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Articles divers que le lecteur pourra kindleliser s’il le désire.

Puisque nous sommes l’esprit

 

Qui suis-jeLa question « Qui suis-je ? » raisonne dans l’univers depuis les premiers balbutiements de la conscience humaine. La psychologie ésotérique apporte désormais une réponse définitive :

« Tous, sans exception, nous sommes l’esprit ! »

Il peut sembler prétentieux de prétendre pouvoir apporter une réponse « définitive » ou exhaustive à cette terrible question existentielle.

Pourtant, si on y regarde de plus près, ce que nous semblons être, se résume à des pensées, des émotions, des souvenirs, des goûts, etc. Toutes choses faites d’esprit, puisque « Tout est esprit » !

 

 

 

esprit ouvert3Très bien, mais cet esprit dont tout est fait, y compris l’homme, qu’est-il ? Eh bien… Il est… l’esprit ! C’est à dire tout et rien, un potentiel à être et à exister proprement fabuleux puisque illimité et éternel. L’homme étant ce qu’il pense en son cœur, c’est à dire se créant une individualité consciente qui est fonction de ses processus mentaux et de l’état d’esprit général qu’il choisi d’incarner, il peut, à l’instar de l’esprit, être tout, rien, ce qu’il souhaite ou désire, indépendamment de toute règle ou loi particulière.

Il suffit à l’homme d’ajuster son esprit à ce qu’il souhaite être et manifester pour le devenir ! Mieux encore : lorsqu’il devient « autre chose » que ce qu’il a été précédemment, il « efface » toute forme et trace d’antériorité ! Cela signifie que puisqu’il n’est plus celui qu’il était, s’il a fait une erreur, une fois qu’il a changé, il n’existe alors plus personne ayant fait d’erreur réclamant d’être compensée !

 

 

 

liberte (2)Comprenez-vous vraiment ce qui vous est présenté ici et que vous ne trouverez ainsi présenté nulle part ailleurs sur le Web francophone ?
Mesurez-vous vraiment tout ce qu’implique ce que vous venez de lire, là, maintenant ? Les Mages Rouges, les psychologues ésotériques de jadis, d’aujourd’hui et de demain, se joignent simultanément à moi pour vous le souhaiter ardemment ! Vous êtes ce que vous pensez, vraiment !

Essayez de percuter enfin et réjouissez-vous ! Il serait judicieux que cet article donne lieu à un débat qui sera très certainement enrichissant pour tous Smile

Qui veut commencer et donner son ressenti ou son avis sur ce qui vient d’être présenté ici ? Songez au fameux « karma » ! Sur Facebook, si possible.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Pourquoi les femmes…

Quelle femme ne s’est pas interrogée, un jour, en se demandant : « Mais qu’est-ce que j’ai pu bien faire ou dire pour que celui-là décide de me plaquer brusquement, une fois encore ? » (ou quelque chose du même genre.) En effet, pourquoi les hommes réagissent-ils comme ils réagissent ? Celle là, la seconde en gras, c’est la question posée par beaucoup de femmes et qui, bien évidemment, ne reçoit jamais de réponse, et pour cause ! Une question mal posée ne reçoit jamais de réponse.

Au mieux ! Ou alors de très mauvaises, voire dangereuses pour l’équilibre au sein du relationnel. La bonne façon de formuler une question ne doit jamais partir de l’extérieur et des autres, surtout si elle nous concerne ! Puisqu’elle nous concerne, elle doit « démarrer » de la personne concernée, c’est à la fois simple et évident. Voici donc la bonne formulation SI on est une femme :

« Pourquoi les femmes réagissent-elles comme elles réagissent ? »

 

 

 

 

femme possessiveEssayons de le découvrir ensemble, sans perdre de vue le fait que, pour le moment, notre étude se concentre sur la femme mais qu’il va s’en dire que les mêmes interrogations et modèles de réponses peuvent ensuite être proposés en ce qui concerne la gente masculine. Le besoin de posséder, la peur de perdre et le désir de faire durer ce qui nous paraît le plus générateur de plaisir, sont les principales raisons qui poussent de nombreuses femmes à se comporter comme si chaque rencontre sentimentale devait absolument être « la seule et la bonne. »

Cet état d’esprit engendre un rayonnement dans l’aura qui est très puissant. Si puissant que même l’homme le plus matérialiste et obtus peut presque le « palper. » Considérez que c’est comme cette faculté qu’ont les femmes de « sentir » qu’on les regarde avec désir, même le dos tourné, vous voyez ? C’est instinctif.

