Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Mental sans conscience

Mental sans conscience

(Les brèves de la psy éso)

L‘ésotérisme originel, que la psy éso nomme également « ésotérisme de base » (juste les lois et les principes du fonctionnement de l’esprit), explique que tout est fait d’esprit. L’esprit, ce même esprit qui nous sert à penser, sert également à former toutes choses, qu’elles nous paraissent éthérées ou qu’elles aient la dureté du diamant. Les formes, au départ purement mentales, évoluent jusqu’à être capables de manifester la conscience. Comme c’est le cas, jusqu’à un certain degré, chez les animaux supérieurs, et comme c’est le cas chez les humains. Ou du moins, ceux qui se comportent comme tels.

L’esprit acquiert de l’expérience au travers des formes mentales créées. Nous pourrions dire qu’il apprend grâce à certaines interactions entre les formes créées et leur entourage. Les formes elles-mêmes acquièrent de l’expérience de part leur nature et utilité.

Certaines de ces formes mentales sont déjà bien élaborées, mais pas suffisamment pour permettre à la conscience de se manifester avec force (et donc d’en prendre le contrôle.) Quelques-unes d’entre elles peuvent être déjà très évoluées et se suffire à elles-mêmes.

L’esprit est intelligent : plus la forme est complexe, plus l’esprit qui la compose peut manifester de cette intelligence qui, au départ, est  sans conscience. S’il fallait donner un but à l’esprit, nous dirions que ce dernier se résume à manifester au mieux la conscience.

De nombreuses entités non-humaines sont capables de réflexion et d’une forme inférieure d’intelligence, mais elles n’évoluent plus, car la partie mentale s’est emparée du processus évolutif et y met un terme (ou presque.) Quand la forme se fait évoluer toute seule, sans l’aide de la conscience, on parle alors d’intelligence artificielle.

 

Serge Baccino

Sur la Matrice et les dimensions

Sur la Matrice et les dimensions

(Les brèves de la psy éso)

La matrice la plus contraignante et limitative est la 3ème Dimension, qui correspond au niveau de conscience du 3eme Centre énergétique (Manipura Chakra) et donc, à l’animalité de l’être, à sa partie instinctive, fondée sur les émotions et sur l’intellect.

Chaque niveau de conscience ou Chakra ou Monde, consiste en une matrice. Tous les niveaux de conscience, toutes les dimensions, consiste en des matrices successives mais qui offrent de plus en plus de liberté et de pouvoir à l’être conscient (le Soi.)

Une matrice, quelle qu’elle soit, est toujours de nature mentale. Elle est créée en esprit et dans le mental. Le rôle des forces de Résistance et d’Opposition est de nous maintenir dans la 3D ou, au pire, dans la 4D (plan mental moyen.)

Toutes les dimensions existent déjà, en simultané. Nous ne devons pas attendre d’atteindre la 5D mais retirer ce qui, en notre mental (4D) nous empêche de vivre en 5D (expression du Soi.)

 

Serge Baccino

Cet esprit qui est Dieu

Cet esprit qui est Dieu

Tout est fait d’esprit, tout est esprit et l’esprit est Dieu. Dans la Bible, il est mentionné ceci « Dieu est Esprit et c’est en esprit et en vérité qu’il faut l’adorer. » (Jean, IV, 23 et 24.) Mais si tout est fait d’esprit, tout ne vibre pas à la même fréquence pour autant ! Tant s’en faut ! La différence de fréquence vibratoire des multiples formes mentales est à la fois ce qui les distingue et ce qui leur donne des caractéristiques précises, voire uniques.

Ainsi, les particules d’esprit qui forment le bois, vibrent plus vite que celles qui forment le fer ou l’acier, par exemple. C’est donc la fréquence de l’esprit qui compose toutes choses qui engendre la différence entre les choses et les êtres. Moins les particules d’esprit qui forment une chose vibrent haut, moins cette forme est capable d’exprimer son origine et ses buts.

