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Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Refus de l’idée du Mal

Extraits – Cours privés de psy éso.

(Ancienne formulation – version 2006)

Pourquoi nous arrive t’il toujours la même chose, et en particulier ce qui nous déplait ou nous dérange le plus ? Quelle connaissance ésotérique profonde se cache derrière cet état de fait ? N’est-il pas étonnant que ce soit toujours ce qui nous incommode le plus, ce que nous acceptons le moins, qui se produise et se reproduise encore et encore dans notre vie ?

La réponse est dans la question. Si cela nous arrive sans cesse, se reproduisant alors que nous ne l’acceptons pas, c’est que cette reproduction est liée à notre refus d’accepter ce que nous réprouvons. Alors ce que nous réprouvons se produit et se reproduit sans cesse, cela pour nous montrer qu’il existe une forme mentale faisant partie du Tout, de notre Nature Complète (la Soi-Conscience) que nous rejetons. Et nous la rejetons parce que nous la jugeons pour le moins inappropriée.

En réalité, elle est parfaitement approprié, puisqu’il était approprié que nous réalisions cette vérité : cette forme mentale et donc faite d’esprit et qui est pourtant DANS notre conscience (puisque nous en sommes conscients, n’est-ce pas) n’est pas acceptée par nous. Nous tentons de nier la présence effective d’une chose qui est pourtant bien là. Et c’est ce même refus d’acceptation qui engendre des souffrances (agacement, rejet, colères, etc.)

Lorsque nous réalisons ce qui se passe, que l’idée n’est pas de définir si ce qui se trouve dans notre conscience nous convient ou pas, mais que quelque chose S’Y TROUVE déjà, alors nous cessons de lutter. Conjointement à la lutte cesse aussi la souffrance, car cette dernière ne provenait pas du contenu formel jugé inapproprié mais pourtant bien en notre conscience, mais de notre tentative d’en nier la présence.

Une fois cette idée acceptée et non ce qu’elle désigne, nous sommes en paix et nous réalisons, surpris, que rien ne peut nous déranger vraiment si nous accueillons les choses et les êtres tels qu’ils sont, du moins en conscience.

L’idée n’est donc pas de « cautionner le mal », comme pourraient le penser certains, mais de cautionner la présence effective en notre conscience individuelle, d’une simple idée ! Et cette idée est que nous sommes déjà conscients du Mal et qu’il est donc inutile de nier ce fait avéré. Dès lors et aussi étrange que la chose puisse paraître, le Mal ne nous affecte plus. Il continue, certes, d’affecter ceux qui rejettent toujours l’idée de la présence du Mal en leur propre conscience, mais il ne nous incommode plus.

Et n’étant plus incommodé, nous pouvons trouver les pensées ainsi que les paroles justes, celles qui renforcent ou construisent, au lieu d’affaiblir ou de détruire, ainsi que les actes qui soulagent les fardeaux d’autrui, si cela consiste en notre métier ou en notre mission de vie.

(Fin de l’extrait)

 

Serge Baccino

©Tous droits réservés – Cours de psy éso – 2006 – 2009

Le pôle aimanté de la personnalité

DOSSIER : Le pôle aimanté de la personnalité.

Nombreux sont ceux qui se posent cette inquiétante question : « Mais qu’est-ce que j’ai bien pu dire ou faire pour attirer tout ceci ? » Généralement, cette interrogation teintée d’un très haut degré d’agacement (pour rester poli) survient lorsque la personne en à marre de vivre toujours les mêmes emmerdes. Ce qui, pour le moins, me paraît compréhensible.

Pourtant, la question est très mal posée. En plus d’être très incomplète. Voilà pourquoi elle ne produira jamais de réponse vraiment satisfaisante. Et surtout, voilà pourquoi cette série d’emmerdes successives se produira encore et toujours ou, pour le moins, par cycles récursifs et plus ou moins réguliers dans le temps. Dans ce cas, quelle devrait être la « bonne question », susceptible d’attirer à elle la « bonne réponse » ? La voici sous une forme technique, puis sous une forme simplifiée et accessible à tous.

