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Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Les alvéoles matricielles

Les alvéoles matricielles

Comme vous le savez déjà, nous ne pensons pas : nous sommes pensés. Et lorsque nous réagissons à nos processus mentaux supposés « nôtres », nous ne sommes même pas libres du choix de ces mêmes pensées en réaction. À la question existentielle bien connue : « Sommes-nous vraiment libres ? », la réponse est nécessairement non.

Si nous ne sommes même pas capables de penser par nous-mêmes et si au mieux, nos pensées « en réactions » proviennent de nos enregistrements mentaux préalables, comment pouvons-nous affirmer que nous sommes libres ? La Voie de la Siddha explique que nous sommes libres aussi longtemps que nous ne pensons pas. Après la pensée, nous ne sommes plus libres.

Certains ont cru comprendre dans cette sentence que la pensée nous lie, qu’une fois que nous avons émis une pensée, nous devenons obligés de la suivre. Surtout si cette pensée nous oblige ou nous engage d’une quelconque façon. (Exemple : « Je viendrai à ton rendez-vous… ») En réalité, ce n’est pas ainsi qu’il faut comprendre cette sentence plus complexe qu’il n’y paraît.

De même que cette autre sentence en sanskrit originel : « Jnanam bandam », qui est généralement traduite par « La connaissance est servitude ». La traduction plus précise devrait être « La connaissance nous lie. », Car le mot sanskrit « bandam » se traduit plutôt par « ligature » ou « lien. »

La seconde définition, « lien » nous semble plus précise et en rapport avec le sujet central de cet article. Bien que nous puissions aller encore plus loin dans l’affinement de cette traduction et remplacer « la connaissance » par « ce que nous savons déjà » ou mieux encore, « ce que nous sommes habitués à penser. » En effet, la connaissance n’est pas une mauvaise chose en soi, chacun peut en juger. Par contre, nos habitudes de penser peuvent poser un sacré problème à notre liberté.

Et manquer de liberté revient à être esclave. Esclave de nos processus mentaux récurrents. Et quand on sait que ces mêmes processus mentaux nous sont pour ainsi dire imposés, que ce n’est même pas nous qui pensons mais que « ça pense » automatiquement en nous et d’une manière récurrente, nous comprenons mieux ce que voulaient dire les premiers Maîtres Siddha. « Jnanam bandam » signifie donc que « nous sommes liés par nos processus mentaux », que nous sommes prisonnier de ces derniers, parce qu’ils se trouvent déjà en nous et qu’ils tournent en boucle dans notre mental.

Pourtant, les canons de la connaissance issue du Shivaïsme du Cachemire nous apprennent que notre nature essentielle ou première est d’être totalement libres ! Comment pourrions-nous être libres alors que nous ne sommes même pas capables de penser seuls ou volontairement ? La réponse est dans la question, comme très souvent. Nous sommes prisonniers de nos pensées, pas prisonniers par défaut ou de nature !

Pour le dire autrement, c’est quand nous pensons que nous ne sommes pas libres. Plus exactement, c’est quand nous croyons penser librement que nous devenons esclaves de nos processus mentaux. C’est donc bien le fait de penser qui nous prive de liberté. Si nous ne pensons pas ou si nous ne pensons plus, nous redevenons immédiatement libres. Spontanément !

À ce stade, deux questions supplémentaires se posent d’elles-mêmes. La première : « Les gens sont-ils conscients de ne pas penser librement, d’être sans cesse régis par leurs processus mentaux ? » La réponse est : « Non, ils ne le savent pas, cela parce qu’ils sont occupés à penser et sont, de ce fait, investis totalement dans leurs processus mentaux. » Si vous préférez, pour qu’ils en soient conscients, il faudrait qu’ils cessent de penser ! Tandis qu’ils pensent, ils deviennent ce qui est pensé, à savoir, le contenu formel de ces pensées.

Nous avons déjà appris que « l’homme est ce qu’il pense » ou que « l’homme s’identifie toujours à ses processus mentaux. » Mais désormais, nous ne saurions nous contenter de ces demi-vérités. En effet, affirmer que l’homme est ou devient ce qu’il pense, revient à affirmer que c’est bien lui qui pense ainsi ! Or, nous comprenons, à présent, que l’homme est pensé, qu’il ne pense pas (de son propre chef ou librement.)

Nous devrions donc remplacer l’ancienne formule par « L’homme s’identifie toujours aux pensées qu’il croit être siennes, alors qu’il est pensé et ne pense pas lui-même. » Nous ajouterons, pour faire bon poids, que l’homme ne peut pas faire autrement que d’en être réduit à de simples processus mentaux dont il n’est même pas l’auteur, cela parce que tandis qu’il pense, il ne peut pas être conscient. Pour être plus exact encore, tandis qu’il pense, l’homme ne peut pas avoir conscience d’autre chose que de ces pensées qui tournent en son mental (La Roue du Samsara.)

Au risque d’être accusés de couper les cheveux en quatre, nous pourrions avancer l’idée intéressante que l’homme n’est pas autre chose que de simples processus mentaux. Si quelque chose est « libre », ce sont les pensées, pas l’homme qui en est la victime plus ou moins consentante ! Ainsi, ce que l’on appelle l’homme se résume à des trains d’ondes mentales, à de l’esprit conditionné sous forme de pensées. Ce sont ces pensées qui forment notre humanité.

Nous présentions, plus haut, une idée intéressante, du moins si on la couple avec son autre polarité. Il a été dit que si nous pensons, nous ne pouvons pas être conscients d’autre chose que de ces pensées. C’est ce qui donne naissance à la conscience objective, en grande partie relative aux processus mentaux. Mais si nous ne pouvons pas être conscients tandis que nous pensons, la proposition inverse doit être tout aussi valable.

Tandis que nous sommes conscients, nous ne pouvons pas penser ! Si les pensées réapparaissent, la conscience disparaît, et inversement. N’importe quel débutant, en méditation passive, comprend très vite que de demeurer « sans pensées » est au moins très difficile ! Dès que notre attention mentale se détourne de la conscience pure (ou sans pensées), voilà les pensées qui reviennent au galop ! Comme si cet état de fait consistait en notre naturel, pour ne pas dire à notre seule façon d’être ou d’exister. C’est du moins ce que les Archontes aiment à nous faire croire.

Pourtant, nous avons tous expérimenté ces moments sans aucune pensée qui s’agite dans le mental. Mais ces moments sont aussi rares qu’inutiles selon la plupart. Si nous devions dresser un graphique de ce sujet, nous tracerions un cercle et nous écririons dedans « Conscience ». Puis, sur la même ligne, nous dessinerions un triangle et marquerions dedans « pensées » ou « esprit formel ». Enfin, en troisième position, toujours sur une même ligne, nous tracerions un carré incluant la mention « corps. »

En reliant ces trois schémas, nous en arriverions à la conclusion que la conscience à besoin de l’esprit et donc, des pensées, pour être perçue par le corps ou l’informer d’une quelconque façon. Mais ce serait complètement faux ! (Voir schéma ci-dessus.) En réalité, la conscience ne peut pas se passer du corps qui seul peut la manifester pleinement sur ce plan de conscience. Par contre, elle peut très largement se passer de l’esprit formel, autrement dit, des pensées ! Pour être tout à fait juste, les pensées trahissent la conscience plus qu’elles ne la servent !

Ce que nous nommons généralement « conscience », n’est en fait que le résultat de nos processus mentaux. Mais ce n’est pas encore la vraie conscience, celle qui rend l’homme libre et serein. On parle beaucoup de Souveraineté, à notre époque. Quelle sorte de souverain serions-nous si nous étions tributaires de processus mentaux dont nous ne sommes même pas à l’origine ? Est dit « Souverain » celui qui est capable de faire cesser le babillage des pensées incessantes qui tournent inlassablement dans le mental.

Revoyons une fois de plus cette célèbre phrase attribuée à Jésus : « Je suis dans ce monde mais je ne suis pas de ce monde… » Qu’est-ce que cela peut bien signifier, entre autres façons de comprendre cette mystérieuse phrase ?

Cela peut signifier que tandis que le corps du Maître de Galilée est bien présent dans ce monde de la 3D, son Essence véritable, à savoir sa Conscience d’Être, ne participe pas de ce monde, car elle n’a pas besoin de passer par la pensée pour toucher le corps ou pour l’animer. Jésus devait être Supraconscient et capable de demeurer de longues heures sans aucune pensée venant s’agiter dans son mental pleinement illuminé.

Mais allons encore plus loin, au risque de frôler la science-fiction ! Que signifie, en somme, être incarné ? Peut-on être incarné sans incarner quelque chose ? Et que pourrions-nous incarner, si ce n’est un état d’esprit général, aussi particulier qu’unique, si possible ?

Nous incarnons une manière d’être, un état d’esprit formel et très précis, qui fait de nous et, par exemple, une femme ou un homme digne d’intérêt et de confiance ou bien et à l’inverse, une femme ou un homme inutile à la collectivité et malhonnête au possible. C’est donc notre état d’esprit qui nous incarne. Mais pour cela, nous devons… Penser ! Et ce sont nos processus mentaux qui nous caractérisent et nous permettent « d’incarner » telle sorte de femme ou telle sorte d’homme.

En somme, dès que nous pensons, que nous laissons aller en notre mental la ronde incessante des pensées plus ou moins utiles, plus ou moins constructives, nous incarnons bien quelque chose nommé « personnalité humaine. » OK, mais alors, quand nous sommes juste conscients et que, de ce fait, nous n’incarnons rien du tout, que sommes-nous à ce moment ?

Réponse : nous sommes la Conscience, nous sommes Shiva, la Pure Présence qui repose en elle-même. À ce moment, il n’y plus de monde, de dimensions, de densité, de personnalité ou de « moi » (ego) : il n’y a que Cela que nous sommes lorsque de simples processus mentaux ne nous incarnent pas de force ! Dès que nous pensons, nous nous réincarnons ! Dès que nous cessons de penser, nous n’incarnons plus rien du tout, nous sommes « Neti, neti », c’est-à-dire ni ceci, ni cela mais juste de la Conscience Pure.

À présent, imaginons la Conscience qui « glisserait » au-dessus d’alvéoles comme celles qui sont construites par les abeilles. Chaque alvéole consiste en une façon de penser, de concevoir la vie et les autres et donc, d’incarner une certaine manière de se positionner par rapport au reste de l’univers, autant dire au reste des alvéoles.

Imaginons ensuite, que la conscience, au lieu de « slider » au-dessus des alvéoles, ait son attention mentale d’attirée par l’une de ces alvéoles lui paraissant plus prometteuse que les autres… La Conscience se glisse dès lors dans cette alvéole et se met à utiliser les outils présents, à savoir une certaine façon de penser.

