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Les champs magnétiques pulsés
Pour en terminer avec l’effet miroir
Ceux qui abordent en touristes spirituels (et ils sont légion) les arcanes sacrées de l’ésotérisme, buttent très rapidement sur certains concepts psychologiques qui réquisitionnent toute leur attention. Non pas qu’ils buttent dessus par manque d’instruction ou de capacités mentales, mais plutôt parce que certains sujets de la psychologie ésotérique, tombés dans le domaine public d’un ésotérisme de Supermarché, leur permet de SE MENTIR encore mieux ou avec quelque efficacité technique supplémentaire.Il en va ainsi du fameux « effet miroir. » Vous savez, en gros, c’est cette idée qui énonce que : « Si tu vois tel défaut en moi, c’est que tu le portes en toi et le projette sur moi ! »
Cet effet miroir est donc on ne peut plus PRATIQUE pour échapper, sinon à ses propres responsabilités, du moins au regard perçant de certaines personnes auxquelles on ne la fait pas. En effet, qui osera ensuite émettre une critique, sachant que l’autre détient la botte secrète du « C’est celui qui dit qui l’est » ?
Au départ, ce sujet de l’effet miroir devait servir ponctuellement à expliquer certaines ruses que l’ego transmet au Moi-Idéalisé. Par exemple, une personne qui se ment et refuse de se voir en face, sera forcée, par son Être Intérieur, à ne rencontrer que des gens qui expriment d’une manière exagérée ou outrancière, le même défaut que cette personne désire voiler ou carrément éluder. Le Soi (Naturel ou Humain) désire généralement apprendre et comprendre de quoi il retourne.
S’il n’est pas trop têtu (ce qui arrive parfois), il ne craint rien ni personne et ne peut donc éviter une preuve sous le prétexte qu’elle pourrait lui déplaire. Par contre, lorsque un Soi a décidé une chose, qu’il est sur de lui, il devient largement improbable de réussir à le faire changer d’avis.
Donc, si un Soi décide que son extension (la personnalité terrestre) doit se débarrasser d’un trait de caractère quelconque, il lui mettra une pression extérieure et intérieure pas possible dans l’espoir de la voir se réformer vraiment. Si la personnalité opte pour le mensonge et le déni (9 cas sur 10), le Soi n’aura d’autres recours que de se servir de ses facultés psychiques relativement étendues, pour faire intervenir, dans la vie de la personne terrestre, des agents karmiques externes, comme on disait avant, à savoir des personnes qui entretiennent le même trait de caractère mais en plus exagéré.
Le Soi espère que sa personnalité va se faire B… avoir (lol) et sera forcée de se concentrer sur le problème au lieu de le nier ou de le fuir. En effet, critiquer autrui est chose aisée et semble nous concerner en rien, n’est-ce pas ? Manque de bol, cela revient à se faire avoir en beauté, en fait !
Quelques explications s’imposent.
Que désire le Soi, au départ ? Que la personne physique accepte de regarder en face un trait de caractère qui peut lui nuire ponctuellement dans sa mission terrestre (et non pas dans l’absolu, merci d’en prendre note.) Puisque la personne fuit ses responsabilités, le Soi lui fait rencontrer -presque exclusivement- des gens qui entretiennent le même état d’esprit morbide, sachant que la personne ne résistera pas à l’envie de dénoncer au-dehors un problème qu’elle s’ingénie à cacher au-dedans.
Le Soi emploi donc une forme de ruse psychologique pour obliger la personne à VOIR et à DÉNONCER… son propre schéma ! Pas mal, non ?
Évidemment, les personnalités, mais pas sans exceptions (on verra ça plus loin) tombent dans le panneau et se font rouler de première !
Donc, le fameux «effet miroir» est en fait une astuce psychologique pour pousser une personne à dénoncer, à l’extérieur, une chose qu’elle ne pourra plus, par la suite, conserver à l’intérieur. Ce qui est dénoncé est dénoncé et le subconscient n’aura alors d’autres recours que de faire remonter à la surface le problème occulté préalablement, et ce, afin qu’il soit traité par la conscience de veille ou objective (le «moi» conscient ou objectif.)
Si une fois remonté à la surface (du conscient), la personnalité choisit de poursuivre dans le déni, la souffrance apparaît alors et devient exponentielle ou proportionnelle au degré de résistance ou de déni. Il s’agit là de l’expression d’une simple Loi Spirituelle, et non de quelque «punition karmique», comme le croient encore tant d’infortunés étudiants d’un ésotérisme bon marché.
A présent, voyons ce qu’il en est pour toute personne qui ne tombe pas sous le coup de son propre «karma» (comprendre «de sa façon de penser et de vivre en fonction de ce qu’elle pense») ou, si vous préférez, pour les gens qui connaissent leurs limites, les acceptent de bonne grâce et tentent même de se réformer à leur propre rythme. Leur Soi n’en attend pas plus, d’ailleurs. Outre les gens concernés par l’effet miroir, il existe donc deux autres catégories d’individus : ceux qui acceptent leurs limites et en reconnaissent l’existence en eux, et ceux qui n’ont pas besoin de les accepter puisqu’elles n’existent pas ou plus, en eux.
Attention ! C’est ici qu’il faut faire montre de discernement et d’intuition !
Je ne dis pas qu’il existe des gens «parfaits» qui n’ont plus aucunes limites humaines; je dis simplement qu’il existe des gens qui sont devenus parfaitement ce que leur Soi attendait d’eux !
Merci de savourer la magnifique nuance ! Autrement dit, nous avons d’un côté des gens qui sont au courant de leurs limites (uniquement celles qui gênent l’expression de leur Soi) et qui sont «en cours de traitement», si je puis dire, puis ceux qui n’ont en eux aucune des limites qui pourraient poser problème à leur Soi et pour cette vie donnée.
Ils ont d’autres limites, certes, mais ces dernières sont secondaires ou acceptables et ne peuvent en aucune façon les faire chuter durant leur présente trajectoire terrestre. Est-ce assez clair exposé ainsi ?
Pour en terminer avec le sujet, certains vous diront que les Maîtres font exception à la Règle (de l’effet miroir) et qu’ils sont capables de voir un défaut chez les autres sans le posséder eux-mêmes… Cette façon de penser, en plus d’être typiquement enfantine ou immature, ne rend pas service à ceux désignés sous le vocable de Maîtres, car elle les place à un niveau qui les éloignent de leurs frères en humanité, ce qui est exactement l’inverse de leur but premier ! Pour commencer, les Maîtres ne voient pas «les défauts» chez autrui mais uniquement les traits de caractère qui pourraient leur nuire au cours de leur Quête personnelle.
Bien sur, il existe des déviations spirituelles qu’il vaut mieux apprendre à réduire ou mieux, à supprimer carrément. Mais le terme «défaut» est un mot pratique qui désigne ce qui, en nous… Agace surtout les autres !