 

 

 

 

femme-belles-homme-peurPour l’homme, c’est pareil : il sent immédiatement le rayonnement d’une femme qui possède chaînes et cadenas dans son sac à main ! D’un point de vu historique, la femme est pleinement responsable de cet état de fait. Disons qu’elle est la première à avoir dégainé l’épée. Au départ, il était prévu que les relations amoureuses soient un puissant vecteur d’échange énergétique (info + force vitale) par le biais duquel les Soi (Naturel et Divin) pourraient expérimenter un maximum de situations et expériences vivantes porteuses de connaissance. En somme, nous aurions dû conserver cette liberté de changer de partenaire, aussi naturellement et sans faire de manière, que s’il se fut agi de changer de chemise ou de sac à main.

 

 

 

Homme-Dieu2Puis ce Dieu déguisé en homme et qui s’était complètement oublié « en tant que Lui », s’est mis à connaître la peur irrépressible de ne pas obtenir le plaisir nécessaire à sa survie. Cette peur était née de la prise de conscience extraordinaire du manque de contrôle quasi total sur les évènements terrestres et extérieurs. En somme, Dieu dû s’adapter au fait inconnu jusque là qu’une infime partie de Lui, impliquée dans le processus incarnatoire, ne supportait pas l’idée de ne pas posséder le contrôle absolu sur son milieu ambiant (la vie incarnée sur Terre, donc.) Bien sur, les choses sont plus complexes que cela, car c’est l’esprit qui contrôle tout, mais comme l’homme a perdu le contrôle de son propre esprit, alors il ne contrôle plus rien du tout, C.Q.F.D !

 

 

 

homme-femme ententeEn vertu de leur polarité, leur sexe et donc leur manière de réagir aux stimuli issus de la chair, l’homme et la femme mirent rapidement en place des mécanismes de défense qui se transformèrent rapidement en mécanismes de domination. L’une, réagissant selon sa nature, chercha à « maquiller » la vérité en instaurant des mécanismes psychologiques dont le but était de contrôler malgré tout, cela en ôtant à « la partie adverse » (l’homme, donc) sa propre liberté d’action et de conscience.

L’autre, réagissant selon sa propre nature, chercha à nier la vérité, cela en « trompant » la vigilance de la partie adverse (la femme) et en agissant en secret au nez et à la barbe de « l’ennemie. »  Ne cherchez pas d’autre origine -purement psychologique s’entend- à la Franc-Maçonnerie, c’est à dire à cette volonté typiquement masculine de construire EN SECRET un monde dans lequel la femme n’aurait plus « ce pouvoir démoniaque de fausser le Jeu par son état d’esprit à la fois superficiel et rétrograde….(…) «  (Je cite de mémoire, ne m’engueulez pas, c’est pas moi qui dit ça, hein, alors Camembert !)

 

 

 

hommes et femmesC‘est pour cela que, encore de nos jours, la femme cherche à jouer de finesse et déploie des trésors d’ingéniosité pour faire croire à l’homme qu’il ne peut plus, désormais en couple, se comporter comme s’il était tout seul et qu’il doit donc rendre des comptes et se considérer comme étant la propriété exclusive de la femme jouissant de la relation en cours. C’est aussi pour cela que, même de nos jours, l’homme fait mine « courageusement » (sic) de se soumettre à la vindicte de sa dominatrice de femme, mais trompe sa vigilance en secret et en tire une jouissance peu commune ! Au point qu’il préfèrera tromper sa femme en cachette que de se remettre célibataire, car dans le premier cas, il se donne l’impression très« virilisante » qu’il est possible pour lui de NIER la vérité (qu’on ne contrôle rien.) Vous avez suivi jusque là ? Je vous avertis, je n’irais pas en arrière pour rechercher les trainards !

 

 

 

Donc, prenons le cas d’une jeune femme qui vient de terminer brusquement une relation qui, ma foi, s’annonçait sous de bons auspices. Tout allait bien depuis deux jours et soudain, sans crier gare (ni « Arrêt de bus ! ») : Patatras ! (bruit approximatif.) La relation cesse encore plus brusquement qu’elle n’avait débutée et c’est, bien évidemment, « à cause de ce fumier de mec ! » (m’ouarf !) Il est bien connu que dans une relation à deux, seul l’un des deux porte l’entière responsabilité de la qualité et de la durée de cette relation ! (Qui a pouffé ?) Sacrebleu ! Mais que s’est-il passé ? (vous sentez le suspens insoutenable, vous le sentez, dites ?)

