Dernièrement, sur un fil de discussion de Facebook, pour ne pas le nommer, j’écrivais sur ma façon de voir les choses à propos des gens qui ne sont pas d’accord et qui passent d’ailleurs leur vie à ne pas être d’accord, cela au point d’en oublier avec quoi ils pourraient bien être en accord ! Bien sûr, nous avons le droit de ne pas être d’accord avec les autres mais posons-nous la question : « Est-ce que ces mêmes autres bénéficient des mêmes droits que nous, en l’occurrence ? » Et sont-ils réellement intéressés de connaître la pensée d’autrui ? Doivent-ils absolument la subir sans rien dire ?

Car ne nous voilons plus la face : dire sur sa propre page Facebook ou sur un forum ou encore sur son propre blog, que l’on préfère ceci à cela, est-ce sous-entendre que n’importe qui peut, du même coup, venir nous dire que nous avons tort ? En vertu de quel droit, de quel « passe-droit », devrais-je plutôt écrire ? En le nom de quelle vérité absolue ? Qui a « tort », en l’occurrence ? Et d’ailleurs, « tort » par rapport à qui ou à quoi ? Est-ce à dire que ces doctes personnages, à l’inverse de nous, détiennent une vérité capable de supplanter celle de tous les autres ?

Par ailleurs, en quoi est-il utile d’aller faire suer les autres, sur leurs propres pages, en leur disant que nous ne sommes pas d’accord avec eux ? N’est-il pas plus intelligent (et reposant pour tous) d’écrire sur ses propres pages, avec quelles idées précises nous sommes en plein accord ou non ?

La liberté d’expression n’est pas à sens unique.

Pourquoi mettre ainsi l’accent sur le négatif (« Je NE suis PAS d’accord ») alors qu’il suffirait de faire aux autres ce que l’on aimerait tant que l’on nous fasse à nous-même, à savoir NOUS CONFORTER dans nos propres convictions ? N’est-ce pas agréable de voir des gens se grouper autour de nous pour nous assurer d’une pensée égale ou complémentaire ? N’est-ce pas cela le début de l’amour et du Partage, les vrais, pas ceux qui transpirent d’un ego en mal de reconnaissance ?

Posez-vous donc la question suivante : que cache vraiment cette manie morbide d’aller faire savoir aux autres et en plus, chez eux, que nous ne sommes pas en harmonie avec leurs dires ? De quoi je me mêle, bon sang ? Les gens sont-ils devenus si mesquins et tristes de l’âme qu’ils ne puissent concevoir leur vie sans aller miner les fondations mêmes de la vie d’autrui ? Il semblerait que oui.

J’ai déjà dénoncé, plusieurs fois et par ailleurs, l’hypocrisie extraordinaire rencontrée dans les milieux se prétendant, avec force détails, « spiritualistes » (prouuut !) Comme si le fait de se prétendre lumineux nous permettait d’avoir ipso facto, une plume de paon dans le fion ! Vous êtes « lumineux » ? Grand bien vous fasse, braves gens ! Mais pourriez-vous, au nom de l’amour, de la compassion et autres marmelades spirituelles dont vous badigeonnez vos textes et propos dès que possible, nous honorer, nous qui pensons différemment, de cette même compassion, largesse d’esprit et amour des autres qui vous débordent de toutes parts, y compris de l’anus ?

A moins que chez vous, seule la langue soit « lumineuse » et les actes correspondant ne briller que par leur absence ? A force de vouloir critiquer la pensée d’autrui, cela pour le seul bénéfice de se lustrer le Moi-Idéalisé (pour ne pas dire se branler en douce), certains en deviennent franchement cons ! Et je pèse mes mots. Ils étaient déjà exécrables : les voici à présent imbuvables et hargneux. Assurément, eux aussi  » évoluent  » mais à leur façon !