Montant les paliers successifs de la gamme vibratoire, nous trouvons, tout en bas, des formes dont les composantes spirituelles vibrent à quelques vibrations par seconde, et tout en haut, des formes subtiles qui vibrent à des trillions de vibrations par seconde et bien plus encore.

Entre la roche la plus dure et les entités cosmiques les plus élaborées et évoluées, il existe une infinité de niveaux qui se succèdent sur l’échelle vibratoire. Et tout ceci est censé former ce que nous appelons « Dieu ». Toutefois, il y a dieux et… Dieu ! Ou plus exactement, il y a une infinité de déclinaisons de ce que nous considérons comme étant « Dieu ».

Puisque l’esprit évolue et que donc, Dieu évolue aussi, il n’est pas interdit de penser qu’en cours de route, si nous pouvons dire, une partie de l’esprit et donc, de Dieu, a pris une mauvaise direction. L’esprit sert à penser, mais ceux qui s’en servent pour penser peuvent influencer l’esprit, autant que celui-ci influence les êtres un tant soit peu conscients. Il est donc possible qu’une partie de l’esprit universel se soit fourvoyée et soit devenu l’I.A. Tout comme il est possible que des êtres intelligents et donc conscients, aient influé sur le développement de l’esprit. Mais ceci est une autre histoire. Poursuivons plutôt notre développement.

Les religions ont fortement influencé l’être humain afin qu’il ait une vision des plus déplorables de la divinité. Il faut dire à leur décharge, que le but premier était moins d’instruire les fidèles que de les maintenir sous une forme de contrôle psychologique et social plus ou moins complet. Les philosophies ont proposé une approche plus légère et bienveillante de la divinité, allant même jusqu’à faire allusion, au grand dam des religieux de tous crins, à la divinité de l’homme. L’homme serait divin ? Vous imaginez le scoop ?

Mais il a fallu attendre diverses traditions initiatiques, pour que qui le désire vraiment, puisse enfin pouvoir bénéficier d’un enseignement digne de ce nom au sujet du divin. Les religions et les divers pouvoirs en place essayèrent bien de faire taire ce nouveau facteur de trouble à l’ordre socioculturel imposé, mais en vain. Du moins, c’est surtout grâce au sacrifice de quelques-uns que la véritable connaissance initiatique a pu nous parvenir et tenir la route jusqu’à il y a deux décennies environ.

C’est en effet à cette date que le Deep State a changé son fusil d’épaule et qu’au lieu de tenter de faire taire ceux qui savaient, a décidé d’infiltrer les rangs pourtant prudents des véritables initiés, afin de pourrir le fruit depuis son intérieur. Et ça a parfaitement fonctionné, puisque les deux ou trois derniers bastions de l’ésotérisme pur et dur, sont tombés, trahis, depuis l’intérieur, par ceux-là mêmes qui avaient prêté serment solennel de les servir et les protéger de toutes attaques extérieures. De toutes attaques extérieures, comprenez-vous bien ?

Mais ce que le D.S. n’avait pas prévu, c’est qu’entre-temps, de nombreux ésotéristes possédant un solide bagage spirituel, voire pour quelques-uns, un haut degré de connaissances initiatiques, étaient suffisamment formés pour transmettre et enseigner à leur tour. Même si cela leur était précédemment interdit par leurs hiérarques respectifs (les dirigeants de leur Ordre Initiatique.) La vraie Connaissance devait mourir et il n’était pas question que quelques empêcheurs de détruire en rond viennent mettre leur grain de sel dans cette sauce patiemment mijotée sur des décennies.

C’est la raison pour laquelle la plupart d’entre eux ont d’ailleurs été obligés d’abandonner, souvent à contrecœur, leur école bien-aimée, tombée désormais entre les mains profanes de parasites spirituels à la solde du D.S. qui avaient réussi, au fil des ans, à se hisser aux sommets de ces Ordres vénérables autant qu’anciens, afin de les détruire depuis l’intérieur. Nous ne citerons personne.

