La sentence ésotérique oubliée

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La sentence ésotérique oubliée

Tout est double consiste en la sentence ésotérique la plus oubliée de tous les temps. Disons ici qu’elle est « l’éternelle oubliée », et que cela arrange bien certains. Présentons notre sujet qui concerne la supposée « surpopulation » qui semble frapper cruellement notre monde. En gros, on essaye de nous faire croire que le problème majeur de notre époque, consiste en le fait que nous sommes, désormais, bien trop nombreux sur Terre. Qu’il n’y aura bientôt plus de place pour tout le monde, si vous préférez.

D‘aucuns avancent même l’idée que d’ici cent ans, au maximum, la situation sera devenue intenable, qu’il n’y aura plus assez à manger pour tous, que les gens vont s’entretuer, etc. Le tableau classique brossé par quelques-uns, hélas porteur à tous les coups. Ou devrions-nous dire « à chaque fois » ? Mais laissons cette partie du sujet pour un autre paragraphe de cet article.

Si des sujets tels que le réchauffement climatique, la couche d’ozone, la pollution et le fait qu’il n’y aura bientôt plus de pétrole, reçoit toute l’attention du public, c’est simplement parce que ce dernier est désormais programmé par une idée aussi insidieuse que macabre. Toutes ces alertes lancées par ceux qui ont eux-mêmes décidé de « veiller sur l’humanité », y compris au prix de cette même humanité, reposent sur une seule et même idée directrice : quel que soit le problème, il se rattache évidemment au problème central, de base, impossible à éviter : nous serions désormais trop nombreux sur Terre. Boom ! Voilà, ite missa est !

Essayons-nous à un petit jeu, voulez-vous ? Trouvez un seul problème majeur de notre époque (genre la fonte des glaces ou le dépeuplement des océans) qui ne soit pas imputable au fait que nous sommes trop nombreux sur cette planète ! Allez-y, cherchez bien et… Bonne chance pour trouver ! Car vous ne trouverez rien qui ne soit lié, de près ou de loin, à cette « idée-force », à cette véritable programmation mentale ou, pour mieux le dire encore, à cette hypnose collégiale, qui est à l’origine de cette idée de la surpopulation.

Si on tient compte non pas du supposé problème mais du fait que cette idée-force (ou idée directrice) est désormais dans toutes les têtes « bien pensantes » (OMS, ONU, Davos, etc.,), alors on devient capables de comprendre beaucoup de choses. Une certaine pandémie a fait, dirons-nous, son apparition à un moment étonnamment opportun. Mais inutile d’entrer dans des détails aussi scabreux que susceptibles d’obliger la plupart à se réfugier dans une forme de déni des plus sécurisantes.

Abordons le sujet autrement, de manière aussi rationnelle que logique, aussi dépassionnée que plausible. Commençons par nous placer du côté du peuple, comme disent celles et ceux qui ne désirent pas faire connaître leurs penchants politiques. Par exemple, vous conviendrez avec nous que très peu de gens se proposeront de se suicider « pour le bien de tous », en permettant de retrancher, du nombre d’êtres vivants incarnés sur Terre, ceux décidant joyeusement de ne plus s’y produire.

De même pour le lancement d’une loterie mondiale qui permettrait de savoir qui va vivre ou qui va céder sa place au nom du bien-être de tous. Il n’est guère envisageable que le commun des mortels (les seuls d’ailleurs concernés) voit cette idée de loterie d’un œil favorable. Sauf, bien évidemment, s’il se sait faire partie de « ceux qui resteront à la fin. » Si on se montre intelligent et, surtout, si on sait comment raisonnent certaines personnes se considérant elles-mêmes comme « responsables du bien de tous » on a vite fait de devancer, en esprit s’entend, les quelques actes qui seront commis par ces mêmes personnes bourrées de bonnes intentions, pour ne pas les considérer carrément comme les garants de notre humanité, de notre sens du devoir empathique.

Mais attendez un instant : le nombre croissant de personnes présentes sur Terre est-il le véritable problème ? Plus explicitement, implique-t-il une seule et unique solution, qu’il est inutile de nommer ici ? Voici un avis qui en vaut un autre et qui, au lieu de réclamer le sacrifice physique de quatre milliards d’êtres vivants, ne réclame, au pire, que le sacrifice psychologique de l’ego démesuré de quelques centaines de parasites de notre actuelle société. Sacrifice auquel ils ne consentiront jamais et de leur plein gré s’entend.

Et là aussi, il paraît évident qu’il n’existe qu’un seul « traitement » à leur appliquer. 
Bien que leur ôter la vie ne soit en rien nécessaire, lorsqu’on imagine ce qu’ils pourraient ressentir puis devenir, s’ils ne se savaient plus à la tête des nations de ce monde. Ne sachant vivre et s’exprimer autrement qu’aux dépens de leurs semblables, le seul fait de ne plus pouvoir vivre de la seule manière qu’ils connaissent et qui leur convient, suffirait amplement à nous débarrasser du seul et véritable problème de notre présente société.

Pourquoi se le cacher plus avant, le véritable problème n’est pas le nombre d’être humains présent sur Terre ni même l’explosion démographique, mais bien le fait que nous partons de la (fausse) prémisse que « nous manquons de place » pour tout ce beau monde qui se décline désormais selon une courbe de croissance exponentielle. Le manque de place n’est que rarement mentionné, l’aviez-vous remarqué ? Il est juste fait mention du NOMBRE croissant d’êtres humains.