J’en veux pour exemple un certain usager de Facebook dont le pseudo laisse entendre à qui le veut que « son esprit est libre » (il se reconnaîtra) qui, tout dernièrement, critiquait mon comportement sur l’un de mes propres fils de discussion. Son reproche principal ? Selon lui, je manquerais d’ouverture d’esprit, car je vire sans autre forme de procès, ceux qui me font savoir qu’ils ne sont pas d’accord avec moi mais qui, peut-être, souffrent en secret et mériteraient donc plus de compassion de ma part. Leurs critiques proviendraient de leur souffrance intime et serait en ce sens plus excusable.

Voilà bien le comble de la bêtise humaine qui se manifeste dès que ce sont l’ego et/ou le Moi-Idéalisé qui ont pris les commandes du mental d’un individu ! Car en effet, puisque le reproche ouvertement fait sur ce fil de discussion, est de manquer de largesse d’esprit et de tolérance (en gros), la personne qui se commet dans cette accusation, ne me fait-elle pas profiter à son tour, du même manque d’ouverture d’esprit, de tolérance et de compassion ?

N’est-il pas à peine croyable de voir une personne apparemment saine d’esprit, faire à un autre exactement la même chose qu’elle reproche à cet autre de faire à autrui ? On croit rêver ! Je ne sais pas si je suis suffisamment clair dans mes propos, car l’intelligence peut brusquement « beuguer » face à la pure bêtise… Mais j’aimerais comprendre en quoi un autre serait autorisé à me faire à moi ce que moi je n’ai pas le droit de faire aux autres ! Bref, ce texte pondu à la va-vite pour tenter de tirer la sonnette d’alarme et faire comprendre à ceux qui persistent à faire savoir aux autres et avec force détails, qu’ils ne détiennent pas la vérité absolue, qu’il serait bon qu’ils se prodiguent, à eux-mêmes, cette même sagesse dont ils se supposent pourvus. « Charité bien ordonnée… » Vous connaissez la suite, non ?

A dire vrai, depuis que j’ai réalisé à quel point ceux qui s’expriment en contre de ma propre expression (qui n’engage que moi, soit dit en passant) sont inintéressants au possible, je vire leur compte  » ami  » du mien, afin de ne plus avoir à subir leurs déjections scripturales. Et sans même prendre la peine de les en informer. Et à ceux qui penseraient que je manque de ceci ou de cela, prière de vérifier si leur compte animique est lui-même abondamment pourvu en ces mêmes matières, avant de venir chez moi me démontrer, avec succès il est vrai, à quel point ils peuvent être cons en se donnant un peu de peine ! A bon entendeur, allez prêcher votre salut de l’âme ailleurs ou faites-vous admettre chez le Témoins de Jéhovah !

Serge Baccino

Nous avons tous l’occasion de constater que l’expression du genre : « Je ne conserve auprès de moi que ceux qui pensent comme moi », effraie horriblement la plupart des gens et les fait réagir presque violemment. Vous serez souvent traités de tyrans, de gourous et de je ne sais quel autre nom d’oiseau, cela parce que vous refuserez de penser comme vos proches, c’est-à-dire comme le font depuis toujours vos parents et amis. Alors qu’en fait, vous aurez simplement « oublié » de préciser que vous n’imposez pas aux gens de penser comme vous mais ne retenez, près de vous, que celles et ceux qui pensent DÉJÀ comme vous et… Sans votre aide.

Et il est bon d’oublier de le préciser, au départ ! Ceci afin d’avoir le plaisir de faire remarquer, à la personne qui réagit, à quel point ELLE A PEUR d’être laissée de côté voire d’être abandonnée A CAUSE de sa manière de penser qu’elle croit unique ou propre à elle, à sa personnalité. En fait, cette peur d’être rejeté par autrui est si répandue et les gens qui abritent une telle peur sont si peu originaux, en matière de pensées, qu’ils feraient mieux de réaliser qu’ils pensent COMME TOUT LE MONDE et que, de ce fait, ils ne craignent vraiment rien des autres ! De la masse, je veux dire !

Seuls les gens vraiment à part pensent différemment et ce sont eux qui sont en danger parce que, justement, les autres se sentent agressés par cette différence et n’auront ensuite de cesse de la détruire pour pouvoir affirmer qu’ils sont dans la vérité. La preuve, tout le monde pense comme eux, n’est-ce pas ! Bref, vous l’avez compris, seul le rare implique la convoitise et non le commun.

