Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Sur la vision psychique (G. Hodson – extraits)

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La vision psychique et, d’une manière générale, la perception extrasensorielle, dépendent directement de l’activité psychique de nos glandes pinéale et pituitaire. Voici un extrait de l’œuvre de Geoffrey Hodson, écrivain contemporain et auteur de plusieurs ouvrages consacrés au mysticisme et à la spiritualité.

 

«De quelle nature sont ces facultés psychiques de l’homme ? Nous avons tout d’abord la clairvoyance, grâce à laquelle les limitations imposées à la connaissance par des conditions physiques peuvent, à des degrés variables, être surmontées. Son usage permet de triompher des notions illusoires de dimensions et de séparations dans l’espace, aussi bien que des limitations de temps, de sorte que le voyant est à même de percevoir l’infiniment petit, de voir à distance, de connaître le passé et le futur, de percevoir les auras, etc..

La clairvoyance inclut un pouvoir de vision interne analogue aux rayons X, c’est-à-dire la possibilité de voir à travers les corps solides, possibilité qui peut utilement servir au diagnostic de la maladie.
Combinée avec la clairaudience, elle donne le pouvoir de voir et de converser avec ceux que l’on appelle à tort, les morts, avec d’autres entités désincarnées et avec la grande compagnie des anges.

Il y a, dans le cerveau, des organes au moyen desquels cette vision étendue est rendue possible. Ce sont les glandes pituitaire et pinéale.
Ces dernières sont considérées, par la science médicale, comme les restes atrophiés d’un organe qui fut pleinement actif aux tout premiers jours de l’évolution humaine.

Cette conception est acceptée par la science occulte qui ajoute, d’une part que ces deux organes auront à nouveau une fonction à remplir dans l’avenir et seront alors utilisés comme moyens de connaissance supra-physique, et d’autre part que leur développement peut être activé par l’emploi de méthodes spéciales. Quand ils sont psychiquement développés et actifs, ils permettent de capter, au début, des longueurs d’ondes physiques nouvelles et, plus tard, des vibrations supra-physiques».

 

GEOFFREY HODSON

 

Du magnétisme « animal » (F.A. Messmer cité par A.P. Sinnet- extraits)

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Très rares sont les écrivains qui ont accordé une attention impartiale aux travaux que le docteur Franz Anton Mesmer effectua sur l’origine et la nature du magnétisme. La plupart d’entre eux, à l’époque, se sont rangés du côté des scientifiques, lesquels se sont employés à ridiculiser toutes les méthodes qu’il conçut pour appliquer aux malades l’énergie magnétique qui émane de nos mains.

Pourtant il avait en grande partie raison et n’était pas le charlatan que l’on décrit dans certains ouvrages de référence. Depuis, la science a été dans l’obligation de reconnaître un grand nombre des explications qu’il donna à propos de l’énergie nerveuse.

Dans l’un de ses ouvrages, A. P. Sinnett ( le Théosophe bien connu qui écrivit, entre autre, « Lettres des Mahatmas », Ed. Adyar) rend hommage au docteur Mesmer et aux efforts qu’il déploya pour soigner ceux qui en avaient besoin.
Nous vous proposons de lire un extrait de cet hommage mérité.

 

 

«Au début, Mesmer travaillait uniquement au moyen d’aimants.
Il obtint alors quelques guérisons et écrivit une lettre à un médecin étranger sur la « cure magnétique ». Pour approfondir ses recherches, il fonda un hôpital privé dans sa propre maison et s’évertua à soulager les invalides indigents.
Il en vint bientôt à la conclusion que les tiges métalliques avec lesquelles il avait effectué ses premières expériences n’agissaient que comme conducteurs d’un fluide émanant de sa propre personne, en particulier de ses mains, et il donna aussitôt à celui-ci le nom de « magnétisme animal ».

Il publia un court traité, intitulé « Mémoire sur la découverte du magnétisme animal ». Dans ce traité, la théorie avancée par Mesmer reposait sur sa conviction qu’il existait une influence réciproque entre les corps célestes, la terre et les êtres animés.

