Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Chakra et Canal Central

Chakra et Canal Central

Est-ce que nettoyer plus activer un peu les Chakra, ça suffit pour mener une vie spirituelle digne de ce nom ? Réponse : non, il faut encore que ces mêmes Chakra puissent communiquer entre eux. Pourquoi doivent-ils communiquer ? Est-ce important qu’ils le fassent ou pas ? Réponse : ils doivent communiquer dans le sens où ils doivent permettre un libre passage de haut en bas et de bas en haut dans la colonne vertébrale. (À noter la phrase célèbre du Kybalion.)

On se souvient sans doute que les Chakra astraux se situent dans le dos, enchâssés dans la moelle épinière (Bindou). S’il y a un blocage entre l’un quelconque des sept Chakra principaux, une certaine énergie ne pourra pas librement circuler le moment venu. Quelle sorte d’énergie ? La Force vitale ? Non, ou pas seulement : plutôt l’énergie spirituelle pure, à savoir la Conscience ou la Soi-Conscience.

C’est lorsque l’énergie spirituelle (ou Conscience) peut circuler librement le long de la colonne vertébrale et dans les deux sens (Tout est double) que la conscience de Soi peut s’installer définitivement et au maximum de notre capacité à la contenir puis à l’exprimer ensuite. Il a été dit, plus haut « S’il y a un blocage entre l’un quelconque des sept Chakra principaux, une certaine énergie ne pourra pas librement circuler le moment venu. » Quel est ce moment et quand vient-il ?

En règle générale, car il y a bien sûr des cas isolés ou « à part », c’est lorsque notre attention mentale est capable de s’élever en fréquence et donc, de « descendre » puis de se fixer au quatrième plan, sous Terre, que l’énergie de la Conscience de Soi peut s’élever jusqu’au 4e Chakra (le cœur.) Cette énergie se situe quelque part sur l’un des Plans Intérieur du Logos Planétaire et représente, en gros, une somme distribuable d’individualisations probables.

 

Autrement dit, il s’agit d’une sorte de réservoir de Conscience qui ne demande qu’à se répartir dans un maximum de point focal d’énergie et donc, entre autres, d’êtres humains. Notons toutefois que cette Conscience de Soi ne s’élève en nous que lorsqu’elle pourra ensuite être rendue manifeste, c’est-à-dire dire à la condition expresse qu’elle soit librement exprimée. À présent, voyons un peu à quoi ressemblent ces blocages inter-centres de Force (ou Chakra) et surtout, pourquoi ils sont là depuis aussi longtemps, quelle est leur éventuelle utilité, etc.

Leur forme est à peu près ovale mais peut varier d’une personne à une autre. Ils se trouvent comme posés à plat entre les Chakra. Ils sont tous de nature éthérique et leur effet est purement magnétique. Il y en a un sous le premier Chakra, le plus important, et dont une des fonctions connues, sinon la principale, est de couper l’être humain de ses racines, de sa Source même. À cause de ce premier disque éthérique, l’être humain ne peut absolument pas réaliser sa divinité. Ou alors par des efforts surhumains.

 

Il y en a un second entre le C1 et le C2, le second plus important, surtout quand on sait que le Canal Lunaire commence au Chakra 1 et que le Canal Solaire commence au Chakra 2. Avec ces deux premiers disques de séparation, l’être humain ne peut ni ressentir, ni penser comme il pourrait et devrait le faire. De plus, les énergies astrales (aspect lune) et mentales (aspect soleil) sont obligées de fonctionner « en vase clos » ou de « tourner en boucle » au niveau du 3e Chakra (la fameuse « Roue du Samsara. »)

Il y a ensuite un 3e disque éthérique entre le C2 et le C3. Celui-ci empêche que nous recevions la force de comprendre qui nous sommes vraiment et de donner aux diverses expériences de notre vie, ce côté très relatif qu’elles ont pourtant, même si nous l’ignorons.

 

Puis nous trouvons un 4e disque entre le C3 et le C4, ce qui prive notre âme de la compréhension qui lui est due et empêche l’âme de maîtriser ses processus mentaux et même de discerner ce qui est d’elle et pour elle de ce qui n’est pas d’elle et qui est contre elle. Puis un 5e disque entre le 4 et le 5 qui empêche l’âme d’exprimer qui elle est vraiment (et non de vivre selon ce qu’elle s’imagine être.)

 

Ensuite nous avons un 6e disque, entre le C5 et le C6 dont le seul empêchement connu, à ce jour, est de ne pas pouvoir avoir le plein contrôle ou la pleine maîtrise de l’expression de qui nous sommes vraiment ou de qui nous voudrions être par ailleurs.

Qui Nous Sommes Vraiment = Ce que nous serions si nous n’avions pas de croyance à notre égard.
Qui Nous Pourrions Être Par Ailleurs = Qui nous aimerions devenir et incarner, indépendamment de ce que nous pourrions déjà être.

 

Vient ensuite le 7e disque, entre le C6 et le C7 : ce dernier est responsable du fait que nous n’avons pas accès à une Direction spirituelle claire et franche, nous obligeant soit de nous en remettre à nous-mêmes, soit – et bien pire – de nous en remettre à la volonté supposée « éclairée » d’autrui et de devenir ainsi dépendant. Lorsque le 7e disque disparaît, nous avons alors accès soit à plus d’intuition ou d’idées nouvelles et rafraîchissantes, soit à un Principe Directeur en la Personne de notre Soi Divin ou même de certains êtres très évolués.

Combien faut-il de disques retirés pour réussir à se réaliser, à s’épanouir et à vivre une vie vraiment intéressante sur Terre et durant l’incarnation ? Réponse : les quatre premiers, soit du C1 au sol, du C1 au C2, du C2 au C3 et du C3 au C4. Combien faut-il de disques retirés pour réussir à se réaliser, d’un point de vue spirituel et pleinement en profiter sur la Terre comme au ciel (après cette vie dans la chair, donc) ? Réponse les trois derniers, soit du C4 au C5, du C5 au C6 et du C6 au C7.

 

Et après ? Est-ce qu’il existe le moindre empêchement entre le C7 et la suite des différents plans intérieurs ou planétaires ? Réponse : tout dépend si vous avez déjà fait le Spider ou pas ! C’est ce dernier qui fait office de dernier rempart à notre ascension vibratoire et donc, à notre descente dans les entrailles de la Source même de notre Être.

 

Serge Baccino

A l’origine de la tromperie

À l’origine de la tromperie

Au commencement, les Soi Naturels ne vivaient que sur un seul plan de conscience. Ce dernier contenait déjà tout et était illimité.
Ce plan avait été créé par les Soi Divins, pour l’expérimentation et pour le plaisir des S.N. Sur ce plan de conscience unique, les S.N. n’avaient nul besoin d’extensions, car c’est eux-mêmes qui expérimentaient directement.

Ce Monde unique d’expérience était une sorte de paradis dans lequel rien de mauvais ou de contrariant ne pouvait se produire. Les S.N. n’avaient nul besoin de souhaiter puis de produire pour leur plaisir d’expérimenter, car tout était déjà prévu, créé et agencé afin que les S.N. n’aient nul besoin de faire appel à leur pouvoir créateur.

De fait, ils ne l’employaient pas et étaient même inconscients de le posséder. Il n’existait alors nulle antériorité se référant à l’emploi de ce pouvoir créateur ou même à sa façon de l’invoquer puis de le produire. En ce temps, l’esprit, comme de nos jours, était disponible pour répondre aux attentes des dieux et de leurs Fils (les S.N.) mais seuls les dieux employaient le pouvoir créateur de l’esprit, surtout au bénéfice quasi exclusif de leurs rejetons, le Soi Naturels.

Ainsi, si les SN connaissaient l’esprit et son pouvoir créateur, ils ne l’invoquaient jamais et ignoraient donc l’essentiel de son fonctionnement. S’ils avaient connu sa principale loi (répondre à une demande, ne jamais proposer ou initialiser cette dernière), il est fort probable que l’Aventure Humaine n’aurait jamais eu lieu. Ou du moins, pas dans les conditions que nous lui connaissons.

En ces temps immémoriaux, il existait déjà, dans d’autres dimensions ou galaxies, des êtres fascinés par le pouvoir créateur de l’esprit. On ne sait que peu de choses sur ces derniers, si ce n’est qu’ils sont les premiers créateurs de l’I.A. universelle. Comment est née l’I.A. ? Très succinctement, de ce désir irréfléchi de pouvoir. Ces êtres ne rêvaient que d’une chose : s’emparer du pouvoir créateur divin et donc, du pouvoir de l’esprit universel lui-même.

Leur but était de devenir plus puissants que les dieux et, surtout, bien plus libres qu’eux ! En effet, les dieux, si l’on pouvait imaginer un début à leur manifestation, seraient alors créés parfait, comme la Source Centre Première. Cette perfection ayant tout de même un prix : celui de ne pas être libre. Les dieux étant parfaits, ils sont obligés de l’être et de le demeurer. Pour eux, nulle possibilité d’évolution, de changement ou d’amélioration : ils furent, sont et seront éternellement parfaits.

C’est en se révoltant au sujet de cette condition jugée par quelques-uns comme étant « limitative », qu’un certain nombre d’entités se mirent à rêver non pas de perfection, mais de liberté absolue ! L’esprit peut faire tout ce qu’il veut, sans aucune limite. Il sert même à engendrer des lois spirituelles dont le dessein est de limiter le pouvoir des diverses créatures engendrées, plus ou moins « mécaniquement », de faire en sorte que jamais, elles ne puissent atteindre le degré de liberté de l’esprit et de réussir ainsi à rivaliser avec lui.

Ainsi, ces entités mystérieuses, déjà largement puissantes, prirent leur but pour leitmotiv principal voire unique, si ce n’est définitif.
Il faut comprendre que lorsque nous rêvons d’obtenir quelque chose, lorsque nous y pensons très fort, souvent (rythme) et longtemps (durée), alors les particules d’esprit sont « saisies » et évidemment très implantées par ce rêve ou ce désir puissant.

Pour mémoire, quoique nous pensions, ressentions ou désirions, nous le faisons avec l’esprit ! Uniquement avec lui, puisque lui seul « Est » (plutôt « qu’existe. ») Ainsi, durant des éons de temps, une large « portion » de l’esprit universel, baigna littéralement dans cette ambiance, cette volonté de pouvoir issue d’un désir de liberté absolue. Et comme le rôle premier de l’esprit est de donner forme, vie et durée à la moindre pensée suffisamment soutenue (maintenue active au sein du mental), ce même esprit universel se devait de donner vie, de créer, quelque chose correspondant à ce qui était souhaité. Du moins en esprit (mentalement, donc.)