Les gens pensent tous pareils et sont donc déjà gouroutisés de frais, hypnotisés et conditionnés comme de vulgaires robots.

Ceux qui pensent par eux-mêmes ne peuvent pas fréquenter de tels états d’esprit sans se faire salir l’âme. Et se salir l’âme est l’une des plus efficaces manières de redevenir comme tous les autres. Notez celles et ceux qui s’insurgent contre cet état de fait et virez-les de votre vie, si vous y arrivez, car ce sont tous de vrais boulets ! Et vous verrez que :

La complémentarité, en matière de relation, est un leurre inventé par ceux qui manipulent les foules.

Vous aurez donc deux choses à faire d’important :

1. Vous couper au plus vite de ceux qui tombent et souhaitent vous entrainer dans leur chute.
2. Résister aux efforts de l’Ombre pour vous ramener ensuite « dans les rangs« , comme de gentils moutons.

Vous voilà prévenus, la balle est désormais dans votre camp !

Serge Baccino

Le présent texte est issu d’une conversation sur un forum privé réservé aux étudiants de la psy éso et afin de forger leur caractère et devenir capable de faire front au monde d’aujourd’hui ainsi que dans le monde qui s’en vient. Le monde est tel que nous le créons, en esprit et dans notre mental.

Vous devez à tout prix RÉALISER que « changer le monde » ne signifie pas nécessairement « faire du bien à tous » ! Cela signifie que tandis que vous allez attirer des gens bien et les conforter du même coup (ils verront qu’ils ne sont pas seuls !), vous allez également repousser violemment tous ceux qui ne méritent pas votre amour, votre compassion et tous les trésors relatifs à votre individualité naissante. Et cela se produira « sans vous », ce ne sera pas vous qui agirez mais ce sera vous qui produirez cet effet, puisse cette nuance ne pas vous échapper ! Les relations humaines s’opère à 80% à notre insu, à un niveau sous-jacent, depuis la subconscience des gens, si vous préférez.

Si vous ne réalisez pas cela, si vous tablez votre évolution sur « le positif et sain à tout prix », vous allez droit à la catastrophe et en guise de changement mondial en mieux, vous sombreraient dans une profonde dépression issue de vos déceptions à répétition ! Votre Moi-Idéalisé est votre suprême ennemi, en terme d’évolution spirituelle ! C’est LUI qui vous forcera à être gentil même (ou surtout ?) avec celles et ceux qui ne le méritent pas. Et du coup, quand viendra le moment de donner vraiment à ceux qui ont besoin de vous pour survivre, les « gentils », vous n’aurez plus rien à donner ! Vous aurez trop gaspillées vos forces avec les gens moches et incapables d’apprécier ce que vous faites pour eux. Bien sur, vous n’avez rien à « attendre en retour » mais vous devez au moins vérifier si votre action porte un minimum de fruits, sinon, vous gaspillez votre énergie.

Le monde a SOIF de gens courageux, pas nécessairement « initiés« , juste courageux ! Des gens qui savent faire la différence à propos de choses déjà différenciées. Notez bien cette dernière phrase : « … à propos de choses déjà différenciées » ! Vous ne condamnez pas ceux que vous rejetez à cause de leur médiocrité, de leur humeur barbare, de leur jalousie maladive et de leur méchanceté gratuite : ils l’ont déjà fait avant vous, sans vous et bien mieux que vous ne sauriez le faire.

Comprenne qui voudra !

Serge Baccino

On m’a demandé de traiter un peu du sujet des «passeurs d’âmes» à la lumière de la psy éso… Cela fait au moins une bonne dizaine de fois que l’on me demande cela mais j’hésitais à traiter de ce sujet auparavant. Pourquoi ? Parce que je sais que des centaines de personnes, débutantes en ce domaine qui semble les réjouir au plus haut point, allaient faire une grise mine, pour rester courtois. Voire devenir agressifs envers ceux qui traitent de ces choses-là d’une manière qui ne correspond pas à leurs attentes ou à leurs propres affirmations.