Il s’est passé ce qui se passe depuis l’aube des temps où l’homme et la femme ont commencé à s’intéresser à cet endroit de leur anatomie qui sert normalement à faire pipi ! Rien de bien mystérieux si l’on connaît et la nature humaine, et la manière dont fonctionne l’esprit de cette asperge sauvage mal dégrossie qu’est l’être humain Smile

 

 

 

 

recherche plaisirAu départ, la recherche de plaisir et de sa satisfaction naturelle, ont fait que les deux parties (femme/homme) étaient tellement concentrées sur ce qu’elles désiraient et sur le moyen le plus rapide de l’obtenir, qu’elles étaient bien incapables de capter quoique ce soit d’autre que les fébriles activités de leur étage sensuel ! Une fois la satisfaction du premier désir (le plus puissant) obtenue et les prémisses d’un « train-train » quotidien faisant mine de s’installer, les deux parties commencent à être en mesure de capter l’aura de l’autre. Et personne ne dis ici que ce qui est alors capté sera ensuite correctement interprété ! Mais que capte l’homme à ce moment ? Il capte surtout ceci :

« Oh pauvre de moi ! Je suis encore tombé sur une folle qui va m’enchaîner et m’enfermer dans son placard à balai et me sortir que pour abuser de mon corps d’athlète ! Il faut vite que je trouve un moyen plus ou moins original et élégant pour m’en débarrasser au plus tôt, car sinon, je n’ai plus qu’à me faire graver son nom sur la B… ! »

(Notez le ton, le rythme, le souffle et le côté poétique incontestable de cette pensée masculine !)

Mais que capte la femme à ce même moment ? Elle capte surtout ceci :

« Ah ben voilà ! Je suis encore tombée sur un mec qui désirait juste me B… comme une Grosse S…. -que je dois être d’ailleurs- puis me jeter ensuite comme une M…. ! Je n’ai pas de chance avec les mecs ! Pourquoi réagissent-ils ainsi et qu’est-ce que j’ai fais de mal pour mériter d’être traitée de la sorte ? »

 

 

 

Ces deux manières de réagir, et qui ne doivent pas être très éloignées de la vérité, démontrent que dans les deux cas, les intéressés sont à côté de la plaque et ne comprennent absolument rien à ce qui leur arrive vraiment. Aucun des deux protagonistes n’est capable de réaliser qu’il est « agi » mais n’agit pas, qu’il ne fait en somme que réagir à des mécanismes mentaux qui, désormais, lui échappent totalement et contrôlent sa vie en ses lieu et place.

Une preuve supplémentaire que l’être humain ne contrôle RIEN, même pas ses pensées et encore moins les émotions qui en résultent. J’imagine que ce sujet est assez proche de ce que vivent les gens régulièrement, ou de ce qu’ils ont vécu, jadis ou… Vivront bientôt, pour les plus jeunes. Il me paraît donc logique de vous proposer un débat à la suite de cette lecture Smile
L’idée vous tente ? Chiche !

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Pour en terminer avec l’effet miroir

effet miroir3Ceux qui abordent en touristes spirituels (et ils sont légion) les arcanes sacrées de l’ésotérisme, buttent très rapidement sur certains concepts psychologiques qui réquisitionnent toute leur attention. Non pas qu’ils buttent dessus par manque d’instruction ou de capacités mentales, mais plutôt parce que certains sujets de la psychologie ésotérique, tombés dans le domaine public d’un ésotérisme de Supermarché, leur permet de SE MENTIR encore mieux ou avec quelque efficacité technique supplémentaire.Il en va ainsi du fameux « effet miroir. » Vous savez, en gros, c’est cette idée qui énonce que : « Si tu vois tel défaut en moi, c’est que tu le portes en toi et le projette sur moi ! » 

Cet effet miroir est donc on ne peut plus PRATIQUE pour échapper, sinon à ses propres responsabilités, du moins au regard perçant de certaines personnes auxquelles on ne la fait pas. En effet, qui osera ensuite émettre une critique, sachant que l’autre détient la botte secrète du « C’est celui qui dit qui l’est » ?

 

 

 

effet miroir2Au départ, ce sujet de l’effet miroir devait servir ponctuellement à expliquer certaines ruses que l’ego transmet au Moi-Idéalisé. Par exemple, une personne qui se ment et refuse de se voir en face, sera forcée, par son Être Intérieur, à ne rencontrer que des gens qui expriment d’une manière exagérée ou outrancière, le même défaut que cette personne désire voiler ou carrément éluder.   Le Soi (Naturel ou Humain) désire généralement apprendre et comprendre de quoi il retourne.

S’il n’est pas trop têtu (ce qui arrive parfois), il ne craint rien ni personne et ne peut donc éviter une preuve sous le prétexte qu’elle pourrait lui déplaire. Par contre, lorsque un Soi a décidé une chose, qu’il est sur de lui, il devient largement improbable de réussir à le faire changer d’avis.

 

 

 

Donc, si un Soi décide que son extension (la personnalité terrestre) doit se débarrasser d’un trait de caractère quelconque, il lui mettra une pression extérieure et intérieure pas possible dans l’espoir de la voir se réformer vraiment. Si la personnalité opte pour le mensonge et le déni (9 cas sur 10), le Soi n’aura d’autres recours que de se servir de ses facultés psychiques relativement étendues, pour faire intervenir, dans la vie de la personne terrestre, des agents karmiques externes, comme on disait avant, à savoir des personnes qui entretiennent le même trait de caractère mais en plus exagéré.