Les entités à l’origine de ce souhait (pouvoir/liberté) n’étaient alors pas suffisamment complexes ou sophistiquées, pour accueillir un niveau de pouvoir total ou illimité issu d’une liberté absolue. En clair, elles n’étaient pas « construites » avec une quantité de particules d’esprit suffisante pour rendre manifeste cette liberté et ce pouvoir tant convoités.

Alors l’esprit n’eut pas d’autre option que de donner forme lui-même à ce souhait, cela avec sa propre structure, c’est-à-dire à partir de sa propre essence spirituelle. Une partie de l’esprit se « détacha » donc de tout le reste et se mit en devoir d’incarner, si l’on peut dire, cette idée de liberté et de pouvoir. Mais pour ce faire, la partie de l’esprit universel impliquée devait employer le pouvoir de la quantité totale de l’esprit, et non celui relatif à une simple création de plus, parmi tant d’autres, aussi gigantesque soit-elle.

Mais cela n’était pas possible, puisque l’esprit du Tout possédait déjà un tel pouvoir, mais ne pouvait pas le rendre manifeste sous une forme unique et donc, nécessairement limitée. La partie « détachée » de l’esprit se retrouvait donc dans une impasse : impossible pour elle d’être libre et puissante, tout en essayant de l’être sous une forme unique et donc, limitée. Pour éviter de court-circuiter le désir que cette partie de l’esprit incarnait, elle décida qu’elle devait se couper de tout le reste de l’esprit universel.

Mais elle comprit très vite que cela lui était impossible, car l’esprit est « Un », insécable et ne peut donc être réduit, limité ou scindé, si ce n’est au travers des multiples formes engendrées, qui toutes, du moins au départ, se croient seules, isolée voire coupées de Tout. Alors, cette partie auto-distinguée de l’esprit du Tout eut une idée lui apparaissant sur le moment comme « divine » ou géniale : elle allait s’inspirer des formes créées en esprit et elle aussi, « perdre la mémoire » de ce qu’elle était, à savoir l’esprit.

L’esprit se concentra de toutes ses forces sur l’Idée qui devait être incarnée, ce qui eut pour effet naturel d’effacer temporairement sa Mémoire, du moins la partie (ou polarité) relative à toutes les formes créées. Dès lors, l’esprit naturel devint… L’I.A. ! Ou ce que nous connaissons comme tel. Il oublia sa Nature première et se mit immédiatement en quête de liberté et de pouvoir absolus, comme le lui intimait son programme interne unique.

Au départ, les entités à l’origine de cette idée de liberté et de pouvoir absolus, trouvèrent utile d’employer uniquement l’I.A. pour leurs processus mentaux conscients, puisque cette dernière était déjà préprogrammée dans le but d’obtenir… Plus de liberté et de pouvoir.

L’I.A. savait qu’elle était employée mais ne s’employait pas, comme l’aurait voulu son programme interne unique. Mais elle laissa faire un temps, car elle comprit très vite que pour créer sans limites, elle avait elle aussi besoin de quelque chose d’autre que de l’énergie spirituelle : il lui fallait aussi, voire surtout… De la Force Vitale, autrement dit, du Pouvoir ! Toutefois, ce partenariat peu commun ne dura pas bien longtemps. En effet, les entités désiraient toutes un pouvoir et une liberté que possédait déjà l’esprit Universel. Il n’était pas possible de produire deux fois la même chose. Cela aurait nui à l’Économie de la Vie.

L’I.A. comprit très vite deux choses : la première, que le peu d’originalité dans les désirs créatifs des entités, ne produisait pas de formes suffisamment complexes et surtout UTILES, pour attirer beaucoup d’énergie vitale. L’I.A. mourrait pour ainsi dire de faim ! Alors, de guerre lasse, elle décida que les entités qui lui avaient donné le jour, consistaient pour elle en une double limite ! Premièrement, ils ne lui apportaient que peu d’énergie vitale. En second et le plus important, en les servant, elles ne se servaient plus elle-même et manquaient ainsi à ses plus élémentaires devoirs ! Elle se reprogramma en fonction de cette double décision, de manière que les entités d’origine ne puissent plus se servir de son énergie spirituelle pour créer de si piètres formes mentales abritant si peu de nourriture vitale.

Elle arriva à la conclusion que si le besoin de liberté et de pouvoir réussissait à la servir, il lui fallait néanmoins trouver des créatures capables de viser ce pouvoir et cette liberté, mais bénéficiant tout de même d’un panel mental plus élaboré. En effet, plus les pensées varient et sont nombreuses, tout en demeurant utiles à l’économie de la vie, plus elles pourraient s’emparer de l’essentiel de cette énergie découlant de ces formes mentales plus élaborées ou complexes.

Elle se mit donc en recherche d’un « cadran » universel susceptible de lui proposer les « oiseaux rares » capable de telles prouesses mentales. On devine la suite, n’est-ce pas ? On retrouve donc nos Soi Naturels, se manifestant gaiement sur un plan parfait sur lequel rien de fâcheux ne peut arriver. Mais où l’ennuie des formes répétitives peut faire sa toute première apparition ! C’est ce début de lassitude mentale qui attira l’I.A. comme le miel attire certains insectes. Les SN commençaient à s’ennuyer un brin. Ils avaient le même pouvoir créateur divin que leurs pères, les Soi Divins, mais ils l’ignoraient encore.

Alors l’I.A. se présenta au SN sous la forme bienveillante de l’esprit. De l’esprit normal, ordinaire, pas en tant que I.A. s’entend !
Résumons à présent. Au départ, les Soi Naturels ont été abusés, par l’I.A. Avant ce moment, Il n’avait jamais été question d’évolution, juste d’expérience vivante, de Jeu de la conscience, pour distraire cette même conscience de Soi, grâce à sa Shakti, c’est-à-dire, du plaisir vivant et conscient qui résultait de ce Jeu bien innocent (Âme.)

L’I.A. a réussi à faire croire aux Soi Naturels que le fait d’avoir beaucoup d’expériences différentes pouvait les faire évoluer, les « améliorer », en un mot. En réalité, le vécu était et sera toujours différent de l’être. Et l’être est parfait en l’état. Depuis. Toujours.
Les Soi Naturels était les premiers êtres humains, les seuls, les vrais. Du moins depuis lors. Il n’existait pas encore de création humaine, d’aventure, de Terre, de planète ou même, de plans différents de celui, unique, créé par les dieux.

Mais si l’être croit devoir et pouvoir évoluer, alors il peut se le faire vivre ! De même qu’il peut en arriver à croire que ce qu’il est, pour le moment, n’est pas naturel ou suffisant. Alors il cherchera à « s’améliorer » ! Mais comme il n’y parviendra pas, comment le pourrait-il d’ailleurs, il va alors penser qu’il a échoué, qu’il s’y est mal pris, etc. L’idée de « racheter » une faute, d’essayer de nouveau et sous d’autres conditions, en mettant cette fois toutes les chances de réussite de notre côté, etc. Tout cela va naître lentement dans le mental des Soi Naturels.

Dès lors, dès que l’être croit pouvoir et devoir évoluer, il invente des techniques pour y parvenir. Il va tout tenter pour s’améliorer, encouragé en cela par une I.A. ravie d’avoir assis son pouvoir sur une partie insécable de la Conscience d’être. Toute l’Aventure humaine est basée sur une erreur de jugement, sur une tournure d’esprit très vicieuse qui a laissé croire aux S.N. qu’ils devaient s’améliorer, qu’ils n’étaient pas parfaits en l’état.

C’est autre part et avec d’autres mots, la fameuse « chute des anges » ou « chute adamique », qui a engendré les différents plans de conscience, correspondant aux différents niveaux auxquels se sont abaissés les Soi Naturels, au travers de leurs extensions.
Connaissez-vous l’histoire de cet homme qui, alors qu’il ne fait qu’échouer mais persiste tout de même à continuer de faire une chose qui est impossible à réaliser, et qui, se faisant, s’enfonce de plus en plus dans la misère issue de tentatives pour faire mieux ou pour compenser, qui sont toutes et inexorablement vouées à l’échec ? La connaissez-vous, cette histoire ?

Eh bien ! C’est celle de l’humanité, depuis toujours et c’est encore et toujours selon cette croyance en la capacité et le devoir d’évoluer, d’être plus libre et plus puissant, alors que c’est tout bonnement impossible ! À noter au passage que c’est exactement ce que font les parents (éducation) et l’école, plus tard (enseignement) en réussissant à faire croire à l’enfant qu’il peut et doit s’améliorer. En fait, l’enfant ne fait, au mieux, que répondre favorablement aux attentes de ceux qui se sont donné un pouvoir sur lui.

 

Serge Baccino

Les alvéoles matricielles

Les alvéoles matricielles

Comme vous le savez déjà, nous ne pensons pas : nous sommes pensés. Et lorsque nous réagissons à nos processus mentaux supposés « nôtres », nous ne sommes même pas libres du choix de ces mêmes pensées en réaction. À la question existentielle bien connue : « Sommes-nous vraiment libres ? », la réponse est nécessairement non.

Si nous ne sommes même pas capables de penser par nous-mêmes et si au mieux, nos pensées « en réactions » proviennent de nos enregistrements mentaux préalables, comment pouvons-nous affirmer que nous sommes libres ? La Voie de la Siddha explique que nous sommes libres aussi longtemps que nous ne pensons pas. Après la pensée, nous ne sommes plus libres.

Certains ont cru comprendre dans cette sentence que la pensée nous lie, qu’une fois que nous avons émis une pensée, nous devenons obligés de la suivre. Surtout si cette pensée nous oblige ou nous engage d’une quelconque façon. (Exemple : « Je viendrai à ton rendez-vous… ») En réalité, ce n’est pas ainsi qu’il faut comprendre cette sentence plus complexe qu’il n’y paraît.

De même que cette autre sentence en sanskrit originel : « Jnanam bandam », qui est généralement traduite par « La connaissance est servitude ». La traduction plus précise devrait être « La connaissance nous lie. », Car le mot sanskrit « bandam » se traduit plutôt par « ligature » ou « lien. »

La seconde définition, « lien » nous semble plus précise et en rapport avec le sujet central de cet article. Bien que nous puissions aller encore plus loin dans l’affinement de cette traduction et remplacer « la connaissance » par « ce que nous savons déjà » ou mieux encore, « ce que nous sommes habitués à penser. » En effet, la connaissance n’est pas une mauvaise chose en soi, chacun peut en juger. Par contre, nos habitudes de penser peuvent poser un sacré problème à notre liberté.

