Quand les démons sont désœuvrés

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Quand les démons sont désœuvrés.

Depuis que les plus hauts dirigeants des Forces de l’Axe, des Forces de l’Ombre, voire du Deep State, sur Terre, sont mis à mal, leurs agents exécutifs préférés, à savoir les démons, se retrouvent désœuvrés, car leurs mentors ne leur donnent plus aucunes directives. Et un démon sans directives ne peut, au mieux, que retourner à ses premières amours qui, et pour mémoire, consistent à pomper inlassablement l’énergie vitale à tout être vivant et (plus ou moins) conscient.

Ainsi, nous trouvons et par exemple, de plus en plus d’êtres humains affaiblis par le stress, la peur, les drogues l’alcool ou simplement la manipulation mentale de masse dont beaucoup ont été les victimes plus ou moins consentantes, en étant attaqués par de nombreux démons. Démons qui viennent se presser autour de l’aura astrale de ces infortunées personnes, attendant la plus mince occasion de passer à l’aura vitale. Et de cette dernière, ils espèrent avoir accès au corps vital lui-même.

Lorsque cela arrive, la personne se sent subitement fatiguée et aucun examen médical ne peut en découvrir l’origine. Et pour cause ! Avouons que l’on imagine mal un médecin généraliste annoncer à son patient : « Monsieur, vous êtes victimes d’attaques psychiques ! Une dizaine de démons sont collés à votre aura ! » Notons tout de même que cet état de fatigue soudaine ne doit pas être comparé à l’action tout aussi débilitante d’un virus. Il s’agit de quelque chose d’autre, de quelque chose de plus. Au cas où nous aurions peur de nous ennuyer si la vérolerie moderne bien connue, venait subitement à faiblir. Ou pire, si nous en devenions tous immunisés !

Cela dit, bien que de très nombreux humains aient été grandement affaiblis par ce premier type d’attaque concertée et évoquée ci-dessus, tous les démons ne sont pas capables de s’attaquer directement aux humains. Tant s’en faut. Ainsi, ce ne sont que les démons les plus puissants et les plus expérimentés qui osent s’attaquer aux humains parmi les plus affaiblis. Les autres doivent bien se contenter de quelque chose de moins « appétissant » mais de bien plus facile à phagocyter.

Et quelle plus belle victime toute désignée qu’un animal ! Mais pas n’importe quel animal, et assez peu les animaux sauvages (ou alors les plus petits et inoffensifs.) Les animaux visés en priorité sont nos animaux de compagnie. Pourquoi ? C’est là que ça peut devenir un brin déplaisant pour nous, leurs amis et maîtres !

Comme vous le savez peut-être, il existe des deals importants entre les Soi Naturels et les Déva. Nous n’adoptons pas « au hasard » tel chien, tel chat ou tel autre animal de compagnie. Pas mal de choses sont décidées avant l’incarnation de l’extension à naître. L’un des deals les plus courants est de profiter de l’état d’esprit plus ou moins élevé et équilibré d’un humain, pour permettre à un Déva, via son animal/extension, de s’offrir cette énergie mentale qui lui fait tant défaut mais qui est toujours hautement prisée.

En effet, en vivant au contact des humains, les animaux se nourrissent littéralement de l’énergie mentale qui leur est allouée par le biais de l’attention, du fait de s’intéresser à un animal, voire de l’aimer. Et comme on ne peut aimer quelque chose ou quelqu’un sans se concentrer sur l’objet de notre amour, chiens, chats et autres animaux de compagnie, transfèrent journellement de l’énergie mentale humaine à leurs Déva respectifs.

Cependant, l’énergie du mental supérieur de l’humain n’est pas (encore) assimilable par les Déva et donc, par les animaux. Seule l’énergie du mental inférieur et moyen leur est accessible. Ainsi, ce ne sont que les processus mentaux de niveau (et donc de qualité) très moyens, qui permettent aux animaux de compagnie de faire évoluer leur Déva et d’évoluer eux, du même coup.

On dit que les processus mentaux d’un être humain peuvent rendre malade son animal de compagnie. Est-ce exact ? La réponse habituelle à l’enseignement de la psy éso est… Oui et non ! Lorsque le but est de s’instruire, ne le faire qu’à moitié n’est pas une méthode des plus rentables. Et lorsqu’on veut couvrir les principaux aspects d’un même sujet, les réponses doivent alors prendre l’allure de paradoxes ou d’antinomies. Du genre « Oui et non. »

À la question : « le contenu des processus mentaux d’un humain peut-il nuire à la santé physique et mentale d’un animal de compagnie ? », la réponse devrait être OUI. Mais à cette autre question, plus subtile ou plus élaborée : « les processus mentaux émettant de basses fréquences peuvent-ils nuire à ces mêmes animaux de compagnie ? » la réponse devrait être NON !

Comme précisé plus haut, ce sont justement ce qui, pour nous, consiste en de basses fréquences, qui peuvent aider à la confection d’un mental Dévannique (de Déva, donc) et au développement spirituel de l’animal. Des fréquences plus hautes ne seraient pas assimilables. Elles ne produiraient aucune nuisance. En fait, elles ne produiraient rien du tout ! Ainsi, ce sont nos processus mentaux jugés par nous comme étant laborieux, inutiles voire négatifs, qui concourent à l’évolution des Déva et de leurs diverses extensions.

Soit ! Mais alors, comment expliquer que les plus grands thérapeutes animaliers affirment (à raison) que l’état d’esprit du maître peut influer grandement sur, voire dénaturer, la santé mentale et physique de son animal de compagnie ? Ont-ils raison ? Bien sûr. Sont-ils tous capables d’expliquer la nuance que nous tentons de partager ici ? Sans doute que non. Sinon, ils en parleraient. Et quelle est cette nuance ?

Elle se retrouve au niveau des processus mentaux compensatoires, ceux qui tentent de nier la présence, pourtant effective, d’un défaut, d’une faiblesse ou de toute autre disposition mentale, jugée sévèrement puis rejetée ou nier par son propriétaire mental. Lorsqu’une personne tente de se mentir, d’éluder ce qu’elle réprouve en elle, d’être hypocrite en un mot, elle émet alors deux longueurs d’onde mentales totalement opposées et surtout, contradictoires.

L’animal capte parfaitement ces ondes et ni lui, ni son Déva ne sont alors capables de traiter puis d’assimiler ce type d’émissions mentales. Au niveau du Déva, il y a simplement rejet. Celui-ci comprend qu’il ne peut rien faire de telles informations contradictoires et refuse de les assimiler. Mais pour son extension terrestre, à savoir l’animal de compagnie, il en va tout autrement !

Ce dernier se retrouve littéralement baigné dans ces fréquences vibratoires morbides pour lui, et comme il est incapable de les assimiler mais qu’il tente de le faire tout de même, il manifeste tout d’abord des troubles du comportement (connus des ostéopathes animaliers) puis peut s’installer, à la longue et si son maître continue de se mentir, des maladies qui ne peuvent pas être soignées et encore moins guéries par la voie médicale ordinaire.

Voilà quelques éléments pouvant conduire à d’intéressantes conclusions, voire à un nouvel éclairage sur ce sujet.

 

Serge Baccino