Observez bien autour de vous et écoutez bien les attentes frustrées de vos proches et vous verrez que c’est exactement ça. «Tu ne fais pas assez ceci» ou tous les «Tu fais trop cela», vous connaissez ? Or, ce qui agace autrui peut s’avérer être notre don le plus précieux pour cette vie et provenir en droite ligne d’un Attribut Divin offert au Soi, c’est à dire ce quelque chose qui se réincarne de vies en vies, créant à chaque fois une personnalité différente. Les Maîtres sont devenus capables de percevoir ce qui pourrait gêner l’expression du Soi en eux. Du même coup, ils sont devenu capables de porter le même Regard objectif sur autrui.
Rien de plus simple à comprendre, en fait. Si je suis capable de réparer ma voiture à tous les coups et pour n’importe quelle panne, alors je serai capable de réparer la voiture de mon voisin si elles est exactement du même modèle. Vous voyez ce que je veux dire ? Les Maîtres passent souvent pour des êtres exceptionnels alors qu’en réalité, ils sont passés Maîtres dans l’Art de ne plus résister à leur Dieu, et c’est cela qui est exceptionnel !
Serge Baccino
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)
Réactualiser nos mensonges
Essayons de comprendre pourquoi le mensonge existe…
A quel moment un être humain ressent-il le besoin de mentir ? Lorsqu’il pense que la vérité pourrait se révéler cruelle, blessante ou entraîner quelque terrible conséquence, non ? Sans nul doute. Mais est-ce toujours le cas ?
Est-il possible que la peur de souffrir pousse les êtres à mentir «par défaut», c’est-à-dire à transformer le mensonge et une manière pratique de ne pas (trop) souffrir ? Car dire que la peur de la vérité pousse au mensonge ne suffit pas à expliquer les faits. Il faut préciser aussi que la vérité devient, aux yeux des gens et au cours des siècles, synonyme de punition ! Le mensonge devient donc une seconde nature, les années passent, et l’être humain excelle chaque année un peu plus dans l’art de cacher la vérité aux autres.
Et il y parvient d’ailleurs si bien qu’avec le temps, les autres lui renvoient le reflet de son manque de probité morale, et voici notre pauvre humain qui commence à croire en ses propres mensonges ! Il finit par s’abuser lui-même et ce qui était tout d’abord un acte conscient et donc, volontaire, devient réaction inconsciente puis… Nouvelle vérité ! En clair, pour certains êtres, le mensonge est devenu leur seule réalité, leur seule vérité connue et surtout acceptable. Soyons logique : il ne peut être question de mensonge sans qu’il y ait conscience de l’acte. Il n’est pas possible, en temps ordinaire et pour un être normalement constitué, de « mentir inconsciemment. »
Pour mentir, il faut cacher la vérité. Pour cacher la vérité, il faut la connaître soi-même, être le seul à connaître le «lieu psychologique» (état d’esprit) dans lequel la vérité repose.
Le mensonge est-il le véritable problème ? Oui et non…(J’adore écrire ça !) Mentir dans le sens de cacher sciemment la vérité, est encore un moindre mal. Surtout si cela est ponctuel et se justifie quelque peu. Mentir en croyant devoir le faire par peur de la vérité, est déjà plus gênant, car l’individu commence alors à perdre une partie de sa liberté d’expression ou «de conscience.» Mais mentir sans penser à vérifier si ce mensonge est toujours d’actualité, voilà bien le comble de la bêtise humaine ! Mais voici que je m’explique sur ce dernier point.
Nous avons dit que le mensonge est issu de la peur de la vérité, peur elle-même issue de ce que peut impliquer le seul fait de dire la vérité à qui ne désire pas l’entendre ou à qui n’est pas préparé à la recevoir (en gros.) Ici, le mensonge est un moyen non pas de contourner la vérité mais d’éviter de devoir «en payer le prix.» Lorsque nous étions petit, on nous invitait à dire la vérité. Le mensonge représentait «le mal» et la vérité «le bien» (ben tiens !) Le problème, c’est que, en récompense de notre zèle à satisfaire aux attentes de nos géniteurs ou professeurs, nous écopions très souvent d’une solide remontrance, d’une engueulade, d’une punition voire d’une bonne fessée.
Autant dire que très jeune, nous sommes arrivé à la conclusion logique que pour dire la vérité, il fallait soit être fou, soit être devenu masochiste !
C’est vers cet âge et dans chacune de ses vies terrestres (ou extensions) que le Soi humain ou «Soi Naturel», commet l’erreur d’associer la vérité à une forme ou une autre de souffrance. Et qui aime souffrir ? Surtout si cela peut être évité ! Mais nous ne sommes plus des enfants, nous sommes majeurs et responsables de nos actes, à présent (quoique…) Surtout de ceux commis en toute connaissance de cause et… D’effet !
Voici ma question et j’espère que vous allez sourire à son énoncé : Pouvez-vous jurer que les mensonges « justifiés » d’hier sont toujours aussi nécessaires ou vitaux aujourd’hui ? Présenté plus sobrement, avez-vous pensé à contrôler s’il est toujours aussi utile et donc efficace de mentir à tout bout de champs ?
Pour étayer mon propos, je prends souvent l’exemple du mot écrit et abandonné ensuite dans le tiroir d’une commode… Imaginez…
Vous écrivez sur une feuille de papier : « Aujourd’hui, je suis très con ! » Puis vous glissez ce mot dans un tiroir d’une commode qui se trouve dans un coin obscur de votre grenier. Vingt ans après, vous ouvrez le tiroir et retrouvez ce mot. Selon vous, qu’est-ce qui sera écrit sur la feuille : « Il y a vingt ans, j’étais très con», croyez vous ? Non, n’est-ce pas ?
Il en va de même pour notre subconscient, qui ne tient pas compte du temps qui passe et enregistre tout au présent.
Si vous en arrivez à la conclusion qu’il est utile de mentir (étant jeune) alors le subconscient considérera cette utilité comme absolue et la représentera à chaque instant comme une vérité incontournable. Une vérité PRÉSENTE.
Et cela jusqu’à ce que vous « enregistriez » volontairement une programmation mentale opposée ou ayant le pouvoir de compenser ou d’annuler la première. Alors voici que je vous repose la question qui fâche :
« Si vous mentez toujours, et en supposant que vous en soyez toujours conscient, avez-vous pensé à contrôler régulièrement si vos mensonges sont toujours d’actualité ? »
Je vous laisse répondre à cette interrogation des plus viriles !
Serge Baccino
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)
Amoralité de l’esprit Divin
Voici un sujet qui tient tout particulièrement à cœur aux Mages Rouges et donc, aux psychologues ésotéristes, leurs plus fidèles représentants charnels. Un minimum de subtilité mentale sera réclamé ou mieux, obligatoire, pour ceux et celles qui vont lire ce sujet et surtout, y participer par leurs commentaires. Cette subtilité est en fait un mélange de logique, de bon sens, d’humour et de discernement, rien de plus. Il n’est pas question d’instruction mais d’intelligence. Procédons avec rythme et méthode, avec ce rythme et cette méthode qui me sont chères, en tant que psy éso. Il est dit que « Tout est fait d’esprit et que cet esprit est Dieu. » De fait, il y a fort à parier que cet esprit soit… Divin !
Mais attention : le mot « Divin » est pris ici dans un sens un peu différent de celui qu’on lui accorde généralement. L’esprit est Divin pour la bonne raison que « Dieu est esprit » et… Qu’il n’existe rien d’autre que l’esprit.