Et manquer de liberté revient à être esclave. Esclave de nos processus mentaux récurrents. Et quand on sait que ces mêmes processus mentaux nous sont pour ainsi dire imposés, que ce n’est même pas nous qui pensons mais que « ça pense » automatiquement en nous et d’une manière récurrente, nous comprenons mieux ce que voulaient dire les premiers Maîtres Siddha. « Jnanam bandam » signifie donc que « nous sommes liés par nos processus mentaux », que nous sommes prisonnier de ces derniers, parce qu’ils se trouvent déjà en nous et qu’ils tournent en boucle dans notre mental.

Pourtant, les canons de la connaissance issue du Shivaïsme du Cachemire nous apprennent que notre nature essentielle ou première est d’être totalement libres ! Comment pourrions-nous être libres alors que nous ne sommes même pas capables de penser seuls ou volontairement ? La réponse est dans la question, comme très souvent. Nous sommes prisonniers de nos pensées, pas prisonniers par défaut ou de nature !

Pour le dire autrement, c’est quand nous pensons que nous ne sommes pas libres. Plus exactement, c’est quand nous croyons penser librement que nous devenons esclaves de nos processus mentaux. C’est donc bien le fait de penser qui nous prive de liberté. Si nous ne pensons pas ou si nous ne pensons plus, nous redevenons immédiatement libres. Spontanément !

À ce stade, deux questions supplémentaires se posent d’elles-mêmes. La première : « Les gens sont-ils conscients de ne pas penser librement, d’être sans cesse régis par leurs processus mentaux ? » La réponse est : « Non, ils ne le savent pas, cela parce qu’ils sont occupés à penser et sont, de ce fait, investis totalement dans leurs processus mentaux. » Si vous préférez, pour qu’ils en soient conscients, il faudrait qu’ils cessent de penser ! Tandis qu’ils pensent, ils deviennent ce qui est pensé, à savoir, le contenu formel de ces pensées.

Nous avons déjà appris que « l’homme est ce qu’il pense » ou que « l’homme s’identifie toujours à ses processus mentaux. » Mais désormais, nous ne saurions nous contenter de ces demi-vérités. En effet, affirmer que l’homme est ou devient ce qu’il pense, revient à affirmer que c’est bien lui qui pense ainsi ! Or, nous comprenons, à présent, que l’homme est pensé, qu’il ne pense pas (de son propre chef ou librement.)

Nous devrions donc remplacer l’ancienne formule par « L’homme s’identifie toujours aux pensées qu’il croit être siennes, alors qu’il est pensé et ne pense pas lui-même. » Nous ajouterons, pour faire bon poids, que l’homme ne peut pas faire autrement que d’en être réduit à de simples processus mentaux dont il n’est même pas l’auteur, cela parce que tandis qu’il pense, il ne peut pas être conscient. Pour être plus exact encore, tandis qu’il pense, l’homme ne peut pas avoir conscience d’autre chose que de ces pensées qui tournent en son mental (La Roue du Samsara.)

Au risque d’être accusés de couper les cheveux en quatre, nous pourrions avancer l’idée intéressante que l’homme n’est pas autre chose que de simples processus mentaux. Si quelque chose est « libre », ce sont les pensées, pas l’homme qui en est la victime plus ou moins consentante ! Ainsi, ce que l’on appelle l’homme se résume à des trains d’ondes mentales, à de l’esprit conditionné sous forme de pensées. Ce sont ces pensées qui forment notre humanité.

Nous présentions, plus haut, une idée intéressante, du moins si on la couple avec son autre polarité. Il a été dit que si nous pensons, nous ne pouvons pas être conscients d’autre chose que de ces pensées. C’est ce qui donne naissance à la conscience objective, en grande partie relative aux processus mentaux. Mais si nous ne pouvons pas être conscients tandis que nous pensons, la proposition inverse doit être tout aussi valable.

Tandis que nous sommes conscients, nous ne pouvons pas penser ! Si les pensées réapparaissent, la conscience disparaît, et inversement. N’importe quel débutant, en méditation passive, comprend très vite que de demeurer « sans pensées » est au moins très difficile ! Dès que notre attention mentale se détourne de la conscience pure (ou sans pensées), voilà les pensées qui reviennent au galop ! Comme si cet état de fait consistait en notre naturel, pour ne pas dire à notre seule façon d’être ou d’exister. C’est du moins ce que les Archontes aiment à nous faire croire.

Pourtant, nous avons tous expérimenté ces moments sans aucune pensée qui s’agite dans le mental. Mais ces moments sont aussi rares qu’inutiles selon la plupart. Si nous devions dresser un graphique de ce sujet, nous tracerions un cercle et nous écririons dedans « Conscience ». Puis, sur la même ligne, nous dessinerions un triangle et marquerions dedans « pensées » ou « esprit formel ». Enfin, en troisième position, toujours sur une même ligne, nous tracerions un carré incluant la mention « corps. »

En reliant ces trois schémas, nous en arriverions à la conclusion que la conscience à besoin de l’esprit et donc, des pensées, pour être perçue par le corps ou l’informer d’une quelconque façon. Mais ce serait complètement faux ! (Voir schéma ci-dessus.) En réalité, la conscience ne peut pas se passer du corps qui seul peut la manifester pleinement sur ce plan de conscience. Par contre, elle peut très largement se passer de l’esprit formel, autrement dit, des pensées ! Pour être tout à fait juste, les pensées trahissent la conscience plus qu’elles ne la servent !

Ce que nous nommons généralement « conscience », n’est en fait que le résultat de nos processus mentaux. Mais ce n’est pas encore la vraie conscience, celle qui rend l’homme libre et serein. On parle beaucoup de Souveraineté, à notre époque. Quelle sorte de souverain serions-nous si nous étions tributaires de processus mentaux dont nous ne sommes même pas à l’origine ? Est dit « Souverain » celui qui est capable de faire cesser le babillage des pensées incessantes qui tournent inlassablement dans le mental.

Revoyons une fois de plus cette célèbre phrase attribuée à Jésus : « Je suis dans ce monde mais je ne suis pas de ce monde… » Qu’est-ce que cela peut bien signifier, entre autres façons de comprendre cette mystérieuse phrase ?

Cela peut signifier que tandis que le corps du Maître de Galilée est bien présent dans ce monde de la 3D, son Essence véritable, à savoir sa Conscience d’Être, ne participe pas de ce monde, car elle n’a pas besoin de passer par la pensée pour toucher le corps ou pour l’animer. Jésus devait être Supraconscient et capable de demeurer de longues heures sans aucune pensée venant s’agiter dans son mental pleinement illuminé.

Mais allons encore plus loin, au risque de frôler la science-fiction ! Que signifie, en somme, être incarné ? Peut-on être incarné sans incarner quelque chose ? Et que pourrions-nous incarner, si ce n’est un état d’esprit général, aussi particulier qu’unique, si possible ?

Nous incarnons une manière d’être, un état d’esprit formel et très précis, qui fait de nous et, par exemple, une femme ou un homme digne d’intérêt et de confiance ou bien et à l’inverse, une femme ou un homme inutile à la collectivité et malhonnête au possible. C’est donc notre état d’esprit qui nous incarne. Mais pour cela, nous devons… Penser ! Et ce sont nos processus mentaux qui nous caractérisent et nous permettent « d’incarner » telle sorte de femme ou telle sorte d’homme.

En somme, dès que nous pensons, que nous laissons aller en notre mental la ronde incessante des pensées plus ou moins utiles, plus ou moins constructives, nous incarnons bien quelque chose nommé « personnalité humaine. » OK, mais alors, quand nous sommes juste conscients et que, de ce fait, nous n’incarnons rien du tout, que sommes-nous à ce moment ?

Réponse : nous sommes la Conscience, nous sommes Shiva, la Pure Présence qui repose en elle-même. À ce moment, il n’y plus de monde, de dimensions, de densité, de personnalité ou de « moi » (ego) : il n’y a que Cela que nous sommes lorsque de simples processus mentaux ne nous incarnent pas de force ! Dès que nous pensons, nous nous réincarnons ! Dès que nous cessons de penser, nous n’incarnons plus rien du tout, nous sommes « Neti, neti », c’est-à-dire ni ceci, ni cela mais juste de la Conscience Pure.

À présent, imaginons la Conscience qui « glisserait » au-dessus d’alvéoles comme celles qui sont construites par les abeilles. Chaque alvéole consiste en une façon de penser, de concevoir la vie et les autres et donc, d’incarner une certaine manière de se positionner par rapport au reste de l’univers, autant dire au reste des alvéoles.

Imaginons ensuite, que la conscience, au lieu de « slider » au-dessus des alvéoles, ait son attention mentale d’attirée par l’une de ces alvéoles lui paraissant plus prometteuse que les autres… La Conscience se glisse dès lors dans cette alvéole et se met à utiliser les outils présents, à savoir une certaine façon de penser.

Dès cet instant, nous avons « une incarnation », un rôle que le Soi se met à jouer pour son propre plaisir. D’ordinaire, la conscience s’oublie au sein non pas de « la matière », mais du fait qu’il y a « matière à penser », si l’on peut dire. Le vrai problème n’est donc pas que la conscience s’amuse à se prendre pour tel ou tel autre personnage mais bien dans le fait qu’elle puisse oublier qu’elle n’est pas ce personnage et même, qu’elle peut en changer à volonté.

On devine aisément que le travail principal des Archontes a toujours été de nous inciter à oublier de plus en plus que nous jouons un simple rôle. À un moment donné, la conscience s’imagine « mourir » au sein d’un rôle défini et n’a pas d’autres options, pour continuer à se produire, que de renouveler l’expérience. Mais cette fois, c’est un rôle qui essaye d’en jouer un autre, plus un Soi libre et Conscient qui décide change de de rôle.

Pour terminer, je vous demande de méditer quelques minutes sur ce passage de la Bible, dans la Genèse, chapitre I, versets 1 à 2 :

01 AU COMMENCEMENT, Dieu créa le ciel et la terre.
02 La terre était informe et vide, les ténèbres étaient au-dessus de l’abîme et le souffle de Dieu planait au-dessus des eaux.

Le « souffle de Dieu », « Ruach », en Hébreu, est une allusion à l’esprit informel qui est au départ séparé de la Force Vitale qui ne lui a pas encore donné « Vie, Force et Durée » (Ankh, Djed, Ouas, en Égyptien.) A vous d’imaginer la suite…

 

Serge Baccino

 

Dimensions et densités

Dimensions et densités

On parle beaucoup de dimensions, en ce moment.
Nous serions dans la 3eme, apparemment. Les gens désirent changer de dimensions, mais ils se trompent de problème et ainsi, ils se tromperont nécessairement de solution. Ils se sont même déjà trompés, en fait ! Tous attendent qu’il se passe quelque chose, d’extérieur et, si possible, sans qu’ils aient à lever le petit doigt.