Le Soi espère que sa personnalité va se faire B… avoir (lol) et sera forcée de se concentrer sur le problème au lieu de le nier ou de le fuir. En effet, critiquer autrui est chose aisée et semble nous concerner en rien, n’est-ce pas ? Manque de bol, cela revient à se faire avoir en beauté, en fait !
Quelques explications s’imposent.

 

 

 

regarder en faceQue désire le Soi, au départ ? Que la personne physique accepte de regarder en face un trait de caractère qui peut lui nuire ponctuellement dans sa mission terrestre (et non pas dans l’absolu, merci d’en prendre note.) Puisque la personne fuit ses responsabilités, le Soi lui fait rencontrer -presque exclusivement- des gens qui entretiennent le même état d’esprit morbide, sachant que la personne ne résistera pas à l’envie de dénoncer au-dehors un problème qu’elle s’ingénie à cacher au-dedans.

Le Soi emploi donc une forme de ruse psychologique pour obliger la personne à VOIR et à DÉNONCER… son propre schéma ! Pas mal, non ?

 

 

 

effet miroirÉvidemment, les personnalités, mais pas sans exceptions (on verra ça plus loin) tombent dans le panneau et se font rouler de première !
Donc, le fameux «effet miroir» est en fait une astuce psychologique pour pousser une personne à dénoncer, à l’extérieur, une chose qu’elle ne pourra plus, par la suite, conserver à l’intérieur. Ce qui est dénoncé est dénoncé et le subconscient n’aura alors d’autres recours que de faire remonter à la surface le problème occulté préalablement, et ce, afin qu’il soit traité par la conscience de veille ou objective (le «moi» conscient ou objectif.)

Si une fois remonté à la surface (du conscient), la personnalité choisit de poursuivre dans le déni, la souffrance apparaît alors et devient exponentielle ou proportionnelle au degré de résistance ou de déni. Il s’agit là de l’expression d’une simple Loi Spirituelle, et non de quelque «punition karmique», comme le croient encore tant d’infortunés étudiants d’un ésotérisme bon marché.

 

 

 

karma7A présent, voyons ce qu’il en est pour toute personne qui ne tombe pas sous le coup de son propre «karma» (comprendre «de sa façon de penser et de vivre en fonction de ce qu’elle pense») ou, si vous préférez, pour les gens qui connaissent leurs limites, les acceptent de bonne grâce et tentent même de se réformer à leur propre rythme. Leur Soi n’en attend pas plus, d’ailleurs. Outre les gens concernés par l’effet miroir, il existe donc deux autres catégories d’individus : ceux qui acceptent leurs limites et en reconnaissent l’existence en eux, et ceux qui n’ont pas besoin de les accepter puisqu’elles n’existent pas ou plus, en eux.

 

 

 

perfectionAttention ! C’est ici qu’il faut faire montre de discernement et d’intuition !
Je ne dis pas qu’il existe des gens «parfaits» qui n’ont plus aucunes limites humaines; je dis simplement qu’il existe des gens qui sont devenus parfaitement ce que leur Soi attendait d’eux !
Merci de savourer la magnifique nuance ! Smile  Autrement dit, nous avons d’un côté des gens qui sont au courant de leurs limites (uniquement celles qui gênent l’expression de leur Soi) et qui sont «en cours de traitement», si je puis dire, puis ceux qui n’ont en eux aucune des limites qui pourraient poser problème à leur Soi et pour cette vie donnée.

Ils ont d’autres limites, certes, mais ces dernières sont secondaires ou acceptables et ne peuvent en aucune façon les faire chuter durant leur présente trajectoire terrestre. Est-ce assez clair exposé ainsi ?

 

 

 

Pour en terminer avec le sujet, certains vous diront que les Maîtres font exception à la Règle (de l’effet miroir) et qu’ils sont capables de voir un défaut chez les autres sans le posséder eux-mêmes… Cette façon de penser, en plus d’être typiquement enfantine ou immature, ne rend pas service à ceux désignés sous le vocable de Maîtres, car elle les place à un niveau qui les éloignent de leurs frères en humanité, ce qui est exactement l’inverse de leur but premier ! Pour commencer, les Maîtres ne voient pas «les défauts» chez autrui mais uniquement les traits de caractère qui pourraient leur nuire au cours de leur Quête personnelle.

Bien sur, il existe des déviations spirituelles qu’il vaut mieux apprendre à réduire ou mieux, à supprimer carrément. Mais le terme «défaut» est un mot pratique qui désigne ce qui, en nous… Agace surtout les autres !