La Divinité de l’esprit se réfère donc à son caractère unique et absolu, et non à une qualité quelconque. L’esprit n’est pas Divin dans le sens de merveilleux, absolument pur, parfait, etc. Autrement dit, il n’y a rien de religieux ou de moral en l’esprit ou en Dieu. L’esprit n’est pas « gentil » ou « juste »; il n’est pas non plus « pur » dans le sens usuel de ce terme. L’esprit étant la seule chose qui soit, il serait difficile de le comparer à quoi que ce soit de « mieux » ou de « moins bien« , c’est évident ! Le Divin est parfait dans le sens où il est… Parfaitement lui-même ! Voire parfaitement unique. Le seul à Être.
Il ne peut être ni amélioré, ni divisé, ni fragmenté ni même étiré ou compressé. On ne peut pas non plus le rendre autre chose que ce qu’il est déjà, depuis toujours et à jamais. En clair, l’esprit est… Amoral ! Il ne fonctionne pas en concordance avec nos convictions et nos idées sur ce qui est « bien » ou « mal. »
L‘esprit n’est pas « lumineux » dans le sens usuel de ce terme; il est Lumineux parce qu’il rayonne son propre pouvoir et qu’il est « La Lumière du Monde », la seule chose qui puisse nous éclairer vraiment. La seule chose qui soit, donc. « Tout est fait d’esprit et par l’esprit. » L’esprit ne se scinde pas et ne se fractionne pas pour créer l’univers : il le fait mentalement ! Le Mental Divin est la somme spirituelle Cosmique, le grand cerveau central qui imagine toutes choses et crée toutes choses « en esprit et dans son Mental. » Tout comme lorsque vous pensez et imaginez un paysage vous ne créez pas les décors avec votre structure mentale, de même, l’esprit crée toutes choses sans pour autant employer sa structure, car « il pense l’univers » plutôt qu’il ne le construit vraiment avec son essence. C’est la raison pour laquelle l’univers matériel est en réalité PURE ÉNERGIE.
Si vous préférez, les particules d’esprit ne forment pas vraiment la matière, elles l’imaginent, la pensent, et cette concentration mentale ainsi que cette visualisation sont si puissantes, que l’univers nous semble aussi vrai que… Nous-mêmes ! En fait, ni l’univers ni nous autres, humains, existons autrement qu’en esprit ! Tous les exemples employés pour essayer de comprendre l’esprit ne sont que de pâles tentatives toujours avortées pour expliquer…l’Inexplicable. Il n’existe qu’une seule façon pour comprendre comment Dieu-esprit crée toutes choses : observez-vous penser ; Dieu fait exactement la même chose mais en infiniment plus grand et… En beaucoup mieux ! Mais revenons à l’amoralité de l’esprit, sujet presque aussi difficile à capter, même intuitivement, que la Nature de l’esprit lui-même.
Les gens associent d’une manière risquée la Divinité (ou l’esprit) à des concepts religieux, moraux et, en un mot, à ce qui est beau, juste, noble, généreux, compatissant, etc. Même ceux qui se prétendent « Athées »reconnaissent quelquefois que s’il existait un Dieu, il serait « nécessairement » tel une sorte de « Bon père aimant » attentif aux caprices de ses créatures. Du moins devrait-il être ainsi, s’il se prétend Dieu (sic.) Il est évident, pour qui a les yeux ouverts et n’a pas peur de s’enrhumer le Regard, que Dieu ou l’esprit n’est pas tout à fait tel que le projettent les êtres humains… Non pas qu’il ne soit pas « bon » ou « compatissant« , mais plutôt semble-t-il être en dehors de ce genre de considérations relatives à l’expression débridée de notre Moi-Idéalisé.
L’esprit ou Dieu n’est ni bon, ni mauvais, ni juste, ni injuste et il n’est en fait ni ceci, ni cela (Neti, neti, en sanskrit) Dieu-l’esprit n’est pas soumis aux contraintes de la dualité, en clair.
Soyons un peu logique : Si Dieu était « bon« , alors, selon sa propre Loi, il devrait être « mauvais » également ! (« Tout est double ».) En n’étant RIEN Lui-Même, il peut donner naissance (spirituelle) à Toutes Choses sans en être affecté le moins du monde. D’ailleurs, il donne chaque jour naissance à tout et… à n’importe quoi ! Si vous en doutez, regardez autour de vous et vous verrez ! Bon, très bien, tout est fait d’esprit, l’esprit est Dieu et tout est engendré « en esprit » et donc mentalement, c’est-à-dire que l’univers est pensé, pas réellement créé. Pour ça, c’est bon, on a compris.
Mais ce qu’on ne comprend pas encore, c’est… Qui ou Quoi « pense » ainsi en esprit et dans son mental ? Car si l’esprit est Dieu, alors « Cela » qui se sert de l’esprit doit nécessairement être autre chose que l’esprit, être distinct de lui afin de s’en servir pour « rêver l’univers » Vous suivez le raisonnement ?
Du coup, Dieu-esprit est bien l’Agent Créateur (ou Formateur) de toutes choses, mais il n’est pas le Scénariste ! Qui ou Quoi se sert de l’esprit Divin pour penser l’univers ? Ce ne peut être Dieu, car lui est occupé à créer, vous vous souvenez ? Dieu ne peut être à la fois le Penseur et la Pensée. Quelque chose d’autre se sert de l’esprit pour pondre un Super-Scénario Cosmique au fur et à mesure que celui-ci se déroule sous nos yeux ébahis. Voilà qui fait rêver, non ? C’est le cas de le dire, oui, il y a largement de quoi Rêver, car il y a tout l’univers et les dieux à rêver ainsi ! Cela qui se sert de l’esprit pour créer mentalement est apparemment loin de nos considérations humaines, c’est le moins que l’on puisse dire ! Ce Grand Penseur est on ne peut plus amoral. Tout comme son esprit, en somme. Cet esprit qui lui sert à Orchestrer l’Univers visible ET invisible (à nos sens physiques du moins.)
Ceux qui ont peur de Dieu, qui désirent (ou espèrent) lui plaire, l’implorent ou se demandent pourquoi « il leur fait ça » (sic) sont donc complètement à côté de la plaque. Non seulement l’esprit qui est Dieu est « pensé » et donc pas libre d’agir à sa guise, mais de plus, il semblerait que le Penseur ne se préoccupe guère des résultats de sa rêverie consciente. Il ne semble avoir ni a priori ni but particulier qui puisse s’inscrire dans la dialectique humaine. En somme, même si le Grand Penseur poursuis un But, ce dernier n’est pas accessible à l’entendement humain. Il est donc inutile d’essayer d’aborder Dieu ou Cela qui se trouve derrière Lui, avec une mentalité typiquement humaine et donc affreusement limitée, et qui ne tient pas compte de toutes choses en simultané (Nommé « Actualité Cosmique » par les psy éso.) Du moins pour le moment.