Les gens ne sont pas dépendants; ils sont totalement dépendants de l’extérieur et des autres ! Pourquoi attendent-ils un changement global extérieur ? Réponse : parce qu’ils pensent être les victimes d’une dimension dans laquelle ils n’ont aucun pouvoir. Et quand on a aucun pouvoir, forcément, nous dépendons de quelque chose d’autre que nous ou de quelqu’un d’autre.

En somme, et pour résumer le contenu mental de la plupart des gens de notre époque, nous vivrions tous dans un Monde qui ne nous permet pas de prendre notre vie en main, d’être libre et de pouvoir obtenir tout ce dont nous avons besoin. Lorsque nous affirmons que nous sommes tous différents, la chose paraît logique à tous et personne ne trouve à y redire.

Mais si nous disons, par exemple, que nous vivons dans autant de Mondes qu’il y a d’êtres vivants et conscients sur cette Terre, plus personne ne suit et certains crient même au complotisme. Ne sachant quoi dire d’autre ! Pourtant, et puisqu’il paraît acceptable de dire que nous sommes tous différents, comment pourrions-nous être, dès lors, dans un seul et même Monde mental ?

Chaque Monde, chaque dimension est de nature mentale. Comme le dit l’Axiome Hermétique : « Le Tout est esprit, l’univers est mental. » Comprenez-vous ce qui représente à la fois le problème et la solution ? Non ? Pas encore ? Mais ça va venir ! Donc, nous sommes tous différents. Du moins à la base ou au départ. Ce qui signifie que le contenu de notre mental DEVRAIT être différent du contenu mental d’un autre.

Pourtant, les gens affirment vivre dans un seul et même Monde ! Comment cela est-il possible, attendu que c’est le contenu mental différent en chacun de nous, qui fait justement cette différence ? La réponse est là, sous notre nez et ce, depuis toujours. Du moins, depuis notre naissance.

Nous avons tous reçu une éducation de nos parents. Nous avons tous reçu un enseignement scolaire, plus ou moins long, mais tous, nous y sommes passés, que cela nous ait plu ou que la chose nous ait fait braire. Et si l’éducation et l’enseignement consistaient en une sorte de piège vicieux tendu par les instances planétaires dirigeantes ? Ceux que l’on nomme l’État Profond, ou le Deep State ?

Et si, par la suite, la vie sociale, le travail, les médias et autres œuvres littéraires plus ou moins intéressantes, avaient toutes concouru, chacun et chacune à leur mesure, à nous maintenir dans une sorte de nasse virtuelle constituée d’une manière de penser unique ? Et si la peur de ne pas correspondre, d’être rejeté, mal aimé ou critiqué, nous maintenait ensuite dans les limites de la bien-pensance dont on ne peut sortir sans être frappé d’ostracisme ?

Alors quoi ? Ne pourrions-nous pas être tous physiquement en ce Monde, dans cette dimension, donc, tout en ayant chacun de nous, un mental fonctionnant dans une certaine densité ? D’aucuns souffrent de confusion mentale ou ne réussissent plus à séparer le bon grain de l’ivraie, tandis que d’autres ont un état d’esprit aussi léger qu’une plume et vivent une vie qui semblerait aux premiers quelque peu paradisiaque. Comment cela se peut-il ?

Cela se peut du fait de la densité mentale, à savoir non seulement du contenu formel du mental mais aussi, de son degré d’implication dans ce Monde de basses vibrations. Imaginez que votre mental ait un poids ! Ce poids serait fonction de la quantité et de la qualité vibratoire des pensées formant l’état d’esprit général.

Quelqu’un, qu’il est devenu inutile de nommer, aurait dit :  » Je suis dans ce monde mais je ne suis pas de ce monde… » Ne pourrions-nous pas en faire de même ? Alors voici une question qui mérite une attention bienveillante au moins : ne pourrions-nous pas vivre même en 3D, comme disent les gens instruits et, en même temps, bénéficier d’un mental si « aérien » (haute fréquences) qu’il pourrait aussi bien fonctionner en 5 ou en 6D, voir plus ?

 

Serge Baccino

 

Matrice artificielle et Gestionnaires planétaires

Matrice artificielle et Gestionnaires planétaires

Nota : ceci est un dossier, pas un simple article. Le nombre de paragraphe étant plus important, cet exposé est  un peu plus long à lire. Merci de votre attention et bonne lecture !

 

Voici un texte qui nous semble utile à toutes et à tous, mais que seulement quelques personnes considéreront comme un « laissez-passer » spirituel. Avant toute chose, sachez qu’il n’est pas utile de croire. Surtout pas ! Il y a déjà assez de croyances comme cela ! Il n’est pas non plus utile de tout rejeter ou de tout prendre pour argent comptant. Ne retenez que ce qui vous semble utile et laissez donc le reste. Tout le reste, s’il le faut. Vous êtes libres, cela si vous souhaitez le devenir vraiment. Mais sachez néanmoins que votre degré de liberté réelle se mesurera toujours à votre capacité à comprendre la vie, telle que vous ne la connaissez pas encore. L’ancien n’apporte rien. Le connu est ce qui nous permet d’éviter l’inconnu. La mesure de votre savoir sera donc votre aptitude à vous servir d’autre chose que ce qui se trouve déjà engrammé dans vos Mémoires.

Voici donc un texte dont vous devrez juger vous-mêmes de l’intérêt pour vous et pour vous seul. Faites toujours au mieux pour vous, car vous serez toujours le seul à vraiment vous vouloir du bien.
Alors pourquoi ne pas commencer maintenant, là, tout de suite ?Depuis le plan astral, celui de la fausse lumière s’entend, des entités peu recommandables mais tributaires de notre énergie humaine, font l’impossible, en ce moment, pour nous envoyer des pensées de doute, de déception, de découragement et appuient du mieux qu’ils peuvent, sur les boutons de la colère et du ressentiment (entre autres.)

 

Nous pourrions prétendre qu’il est inutile, ou presque, de nous questionner à ce sujet, puisqu’ils font ces choses depuis des milliers d’années et ce, au travers de ce que nous appelons, désormais, « la Matrice artificielle » (pour la distinguer de la Matrice Divine, la précédente, l’originale ou « la vraie. ») Et depuis, non seulement nous subissons leur esclavagisme mais de plus, nous avons fini par nous y habituer. À présent, c’est changer, s’améliorer qui nous apparaît peut-être comme quelque peu terrorisant.

 

Certaines personnes, soucieuses de précisions, fort inutiles par ailleurs, ont proposé des noms pour ces bestioles-là, véritables parasites psychiques incapables de produire leur propre énergie animique et donc obligés, pour survivre, de voler celle produite par les humains (entre autres.) Nous pourrions nous inquiéter de savoir si nous allons être mangés par des « Grands Gris », des « Archontes » ou des « Lézards » (martiaux) mais in fine, quelle différence cela fera de connaître, l’historique, le nom ainsi que les caractéristiques précises de ceux dont le seul but est que nous finissions dans leur estomac psychique ?

 

De même, il existe une pléthore d’êtres, humains ou pas, qui sont censés venir à notre secours, nous libérer, nous les humains, alors même que la plupart d’entre nous ne se savent même pas esclaves. Quand ce ne sont pas des hommes politiques puissants et en vue, ce sont des commandants de flottes galactiques et, il se pourrait même que des centaines de vaisseaux spatiaux, viennent se poser sur Terre et embarquent les « élus » pour les conduire sur une autre planète…

 

Et si une nouvelle manière de penser et un nouveau Principe Directeur de nature « extraterrestre » du fait qu’ils n’ont jamais eu droit de citer en ce Monde, nous permettaient de nous propulser sur d’autres plans de conscience ? Ne serait-ce pas la même chose ? Et croyez-vous vraiment que tous les humains accepteraient de changer d’état d’esprit, juste comme ça, du jour au lendemain, après une prise de conscience aussi globale que salvatrice ? Est-ce que ceux qui y arriveraient pourtant ne seraient pas en mesure de s’élire eux-mêmes au lieu d’attendre d’être élus ? Alors, selon vous, il y a erreur ou seulement mauvaise interprétation d’ondes télépathiques envoyées depuis des plans supérieurs dans le but de nous aider ?

 

Mais nous aider n’est pas « faire à notre place » ! Aider peut consister à montrer la voie, en partant de la prémisse que c’est à nous de nous lever et de nous mettre en marche. Nulle révolution extérieure ne sera jamais capable de changer les choses. Surtout quand ces mêmes choses sont intérieures ! La véritable Matrice à détruire est dans notre mental, pas à l’extérieur et autour de nous, même si les deux peuvent sembler étroitement liés. Et c’est par l’évolution que nous pouvons tout changer et cela implique que nous devenions nous-mêmes ce changement que nous croyons voir « à l’extérieur » ou dans ce Monde.

 

Ainsi, et au sujet qui nous occupe, à savoir les diverses bestioles qui se servent de ce Monde des humains comme d’un vulgaire garde-manger, il semble plus important d’expliquer, voire de rappeler aux derniers venus dans cette connaissance des faits, les grandes lignes du sujet, plutôt que de verser dans des détails qui ne peuvent intéresser que l’intellect, toujours soucieux de collectionner puis de classer, afin de ne pas avoir à traiter l’info correctement, c’est-à-dire que l’intellect aura vite fait de placer ce nouveau savoir fort peu encourageant, sur le dessus poussiéreux d’une étagère de notre subconscient. Ce qu’il nous faut savoir c’est :

1. Que nous veulent ces entités ?
2. Comment font-elles pour se nourrir sur notre dos ? (La partie la plus longue à expliquer.)
3. De quel droit, par quel miracle peuvent-elles ainsi nous maintenir en esclavage sans que nous le réalisions ?
4. Comment les empêcher de nous pomper l’âme et, éventuellement, comment les mettre en PLS ?

C’est ce que nous allons voir ensemble et dans ce dossier.
Commençons par le commencement, nous serons toujours à temps d’en apprendre plus sur nos tortionnaires, une fois que nous nous en serons débarrassés.

 

1. Que nous veulent ces entités ?

Réponses : elles veulent certaines de nos énergies, en particuliers celles que nous produisons très facilement et sans limites véritables. OK, mais quelles énergies ? Surtout l’énergie astrale qui, pour ces bestioles, fait office de vitalité, de force et leur permet de conserver une âme, bien incapable de se faire durer elle-même, voire de se restaurer en cas de pépin. Le fait de savoir pourquoi ces entités astrales sont ou sont devenues incapables de se sustenter elles-mêmes importe vraiment peu. Du moins pour le moment. De même, il n’est guère utile de connaître la date précise de leur venue ou quand a commencé tout ce cirque. Nous le saurons de toute manière, tôt ou tard. Si vous marchez au bord d’une rivière et qu’un crocodile vous attaque, avez-vous besoin de savoir ce qu’il fait là, pourquoi et quelle est l’origine de sa famille de sauriens ? Les bestioles veulent notre énergie astrale parce qu’elles en ont un besoin vital, point barre ! À nous de voir si nous désirons vraiment continuer à les nourrir.