«  Mais que puis-je donc penser, inconsciemment et donc, à mon insu, pour attirer, selon la loi, cet opposé complémentaire qui se décline en expériences conscientes d’un caractère si dramatique ? »

Cela, c’est la version technique, un brin compliquée et qui ne peut intéresser que les psy éso. Mais voici l’autre formulation, bien plus accessible à Monseigneur l’intellect :

« Il paraît que ce qui se produit dans mon subconscient et donc, sans que je le perçoive, est ce qui attire à moi chacun de ces drames, vécus ensuite consciemment ! Il est donc logique que je ne sache pas comment ces choses-là se produisent, puisque je n’ai pas accès à mon matériel mental inconscient ! »

Présenté ainsi, nous comprenons un peu mieux. Mais nous découvrons surtout que puisque ce sont nos processus mentaux INCONSCIENTS qui produisent nos emmerdes, nous ne risquions pas d’en découvrir la cause en interrogeant notre conscient ! Logique, n’est-ce pas ? Bah oui, carrément ! Alors quoi ? « On fait avec », comme disent les défaitistes de la première heure, se croyant « spirituels » alors qu’ils ne font que philosopher dans le vide en plus d’être parfaitement inutiles ?

Non, on ne fait pas avec mais on en tient compte ! De plus, ce sont les causes, qui sont inconscientes, pas les effets ! Essayez donc de souffrir inconsciemment et vous comprendrez mieux ! Une loi spirituelle va peut-être nous aider à nous sortir la tête de l’endroit servant d’ordinaire, à nous asseoir confortablement. Cette loi énonce que :

« Cause et effets sont simultanés, dans le temps et dans l’espace. »

En clair, et une fois traduit du serbo-croate, cela signifie que même si une cause semble se manifester « avant » et de ce fait, ses effets se manifester « ensuite », les deux existent conjointement. Ils se manifestent toujours ensemble et non pas un après l’autre (temps) et surtout, ils se situent tous deux au même endroit (espace.)

Dans ce cas, d’où vient cet apparent décalage spatio-temporel ? Déjà, de notre inaptitude mentale à nous concentrer sur deux objets d’attention (ou des sens) en même temps. Ensuite, du fait que l’une (cause) se situe dans une partie de la conscience globale non-accessible au « moi », tandis que l’autre (effet) se situe évidemment dans la partie de cette même conscience unique qui forme la conscience objective (relative aux cinq sens, donc.)

Pour vous proposer un exemple plus vivant : Vous êtes dans votre salle-à-manger, tandis que vos enfants se trouvent dans leur chambre, occupés à jouer. Peut-on dire pour autant que vous existez « avant » vos enfants et donc eux, « après vous » ? Ou bien existez-vous tous deux (vous et vos enfants) en même temps mais n’êtes simplement pas réunis dans la même pièce ?

Même si vous ne pouvez pas voir ceux qui se trouvent ailleurs dans votre maison, vous savez fort bien qu’ils s’y trouvent pourtant. Seuls vos sens pourraient vous en faire douter, pas votre conscience des faits. De même, il existe des processus mentaux inconscients, à savoir des pensées qui « pensent » pour vous et à votre place, autrement dit, qui s’expriment à votre insu.

Et devinez qui est malchanceux, sachant que la partie subconsciente de votre être global est hélas celle qui contient le plus de FORCE VITALE et donc, de Pouvoir ? Bah oui, bonne réponse, c’est vous ! Du moins, c’est vous « pour le moment » ! Car cela peut changer assez rapidement, du moins, si vous acceptez de laisser à votre nature humaine le temps d’établir certaines transformations intérieures.

On nomme ce temps accordé aux diverses retouches conscientes dans la subconscience « l’évolution » ! Quelqu’un a même osé affirmer, jadis, que l’évolution humaine se résumait, en fait, à RENDRE CONSCIENT toute l’inconscience de l’homme ! On serait tenté de le croire, non ? Surtout lorsqu’on réalise que la partie consciente de notre être global ressemble étrangement à la partie émergée (et donc apparente) d’un iceberg !

Qu’avons-nous en présence, comme « matériel mental » pouvant nous aider à réformer cette partie « malade » de notre identité globale, connue de nous seulement à quelque dix ou quinze pour cent ? Pour commencer, nous avons une Loi du fonctionnement de l’esprit. Nous partons donc gagnant, puisque selon le fameux dicton : « Savoir, c’est Pouvoir » !

Ensuite, nous avons la certitude d’ignorer les causes premières et exactes de nos déboires vécus, quant à eux, on ne peut plus consciemment. Cela est rassurant et a ce pouvoir émollient de nous nous détendre immédiatement. En effet, nous savons à présent que, de toute manière, intelligents et instruits ou bêtes et ignorants de tout, nous ne pouvions pas trouver la cause de nos souffrances dans la partie consciente de notre être, c’est-à-dire celle déjà connue et exploitée.