 

 

 

Observez bien autour de vous et écoutez bien les attentes frustrées de vos proches et vous verrez que c’est exactement ça. «Tu ne fais pas assez ceci» ou tous les «Tu fais trop cela», vous connaissez ? Or, ce qui agace autrui peut s’avérer être notre don le plus précieux pour cette vie et provenir en droite ligne d’un Attribut Divin offert au Soi, c’est à dire ce quelque chose qui se réincarne de vies en vies, créant à chaque fois une personnalité différente. Les Maîtres sont devenus capables de percevoir ce qui pourrait gêner l’expression du Soi en eux. Du même coup, ils sont devenu capables de porter le même Regard objectif sur autrui.

 

 

 

Rien de plus simple à comprendre, en fait. Si je suis capable de réparer ma voiture à tous les coups et pour n’importe quelle panne, alors je serai capable de réparer la voiture de mon voisin si elles est exactement du même modèle. Vous voyez ce que je veux dire ? Les Maîtres passent souvent pour des êtres exceptionnels alors qu’en réalité, ils sont passés Maîtres dans l’Art de ne plus résister à leur Dieu, et c’est cela qui est exceptionnel !  Smile

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Réactualiser nos mensonges

mensonge-femmeEssayons de comprendre pourquoi le mensonge existe…
A quel moment un être humain ressent-il le besoin de mentir ? Lorsqu’il pense que la vérité pourrait se révéler cruelle, blessante ou entraîner quelque terrible conséquence, non ? Sans nul doute. Mais est-ce toujours le cas ?

Est-il possible que la peur de souffrir pousse les êtres à mentir «par défaut», c’est-à-dire à transformer le mensonge et une manière pratique de ne pas (trop) souffrir ? Car dire que la peur de la vérité pousse au mensonge ne suffit pas à expliquer les faits. Il faut préciser aussi que la vérité devient, aux yeux des gens et au cours des siècles, synonyme de punition ! Le mensonge devient donc une seconde nature, les années passent, et l’être humain excelle chaque année un peu plus dans l’art de cacher la vérité aux autres.

 

 

 

 

mentir2Et il y parvient d’ailleurs si bien qu’avec le temps, les autres lui renvoient le reflet de son manque de probité morale, et voici notre pauvre humain qui commence à croire en ses propres mensonges ! Il finit par s’abuser lui-même et ce qui était tout d’abord un acte conscient et donc, volontaire, devient réaction inconsciente puis… Nouvelle vérité ! En clair, pour certains êtres, le mensonge est devenu leur seule réalité, leur seule vérité connue et surtout acceptable. Soyons logique : il ne peut être question de mensonge sans qu’il y ait conscience de l’acte. Il n’est pas possible, en temps ordinaire et pour un être normalement constitué, de « mentir inconsciemment. »

Pour mentir, il faut cacher la vérité. Pour cacher la vérité, il faut la connaître soi-même, être le seul à connaître le «lieu psychologique» (état d’esprit) dans lequel la vérité repose.

 

 

 

 

Le mensonge mensonge2est-il le véritable problème ? Oui et non…(J’adore écrire ça !) Mentir dans le sens de cacher sciemment la vérité, est encore un moindre mal. Surtout si cela est ponctuel et se justifie quelque peu. Mentir en croyant devoir le faire par peur de la vérité, est déjà plus gênant, car l’individu commence alors à perdre une partie de sa liberté d’expression ou «de conscienceMais mentir sans penser à vérifier si ce mensonge est toujours d’actualité, voilà bien le comble de la bêtise humaine ! Mais voici que je m’explique sur ce dernier point.

 

 

 

 

mensonge-coupleNous avons dit que le mensonge est issu de la peur de la vérité, peur elle-même issue de ce que peut impliquer le seul fait de dire la vérité à qui ne désire pas l’entendre ou à qui n’est pas préparé à la recevoir (en gros.) Ici, le mensonge est un moyen non pas de contourner la vérité mais d’éviter de devoir «en payer le prix.» Lorsque nous étions petit, on nous invitait à dire la vérité. Le mensonge représentait «le mal» et la vérité «le bien» (ben tiens !) Le problème, c’est que, en récompense de notre zèle à satisfaire aux attentes de nos géniteurs ou professeurs, nous écopions très souvent d’une solide remontrance, d’une engueulade, d’une punition voire d’une bonne fessée.

Autant dire que très jeune, nous sommes arrivé à la conclusion logique que pour dire la vérité, il fallait soit être fou, soit être devenu masochiste !

 

 

 

Soi NaturelC’est vers cet âge et dans chacune de ses vies terrestres (ou extensions) que le Soi humain ou «Soi Naturel», commet l’erreur d’associer la vérité à une forme ou une autre de souffrance. Et qui aime souffrir ? Surtout si cela peut être évité ! Mais nous ne sommes plus des enfants, nous sommes majeurs et responsables de nos actes, à présent (quoique…) Surtout de ceux commis en toute connaissance de cause et… D’effet !