 

Il pensait que le moyen par lequel s’effectuait cette influence était un fluide très subtil pénétrant tout l’univers et qui, par sa nature, était capable de recevoir, de partager et de communiquer toute impulsion motrice.
Pour lui, l’action de ce fluide était sujette à certaines lois mécaniques qui n’avaient pas encore été découvertes et qui, en opérant dans la substance des nerfs, les affectaient immédiatement et produisaient la guérison».

 

 

A.P. SINNETT (1840-1921)

 

A propos de l’âme (E. Kant – extraits)

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De nombreux philosophes, savants et artistes sont convaincus de l’existence de l’âme et n’hésitent pas à faire part ouvertement de cette conviction.
En cela, ils donnent la preuve que la spiritualité n’est pas l’apanage des utopistes, des rêveurs ou des personnes incultes. Emmanuel Kant, grand philosophe allemand du dix-huitième siècle, fait partie des personnalités marquantes qui n’ont jamais hésité à faire allusion à la réalité de l’âme.
Nous pensons donc que vous serez intéressé par la lecture d’une citation extraite de ses œuvres.

 

«Je confesse être extrêmement porté à affirmer l’existence des choses immatérielles dans le monde, et à placer mon âme elle-même dans cette catégorie. Ces choses immatérielles s’unissent immédiatement les unes aux autres ; il est possible qu’elles forment un grand tout que nous pourrions appeler le royaume immatériel.

Tout homme est un être appartenant à deux mondes, le monde incorporel et le monde matériel, et il sera prouvé, mais je ne sais ni où ni comment, que l’âme humaine elle-même, au cours de cette vie, forme une communion indissoluble avec toutes les natures immatérielles du monde spirituel et que, d’une manière alternée, elle agit sur ce monde et en reçoit des impressions, ce monde dont, néanmoins, elle n’est pas vraiment consciente aussi longtemps qu’elle est en l’homme et que tout est, chez lui, à l’état normal.

La naissance, la vie et la mort ne sont que des états de l’âme…
Par conséquent, seul notre corps est périssable, l’essence de nous-mêmes ne l’étant pas et ayant dû exister pendant toute la période où notre corps lui-même n’existait pas. La vie de l’homme est double.

Elle consiste, en fait, en deux vies, l’une animale et l’autre spirituelle.
La première est la vie humaine et l’homme a besoin d’un corps pour la vivre.
L’autre est la vie spirituelle ; son âme, dans celle-ci, vit séparée du corps et continue à vivre après l’avoir quitté».

 

EMMANUEL KANT ( 1724-1804)

 

Sur le sommeil (extraits – citations)

Voici un intéressant texte de P.D. Ouspensky, que connaissent peut-être certains de mes lecteurs, habitués aux ouvrages occultes de la fin du 19e et du début du 20e siècle. Observez de quelle manière l’auteur étonne le lecteur par sa façon d’affirmer que la vie de l’homme se passe « dans le sommeil » et non dans l’état de conscience objective, qu’il place lui-même à un très haut niveau d’éveil spirituel…

 

« En règle générale, l’homme peut connaître quatre états de conscience. Ce sont : le sommeil, l’état de veille, la conscience de soi et la conscience objective. Mais, bien qu’il ait la possibilité de vivre ces quatre états de conscience, il ne vit, de fait, que deux d’entre eux : une partie de sa vie se passe dans le sommeil et l’autre dans ce que l’on appelle ‘l’état de veille’, quoique en réalité son état de veille diffère très peu du sommeil.

[…]

Il est nécessaire ici de comprendre que le premier état de conscience – le sommeil – ne se dissipe pas quand apparaît le second, c’est-à-dire lorsque l’homme s’éveille. Le sommeil demeure présent avec tous ses rêves et ses impressions, s’y ajoute simplement une attitude plus critique envers ses propres impressions, des pensées mieux coordonnées et des actions plus disciplinées.