Je vais à présent vous permettre de réagir et participer à ce nouveau sujet qui, je l’espère, éveillera de l’intérêt en vous. A toutes fins utiles, je tiens à préciser que ce sujet, s’inscrit dans une série d’articles dont le contenu, des plus subtils, n’avaient pas été porté à la connaissance du public, et étaient jadis réservés à de hauts initiés capables d’appréhender ce type de concepts. Autant d’idées susceptibles de déstabiliser des personnes non correctement préparées. Mais ces thèmes n’ont jamais été « secrets »; ils étaient simplement refusés par les masses « bien pensantes » (ou autorisées à penser) ou impossibles à assimiler vraiment, du fait d’un développement mental insuffisant.
J’ai espoir que vous êtes conscients de la valeur de ce qui vous est proposé, même si cela l’est en termes modernes et quelque peu « remastérisés » pour devenir accessible à tous. Remastérisé, cela au risque de frôler quelques erreurs nécessaires, du moins pour le moment.
Serge Baccino
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)
Maya contre nouvelles énergies (Dossier)
Note : Ceci n’est pas un simple article mais une étude ou, comme il est dit sur ce blog, un « dossier. » Le texte est nécessairement très long et réclame d’être lu « à petites doses » afin de ne pas lasser le mental et risquer un décrochage de l’attention. Cela dit, écoutez votre ressenti et lisez autant ou aussi peu que vous le souhaitez. Seul votre ressenti doit demeurer le maître absolu qui dirige vos pensées et vos actes. Cordialement votre.
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Maya contre nouvelles énergies
(Première partie)
Comme vous le savez sans doute, le pire ennemi des spiritualistes du passé fut leur tendance à confondre connaissance et sagesse, c’est-à-dire savoir et application intelligente de ce même savoir. Car apprendre et savoir sont choses aisées : il suffit de se remplir la tête de choses plus ou moins hétéroclites puis d’être capable de les ressortir et de les réciter par cœur, le cas échéant. Observez tous ces magnifiques jeunes qui sortent des écoles avec BAC + 2,3,4 ou 5 voire plus ! Ne sont-ils pas instruits jusqu’à la garde, gavés comme des oies de ce savoir si précieux qui, n’en doutons point, leur sera plus tard d’une aide incalculable dans leur vie de tous les jours ? (Qui a pouffé ?)
Nos jeunes « BAC+quelque chose » se retrouvent un peu dans la situation de nos anciens spiritualistes, ceux de la vieille énergie : ils savent beaucoup de choses, mais aucune ne semble applicable aux problèmes réels et vitaux qu’ils rencontrent une fois lancés dans la vie active.
A peine finis d’être gavés de ce savoir si précieux, les voici lâchés en pleine nature, avec pour mission d’apprendre à voler tout seul et à définir leur propre itinéraire. Eux qui, durant des années, n’ont appris qu’à obéir sans discuter, à retenir tout ce qu’on leur présente et à apprendre sous la menace de ne pas être reçu au précieux échelon supérieur, les voici à présent «libres» de se comporter comme si on leur avait appris de tout temps à se débrouiller seuls !
Résultat, ils se retrouvent paumés, avec le sentiment très net mais rapidement étouffés par une fierté bien compréhensible, de s’être fait blousé et de n’avoir servi que de cobayes vivants à ceux qui ont pour insigne honneur de définir le parcours scolaire et les matières étudiées par nos chères têtes blondes et ce, dès le cours préparatoire. Préparatoire à l’état d’inadaptés sociaux.
Connaissant sur le bout des doigts des choses qui ne leur serviront pas ou plus dans « la vraie vie », les voici obligés de réapprendre de nouveau.
Apprendre à survivre dans une jungle sociale pour laquelle ils n’ont jamais reçu la moindre préparation, bien évidemment. En somme, les voici confrontés à L’ACTUALITÉ HUMAINE, et non plus seulement à cette réalité largement idéalisée, à l’aide de laquelle ils ont été conditionnés.
Les mystiques et les spiritualistes du passé étaient dans la même situation psychologique que nos infortunés Bacheliers + quelque chose…
Eux aussi ont du apprendre les Lois et les Principes qui président au fonctionnement des choses de ce monde et de tous les autres. Du moins est-ce là ce qu’ils ont appris ! Une Loi est quelque chose d’incontournable et qui s’applique pour un même plan à tous ceux qui s’y manifestent. Et c’est ce qu’on leur a enseigné, si, si !
Ils ont aussi appris que les forces du Bien sont plus puissantes que les forces du Mal et que celui qui viole une quelconque loi doit en subir tôt ou tard les conséquences fâcheuses. Une fois les études usuelles terminées (parfois 20 ans ou même plus) nos jeunes « Bacheliers de l’âme » ont été eux aussi lâchés dans l’arène très peu mystique de ce Monde. Et ce qu’ils y ont vu, ce qu’ils y ont vécu, ne correspondait pas à tous ce qu’ils avaient appris et qui avait au moins l’éclat de l’or, sinon la pureté du diamant.
Et voici que, de nouveau, les hommes se tournent vers la spiritualité. De nouveau, « des âmes compatissantes et désintéressées » (sic) se précipitent pour les accueillir, les instruire et les former aux changements que tout le monde pressent comme étant pour Demain. Pourquoi devrions-nous penser puis croire que, cette fois-ci, les « matières scolaires » présentées aux nouveaux mystiques et aux nouveaux spiritualistes, consisteront en un matériel qui leur sera utile et qui se révélera parfaitement adapté aux temps qui s’en viennent ? D’ailleurs, goûtons un peu à cette nouvelle sauce spirituelle pour définir si son goût relève du nouveau, car au premier abord, c’est encore le parfum de l’Ancien. Que savons-nous du Nouveau AVANT qu’il ne se manifeste ? Allons-nous le tuer avant de lui laisser le temps de naître, cela en le traitant avec les outils qui nous ont servis à louper notre passé, et qui appartient désormais à l’ancienne vie ?
Est-il seulement possible de se préparer à une chose dont on ignore tout, du seul fait de sa totale nouveauté ? Quelles sont les méthodes, les techniques proposées ? Quel plat réchauffé va nous être servi ?
Va-t-on nous parler d’amour, de Lumière, de compassion, de pardon, d’aimer son ennemi ou de ne pas entretenir de pensées négatives face à l’adversité ? Allons-nous devoir, encore et toujours, jouer le rôle de celui ou de celle qui doit beaucoup méditer, aller à de nombreuses conférences, appartenir à un groupe ancien et reconnu et, dans l’élan, pourquoi pas, essayer une thérapie auprès d’un psychiatre hors de prix et bien sur non remboursé par la sécurité sociale ?
Allons-nous encore nous ruiner en stages dans lesquels il nous faudra crier tout nu en position de fœtus, respirer comme des locomotives, régresser pour connaître « nos vies antérieures » ou encore apprendre à voir l’aura ternies de personnes devenues aussi paumées que nous ?
Nous avons fait toutes ces choses et nous en incarnons désormais le résultat, ne le voyez-vous donc pas ? Nous pourrions aussi faire des stages qui coûtent des fortunes à nos entreprises Françaises et dans lesquels nous apprendrions à vendre des aspirateurs à des aborigènes d’Australie qui ne possèdent pas encore l’électricité.
Et avec un peu de chance, soit nous pourrions nous suicider sur notre lieu de travail, soit succomber à une crise cardiaque ou à une rupture d’anévrisme au bout de quelques années d’auto-trahison ?