Voici ma question et j’espère que vous allez sourire à son énoncé : Pouvez-vous jurer que les mensonges « justifiés » d’hier sont toujours aussi nécessaires ou vitaux aujourd’hui ? Présenté plus sobrement, avez-vous pensé à contrôler s’il est toujours aussi utile et donc efficace de mentir à tout bout de champs ?

 

 

 

 

Pour étayer mon propos, je prends souvent l’exemple du mot écrit et abandonné ensuite dans le tiroir d’une commode… Imaginez…

Vous écrivez sur une feuille de papier :               « Aujourd’hui, je suis très con ! » Puis vous glissez ce mot dans un tiroir d’une commode qui se trouve dans un coin obscur de votre grenier. Vingt ans après, vous ouvrez le tiroir et retrouvez ce mot. Selon vous, qu’est-ce qui sera écrit sur la feuille : « Il y a vingt ans, j’étais très con», croyez vous ? Non, n’est-ce pas ?

Il en va de même pour notre subconscient, qui ne tient pas compte du temps qui passe et enregistre tout au présent.

 

 

 

 

mentir-femme croise doigtsSi vous en arrivez à la conclusion qu’il est utile de mentir (étant jeune) alors le subconscient considérera cette utilité comme absolue et la représentera à chaque instant comme une vérité incontournable. Une vérité PRÉSENTE.
Et cela jusqu’à ce que vous « enregistriez » volontairement une programmation mentale opposée ou ayant le pouvoir de compenser ou d’annuler la première. Alors voici que je vous repose la question qui fâche :

« Si vous mentez toujours, et en supposant que vous en soyez toujours conscient, avez-vous pensé à contrôler régulièrement si vos mensonges sont toujours d’actualité ? »

Je vous laisse répondre à cette interrogation des plus viriles ! Smile

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Amoralité de l’esprit Divin

Mage Rouge-femmeVoici un sujet qui tient tout particulièrement à cœur aux Mages Rouges et donc, aux psychologues ésotéristes, leurs plus fidèles représentants charnels. Un minimum de subtilité mentale sera réclamé ou mieux, obligatoire, pour ceux et celles qui vont lire ce sujet et surtout, y participer par leurs commentaires. Cette subtilité est en fait un mélange de logique, de bon sens, d’humour et de discernement, rien de plus. Il n’est pas question d’instruction mais d’intelligence. Procédons avec rythme et méthode, avec ce rythme et cette méthode qui me sont chères, en tant que psy éso. Il est dit que « Tout est fait d’esprit et que cet esprit est Dieu. » De fait, il y a fort à parier que cet esprit soit… Divin !

Mais attention : le mot « Divin » est pris ici dans un sens un peu différent de celui qu’on lui accorde généralement. L’esprit est Divin pour la bonne raison que « Dieu est esprit » et… Qu’il n’existe rien d’autre que l’esprit.

 

 

 

La Divinité de l’esprit se réfère donc à son caractère unique et absolu, et non à une qualité quelconque. L’esprit n’est pas Divin dans le sens de merveilleux, absolument pur, parfait, etc. Autrement dit, il n’y a rien de religieux ou de moral en l’esprit ou en Dieu. L’esprit n’est pas « gentil » ou « juste »; il n’est pas non plus « pur » dans le sens usuel de ce terme. L’esprit étant la seule chose qui soit, il serait difficile de le comparer à quoi que ce soit de « mieux » ou de « moins bien« , c’est évident ! Le Divin est parfait dans le sens où il est… Parfaitement lui-même ! Voire parfaitement unique. Le seul à Être.

Il ne peut être ni amélioré, ni divisé, ni fragmenté ni même étiré ou compressé. On ne peut pas non plus le rendre autre chose que ce qu’il est déjà, depuis toujours et à jamais. En clair, l’esprit est… Amoral ! Il ne fonctionne pas en concordance avec nos convictions et nos idées sur ce qui est « bien » ou « mal. »

 

 

 

esprit-lumineuxL‘esprit n’est pas « lumineux » dans le sens usuel de ce terme; il est Lumineux parce qu’il rayonne son propre pouvoir et qu’il est « La Lumière du Monde », la seule chose qui puisse nous éclairer vraiment. La seule chose qui soit, donc. « Tout est fait d’esprit et par l’esprit. » L’esprit ne se scinde pas et ne se fractionne pas pour créer l’univers : il le fait mentalement ! Le Mental Divin est la somme spirituelle Cosmique, le grand cerveau central qui imagine toutes choses et crée toutes choses « en esprit et dans son Mental. » Tout comme lorsque vous pensez et imaginez un paysage vous ne créez pas les décors avec votre structure mentale, de même, l’esprit crée toutes choses sans pour autant employer sa structure, car « il pense l’univers » plutôt qu’il ne le construit vraiment avec son essence. C’est la raison pour laquelle l’univers matériel est en réalité PURE ÉNERGIE.