À cause de la vivacité des impressions sensorielles, des désirs et des sentiments – en particulier le sentiment de contradiction ou d’impossibilité, entièrement absents au cours du sommeil – les rêves deviennent alors invisibles, de la même manière que sous l’éclat du soleil, les étoiles et la lune pâlissent. Mais les rêves sont toujours présents et exercent souvent, sur l’ensemble de nos pensées, de nos sentiments et de nos actes, une influence dont la force dépasse même parfois les impressions réelles du moment.

[…]

Le premier, ai-je dit, est un état purement subjectif. Le second l’est moins; déjà l’homme y distingue le ‘moi’ et le ‘non-moi’, c’est-à-dire son corps et les objets distincts de son corps et il peut, dans une certaine mesure, s’orienter parmi eux et connaître leurs positions et qualités.

Mais, dans cet état, on ne peut pas vraiment dire que l’homme soit éveillé, parce qu’il reste fortement influencé par les rêves et qu’en fait il vit davantage dans les rêves que dans la réalité. Toutes les absurdités et contradictions des hommes et de la vie humaine en général s’expliquent lorsque nous réalisons que les gens vivent dans le sommeil, agissent en tout dans le sommeil et pourtant ignorent qu’ils sont endormis.

 

Il est utile de se rappeler que tel est bien le sens intérieur de nombreux enseignements anciens. Celui qui nous est le plus proche est le christianisme ou l’enseignement des évangiles, selon lequel la compréhension de la vie humaine se base sur l’idée que les hommes vivent dans le sommeil et doivent avant tout s’éveiller. Cette idée est très rarement comprise comme elle le devrait, en l’occurrence : au pied de la lettre. »

 

(Tiré des 5 conférences de 1934-1940)

 

 

Sur la respiration (extraits)

 

La respiration est l’une des fonctions du corps les plus importantes car, chez l’homme, les poumons sont vraiment le siège du souffle vital et, par conséquent, de l’aspect essentiel de la vie qui l’anime. Voici une citation extraite d’un ouvrage très intéressant intitulé «Guérison dans le Nouvel Age», de Renée-Pascale Provost.

A juste titre, l’auteur insiste sur le fait qu’il faut absolument apprendre à respirer convenablement, de manière à recevoir de l’air un maximum de vitalité.

 

 

« LAVOISIER, chimiste français du XVIIIème siècle, membre de l’Académie des Sciences, fut reconnu comme l’un des grands Penseurs de son époque.
En 1789, dans ses premiers mémoires, il disait :

« La respiration est une combustion lente, semblable à celle qui s’opère dans une lampe à huile ou une bougie. »
Il ajoutait :

« C’est la fonction grâce à laquelle un organisme reçoit l’oxygène de l’air nécessaire à cette combustion et expulse ses produits toxiques, dont l’acide carbonique. »

De toutes les fonctions qui assurent la vie d’un organisme physique vivant, la respiration est la plus constante. Pendant le sommeil, le système nerveux est inactif, le tube digestif fonctionne à peine, ou pas du tout. L’homme peut vivre plusieurs jours sans manger, et il peut parvenir à dormir très peu avec un entraînement particulier. Mais il ne peut, généralement, rester plus de cinq minutes sans respirer, et nous savons qu’il n’y a pas de vie possible sans les échanges respiratoires.

 

Aujourd’hui, l’homme est pris dans un système faux, celui de la vie agitée et compliquée qu’il a créée. Néanmoins, on assiste maintenant à une prise de conscience quant à ce besoin fondamental de la respiration.
Il y a de plus en plus de mouvements et d’écoles à buts thérapeutiques.
Mais toutes les méthodes utilisées ne sont pas encore bien claires, ni obligatoirement bénéfiques pour l’être humain.

 

Il est indispensable de discerner ce qui est bon, de ce qui ne l’est pas.
La fonction respiratoire est donc, de toutes les fonctions de l organisme humain, celle sur laquelle l’attention doit se porter en premier, afin de comprendre que la mauvaise ventilation de l’appareil respiratoire entraîne une auto intoxication et est la cause de bien des troubles de santé.

Il faut donc APPRENDRE A RESPIRER pour augmenter la résistance de l’organisme et avoir de bonnes forces disponibles».

 

 

RENEE-PASCALE PROVOST