Archives de catégorie : Les brèves de la psy éso

Sur la Matrice et les dimensions

Sur la Matrice et les dimensions

(Les brèves de la psy éso)

La matrice la plus contraignante et limitative est la 3ème Dimension, qui correspond au niveau de conscience du 3eme Centre énergétique (Manipura Chakra) et donc, à l’animalité de l’être, à sa partie instinctive, fondée sur les émotions et sur l’intellect.

Chaque niveau de conscience ou Chakra ou Monde, consiste en une matrice. Tous les niveaux de conscience, toutes les dimensions, consiste en des matrices successives mais qui offrent de plus en plus de liberté et de pouvoir à l’être conscient (le Soi.)

Une matrice, quelle qu’elle soit, est toujours de nature mentale. Elle est créée en esprit et dans le mental. Le rôle des forces de Résistance et d’Opposition est de nous maintenir dans la 3D ou, au pire, dans la 4D (plan mental moyen.)

Toutes les dimensions existent déjà, en simultané. Nous ne devons pas attendre d’atteindre la 5D mais retirer ce qui, en notre mental (4D) nous empêche de vivre en 5D (expression du Soi.)

 

Serge Baccino

La remastérisation mentale

La remastérisation mentale

(Les brèves de la psy éso)

L’être humain va être très bientôt libre, puis de plus en plus libre. Mais il n’est pas habitué à l’être. Il est habitué à peu de liberté, compensée par une assistance de chaque instant ou presque (exemple alarme ceinture de sécurité, etc.) Lorsqu’il va commencer à être libre, il ne le réalisera même pas. Pour certains, il faudra au moins une année pour y parvenir, tandis que d’autres auront besoin de plus de temps encore. Car ils n’y croiront pas, tout bêtement. Habitués qu’ils sont à être exploités, trompés, trahis et à être déçu, continuellement, certains en sont arrivés à ne plus rien désirer, à ne plus rien attendre.

Lorsqu’il sera question pour eux de croire à nouveau, il leur faudra du temps. Certains n’y arriveront jamais vraiment ou totalement. Il faut bien comprendre que le mal qui a été fait, les tensions imposées, le stress accumulé, tout cela sera un frein important à la prise de conscience de nos nouvelles libertés. L’habitude est une seconde nature, dit-on. En réalité, tout est basé sur nos mémoires et sur le fonctionnement du subconscient.

L’un des rôles majeurs du subconscient est de nous épargner trop de concentration mentale en fonction du rythme et de la durée. Ainsi, ce que nous répétons souvent et longtemps à chaque fois, le subconscient s’en empare afin de produire le phénomène d’automatisme, à savoir sans que le conscient soit obligé de participer à plus de quelques pour cent. Certaines activités sont d’ailleurs presque entièrement gérées par le subconscient, par exemple trouver les pédales d’embrayage ou de frein de notre voiture, ou pour passer les vitesses, etc.

Notre mental, à tous, doit être remastérisé. Voyons ce que dit Wikipédia au sujet de ce mot :
« La remastérisation, le remastering ou le rematriçage est le processus de fabrication d’un nouveau mastering pour un album, un film, ou toute autre œuvre de création audiovisuelle. La remastérisation peut désigner une étape du processus de conservation et restauration des films. Dans le cas d’un remixage, la remastérisation en devient l’étape finale. »

Notez au passage le terme « rematriçage » qu’il me semble inutile de souligner ici puisqu’il fait allusion à la présence d’une matrice qui est refaite, améliorée, etc.

Serge Baccino

Matrices et Création Continue

Matrices et Création Continue

(Les brèves de la psy éso)

Tout est matriciel. Tout n’est que codage. Tout est fait d’esprit, tout est créé en esprit. Rien n’est réel, car tout doit changer ou évoluer sans cesse. Si les choses existaient réellement, il n’y aurait plus d’évolution possible. Seules les formes mentales peuvent évoluer.

La Matrice Divine est un cadre général pour d’autres cadres généraux secondaires. Et chaque cadre général secondaire peut donner naissance à des infinités de lieux spirituels, qui eux-mêmes peuvent donner naissance à des sous-lieux spirituels, et ainsi de suite.

Imaginez des Grands Plans de conscience contenant d’autres plans de conscience, contenant eux-mêmes des centaines de sous plans, et vous aurez une vague idée de la Création Continue. Imaginez un penseur qui engendrerait des univers en esprit et dans son mental.

La Création Continue est tout, sauf réelle ! Si elle l’était, elle cesserait de se poursuivre inlassablement. Exister vraiment reviendrait à durer en l’état, sans aucune chance de devenir ou d’évolution. Si le réel existait, l’univers serait bloqué, condamné à n’être, l’éternité durant, que ce qu’il est, cela au risque de disparaître s’il lui prenait l’envie de changer.

Puisque tout n’est que matrices, que rien n’est réel, dans l’absolu, pourquoi vouloir être plus vrai que nature et rêver d’un monde plus réel que les autres ? Pourquoi ne pas transformer le problème de l’homme moderne en une solution générale, valable pour tous, mais différente pour tous ? (Du fait de la pluralité des réalités secondaires.)