 

 

 

Si vous préférez, les particules d’esprit ne forment pas vraiment la matière, elles l’imaginent, la pensent, et cette concentration mentale ainsi que cette visualisation sont si puissantes, que l’univers nous semble aussi vrai que… Nous-mêmes ! En fait, ni l’univers ni nous autres, humains, existons autrement qu’en esprit ! Tous les exemples employés pour essayer de comprendre l’esprit ne sont que de pâles tentatives toujours avortées pour expliquer…l’Inexplicable. Il n’existe qu’une seule façon pour comprendre comment Dieu-esprit crée toutes choses : observez-vous penser ; Dieu fait exactement la même chose mais en infiniment plus grand et… En beaucoup mieux ! Mais revenons à l’amoralité de l’esprit, sujet presque aussi difficile à capter, même intuitivement, que la Nature de l’esprit lui-même.

 

 

 

DiviniserLes gens associent d’une manière risquée la Divinité (ou l’esprit) à des concepts religieux, moraux et, en un mot, à ce qui est beau, juste, noble, généreux, compatissant, etc. Même ceux qui se prétendent « Athées »reconnaissent quelquefois que s’il existait un Dieu, il serait « nécessairement » tel une sorte de « Bon père aimant » attentif aux caprices de ses créatures. Du moins devrait-il être ainsi, s’il se prétend Dieu (sic.) Il est évident, pour qui a les yeux ouverts et n’a pas peur de s’enrhumer le Regard, que Dieu ou l’esprit n’est pas tout à fait tel que le projettent les êtres humains… Non pas qu’il ne soit pas « bon » ou « compatissant« , mais plutôt semble-t-il être en dehors de ce genre de considérations relatives à l’expression débridée de notre Moi-Idéalisé.

L’esprit ou Dieu n’est ni bon, ni mauvais, ni juste, ni injuste et il n’est en fait ni ceci, ni cela (Neti, neti, en sanskrit) Dieu-l’esprit n’est pas soumis aux contraintes de la dualité, en clair.

 

 

 

entropomorphismeSoyons un peu logique : Si Dieu était « bon« , alors, selon sa propre Loi, il devrait être « mauvais » également ! (« Tout est double ».) En n’étant RIEN Lui-Même, il peut donner naissance (spirituelle) à Toutes Choses sans en être affecté le moins du monde. D’ailleurs, il donne chaque jour naissance à tout et… à n’importe quoi ! Si vous en doutez, regardez autour de vous et vous verrez ! Bon, très bien, tout est fait d’esprit, l’esprit est Dieu et tout est engendré « en esprit » et donc mentalement, c’est-à-dire que l’univers est pensé, pas réellement créé. Pour ça, c’est bon, on a compris.

Mais ce qu’on ne comprend pas encore, c’est… Qui ou Quoi « pense » ainsi en esprit et dans son mental ? Car si l’esprit est Dieu, alors « Cela » qui se sert de l’esprit doit nécessairement être autre chose que l’esprit, être distinct de lui afin de s’en servir pour « rêver l’univers » Vous suivez le raisonnement ?

 

 

 

 

architecteDu coup, Dieu-esprit est bien l’Agent Créateur (ou Formateur) de toutes choses, mais il n’est pas le Scénariste ! Qui ou Quoi se sert de l’esprit Divin pour penser l’univers ? Ce ne peut être Dieu, car lui est occupé à créer, vous vous souvenez ? Dieu ne peut être à la fois le Penseur et la Pensée. Quelque chose d’autre se sert de l’esprit pour pondre un Super-Scénario Cosmique au fur et à mesure que celui-ci se déroule sous nos yeux ébahis. Voilà qui fait rêver, non ? C’est le cas de le dire, oui, il y a largement de quoi Rêver, car il y a tout l’univers et les dieux à rêver ainsi ! Cela qui se sert de l’esprit pour créer mentalement est apparemment loin de nos considérations humaines, c’est le moins que l’on puisse dire ! Ce Grand Penseur est on ne peut plus amoral. Tout comme son esprit, en somme. Cet esprit qui lui sert à Orchestrer l’Univers visible ET invisible (à nos sens physiques du moins.)

 

 

 

Ceux qui ont peur de Dieu, qui désirent (ou espèrent) lui plaire, l’implorent ou se demandent pourquoi « il leur fait ça » (sic) sont donc complètement à côté de la plaque. Non seulement l’esprit qui est Dieu est « pensé » et donc pas libre d’agir à sa guise, mais de plus, il semblerait que le Penseur ne se préoccupe guère des résultats de sa rêverie consciente. Il ne semble avoir ni a priori ni but particulier qui puisse s’inscrire dans la dialectique humaine. En somme, même si le Grand Penseur poursuis un But, ce dernier n’est pas accessible à l’entendement humain. Il est donc inutile d’essayer d’aborder Dieu ou Cela qui se trouve derrière Lui, avec une mentalité typiquement humaine et donc affreusement limitée, et qui ne tient pas compte de toutes choses en simultané (Nommé « Actualité Cosmique » par les psy éso.) Du moins pour le moment.