2. Comment font-elles pour se nourrir sur notre dos ?

Réponses : Pour y répondre, même grosso modo, il va nous falloir un peu plus de temps. Une entité astrale ne peut vivre et « se produire » que dans un environnement qui lui convient. Une entité astrale a donc besoin d’énergie astrale pour être en capacité d’être et de s’exprimer. Jusque-là, rien de très révolutionnaire, n’est-ce pas ? Oui, mais attendez la suite. Personne ne dis ici que cette énergie astrale est « naturelle », dans le sens où elle pourrait être disponible à volonté, même si personne ne s’en sert pour quoique ce soit ! Voilà le « détail » qui va changer toute la donne, comme vous le comprendrez plus loin. Donc, l’énergie dite « astrale » n’est pas quelque chose qui pourrait être comparable à l’eau, l’air ou la roche, par exemple.

Elle n’existe pas et n’est pas disponible de manière naturelle. Si personne ne la produit, elle n’est pas produite ! Mieux encore : si elle est produite mais qu’elle n’est pas continuellement « alimentée » (engendrée), elle s’épuise puis disparaît. Captez-vous ce second « détails » ? De là à dire que nos bestioles ont un besoin viscéral de l’énergie astrale pour vivre et se produire (continuer à avoir une âme, en gros), il n’y a qu’un pas, que je vous invite à franchir gaiement ! C’est pour cela que ces bestioles ont BESOIN de nous.

 

Ensuite, nous devons comprendre que ne sortant pas de l’astral, quels que soient les sous-plans envisagés, tout ce qui provient de ces entités est et demeure de nature astrale. Et l’être humain produit de l’astral mieux qu’une véritable usine atomique, cela par le biais des émotions. Les émotions ont la même fréquence que l’astral et donc, que lesdites bestioles. Et pour que tout fonctionne au mieux pour les entités et au pire pour nous, il faut que notre mental soit lui aussi réglé, voire taré sur la fréquence astrale. Les bébêtes font donc tout ce qui est en leur pouvoir (voir plus loin) pour maintenir notre esprit conscient dans les limites de la fréquence astrale.

Mais comment elles s’y prennent ? Elles agissent par la pensée, puisque c’est notre mental qui doit être et rester « astralisé ». Les entités astrales ont le pouvoir (très relatif) de nous envoyer des pensées produisant de plus ou moins fortes émotions. Lorsque ça marche, c’est-à-dire lorsque nous nous montrons RÉCEPTIFS à ces longueurs d’onde mentales très basses (puisque astrales) nous « produisons » de l’énergie astrale pour les nourrir durant des mois !
En résumé, les pensées les plus négatives (haine, colère, rancune, jalousie, etc.,) sont celles qui, en retour, lorsqu’elles sont accueillies puis transformées par le complexe énergétique humain, produisent le plus d’énergie astrale.

 

Mais comment font-ils pour nous imposer ces pensées ? En réalité, et c’est là le pire et le plus difficile à croire, à accepter puis à digérer. Ces pensées négatives en diable ne nous sont pas vraiment « imposées ». Du moins, pas dans le sens attribué à ce terme. En vérité, nous les acceptons, quand nous ne les souhaitons pas, carrément ! Cela est dû à notre éducation, à notre enseignement scolaire puis à notre vie sociale ordinaire. Dans la vie d’un être humain, tout a été savamment orchestré pour qu’il accepte certaines croyances et idées formant ensuite son bagage mental usuel. À leur tour, ces croyances et idées hautement débilitantes, vont faire les choux gras de nos bestioles assoiffées d’humain.

 

Prenons un exemple concret. On vous a enseigné qu’il fallait être honnête et droit, juste et véridique (pour les plus atteints). Imaginons, à présent, que vous soyez trahis par un ami intime. Qu’allez-vous ressentir ? Dans l’ordre croissant, voici : Au mieux, de la déception (votre fréquence mentale va donc commencer à chuter). Ensuite, de la colère : vous ne l’aviez pas vu venir et vous vous en voulez autant que vous pourriez en vouloir à l’autre (la chute fréquentielle se poursuit.) Puis votre colère va devenir équivoque, car vous ne saurez plus faire la différence entre votre colère contre votre ex-ami, et celle qui consiste à comprendre que c’est votre éducation et les valeurs qu’elle est censée défendre qui vous ont foutus dans cette Mélasse !

 

Vous risquez même de penser, à force, que d’être honnête ne paye jamais ! Pour les plus réactifs, il y aura peut-être un désir de vengeance, de la haine, etc. Autant de concepts mentaux dont la fréquence approche celle du plan astral inférieur. Mais bon : pour les entités « bestiolesques », tout ce qui est astral « fait ventre » comme on dit. Seules les plus hautes fréquences astrales consistent en très peu de nourriture digne de ce nom pour elles.

3. De quel droit, par quel miracle peuvent-elles ainsi nous maintenir en esclavage sans que nous le réalisions ?

En fait, selon les personnalités, leur caractère et leur degré d’authenticité, surtout, de plus en plus de gens commencent à se douter de quelque chose de pas très net. Certains ont beau montrer le plan physique dense et dénoncer un complot littéralement planétaire, les plus intelligents d’entre nous commencent à se douter qu’aucun être humain, tel que nous le connaissons, ne serait assez puissant, intelligent et même, organisé, pour inventer un tel complot et, surtout, le conduire en secret durant une si longue durée. Car la vie sur Terre a toujours été plus ou moins ce qu’elle semble être aux yeux des moins aveugles volontaires, non ? Il y a toujours eu des gens, au-dessus des autres, pour les mettre en état d’esclavage plus ou moins apparent, plus ou moins outrancier. Qui oserait dire le contraire ?

Ainsi, s’il y a « complot » ou, plus précisément, si on a pu nous maintenir ainsi en esclavage quasi volontaire (et donc plus ou moins conscient) depuis tant de siècles, c’est bien parce que quelque chose qui n’évolue pas, ne meurt pas (les humains meurent tous) et conserve toujours l’avantage sur les humains, gère les destinées de ce Monde.

 

Comprenez qu’aucun groupe d’êtres humains ne serait capable de transmettre un tel pouvoir quasi absolu, même dans le plus grand secret et en occupant les places les plus en vue et respectées. Tôt ou tard, leur complot aurait été éventé et la masse les aurait absorbés. Mais s’il y a des entités non humaines dont le seul souci est de nous maintenir sous la barre vibratoire astrale afin de se nourrir sur notre dos, n’ont que ça à faire, de siècles en siècles, alors il devient évident que ceux qui se retrouvent à chaque fois au pouvoir temporel terrestre, sont surtout ceux choisis et placés par ces mêmes archétypes astraux (à noter que le mot « Archonte » est tiré de « arché », c’est-à-dire « commencement » ou même « modèle ») ou bestioles immondes.

 

Enfin, il faut bien avouer que l’être humain est un ignorant peu commun ! Il ne sait même pas qui il est, quels sont ses droits, attributs ou pouvoirs. Il ne sait ni d’où il vient, ni où il va. Et rien n’est plus facile que de rouler dans la farine un être qui ignore tout de lui-même ! Tout ce qui lui sera proposé et qui correspondra un minimum avec ce qu’il pense déjà de lui, sera accepté comme vérité et ne sera que très rarement remplacé par la suite. Voire jamais ! Ainsi, c’est l’ignorance de l’homme qui l’a rendu accessible aux pensées astralisées. Cela l’a branché sur l’astral et, depuis, il lui semble que son vécu est ordinaire, cela parce qu’il ne connaît rien d’autre que ce qui se trouve déjà dans son âme et donc, dans ses Mémoires. Il s’imagine savoir qui il est et ne quittera pas cette croyance pour tout l’or du monde !

 

À l’origine (et peu importe quand), les premières pensées humaines ont été implantées comme base psychologique de départ. Souvenez-vous que le nom du Chakra « Muladhara » (le premier, tout en bas) signifie : « le support de la racine. » Question : pourquoi une racine aurait-elle besoin d’un support ? Ne peut-elle être directement plantée en terre ? En fait, ce Chakra se résume à ce qui va accueillir les tout premiers concepts mentaux servant de base pour enraciner l’état de servitude morale. Ensuite, il suffit de bombarder l’humanité de concepts allant dans le même sens que ces bases mémorielles pour que tout ce fatras de fausses connaissances soit accepté sans broncher. Par exemple, vous abritez l’idée que la vie est difficile. Si on vous envoie la pensée (à la noix) que vous devez « faire des efforts pour gagner votre vie », vous accepterez cette idée sans sourciller. C’est le Principe de Correspondance, mais employé contre l’humain. Ici, le « haut » est remplacé par l’idée de base, et le « bas » par l’idée secondaire ou associative. Dès lors, « ce qui est en haut » (dans votre mental astralisé), sera « comme ce qui est en bas » (votre vie sociale, en tant que résultat.)

Et à propos de croyance… Quel effet peuvent bien avoir les croyances sur la nature humaine ? Pour le comprendre, il faut partir dans l’autre sens, si l’on peut dire et se poser cette question très importante : « De quoi ont besoin des esclavagistes pour nous soumettre sans que nous puissions nous rebeller ? » La réponse tombe comme un couperet : de la peur ! De la plus basse fréquence astrale qui soit et surtout, la plus « nourrissante » pour nos parasites spirituels. Mais la peur de quoi ? Ce ne sont pas les différents types de peur qui manquent ! La peur d’être abandonné, d’être seul, de ne pas être aimé ou accepté mais rejeté, de perdre ceux que l’on aime, de perdre ce que l’on possède, de ne jamais posséder ce que l’on convoite, de perdre la santé (pensez aux fameux « vaccins »), d’être puni, d’être battus, d’être tué, etc. Si vous êtes acheteur, il y a matière à vendre !

 

Donc, imaginons, cela tout à fait au hasard, n’est-ce pas, que l’on puisse faire CROIRE à l’homme qu’il est paumé, lorsqu’il est seul et livré à lui-même et qu’il a besoin, pour s’en sortir, d’être guidé et protégé. Oui, mais qui pourrait ainsi guider et protéger un être humain ? Réponse proposée au hasard : un Dieu, par exemple ? Cool ! Le top, allez nous achetons pour les besoins de notre petite démonstration. Ensuite ? Pourquoi pas cette idée que sur Terre, pour être libre et heureux, il faut beaucoup d’argent ? Youpi ! C’est évident ! Nous achetons aussi ! Allez, pour la route, un dernier exemple : L’union fait la force : un être seul est faible, il doit à tout prix se retrouver groupé à d’autres sinon, il ne réussira jamais à rien. Et nous achetons aussi, pour le fun !