Les choix sont nombreux et pourtant, il n’existe qu’une seule cause à nos errements. Dire que « nous sommes sous l’emprise de Maya » fait certes très instruit et un brin New-Âge, mais n’explique rien de manière intelligente et de ce fait, ne consiste pas en une connaissance applicable à notre vie de tous les jours. Donc, ça ne sert à rien, si ce n’est à se branler les méninges ou à briller en société.
Pourtant, la clé se trouve au niveau de ce concept très mal compris que nous connaissons sous le nom de Maya. Le concept de Maya a été aussi mal expliqué et donc compris que celui du Karma, les deux étant d’ailleurs plus liés qu’il n’y paraît de prime abord. Maya n’est pas un pouvoir qui nous illusionne. Si c’était le cas, alors ce pouvoir serait plus puissant que nous et notre avenir serait foutu pour de bon et par avance !
Si Maya existait indépendamment de nous, les êtres humains, alors Maya serait un pouvoir cosmique dépendant de l’Actualité, et non de notre réalité. Et nous ne pourrions nous extraire d’un contexte global ou cosmique dans lequel nous serions immergé.
Tout ce qui dépend de l’Actualité Cosmique est intouchable et éternel. Nous n’y avons pas accès. Tout ce qui dépend de la réalité dépend de nous. De nous tous, du « Soi Collégial », dirons-nous pour faire simple. Retenez ces mots :
Ce que pense un homme ne marque que cet homme, mais ce que pense l’humanité marque toute l’humanité.
Mais rappelons un peu la Genèse du sujet, si vous le voulez-bien…
Au départ, nous avons des Dieux (les Élohim) qui désirent expérimenter un niveau de conscience que leur fréquence divine leur interdit d’expérimenter.
En effet, expérimenter revient à pénétrer une zone dans laquelle peut se produire cette expérimentation. Pour entrer dans certaines formes mentales et les connaître de l’intérieur, les Dieux doivent, au préalable, accepter d’abaisser leur fréquence vibratoire afin de se rapprocher à quelques octaves seulement de la fréquence qui est celle de la zone à expérimenter de l’intérieur.
Cela revient pour eux à descendre dans les profondeurs Océaniques de l’esprit universel et au sein desquelles règnent une densité ainsi qu’une pression monstrueuses. Même si tout ceci est dans leur conscience.
Imaginez une zone d’ombre au sein de notre conscience, qui nous soit inaccessible… Que ferions-nous si c’était le cas ? Si nous étions capables de visiter tous les plans ou niveaux d’existence (ou de conscience) sauf un ?
Eh oui, nous ferions comme l’ont fait ces Dieux d’Antan : nous chercherions par tous les moyens possibles et imaginables à pénétrer dans ce no man’s land de l’esprit. Et nous réussirions, assurément !
Oui mais voilà : à ce niveau de densité spirituelle, ce n’est plus de l’esprit que nous trouvons mais… De la matière ! Et la matière, c’est de l’esprit qui s’est oublié. Ce qui est pour le moins fâcheux, attendu que cet esprit est aussi Dieu ! Et qu’est-ce qu’un Dieu si n’est de la Supra-conscience ? Comment ce qui est pure conscience d’être et d’exister, pourrait ne plus être… Conscient ? En n’étant plus Dieu ou en n’étant plus l’esprit, ce qui revient au même. Est-ce seulement possible ? Non, bien évidemment !
Alors quoi ? Alors, il reste la solution non pas de ne plus être divin, ce qui est impossible, même à un Dieu, mais…De ne plus être conscient de sa divinité. Autrement dit, demeurer conscient, certes, mais pas d’être l’esprit divin mais quelque chose d’autre !
Mais, est-ce possible, attendu que « Seul existe l’esprit et que l’esprit est Dieu » ? Présenté ainsi, non, ce n’est guère envisageable, en effet.
Mais si l’esprit demeure conscient de lui-même tout en ignorant qu’il est l’esprit et donc, qu’il est Dieu, alors la chose devient envisageable !
Il suffit de concentrer assez de matière mentale puis de la programmer pour qu’elle se croit « libre » et distincte de tout le reste de la création, et le tour est joué ! Et c’est ce qui fut fait !
« Et Dieu vit que cela était bien…. »
Notre conscience pénétra des formes mentales que nous avions nous-mêmes visualisées, de plus en plus denses et de moins en moins Lumineuses, c’est à dire « reflétant de moins en moins sa propre Nature qui est Lumière. »
La forme la plus basse était faite d’esprit tellement concentré qu’il apparaissait sous une forme trop « dense » pour que l’esprit qui la compose se souvienne de qui il est vraiment.
Alors une partie de ce Dieu Créateur (Brahma) qui était investie dans sa propre création mentale, oublia qui elle était et elle perdit la conscience de sa propre divinité, ainsi que les pouvoirs (siddhi) qui vont avec.
Et nous sommes cette partie. Du moins, une partie (personnalité terrestre) de cette partie (le Soi) L’homme est de l’esprit trop concentré pour qu’il lui soit possible de se percevoir comme étant unit à autre chose que lui-même. Alors pensez un peu s’il peut croire qu’il est un Dieu et que ce même Dieu est uni au Grand Tout Cosmique ! La forme humaine et la conscience qui s’y rapporte, sont si parfaitement visualisées comme uniques, distinctes de tout le reste et privées de pouvoir, que l’esprit qui les compose et leur permet de s’exprimer croit dur comme fer qu’il est distinct de toutes choses et donc, de la Divinité (relative ou absolue.) En somme, l’esprit s’illusionne tout seul et se fait croire qu’il est tout, sauf ce qu’il est vraiment : de l’esprit !
L’homme est distinct, c’est vrai, mais il n’est pas séparé de tout le reste et ne l’a jamais été ! Il fallait seulement qu’il le croit d’une manière absolue et définitive, cela pour réussir, entre autre, à explorer les plus basses vibrations de la création divine continue. Et nous voici occupés à nous imaginer être « ceci ou cela » en esprit, en le visualisant avec cette parfaite concentration dont seul un Dieu est capable. Imaginez que vous puissiez vous éveillez dans (ou durant) le rêve : ne seriez-vous pas tenté d’y participer avec un plaisir immense ? Un tel pouvoir ne serait-il pas enivrant, voire… Hypnotique ?
Imaginez, enfin, que vous soyez si mordu de ce rôle, de ce rêve rendu vivant, de cette visualisation, que vous en arriviez à oublier que ce n’est qu’un rêve, qu’une vue de l’esprit.
Si vous pouvez imaginer cela, alors vous connaissez comment fonctionne la Création Cosmique Continue et comprenez désormais, qui sont les Maîtres. Tout ce que fait le Mental Cosmique (Dieu-Le-Tout) un Dieu le fait aussi, mais en plus petit : sa création ne concerne que Lui et tous ceux qui acceptent de le suivre au sein même de sa rêverie.