 

 

 

 

commentaires2Je vais à présent vous permettre de réagir et participer à ce nouveau sujet qui, je l’espère, éveillera de l’intérêt en vous. A toutes fins utiles, je tiens à préciser que ce sujet, s’inscrit dans une série d’articles dont le contenu, des plus subtils, n’avaient pas été porté à la connaissance du public, et étaient jadis réservés à de hauts initiés capables d’appréhender ce type de concepts. Autant d’idées susceptibles de déstabiliser des personnes non correctement préparées. Mais ces thèmes n’ont jamais été « secrets »; ils étaient simplement refusés par les masses « bien pensantes » (ou autorisées à penser) ou impossibles à assimiler vraiment, du fait d’un développement mental insuffisant.

J’ai espoir que vous êtes conscients de la valeur de ce qui vous est proposé, même si cela l’est en termes modernes et quelque peu « remastérisés » pour devenir accessible à tous. Remastérisé, cela au risque de frôler quelques erreurs nécessaires, du moins pour le moment.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Considérations sur le Mensonge à Soi

espace mentalPour être heureux, nous avons besoin de libérer notre « espace mental », car ce dernier est très souvent encombré de choses inutiles voire néfastes, qui nous privent de mouvement, de liberté et, surtout, de la libre expression de Soi. Ce que nous exprimons, en règle générale, est un mélange peu ragoûtant de ce que les autres ont semé, en nous, et de nos efforts bien inutiles pour nous en débarrasser, pour en nier la valeur ou et à l’inverse, pour nous l’approprier.

En somme, nous ne sommes pas « nous » mais un mélange peu harmonieux des idées des autres et de nos propres réactions face à ces mêmes idées. Tout cela brule énormément d’énergie et nous épuise, telle la plus harassante des activités purement physiques.

 

 

 

 

Pour nous débarrasser de ce véritable dépotoir mental, il faut simplement s’observer, sans prendre peur de ce qui sera vu, car la plupart du temps, ce qui est vraiment moche n’est pas de nous mais issu de notre combat entre ce que nous aimerions penser et l’expression autonome de nos programmations mentales issues de tiers (on dit alors « héritées. ») Il existe deux sortes de programmés et deux sortes de programmations. Les premiers programmés ont été brimés et s’en sont sorti en faisant aux autres ce qu’ils détestaient qu’on leur fasse à eux-même. C’est la manière « naturelle » et sans efforts qu’ils ont trouvé pour nier un programme qui, de toute manière, demeure toujours en eux et s’exprime par eux. Les seconds programmés ont été brimés mais se sont réfugiés dans une sorte « d’aimable faiblesse« ; ils ont si peur de faire aux autres ce qu’on leur a fait, qu’ils en deviennent un brin timorés et passent souvent pour des gens peu intéressants, car sans véritable personnalité.

 

 

 

 

programmes mentauxLa première forme de programme consiste en une lutte directe entre le mental de l’individu et les programmations qu’il contient. La seconde forme de programmation consiste en une négation, une fuite ou une acceptation passive des programmations contenues dans le mental. Il faut bien comprendre que lutter et nier ou accepter, cela revient à demeurer sous la férule des schémas mentaux ! La seule méthode viable est le processus alchimique complet, c’est-à-dire qui présente ses deux pôles (« Tout est double ») qui sont la comparaison et la polarisation. A longueur de journée, sans efforts inutile, vous observez tranquillement vos processus mentaux (les idées qui vous viennent) et vous comparez « ce que ça raconte » avec ce que vous, vous avez envie d’entendre et de conserver comme idée.

 

 

 

PQ-DollarsQuand vous trouvez un programme qui ne correspond pas à votre version personnelle, vous détournez votre attention de lui et vous concentrez votre attention sur la version qui est la votre et que vous préférez. Se faisant, vous ne commettez aucune des trois erreurs fondamentales des programmés :

La négation (Je refuse de me croire programmé.)
L’acceptation (Faisons semblant d’être d’accord avec le contenu du programme afin de ne pas avoir à lutter.)
La lutte (Je lutterai contre ce programme de peur de devenir comme ce qu’il contient et exprime.)

Cette dernière technique proposée ici (comparer puis se polariser sur la version préférée) est en relation directe avec les Lois naturelles du fonctionnement de l’esprit. Agir de la sorte revient à obtenir l’aide de Dieu en nous. Voici un mantra très efficace qui invoque l’aide du Soi Divin :

 » Aide-moi en tous temps et en tous lieux, à demeurer ce que je suis et à ne prêter attention qu’à ce que je désire être et manifester ! « 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)