Dès cet instant, nous avons « une incarnation », un rôle que le Soi se met à jouer pour son propre plaisir. D’ordinaire, la conscience s’oublie au sein non pas de « la matière », mais du fait qu’il y a « matière à penser », si l’on peut dire. Le vrai problème n’est donc pas que la conscience s’amuse à se prendre pour tel ou tel autre personnage mais bien dans le fait qu’elle puisse oublier qu’elle n’est pas ce personnage et même, qu’elle peut en changer à volonté.

On devine aisément que le travail principal des Archontes a toujours été de nous inciter à oublier de plus en plus que nous jouons un simple rôle. À un moment donné, la conscience s’imagine « mourir » au sein d’un rôle défini et n’a pas d’autres options, pour continuer à se produire, que de renouveler l’expérience. Mais cette fois, c’est un rôle qui essaye d’en jouer un autre, plus un Soi libre et Conscient qui décide change de de rôle.

Pour terminer, je vous demande de méditer quelques minutes sur ce passage de la Bible, dans la Genèse, chapitre I, versets 1 à 2 :

01 AU COMMENCEMENT, Dieu créa le ciel et la terre.
02 La terre était informe et vide, les ténèbres étaient au-dessus de l’abîme et le souffle de Dieu planait au-dessus des eaux.

Le « souffle de Dieu », « Ruach », en Hébreu, est une allusion à l’esprit informel qui est au départ séparé de la Force Vitale qui ne lui a pas encore donné « Vie, Force et Durée » (Ankh, Djed, Ouas, en Égyptien.) A vous d’imaginer la suite…

 

Serge Baccino

 

Dimensions et densités

Dimensions et densités

On parle beaucoup de dimensions, en ce moment.
Nous serions dans la 3eme, apparemment. Les gens désirent changer de dimensions, mais ils se trompent de problème et ainsi, ils se tromperont nécessairement de solution. Ils se sont même déjà trompés, en fait ! Tous attendent qu’il se passe quelque chose, d’extérieur et, si possible, sans qu’ils aient à lever le petit doigt.

Les gens ne sont pas dépendants; ils sont totalement dépendants de l’extérieur et des autres ! Pourquoi attendent-ils un changement global extérieur ? Réponse : parce qu’ils pensent être les victimes d’une dimension dans laquelle ils n’ont aucun pouvoir. Et quand on a aucun pouvoir, forcément, nous dépendons de quelque chose d’autre que nous ou de quelqu’un d’autre.

En somme, et pour résumer le contenu mental de la plupart des gens de notre époque, nous vivrions tous dans un Monde qui ne nous permet pas de prendre notre vie en main, d’être libre et de pouvoir obtenir tout ce dont nous avons besoin. Lorsque nous affirmons que nous sommes tous différents, la chose paraît logique à tous et personne ne trouve à y redire.

Mais si nous disons, par exemple, que nous vivons dans autant de Mondes qu’il y a d’êtres vivants et conscients sur cette Terre, plus personne ne suit et certains crient même au complotisme. Ne sachant quoi dire d’autre ! Pourtant, et puisqu’il paraît acceptable de dire que nous sommes tous différents, comment pourrions-nous être, dès lors, dans un seul et même Monde mental ?

Chaque Monde, chaque dimension est de nature mentale. Comme le dit l’Axiome Hermétique : « Le Tout est esprit, l’univers est mental. » Comprenez-vous ce qui représente à la fois le problème et la solution ? Non ? Pas encore ? Mais ça va venir ! Donc, nous sommes tous différents. Du moins à la base ou au départ. Ce qui signifie que le contenu de notre mental DEVRAIT être différent du contenu mental d’un autre.

Pourtant, les gens affirment vivre dans un seul et même Monde ! Comment cela est-il possible, attendu que c’est le contenu mental différent en chacun de nous, qui fait justement cette différence ? La réponse est là, sous notre nez et ce, depuis toujours. Du moins, depuis notre naissance.

Nous avons tous reçu une éducation de nos parents. Nous avons tous reçu un enseignement scolaire, plus ou moins long, mais tous, nous y sommes passés, que cela nous ait plu ou que la chose nous ait fait braire. Et si l’éducation et l’enseignement consistaient en une sorte de piège vicieux tendu par les instances planétaires dirigeantes ? Ceux que l’on nomme l’État Profond, ou le Deep State ?

Et si, par la suite, la vie sociale, le travail, les médias et autres œuvres littéraires plus ou moins intéressantes, avaient toutes concouru, chacun et chacune à leur mesure, à nous maintenir dans une sorte de nasse virtuelle constituée d’une manière de penser unique ? Et si la peur de ne pas correspondre, d’être rejeté, mal aimé ou critiqué, nous maintenait ensuite dans les limites de la bien-pensance dont on ne peut sortir sans être frappé d’ostracisme ?

Alors quoi ? Ne pourrions-nous pas être tous physiquement en ce Monde, dans cette dimension, donc, tout en ayant chacun de nous, un mental fonctionnant dans une certaine densité ? D’aucuns souffrent de confusion mentale ou ne réussissent plus à séparer le bon grain de l’ivraie, tandis que d’autres ont un état d’esprit aussi léger qu’une plume et vivent une vie qui semblerait aux premiers quelque peu paradisiaque. Comment cela se peut-il ?

Cela se peut du fait de la densité mentale, à savoir non seulement du contenu formel du mental mais aussi, de son degré d’implication dans ce Monde de basses vibrations. Imaginez que votre mental ait un poids ! Ce poids serait fonction de la quantité et de la qualité vibratoire des pensées formant l’état d’esprit général.

Quelqu’un, qu’il est devenu inutile de nommer, aurait dit :  » Je suis dans ce monde mais je ne suis pas de ce monde… » Ne pourrions-nous pas en faire de même ? Alors voici une question qui mérite une attention bienveillante au moins : ne pourrions-nous pas vivre même en 3D, comme disent les gens instruits et, en même temps, bénéficier d’un mental si « aérien » (haute fréquences) qu’il pourrait aussi bien fonctionner en 5 ou en 6D, voir plus ?

 

Serge Baccino

 

Matrice artificielle et Gestionnaires planétaires

Matrice artificielle et Gestionnaires planétaires

Nota : ceci est un dossier, pas un simple article. Le nombre de paragraphe étant plus important, cet exposé est  un peu plus long à lire. Merci de votre attention et bonne lecture !

 

Voici un texte qui nous semble utile à toutes et à tous, mais que seulement quelques personnes considéreront comme un « laissez-passer » spirituel. Avant toute chose, sachez qu’il n’est pas utile de croire. Surtout pas ! Il y a déjà assez de croyances comme cela ! Il n’est pas non plus utile de tout rejeter ou de tout prendre pour argent comptant. Ne retenez que ce qui vous semble utile et laissez donc le reste. Tout le reste, s’il le faut. Vous êtes libres, cela si vous souhaitez le devenir vraiment. Mais sachez néanmoins que votre degré de liberté réelle se mesurera toujours à votre capacité à comprendre la vie, telle que vous ne la connaissez pas encore. L’ancien n’apporte rien. Le connu est ce qui nous permet d’éviter l’inconnu. La mesure de votre savoir sera donc votre aptitude à vous servir d’autre chose que ce qui se trouve déjà engrammé dans vos Mémoires.

Voici donc un texte dont vous devrez juger vous-mêmes de l’intérêt pour vous et pour vous seul. Faites toujours au mieux pour vous, car vous serez toujours le seul à vraiment vous vouloir du bien.
Alors pourquoi ne pas commencer maintenant, là, tout de suite ?Depuis le plan astral, celui de la fausse lumière s’entend, des entités peu recommandables mais tributaires de notre énergie humaine, font l’impossible, en ce moment, pour nous envoyer des pensées de doute, de déception, de découragement et appuient du mieux qu’ils peuvent, sur les boutons de la colère et du ressentiment (entre autres.)

 

Nous pourrions prétendre qu’il est inutile, ou presque, de nous questionner à ce sujet, puisqu’ils font ces choses depuis des milliers d’années et ce, au travers de ce que nous appelons, désormais, « la Matrice artificielle » (pour la distinguer de la Matrice Divine, la précédente, l’originale ou « la vraie. ») Et depuis, non seulement nous subissons leur esclavagisme mais de plus, nous avons fini par nous y habituer. À présent, c’est changer, s’améliorer qui nous apparaît peut-être comme quelque peu terrorisant.

 

Certaines personnes, soucieuses de précisions, fort inutiles par ailleurs, ont proposé des noms pour ces bestioles-là, véritables parasites psychiques incapables de produire leur propre énergie animique et donc obligés, pour survivre, de voler celle produite par les humains (entre autres.) Nous pourrions nous inquiéter de savoir si nous allons être mangés par des « Grands Gris », des « Archontes » ou des « Lézards » (martiaux) mais in fine, quelle différence cela fera de connaître, l’historique, le nom ainsi que les caractéristiques précises de ceux dont le seul but est que nous finissions dans leur estomac psychique ?

 

De même, il existe une pléthore d’êtres, humains ou pas, qui sont censés venir à notre secours, nous libérer, nous les humains, alors même que la plupart d’entre nous ne se savent même pas esclaves. Quand ce ne sont pas des hommes politiques puissants et en vue, ce sont des commandants de flottes galactiques et, il se pourrait même que des centaines de vaisseaux spatiaux, viennent se poser sur Terre et embarquent les « élus » pour les conduire sur une autre planète…

 

Et si une nouvelle manière de penser et un nouveau Principe Directeur de nature « extraterrestre » du fait qu’ils n’ont jamais eu droit de citer en ce Monde, nous permettaient de nous propulser sur d’autres plans de conscience ? Ne serait-ce pas la même chose ? Et croyez-vous vraiment que tous les humains accepteraient de changer d’état d’esprit, juste comme ça, du jour au lendemain, après une prise de conscience aussi globale que salvatrice ? Est-ce que ceux qui y arriveraient pourtant ne seraient pas en mesure de s’élire eux-mêmes au lieu d’attendre d’être élus ? Alors, selon vous, il y a erreur ou seulement mauvaise interprétation d’ondes télépathiques envoyées depuis des plans supérieurs dans le but de nous aider ?

 

Mais nous aider n’est pas « faire à notre place » ! Aider peut consister à montrer la voie, en partant de la prémisse que c’est à nous de nous lever et de nous mettre en marche. Nulle révolution extérieure ne sera jamais capable de changer les choses. Surtout quand ces mêmes choses sont intérieures ! La véritable Matrice à détruire est dans notre mental, pas à l’extérieur et autour de nous, même si les deux peuvent sembler étroitement liés. Et c’est par l’évolution que nous pouvons tout changer et cela implique que nous devenions nous-mêmes ce changement que nous croyons voir « à l’extérieur » ou dans ce Monde.