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(Seconde partie)
Les Mystiques et spiritualistes du passé se méfiaient de Maya qu’ils traduisaient quasiment tous par « illusion. » Pour eux, les 5 sens objectifs les trompaient et ne leur permettaient pas d’accéder à la vérité. Ils établissaient une nette différence entre l’actualité » ou «Tout ce qui existe vraiment» et «la réalité», c’est-à-dire le peu d’actualité à laquelle leurs sens leur permettaient d’accéder.
En fait, les sens ne trompent personne et ne déforment rien : ils sont seulement limités à une forme d’activité spécifique et ils remplissent parfaitement leur rôle dans les limites mêmes de cette activité spécifique.
Nos yeux ne déforment pas ce qui se trouve à dix kilomètres, car ils n’ont pas accès aux choses qui se trouvent à cette distance. Et même s’ils y avaient accès, ils n’auraient aucun pouvoir sur ces choses et ne pourraient donc pas fausser les faits ou nous tromper à leur sujet.
Ainsi, nos sens ne faussent rien, bien au contraire ! Leur rôle est de transformer un véritable bain de vibrations à peine distinctes les unes des autres, en des objets ou des choses apparemment aussi distinctes que séparées, et sous une forme et à partir de détails recevables pour notre cerveau. Plus sobrement, nos sens transforment des ondes vibratoires en des objets clairement délimités et adoptant pour nous, « une forme solide » et distincte de tout le reste.
Mais ces ondes ne sont pas séparées du Grand Bain cosmique de vibrations. Penser autrement serait ILLUSOIRE, assurément.
Les choses ne sont pas telles que nous les percevons avec nos sens mais ces derniers ne faussent rien, ils transforment de l’informel en du formel, de l’illimité en du limité, nous permettant ainsi de distinguer les choses et les êtres, de pouvoir les considérer séparément de tout le reste.
Nos sens sont un peu comparables à un microscope : ce dernier ne « sépare » pas les choses, il nous permet seulement de les mettre en valeur, d’accentuer leur présence en les rendant « plus présents » à nos yeux.
Il en va de même des sens psychiques, certes moins limités que leurs homologues charnels, mais capables, eux aussi, de transformer l’informel en formel, mais sur d’autres octaves vibratoires. Prenons un exemple. Nous croyons être capables de « voir » les couleurs de l’aura, mais en réalité, ce n’est pas le cas, et ceci pour la bonne raison que l’aura n’a aucune couleur ! Toutefois, les vibrations qui émanent d’un être humain viennent frapper certains Centres psychiques et nerveux qui se trouvent dans notre cerveau, et ces derniers transforment de simples ondes vibratoires porteuses d’informations, en des couleurs chatoyantes capables de créer une impression plus marquée dans notre conscience individuelle.
Maya ne représente donc pas une forme d’illusion qui nous serait imposée par je ne sais qu’elle obscur pouvoir qui ne dépendrait pas de notre volonté. Maya représente l’état actuel de nos perceptions, qui sont limités VOLONTAIREMENT afin de nous permettre d’expérimenter des niveaux de densités spirituelles qui nous seraient totalement inaccessibles si nous restions dans l’état d’esprit qui devrait être le notre et qui interdirait l’Aventure Humaine.
Dans nos cellules humaines sont gravé les codes de limitations requis pour participer pleinement de ce plan de conscience Terrestre ou physique. Depuis le début, le subconscient humain avait pour ordre formel de nous « vendre » l’idée-germe surpuissante que nous ne sommes que ce que nous pouvons appréhender de nous-mêmes. Ce qui est faux, bien entendu, mais considéré pour vrai par la moindre de nos cellules.
Nous sommes faits de particules de Lumière densifiée auxquelles il serait grand temps de donner le nom qui est le sien depuis toujours. En Français, ce nom est L’ESPRIT. Ce même esprit qui nous sert à penser. Et puisque TOUT est fait d’esprit, nous sommes nous aussi conçus à partir d’une combinaison très savante de particules d’esprit, formant des atomes, des cellules et des organismes complexes ou, en un mot, notre corps de chair. Et puisque nous sommes fait d’esprit et que cet esprit vibre actuellement très bas, c’est avec le degré de conscience et d’intelligence relatifs à cette très basse fréquence que nous pouvons nous « estimer » à notre juste valeur, c’est-à-dire nous connaître nous-mêmes.
Autant dire que nous avons autant de chance de nous percevoir comme étant divins et partie intégrante du Tout-Esprit, qu’une fourmi a de chance de réaliser un jour que la lune n’est qu’un satellite de la Terre.
Ce manque de « recul psychologique » est ce qui nous prive de cette prise de conscience que nous sommes divins en Essence et depuis TOUT LE TEMPS. Pour le moment, il nous est très difficile d’imaginer puis de croire que nous ne pouvons pas être autre chose que divins et parfaits. C’est cet état de fait, cette incapacité de nous croire divins, qui nous permet de vivre comme si nous étions faibles, seuls, uniques, séparés et donc, en danger à la moindre occasion. Et il fallait absolument que nous ressentions les choses ainsi et que nous en fassions notre seule et unique réalité !
Sinon, nous serions demeurés bien incapables de comprendre ce que c’est que de se ressentir humain et faible, seul et distinct de toutes choses et, en un mot, Libre, y compris… De notre propre Divinité !
Moralité, Maya n’est pas une tare ou l’ennemi; elle est un cadeau, une réussite gigantesque et notre plus grande fierté future ! Comprenez-vous toute la Beauté de ce qui vous est présenté ici ? Prenez un peu de recul… Mieux encore : imaginez ! L’imagination est l’antichambre de la conscience de Soi. Imaginez… Vous êtes fait d’esprit, OK ? Et l’esprit, il a quelle forme, quel nom ou quelle identité, selon vous ? Réponse : il a toutes les formes possibles et imaginables, car il peut donner forme à toutes choses, du moment qu’il peut y penser puis concentrer sa propre Lumière sur ce qu’il pense.
Le résultat sera qu’il deviendra ce qu’il pense (ou visualise) et que devenu cette pensée, cette forme, il sera alors limité par cette pensée ou cette forme et ne pourra dès lors s’exprimer qu’à partir des limites propres à cette forme spirituelle (faite d’esprit, donc.)
Mais une telle « limite » est souhaitée et consiste en une réussite totale, non en une limite ou un échec !
Voyez ce poisson qui nage dans la mer… Il ne vole pas et ne peut survivre dans l’air, car ce qu’il incarne le limite en même temps et ce, aussi parfaitement que ce qu’il incarne est… parfaitement incarné ! Ce poisson est divin, parfait, il ne peut être mieux que ce qu’il est déjà ! Voyez cet oiseau qui vole dans le ciel… Il ne peut survivre sous l’eau ni voler au-dessus de l’atmosphère terrestre et ceci, justement, parce qu’il incarne parfaitement l’idée de ce qu’est un oiseau. Cet oiseau est divin, il ne peut être plus réussi que ce qu’il est déjà ! Comprenez-vous bien tout ceci ? A présent, observez celui qui observe toutes choses mais oublie à chaque fois de s’observer lui-même !
Oui, je parle de vous ! Vous êtes non seulement l’esprit mais encore, vous êtes FAIT d’esprit. Et cet esprit est Dieu. Mais vous n’êtes PAS Dieu et ne devez essayer de l’être sous aucun prétexte !