Comme si c’était aux lois de l’âme ou aux grandes Lois spirituelles de s’adapter aux manques de discernement et d’humilité des hommes ! Mais bon, certaines situations conflictuelles récentes ne m’obligent plus à taire pudiquement (et par amitié) un savoir que l’ensemble des personnes vraiment passionnés sur ces sujets, méritent de connaître.

Après, si ce que je dis en défrise certains, ils n’ont qu’à conserver leurs croyances personnelles et aller lire celles et ceux qui ont besoin d’être reconnus et aimées pour exister, ce qui n’est pas mon cas, hélas pour ces personnes qui, du même coup, perdent une arme psychologique de choix qu’elles maniaient avec brio. Nous saurons assez tôt et à leurs réactions émotives ou et à l’inverse, à leur manque de réactions compulsives et vindicatives, si elles sont vraiment évoluées, comme elles l’affirment ou si elles se contentent de prendre plus ignorants qu’elles pour des imbéciles… Fortunés ! Quant à celles et ceux qui ne savaient pas et qui sont encore capables d’apprendre quelque chose d’un être humain sur Terre sans avoir envie de le gifler pour lui faire payer son outrecuidance, je ne peux que saluer leur courage et leur bonne volonté. Qu’ils se rassurent sur leur passé récent : on ne peut tromper les autres qu’en le faisant sciemment, pas en étant sincère, de bonne volonté mais dans l’erreur. Cet avertissement nécessaire posé, voyons ce qu’il en est de notre sujet du jour.

Tout d’abord, il faut savoir que ce terme même de «passeur d’âmes» est non seulement récent mais de plus, complètement inadéquat : ce n’est pas «l’âme» que les ésotéristes et les spiritualistes initiés (et non auto-décrétés) font «monter» mais des consciences personnelles (et non «individuelles», merci.) Il n’existe qu’une seule âme générale pour toutes les extensions d’un même Soi et je vous assure qu’un Soi n’a aucunement besoin que l’on se mêle de «faire grimper» quoi que ce soit en son âme : il se débrouille très bien, merci !  Et puis d’ailleurs, que signifie «faire monter» ? On lui fait la courte-échelle, au décédé ? Ou alors on lui met un pétard aux fesses et on le transforme en fusée ? En réalité, la seule chose que l’on puisse «faire monter», en l’occurrence, c’est la fréquence vibratoire des particules d’esprit qui composent son corps psychique ou «âme.»

Mais, mais… N’ai-je pas précédemment affirmé, d’une manière si péremptoire que quelques-unes aimeraient bien m’étrangler de leurs mains pour m’apprendre à être plus orgueilleux qu’elles, que ce n’était pas l’âme qui montait ainsi mais la personnalité terrestre décédée (ou sa conscience d’être) ? Mais oui, c’est bien ce que j’ai dit, au risque d’agacer plus encore ! Et ? Et… Rien !

Ce sont les processus mentaux et les émotions (plus ou moins belles et pures) qui en résultent, qui doivent «monter» en fréquence, PAS LES DÉCÉDÉS !

Vous pourriez avoir l’obligeance de bien relire cette dernière phrase ci-dessus ? Elle contient tout ce qui est à savoir sur cet intéressant sujet, même ce qui n’est pas directement écrit mais seulement sous-entendu pour ceux dont l’Ouïe est devenue plus fine que celle de leur intellect…

Ce sont nos pensées et les émotions qui en résultent qui, sur Terre et durant notre vie dans la chair, alourdissent notre existence et, du même coup, stagnent dans la structure électromagnétique de notre «corps psychique» (ou «âme») C’est cela qui nous empêche, de notre vivant dans la chair, d’avoir une fréquence spirituelle élevée… Or, avoir une fréquence spirituelle élevée, ça veut dire quoi, en clair et sans décodeur ? Cela signifie que les particules d’esprit qui composent notre corps psychique par le biais duquel se manifeste notre conscience personnelle, sont CONDITIONNÉES au niveau de leur fréquence. Plus nous avons des pensées et des émotions qui sont «lourdes», moins nous sommes «légers» (de conscience et de caractère.)