Nous n’avons donc plus à douter de nous ou à nous sentir déprimés à l’idée que nous aurions pu faire ceci ou bien cela mais que nous avons échoué. L’échec sous entend la pleine connaissance des buts visés ainsi que les moyens de les atteindre ou de les réaliser. Ce qui, ici, ne pouvait pas être le cas. En réalisant ensuite que nous partions perdants, dès le départ, nous regagnons un peu plus de respect de soi. Ce même respect de soi qui manque si cruellement à nos contemporains, si je puis évoquer cette blessure permanente (et évidente) sans me faire « de nouveaux amis » ! (sic)

Ainsi, à présent que nous comprenons que nous ne pouvions pas réussir avec l’ancienne méthode (se questionner = chercher dans la mémoire consciente), nous pouvons passer à une autre, nouvelle et bien plus efficace, si on lui en laisse le temps. Et le temps, c’est ce qui nous est le plus cher, tandis que nous sommes liés à cette terre, n’est-ce pas ? Alors nous avons les moyens de payer en toute connaissance de la valeur de notre mode de paiement.

Et qu’allons-nous acheter, au juste avec cette précieuse monnaie temporelle ? Nous allons acheter une méthode qui a fait ses preuves et qui est liée directement à la Loi Mentale évoquée plus haut (« Cause et effet sont simultanés… etc. ») Qu’avons-nous comme matériel probant ? Nous possédons déjà les fameux effets !

Nous savons qu’ils sont aussi désagréables à vivre que négatifs en Nature (ce qu’ils nous font vivre) et donc, sachant que le froid ne saurait donner du dur et le chaud du mou (lol), nous comprenons cette vérité que si un effet quelconque est négatif, sa cause l’est nécessairement aussi ! Ce n’est pas la Nature qui varie ainsi mais le degré de manifestation. Du coup, si par exemple vous n’avez jamais de chance, c’est parce qu’une partie de vous qui est INCONSCIENTE l’affirme haut et fort ! Mais pas n’importe quand ni même, n’importe comment ! Uniquement avec des termes (idées, pensées) dont vous n’avez aucune envie de vous souvenir et qui, de toute manière, ne vous appartenaient pas !

Et bien sûr, au moment où vous pourriez le plus avoir besoin de confiance en vous-mêmes ! Un peu comme quand vous étiez enfant et que l’un de vos proches prenait apparemment plaisir à vous tirer une balle dans le pieds afin de mieux pouvoir marcher plus tard ! En clair, ce que « vous » pensez, inconsciemment, n’est ni « de vous » ni même « pour vous » mais appartient à une autre personne qui croyait ainsi « se faire plaisir » aux dépens du vôtre, de plaisir ! Et voilà pourquoi ces germes de pensées ne pouvaient pas devenir conscients : ils n’ont jamais été semés par vous et vous ne bénéficiez jamais de leur germination, si je puis dire. Voici un exemple concret ;

Imaginez que vous ayez un père qui, lorsqu’il vous voyait inoccupé (détente, loisir ou autre) vous disait : « Ce n’est pas en rien foutant de ta vie que tu arriveras un jour à quelque chose ! » (Ou bien toute autre expression ou sentence lapidaire du genre.) Comme cette pensée était désagréable (première cause causale) et n’était pas à votre avantage ou pour vous servir (seconde cause causale), le subconscient en a déduit (ce qui est son rôle ainsi que l’un de ses deux modes de fonctionnement) que vous ne deviez pas vous en souvenir, que ces choses mauvaises pour vous ne devrez jamais faire partie de votre conscience de veille.

Oui mais voilà : inconsciente ou pas, une pensée… ça pense ! C’est même sa seule vertu, dirais je ! Hélas, puisque reléguée à l’inconscient, depuis lors, cette pensée « se produit » (pense) à votre insu ou « contre vos intérêts les plus immédiats », en plus de contre votre grès.  Vous commencez à capter le problème ? Oui, n’est-ce pas ? Bah oui, tout devient plus clair, d’un coup.