Pourquoi ? Parce que sinon le Jeu de la Conscience serait terminé pour vous. Réfléchissez deux minutes : vous êtes l’esprit… Vous êtes fait d’esprit… Ces deux choses là sont déjà «réussies», si j’ose dire, car vous êtes déjà l’esprit ou «fait d’esprit», vous n’avez rien d’autre de plus à réaliser en ce domaine et à ce sujet, voyez-vous ? Dès lors, qu’est-ce qui vous reste à être, à faire ou éventuellement, à devenir ? Réponse : ce que vous êtes déjà, c’est à dire VOUS ! Ce «Vous» est le rôle que vous jouez actuellement, votre identité terrestre, votre rôle ou ce Jeu d’Acteur que vous incarnez pour le moment. Vous devez ABSOLUMENT le Jouer avec cœur, courage et fierté, car ce rôle a été choisi par le plus Génial Scénariste qui puisse se concevoir !
Vous devez absolument être FIER de ce que vous êtes actuellement ou que vous CROYEZ être, plus exactement. Car sachez que si vous êtes déjà l’esprit, devenir ce que vous êtes, actuellement était loin d’être gagné d’avance car, souvenez-vous : seul existe l’esprit et l’esprit est Dieu. Vous êtes actuellement occupé à faire l’impossible, c’est à dire incarner autre chose que ce que vous êtes en esprit et en vérité, à savoir l’esprit Divin !
Et cela, même Dieu ne pouvait pas le réaliser ! La preuve ? Il vous a envoyé vous, pour réussir à être cet homme ou cette femme, à sa place, certes mais… En Son Nom. (« Celui-ci est Mon Fils en qui Je prends Mon plaisir… »)
Mais voici que l’Aventure Humaine (sous sa forme la plus grossière du moins) va se terminer d’ici quelques temps. Peut-être est-ce notre dernière vie sur un plan aussi dense, qui sait ! Mais présentons le sujet sous un angle amusant : après avoir passé des millénaires à demeurer dans l’ignorance de ce que nous sommes, nous devons à présent déloger les anciens codes devenus obsolètes et installer de nouveaux programmes qui tiennent compte de notre divinité !
(Notez que je n’écris pas que « nous devons redevenir Dieu » )
En somme, il nous faut désinstaller notre O.S. (Opérating System) actuel et en installer un autre nous permettant d’avoir « fenêtres sur cosmos », si j’ose dire. Jusqu’à ce siècle, nous ne devions pas savoir qui nous sommes vraiment. Du moins, pas d’une manière trop générale (pas tout le monde ni en même temps.) Désormais, nous ne devons plus croire que nous sommes uniquement ce que nous semblons être. Forcément, cela va en embrouiller quelques-uns ! Et le mieux serait de vous entrainer, dès à présent, en installant en votre esprit, des idées-germes capables de vous détourner des anciens codes engrammés (gravés) dans vos cellules.
Revenons sur un point pouvant paraître quelque peu obscur
Il faut essayer de comprendre que ce que nous percevons n’est PAS illusoire, car si c’était le cas, nous ne pourrions PAS en être conscient !
Il est impossible de prendre conscience d’une chose qui n’existe pas ! Cela est si évident, qu’il a fallu arriver aux années 2010 pour le réaliser vraiment. Ce que nous montrent nos sens est relatif à TOUT ce qu’il est bon que nous connaissions et donc, tout ce dont nous avons BESOIN de prendre conscience tandis que nous sommes sur ce plan (la Planète Terre physique.) Nous sommes donc tous parfaitement équipés pour la « mission » qui a été -et est encore pour quelques années- la nôtre.
Et cela, les mystiques et les spiritualistes du passé (je cause bien entendu des élèves ou disciples les plus avancés) ne l’ont jamais compris. Tous cherchaient à se « libérer » des chaînes hypothétiques de la matière, alors que si chaînes il y avaient, elles ne pouvaient se trouver que dans leur propre esprit et, surtout, dans leur manière peu intelligente de penser et de ressentir.
Pourquoi s’incarner si le but est de rester le plus longtemps possible en sortie de corps, en Samadhi ou pour passer le plus clair de son temps terrestre en contact avec l’invisible ?
Les anciens connaissaient beaucoup de choses (souvent fort inutiles, d’ailleurs) mais rares furent les élèves avancés des Grands Maîtres capables de faire montre d’assez d’humour et de sagesse pour accepter leur situation et pour appliquer la connaissance avec intelligence et sans passion, là où elle pouvait être le plus utile : leur vie de tous les jours. Sortis de leurs périodes d’étude, de méditation, de réunion secrètes en Loges, etc., ils se comportaient exactement comme tout un chacun mais refusaient simplement de le reconnaître. (Croyez-vous que cela ait changé ?)
Durant les vingt dernières années, j’ai personnellement eu l’occasion de vérifier l’exactitude de ce que je propose ici et que les psychologues ésotéristes essayent en vain de faire comprendre à leurs confrères et consœurs de la spiritualité depuis des siècles : Les dangers du Moi-Idéalisé, responsable du mensonge, de l’hypocrisie et du besoin compulsif de ne jamais « fauter » (ce qui bien sur est impossible à l’homme.) Tant qu’un ésotériste se trouve dans un temple, une Loge, à des repas fraternels ou assiste à des conférences, il s’affiche comme le ferait selon lui « un véritable initié » et selon des archétypes comportementaux qui aurait de quoi filer le bourdon à une autruche naine du Crétacé !
Dire à une personne qui se croit très spirituelle ou très évoluée, qu’elle devrait arrêter de se mentir et de balayer la poussière dans sa demeure avant de prétendre aider les autres à y parvenir, voilà qui ne consiste pas en la meilleure manière de se faire accepter puis aimer ! C’est très certainement pour de tels spiritualistes que le proverbe « La vérité n’est pas toujours bonne à dire » a été inventé ! Cela dit, nos sens évolueront bientôt en rapport avec la hausse considérable de vibrations de la structure atomique de la matière.
La matière va évoluer, c’est-à-dire que les particules d’esprit qui la composent vont se mettre à vibrer sur une fréquence plus élevée. Nos sens vont donc s’adapter rapidement et ce qui était préalablement « physique » deviendra psychique mais… Nous ne le réaliserons pas ! Ou pas tous, pas en même temps ni même dès le début des changements, en tous les cas. Et c’est parfait ainsi !
Si vous quittez durant des années votre famille terrestre, en la retrouvant, disons dix ans plus tard, vous allez être frappé par les changements extérieurs installés au fil du temps. Les visages, les corps et jusqu’au décorum de la maison familiale, tout aura sans doute changé. Pour vous, cela sera évident et vous le verrez immédiatement, mais pour les autres membres de votre famille, les changements se seront opérés très graduellement et ils n’en seront pas aussi conscients que vous. Voire pas du tout ! Pour prendre conscience de changements en nous ou tout autour de nous, il nous faut être capables de comparer deux points de vues différents.
Il en va de même pour la Planète Terre : comme nous sommes dessus et que nous vivons tous à son propre rythme, si ce rythme augmente, nous n’en seront pas nécessairement conscients. Mais si des humains étaient parti durant vingt ans sur une autre planète d’un autre système solaire que le notre, à leur retour, ils seraient effarés des transformations radicales installées durant leur absence prolongée. En fait, il ne serait même pas certain qu’ils puissent seulement… Nous voir !