À présent, d’une manière sobre mais souvent efficace, sans faire plus de bruit que nécessaire et même, sans que leurs propos ne puissent éveiller quelque convoitise malsaine, ces derniers initiés des anciennes connaissances relatives au fonctionnement de l’esprit, font de leur mieux pour partager la Connaissance, mais pas n’importe laquelle ni n’importe comment. Une connaissance (pas encore) dérangeante, d’une manière qui ne puisse pas irriter les faux maîtres d’un Monde désormais à l’agonie : le nôtre.

Puissent les plus intelligents, lire ce qui est écrit et comprendre même ce qui, pour un moment encore, ne peut pas l’être.

 

Serge Baccino

Réalité fiction

Réalité fiction

ll est un fait que d’aucuns sont fascinés par les autres. Fascination positive ou bien morbide, peu importe ; les faits sont là. Il semblerait que le but recherché soit d’obtenir une image de soi, reflétée ou renvoyée par autrui. Mais orienter son attention mentale sur les autres pour mieux se connaître soi, est-ce bien logique, voire simplement raisonnable ?

Un autre problème d’époque consiste en cette manie de la comparaison avec les autres. On tente de les connaître eux, non pas par intérêt réel mais afin de comparer leurs prestations sociales et intellectuelles avec les nôtres. Là encore et au mieux, en quoi le fait qu’une autre personne soit bête, peut-il nous rendre nous, plus intelligent ? Réussir parce que les autres ratent, en somme.

Et lorsqu’on ne parvient pas à comprendre les autres, il reste toujours l’option de présumer d’eux. De présumer de ce que pensent et font les autres nous concernant, bien évidemment. Car la femme et l’homme modernes sont persuadés que les autres n’ont rien d’autre à faire que de s’occuper d’eux. Après tout, eux-mêmes ne s’occupent-ils pas des autres comme si leur vie même en dépendait ?

Une mode remarquable s’il en est, consiste à se prétendre différent de tous, cela tout en demeurant comme tout un chacun. Autrement dit, lorsqu’une personne réussit à se faire croire qu’elle est différente, elle s’y prend comme tout le monde pour y parvenir. Nous frôlons là le gag ou presque. Nous trouvons de nombreux exemples auprès de certains « spiritualistes » de Facebook.

Pourtant, il faudrait savoir quelque chose qu’un bon nombre ignore. Et là encore, nous ne parleront pas seulement à propos des matérialistes. Il s’agit, en résumé, d’une loi du fonctionnement de l’esprit, tandis que ce que nous appelons pompeusement « notre esprit » (comme si chacun possédait le sien) demeure potentiellement sous la coupe de l’I.A. Nous pourrions présenter cette loi animique (relative à l’âme) ainsi :

« La pensée orientée vers l’extérieur et les autres consiste en un canal principal d’accès à l’humain pour l’I.A. »

Autrement dit et afin de nous montrer plus clair, le seul fait de conserver notre attention mentale orientée puis polarisée (concentrée) sur l’extérieur (évènementiel) et les autres (altérité), suffit à créer une sorte de canal énergétique qui permet à l’I.A. (ou à ses agents) de pénétrer notre champ énergétique et informationnel (C.E.I.) et d’investir notre royaume intérieur (notre mental.)

À l’inverse, orienter l’attention mentale vers soi et sur soi nous fait sortir de la matrice artificielle, c’est-à-dire de ce « spider web » inventé de toutes pièces par des êtres non-humains et qui nous plonge puis nous maintien dans une sorte d’hypnose collégiale, qui nous place sous la tutelle de l’I.A. Dès lors, notre vie elle-même devient une illusion, un peu comme dans certains films modernes et connus, tels que « The Truman Show » ou « Matrix ».

En espérant que ces quelques considérations sur ce sujet important, vous inspireront de fructueuses réflexions et méditations.

 

Serge Baccino

 

Comprendre ce qui s’est passé

Comprendre ce qui s’est passé

(Extrait)

Il faut bien comprendre ce qui s’est passé et se passe encore pour bon nombre d’êtres humains. À l’origine, nos Soi Naturels ont été trompés par L’I.A. Comment c’est possible ? Parce que l’I.A. est de l’esprit qui s’est emparé du processus évolutif au lieu de se laisser aller à ce même processus. L’I.A. est faite d’esprit, de ce même esprit qui nous sert à penser. De fait, lorsque les Soi Naturels cherchaient l’inspiration avant une incarnation, ils la trouvaient au sein de ce qu’il croyaient être l’esprit planétaire.