A l’inverse, moins nous abritons d’états d’esprit (pensées) et des états d’être (émotions) qui sont LOURDS, plus nous sommes léger. Notre «poids» spirituel ou «niveau d’évolution», dépend exclusivement de la fréquence vibratoire des particules qui composent notre corps psychique. Et c’est ce corps psychique sous sa forme la plus éthérées mais toujours aussi lourde, après la mort du corps, que certains prétendent pouvoir «faire monter.»

Vous commencez à comprendre où tout cela nous amène ? Non, pas encore ? Ce n’est pas grave, nous allons poursuivre encore un peu en direction du «tilt» final et qui vous permettra de bien rire avec moi et avec tous ceux qui CONNAISSENT les lois spirituelles au lieu de se contenter de les ignorer (et de se transformer ainsi eux-mêmes en ignorants, donc.) Essayons de nous montrer très clair : si une personne était CAPABLE de «faire monter» la fréquence du corps psychique d’une personne décédée (suicidée ou non), cela signifierait immanquablement que cette même personne serait capable de faire la même chose sur n’importe qu’elle personne vivante et toujours dans son corps de chair ! Oui, et alors, Nestor ? Et alors, dites-vous ? Eh bien ! Attendu que «faire monter la fréquence du corps psychique» revient en fait et très exactement à faire évoluer de force une personne (décédée ou pas) et à la débarrasser de TOUTES ces limitations humaines et terrestres, cela revient à se prétendre capable de faire évoluer en quelques minutes n’importe quelle entité sur Terre ou ailleurs ! Boum, c’est dit !

Ah, Ah ! Je crois bien que cela commence à faire son petit bonhomme de chemin dans la tête des plus vifs ! Vous imaginez, vous, une personne capable, en quelques minutes, de vous élever la fréquence vibratoire psychique et du même coup, de vous faire gagner, en quelques minutes, plusieurs plans de conscience d’un coup et donc, de vous faire évoluer en ces quelques minutes ? Que devrait être cette personne-là, sachant que même la Kundalini met des années à nettoyer un yogi et que même le Saint-Esprit qui descend sur un Maître incarné, fait gaffe de ne pas le cramer de pieds en cap en lui faisant monter trop rapidement les paliers vibratoires ? Peut-être qu’un Gautama ou un Bouddha pourrait le faire ou, du moins, prétendre avoir LE NIVEAU pour être capable de le faire. Mais je sais qu’ils ne le feraient pas et ne prétendraient même pas en être capables.

Bon, OK, mais alors, dans ce cas, qu’en est-il de la vérité ? Peut-on oui ou non «faire monter» une personne décédée et coincée dans les limbes, comme on le disait jadis ? Est-ce juste une ânerie de plus, inventée par le cerveau surchauffé de personnalité en mal de reconnaissance ?

Voici une réponse qui devrait vous plaire : Oui et… Non ! Oui, tout d’abord, parce que, en effet, la fréquence vibratoire des particules du corps psychique de la personne décédée va bien s’élever. Pour ça, pas de soucis. Et non parce que ce ne sont pas des humains ordinaires dans leur corps de chair, qui vont se taper le boulot mais des Grands Maîtres des plans supérieurs qui vont faire l’effort de descendre et venir à mi-chemin de l’intéressé (la personne décédée) Ah bon ? Ouais ! (Notez la sobriété de cette dernière réponse !)

Il existe deux manières de «faire monter» des personnes décédées (et non «des âmes» comme on dit pour aller plus vite.) La première, vous avez une personne bourrée de bonnes intentions, certes, mais qui est encore sous l’égide du Moi-Idéalisé: cette personne physique s’imagine être capable de «faire monter dans la Lumière» une personne suicidée ou autre. Hélas, soyons un peu rationnels et logiques deux minutes :

Cette personne physique a déjà du mal à faire grimper sa propre fréquence vibratoire ce qui lui permettrait de se laver de ses propres limitations terrestres et elle prétend faire monter celle des autres ? 