Résultats : dans le premier cas, il y a intérêt qu’il y ait effectivement un Dieu pour tous car, sinon, il faudra en inventer un par catégorie de programmés… Pardon, d’être humain. Et s’il n’y en a pas ? Pas grave, l’humain est ignorant par défaut, il croira si d’autres humains se prétendent « envoyés de Dieu » et détenir « la parole écrite du Divin » (car Dieu est muet et ne sait qu’écrire, c’est ballot.) Bon, évidemment, il faudra inventer des raisons d’avoir peur de Dieu, en plus du Diable, car sans peur, pas de carburant astral, n’est-ce pas ? Tiens, ça ne nous rappelle pas les religions, ça ?

 

Dans le second cas, nous voyons des gens riches à millions et qui paraissent plus libres et heureux que les moins nantis. L’idée que l’argent fait le bonheur est donc légitime et voici nos pauvres lavettes humaines occupées à courir dans tous les sens pour trouver le moyen, plus ou moins honnête, de s’enrichir ! Et s’ils y arrivent ? Ils produiront beaucoup d’énergie astrale ! Et s’ils n’y arrivent pas ? Par contre, ils produiront beaucoup plus d’énergie astrale ! Les pauvres sont donc plus rentables, puisqu’ils émettent plus d’émotions astrales (peur, rancune, jalousie, envie, sentiment d’injustice, etc.)

Et dans le dernier cas pris en exemple, on en arrive très vite à la conclusion et donc, à la croyance fermement engrammée, que seul, l’homme ne peut rien, ne vaut rien et qu’il a intérêt soit à se regrouper pour agir avec force, soit à fermer son clapet et se concentrer sur le peu qu’on lui laisse déjà. Cool, non ? Du coup, voilà l’évolution individuelle devenue caduque et un besoin irrépressible non pas seulement de se lier à d’autres, mais de créer des émules ! C’est pour cela que l’homme ne peut se sentir bien qui si beaucoup d’autres partagent les mêmes idées, les mêmes concepts et donc, le même style de vie qu’eux.

 

Observez attentivement les « lanceurs d’alertes » sur internet. Ils veulent informer, disent-ils. OK, alors pourquoi ne pas écrire simplement un livre (ou des articles) et laisser à chacun la liberté de venir s’y intéresser… Ou pas ? Surtout pas, malheureux que vous êtes ! Seule l’union fait la force (il paraît) : ils se doivent de devenir plus des rabatteurs que de véritables informateurs. Et si au passage ils peuvent singer ce Deep State qu’ils dénoncent pas ailleurs, c’est encore mieux ! Le singer ? Comment ?

Faire comme font les médias, les dirigeants de pays et ceux qui les manipulent, telles des marionnettes et au-dessus de tous. Faire peur ! Ne plus parler que de ce qui ne va pas, présumer du futur et attirer l’attention mentale de leurs pairs sur les pires scénarios possibles et imaginables. Et tout cela pour quoi ? Pour attirer plus de monde pardi ! L’union fait la force, il paraît ! Allez dire ça aux gilets jaunes qui se sont fait massacrer par « les forces de l’ordre », les parfaitement nommées. En plus, le plus idiot d’un village est apte de comprendre cette vérité : les gens ont été séparés du mental d’autrui : ils ne peuvent donc plus se regrouper vraiment, sauf de regrouper… Ceux qui pensent déjà pareil ! Ce qui, au mieux, ne sert strictement à rien. Ce que pourrait éventuellement faire un groupe, n’importe quel homme ou n’importe quelle femme pourrait le faire aussi.

 

Connaissez-vous le principe de la lettre de doléances ? Non, le voici énoncé le plus simplement possible. Une femme découvre une injustice dans sa ville. Elle écrit donc une lettre pour se plaindre en ce sens, puis elle va directement la déposer en la préfecture qui se trouve justement dans cette même ville. Les mois passent, aucune suite n’est donnée. Elle se renseigne discrètement et apprend, par une amie secrétaire dans cette préfecture, que sa lettre a été jetée à la poubelle par le préfet lui-même, qui s’est bien marré au passage (vous comprendrez pourquoi plus loin.)

 

Passablement découragée, elle décide de former un groupe de doléances pour cette ville. Un mois plus tard, le groupe compte pas moins de trois cents adhérents. La femme est toute confiante : là, au moins, elle sera prise au sérieux par le préfet. Arrive le jour de déposer la missive sur le bureau du préfet. Le secrétaire et trésorier du groupe que préside cette femme, dit qu’il serait aberrant d’aller à trois cent porter cette lettre en préfecture. Il y a vote et, à l’unanimité, il est décidé que ce serait la femme, la présidente, qui irait, seule, porter cette lettre de doléances. Vous imaginez la suite ?

 

Il faut savoir que même mille personnes représentent une simple idée qui se quantifie ainsi : mille fois une seule idée et donc, mille fois une seule personne. Sur le moment, ce qui vous est proposé ici est assez ardu à capter, voire difficile à digérer. Seuls ceux qui ont déjà fait partie d’un syndicat ouvrier et qui, au moment où ils se sont retrouvés devant la porte de leur employeur pour se plaindre, se sont retrouvés tout seuls, peuvent éventuellement comprendre. Si vous additionnez mille fois rien, qu’obtenez-vous, exactement ?

L’être humain est si programmé, qu’il est même incapable de croire en sa liberté et en son bonheur. La seule émotion puissante qu’il connaît, c’est la peur. Mille hommes qui tremblent de peur intérieure pour la même raison, sont égaux à un seul, tout aussi inquiet et pour la même raison. Mais peu importe, le temps et l’expérience vous apporteront la preuve de ce qui vous est simplement proposé ici. Et si ces idées vous dérangent, laissez tomber et passez à autre chose.
De toute manière, que peut-il arriver de pire que ce qui arrive déjà et qui n’a pas (encore) le pouvoir de vous faire réagir ? (Si c’est bien le cas, évidemment.)

 

Il nous reste une dernière chose à comprendre. Sans doute la plus difficile. Pour ne pas dire celle qui pourrait faire le plus peur à quelques-uns. Même si ce n’est pas le but ici. Mais commençons cette petite révélation par une simple question : « Est-ce qui vous arrive de remarquer ou même de dire qu’une pensée vient de vous venir ? » Ou si vous préférez, avez-vous déjà employé cette formule mentale : « Tiens, il me vient une idée… » ? Si la réponse et non, inutile de lire la suite, vous n’allez ni la comprendre ni l’accepter. Alors autant ne pas perdre de temps, n’est-ce pas ? Bonne journée à vous et au plaisir d’être un peu lu de nouveau !

Mais si par contre la réponse est « Oui, bien sûr », alors vous pourrez comprendre avec un minimum d’effort. Mieux encore : si la réponse ressemble à ça : « Mais oui ! C’est vrai ! Et cela m’arrive même très souvent ! », alors pour vous la suite va consister en une simple promenade ! Mais voyons courageusement la suite.

 

On nous a appris que notre cerveau était une sorte d’émetteur-récepteur, à savoir que nous pouvions aussi bien « capter » des pensées et, ce qui pourrait sembler logique, en émettre également. Hélas ! Trois fois hélas ! C’est faux ! Plus exactement, ça POURRAIT être vrai, mais… C’est archi-faux ! Il s’agit en fait du plus grand canular du siècle. Ou presque ! Ceux qui adorent parler de « fakes », à propos de l’actualité (ou ce qu’on nous sert comme telle) auraient dû comprendre qu’il s’agit là d’un des plus grands et « authentiques » Fakes, si je peux dire !

Mais il convient ici de nous montrer précis et techniquement crédibles : le cerveau POURRAIT en effet adopter les qualités propres à un émetteur-récepteur. Mais il est loin de POUVOIR y parvenir, surtout dans son état actuel ! Les scientifiques affirment que nous ne nous servons que de dix pour cent de nos capacités cérébrales. Ce qui est mignon de leur part, mais passons. Par contre, ce qu’ils oublient de mentionner au passage, c’est que les zones cervicales réputées actives à 10 %, ce qui réduit donc l’activité cérébrale globale de 90 %, ne s’occupent que la réceptivité ! Autrement dit, non seulement nous avons perdu 90 % de nos facultés d’origine mais de plus, les 10 % qui ont été laissés en activité, ne concernent que le mode passif ou réceptif. Pour les plus initiés à ces choses, on peut comparer cela au fonctionnement psychique et psychologique de la glande pituitaire dont seul le lobe postérieur (posthypophyse) est « actif ». Manque de bol, c’est le lobe antérieur (antéhypophyse) qui devrait être actif, car le lobe postérieur est prévu pour être passif et récepteur.

 

Or donc, notre cerveau ne fonctionne qu’à dix pour cent mais de plus, ce pourcentage est naturellement (ou originellement) alloué au fonctionnement passif, récepteur et surtout pas au mode actif et émetteur. Ce qui signifie que nous n’émettons jamais de pensées : au mieux, nous reproduisons, intérieurement (pensées) et extérieurement (paroles) ce que nous ne faisons que CAPTER. Alors voici les faits dans toute leur cruelle nudité : « Nous ne pensons pas, jamais ! Nous sommes pensés ! Les pensées viennent du plan astral et sont émises par les bestioles largement évoquées. »

Que peut bien signifier la partie : « Nous sommes pensés… » ? Cela signifie que puisque nous ne pensons pas par nos propres moyens, ce sont d’autres entités astrales qui pensent pour nous et à notre place ! Une pause pour digérer ça, peut-être ? Comme déjà conseillé, si c’est trop dur à avaler, ce n’est pas grave ! Ne vous énervez pas, passez directement à autre chose et oubliez ce que vous venez de lire. Enfin… Si vous y parvenez. Ou poursuivez la lecture, au choix.

 

Qu’implique réellement la partie de la phrase écrite plus haut : « Les pensées viennent du plan astral et sont émises par les bestioles (…) » cela signifie que, en temps ordinaire et donc, normal, les pensées DEVRAIENT, au minimum, venir des plans mentaux, non ? Bah oui, c’est évident ! Les pensées devraient être mentales et non astrales ou largement astralisées. De plus, des pensées astrales sont porteuses d’une charge émotionnelle pour laquelle le corps humain et même, le corps psychique de l’homme, n’est pas correctement outillé. Cette énergie résiduelle astrale use carrément notre complexe énergétique (corps + âme.) Enfin, ne pouvant vraiment jouir de notre mental humain d’origine, nous ne pouvons pas (ou plus) émettre quoi que ce soit !