Pour eux, nous serons peut-être tous passé « derrière le voile », un peu comme l’ont fait avant nous -mais plus radicalement- les Mayas.
Imaginons quelques minutes que nous ayons tous les pouvoirs d’un Dieu tout en étant de simples adultes normalement constitués et que notre désir soit de connaître puis d’expérimenter la vie d’un très jeune enfant, histoire de savoir ce qu’il pense, ressent et vit exactement. Et nous voici dans la peau d’un bébé !
Afin de jouer le jeu, il n’est plus question, désormais, de nous percevoir comme un adulte dans la peau d’un enfant car, à l’évidence, cela fausserait l’expérience. Alors, nous nous donnons des instructions mentales, en employant les lois et les principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit.
Et, en particulier, les lois très précises qui régissent le fonctionnement harmonieux de la subconscience, siège de toutes les programmations possibles et imaginables. Ces instructions très précises pourraient se résumer ainsi :
« Je Suis vraiment un bébé, point barre ! »
Alors une fois la forme du bébé investie, nous devenons un bébé et pensons, ressentons et agissons comme tel. Il nous est interdit, pour le bien de l’expérience librement consentie, de savoir « Qui nous sommes vraiment » ni pourquoi nous sommes venus pour le plaisir de porter des couches ! Durant le temps programmé de cette expérience de bébé, le subconscient a pour seconde fonction d’enregistrer fidèlement tout ce que nous pensons, ressentons et expérimentons en tant que bébé, ceci de manière à ce que nous puissions en retirer quelque précieuse informations, lorsque l’expérience sera terminée et que nous serons redevenus des adultes. Et devenir un adulte sera pour le moins aisé puisque, en vérité, nous le sommes encore et l’avons toujours été ! Nous ne pourrons donc pas « le devenir » (logique.)
Très bien, la chose est entendue, mais puisque nous sommes vraiment devenus des bébés, comment saurons-nous que l’expérience est terminée (ou satisfaisante) et que nous pouvons redevenir des adultes ? Et quel est le pouvoir qui nous rendra notre identité première ? Jusqu’à ce jour, la méthode de « rappel à Soi » (ou de Retour à la case départ) était on ne peut plus simple et radicale : la mort ! En effet, si la forme du bébé est détruite, les limites programmées auparavant cessent immédiatement de faire loi et nous redevenons ce que nous n’avions jamais cessé d’être, en vérité.
La mémoire cellulaire (nos annales akashiques personnelles, en somme) est alors immédiatement transférée des cellules physiques aux éthers vitaux (« corps éthérique ») puis au corps Causal, au moment de la mort.
C‘est ce transfert de la mémoire qui produit ce brusque et très rapide défilement de notre vie devant nos yeux, au moment où l’on manque mourir, pour ceux qui connaissent ce phénomène étonnant. En fait, il s’agit tout bonnement du « vidage » énergétique des cellules qui transfèrent le vécu enregistré à une partie du corps psychique nommée « corps éthérique. » Or donc, la mort physiologique (du corps) est en effet un moyen à la fois logique et radical, de faire cesser « l’Aventure bébé » ! C’était d’ailleurs le seul moyen véritable et fiable sous le règne des anciennes énergies. Mais désormais, et depuis 1998, il est possible de terminer une Aventure quelconque (le rôle joué sur Terre) sans avoir à faire mourir la forme qui permet cette même Aventure.
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Il me semble utile de revisiter certains passages qui ont pu passer inaperçu au début de cet article (Note : plusieurs posts, à l’origine) La véritable et seule « illusion » est celle engendrée par l’homme et non par les Dieux (les fameux « Élohim ») Ou, et si vous préférez, nous avons, dans le Principe Actif, un scénario divin pondu par des êtres parfaits mais qui désirent dépasser cette perfection afin d’en apprendre encore plus sur eux-mêmes et expérimenter plus avant leur nature. Et de l’autre côté du Voile, nous avons des humains qui commencent à s’éveiller et qui, sous prétexte que le monde est illusoire (tel que l’homme le pense et le projette) se mettent à tricher avec la vie et à inventer des réalités secondaires non prévues et « autorisées » au départ.
C’est un peu comme si vous étiez un acteur de cinéma célèbre qui s’enorgueillit d’être une très grande la vedette, une « Star« , comme l’on dit désormais, et qui se met à changer des passages entier du scénario sous prétexte que, de toutes manières, ce n’est que de l’illusion, que ce n’est pas « la vraie vie. »
Ici, l’expression « Jouer le Jeu » est tout à fait de circonstance. Croyez-vous vraiment que les Grands Maîtres du passé ignoraient que cette vie terrestre n’était qu’un « Songe Divin » ? Ils le savaient, mais ils jouaient le Jeu avec reconnaissance et simplicité.
Et j’avoue que de tous les « secrets » qu’il m’a été donné de connaître ou de découvrir, c’est celui-là qui m’a le plus touché, le plus ému, et qui m’a rendu éternellement amoureux de ces grands Êtres d’Amour et de Lumière.
Ils auraient pu tricher et se faire passer pour des Dieux auprès de quelques-uns ou même de beaucoup car ils en avaient le pouvoir. Mais ils ne l’ont pas fait, car ils étaient également conscients que tous les autres étaient également des Dieux. Et ils auraient eu honte à la seule idée de devoir, plus tard, justifier de leurs actes médiocres auprès des autres Dieux. Comprenons bien comment fonctionne le Jeu Divin, le Jeu de la Conscience (Dixit les Shiva Sutra.)
Il existe des règles précises qui ne doivent pas être transgressées, cela sous peine de fausser définitivement le Jeu Divin. Évidemment, un seul Grand Être pourrait, à lui tout seul, faire cesser définitivement le Jeu, ceci en démontrant à la face de tous (la Planète entière) que non seulement il est Dieu mais que de plus, nous le sommes tous.
En théorie du moins ! Car en pratique, à peine aurait-il émis l’intention de le faire, que la moitié des forces du Cosmos se précipiteraient pour l’en dissuader avec une immense ferveur ! (sic)
Dès le départ, des sécurités ont été placées afin d’éviter que le Jeu cesse trop tôt ou par le fait d’un seul être incapable de tenir sa langue jusqu’au bout. Parmi ces règles, il y a ce que nous connaissons toujours sous le vocable « Forces du Mal« dont la fonction RÉELLE et approuvée par tous les Dieux, est de compenser une activité trop grande des forces de la Lumière. L’inverse est vrai également. La vérité, oui, OK, mais pas pour tous, pas tout de suite et pas trop tôt, surtout ! Nous sommes là pour Jouer, que diable ! Pas pour venir pisser dans la mallette du jeu de société ! (Notez le degré effarant de poésie au passage !)
Ces choses seront connues et acceptées d’ici une petite trentaine d’années par tous et, d’ici trois cents ans, il n’y aura plus aucune différence de « qualité » entre le monde terrestre et les premiers sous-plans astraux.
Et il en est bien ainsi !
Serge Baccino
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)