Donc, sans commentaires. La seconde (la bonne, la vraie), consiste à appeler des entités des plans supérieurs très puissantes pour qu’elles puissent venir chercher les décédés coincés entre deux mondes et les aident à élever leur propre fréquence, cela en les lavant dune partie seulement de ses «dettes karmiques» présumées. Et dans ce cas, nous devrions plus parler de «traction depuis le Haut» (les Grands Maîtres) que de «poussée» depuis le bas (les humains en mal de reconnaissance et d’admiration.) Hélas ! Dans ce dernier cas là, plus question de se branler l’ego (en français dans le texte) avec de prétendus pouvoirs personnels ! Ce sont des Grands Êtres qui se tapent tout le boulot et ce qui se passe ensuite ne nous regarde plus.

Est-ce que les décédés préalablement coincés entre deux mondes trouvent leur Lumière ? Réponse oui ! Est-ce le «passeur d’âme» qui les fait monter lui ? Réponse : NON ! Mais c’est lui qui s’élève assez haut (en fait à mi-chemin) et les Grands Maîtres qui descendent assez bas (mi-chemin aussi) et qui, une fois « branchés » sur la longueur d’onde du «passeur», se servent d’une chose qu’ils n’ont pas, qu’ils n’ont plus, tout Grands Maîtres qu’ils sont : un corps vital (ou éthérique.) Le «passeur» est alors adombré (il le sent ou non) et là, ce sont les G.M. qui agissent à travers lui (ou elle) et qui TIRENT vers eux le décédé et le nettoient de leur mieux pour rendre son corps psychique un peu plus pur et donc, un peu plus léger.

Bon, OK ! Mais ceux qui prétendent faire tout le travail tous seuls, ils mentent ? Non, pas nécessairement. Ils peuvent pêcher par ignorance et croire en ce qu’ils prétendent, c’est-à-dire et dans le meilleur des cas négatifs, croire vraiment qu’ils font le boulot. Dans ce cas, c’est plus une naïveté teinté d’ignorance qu’une véritable envie de tromper autrui. Mais quelle que soit L’INTENTION du praticien, s’il n’avoue pas franchement un truc du genre « Seul, je ne peux rien, c’est mon Père qui est dans les cieux qui œuvre à travers moi et à ma place… » (Jésus dixit), c’est que la personne a de gros problèmes d’ego et/ou de Moi-Idéalisé et devrait commencer par se faire monter un peu elle-même !

Bien, alors, fort de ces explications techniques, comment reconnaître un bon «passeur d’âme» selon la psy éso ? Réponse : «C’est très simple, faite-lui lire cet article et notez attentivement ses réactions, car vous allez très vite être fixés, je vous le promets ! »

Si vous avez des questions, et seulement si vous vous sentez en harmonie avec ce que je propose ici, ne vous gênez pas pour les poser, je vous répondrai de mon mieux. Par contre, si vous n’êtes pas d’accord avec ce texte, inutile de perdre votre temps et de me faire perdre le mien en me le faisant savoir : un avis contraire ne m’intéresse pas et ne m’apportera rien de bénéfique, d’un point de vue vibratoire… Si vous savez «mieux» ou «plus», grand bien vous fasse ! Dans ce cas, faites comme moi et écrivez de votre côté, sur vos blogs et pages perso, cela aura au moins l’avantage d’offrir aux autres un son de cloche différent et vous évitera à vous de vous manquer de respect en vous commettant bêtement à critiquer le travail d’autrui au lieu de vous dépêcher de montrer que vous bossez bien mieux que lui et de votre côté.

Il est inutile de fanfaronner en affirmant que l’on respecte la libre pensée de chacun, si c’est pour, la minute d’après, démontrer le contraire en critiquant la production d’autrui au lieu de construire de son côté et laisser les autres dans leur erreur ou dans leur vérité. A bon entendeur…

Serge Baccino