Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

La Loi et la Nature

QumranDans l’Évangile Essénien, il y a un passage que j’ai toujours trouvé d’une profondeur et d’une Beauté extraordinaire et qui dit :
« Je te remercie Seigneur, de nous avoir donné la Loi…. »
Je sais… A lire, comme ça, on ne trouve pas grand chose d’extraordinaire, n’est-ce pas ? Il s’agit d’une simple phrase, à peine poétique et, ma foi, on est en droit de se demander pourquoi certain (dont je) sont profondément émus en la lisant. Pourtant, il y a ce qui est écrit, et ce à quoi on peut se « brancher » tandis qu’on lit ce qui est écrit. Et c’est ce qui est ressenti tandis qu’on est branché et qu’on lit cette phrase, qui est profondément Beau, c’est la Beauté à l’état pur.

 

 

 

Qumran2Hélas ! Les mots ne peuvent rendre hommage à la Vérité, à ce qui est vécu par celui et celle qui est branché sur le Courant Illimité Divin. Un ancien spot publicitaire disait, il me semble : « Nous vous devons bien plus que la lumière. »
Mais il n’est pas aussi beau et émouvant que ce « spot Cosmique » :
« Mon Enfant, Je te dois bien plus que la Vie ! »

Mais qu’est-ce que « La Loi« , au juste ? On dirait une chose mystérieuse, magique, une chose qui se situe au-dessus de tout, qui pardonne tout, qui est pur amour et pure compassion, non pas l’amour et la compassion des hommes mais celle d’un pouvoir démesuré « sur lequel rien ne peut être dit » et dont la Puissance repose sur une forme de Bonté qui n’est pas accessible à l’entendement. « Je te remercie, Seigneur, de nous avoir donné la Loi… »

 

 

 

aimer l'amourAlors je vais faire ici une chose folle, indécente et des plus osées : Je  essayer, pour vous et ici, de vous donner une traduction approximative de la Beauté.
Inutile de dire que ce n’est rien moins que peu probable, mais nous allons tout de même nous y frotter, parce que nous aimons ce que nous sommes et « Cela » que nous sommes en train de Devenir. J’ai écrit « nous aimons ce que nous sommes » et c’est là le cœur de la traduction, en fait ! Ceux qui étaient sur le forum Psukelogos depuis le début (2006), connaissaient déjà les thèmes récurrents de la psy éso : Ne pas mentir, ne pas tricher, ne pas se faire plus moche ou plus beau, être soi-même, ne pas se trahir, ne pas se prostituer, apprendre à aimer ce que nous sommes avant de prétendre aimer les autres ou même évoluer, etc.

 

 

 

 

L‘un de mes anciens articles se nomme : « Aimez-vous Dieu ? », il me semble… Même si cela échappe encore à quelques-uns, les sujets évoqués, ici ou ailleurs, le sont selon une progression bien particulière et ne sont en rien le résultat du hasard ou d’un caprice personnel. Les thèmes abordés s’enchaînent selon une logique spirituelle dont l’homme ne se souvient presque plus mais qui est encore capable de toucher une chose, en lui, qui n’est ni sa tête ni même son cœur, les deux étant depuis longtemps passés sous la cruelle tutelle de l’ego et du Moi-Idéalisé. Voila à présent l’explication intellectuelle de la phrase Essénienne. Selon la Loi, lorsqu’une chose créé en esprit et dans le Mental Divin (Le Tout-Esprit) cherche à s’exprimer, elle doit le faire selon sa propre nature. L’expression de cette nature devient alors supérieure à toutes les autres lois universelles.

 

 

 

Lois universellesAutrement dit, quoi que nous soyons, quelle que soit la manière dont nous jugeons sans aucun amour et sans aucune compassion, ce que nous sommes actuellement, tandis que nous nous exprimons selon ce que nous sommes vraiment, nous devenons la plus haute Loi de l’Univers et aucun pouvoir, au-dessus de nous ou en dessous de nous, n’est capable de conditionner cette expression. C’est parce que nous n’acceptons pas toujours ce que nous sommes et faisons que nous rencontrons une adversité qui ne fait que « répondre » à notre ordre de ne pas être libre. Car notre liberté implique évidemment la décision de ne pas être libre et de nous exprimer faussement, si cela nous chante…
Comprenez-vous ce que cela veut dire et ce que cela implique ?
Imaginez-vous les implications de tout ceci ?