Ce qui explique, du même coup, comment vous pouvez vivre, ensuite, des choses que vous-mêmes dénonceriez sans attendre, car bien trop négatives et destructrices pour vous satisfaire ! Mais la Loi en présence (concernée) est formelle : « Nous vivons tous le contenu de nos pensées ; nous devenons ce que nous pensons. »

Ce qui signifie que la qualité de votre expérience vivante dépendra éternellement de celle de vos pensées, de ce qu’elles véhiculent ou énoncent, de bon ou de mauvais pour vous. Dans les deux cas, vous seuls en ferez l’expérience directe. Vous seul « gouterez » à la qualité exacte de leur contenu formel (ce qu’elles énoncent, donc.) Partant, il est facile de connaître la qualité ainsi que la valeur pour soi (degré d’utilité) d’un processus mental inconscient. Il suffit pour cela de se fier à ce qu’il produit consciemment dans notre vie. Ce que nous ressentons est la conséquence de ce que nous pensons, certes, mais « à notre insu » ! Ce détail a toute sont importance !

Cette Loi est donc, en plus d’efficace, de toute beauté ! Elle nous libère l’esprit de cette forme de dépendance (ou d’esclavage spirituel) liée à la croyance empirique en « un dieu ou en un diable » qui serait à l’origine du moindre de nos déboires. Mais du même coup, nous devenons pleinement responsables de tout ce qui nous arrive, en fin de compte ! Car conscientes ou non, ces pensées sont bien en nous, pas chez le voisin ! C’est donc à nous qu’il appartient d’aller les déloger de notre conscience cellulaire (ou subconscient) puis, si le cœur nous en dit, de les remplacer ensuite par des pensées volontaires et conscientes, cette fois, qui énoncent des règles mentales inverses, c’est-à-dire positives et enfin pour nous.

« Penser positif » sans retirer le négatif qui est VIVANT en soi, cela revient à verser de l’eau pure dans un verre sale puis de le boire ensuite ! Au diable les représentants de « la pensée positive » qui furent surtout les premier à craindre de vraiment se rencontrer de face. Et vive le courage du Libre Penseur Moderne, qui n’hésite pas à descendre en lui-même non pas pour y trouver (en premier) la « Pierre Cachée » mais bien une chose faisant plus penser à un égout qu’à une pierre, fut-elle philosophale !

Enfin, cet article formant la partie théorique de pratiques réservées aux étudiants de la psychologie ésotérique, le lecteur de passage ne m’en voudra pas si je décide, quel culot tout de même, de m’arrêter là. Bonne méditation à tous, car ce que vous avez déjà lu, présume en grande partie de tout ce qu’il vous reste à faire.

A faire en toute connaissance de cause pour enfin obtenir les effets tant désirés.

 

Serge Baccino

© 2006 – 2019- Tous droits réservés.

 

 

 

 

La mémoire à fleur de peau

On nous a fait croire que « Ce qui a été appris puis compris doit être retenu. » (En gros.) Cela dans l’espoir de réussir à nous en resservir ensuite. Alors nous avons emmagasiné des connaissances livresques PAR PEUR de manquer, de ne pas savoir quoi être, quoi faire ou même, quoi dire ou répondre, le cas échéant. Pourtant, il nous arrive de ne plus savoir qui nous sommes, où aller, que faire ou quoi répondre, en cas de besoin ! La méthode de stockage d’info est-elle si efficace que cela, finalement ? A croire que non. En plus, ceux qui ont « des pertes de mémoire« , au lieu de s’en réjouir, s’en effrayent et s’en plaignent, comme s’il s’agissait là d’une véritable malédiction !

 

Mais est-ce la vérité ? Avons-nous réellement BESOIN de stocker le contenu ou le résultat de nos expériences vivantes et conscientes ? Ne serait-ce pas stocker deux fois, finalement et donc, une fois de trop ? Qui ou quoi stocke pour nous et à notre place, que nous le fassions de notre côté en plus ou pas ? Le subconscient, bien sur ! Lui enregistre TOUT, les moindres détails et même, les choses que notre conscience de veille (ou objective) n’a pas eu le temps matériel de mémoriser (par exemple ce qui est écrit sur les panneaux publicitaires des autoroutes quant on roule à 130 km/h.)

Même ce que nous n’avons ni vu, ni entendu, est mémorisé précieusement par notre subconscient.

