Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

La Musique des Sphères

Dans certaines traditions, il est fait allusion à une « Musique des Sphères. » Qu’est-ce que cette musique, exactement ? Attendu que nous ne sommes plus au moyen-âge et que le but n’est plus de « cacher » une connaissance qui sera à la portée d’une classe de maternelle dans une dizaine d’années, nous vous feront gagner un peu de temps en expliquant ici, en termes simples et modernes, de quoi il retourne réellement, symbolisme ou poésie mis à part !

 

 

 

 

 

Nous savons que tout bouge, remue et vibre sans cesse. Tout est en mouvement : les particules d’esprit qui forment une partie de la matière dite « solide » dansent constamment de joie autour de leur Dieu/noyau atomique. Protons, neutrons, électrons, et autres « cucutrons » (lol) jouent sans cesse un Jeu Amoureux que ce soit en virevoltant, en se repoussant, en s’attirant et en échangeant des informations d’ordre électromagnétique.

 

 

 

 

Bref, tout ce qui existe vibre sur des fréquences qui sont toutes différentes, et la somme de ces vibration consiste en un Chœur Harmonieux qui représente le Chant d’Amour de la Création pour son Créateur et de son Créateur pour sa Création. Les 24 Vieillards, autour du Trône Sacré, posent leur genou à terre et jettent avec vénération leur couronne en direction du Trône mais ce dernier leur restitue sans cesse cette couronne, leur demandant de Régner à sa place, se nourrissant de cet Amour Exponentiel qui s’échange entre les particules d’une Seule et Même Chose : l’esprit universel !

 

 

 

 

La Musique des Sphère est donc la somme vibratoire de Tout-ce-qui-Est, du « Tout-Esprit » et cet Océan Vivant et Conscient qui consiste en la Parole de Dieu. Tous les sons confondus en une seule Mélodie Divine. Celui ou celle qui entend la Musique des Sphère a presque tout entendu. Il lui reste à s’Ecouter puis à s’Entendre avec lui-même, car lui aussi est une note dans ce Grand Orchestre de la Vie !

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Sur le « Coeur Karmique »

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Note : Cet extrait est plus que seulement intéressant puisqu’il représente la seule source, à notre connaissance, qui présente le Thymus dans l’un de ses aspects les moins connus et, jusqu’ici, seulement traité par la psy éso (le fait de pouvoir nettoyer ses « engrammes karmiques » par le biais du Thymus.)

Les passages en gras et colorés sont de mon fait.

 

 

 

Sur le « cœur Karmique »

(extraits)

(…)

Thymus2« L’énergie qui siège dans le chakra du cœur est la joie pure, l’amour, la vie. Le chakra du cœur repose dans un vaste réceptacle qui contient trois cœurs fort importants. Le cœur physique,certes, avec ses portes,ses antichambres, ses chambres et son puits d’amour. Le cœur karmique, géré par le thymus. Ce cœur karmique contient les liens karmiques du cœur en relation avec les vies que vous avez choisi de retrouver dans cette incarnation. Le troisième cœur est le cœur spirituel.

Le cœur spirituel est un nouveau Chakra en développement chez la majorité des humains. Il est de plus en plus présent chez les êtres qui poursuivent une voie d’évolution dans le détachement pour atteindre la quatrième ou la cinquième dimension.

 

 

Ainsi, plus vous vous élevez dans les plans vibratoires de conscience, plus vous quittez les dimensions où siège l’attraction terrestre (la lourdeur terrestre), plus le cœur spirituel prend place et s’harmonise avec les autres cœurs (physique et karmique). Toutefois, pour ce faire, votre cœur karmique doit avoir libéré ses propres mémoires. Le cœur karmique contient la mémoire de la blessure de votre incarnation. Cette blessure est ce que votre âme est venue retrouver à travers son expérience de la famille terrestre: l’abandon, le rejet, la non-reconnaissance, etc.

pour les transmuter. Ce cœur est aussi directement relié à votre karma, c’est-à-dire à la somme d’expériences de vos vies sur Terre. Le cœur karmique contient l’empreinte, cette mémoire, cette charge que vous avez manifestée de vie en vie en relation avec l’amour.

 

 

Le cœur karmique est logé directement dans votre thymus. Physiquement, il est en relation avec cette glande; énergétiquement, il est en relation avec la blessure karmique de votre âme. Ainsi, il est bon que le cœur karmique soit nettoyé pour permettre une libération de ses mémoires, beaucoup plus profondes et beaucoup plus cristallisées que celles logées dans votre cœur physique.

Le cœur physique transporte les mémoires douloureuses d’amour reliées à la vie que vous vivez présentement, à l’opposé du cœur karmique qui porte la mémoire de votre blessure fondamentale d’amour de toutes vos vies sur Terre.

 

Toutefois, maints humains n’ont point conscience du cœur karmique, ils n’ont point nécessairement conscience de la douleur ou de la non-douleur, de la cristallisation ou de la non-cristallisation qui y sont localisées. Ceci demande une très grande perception des plans vibratoires pour établir le contact avec ce centre. Le thymus est le cœur qui a choisi d’accepter la vibration de votre karma.