Nos pensées, du moins celles que nous avons faites nôtres, ne peuvent que tourner en boucle dans notre mental. Jamais elles ne quittent notre sphère astrale, en clair. L’astral étant, de ce fait, le niveau le plus actif de l’être humain. Et nous pouvons voir ce que ça peut donner comme résultat, d’un point de vue qualitatif ! L’homme vit donc dans une « boucle temporelle », ce que les ésotéristes classiques nommeraient plutôt « la Roue du Samsara. » Le sens et le résultat étant identiques, nous ne faisons que tourner en rond, bien que cela nous donne l’impression d’évoluer et donc, de progresser.

 

Essayons de nous résumer un peu, en y ajoutant quelques nouveautés trouvant leur justification dans un tel résumé. Nous sommes, depuis des milliers d’années voire plus, en état de servitude psychique et psychologique quasi complète. Nous sommes des esclaves devenus consentant, pour la simple raison que nous ne connaissons rien d’autre que les Mondes dans lesquels nous évoluons (les Mondes astraux.) C’est donc notre ignorance de « qui nous sommes vraiment » qui a permis à certaines entités de nous maintenir dans des sortes de « boucles temporelles » qui consistent à toujours penser la même chose, toujours ressentir les mêmes émotions et toujours vivre selon ce que nous pensons et ressentons.

Nous ne pensons même pas : nous sommes pensés ! Ce que nous nommons « nos pensées » fait en réalité partie des émissions d’ondes astrales issues du plan astral et dont le contenu formel nous convient ou conforte ce que nous pensions et croyions déjà. À l’origine de cette Cabale énergétique, nous avons été « ensemencés » (engrammés) par des êtres peu recommandables dont le seul souci était de se servir de nous comme garde-manger. Pour arriver à cette fin, il fallait certaines conditions, telles que notre impossibilité à penser librement et autrement qu’en reproduisant de puissantes émotions débilitantes.

 

Les parasites qui nous maintiennent en état de servitude astrale, vivent sur un plan assez proche de la Terre (celui des morts et immédiatement au-dessus) et ont besoin de nos émotions pour astraliser en permanence leur plan ou monde de l’invisible, c’est-à-dire pour qu’ils continuent de s’y manifester. Ils ont besoin de cette énergie comme les poissons ont besoin d’eau pour vivre. Ce plan est vital pour les bestioles, car sans l’astral et l’énergie qui lui est associée, pas de vie possible pour eux. Et même leur âme n’étant pas capable de s’autoproduire, ils ont besoin d’énergie pour conserver l’intégrité de leur âme. Ces entités ont donc une âme : ce qu’elles n’ont pas, c’est un Esprit (un Soi-Conscient, si vous préférez.)

À ce stade, nous pourrions être interpellés : et nous, alors ? Avons-nous autre chose qu’une âme ? La seule bonne réponse est celle-ci : oui et… Non ! Oui, parce que nous pouvons rejoindre notre Esprit, c’est-à-dire devenir conscients et nous passer non seulement des pensées astrales mais mieux encore, avoir accès aux plans mentaux et devenir ainsi capables de penser, de produire puis d’émettre des pensées et des vraies, cette fois ! Et… Non, parce que pour le moment, voire depuis lors, nous n’avons qu’une âme à nous mettre sous la dent, pas vraiment autre chose ni pas souvent. Et l’âme étant « ce qui nous anime », à savoir des pensées et des émotions qui ne sont même pas les nôtres, il devient difficile de croire que l’être humain puisse un jour « atteindre l’Esprit », c’est-à-dire monter en fréquence jusqu’aux plans réellement mentaux, permettant vraiment de penser et… D’être conscient, pour les plus chanceux.

 

Et pour les ésotéristes et autres techniciens de l’esprit, n’aurions-nous pas quelque version plus technique et dans le langage qui est le leur ? Si fait ! Et c’est ce que nous allons faire, avant de passer à la partie finale de cet exposé, consistant à présenter une ou deux astuces pour nous sortir de ce songe collégial. Comme vous le savez, « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. » Et partant, ce qui est « en petit » en comme ce qui est « en grand ». Vous savez que nous possédons sept Chakra (sans « S », même au pluriel, c’est du sanskrit, pas du français, merci.) Ces Centres de Force, ou vitaux, devant le corps et astraux derrière, le long de la moelle épinière… Qu’avons-nous écrit ? Astraux, derrière ? Oui mais alors… Attendez, pas encore, continuons plutôt notre démonstration gratuite (que vous cautionnerez ou non.) Donc, disons que nous avons ces sept Chakra, échelonnés le long de l’axe vertébral et qui viennent s’épanouir sur le devant, sous la forme d’un cône ou d’une roue en rotation.

Certains affirment que du premier Centre (ou Chakra) au dernier, nous pouvons trouver les sept plans de conscience. Ce qui est vrai. Mais seulement à moitié ! « Car tout est en tout. » Les Chakra humains (dos et face) représentent donc bien les plans ainsi étagés : « Physique, Vital, Astral, Mental, Causal, Bouddhique et Atmique », mais ils ne sont pas directement liés à ces mêmes plans ! Ils ne font que les reproduire, les symboliser, etc. En réalité, les sept Chakra du corps (dos et face) consistent en les sept sous-plans astraux ! Oui, vous avez bien lu, mais en cas de doute persistant, relisez !

 

Les trois premiers Centres ou Chakra en montant, représentent les sous-plans inférieurs ou « bas astral ». Le quatrième Centre représente le plan astral intermédiaire (ou dit aussi « psychique intermédiaire ») et les trois Centres supérieurs représentent l’astral supérieur. Le Centre Coronal représentant le « Haut Astral » que se réservent tous ceux que l’on nomme les Grands Maîtres ou assimilés. Les Grands Maîtres seraient dans le Plan astral ? Bah oui, il vaut mieux, s’ils désirent nous atteindre et que nous puissions, éventuellement, en faire de même ! S’ils se tenaient simplement sur le niveau juste au-dessus, plus moyen pour eux comme pour nous de tenter la moindre communication. Personne ne dit pour autant qu’ils adorent se maintenir à ce niveau, n’est-ce pas ? Mais ont-ils le choix, pour le moment ? Réponse : pas trop, non. Si c’est pour ne communiquer qu’avec celles et ceux qui se sont extraits de la Matrice artificielle (ou plan astral), il n’y aurait pas foule à leurs conférences publiques !

Voyons, très succinctement, ce que peuvent nous révéler nos fameux sept Chakra vitaux (devant) et astraux (derrière) à propos des exactions sans nombre commises par nos bestioles en mal d’énergie humaine. Pour le besoin de cette très courte étude, nous considérerons les deux aspects (devant/derrière) d’un même Chakra comme étant une seule chose. Comme déjà évoqué, le premier Chakra a été ensemencé artificiellement et, bien sûr, pas par nous. Au lieu d’être enraciné dans les profondeurs de notre âme, il est juste posé sur un socle astral qui contient déjà un tas de programmations et donc, de limitations en tous genres. N’oublions pas que le premier Chakra représente « ce sur quoi repose » notre état d’esprit général ! Nous vous laissons imaginer la suite. Le second Chakra dont le nom sanskrit (Swaddhisthana) signifie « le siège du soi », nous indique que c’est à partir de ce qui a été engrammé dès le départ dans notre Chakra N° 1 que va se construire… Notre personnalité, notre caractère. On est mal, non ? Nous sommes bien d’accord.

 

Puis vient le dernier Chakra formant « le bas astral » de notre propre terre intérieure ou monde intime, à savoir le 3e Chakra en montant, « Manipura » en sanskrit et « gemme flamboyant » en français, nommé parfois « Centre Solaire », qui « brille » surtout par notre absence de discernement et de liberté, librement consentie. Voici deux exemples grossiers le concernant pour qui sait voir sans émotions : le fait de voter pour que d’autres décident à notre place et se marier… Pour se rendre compte ensuite que l’on ne parvient pas à s’entendre, se tromper avec d’autres partenaires sexuels, etc.
Deux exemples qui peuvent surprendre les plus conscients et heurter ceux qui le sont un peu moins, mais c’est pourtant une évidence incontournable. Observer suffit. Notons en passant que le Centre Solaire englobe la plupart des fonctions et du vécu incarnatoire, à savoir qu’il s’occupe du foyer, de la famille, des affaires, du couple, etc. (Disons 70 % de notre vie.)

Le quatrième Centre en montant (« Anahata », « le coup non frappé ») tiens un peu le rôle du fléau dans cette balance formée des trois plateaux (Chakra) du bas et des trois plateaux du haut. Le Centre Cardiaque est en effet au milieu des trois « mondes », à savoir l’astral inférieur et l’astral supérieur. Il représente le mental et l’astral moyen, à savoir une forme de mentalité encore bien teintée d’astral mais qui préfigure l’accès à d’autres niveaux plus élaborés. Ce Centre nous rend capables de comprendre certaines choses, bien que nous ne soyons toujours pas libres de penser complètement et par nous-mêmes.

 

Vient ensuite le Centre Laryngé (Vishuddha Chakra) dont la racine signifie « pur » ou « pureté », est à prendre à l’envers puisqu’il s’agit surtout d’une allusion au fait que justement, ce que nous exprimons (paroles ou actes) ainsi que le comportement qui en découle, ne correspond pas à ce que nous sommes « purement ». Ou mis dans l’autre sens, attendu que nous ne sommes pas « purement nous » (ou seulement nous), ce que nous exprimons est tout, sauf nous !
Ce sont les engrammes d’un mental largement astralisé, qui s’exprime en nous et à travers nous.

Pour le Centre Frontal (qui est un Centre double, voir plus loin), disons que nous allons très facilement nous faire abuser par les mirages de l’astral, nommés par d’autres « illusions du plan psychique » ou encore « la Grande Maya. » Autrement dit, lorsque ce Centre est activé sans guidance ni réelle direction, il est fort possible que les entités les plus complexes (pour ne pas dire « évoluées ») de l’astral s’ingénient à nous faire croire que nous sommes devenus de « grands initiés » et que, désormais, nous sommes sortis de l’illusion.

 

Inutile de préciser que celles et ceux qui passent par cette étape et en vivent les pièges en étant seuls (ou pire, mal accompagnés), ont beaucoup de mal, par la suite, à s’en remettre et donc, à s’en sortir indemnes. Ce que certains persistent à appeler « ego » et qui est en fait le « moi humain » (liés à l’activité accrue du lobe postérieur de la glande pituitaire ou hypophyse) est très sensible à tout ce qui peut le distinguer de ses semblables. Qui n’aimerait pas être parmi les plus rares intelligences humaines ?

Vient enfin le Chakra Sahasrara ou Centre Coronal en français. Il fait allusion à « mille pétales », en fait, à une infinité de rayons différents et donc, de qualités plus ou moins divines différentes. Ce Centre correspond au septième et dernier sous-plan astral. C’est là que se tiennent tous les plus grands initiés de cette planète et qui acceptent, pour quelque temps encore, de Jouer « le Jeu de la Conscience » et, plus particulièrement, de courir le risque toujours possible de se laisser de nouveau endormir par les Forces d’Opposition et de Résistance issues de cette volonté de ne pas disparaître que manifestent les entités astrales.

