Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Pythagore

 

Pythagore5De tous les philosophes de la Grèce antique, Pythagore est celui qui contribua le plus aux enseignements concernant le sujet des vibrations. Il naquit à Samos, petite île grecque de la Mer Égée, vers 572 avant l’ère chrétienne. D’après certains textes appartenant à des confréries initiatiques, son père était sculpteur et se nommait Mnésarque. Quant à sa mère, elle avait pour nom Parthénis. On rapporte qu’ils consultèrent l’Oracle de Delphes au cours de leur voyage de noces et qu’il leur fut répondu : « Vous enfanterez un fils qui sera utile à tous les hommes, pour tous les temps« .

 

Pythagore2Très jeune, Pythagore manifesta un grand intérêt pour les sciences, les arts et les traditions et, sous l’impulsion de ses parents, fut instruit par les plus grands sages de l’époque, parmi lesquels Her-modamas et Phérécide auquel il s’attacha particulièrement. Sur les conseils du Grand Prêtre du Temple d’Adonaï, situé au Liban, il se rendit en Egypte et y demeura vingt-deux ans. Là, il fut initié aux mystères égyptiens et reçut la Connaissance qui était dispensée par les initiés de ce pays. Il revint ensuite à Samos, qui était alors dirigée par le tyran Polycrate. Ne pouvant accepter une telle tyrannie, il la condamna publiquement et s’exila à Crotone, en Italie, où il fonda sa propre école de philosophie, connue sous le nom d’«école italique» en raison du pays où elle fut établie.

 

pythagoreD‘après les mêmes archives précitées, Pythagore fut le premier à refuser le titre de «sage» pour prendre celui de «philosophe», qui signifie littéralement «ami de la sagesse». Sa célébrité était telle que les plus hauts représentants de la religion grecque venaient lui demander des conseils éclairés sur les réformes qu’il convenait de faire pour satisfaire les dieux. Les politiciens eux-mêmes se pressaient pour connaître son opinion sur la plupart des sujets qui étaient débattus à l’époque. A cet égard, Pythagore était un grand législateur.La liberté était le droit qu’il défendait le plus, car il estimait qu’elle était un don de Dieu et, par conséquent, qu’aucun homme, quel qu’il soit, ne pouvait priver un autre homme de ce don divin.

Mais il pensait aussi que le fait d’être libre s’accompagnait de devoirs correspondants et que quiconque ne respectait pas ces devoirs était un danger pour la liberté des autres. En maintes occasions, il écrivit des lois très strictes pour réglementer le comportement idéal de tout être humain ayant choisi de vivre en société.

 

Pythagore4L‘essence mystique des enseignements de Pythagore était fondée sur les vertus qu’il prêtait aux Nombres. En effet, il considérait que toute la Création était l’expression d’une Géométrie Divine. A ce sujet, il est dit, dans certains textes, qu’il fut le premier à désigner la Divinité par l’expression «Grand Architecte de l’Univers». Partant de ce principe, il consacra une grande partie de son existence à formuler les lois naturelles et universelles sous forme de symboles géométriques. Ainsi, il symbolisa la loi de la dualité par deux lignes parallèles, celle de la manifestation parfaite par un triangle qui, selon qu’elle s’appliquait au monde matériel ou spirituel, avait la pointe dirigée vers le haut ou vers le bas ; celle de la stabilité par un carré ; celle de la Perfection Cosmique par un cercle ; etc..

Par ailleurs, il associa à chacun des symboles qu’il avait choisis un nombre ayant un pouvoir de création : 2 pour la dualité ; 3 pour le triangle ; 4 pour le carré ; 9 pour le cercle, etc..  A l’aide de ces combinaisons de symboles et de nombres, il était capable d’expliquer l’action de la plupart des lois universelles.

Les formes et la vie

« Lorsqu’un groupe d’atomes forme une molécule, il en résulte toujours une nouvelle individualité qui, nous le savons, n’est pas seulement la somme totale des atomes, mais une unité dont l’existence a été créée par l’union des diverses sortes d’atomes, aucun de ceux-ci ne possédant l’une quelconque des qualités de la nouvelle création.

Charles W. LittlefieldLes individualités des molécules sont si dissemblables des atomes qui la composent que l’on est conduit à penser qu’une influence exté­rieure, entièrement étrangère aux atomes, a joué un rôle dans la nouvelle forma­tion.