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Sur le sommeil (extraits -citations)

Voici un intéressant texte de P.D. Ouspensky, que connaissent peut-être certains lecteurs, habitués aux ouvrages occultes de la fin du 19e et du début du 20e siècle. Observez de quelle manière l’auteur étonne le lecteur par sa façon d’affirmer que la vie de l’homme se passe « dans le sommeil » et non dans l’état de conscience objective, qu’il place lui-même à un très haut niveau d’éveil spirituel…

 

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Ouspensky«En règle générale, l’homme peut connaître quatre états de conscience. Ce sont : le sommeil, l’état de veille, la conscience de soi et la conscience objective. Mais, bien qu’il ait la possibilité de vivre ces quatre états de conscience, il ne vit, de fait, que deux d’entre eux : une partie de sa vie se passe dans le sommeil et l’autre dans ce que l’on appelle ‘l’état de veille’, quoique en réalité son état de veille diffère très peu du sommeil.  […]


 

 

Ouspensky2Il est nécessaire ici de comprendre que le premier état de conscience – le sommeil – ne se dissipe pas quand apparaît le second, c’est-à-dire lorsque l’homme s’éveille. Le sommeil demeure présent avec tous ses rêves et ses impressions, s’y ajoute simplement une attitude plus critique envers ses propres impressions, des pensées mieux coordonnées et des actions plus disciplinées. À cause de la vivacité des impressions sensorielles, des désirs et des sentiments – en particulier le sentiment de contradiction ou d’impossibilité, entièrement absents au cours du sommeil – les rêves deviennent alors invisibles, de la même manière que sous l’éclat du soleil, les étoiles et la lune pâlissent.

Mais les rêves sont toujours présents et exercent souvent, sur l’ensemble de nos pensées, de nos sentiments et de nos actes, une influence dont la force dépasse même parfois les impressions réelles du moment.

 

 

[…]
Ouspensky3Le premier, ai-je dit, est un état purement subjectif. Le second l’est moins; déjà l’homme y distingue le ‘moi’ et le ‘non-moi’, c’est-à-dire son corps et les objets distincts de son corps et il peut, dans une certaine mesure, s’orienter parmi eux et connaître leurs positions et qualités. Mais, dans cet état, on ne peut pas vraiment dire que l’homme soit éveillé, parce qu’il reste fortement influencé par les rêves et qu’en fait il vit davantage dans les rêves que dans la réalité. Toutes les absurdités et contradictions des hommes et de la vie humaine en général s’expliquent lorsque nous réalisons que les gens vivent dans le sommeil, agissent en tout dans le sommeil et pourtant ignorent qu’ils sont endormis.

 

 

Ouspensky4Il est utile de se rappeler que tel est bien le sens intérieur de nombreux enseignements anciens. Celui qui nous est le plus proche est le christianisme ou l’enseignement des évangiles, selon lequel la compréhension de la vie humaine se base sur l’idée que les hommes vivent dans le sommeil et doivent avant tout s’éveiller. Cette idée est très rarement comprise comme elle le devrait, en l’occurrence : au pied de la lettre. »

 

 

(Tiré des 5 conférences de 1934-1940)

 


Le véritable ésotérisme (citation)

Citation:
Sur le véritable ésotérisme, résultant de la proposition
«Quittez tout et vous trouverez tout»

Beaucoup d’êtres humains confondent ésotérisme et charlatanisme. Comme l’indique son étymologie grecque, le premier concerne une extraordinaire aventure intérieure, par nature
non sensorielle et — de ce fait — rigoureusement intransmissible.

 

Elle germe et se développe à la suite d’un préalable lâcher prise. En aucun cas, elle ne peut faire l’objet d’un enseignement prodigué par une tierce personne, aussi bien intentionnée soit-elle.
Après coup, une telle odyssée ne peut se dépeindre que par des rapprochements approximatifs au moyen d’allégories, de mythes ou d’œuvres d’art, etc. ; ce qui risque de faire prendre aussitôt les vessies pour des lanternes.

Tentés néanmoins par une ultérieure description fallacieuse, obligés de rejoindre alors l’un de nos cinq sens et faute d’expression plus adéquate, libre à nous de traduire et de trahir cet indicible état de communion par « savourer le goût exquis de la fraise sauvage ».

 

Quant au second terme en italique, c’est tout simplement la regrettable exploitation vénale du premier par des opportunistes, au détriment d’esprits envieux ou crédules. En d’autres termes,
l’ésotérisme est à la découverte de soi (de nature centrifuge) engendrée par soi-même ce que la science doctrinale est à l’érudition (de nature centripète) dispensée par des tiers.

 

Il importe alors de distinguer :
l’éducation individuelle (du verbe latin ex-ducere : étendre, épanouir vers l’extérieur) et l’instruction publique (de in-struere : disposer par couche, structurer à l’intérieur).

Tels sont l’«expir» et l’«inspir», les deux phases de l’unique pulsation fondamentale. Or, la science académique et descriptive — qu’il ne faudrait surtout pas identifier à la sagesse intégrante — confond l’érudition avec l’intelligence, qui englobe les deux démarches citées plus haut.