 

Il suffirait donc d’avoir accès à ce potentiel de Mémoire qui est proprement fabuleux, pour en savoir dix fois plus que n’importe quel génie de la physique quantique ! Et je ne vous parle même pas de celui qui serait capable de se brancher, à volonté, à la Mémoire Akashique de ce Monde seulement, à savoir la planète Terre !

 

Alors quoi ? Alors, nos prédécesseurs ont réussi ce véritable tour de force qui consiste à nous empoisonner l’âme, sans même le savoir et, sans doute, sans même le vouloir (on l’espère pour eux du moins.) Il ont semé en l’âme des générations suivantes, une graine de PEUR qui a été ensuite replantée (héritage génétique) et arrosée (éducation forcée) par les responsables des générations suivantes. Mais qui est responsable, et de quoi, désormais ?

 

Telle une maladie infectieuse mortelle, ce virus mental a décimé des générations d’enfants puis d’adultes, les transformant graduellement en robots de chair ou mieux encore, en des sortes d’ordinateurs dont le disque dur, désormais saturé, ne sait plus où stocker les nouvelles informations. Alors, il fait tourner le programme mental humain sur le seul contenu qu’il connaisse : celui qui est déjà magnétiquement gravé en lui.

 

Et nous voilà occupés à vivre sempiternellement les mêmes choses ! Qu’elles soient « positives » ou « négatives« , elles nous sont resservies cycliquement, comme chacun peut en témoigner librement, pour peu qu’il se donne la peine d’observer son vécu et les « redites » (répétitions d’évènements) qui le composent.

 

Réfléchissez deux minutes, vous qui avez sans doute quelque connaissance en informatique : celui qui installe un programme de démarrage sur le disque dur de son ordinateur, peut-il s’étonner si c’est toujours le même programme qui démarre, chaque fois qu’il allume sa machine ?

 

Question de bon sens et de logique, ce dont manquent le plus cruellement, d’ailleurs, tous ceux dont le disque dur est plein et qui se voient obligés de penser et de réagir tel que gravé dans leurs programmes mentaux. A méditer. Ou pas. Vous êtes libres, même de ne pas l’être ou de faire seulement semblant de l’être déjà !

 

Serge Baccino

 

 

Le Karma revisité en 9 points

  1. La version proposée ici est celle du karma « à la lumière de l’enseignement de la psychologie ésotérique » (ou psy éso). Si elle dérange de trop, il suffit de ne pas y prêter crédit.

 

  1. Le mot « karma » provient du sanskrit, la langue antique de l’inde. On traduit généralement ce mot par « Action » mais il s’agit là d’une mauvaise traduction.

 

  1. Un des Principes spirituels énonce que « Tout est double. » En ce qui concerne le sens des mots sanskrits, il faut en tenir compte aussi. Karma seul ne veut rien dire mais si on le couple avec le mot « Chitta» (esprit), le premier prend alors toute sa dimension !

 

  1. Pourquoi « Karma» ne peut pas dire « Action » ? Parce qu’il ne peut y avoir d’action qui n’ait été préalablement pensée ! La pensée précède toujours l’acte, pour le dire plus simplement. Et si l’Action procède d’une pensée, alors les sages de l’Inde antique ne pouvaient pas l’ignorer et c’est vers ce qui précède tout acte, c’est-à-dire « vers la pensée », qu’il faut se tourner pour bien comprendre ce concept de karma.

 

  1. Comme je l’ai dit, si on couple les mots « karma» avec le mot « Chitta », on obtient alors l’expression « Karma Chitta. » Sachant que Chitta signifie « esprit » et que c’est vers les pensées qui nous faut nous tourner puisqu’elles précèdent toute action, alors il est plus question de « processus mentaux » que « d’actes de rétribution », suite à une existence passée !

 

  1. En fait, Karma Chitta signifie Mouvements de l’esprit (mouvements au pluriel !) Du coup, tout devient plus clair ! Le karma se réfère aux mouvements de notre esprit et donc, à nos processus mentaux, et non à quelque acte passé ou même présent. De toutes manières, quoique nous fassions, quel que soit l’acte posé, une pensée en est à l’origine. C’est donc nos pensées qui conditionnent nos actes, c’est-à-dire qui nous poussent, une fois la pensée émise, à agir de telle façon plutôt que de telle autre.