Etant une nouvelle combinaison de matière, elles manifestent une forme d’énergie que l’on ne peut trouver dans les atomes seuls. Il en résulte que plus la nouvelle forme d’énergie est complexe et plus il entre d’atomes dans sa composi­tion, plus ses formes d’énergie sont diverses et élevées dans leurs manifestations.

En physique et en chimie, une loi indique que moins il y a d’atomes dans des mo­lécules, plus leur union est stable mais plus leur énergie est limitée. Au fur et à mesure que le nombre des individualités augmente dans la société moléculaire, plus précis et plus délicat est leur arrangement et, en conséquence, plus subtiles et plus variées sont les manifestations de leur énergie.

Cela devient de plus en plus apparent à mesure que nous approchons du stade de complexité moléculaire, tel que nous le trouvons dans les sels minéraux de nature organique, par lesquels la Force Vitale exprime les premières formes de vie physique ».

 

 

DR CHARLES W. LITTLEFIELD (1859-1945)

Des hommes demeurant à l’écart (Extrait)

«La Science peut continuer à spéculer à jamais, mais tant qu’elle n’aura pas renoncé à deux ou trois de ses erreurs cardinales, elle se trouvera toujours en train de tâtonner dans le noir.

Quelques-unes de ses conceptions les plus erro­nées se trouvent dans sa notion bornée de la loi de la gravitation, dans son refus de reconnaître que la matière puisse être impondérable, dans sa récente trou­vaille du mot « force » et dans l’idée absurde et tacitement acceptée que la force est capable d’exister per se ou pas plus que la vie, d’agir en dehors de la ma­tière, indépendamment de celle-ci ou de toute autre façon qu’à travers la matière; en d’autres termes que la force est tout ce qu’on voudra sauf la matière dans l’un de ses plus hauts états, les trois derniers états dans l’échelle ascendante étant niés seulement parce que la science ne sait rien à leur sujet et à cause de sa su­prême ignorance du Protée universel, de ses fonctions et de son importance dans l’économie de la nature (le magnétisme et l’électricité).

Dites à la Science que même du temps du déclin de l’Empire Romain, lorsque le Britannique tatoué avait coutume d’offrir à l’Empereur Claude son nazzur d’électron sous la forme d’un chapelet de perles d’ambre, dites-lui que même alors il y avait déjà des hommes demeurant à l’écart des masses immorales qui en savaient plus sur l’électricité et le magnétisme que les hommes de science n’en savent maintenant, et la Science se moquera de vous aussi âprement qu’elle se moque, à présent du fait que vous vous consacrez aimablement à moi.»

 

LETTRES DES MAHATMAS (Fin du 19ème siècle)

Le pouvoir créateur des nombres (extrait)

Francis_barrett_portrait« Tout ce qui a été fait par la Nature en son premier âge, semble avoir pris forme selon la proportion des nombres, car ils furent le modèle de base dans la pensée du Créateur. C’est d’eux que proviennent les éléments, le cours du temps. C’est de leur réunion que subsistent le mouvement des étoiles, la révolution des cieux et l’état de toutes choses. Par conséquent, les nombres sont investis de grandes et de sublimes vertus. Et il n ‘est pas étonnant, en voyant qu ‘il y a dans les choses naturelles tant de vertus occultes, quoique appartenant à des opéra­tions manifestes, qu ‘il y en ait dans les nombres de beaucoup plus grandes et plus occultes, et de plus merveilleuses et plus efficaces aussi.

Car les nombres étant plus positifs, plus parfaits, se trouvant naturellement dans les cieux sans être mê­lés de substances distinctes, et étant très simplement et le plus étroitement inté­grés aux idées de la Pensée de Dieu, dont ils reçoivent leurs vertus propres les plus efficaces, ils possèdent donc une très grande force et conduisent le mieux à l’obtention des dons spirituels et divins, tout comme dans les choses naturelles, les qualités élémentaires sont puissantes pour la transmutation de toute chose élémentaire.

 

Francis BarrettAussi, je répète que toutes les choses qui existent et qui sont créées subsistent par les nombres dont elles reçoivent leur vertu, car le temps se compose de nombres, ainsi que tout mouvement, toute action et tout ce qui est soumis au temps et au mouvement. L’harmonie, également, de même que les voix, tiennent leur pouvoir et consistent en des nombres et leurs proportions. Et la pro­portion naissant des nombres forme, en lignes et en points, des caractères et des figures à l’infini ».