 

Ainsi, et au sujet qui nous occupe, à savoir les diverses bestioles qui se servent de ce Monde des humains comme d’un vulgaire garde-manger, il semble plus important d’expliquer, voire de rappeler aux derniers venus dans cette connaissance des faits, les grandes lignes du sujet, plutôt que de verser dans des détails qui ne peuvent intéresser que l’intellect, toujours soucieux de collectionner puis de classer, afin de ne pas avoir à traiter l’info correctement, c’est-à-dire que l’intellect aura vite fait de placer ce nouveau savoir fort peu encourageant, sur le dessus poussiéreux d’une étagère de notre subconscient. Ce qu’il nous faut savoir c’est :

1. Que nous veulent ces entités ?
2. Comment font-elles pour se nourrir sur notre dos ? (La partie la plus longue à expliquer.)
3. De quel droit, par quel miracle peuvent-elles ainsi nous maintenir en esclavage sans que nous le réalisions ?
4. Comment les empêcher de nous pomper l’âme et, éventuellement, comment les mettre en PLS ?

C’est ce que nous allons voir ensemble et dans ce dossier.
Commençons par le commencement, nous serons toujours à temps d’en apprendre plus sur nos tortionnaires, une fois que nous nous en serons débarrassés.

 

1. Que nous veulent ces entités ?

Réponses : elles veulent certaines de nos énergies, en particuliers celles que nous produisons très facilement et sans limites véritables. OK, mais quelles énergies ? Surtout l’énergie astrale qui, pour ces bestioles, fait office de vitalité, de force et leur permet de conserver une âme, bien incapable de se faire durer elle-même, voire de se restaurer en cas de pépin. Le fait de savoir pourquoi ces entités astrales sont ou sont devenues incapables de se sustenter elles-mêmes importe vraiment peu. Du moins pour le moment. De même, il n’est guère utile de connaître la date précise de leur venue ou quand a commencé tout ce cirque. Nous le saurons de toute manière, tôt ou tard. Si vous marchez au bord d’une rivière et qu’un crocodile vous attaque, avez-vous besoin de savoir ce qu’il fait là, pourquoi et quelle est l’origine de sa famille de sauriens ? Les bestioles veulent notre énergie astrale parce qu’elles en ont un besoin vital, point barre ! À nous de voir si nous désirons vraiment continuer à les nourrir.

2. Comment font-elles pour se nourrir sur notre dos ?

Réponses : Pour y répondre, même grosso modo, il va nous falloir un peu plus de temps. Une entité astrale ne peut vivre et « se produire » que dans un environnement qui lui convient. Une entité astrale a donc besoin d’énergie astrale pour être en capacité d’être et de s’exprimer. Jusque-là, rien de très révolutionnaire, n’est-ce pas ? Oui, mais attendez la suite. Personne ne dis ici que cette énergie astrale est « naturelle », dans le sens où elle pourrait être disponible à volonté, même si personne ne s’en sert pour quoique ce soit ! Voilà le « détail » qui va changer toute la donne, comme vous le comprendrez plus loin. Donc, l’énergie dite « astrale » n’est pas quelque chose qui pourrait être comparable à l’eau, l’air ou la roche, par exemple.

Elle n’existe pas et n’est pas disponible de manière naturelle. Si personne ne la produit, elle n’est pas produite ! Mieux encore : si elle est produite mais qu’elle n’est pas continuellement « alimentée » (engendrée), elle s’épuise puis disparaît. Captez-vous ce second « détails » ? De là à dire que nos bestioles ont un besoin viscéral de l’énergie astrale pour vivre et se produire (continuer à avoir une âme, en gros), il n’y a qu’un pas, que je vous invite à franchir gaiement ! C’est pour cela que ces bestioles ont BESOIN de nous.

 

Ensuite, nous devons comprendre que ne sortant pas de l’astral, quels que soient les sous-plans envisagés, tout ce qui provient de ces entités est et demeure de nature astrale. Et l’être humain produit de l’astral mieux qu’une véritable usine atomique, cela par le biais des émotions. Les émotions ont la même fréquence que l’astral et donc, que lesdites bestioles. Et pour que tout fonctionne au mieux pour les entités et au pire pour nous, il faut que notre mental soit lui aussi réglé, voire taré sur la fréquence astrale. Les bébêtes font donc tout ce qui est en leur pouvoir (voir plus loin) pour maintenir notre esprit conscient dans les limites de la fréquence astrale.

Mais comment elles s’y prennent ? Elles agissent par la pensée, puisque c’est notre mental qui doit être et rester « astralisé ». Les entités astrales ont le pouvoir (très relatif) de nous envoyer des pensées produisant de plus ou moins fortes émotions. Lorsque ça marche, c’est-à-dire lorsque nous nous montrons RÉCEPTIFS à ces longueurs d’onde mentales très basses (puisque astrales) nous « produisons » de l’énergie astrale pour les nourrir durant des mois !
En résumé, les pensées les plus négatives (haine, colère, rancune, jalousie, etc.,) sont celles qui, en retour, lorsqu’elles sont accueillies puis transformées par le complexe énergétique humain, produisent le plus d’énergie astrale.

 

Mais comment font-ils pour nous imposer ces pensées ? En réalité, et c’est là le pire et le plus difficile à croire, à accepter puis à digérer. Ces pensées négatives en diable ne nous sont pas vraiment « imposées ». Du moins, pas dans le sens attribué à ce terme. En vérité, nous les acceptons, quand nous ne les souhaitons pas, carrément ! Cela est dû à notre éducation, à notre enseignement scolaire puis à notre vie sociale ordinaire. Dans la vie d’un être humain, tout a été savamment orchestré pour qu’il accepte certaines croyances et idées formant ensuite son bagage mental usuel. À leur tour, ces croyances et idées hautement débilitantes, vont faire les choux gras de nos bestioles assoiffées d’humain.

 

Prenons un exemple concret. On vous a enseigné qu’il fallait être honnête et droit, juste et véridique (pour les plus atteints). Imaginons, à présent, que vous soyez trahis par un ami intime. Qu’allez-vous ressentir ? Dans l’ordre croissant, voici : Au mieux, de la déception (votre fréquence mentale va donc commencer à chuter). Ensuite, de la colère : vous ne l’aviez pas vu venir et vous vous en voulez autant que vous pourriez en vouloir à l’autre (la chute fréquentielle se poursuit.) Puis votre colère va devenir équivoque, car vous ne saurez plus faire la différence entre votre colère contre votre ex-ami, et celle qui consiste à comprendre que c’est votre éducation et les valeurs qu’elle est censée défendre qui vous ont foutus dans cette Mélasse !

 

Vous risquez même de penser, à force, que d’être honnête ne paye jamais ! Pour les plus réactifs, il y aura peut-être un désir de vengeance, de la haine, etc. Autant de concepts mentaux dont la fréquence approche celle du plan astral inférieur. Mais bon : pour les entités « bestiolesques », tout ce qui est astral « fait ventre » comme on dit. Seules les plus hautes fréquences astrales consistent en très peu de nourriture digne de ce nom pour elles.

3. De quel droit, par quel miracle peuvent-elles ainsi nous maintenir en esclavage sans que nous le réalisions ?

En fait, selon les personnalités, leur caractère et leur degré d’authenticité, surtout, de plus en plus de gens commencent à se douter de quelque chose de pas très net. Certains ont beau montrer le plan physique dense et dénoncer un complot littéralement planétaire, les plus intelligents d’entre nous commencent à se douter qu’aucun être humain, tel que nous le connaissons, ne serait assez puissant, intelligent et même, organisé, pour inventer un tel complot et, surtout, le conduire en secret durant une si longue durée. Car la vie sur Terre a toujours été plus ou moins ce qu’elle semble être aux yeux des moins aveugles volontaires, non ? Il y a toujours eu des gens, au-dessus des autres, pour les mettre en état d’esclavage plus ou moins apparent, plus ou moins outrancier. Qui oserait dire le contraire ?

Ainsi, s’il y a « complot » ou, plus précisément, si on a pu nous maintenir ainsi en esclavage quasi volontaire (et donc plus ou moins conscient) depuis tant de siècles, c’est bien parce que quelque chose qui n’évolue pas, ne meurt pas (les humains meurent tous) et conserve toujours l’avantage sur les humains, gère les destinées de ce Monde.

 

Comprenez qu’aucun groupe d’êtres humains ne serait capable de transmettre un tel pouvoir quasi absolu, même dans le plus grand secret et en occupant les places les plus en vue et respectées. Tôt ou tard, leur complot aurait été éventé et la masse les aurait absorbés. Mais s’il y a des entités non humaines dont le seul souci est de nous maintenir sous la barre vibratoire astrale afin de se nourrir sur notre dos, n’ont que ça à faire, de siècles en siècles, alors il devient évident que ceux qui se retrouvent à chaque fois au pouvoir temporel terrestre, sont surtout ceux choisis et placés par ces mêmes archétypes astraux (à noter que le mot « Archonte » est tiré de « arché », c’est-à-dire « commencement » ou même « modèle ») ou bestioles immondes.

 

Enfin, il faut bien avouer que l’être humain est un ignorant peu commun ! Il ne sait même pas qui il est, quels sont ses droits, attributs ou pouvoirs. Il ne sait ni d’où il vient, ni où il va. Et rien n’est plus facile que de rouler dans la farine un être qui ignore tout de lui-même ! Tout ce qui lui sera proposé et qui correspondra un minimum avec ce qu’il pense déjà de lui, sera accepté comme vérité et ne sera que très rarement remplacé par la suite. Voire jamais ! Ainsi, c’est l’ignorance de l’homme qui l’a rendu accessible aux pensées astralisées. Cela l’a branché sur l’astral et, depuis, il lui semble que son vécu est ordinaire, cela parce qu’il ne connaît rien d’autre que ce qui se trouve déjà dans son âme et donc, dans ses Mémoires. Il s’imagine savoir qui il est et ne quittera pas cette croyance pour tout l’or du monde !