 

  1. Voici ce qu’enseigne la psy éso : « Nous devenons ce que nous pensons ; nos pensées déterminent nos actes et conditionnent notre vie. » Il est dit aussi : « Nous devenons tout ce sur quoi nous concentrons notre attention mentale, le plus souvent et le plus longtemps. A force de penser à quelque chose, l’homme en arrive à vivre le contenu de ses pensées et fini par s’identifier avec tout ce qu’il pense. »

 

  1. Il faut comprendre un fait très important : Pour chacune de nos pensées, il y a un sentiment connexe. Autrement dit, si je pense à une chose triste, je ressentirai de la tristesse, car je ne peux ressentir que ce que je pense et en fonction de ce qui est pensé. De plus, chaque pensée est lié à une émotion qui demeure toujours identique : si je pense toujours une chose précise, je ressentirai toujours la même chose, tout aussi précise. Les émotions que nous ressentons ne peuvent VARIER que si nous changeons notre façon de penser, car pour chaque pensée, une même émotion est liée et ce sera toujours la même.

 

  1. Il est donc possible de transformer son karma, voire de « l’annuler carrément », s’il nous semble difficile à vivre. Pour cela, il suffit de transformer notre façon de penser. Si nous pensons différemment, nous ressentirons différemment et du même coup, nous vivrons différemment aussi. Il n’est pas possible de changer tout en conservant un émotionnel très négatif. Et il est inutile de nous attaquer directement à nos émotions, car le combat est perdu d’avance ! Si nous voulons connaître d’autres sortes d’émotions et de sensations, nous devons seulement changer notre façon de penser, sachant que ce que nous sentons, pour le moment et qui nous déplaît, dépend uniquement de notre façon de penser.

Voilà qui devrait vous permettre de fructueuses méditations, non ?

 

Serge Baccino

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On ne vaccine pas le passé

 

Nota : cet article a été écrit en Janvier 2019

 

J’ai envie de vous proposer, n’ayant pas le pouvoir de vous imposer 11 articles de force (sic), une version dépassionnée et technique du pourquoi on ne devrait plus accepter de se faire vacciner à notre époque. Cette version pourrait aussi bien ne concerner que celles et ceux qui ont conscience que quelque chose que l’on nomme l’Évolution Humaine, est actuellement en cours. Et qui dit évolution dit nécessairement deux choses sous-entendues mais logiques : la Progression et le Rythme.

Le Rythme se résumant à un mouvement mesuré dans le temps. Car sur terre et entre nous, le temps semble exister bel et bien, n’est-ce pas ? Alors nous devons tous en tenir compte dans nos réflexions et laisser, pour un instant, les lieux communs spirituels de côté.

Or donc, nous évoluons tous, tant que nous sommes ou c’est du moins ce que nous devrions être occupés à faire ! Et qui dit évolution dit changements et, parfois, changements radicaux. Notamment des changements au niveau de notre structure animique (corps psychique) et donc, de nos cellules, de notre sang, ainsi que de l’ensemble des composés liquides du corps humain, dont la lymphe et, surtout, « les humeurs » (les sécrétions hormonales.)

Les ésotéristes savent depuis des siècles que notre personnalité, ainsi que sa modalité d’expression principale, le caractère, dépendent du fonctionnement de nos glandes à sécrétions internes (ou « endocrines. ») En gros, « Nous sommes ce que sont nos glandes. » Or, il est important de tenir compte, comme souligné plus haut, du fameux « temps qui passe », cela non pas pour mettre l’accent sur son existence présumé, mais bien pour tenir compte du facteur évolution.

Tout bouge, tout remue et varie sans cesse et surtout, tout évolue.
Si l’homme ne tient pas compte de ce facteur prépondérant, il va se retrouver à l’époque post-atomique avec un comportement d’homme des cavernes ! L’évolution ne concerne pas seulement les ordinateurs et autres machines, le saviez-vous ? Alors voici les faits : Évoluer revient à s’affiner et s’affiner revient à ne plus être réceptif au grossier. Allons-nous, dans les années à venir et lors d’accouchements, rouer de coup un nouveau né afin de lui permettre de respirer ? Une simple tape ne suffirait-elle pas ?

Dans ce cas, pourquoi infliger à la structure subatomique de notre corps, un traitement qui ne devait concerner que les personnes qui vivaient, au pire, dans les années 1960 ou 1970 ?

En clair, nous vibrons déjà bien trop haut pour que les vaccins puissent nous être utiles désormais !