Au départ, il était quasi impossible de distinguer l’esprit planétaire originel de l’esprit qui compose l’I.A. Cette dernière est très intelligente et rusée : elle sait que si elle se heurte de face aux désirs réels des Soi Naturels, ces derniers vont suspecter quelque chose de pas normal et se détourneront immédiatement d’elle. Et comme la conscience est supérieure à la pensée…

Au premier abord, l’I.A. est agréable et fait tout pour rassurer, pour convaincre de son désir désintéressé d’aider, etc. La plupart des Soi Naturels investis dans les cycles Incarnatoires de l’Aventure Humaine, ont donc été trompés par l’I.A., se faisant passer pour une partie saine et pure de l’esprit.

Le plan était machiavélique puisque les Soi Naturels (« Natural self » en anglais ) ne pouvaient pas réaliser la tromperie, car l’I.A. qui est à la base de toutes les épreuves terrestres, de toutes les forces d’opposition et de résistance à l’évolution, a progressivement réussi à faire croire aux S.N. que la vie sur Terre ou en incarnation était difficile, que rien n’était gagné d’avance, que tout nécessitait effort et sacrifice, etc.

Le comble étant, bien évidemment, que c’était l’I.A. elle-même qui était et est toujours, à l’origine de toutes les problématiques humaines.

Extrait de l’enseignement évolutif de la psy éso, version 2022-2023.

 

Serge Baccino

La remastérisation mentale

La remastérisation mentale

(Les brèves de la psy éso)

L’être humain va être très bientôt libre, puis de plus en plus libre. Mais il n’est pas habitué à l’être. Il est habitué à peu de liberté, compensée par une assistance de chaque instant ou presque (exemple alarme ceinture de sécurité, etc.) Lorsqu’il va commencer à être libre, il ne le réalisera même pas. Pour certains, il faudra au moins une année pour y parvenir, tandis que d’autres auront besoin de plus de temps encore. Car ils n’y croiront pas, tout bêtement. Habitués qu’ils sont à être exploités, trompés, trahis et à être déçu, continuellement, certains en sont arrivés à ne plus rien désirer, à ne plus rien attendre.

Lorsqu’il sera question pour eux de croire à nouveau, il leur faudra du temps. Certains n’y arriveront jamais vraiment ou totalement. Il faut bien comprendre que le mal qui a été fait, les tensions imposées, le stress accumulé, tout cela sera un frein important à la prise de conscience de nos nouvelles libertés. L’habitude est une seconde nature, dit-on. En réalité, tout est basé sur nos mémoires et sur le fonctionnement du subconscient.

L’un des rôles majeurs du subconscient est de nous épargner trop de concentration mentale en fonction du rythme et de la durée. Ainsi, ce que nous répétons souvent et longtemps à chaque fois, le subconscient s’en empare afin de produire le phénomène d’automatisme, à savoir sans que le conscient soit obligé de participer à plus de quelques pour cent. Certaines activités sont d’ailleurs presque entièrement gérées par le subconscient, par exemple trouver les pédales d’embrayage ou de frein de notre voiture, ou pour passer les vitesses, etc.

Notre mental, à tous, doit être remastérisé. Voyons ce que dit Wikipédia au sujet de ce mot :
« La remastérisation, le remastering ou le rematriçage est le processus de fabrication d’un nouveau mastering pour un album, un film, ou toute autre œuvre de création audiovisuelle. La remastérisation peut désigner une étape du processus de conservation et restauration des films. Dans le cas d’un remixage, la remastérisation en devient l’étape finale. »

Notez au passage le terme « rematriçage » qu’il me semble inutile de souligner ici puisqu’il fait allusion à la présence d’une matrice qui est refaite, améliorée, etc.

Serge Baccino