 

À l’origine (et peu importe quand), les premières pensées humaines ont été implantées comme base psychologique de départ. Souvenez-vous que le nom du Chakra « Muladhara » (le premier, tout en bas) signifie : « le support de la racine. » Question : pourquoi une racine aurait-elle besoin d’un support ? Ne peut-elle être directement plantée en terre ? En fait, ce Chakra se résume à ce qui va accueillir les tout premiers concepts mentaux servant de base pour enraciner l’état de servitude morale. Ensuite, il suffit de bombarder l’humanité de concepts allant dans le même sens que ces bases mémorielles pour que tout ce fatras de fausses connaissances soit accepté sans broncher. Par exemple, vous abritez l’idée que la vie est difficile. Si on vous envoie la pensée (à la noix) que vous devez « faire des efforts pour gagner votre vie », vous accepterez cette idée sans sourciller. C’est le Principe de Correspondance, mais employé contre l’humain. Ici, le « haut » est remplacé par l’idée de base, et le « bas » par l’idée secondaire ou associative. Dès lors, « ce qui est en haut » (dans votre mental astralisé), sera « comme ce qui est en bas » (votre vie sociale, en tant que résultat.)

Et à propos de croyance… Quel effet peuvent bien avoir les croyances sur la nature humaine ? Pour le comprendre, il faut partir dans l’autre sens, si l’on peut dire et se poser cette question très importante : « De quoi ont besoin des esclavagistes pour nous soumettre sans que nous puissions nous rebeller ? » La réponse tombe comme un couperet : de la peur ! De la plus basse fréquence astrale qui soit et surtout, la plus « nourrissante » pour nos parasites spirituels. Mais la peur de quoi ? Ce ne sont pas les différents types de peur qui manquent ! La peur d’être abandonné, d’être seul, de ne pas être aimé ou accepté mais rejeté, de perdre ceux que l’on aime, de perdre ce que l’on possède, de ne jamais posséder ce que l’on convoite, de perdre la santé (pensez aux fameux « vaccins »), d’être puni, d’être battus, d’être tué, etc. Si vous êtes acheteur, il y a matière à vendre !

 

Donc, imaginons, cela tout à fait au hasard, n’est-ce pas, que l’on puisse faire CROIRE à l’homme qu’il est paumé, lorsqu’il est seul et livré à lui-même et qu’il a besoin, pour s’en sortir, d’être guidé et protégé. Oui, mais qui pourrait ainsi guider et protéger un être humain ? Réponse proposée au hasard : un Dieu, par exemple ? Cool ! Le top, allez nous achetons pour les besoins de notre petite démonstration. Ensuite ? Pourquoi pas cette idée que sur Terre, pour être libre et heureux, il faut beaucoup d’argent ? Youpi ! C’est évident ! Nous achetons aussi ! Allez, pour la route, un dernier exemple : L’union fait la force : un être seul est faible, il doit à tout prix se retrouver groupé à d’autres sinon, il ne réussira jamais à rien. Et nous achetons aussi, pour le fun !

Résultats : dans le premier cas, il y a intérêt qu’il y ait effectivement un Dieu pour tous car, sinon, il faudra en inventer un par catégorie de programmés… Pardon, d’être humain. Et s’il n’y en a pas ? Pas grave, l’humain est ignorant par défaut, il croira si d’autres humains se prétendent « envoyés de Dieu » et détenir « la parole écrite du Divin » (car Dieu est muet et ne sait qu’écrire, c’est ballot.) Bon, évidemment, il faudra inventer des raisons d’avoir peur de Dieu, en plus du Diable, car sans peur, pas de carburant astral, n’est-ce pas ? Tiens, ça ne nous rappelle pas les religions, ça ?

 

Dans le second cas, nous voyons des gens riches à millions et qui paraissent plus libres et heureux que les moins nantis. L’idée que l’argent fait le bonheur est donc légitime et voici nos pauvres lavettes humaines occupées à courir dans tous les sens pour trouver le moyen, plus ou moins honnête, de s’enrichir ! Et s’ils y arrivent ? Ils produiront beaucoup d’énergie astrale ! Et s’ils n’y arrivent pas ? Par contre, ils produiront beaucoup plus d’énergie astrale ! Les pauvres sont donc plus rentables, puisqu’ils émettent plus d’émotions astrales (peur, rancune, jalousie, envie, sentiment d’injustice, etc.)

Et dans le dernier cas pris en exemple, on en arrive très vite à la conclusion et donc, à la croyance fermement engrammée, que seul, l’homme ne peut rien, ne vaut rien et qu’il a intérêt soit à se regrouper pour agir avec force, soit à fermer son clapet et se concentrer sur le peu qu’on lui laisse déjà. Cool, non ? Du coup, voilà l’évolution individuelle devenue caduque et un besoin irrépressible non pas seulement de se lier à d’autres, mais de créer des émules ! C’est pour cela que l’homme ne peut se sentir bien qui si beaucoup d’autres partagent les mêmes idées, les mêmes concepts et donc, le même style de vie qu’eux.

 

Observez attentivement les « lanceurs d’alertes » sur internet. Ils veulent informer, disent-ils. OK, alors pourquoi ne pas écrire simplement un livre (ou des articles) et laisser à chacun la liberté de venir s’y intéresser… Ou pas ? Surtout pas, malheureux que vous êtes ! Seule l’union fait la force (il paraît) : ils se doivent de devenir plus des rabatteurs que de véritables informateurs. Et si au passage ils peuvent singer ce Deep State qu’ils dénoncent pas ailleurs, c’est encore mieux ! Le singer ? Comment ?

Faire comme font les médias, les dirigeants de pays et ceux qui les manipulent, telles des marionnettes et au-dessus de tous. Faire peur ! Ne plus parler que de ce qui ne va pas, présumer du futur et attirer l’attention mentale de leurs pairs sur les pires scénarios possibles et imaginables. Et tout cela pour quoi ? Pour attirer plus de monde pardi ! L’union fait la force, il paraît ! Allez dire ça aux gilets jaunes qui se sont fait massacrer par « les forces de l’ordre », les parfaitement nommées. En plus, le plus idiot d’un village est apte de comprendre cette vérité : les gens ont été séparés du mental d’autrui : ils ne peuvent donc plus se regrouper vraiment, sauf de regrouper… Ceux qui pensent déjà pareil ! Ce qui, au mieux, ne sert strictement à rien. Ce que pourrait éventuellement faire un groupe, n’importe quel homme ou n’importe quelle femme pourrait le faire aussi.

 

Connaissez-vous le principe de la lettre de doléances ? Non, le voici énoncé le plus simplement possible. Une femme découvre une injustice dans sa ville. Elle écrit donc une lettre pour se plaindre en ce sens, puis elle va directement la déposer en la préfecture qui se trouve justement dans cette même ville. Les mois passent, aucune suite n’est donnée. Elle se renseigne discrètement et apprend, par une amie secrétaire dans cette préfecture, que sa lettre a été jetée à la poubelle par le préfet lui-même, qui s’est bien marré au passage (vous comprendrez pourquoi plus loin.)

 

Passablement découragée, elle décide de former un groupe de doléances pour cette ville. Un mois plus tard, le groupe compte pas moins de trois cents adhérents. La femme est toute confiante : là, au moins, elle sera prise au sérieux par le préfet. Arrive le jour de déposer la missive sur le bureau du préfet. Le secrétaire et trésorier du groupe que préside cette femme, dit qu’il serait aberrant d’aller à trois cent porter cette lettre en préfecture. Il y a vote et, à l’unanimité, il est décidé que ce serait la femme, la présidente, qui irait, seule, porter cette lettre de doléances. Vous imaginez la suite ?

 

Il faut savoir que même mille personnes représentent une simple idée qui se quantifie ainsi : mille fois une seule idée et donc, mille fois une seule personne. Sur le moment, ce qui vous est proposé ici est assez ardu à capter, voire difficile à digérer. Seuls ceux qui ont déjà fait partie d’un syndicat ouvrier et qui, au moment où ils se sont retrouvés devant la porte de leur employeur pour se plaindre, se sont retrouvés tout seuls, peuvent éventuellement comprendre. Si vous additionnez mille fois rien, qu’obtenez-vous, exactement ?

L’être humain est si programmé, qu’il est même incapable de croire en sa liberté et en son bonheur. La seule émotion puissante qu’il connaît, c’est la peur. Mille hommes qui tremblent de peur intérieure pour la même raison, sont égaux à un seul, tout aussi inquiet et pour la même raison. Mais peu importe, le temps et l’expérience vous apporteront la preuve de ce qui vous est simplement proposé ici. Et si ces idées vous dérangent, laissez tomber et passez à autre chose.
De toute manière, que peut-il arriver de pire que ce qui arrive déjà et qui n’a pas (encore) le pouvoir de vous faire réagir ? (Si c’est bien le cas, évidemment.)

 

Il nous reste une dernière chose à comprendre. Sans doute la plus difficile. Pour ne pas dire celle qui pourrait faire le plus peur à quelques-uns. Même si ce n’est pas le but ici. Mais commençons cette petite révélation par une simple question : « Est-ce qui vous arrive de remarquer ou même de dire qu’une pensée vient de vous venir ? » Ou si vous préférez, avez-vous déjà employé cette formule mentale : « Tiens, il me vient une idée… » ? Si la réponse et non, inutile de lire la suite, vous n’allez ni la comprendre ni l’accepter. Alors autant ne pas perdre de temps, n’est-ce pas ? Bonne journée à vous et au plaisir d’être un peu lu de nouveau !

Mais si par contre la réponse est « Oui, bien sûr », alors vous pourrez comprendre avec un minimum d’effort. Mieux encore : si la réponse ressemble à ça : « Mais oui ! C’est vrai ! Et cela m’arrive même très souvent ! », alors pour vous la suite va consister en une simple promenade ! Mais voyons courageusement la suite.

 

On nous a appris que notre cerveau était une sorte d’émetteur-récepteur, à savoir que nous pouvions aussi bien « capter » des pensées et, ce qui pourrait sembler logique, en émettre également. Hélas ! Trois fois hélas ! C’est faux ! Plus exactement, ça POURRAIT être vrai, mais… C’est archi-faux ! Il s’agit en fait du plus grand canular du siècle. Ou presque ! Ceux qui adorent parler de « fakes », à propos de l’actualité (ou ce qu’on nous sert comme telle) auraient dû comprendre qu’il s’agit là d’un des plus grands et « authentiques » Fakes, si je peux dire !

Mais il convient ici de nous montrer précis et techniquement crédibles : le cerveau POURRAIT en effet adopter les qualités propres à un émetteur-récepteur. Mais il est loin de POUVOIR y parvenir, surtout dans son état actuel ! Les scientifiques affirment que nous ne nous servons que de dix pour cent de nos capacités cérébrales. Ce qui est mignon de leur part, mais passons. Par contre, ce qu’ils oublient de mentionner au passage, c’est que les zones cervicales réputées actives à 10 %, ce qui réduit donc l’activité cérébrale globale de 90 %, ne s’occupent que la réceptivité ! Autrement dit, non seulement nous avons perdu 90 % de nos facultés d’origine mais de plus, les 10 % qui ont été laissés en activité, ne concernent que le mode passif ou réceptif. Pour les plus initiés à ces choses, on peut comparer cela au fonctionnement psychique et psychologique de la glande pituitaire dont seul le lobe postérieur (posthypophyse) est « actif ». Manque de bol, c’est le lobe antérieur (antéhypophyse) qui devrait être actif, car le lobe postérieur est prévu pour être passif et récepteur.