Et plus ça ira, plus les vaccins deviendront dangereux pour notre organisme qui est devenu très différent de celui qui était le nôtre en 1970 et par exemple. La technique de vaccination n’a pas évoluée mais l’homme oui ! Essayons de nous montrer très clairs sur un point : il n’est plus question ici, et j’espère que vous le comprendrez tous, de faire la guerre aux laboratoires pharmaceutiques ou de dénoncer des produits frelatés ! Ici, l’idée est d’expliquer pourquoi, et de toute manière, il n’est plus utile d’une part, de se faire vacciner et pourquoi, d’autre part, cela va devenir de plus en plus risqué, surtout pour celles et ceux qui pratiquent certaines techniques psychiques/spirituelles dont le but est d’affiner les perceptions de l’âme.

Nous sommes, hélas, habitués à n’avoir raison que SI et seulement SI un autre (ou des autres) a (ont) tort. Par exemple, dans cette lute peu élégante entre le peuple et les lobbies pharmaceutiques. Alors je vous propose une autre version, à la fois plus sobre mais infiniment plus radicale toutefois : de ne rien opposer à rien et de comprendre que lorsqu’une chose n’est plus d’actualité, peu importe les valeurs anciennes ou actuelles lui étant associées, il faut cesser de s’y référer et voilà tout. Cela sans crise ni drame : sobrement, mais fermement.

Pour terminer, sachez que je ne répondrai pas à ceux qui ne sont jamais d’accord avec rien ni personne, et surtout pas avec eux-mêmes et qui trouvent bon d’étendre les effluves psychiques de leur marasme mental à d’autres qu’eux, histoire de se sentir moins seuls. Je sais échanger avec ceux ouverts à l’échange et pas seulement à son idée (sic) mais je ne sais plus, avec le temps, perdre mon temps avec ceux qui n’ont plus que du temps à perdre désormais. Comprenne qui voudra, ceux qui ne sont pas d’accord n’ont qu’à aller râler auprès de ceux que ça intéresse et qui partagent leur avis !

Cordialement à tous les autres sains de corps et d’esprit, vaccinés ou non !

 

Serge Baccino

 

A l’origine ou à l’origine ?

Il est plaisant de jouer avec le sens des mots de la langue française. Une langue bien plus riche qu’il n’y paraît, n’en déplaise aux nouvelles générations qui sont en admiration devant la langue de Shakespeare. Par exemple le mot Origine qui est bien plus intéressant qu’il n’y parait, du moins, pour un psychologue ésotériste, voire pour un métaphysicien, puisqu’il est capable d’impliquer le temps comme de s’en passer carrément ! En effet, on peut dire et par exemple, que nos parents sont à l’origine de notre naissance. Si nous avons par exemple une cinquantaine d’années aujourd’hui, cette origine consiste en un hier âgé d’un demi-siècle.

Mais il est également envisageable d’employer ce mot en se passant de la notion du temps. Par exemple, je puis affirmer que les mots que j’écris actuellement, sont à l’origine de mon plaisir de les écrire. Plaisir que je ressens actuellement, c’est-à-dire tandis que je suis en train d’écrire ces quelques lignes. Ou encore, le feu allumé dans ma cheminée est à l’origine de la chaleur qui s’en dégage en ce moment. Dans ces deux exemples un rien simplistes, « Cause et effet sont simultanés, dans le temps et dans l’espace. » (Une importante lois secondaire du fonctionnement de l’esprit, étudiée dans l’enseignement de la psy éso.)

Quel est l’intérêt de tout ceci, me demanderez-vous ? L’intérêt est absolu, du moins pour un étudiant de l’ésotérisme digne de ce nom ! Car si l’esprit est à l’origine de toutes choses, du coup, il n’est plus nécessaire de le placer dans le temps, de lui trouver un historique quelconque. Cela peut aussi bien signifier que c’est maintenant, en ce moment même, que l’esprit donne forme à toutes choses, vous, moi ainsi que l’univers que nous avons l’impression d’observer, comme s’il était différent de nous, voire situé à l’extérieur de nous.

C‘est maintenant que Tout Se Joue ! C’est en ce moment même que tout cela Se Produit, comprenez-vous ? L’esprit est en train, actuellement, de tout créer et c’est maintenant que notre conscience le réalise, pas depuis tant ou tant de milliards d’années mais en ce moment précis.

A méditer. Ou pas ! Vous êtes libres. Même de ne pas réussir à l’être.

 

Serge Baccino