Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Âme et engrammes

Âme et engrammes

(Les brèves de la psy éso)

Depuis tout jeune, nous avons du écouter, apprendre, retenir, restituer ce qui a été appris, plus ou moins accepté et, forcément, mémorisé, cela à cause de la durée et de l’intensité qu’il nous a fallu accorder à l’éducation, l’enseignement, etc.

C’est toujours l’âme, dans sa partie supérieure, qui tente de s’exprimer. Mais se faisant, elle doit passer par le corps. Or, ce corps n’est pas lié à l’âme mais à ce qu’il a appris à devenir, à être puis à exprimer de son mieux (interface sociale, « persona ».)

La personnalité révèle, par le corps, tous les engrammes issus de l’enfance. Ce qui est alors exprimé est relatif à tout ce qui n’est pas nous ou, au mieux, à un mix du plus mauvais effet.

Au travers de cette interface fausse, ce n’est pas l’âme qui s’exprime mais la personnification de l’être, lente et graduelle, avec ce qu’on lui a appris qu’il était, ce que l’on a réussi à lui faire croire qu’il devait être, etc. La vraie interface devrait être entre l’âme et le corps, une fois ce dernier débarrassé de ses engrammes.

Lorsque l’âme commence à être libérée, elle cherche compulsivement à s’exprimer et son forcing est ce qui provoque toutes ces maladies de l’âme, comme on dit (ou spirituelles.)

 

Serge Baccino

 

Les choses vont changer et nous ?

Les choses vont changer : et nous ?

Il est un fait indéniable, c’est que les choses sont en train de changer. L’Ancien Monde va disparaître, au profit d’un Monde Nouveau qui, pour le moment, tend à se faire désirer, du seul fait que l’ancien Monde peine à lâcher prise. Ou plus exactement, ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ancien perdure, ont toutes les peines du monde à laisser la place à tout ce qui désire s’exprimer à leur place.

Ce que nous avons toujours connu, ce à quoi nous avons fini par nous habituer et ce que nous avons appris à aimer, voire à défendre et qui n’était pas le bien ou le bon pour tous, va évoluer puis changer radicalement. Et cela, malgré une force de résistance et d’opposition encore bien implantée sur cette planète. Le tout est que nous acceptions d’en faire autant, c’est-à-dire accepter d’évoluer, sans opposer de résistance. La résistance nourrit l’ennemi.

Nous passons actuellement par l’action de la 4D pour accéder à la 5D. La 5D est un Nouveau Monde, un plan de conscience, au même titre que la 3D l’a été jusqu’à présent. La 4D est la signature vibratoire de toute chose. Ce n’est pas un niveau ou plan, comme la 3D et la 5D, mais un passage obligatoire d’un plan de conscience général à un autre, qu’il soit plus haut ou plus bas.

La 4D est intimement liée au plan éthérique ou vital. C’est ce dernier qui donne la Force à des formes mentales voire à tout un Monde, de grimper en fréquence, de passer d’une note de la gamme à une autre, généralement située juste au-dessus. C’est aussi une base de données en termes de Mémoires, car pour passer d’une condition mentale à une autre, il faut, au préalable, que la première condition soit mémorisée, afin que la seconde en découle librement mais sans reproduire les mêmes séquences animiques (vivre selon les mêmes critères mentaux.)

D‘un plan à un autre, par exemple de la 3D à la 5D et de la 5D à la 6D, nous ne trouvons pas nécessairement de pôles opposés. Par exemple, nous ne passons pas nécessairement d’une condition à sa condition opposée, soit et toujours pour exemple, d’un monde de souffrance à un monde de plaisir. Puisqu’il y a progression, d’une dimension à une autre, l’évolution se veut également progressive.

Il n’y a pas de changements radicaux au point que les entités humaines ne soient pas capables de s’adapter ou que cela leur fasse un trop gros choc. Lorsque certains parlent du choc consécutif au passage de la 3D à la 5D, ils font surtout allusion aux prises de conscience nécessaires qui permettront à l’humain d’abandonner sans regrets inutiles, leur ancien mode de vie. Et ce lâcher-prise sera favorisé, si l’on peut dire, par toutes les révélations concernant certaines horreurs commises et vécues au sein de la 3D.