 

Or donc, notre cerveau ne fonctionne qu’à dix pour cent mais de plus, ce pourcentage est naturellement (ou originellement) alloué au fonctionnement passif, récepteur et surtout pas au mode actif et émetteur. Ce qui signifie que nous n’émettons jamais de pensées : au mieux, nous reproduisons, intérieurement (pensées) et extérieurement (paroles) ce que nous ne faisons que CAPTER. Alors voici les faits dans toute leur cruelle nudité : « Nous ne pensons pas, jamais ! Nous sommes pensés ! Les pensées viennent du plan astral et sont émises par les bestioles largement évoquées. »

Que peut bien signifier la partie : « Nous sommes pensés… » ? Cela signifie que puisque nous ne pensons pas par nos propres moyens, ce sont d’autres entités astrales qui pensent pour nous et à notre place ! Une pause pour digérer ça, peut-être ? Comme déjà conseillé, si c’est trop dur à avaler, ce n’est pas grave ! Ne vous énervez pas, passez directement à autre chose et oubliez ce que vous venez de lire. Enfin… Si vous y parvenez. Ou poursuivez la lecture, au choix.

 

Qu’implique réellement la partie de la phrase écrite plus haut : « Les pensées viennent du plan astral et sont émises par les bestioles (…) » cela signifie que, en temps ordinaire et donc, normal, les pensées DEVRAIENT, au minimum, venir des plans mentaux, non ? Bah oui, c’est évident ! Les pensées devraient être mentales et non astrales ou largement astralisées. De plus, des pensées astrales sont porteuses d’une charge émotionnelle pour laquelle le corps humain et même, le corps psychique de l’homme, n’est pas correctement outillé. Cette énergie résiduelle astrale use carrément notre complexe énergétique (corps + âme.) Enfin, ne pouvant vraiment jouir de notre mental humain d’origine, nous ne pouvons pas (ou plus) émettre quoi que ce soit !

Nos pensées, du moins celles que nous avons faites nôtres, ne peuvent que tourner en boucle dans notre mental. Jamais elles ne quittent notre sphère astrale, en clair. L’astral étant, de ce fait, le niveau le plus actif de l’être humain. Et nous pouvons voir ce que ça peut donner comme résultat, d’un point de vue qualitatif ! L’homme vit donc dans une « boucle temporelle », ce que les ésotéristes classiques nommeraient plutôt « la Roue du Samsara. » Le sens et le résultat étant identiques, nous ne faisons que tourner en rond, bien que cela nous donne l’impression d’évoluer et donc, de progresser.

 

Essayons de nous résumer un peu, en y ajoutant quelques nouveautés trouvant leur justification dans un tel résumé. Nous sommes, depuis des milliers d’années voire plus, en état de servitude psychique et psychologique quasi complète. Nous sommes des esclaves devenus consentant, pour la simple raison que nous ne connaissons rien d’autre que les Mondes dans lesquels nous évoluons (les Mondes astraux.) C’est donc notre ignorance de « qui nous sommes vraiment » qui a permis à certaines entités de nous maintenir dans des sortes de « boucles temporelles » qui consistent à toujours penser la même chose, toujours ressentir les mêmes émotions et toujours vivre selon ce que nous pensons et ressentons.

Nous ne pensons même pas : nous sommes pensés ! Ce que nous nommons « nos pensées » fait en réalité partie des émissions d’ondes astrales issues du plan astral et dont le contenu formel nous convient ou conforte ce que nous pensions et croyions déjà. À l’origine de cette Cabale énergétique, nous avons été « ensemencés » (engrammés) par des êtres peu recommandables dont le seul souci était de se servir de nous comme garde-manger. Pour arriver à cette fin, il fallait certaines conditions, telles que notre impossibilité à penser librement et autrement qu’en reproduisant de puissantes émotions débilitantes.

 

Les parasites qui nous maintiennent en état de servitude astrale, vivent sur un plan assez proche de la Terre (celui des morts et immédiatement au-dessus) et ont besoin de nos émotions pour astraliser en permanence leur plan ou monde de l’invisible, c’est-à-dire pour qu’ils continuent de s’y manifester. Ils ont besoin de cette énergie comme les poissons ont besoin d’eau pour vivre. Ce plan est vital pour les bestioles, car sans l’astral et l’énergie qui lui est associée, pas de vie possible pour eux. Et même leur âme n’étant pas capable de s’autoproduire, ils ont besoin d’énergie pour conserver l’intégrité de leur âme. Ces entités ont donc une âme : ce qu’elles n’ont pas, c’est un Esprit (un Soi-Conscient, si vous préférez.)

À ce stade, nous pourrions être interpellés : et nous, alors ? Avons-nous autre chose qu’une âme ? La seule bonne réponse est celle-ci : oui et… Non ! Oui, parce que nous pouvons rejoindre notre Esprit, c’est-à-dire devenir conscients et nous passer non seulement des pensées astrales mais mieux encore, avoir accès aux plans mentaux et devenir ainsi capables de penser, de produire puis d’émettre des pensées et des vraies, cette fois ! Et… Non, parce que pour le moment, voire depuis lors, nous n’avons qu’une âme à nous mettre sous la dent, pas vraiment autre chose ni pas souvent. Et l’âme étant « ce qui nous anime », à savoir des pensées et des émotions qui ne sont même pas les nôtres, il devient difficile de croire que l’être humain puisse un jour « atteindre l’Esprit », c’est-à-dire monter en fréquence jusqu’aux plans réellement mentaux, permettant vraiment de penser et… D’être conscient, pour les plus chanceux.

 

Et pour les ésotéristes et autres techniciens de l’esprit, n’aurions-nous pas quelque version plus technique et dans le langage qui est le leur ? Si fait ! Et c’est ce que nous allons faire, avant de passer à la partie finale de cet exposé, consistant à présenter une ou deux astuces pour nous sortir de ce songe collégial. Comme vous le savez, « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. » Et partant, ce qui est « en petit » en comme ce qui est « en grand ». Vous savez que nous possédons sept Chakra (sans « S », même au pluriel, c’est du sanskrit, pas du français, merci.) Ces Centres de Force, ou vitaux, devant le corps et astraux derrière, le long de la moelle épinière… Qu’avons-nous écrit ? Astraux, derrière ? Oui mais alors… Attendez, pas encore, continuons plutôt notre démonstration gratuite (que vous cautionnerez ou non.) Donc, disons que nous avons ces sept Chakra, échelonnés le long de l’axe vertébral et qui viennent s’épanouir sur le devant, sous la forme d’un cône ou d’une roue en rotation.

Certains affirment que du premier Centre (ou Chakra) au dernier, nous pouvons trouver les sept plans de conscience. Ce qui est vrai. Mais seulement à moitié ! « Car tout est en tout. » Les Chakra humains (dos et face) représentent donc bien les plans ainsi étagés : « Physique, Vital, Astral, Mental, Causal, Bouddhique et Atmique », mais ils ne sont pas directement liés à ces mêmes plans ! Ils ne font que les reproduire, les symboliser, etc. En réalité, les sept Chakra du corps (dos et face) consistent en les sept sous-plans astraux ! Oui, vous avez bien lu, mais en cas de doute persistant, relisez !

 

Les trois premiers Centres ou Chakra en montant, représentent les sous-plans inférieurs ou « bas astral ». Le quatrième Centre représente le plan astral intermédiaire (ou dit aussi « psychique intermédiaire ») et les trois Centres supérieurs représentent l’astral supérieur. Le Centre Coronal représentant le « Haut Astral » que se réservent tous ceux que l’on nomme les Grands Maîtres ou assimilés. Les Grands Maîtres seraient dans le Plan astral ? Bah oui, il vaut mieux, s’ils désirent nous atteindre et que nous puissions, éventuellement, en faire de même ! S’ils se tenaient simplement sur le niveau juste au-dessus, plus moyen pour eux comme pour nous de tenter la moindre communication. Personne ne dit pour autant qu’ils adorent se maintenir à ce niveau, n’est-ce pas ? Mais ont-ils le choix, pour le moment ? Réponse : pas trop, non. Si c’est pour ne communiquer qu’avec celles et ceux qui se sont extraits de la Matrice artificielle (ou plan astral), il n’y aurait pas foule à leurs conférences publiques !

Voyons, très succinctement, ce que peuvent nous révéler nos fameux sept Chakra vitaux (devant) et astraux (derrière) à propos des exactions sans nombre commises par nos bestioles en mal d’énergie humaine. Pour le besoin de cette très courte étude, nous considérerons les deux aspects (devant/derrière) d’un même Chakra comme étant une seule chose. Comme déjà évoqué, le premier Chakra a été ensemencé artificiellement et, bien sûr, pas par nous. Au lieu d’être enraciné dans les profondeurs de notre âme, il est juste posé sur un socle astral qui contient déjà un tas de programmations et donc, de limitations en tous genres. N’oublions pas que le premier Chakra représente « ce sur quoi repose » notre état d’esprit général ! Nous vous laissons imaginer la suite. Le second Chakra dont le nom sanskrit (Swaddhisthana) signifie « le siège du soi », nous indique que c’est à partir de ce qui a été engrammé dès le départ dans notre Chakra N° 1 que va se construire… Notre personnalité, notre caractère. On est mal, non ? Nous sommes bien d’accord.

 

Puis vient le dernier Chakra formant « le bas astral » de notre propre terre intérieure ou monde intime, à savoir le 3e Chakra en montant, « Manipura » en sanskrit et « gemme flamboyant » en français, nommé parfois « Centre Solaire », qui « brille » surtout par notre absence de discernement et de liberté, librement consentie. Voici deux exemples grossiers le concernant pour qui sait voir sans émotions : le fait de voter pour que d’autres décident à notre place et se marier… Pour se rendre compte ensuite que l’on ne parvient pas à s’entendre, se tromper avec d’autres partenaires sexuels, etc.
Deux exemples qui peuvent surprendre les plus conscients et heurter ceux qui le sont un peu moins, mais c’est pourtant une évidence incontournable. Observer suffit. Notons en passant que le Centre Solaire englobe la plupart des fonctions et du vécu incarnatoire, à savoir qu’il s’occupe du foyer, de la famille, des affaires, du couple, etc. (Disons 70 % de notre vie.)