Le thymus est cette glande, non seulement terrestre, mais aussi vibratoire, qui aide le tout-petit jusqu’à la période de l’adolescence à bâtir ses systèmes, à bâtir ses corps, à bâtir sa force de lumière.

 

Lorsque ceci est vraiment fait dans un système idéal de croissance sur Terre, l’adolescent est capable spirituellement de rencontrer sa douleur. Lorsque ceci a été omis, le thymus reste dans une surcharge, car il transporte encore la douleur karmique, la douleur de votre incarnation. La surcharge du thymus ou du cœur karmique entrave la fluidité de la croix intérieure, dont la rencontre se fait à ce niveau dans le corps, et bloque la fusion entre les plans célestes et les plans terrestres. »

 

Marie Lise Labonté

© 2012, Les Chroniques d’Arcturius.

(…)

Extraits provenant du Site : http://www.arcturius.org/chroniques/?p=289

 

Pour ceux qui aimeraient en savoir plus sur cet auteur :

 

Illumination (extraits)

Jacob Boehme était savetier de son état et n’avait pas reçu d’éducation culturelle particulière. Cependant, il était très mystique et désirait connaître Dieu avec ardeur. Toute sa vie, il se consacra à la prière, à la méditation et s’efforça toujours de lutter contre le mal et de servir le bien.

L’histoire de sa vie nous montre que c’est au moment où il se sentait le plus désespéré face à la difficulté du sentier spirituel qu’il avait choisi de suivre, qu’il reçut l’Illumination et qu’il reconnut Dieu.
Le texte ci-dessous, extrait de ses œuvres, traduit parfaitement l’état de conscience qui résulte d’une telle Illumination.

 

 

 

Boehme-Jacob«Avant de savoir ce que je sais maintenant parfaitement, je pensais, comme tant de personnes, qu’il n’y avait d’autre véritable ciel que celui qui, comme un cercle bleu, environne le monde, très haut au-dessus des étoiles, pensant que Dieu avait là une existence séparée…

Je devins très mélancolique et découragé et ne pouvais trouver aucune consolation dans les saintes écritures, quoique je connusse la Bible du commencement à la fin.

Quand mon esprit, plein de tristesse, ardemment et comme se mouvant dans une grande tempête s’éleva jusqu’à Dieu, emmenant avec lui tout mon cœur et toute mon âme, avec toutes mes pensées et toute ma volonté, et quand je décidai de ne pas cesser de rechercher l’amour et la miséricorde divine jusqu’à ce que la bénédiction de Dieu descende sur moi -c’est-à-dire jusqu’à ce qu’il illumine mon âme avec l’Esprit Saint, de manière que je puisse comprendre Sa volonté et me défaire de ma douleur, alors la lumière de l’esprit traversa les nuages.

 

 

 

Tandis que, dans mon zèle, je luttais puissamment contre les portes de l’enfer, alors, après quelques durs combats avec les puissances des ténèbres, ma conscience traversa les portes de l’enfer et pénétra même jusqu’à l’essence la plus secrète de la Divinité nouvellement née, où je fus reçu avec un grand amour, semblable à celui qui est offert par un jeune marié à son épouse bien-aimée.

Aucun mot ne peut exprimer la grande joie et le triomphe dont je fis alors l’expérience, pas plus que je ne puis comparer ce bonheur à rien d’autre, si ce n’est l’état dans lequel la vie naît au milieu de la mort, ou à la résurrection d’un défunt.

Tandis que j’étais dans cet état, aussitôt mon esprit comprit tout et reconnut Dieu dans toutes choses, même dans les herbes et dans les plantes et il sut ce qu’est Dieu et ce qu’est Sa volonté».

 

 

JACOB BOEHME (1575-1624)

 

Sur le bonheur (extraits)

Dans son ouvrage intitulé «L’Éthique», Baruch Spinoza, philosophe juif du dix-septième siècle, montre très bien en quoi le matérialisme est incompatible avec le bonheur car, selon ses propos, tout individu qui nie l’existence de l’âme et de Dieu ne peut trouver la joie de vivre.

 

 

Baruch Spinoza2«Voici conclu ce que je voulais mettre en évidence au sujet de la liberté de l’âme et de son pouvoir sur les affections.
Il en découle clairement à quel point l’homme sage est hautement supérieur à l’ignorant et combien il dépasse en puissance celui qui est seulement guidé par ses appétits physiques.

Car l’ignorant n’est pas simplement conduit par des causes extérieures, ici et là, en de multiples voies, sans atteindre jamais la vraie paix de l’âme, mais il vit aussi dans l’ignorance de lui-même, de Dieu et de sa création et, quand cesse sa souffrance, son existence cesse aussi.

