa propre sensibilité. Certains hommes on fait un tour complet à l’intérieur de leur coeur et réussissent à voir, désormais, comment leurs semblable traitent leurs émotions et la sensibilité dont elles découlent. Ce genre d’hommes non encore réussi a-t-il envie de ressentir cette souffrance ?

« Non, dit-il, qu’elle parte à l’abattoir, loin de mon cœur ou qu’elle meure enfin et au bout de mon fusil ! »

 

Mais qu’il sache qu’elle reviendra, cette souffrance, que ce soit dans son coeur ou même dans son assiette. Car on ne peut la tuer, ou l’éloigner bien longtemps de l’âme, puisque cette sensibilité vivante a pour siège éternel le cœur des hommes.

 

 

Laetitia@FrequenceSoi

 

Category: Channelings
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