Le quatrième Centre en montant (« Anahata », « le coup non frappé ») tiens un peu le rôle du fléau dans cette balance formée des trois plateaux (Chakra) du bas et des trois plateaux du haut. Le Centre Cardiaque est en effet au milieu des trois « mondes », à savoir l’astral inférieur et l’astral supérieur. Il représente le mental et l’astral moyen, à savoir une forme de mentalité encore bien teintée d’astral mais qui préfigure l’accès à d’autres niveaux plus élaborés. Ce Centre nous rend capables de comprendre certaines choses, bien que nous ne soyons toujours pas libres de penser complètement et par nous-mêmes.

 

Vient ensuite le Centre Laryngé (Vishuddha Chakra) dont la racine signifie « pur » ou « pureté », est à prendre à l’envers puisqu’il s’agit surtout d’une allusion au fait que justement, ce que nous exprimons (paroles ou actes) ainsi que le comportement qui en découle, ne correspond pas à ce que nous sommes « purement ». Ou mis dans l’autre sens, attendu que nous ne sommes pas « purement nous » (ou seulement nous), ce que nous exprimons est tout, sauf nous !
Ce sont les engrammes d’un mental largement astralisé, qui s’exprime en nous et à travers nous.

Pour le Centre Frontal (qui est un Centre double, voir plus loin), disons que nous allons très facilement nous faire abuser par les mirages de l’astral, nommés par d’autres « illusions du plan psychique » ou encore « la Grande Maya. » Autrement dit, lorsque ce Centre est activé sans guidance ni réelle direction, il est fort possible que les entités les plus complexes (pour ne pas dire « évoluées ») de l’astral s’ingénient à nous faire croire que nous sommes devenus de « grands initiés » et que, désormais, nous sommes sortis de l’illusion.

 

Inutile de préciser que celles et ceux qui passent par cette étape et en vivent les pièges en étant seuls (ou pire, mal accompagnés), ont beaucoup de mal, par la suite, à s’en remettre et donc, à s’en sortir indemnes. Ce que certains persistent à appeler « ego » et qui est en fait le « moi humain » (liés à l’activité accrue du lobe postérieur de la glande pituitaire ou hypophyse) est très sensible à tout ce qui peut le distinguer de ses semblables. Qui n’aimerait pas être parmi les plus rares intelligences humaines ?

Vient enfin le Chakra Sahasrara ou Centre Coronal en français. Il fait allusion à « mille pétales », en fait, à une infinité de rayons différents et donc, de qualités plus ou moins divines différentes. Ce Centre correspond au septième et dernier sous-plan astral. C’est là que se tiennent tous les plus grands initiés de cette planète et qui acceptent, pour quelque temps encore, de Jouer « le Jeu de la Conscience » et, plus particulièrement, de courir le risque toujours possible de se laisser de nouveau endormir par les Forces d’Opposition et de Résistance issues de cette volonté de ne pas disparaître que manifestent les entités astrales.

 

Merci de vous souvenir que si nous, nous jouons notre divinité « au présent » (perdons juste du temps, en somme, à nous croire ainsi limités), eux jouent carrément leur vie ! La pire chose qui puisse leur arriver, c’est que tous les humains, ou presque, se libèrent de leur joug et ce, en même temps (durant la même année suffirait.) Du coup, ces bestioles luttent comme de gros malades afin de nous maintenir dans la fameuse Matrice Artificielle, qui se résume à une façon de penser qui nous coupe de notre potentiel créateur quasi illimité (que certains nomment encore « divinité »)

Est-ce que les Grands Maîtres et assimilés (peu importent les dénominations) sont « avec nous » ? Réponse inquiétante : oui et… Non ! Ce qui est certain, c’est qu’ils ne sont pas « contre nous » mais comme ils se maintiennent sur un sous-plan qui est sous le contrôle plus ou moins étendu d’une sorte de démiurge spirituel qui commande toutes les entités astrales, sans aucune exception (le fameux dieu de l’ancien Testament, par exemple), ils doivent se plier volontairement à certaines exigences. En fait, ils doivent se plier à certaines Règles du Jeu commencé et conduit depuis lors par ceux qui président aux destinées humaines et ce, depuis très, très longtemps.

 

En quoi consiste ce « respect » à certaines règles ? La première et la plus élémentaire de toutes : non-intervention directe ! Ils n’ont pas le droit de nous aider directement (ni trop ouvertement.) Seconde règle : ils ne doivent pas nous instruire les premiers de notre réelle condition d’esclave et de tout ce que nous ratons par ailleurs. Par contre, ils ont le droit de répondre à nos questions et de nous confirmer ou nous infirmer dans certains domaines.

En gros, nous devons tout d’abord nous démerder seuls pour comprendre certains « secrets » et nous pouvons, ensuite, leur demander si c’est vrai ou si nous nous mettons le doigt dans l’œil jusqu’au scrotum. Par contre, ils se doivent de ne pas nous mentir ! Ce qui est un détail important ! Exemple de dialogue possible avec eux, en partant du principe que ce n’est jamais eux qui initialisent le contact, c’est à nous de le faire. Par exemple, nous avons un contact et nous demandons : « Est-il vrai que nous vivons dans une matrice artificielle, différente de l’actualité divine, que nous sommes tous astralisés et incapables de penser par nous-mêmes ? »

 

Et là ils répondront, avec un sourire que c’est exact. Mais si nous voulons aller plus loin, en savoir plus, nous devrons de nouveau « payer en premier », soit leur présenter ce que nous avons déjà compris, afin qu’ils puissent, éventuellement, ajouter le reste ou une partie de la suite. Une fois habitué à ce genre de règle animique, on peut très vite en retirer pas mal d’information et donc, de Lumière (non astrale s’entend.) De tout ce que nous venons de vous présenter, de vous proposer, car vous devez ne retenir que ce qui vous parle pour le moment et rejeter cordialement tout le reste, voici ce qui est sans doute le plus important à retenir et qui, au long de cette lecture, aurait pu vous échapper.

1. Nous vivons tous dans une sorte de programmation appelée souvent « Matrice artificielle. »

2. Cette Matrice est faite d’illusion, certes, mais surtout d’idées qui nous concernent, nous touchent et nous font réagir.

3. Ce sont nos réactions au contenu formel de cette Matrice qui est d’un point de vue technique « juste proposée » qui consistent en une sorte d’accord tacite (« qui ne dit rien consent ») ou de « contrat » avec les entités astrales. Puisque nous prêtons attention à leurs divagations astrales, c’est que nous les trouvons intéressantes. Il n’en faut pas plus pour « contracter », pour accepter, non verbalement, un contrat qui nous oblige, ensuite, à « jouer avec eux, leur jeu à eux et selon leurs propres règles. »

4. Nous n’avons pas besoin de ces entités astrales (ou bestioles) mais elles, par contre, ont un besoin viscéral de nous ou, plus spécifiquement, des énergies que nous pouvons produire à volonté ou presque.

5. La plus grande victoire de ces entités a été depuis toujours de réussir à nous faire croire que c’est nous qui pensons, alors que ce que nous appelons « nos pensées » provient de ces entités et ne sont même pas mentales. Et parce qu’elles ne sont pas mentales mais astrales, nous n’avons aucun pouvoir personnel, aucune créativité réelle qui nécessiterait au moins le plan mental supérieur ou « Supramental » ou encore « Supraconscient. »

6. Bien qu’il soit difficile de s’extraire volontairement de ce songe collégial ou matriciel, ceci est devenu désormais possible, grâce à l’augmentation des énergies terrestres qui n’étaient pas prévues au programme. Il est possible que nous bénéficions d’aide, en fin de compte, mais nous ne devrions pas trop attendre de cette aide et essayer de nous débrouiller seuls. Chacun doit devenir conscient et n’a rien d’autre à faire que de s’occuper de son propre cas.

7. Il faut savoir que le « courant » magnétique ou la relation matricielle qui existe entre nos esclavagistes et nous-mêmes, a toujours été à sens unique. C’est d’ailleurs grâce à cela qu’ils ont toujours conservé le pouvoir sur l’humanité. Ils ont toujours fait en sorte que nous restions dans l’ignorance de leur présence et de ce qu’ils font, car ils savent que si nous prenons conscience de leurs exactions, selon la Loi Cosmique, elles devront cesser immédiatement. S’il n’est pas possible de rendre libre tout le monde ni même quelques milliers, nous pouvons déjà nous libérer nous-mêmes, sortir de la Matrice et, ainsi, donner aux autres l’envie d’en faire autant. L’exemple est de loin le meilleur des enseignements ou des partages. Nous pouvons inverser le courant et de magnétique (astral) le rendre « électrique » (Conscience de Soi).

 

Et il deviendra électrique si nous leur prouvons que nous savons qui ils sont, qui nous sommes et que ce sont eux qui dépendent depuis toujours de nous, et non l’inverse. Ci-dessous une phrase toute simple mais très puissante, que vous devez adresser à ces bestioles sans conscience, pour qu’elles comprennent que, désormais, elles ont perdu un générateur d’astral (vous.)  Les effets, qui dépendent surtout de votre degré d’investissement personnel, vous apprendront que vous êtes libres, désormais, libres comme vous ne l’avez jamais été ! La vie, la Vraie Vie, commencera alors pour vous.

Voici la phrase que vous devez employer, en vous adressant à ces vermines astrales :

« Je sais qui vous êtes, je connais toutes les lois que vous violez encore en vous attaquant à des êtres possédant un Esprit. Je vous conseille de vite vous calmer ou bien c’est ce que je suis qui le fera d’ici peu ! »

 

Serge Baccino

Dimension ou densité

Dimension ou densité ?

On parle beaucoup de dimensions, en ce moment.
Nous serions dans la 3e, apparemment. Les gens désirent changer de dimensions, mais ils se trompent de problème et ainsi, ils se tromperont de solution. Ils se sont même déjà trompés, en fait ! Tous attendent qu’il se passe quelque chose, d’extérieur et, si possible, sans qu’ils aient à lever le petit doigt.

Les gens ne sont pas dépendants ; ils sont totalement dépendants de l’extérieur et des autres ! Pourquoi attendent-ils un changement global extérieur ? Réponse : parce qu’ils pensent être les victimes d’une dimension dans laquelle ils n’ont aucun pouvoir. Et quand on a aucun pouvoir, forcément, nous dépendons de quelque chose d’autre que nous ou de quelqu’un d’autre.

En somme, et pour résumer le contenu mental de la plupart des gens de notre époque, nous vivrions tous dans un Monde qui ne nous permet pas de prendre notre vie en main, d’être libre et de pouvoir obtenir tout ce dont nous avons besoin. Lorsque nous affirmons que nous sommes tous différents, la chose paraît logique à tous et personne ne trouve à y redire.