 

Tandis que, de son côté, l’homme sage, en tant que tel, éprouve difficilement Baruch Spinozaquelque trouble en son cœur et jouit toujours de la vraie paix de l’âme.
Même si la route que j’ai indiquée comme conduisant à l’âme semble très difficile, encore peut-elle être trouvée.
Et si elle est parfois difficile à trouver, c’est parce qu’elle est trop peu souvent cherchée.
Mais comment pourrait-il se faire, si le salut reposait à portée de main et pouvait être trouvé sans grand dommage, qu’il soit négligé par presque tous ? En cela, tout ce qui est noble est aussi difficile que rare».

 

 

BARUCH SPINOZA (1632-1677)

 

 

La Loi et la Nature

QumranDans l’Évangile Essénien, il y a un passage que j’ai toujours trouvé d’une profondeur et d’une Beauté extraordinaire et qui dit :
« Je te remercie Seigneur, de nous avoir donné la Loi…. »
Je sais… A lire, comme ça, on ne trouve pas grand chose d’extraordinaire, n’est-ce pas ? Il s’agit d’une simple phrase, à peine poétique et, ma foi, on est en droit de se demander pourquoi certain (dont je) sont profondément émus en la lisant. Pourtant, il y a ce qui est écrit, et ce à quoi on peut se « brancher » tandis qu’on lit ce qui est écrit. Et c’est ce qui est ressenti tandis qu’on est branché et qu’on lit cette phrase, qui est profondément Beau, c’est la Beauté à l’état pur.

 

 

 

Qumran2Hélas ! Les mots ne peuvent rendre hommage à la Vérité, à ce qui est vécu par celui et celle qui est branché sur le Courant Illimité Divin. Un ancien spot publicitaire disait, il me semble : « Nous vous devons bien plus que la lumière. »
Mais il n’est pas aussi beau et émouvant que ce « spot Cosmique » :
« Mon Enfant, Je te dois bien plus que la Vie ! »

Mais qu’est-ce que « La Loi« , au juste ? On dirait une chose mystérieuse, magique, une chose qui se situe au-dessus de tout, qui pardonne tout, qui est pur amour et pure compassion, non pas l’amour et la compassion des hommes mais celle d’un pouvoir démesuré « sur lequel rien ne peut être dit » et dont la Puissance repose sur une forme de Bonté qui n’est pas accessible à l’entendement. « Je te remercie, Seigneur, de nous avoir donné la Loi… »

 

 

 

aimer l'amourAlors je vais faire ici une chose folle, indécente et des plus osées : Je  essayer, pour vous et ici, de vous donner une traduction approximative de la Beauté.
Inutile de dire que ce n’est rien moins que peu probable, mais nous allons tout de même nous y frotter, parce que nous aimons ce que nous sommes et « Cela » que nous sommes en train de Devenir. J’ai écrit « nous aimons ce que nous sommes » et c’est là le cœur de la traduction, en fait ! Ceux qui étaient sur le forum Psukelogos depuis le début (2006), connaissaient déjà les thèmes récurrents de la psy éso : Ne pas mentir, ne pas tricher, ne pas se faire plus moche ou plus beau, être soi-même, ne pas se trahir, ne pas se prostituer, apprendre à aimer ce que nous sommes avant de prétendre aimer les autres ou même évoluer, etc.

 

 

 

 

L‘un de mes anciens articles se nomme : « Aimez-vous Dieu ? », il me semble… Même si cela échappe encore à quelques-uns, les sujets évoqués, ici ou ailleurs, le sont selon une progression bien particulière et ne sont en rien le résultat du hasard ou d’un caprice personnel. Les thèmes abordés s’enchaînent selon une logique spirituelle dont l’homme ne se souvient presque plus mais qui est encore capable de toucher une chose, en lui, qui n’est ni sa tête ni même son cœur, les deux étant depuis longtemps passés sous la cruelle tutelle de l’ego et du Moi-Idéalisé. Voila à présent l’explication intellectuelle de la phrase Essénienne. Selon la Loi, lorsqu’une chose créé en esprit et dans le Mental Divin (Le Tout-Esprit) cherche à s’exprimer, elle doit le faire selon sa propre nature. L’expression de cette nature devient alors supérieure à toutes les autres lois universelles.

 

 

 

Lois universellesAutrement dit, quoi que nous soyons, quelle que soit la manière dont nous jugeons sans aucun amour et sans aucune compassion, ce que nous sommes actuellement, tandis que nous nous exprimons selon ce que nous sommes vraiment, nous devenons la plus haute Loi de l’Univers et aucun pouvoir, au-dessus de nous ou en dessous de nous, n’est capable de conditionner cette expression. C’est parce que nous n’acceptons pas toujours ce que nous sommes et faisons que nous rencontrons une adversité qui ne fait que « répondre » à notre ordre de ne pas être libre. Car notre liberté implique évidemment la décision de ne pas être libre et de nous exprimer faussement, si cela nous chante…
Comprenez-vous ce que cela veut dire et ce que cela implique ?
Imaginez-vous les implications de tout ceci ?

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)