 

FRANCIS BARRETT (19ème siècle)

La Métaphysique – Par Jean Charon (Citation)

« Alors que la Physique est sans doute la plus apte à éclairer les problèmes mé­taphysiques, les physiciens, pour leur part, refusent depuis près de trois siècles de voir la Métaphysique pénétrer dans leur langage et leur champ d’expérience ; comme si ces problèmes étaient indignes de la connaissance « scientifique  » ; ou encore, comme si les questions qui forment les thèmes de la Métaphysique n ‘étaient pas, finalement, celles auxquelles l’Homme souhaite le plus avidement obtenir des éléments de réponse…

On peut d’abord se demander si les thèmes principaux de la Métaphysique ont quelque rapport avec les problèmes étudiés en Physique. La Connaissance, l’existence du monde extérieur, la substance et la forme, le problème de la vie et de la mort, l’âme et le corps, le problème de Dieu, tous ces objets d’investigation traditionnels de la Méta­physique sont-ils susceptibles d’entrer dans le champ des recherches en Physique ?

La réponse à cette question sera affirmative ou non suivant qu ‘on acceptera ou non de considérer l’analyse de l’Esprit comme un objet d’étude de la physique. Le problème de la nature et des mécanismes de l’Esprit est en effet, sans nul doute, le problème cen­tral de toute la Métaphysique, celui dont dérivent tous les autres objets de réflexion (la Connaissance, la vie, la mort, la Matière, Dieu…). La Physique et la Métaphysique for­ment donc deux disciplines complémentaires en charge d’accroître notre connaissance de l’Univers si, et seulement si, Matière et Esprit sont inséparables dans les méthodes de recherche et les langages de ces deux branches de la Connaissance.

Or, comment pourrait-on raisonnablement refuser à la Physique d’accomplir des progrès au moyen d’une analyse non pas de la Matière seule, mais encore de l’Es­prit ? Dès que les investigations des physiciens se tournent vers le plus petit, ou encore vers le plus grand, vers ces mystérieuses particules formant l’essence de la Matière ou encore vers notre Univers dans son ensemble, alors le mot de saint Augustin devient aujourd’hui toujours plus vrai : « Le monde est tel qu’il nous apparaît fait de choses qui ne nous apparaissent point ». Et Teilhard de Chardin remarquait également que « parvenus à l’extrême de leurs analyses, les physiciens ne savent plus trop si la struc­ture qu ‘ils atteignent est l’essence de la Matière qu ‘ils étudient ou bien le reflet de leur propre pensée« …

Comment, dans ce cas, ne pas reconnaître comme une évidence ac­tuelle que l’Esprit est en fait partie intégrante du domaine d’investigation de la Physi­que, au même titre que la Matière, puisqu’il n’y a pas de description possible de la Matière qui ne fasse intervenir, au premier plan, les mécanisme structurels de notre propre Esprit ? »

 

JEAN E. CHARON [L’Esprit – cet inconnu.]

 

Pour écouter ce grand Monsieur :


Le Royaume des cieux

LE ROYAUME DES CIEUX

 

Subconscient-rayonsSymboliquement, c’est le Centre ou « foyer central » de notre conscience individuelle (le Soi) qui se situe au-delà de notre mental et qui se sert de ce dernier pour donner naissance à toutes les formes de réalités probables.
Le mot « Royaume » se réfère au pouvoir de la conscience ou à sa souveraineté lorsque le mental se libère des formes spirituelles statiques qui encombrent son espace conscient (ou Ciel.) Ce royaume est « au-dedans de nous » (du Grec ésotérikos = au-dedans ou à l’intérieur) c’est-à-dire au cœur même des multiples processus mentaux avec lesquels notre individualité consciente adore s’identifier (ce qui donne naissance à notre âme, ce qui nous anime.)

 

Illumination7 Au-delà des idées, des images, des sons et de toutes ces choses qui accaparent notre attention mentale, se trouve « Le Trône de l’Esprit », à savoir LA CONSCIENCE SANS PENSÉE, l’esprit informel, Dieu l’Inconnaissable. Autrement dit, ce que nous sommes lorsque nous ne pensons pas à ce que nous « devrions » être pour correspondre à nos attentes ou à celles d’autrui !

 

Serge Baccino