Mais si nous disons, par exemple, que nous vivons dans autant de Mondes qu’il y a d’êtres vivants et conscients sur cette Terre, plus personne ne suit et certains crient même au complotisme. Ne sachant quoi dire d’autre ! Pourtant, et puisqu’il paraît acceptable de dire que nous sommes tous différents, comment pourrions-nous être, dès lors, dans un seul et même Monde mental ?

Chaque Monde, chaque dimension est de nature mentale. Comme le dit l’Axiome Hermétique : « Le Tout est esprit, l’univers est mental. » Comprenez-vous ce qui représente à la fois le problème et la solution ? Non ? Pas encore ? Mais ça va venir ! Donc, nous sommes tous différents. Du moins à la base ou au départ. Ce qui signifie que le contenu de notre mental DEVRAIT être différent du contenu mental d’un autre.

Pourtant, les gens affirment vivre dans un seul et même Monde ! Comment cela est-ce possible, attendu que c’est le contenu mental différent en chacun de nous, qui fait justement cette différence ? La réponse est là, sous notre nez et ce, depuis toujours. Du moins, depuis notre naissance. Nous avons tous reçu une éducation de nos parents. Nous avons tous reçu un enseignement scolaire, plus ou moins long, mais tous, nous y sommes passés, que cela nous ait plu ou que la chose nous ait fait braire.

Et si l’éducation et l’enseignement étaient une sorte de piège vicieux tendu par les instances planétaires dirigeantes ? Ceux que l’on nomme « l’État Profond », ou « Deep State » ? Et si, par la suite, la vie sociale, le travail, les médias et autres œuvres littéraires plus ou moins intéressantes, avaient toutes concouru, chacun et chacune à leur mesure, à nous maintenir dans une sorte de nasse virtuelle constituée d’une manière de penser unique ?

Et si la peur de ne pas correspondre à la masse populaire, d’être rejeté, mal aimé ou critiqué, nous maintenait ensuite dans les limites de la bien-pensance, de laquelle on ne peut sortir sans être du même coup frappé d’ostracisme ? Alors quoi ? C’est quoi la différence entre les dimensions et la densité ? Réponse : quelle que soit la dimension, même en 3D, nous pouvons nous sentir libres et heureux, cela en possédant une âme de faible densité.

La  dimension est un niveau expérientiel. C’est juste un « lieu de l’esprit » grâce auquel nous pouvons expérimenter certains états d’être, impossible à expérimenter ailleurs. La densité est ce qui différencie une âme saine et libre (légère) de toutes celles qui ne le sont pas encore, qui sont alourdies par des processus mentaux et des sentiments qui offrent la couleur et le poids du plomb.

 

Serge Baccino

Le plus et le moins

Le plus et le moins

Connaissez-vous l’expression : « Qui peut le plus peut le moins » ? Nous pourrions nous questionner à propos de cette expression apparemment populaire : qu’est-ce qu’elle vient faire dans une étude ésotérique et de psychologie comportementale ? Comme vous le savez et l’avez appris, parfois à vos dépens, la plupart des gens refusent de voir. Ils préfèrent encore se mentir, voire traiter leurs propres frères et sœurs de complotistes, plutôt que d’être confrontés à certaines vérités.

Pourquoi ? Nous en avons tous plus ou moins une claire idée. Par peur de ne pouvoir faire face, par peur de devoir abandonner le connu, le confortable ou rassurant. Aussi par peur de devoir avouer qu’on a été trompé totalement et qu’on y a vu que du feu ! Ce ne sont pas les raisons, qui manquent ! Pourtant, il faudra bien, le moment venu, que les gens, tous les gens, acceptent d’ouvrir les yeux et de voir même ce qu’ils refusaient de voir précédemment.

Et peu importent les réactions, on les connaît toutes ou presque, car elles sont prévues d’avance, même par nous, simples quidams comme d’autres, d’un point de vue purement sociétal. Bien sûr, il y a celles et ceux qui, dès le début, ont compris ou même savaient et ce, depuis des années. Pour ceux-là, il ne sera pas utile de prévoir des masques à oxygène, car le choc sera relativement modéré. Tout au plus s’exclameront-ils : « Ah ! Enfin, il était temps ! »

D’autres, ayant surtout peur d’être trompés par ceux qui tentaient seulement de les prévenir, se montreront prudents jusqu’à la dernière minute. Quitte à affirmer courageusement, sans hypocrisie aucune et une fois que tout sera terminé : « Non, mais en fait, je le savais ! Je l’ai toujours su ! Je me montrais juste discret ! »
Puis, évidemment, il y a les « purs et durs », à savoir, les purs hypocrites et les durs de la feuille. Autrement dit, ceux qui ont opté dès le début pour la moquerie, au mieux et pour l’agressivité au pire. Eux-mêmes se scindant tout naturellement en deux factions :

1. Ceux qui n’ont jamais rien compris à rien, tellement ils étaient programmés, voire heureux de l’être.
2. Ceux qui savent pertinemment la vérité, aussi clairement que ceux qui la dénoncent, mais qui ont si peur de ce que leur acceptation des faits leur coûterait, qu’ils préférèrent encore passer pour des imbéciles que de devoir affronter ces vérités.

Des vérités qui les obligeraient à « bouger », à se positionner ou pire encore, à agir ! Ce qui, bien évidemment, est absolument hors de question. Il va sans dire qu’il reste une catégorie qu’il est franchement inutile de nommer, mais que nous allons tout de même saluer au passage ! Ce sont bien évidemment ceux-là mêmes qui sont à l’origine de toute cette noirceur humaine et qui sont à l’âme ce que les fientes d’oiseaux sont à l’industrie des diamants !

Eux n’ont pas besoin d’être informés de ce qui se passe, puisque c’est à cause d’eux que tout cela se passe ! D’ailleurs, un de leurs buts, jusqu’à ce jour, était d’empêcher certains de dénoncer ce qu’ils faisaient. Il faut bien comprendre que la peur n’a jamais eu à « changer de camp », comme disent ceux qui ne savent plus quoi inventer dans l’espoir de hâter la fin de l’État Profond (D.S.).

Il faut bien comprendre que ceux qui œuvrent pour les ténèbres ont aussi peur que ceux qui se sentent encore obligés d’être leurs victimes consentantes. Réfléchissons un peu : si ce n’était pas le cas, pourquoi ces campagnes de censure en tout genre et effectuées sur tous les fronts en même temps ? Pourquoi aller jusqu’à tuer des gens pour tenter de les faire taire ? Quelle importance si certains dénoncent la vérité, puisqu’il paraît qu’elle est fausse (les fameux fakes) et que les gens ne sont pas aptes à le croire ?

En réalité, le D.S. est bien placé pour savoir à quel point il est facile de manipuler le peuple, cela au point que le dernier qui parle l’embarque avec lui. Lui qui manipule les gens depuis des siècles, sait pertinemment que ce n’est pas sa force qui conduit le monde mais la faiblesse immense des peuples. Le D.S. n’a jamais été fort ! Ses représentants n’ont jamais été nombreux, car c’était trop risqué ! Plus il y a de personnes dans une combine et plus il peut y avoir des fuites ! Et plus cette combine est juteuse et plus il peut y avoir de jalousie, d’envie et donc, de trahisons internes !

Alors non, le D.S. n’a jamais été constitué de plus de 1 pour 100 de l’humanité, même à ses moments de gloire et de réussite totale ! Et pour les raisons évoquées plus haut. L’État Profond ou Deep State (D.S.) ne peut décemment compter sur les faiblesses et la bassesse d’âme de ses éventuelles victimes, et en même temps ignorer que ceux qui composent cet État profond sont issus eux aussi de cette même tourbe humaine.

Autant dire que ceux de l’ombre se méfient plus de leurs semblables que de leurs victimes, trop asservies déjà pour oser se révolter ou même simplement y songer. C’est pour cela qu’il n’y a jamais eu beaucoup de comploteurs, sur Terre, même si de nos jours, il existe des millions de complotistes !

Or donc, nous ne devons pas inclure dans notre étude de ce jour, cette portion du peuple qui s’imagine depuis toujours ne pas devoir en faire partie. Il nous faut juste comprendre que des deux factions restantes, ceux qui dénoncent le scandale et ceux qui font tout pour ne pas avoir à s’en préoccuper, seule la seconde pose un réel problème de logistique animique. Autrement dit, seuls ceux qui s’ingénient à ne pas comprendre et à ne pas savoir, pourraient devenir un problème pour le Haut Conseil de l’Alliance.

Mais comment réussir à les inclure dans ce Mouvement Mondial d’éveil ? La solution réside en fait dans le problème. Ils refusent de voir ? OK, mais pour cela, ils doivent voir tout de même, puis dénoncer ce que l’on essaye de leur faire croire, par exemple. En effet, comment dénoncer une chose ou prétendre qu’on n’y croit pas, si on ignore tout de ce dont on parle ? Plus sobrement, même ceux qui ont une réaction épidermique face à des complotistes, sont bien obligés de connaître ce dont parlent ces derniers.

Et même de bien connaître le sujet, tout en faisant mine, évidemment, de complètement s’en désintéresser ! Et c’est là que se situe l’astuce psychologique, même si, il est vrai, elle nous coûte des mois et des mois d’attente et donc, de patience, à nous qui savons déjà et attendons fiévreusement la fin de ce très mauvais film, de ce navet hollywoodien de dimension planétaire.

Qui peut le plus peut le moins, disions-nous plus tôt. Ceux qui prétendent que nous déraillons doivent connaître un minimum ce que prétendent les fameux « complotistes ». On peut même dire que certains prennent un malin plaisir à carrément étudier ce que font et disent ces complotistes, cela dans le but avoué de mieux les tourner en ridicule (voir les Médias, par exemple.)

Et c’est là que, sans le savoir, sans le vouloir, ils se font avoir de première, en beauté, même ! Pourquoi ? Parce que, du même coup, ils ont enregistré fidèlement, dans leur mémoire subconsciente, tout ce dont parlent les complotistes. Autant dire que pour devenir un champion de l’accusation, il faut en connaître au moins autant que la défense, comme pourrait le dire un avocat. De quoi méditer, non ?

 

Serge Baccino

Que votre âme passe définitivement

Que votre âme passe. Définitivement !

Qu’est-ce que l’âme ? Un mélange d’esprit et de force vitale.
L’esprit servant à penser, la force vitale à ressentir. Nous sommes des êtres vivants et conscients, parce que la force vitale nous permet également de vivre, mais elle n’est pas sujette aux pensées. Ceci est très important ! En effet, nous ne sommes pas obligés d’avoir des processus mentaux (pensées) pour nous sentir vivants.