 

D’où les deux personnages (l’enfant assis et la jeune femme debout) de la fameuse gravure ancienne. Polyvalente, celle-ci ne se limite d’ailleurs pas à la présente interprétation. En résumé, la dynamique de ces deux états de conscience (duel et unitaire) — le un vivant et le deux vivant en continuelle alternance — porte un nom prodigieux et révélateur en hébreu :

——— hvha (ahavah,5.2.5.1) : amour. ———-

 

Par conséquent, il n’est pas du tout question d’abandonner ou de rejeter la science théorique ou expérimentale, mais de lui adjoindre — dès que possible — son complément indispensable : la véritable responsabilité. Or, cette dernière résulte de notre réponse intime, vécue de façon viscérale au cours de l’éducation.
En effet, le mot réponse s’orthographiait autrefois respons.
De la sorte, l’injonction Ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas que l’on vous fît troque son statut d’ordonnance arbitraire pour devenir un réflexe vital et spontané.

 

Faute de respecter en permanence et de mettre en œuvre cet harmonieux équilibre, l’être humain ne court-il pas vers le dérangement pathologique et — par ricochet — l’humanité vers sa perte ?

 

 

 

 

SOURCES : Ce texte est diffusé par www.arsitra.org

 

La fin du mensonge

Ce qui était caché sera crié sur les toits propose un verset de la Bible…
Il était question, dans un autre article, de la façon dont les gens conduisaient leur voiture, actuellement. Conduire et « se conduire », c’est la même chose. En conduisant leur voiture comme le font actuellement certains, ils révèlent sans même le réaliser leur véritable manière de se comporter en société. En fait, ce qui se passe, avec les voitures et la façon de se conduire, se passe en simultané dans le monde entier : les gens n’ont pas encore réalisé qu’UNE FORCE, en eux, les POUSSE à montrer ce qu’ils sont ou ce qu’ils ne sont pas (selon ce qu’ils affirment être « avec la langue. »)

 

 

 

 

 

mensonge2Pourquoi ne s’en aperçoivent-il pas ? Parce que c’est fait exprès ! S’ils étaient conscients de leurs actes, il reprendrait leur passe temps favori : mentir et se mentir à eux-mêmes. Personne ne peut évoluer s’il ne cesse au préalable de se mentir. Et pour se mentir, il est absolument nécessaire de tromper les autres, de leur faire croire que nous sommes quelqu’un de bien, de raisonnable et, surtout, de très humain, n’est-ce pas. Pour se mentir, il faut tromper les autres ou trouver des personnes désireuses de nous aider à entretenir notre mensonge.

 

 

 

 

jugementPour évoluer, c’est-à-dire pour passer d’une condition jugée dépassée ou inconfortable pour se diriger vers une condition souhaitée et jugée désirable, il faut préalablement lâcher « l’état d’esprit en cours. » Mais lâcher cet état d’esprit en cours nécessite de l’explorer honnêtement au préalable, de porter un jugement de valeur sur nos propres choix spirituels (relatifs au fonctionnement de notre esprit donc.) Le problème c’est qu’en plongeant en eux-mêmes, beaucoup se jugeraient « moches » et sans éclat, (que cela soit fondé ou non) à savoir très en dessous du « niveau » que laissait préalablement entendre leur manière de se comporter en trichant largement sur « la marchandise », comme on dit.

 

 

 

 

mensonge-definitionRésultat, ceux qui auraient un besoin urgent de changer d’état d’esprit sont également ceux qui refusent farouchement de reconnaître le besoin de changement. Bien que cette réaction soit « humaine » et compréhensible, elle provoque de nombreux troubles relationnels et sociaux.
Alors beaucoup choisissent de se mentir encore plus en faisant mine d’incarner déjà ce qu’il seraient très inspirés de devenir en vérité. Et pour cela, pour cette tricherie spirituelle, ils ont besoin du concourt plus ou moins innocents d’autres tricheurs professionnels, susceptibles de leur renvoyer l’image qui pourra les conforter dans leur mensonge.

 

 

 

 

regard9Mais les choses ont désormais changé ! Avec les nouvelles énergies (comprenez la vague de prise de conscience planétaire, à un niveau encore intérieur mais collectif) les gens commencent à montrer « qui ils sont pour le moment. » Et ce qu’ils sont pour le moment est souvent l’inverse de ce qu’ils aspirent à être en secret ! Au boulot, en famille, au volant, au restaurant, dans tout lieu public de votre choix : OBSERVEZ ! Ouvrez les yeux et les oreilles !

Dépassionnez le Regard : il n’est plus question de s’abriter derrière le refus de juger son prochain, car il est juste question de constater, froidement et sans faire intervenir l’émotionnel qui brouille nécessairement la vision.