Pour comprendre un problème et y trouver solution, il faut posséder les deux aspects (ou pôles) de ce même problème. Au risque de verser dans l’exagération. En réalité, si le véritable problème est l’espace, autrement dit, la superficie planétaire, alors on se trompe de problème et donc nécessairement, de solution. La planète est bien plus grande que ce que l’on veut nous le faire croire.

Mais si c’est bien le cas, à qui profiterait le crime ? Quel intérêt de cacher les véritables dimensions de notre planète ? L’intérêt est évident ! Comment peut-on « parquer » puis réduire en esclavage une foule croissante d’être humains ? Il faut que leur nombre maximum soit défini par avance et ne soit jamais dépassé, sous peine de perdre le contrôle sur ces êtres humains. Et pour que le mensonge soit crédible, il faut réussir à faire croire à des milliards de personnes qu’ils vivent sur une planète aux dimensions « finies » et qu’il existe donc une limite au nombre de personnes pouvant s’y manifester sans se gêner entre elles.

Les plus intuitifs comprendront dès lors pas mal de choses au sujet de l’immigration et de l’intérêt évident à laisser les portes grandes ouvertes. Effet assuré, du moins au niveau psychologique ! Pour que cela puisse être rendu possible (le mensonge planétaire), il fallait, à l’origine, ne conserver qu’une seule polarité, qu’un seul aspect du problème (le nombre) alors que l’aspect le plus important est bien celui de l’espace.

Voilà pourquoi quelques-uns ont reçu pour Mission de dévoiler certaines informations au sujet non pas d’une terre « plate », ce qui serait absurde, mais bien d’une planète aux dimensions bien plus étendues que celles communément admises. Replacez les dimensions actuelles du planisphère sur une planète dix fois plus grosse, et vous comprendrez d’où sort l’idée de « Terre plate. »

Qu’est-ce qui se trouve derrière la grande barrière de glace de l’antarctique, par exemple ? Pourquoi est-il interdit de se renseigner à ce sujet ? Pourquoi tant de pays différents ont-ils réussi à s’entendre pour signer ce fameux « traité de l’antarctique », en interdisant son survol et, en un mot, son étude minutieuse ? Depuis quand l’être humain est-il capable de s’entendre avec tout le monde sur un seul et même sujet ? Mais est-ce là les questions les plus essentielles ? Certes non ! Il existe bien moins de questions que de réponses logiques.

Lorsqu’on vous interdit de savoir ou de voir quelque chose, DEUX aspects du problème (Tout est double) se proposent alors à vous. Premièrement, que VOUS ne pouvez pas en savoir plus sur le sujet. Deuxièmement, que d’autres savent et qu’ils sont chargés de vous cacher, de vous interdire l’accès à la même connaissance qu’eux. Essayez donc de cacher à d’autres quelque chose dont vous ignorez tout, et vous commencerez à mieux comprendre l’idée. Cela dit, personne n’affirme ici que « ceux qui cachent » connaissent absolument tout à propos de ce qui est caché ! Vous pourriez cacher aux autres, en l’enterrant quelque part connu de vous seul, un coffre contenant un supposé trésor, sans en connaître vous-mêmes le contenu formel. Question de bon sens.

L’ésotérisme enseigne, depuis bien longtemps, que notre Terre est prévue pour « tourner » avec environ douze milliards d’êtres humains et que ce nombre, une fois atteint, se régule ensuite selon certaines lois qu’il ne nous appartient pas de spécifier ici. Une question se pose, toutefois : pourquoi cette explosion démographique ? La réponse va de soi : pour que l’on se pose les bonnes questions, par exemple : « Sommes-nous vraiment limités en termes d’espace ? » Quelles preuves possédons-nous ? À quelles sources nous fions-nous ? 
Ensuite, c’est une autre question qui semble pointer le bout de son nez : « Est-ce la première fois que nous sommes, en tant qu’humains, confrontés à ce problème apparent de surpopulation ? »

La réponse à la seconde question est facile à trouver : « Non, du moins pas depuis que nous entendons parler du Grand Reset et que les plus intelligents se demandent si c’est vraiment le premier en date ! » 
La conclusion est assez facile à imaginer : la surpopulation n’est pas un problème mais une solution ! Une solution pour le Deep State, un moyen de justifier certaines limites que nous ne devrions jamais franchir mais que nous devenons tôt ou tard obligés de considérer au moins. Que faire si nous risquons de devenir trop nombreux ?

La réponse, cruelle mais supposée logique, va de soi, n’est-ce pas ? Mais cela nécessite de ne considérer qu’un pôle du sujet, celui qui permet de transformer quelques milliards d’individus, en esclaves consentants.
S’il n’y a pas assez de place pour tous, alors oui, nous avons un véritable problème sur les bras, n’est-ce pas ? Mais est-ce la vérité ? Manquons d’espace ou manquons-nous de… Connaissances ? Est-ce que nous savons tout ce qu’il y a à savoir pour être libres ?

Mais voici la plus terrifiante de toutes les questions : « Avons-nous vraiment envie d’être libres ? »

À chacun de répondre à cette dérangeante question !

 

Serge Baccino