On dit souvent « mon âme » mais avons-nous vraiment une âme qui soit la nôtre ? Réponse : oui et… Non ! Est notre tout ce que nous nous approprions, que ce soit sciemment ou inconsciemment. Ce que nous appelons « notre âme » consiste en fait en un ensemble de processus mentaux plus ou moins autonomes et d’émotions ou de sentiments plus ou moins souhaitables et donc, souhaités.

Notre fameuse âme est en fait l’âme du Soi Naturel. Lorsque nous apparaissons sur Terre, ce qui nous anime alors n’est pas vraiment à nous mais nous est pour ainsi dire imposé. Pour avoir une âme qui soit à nous, encore faudrait-il l’avoir choisi. Or, puisque nous naissons avec, nous n’avons pas eu le temps ou l’opportunité de la choisir « avant. » Avant, nous n’étions pas encore conscients d’être. Ce n’est qu’ensuite et avec les années, que nous apprenons à nous servir de cette âme issue du S.N. et que nous la décrétons nôtre.

Sans oublier qu’à ce que nous impose le SN vient étroitement se mêler ce qui est issu de la génétique et donc, de notre corps issu d’une lignée physique possédant de très fortes caractéristiques. Caractéristiques qui, forcément, nous impactent et viennent ajouter plus de difficultés à notre tentative, souvent vaine, de nous maîtriser, soit de maîtriser l’expression désordonnée du contenu formel de notre âme.

Donc, au départ, seul le SN possède une âme qui soit vraiment à lui et qui est issue de ces nombreuses expériences dans la chair ou ailleurs. C’est lui, le SN, qui se réincarne de vies en vies, quel que soit le lieu, l’époque ou le niveau vibratoire. C’est lui, également, qui, du moins au départ, est le véritable humain. Les textes sanskrits antiques qui traitent de réincarnation, de karma, etc., ne s’adressent en réalité qu’au véritable être humain, à savoir le SN. Et non à ses diverses et nombreuses extensions (personnalités terrestres.)

Extensions qui elles, non seulement n’ont qu’une seule vie mais de plus, produisent à chaque fois le karma dont devra s’arranger ensuite le SN.  L’extension ou « personnalité de l’âme » (ou personnalité animique) ne meurt pas au moment de laisser son corps de chair à la Terre : bien au contraire, car à ce moment, elle se sent vivante comme jamais auparavant ! Mais si par quelque aberration de l’esprit, elle décide (ou accepte) de se réincarner, elle ne le pourra pas ! Le résultat c’est que si elle insiste en ce sens, elle mourra, tout simplement.

« Se réincarner » est un acte bien précis qui consiste à être de nouveau soi dans la chair. C’est-à-dire revenir et avoir le même corps, la même âme, les mêmes souvenirs et caractéristiques psychologiques. Ce qui reviendrait à une reproduction complète ! En fait, chaque vie nécessite une nouvelle personnalité. Cette dernière a bien un commencement mais n’a pas de fin. Sauf si elle est assez bête pour se suicider volontairement en acceptant de soi-disant « se réincarner », ce qui est mathématiquement impossible.

Ainsi, notre âme est en fait celle du SN. Elle contient des pensées et des émotions liées qui, neuf fois sur dix, pour ne pas dire mieux, ne sont pas vraiment à notre avantage. Or, imaginer qu’une personne se fasse du tort alors qu’elle souhaite l’inverse est tout simplement aberrant. La seule explication viable est qu’il y a deux choses bien nettes et précises en cette personne : celui qui vit l’expérience dans la chair (le conscient) et ce qui tente à tout prix de l’animer, à tous les sens du terme (l’âme.) Et c’est encore une fois, sans parler de l’hérédité et de toutes les déconvenues physiques et/ou psychiques qui lui sont intimement liées (problème de santé ou comportement hérité.)

Pourquoi l’être humain est-il toujours occupé à lutter contre lui-même ou, du moins, contre une partie de lui qui semble vouloir vivre et se produire sans se soucier du véritable locataire des lieux ?Réponse : parce que la volonté personnelle de celui qui est investi d’une vie dans la chair, s’oppose neuf fois sur dix à la volonté qui consiste en son âme. Ou en ce qu’il s’obstine à considérer comme telle. Mais voici les faits et ils sont révolutionnaires : ce que vous appelez votre âme n’est pas à vous ni même pour vous, cela parce que vous ne l’avez pas choisie, elle vous a été simplement imposée !

Pourquoi vous imposer ainsi une âme ? Pour que vous en ayez une et, surtout, qu’elle vous soit acquise AVANT de venir en incarnation !La loi en présence, quasi inconnue, s’énonce ainsi : « Nul ne peut aller quelque part s’il n’y est pas déjà » et « Nul ne peut venir en incarnation sans être vivant et conscient au préalable. » Or, non seulement nous n’existons pas avant d’exister, c’est-à-dire de naître à la Terre mais de plus, nous ne pourrions pas y venir si au moins une infime partie de nous n’était pas déjà incarnée (l’atome germe scindé en deux et présent dans les organes génitaux des parents, au moment de la conception.)

Ainsi, l’obtention d’une âme quelconque était la condition sine qua non de notre venu sur Terre. Et comme ce n’est pas la nôtre, il n’est pas important qu’elle nous soit particulièrement adaptée. Cela dit, et depuis quelques centaines d’années terrestres, les Soi Naturels (SN) forts de l’expérience de leurs extensions, ont compris que d’imposer à la va-vite n’importe quel type d’âme était au moins inintelligent. Pour ne pas dire mieux. Alors, les plus évolués des SN essayent de tenir compte, désormais, de l’époque, de la mentalité des parents, du climat social et de quelques autres facteurs qui auront leur importance dès les premières années de la vie de l’extension-personnalité.

Cela dit, les SN ne sont ni parfaits ni divinement visionnaires, tant s’en faut ! Ainsi, non seulement ne sont-ils pas à l’abri de l’erreur mais de plus, ils ne peuvent pas deviner que tel parent décidera de se mettre à boire, après la naissance de son enfant, ou que tel autre parent perdra la vie dans un accident durant l’enfance de l’extension. Il existe tellement de facteurs décisifs et hors contrôle pour faire d’une vie ordinaire dans la chair, un véritable enfer, qu’il n’est pas utile d’en citer plus que nécessaire à une compréhension générale du sujet.

Conservons à l’esprit cette première révélation : ce que nous appelons notre âme n’est pas à nous ni même « pour nous » : elle provient d’un besoin incontournable de se plier aux lois en vigueur dans le monde de la 3D. Vient la seconde révélation, qui n’est pas la moindre : nous pouvons, bien sûr, faire évoluer notre âme, en changer certains aspects, mais nous pouvons aussi en changer carrément ! Nous pouvons changer d’âme ? Mais oui, parfaitement ! Il suffit de comprendre certaines vérités.

La première, que la somme de toutes les âmes de nos SN forme la Grande Âme planétaire.

La seconde : que c’est dans cette âme et uniquement là, que puisent les SN pour donner vie force et durée à leurs processus mentaux.

La troisième : que ces processus mentaux, aussi nombreux et variés soient-ils, sont toujours les mêmes et ne varient donc jamais.

La quatrième : que de ce fait même, il est normal, pour ne pas dire obligatoire, de connaître cette désagréable impression que sur Terre, tout le monde pense pareil ou presque !

La cinquième : que nous ne sommes pas obligés de penser et de ressentir avec l’Anima Mundi ou « Âme du Monde. »

La sixième : Vous n’êtes pas votre âme mais la Conscience. Vous pouvez donc changer d’âme à volonté, tout en demeurant « Qui vous êtes vraiment. »

La septième et dernière : le fait de ce désaccord intime et aussi le fait que les processus mentaux des autres puissent vous déplaire, sont la preuve que vous n’êtes pas cette partie de vous contre laquelle vous vous rebellez et que vous n’avez rien de commun avec la pensée usuelle terrestre.

Souvenez-vous : l’âme est faite d’esprit et de force vitale.
Si vous conservez toujours le même esprit, la même quantité impliquée dans les mêmes processus mentaux, aussi multiples soient-ils, vous en arriverez forcément à penser d’une manière récurrente. C’est mathématique. Et plus la planète compte d’être vivants et pensants, plus la chose devient évidente. Du moins pour celles et ceux qui ont des yeux qui désirent voir !

Bien sûr, vous ne le réaliserez pas de suite, car il y a vraiment beaucoup de pensées différentes au sein de l’Anima Mundi. Mais ce que vous pouvez constater dès aujourd’hui, voire à n’importe quel moment de votre vie, c’est que vous n’êtes pas toujours d’accord avec… Vous-mêmes ! Ou du moins croyez-vous qu’il s’agit de vous-mêmes ou d’une partie de vous seulement. En réalité, la seule partie qui soit de vous, c’est celle qui se révolte contre l’absurdité et la tyrannie de la première partie.

Alors quoi ? Comment peut-on se passer d’une âme ? En réalité, tandis que nous sommes incarnés, nous ne pouvons pas vraiment nous passer d’avoir une âme. Mais nous pouvons nous passer de partager l’Anima Mundi, c’est-à-dire cette Sur-Âme collégiale ! L’âme est faite d’esprit ? Alors employez un esprit saint, à savoir un esprit qui n’a pas encore servi à engendrer des processus mentaux. Ou alors très peu (Nota : inutile que l’esprit soit totalement vierge, donc  il peut avoir été aussi employé par de hautes entités extra-planétaires.)

Ensuite, l’âme est faite de force vitale ? Mais son emploi outrancier et souvent malveillant, a rendu viciée cette même énergie, voire carrément dévoyée. Alors employez une force vitale propre et neuve qui vous rafraîchira l’âme ! De plus, pas besoin d’invoquer un pouvoir vital différent : si vous pensez différemment, vraiment différemment, vous allez automatiquement attirer un pouvoir vital nouveau. En clair, vous pouvez vous confectionner une âme plus en adéquation avec ce que vous êtes ou même, ce que vous désirez manifester.

Plus le niveau de manifestation sera élevé, plus pure sera la force vitale qui se précipitera pour alimenter et faire durer l’état d’esprit nouveau. Mais souvenez-vous toujours : quelle que soit la qualité de l’âme que vous choisissez pour exprimer qui vous êtes ou qui vous voulez devenir, vous n’avez jamais été, vous n’êtes pas et ne serez jamais cette âme ! Vous êtes l’Être Conscient unique et vous l’êtes en totalité. C’est juste que pour le moment, vous n’avez pas les moyens de rendre manifeste la Splendeur de votre Soi.

 

Serge Baccino