 

 

 

voir et entendreBien sur, au départ, vous pourriez être surpris, voire passablement gêné de ce que vous verrez et entendrez ainsi… Car peut-être verrez-vous et entendrez-vous des caricatures de vous-mêmes ! Mais même si ce n’est pas le cas, vous serez effaré de voir à quel point des personnes qui, il y a seulement dix ans, se comportaient d’une manière polie, affable et bienveillante, se comportent désormais comme des personnes agressives et visiblement mal dans leur peau.

Et bien entendu, si vous essayez de leur montrer leur comportement, non pas dans l’espoir de les vexer mais dans l’intention de vérifier S’ILS RÉALISENT BIEN ce qui leur arrive, ce qu’ils font aux vu et au su de tous, ils vous rétorqueront que c’est vous qui avez un sérieux problème. Sachez que leur réponse sera honnête à leur niveau. C’est vraiment ce qu’ils pensent, car ils sont inconscients de ce qui leur arrive, de ce qu’ils vivent à leur insu.

 

 

 

prendre conscienceQu’est-ce que tout cela va bien pouvoir donner comme résultat ? Pour le moment, et comme les gens sont inconscients de leur manière de se comporter, ça peut durer un certain temps sans que rien ne bouge. Mais imaginons quelques secondes que, brusquement, les gens qui se comportent d’une manière pour le moins asociale, se mettent à prendre conscience de ce qu’ils font vraiment ! Imaginons un saut quantique (c’est à la mode) au niveau de leur degré de lucidité ! A la suite de cette prise de conscience qui, sans doute, engendrera une forme quelconque de dépression, ils auront tellement à faire avec leur nouveau problème sur les bras, que les autres pourront souffler un peu, se détendre et prendre des « vacances de l’âme » bien méritées ! Et ils pourront mettre à profit ce temps de vacance pour évoluer un peu, eux aussi Smile

 

 

 

Serge  Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Relativité et psychologie de groupe

Einstein2Si on désire simplifier à outrance ce que voulait nous faire comprendre Albert Einstein, ce n’est pas le temps, qui passe, mais l’homme qui se déplace dans l’espace selon une vitesse donnée. Du coup, si on réduit la distance parcourue ou si l’on fait en sorte de la parcourir plus rapidement, le « temps » semble se contracter.

 

 

 

Bon, OK, mais quel rapport avec la choucroute, Monsieur le Curé ? Le rapport est évident en… Soi ! Puisqu’on peut « gagner du temps » en diminuant une distance ou en la espace-temps-montre goussetparcourant plus rapidement, on peut également appliquer cette loi à la psychologie du comportement humain à ce qui à trait à la formation d’un groupe de travail spirituel ! C’est d’ailleurs ce que ma femme Lætitia et moi-même faisions sur son forum (Psukelogos) et ce, de 2006 à 2012. Ah bon ? Voui ! (notez la sobriété poignante de la dernière répartie !)

 

 

 

 

distance psychologiqueMais voici que je m’explique… Qu’est-ce qui « sépare » les êtres, selon nous ? Leur façon de penser. Bien Smile (Je prépare les Carambars.) Il existe donc « une distance psychologique » entre les gens et c’est cette distance qui les sépare. Comment réduire cette distance ? En proposant une pensée commune ou un état d’esprit commun. OK, mais cela ne va-t-il pas faire fuir bien des gens qui se ch… dessus à la seule idée de tomber dans une secte, ou qu’on essaye de les hypnotiser et autres con… euh… idées du genre ?

 

 

 

 

Mondes2Oui, certes ! C’est ce que certains vont penser en premier et… En dernier ! Et ceux qui conservent un esprit ouvert et demandent à voir ?

Eh bien ! Pour ceux-là seulement, il convient de… Gagner du temps !

Ah ? Et comment, puisque ce dernier est relatif, voire inexistant ?

En réduisant la distance. De quelle façon ? En allant plus vite, en accélérant le processus usuel d’approche et de rapprochement des consciences !

 

 

 

 

s'adapter4Cool ! Et ça consiste en quoi, Benoît ? Cela consiste à faire, en une journée, ce que jadis il convenait de faire en une semaine, Germaine ! Bonnard, mais encore, Théodore ? Il est clair que la plupart des gens mettent « un certain temps » pour soit s’adapter, soit ne pas s’adapter, en fin de compte. En réduisant le temps qui sépare l’essai de s’unir à un groupe et celui où il est démontré la capacité ou l’incapacité à y parvenir, nous faisons gagner du temps au groupe et aux individus qui tentent de s’y affilier.

 

 

 

 

neuronesEt comment parvient-on à ce poignant résultat ? En présentant, plus vite, ce qui devait être jadis présenté plus lentement. Et c’est ce que je fais sur ce Blog « Vivre Livres ! » depuis des années et au travers de mes articles aux allures d’électrochocs.

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)