 

Merci de vous souvenir que si nous, nous jouons notre divinité « au présent » (perdons juste du temps, en somme, à nous croire ainsi limités), eux jouent carrément leur vie ! La pire chose qui puisse leur arriver, c’est que tous les humains, ou presque, se libèrent de leur joug et ce, en même temps (durant la même année suffirait.) Du coup, ces bestioles luttent comme de gros malades afin de nous maintenir dans la fameuse Matrice Artificielle, qui se résume à une façon de penser qui nous coupe de notre potentiel créateur quasi illimité (que certains nomment encore « divinité »)

Est-ce que les Grands Maîtres et assimilés (peu importent les dénominations) sont « avec nous » ? Réponse inquiétante : oui et… Non ! Ce qui est certain, c’est qu’ils ne sont pas « contre nous » mais comme ils se maintiennent sur un sous-plan qui est sous le contrôle plus ou moins étendu d’une sorte de démiurge spirituel qui commande toutes les entités astrales, sans aucune exception (le fameux dieu de l’ancien Testament, par exemple), ils doivent se plier volontairement à certaines exigences. En fait, ils doivent se plier à certaines Règles du Jeu commencé et conduit depuis lors par ceux qui président aux destinées humaines et ce, depuis très, très longtemps.

 

En quoi consiste ce « respect » à certaines règles ? La première et la plus élémentaire de toutes : non-intervention directe ! Ils n’ont pas le droit de nous aider directement (ni trop ouvertement.) Seconde règle : ils ne doivent pas nous instruire les premiers de notre réelle condition d’esclave et de tout ce que nous ratons par ailleurs. Par contre, ils ont le droit de répondre à nos questions et de nous confirmer ou nous infirmer dans certains domaines.

En gros, nous devons tout d’abord nous démerder seuls pour comprendre certains « secrets » et nous pouvons, ensuite, leur demander si c’est vrai ou si nous nous mettons le doigt dans l’œil jusqu’au scrotum. Par contre, ils se doivent de ne pas nous mentir ! Ce qui est un détail important ! Exemple de dialogue possible avec eux, en partant du principe que ce n’est jamais eux qui initialisent le contact, c’est à nous de le faire. Par exemple, nous avons un contact et nous demandons : « Est-il vrai que nous vivons dans une matrice artificielle, différente de l’actualité divine, que nous sommes tous astralisés et incapables de penser par nous-mêmes ? »

 

Et là ils répondront, avec un sourire que c’est exact. Mais si nous voulons aller plus loin, en savoir plus, nous devrons de nouveau « payer en premier », soit leur présenter ce que nous avons déjà compris, afin qu’ils puissent, éventuellement, ajouter le reste ou une partie de la suite. Une fois habitué à ce genre de règle animique, on peut très vite en retirer pas mal d’information et donc, de Lumière (non astrale s’entend.) De tout ce que nous venons de vous présenter, de vous proposer, car vous devez ne retenir que ce qui vous parle pour le moment et rejeter cordialement tout le reste, voici ce qui est sans doute le plus important à retenir et qui, au long de cette lecture, aurait pu vous échapper.

1. Nous vivons tous dans une sorte de programmation appelée souvent « Matrice artificielle. »

2. Cette Matrice est faite d’illusion, certes, mais surtout d’idées qui nous concernent, nous touchent et nous font réagir.

3. Ce sont nos réactions au contenu formel de cette Matrice qui est d’un point de vue technique « juste proposée » qui consistent en une sorte d’accord tacite (« qui ne dit rien consent ») ou de « contrat » avec les entités astrales. Puisque nous prêtons attention à leurs divagations astrales, c’est que nous les trouvons intéressantes. Il n’en faut pas plus pour « contracter », pour accepter, non verbalement, un contrat qui nous oblige, ensuite, à « jouer avec eux, leur jeu à eux et selon leurs propres règles. »

4. Nous n’avons pas besoin de ces entités astrales (ou bestioles) mais elles, par contre, ont un besoin viscéral de nous ou, plus spécifiquement, des énergies que nous pouvons produire à volonté ou presque.

5. La plus grande victoire de ces entités a été depuis toujours de réussir à nous faire croire que c’est nous qui pensons, alors que ce que nous appelons « nos pensées » provient de ces entités et ne sont même pas mentales. Et parce qu’elles ne sont pas mentales mais astrales, nous n’avons aucun pouvoir personnel, aucune créativité réelle qui nécessiterait au moins le plan mental supérieur ou « Supramental » ou encore « Supraconscient. »

6. Bien qu’il soit difficile de s’extraire volontairement de ce songe collégial ou matriciel, ceci est devenu désormais possible, grâce à l’augmentation des énergies terrestres qui n’étaient pas prévues au programme. Il est possible que nous bénéficions d’aide, en fin de compte, mais nous ne devrions pas trop attendre de cette aide et essayer de nous débrouiller seuls. Chacun doit devenir conscient et n’a rien d’autre à faire que de s’occuper de son propre cas.

7. Il faut savoir que le « courant » magnétique ou la relation matricielle qui existe entre nos esclavagistes et nous-mêmes, a toujours été à sens unique. C’est d’ailleurs grâce à cela qu’ils ont toujours conservé le pouvoir sur l’humanité. Ils ont toujours fait en sorte que nous restions dans l’ignorance de leur présence et de ce qu’ils font, car ils savent que si nous prenons conscience de leurs exactions, selon la Loi Cosmique, elles devront cesser immédiatement. S’il n’est pas possible de rendre libre tout le monde ni même quelques milliers, nous pouvons déjà nous libérer nous-mêmes, sortir de la Matrice et, ainsi, donner aux autres l’envie d’en faire autant. L’exemple est de loin le meilleur des enseignements ou des partages. Nous pouvons inverser le courant et de magnétique (astral) le rendre « électrique » (Conscience de Soi).

 

Et il deviendra électrique si nous leur prouvons que nous savons qui ils sont, qui nous sommes et que ce sont eux qui dépendent depuis toujours de nous, et non l’inverse. Ci-dessous une phrase toute simple mais très puissante, que vous devez adresser à ces bestioles sans conscience, pour qu’elles comprennent que, désormais, elles ont perdu un générateur d’astral (vous.)  Les effets, qui dépendent surtout de votre degré d’investissement personnel, vous apprendront que vous êtes libres, désormais, libres comme vous ne l’avez jamais été ! La vie, la Vraie Vie, commencera alors pour vous.

Voici la phrase que vous devez employer, en vous adressant à ces vermines astrales :

« Je sais qui vous êtes, je connais toutes les lois que vous violez encore en vous attaquant à des êtres possédant un Esprit. Je vous conseille de vite vous calmer ou bien c’est ce que je suis qui le fera d’ici peu ! »

 

Serge Baccino

Dimension ou densité

Dimension ou densité ?

On parle beaucoup de dimensions, en ce moment.
Nous serions dans la 3e, apparemment. Les gens désirent changer de dimensions, mais ils se trompent de problème et ainsi, ils se tromperont de solution. Ils se sont même déjà trompés, en fait ! Tous attendent qu’il se passe quelque chose, d’extérieur et, si possible, sans qu’ils aient à lever le petit doigt.

Les gens ne sont pas dépendants ; ils sont totalement dépendants de l’extérieur et des autres ! Pourquoi attendent-ils un changement global extérieur ? Réponse : parce qu’ils pensent être les victimes d’une dimension dans laquelle ils n’ont aucun pouvoir. Et quand on a aucun pouvoir, forcément, nous dépendons de quelque chose d’autre que nous ou de quelqu’un d’autre.

En somme, et pour résumer le contenu mental de la plupart des gens de notre époque, nous vivrions tous dans un Monde qui ne nous permet pas de prendre notre vie en main, d’être libre et de pouvoir obtenir tout ce dont nous avons besoin. Lorsque nous affirmons que nous sommes tous différents, la chose paraît logique à tous et personne ne trouve à y redire.

Mais si nous disons, par exemple, que nous vivons dans autant de Mondes qu’il y a d’êtres vivants et conscients sur cette Terre, plus personne ne suit et certains crient même au complotisme. Ne sachant quoi dire d’autre ! Pourtant, et puisqu’il paraît acceptable de dire que nous sommes tous différents, comment pourrions-nous être, dès lors, dans un seul et même Monde mental ?

Chaque Monde, chaque dimension est de nature mentale. Comme le dit l’Axiome Hermétique : « Le Tout est esprit, l’univers est mental. » Comprenez-vous ce qui représente à la fois le problème et la solution ? Non ? Pas encore ? Mais ça va venir ! Donc, nous sommes tous différents. Du moins à la base ou au départ. Ce qui signifie que le contenu de notre mental DEVRAIT être différent du contenu mental d’un autre.

Pourtant, les gens affirment vivre dans un seul et même Monde ! Comment cela est-ce possible, attendu que c’est le contenu mental différent en chacun de nous, qui fait justement cette différence ? La réponse est là, sous notre nez et ce, depuis toujours. Du moins, depuis notre naissance. Nous avons tous reçu une éducation de nos parents. Nous avons tous reçu un enseignement scolaire, plus ou moins long, mais tous, nous y sommes passés, que cela nous ait plu ou que la chose nous ait fait braire.

Et si l’éducation et l’enseignement étaient une sorte de piège vicieux tendu par les instances planétaires dirigeantes ? Ceux que l’on nomme « l’État Profond », ou « Deep State » ? Et si, par la suite, la vie sociale, le travail, les médias et autres œuvres littéraires plus ou moins intéressantes, avaient toutes concouru, chacun et chacune à leur mesure, à nous maintenir dans une sorte de nasse virtuelle constituée d’une manière de penser unique ?

Et si la peur de ne pas correspondre à la masse populaire, d’être rejeté, mal aimé ou critiqué, nous maintenait ensuite dans les limites de la bien-pensance, de laquelle on ne peut sortir sans être du même coup frappé d’ostracisme ? Alors quoi ? C’est quoi la différence entre les dimensions et la densité ? Réponse : quelle que soit la dimension, même en 3D, nous pouvons nous sentir libres et heureux, cela en possédant une âme de faible densité.

La  dimension est un niveau expérientiel. C’est juste un « lieu de l’esprit » grâce auquel nous pouvons expérimenter certains états d’être, impossible à expérimenter ailleurs. La densité est ce qui différencie une âme saine et libre (légère) de toutes celles qui ne le sont pas encore, qui sont alourdies par des processus mentaux et des sentiments qui offrent la couleur et le poids du plomb.

 

Serge Baccino