 

Serge Baccino

 

Le moi ne contrôle rien

Le moi ne contrôle rien

(Les brèves de la psy éso)

C‘est vrai que nous ne contrôlons rien, tandis que nous sommes encore, peu ou prou, « sous contrôle » de forces au-dessus de nous.
Mais d’un autre côté, nous sommes responsables du fait que c’est nous qui attirons les êtres et les évènements, plus ou moins fastes.

Mais si nous devenons responsables et prêts à assumer notre vie, alors le contrôle diminue. Car nous ne sommes contrôlés, finalement, que parce que nous aimons bien être assumés, assistés, remplacés, etc. L’envie d’assumer signe le départ d’une véritable liberté. Cela transforme l’état d’esprit général.

Lorsque nous désirons être responsables, les contrôleurs maléfiques perdent du même coup le droit de nous contrôler. La règle est simple finalement : un seul contrôle, ou nous, ou n’importe qui ou n’importe quoi d’autre. Il faut à tout prix un contrôle, un principe directeur, quel qu’il soit, provenant de nous ou provenant des autres.

 

Serge Baccino

L’esprit n’est pas le véritable guide

L’esprit n’est pas le véritable guide

(Les brèves de la psy éso)

Nous croyons savoir ce qui va arriver, mais nous ne savons rien. Tout au plus, nous savons ce qui va cesser de se produire, mais nous ignorons quand et comment. Mais nous ne devons plus attendre, cela est contreproductif et nous oblige à « trouver le temps long. »

Nous devons cesser toute tentative pour informer ceux qui depuis deux ans refusent de l’être ou même, ont très peur de savoir puis de devoir ensuite réagir en conséquence. Il est même conseillé d’éviter autant que possible, de participer aux débats contradictoires qui fleurissent sur les réseaux sociaux. Même sur ceux soit-disant sécurisés. Les rixes verbales ou joute oratoires (ou scripturale), bien plus que simplement inutiles, consistent surtout à une guerre des nerfs et donc, à user notre moral au moins.

C’est notre prise de conscience individuelle qui va faire la différence, la part des choses ou, plus sobrement, qui va nous catapulter sur un niveau de conscience mentale duquel sont absents ceux et celles qui ne désirent pas savoir et encore moins comprendre ce qui se passe vraiment. Plus que jamais, nous n’avons plus qu’à attendre et à voir venir. Faire connaître notre mécontentement ne sert qu’à envenimer les choses et à offrir aux plus désœuvrés, l’impression que donner leur avis est une chose indispensable justifiant le fait qu’il nous soit imposé.

Il est possible que le mois de mai (2023) soit décisif pour les êtres évolués ou initiés. Il ne faut pas craindre le négatif, car ce dernier nous dévoile la vérité à propos d’une guerre des nerfs basée sur de simple idées, sur de l’illusion et surtout, sur la peur. Autant de fréquences mentales accessibles au plus grand nombre et que nous connaissons sous le terme générique de « Matrice humaine » ou encore, « Matrice artificielle. »

 

Serge Baccino

La patience vue autrement

La patience vue autrement

(Les brèves de la psy éso)

Nous devons faire preuve de patience seulement parce que nous attendons quelque chose et que cela dérègle notre subconscient. En effet, pour lui, on ne peut désirer une chose qui n’existe pas encore. Et si nous la désirons en esprit, c’est qu’elle existe déjà, en vérité. Par exemple, nous désirons aller à la boulangerie pour acheter du pain. Pour cela, la boulangerie ne doit pas exister après ou plus tard : elle doit être là, maintenant et avant même que nous puissions nous y rendre. Si la boulangerie n’existait pas, si le boulanger n’était pas encore né, impossible pour nous d’aller y acheter son pain.

Alors nous ressentons de la compulsion, de l’impatience, cela parce que notre subconscient ne comprend pas pourquoi la chose désirée n’est pas déjà là. Pour lui, tout existe déjà, tout est déjà disponible et à profusion. Il ne conçoit pas l’idée de séparation entre la chose désirée et le fait de l’obtenir : elle est déjà disponible et à nous. La patience est le nom donné à ce qui nous permet de violer une loi de l’âme et de nous placer dans un état de stress étalé dans le temps. Le temps pour nous de prendre conscience d’une chose qui fait déjà partie de l’actualité, mais pas encore de notre réalité personnelle.

Pour éviter ce stress, nous ne devons penser qu’à ce qui est déjà là et plus à ce que nous attendons, comme si la chose n’était pas déjà disponible et à nous attendre. L’espace entre la chose désirée et son obtention n’est qu’un espace mental, pas une distance physique. Selon les lois du fonctionnement de notre subconscient, c’est le contenu formel de notre mental qui décide de ce que nous devrons vivre ensuite. Si nous attendons de posséder quelque chose en imaginant qu’e cette chose est absente, elle le sera pour nous. Nous allons encore l’attendre et il nous faudra être patient.

Nous devons demeurer dans le temps présent, l’ici et maintenant, autrement dit, dans l’actualité planétaire que notre conscience est capable d’appréhender pour le moment. A ce niveau fréquentiel de l’esprit, tout est déjà disponible et n’attend qu’un geste mental (Mudra) de notre esprit pour nous tomber entre les mains.

 

Serge Baccino