En clair, les gens ne seront pas choqués d’apprendre à quel point ils pourront désormais être heureux, mais bien à quel point ils ont été malheureux sans même le réaliser. Et ils devront apprendre tout ce qui se tramait sous leur nez et à leur barbe, tandis qu’ils avaient choisi, comme beaucoup, de vivre dans une sorte de confort mental duquel doit absolument être banni tout ce qui pourrait déranger une quiétude mentale considérée comme mérité puis acquise.

 

Serge Baccino

Chakra et potentiel humain

Chakra et potentiel humain

(Extrait.)

( Note : les mots sanskrits tels que Chakra, Karma et Nadi, par exemple, sont écrit sans  » S  » même au pluriel, en psy éso.)

Un Chakra consiste en le rayonnement localisé d’une activité énergétique interne. Cette activité se présente sous la forme (invisible à l’œil) de milliers de circuits énergétiques (Nadi, en sanskrit) qui se croisent en certains endroits du corps. Plus les croisements en un point sont nombreux, plus ce point rayonne avec plus ou moins de force. Ces croisements donnent naissance à ce que l’on nomme « un Chakra. » La qualité du rayonnement ainsi que sa force dépendent exclusivement de la qualité du flux énergétique (force vitale) circulant dans les Nadi. Et cette qualité ainsi que cette force dépendent des informations (conditionnements mentaux) que charrie l’énergie vitale.

Moins une personne est conditionnée, moins il y a de « Mémoires Karmiques » qui se trouvent mêlées au flux énergétique, et moins ce dernier est encombré et donc, ralenti. À l’inverse, plus une personne est conditionnée, plus il y a de « Mémoires Karmiques » et plus le flux vital est ralenti, car encombré. Les Mémoires Karmiques consistent en des manières de penser, de ressentir et donc, de réagir qui nous ont impactées et qui ont créé des habitudes mentales.

En clair, la personne pense, sent et réagit toujours de la même façon, se créant pour elle-même et par elle-même, un vécu plus ou moins agréable. Ce qui consiste en le vrai « karma. » Une fois que ces Mémoires sont définitivement acceptées (« Je suis ceci » ou « Je suis cela »), elles peuvent alors être « engrammées » (s’incruster) au sein des cellules du corps physique. Mais c’est le corps vital qui contient et charrie les Mémoires, avant de les transmettre aux cellules. Après la mort du corps de chair, ces mémoires sont transférées au Causal.

Il existe des Chakra mineurs, secondaires et majeurs. Les Chakra mineurs se retrouvent, par exemple, aux articulations (pliures coude, poignets, genoux, etc.) et les secondaires, au niveau de certains plexus nerveux ainsi que des organes importants, tels que le foie, la rate, etc. Quatre croisements de Nadi forment un Chakra (ou Centre de Force) mineur. Huit croisements forment un Chakra secondaire (rate, estomac, plexus cardiaque, etc.) Enfin, de douze à vingt-quatre croisements de Nadi forment un Chakra Majeur, tel que le Centre Solaire, troisième en montant, nommé « Manipura Chakra » en sanskrit, ce qui signifie « le Gemme Flamboyant. »

Ceux qui nous intéressent présentement, dans cette courte introduction, sont les Chakra (ou Centres de Force) Majeurs, qui s’échelonnent sur l’axe vertical du corps et qui présentent une double polarité (+ et — / nord et sud). Leur pôle positif (ou « pôle Sud ») se situe sur l’axe vertébral. Chaque pôle « Sud » consiste en un point d’énergie focalisée, enchâssé dans la moelle épinière, tandis que chaque pôle négatif ou « pôle Nord » se situe sur le devant du corps, plus ou moins à hauteur d’une glande endocrine ou d’un plexus majeur (tel que le plexus solaire ou cardiaque.)

Nos glandes endocrines (telles que la thyroïde ou le pancréas, par exemple) sont une forme évoluée de « densification » des énergies spirituelles et des énergies vitales. Les plus éminents endocrinologues (lire à ce propos l’excellent ouvrage du Dr W. Kapp, « Les glandes, nos invisibles gardiennes ») affirment que « Nous sommes ce que sont nos glandes, qui sont nos invisibles gardiennes. » Et ces mêmes glandes doivent la qualité et la force de leur fonctionnement, à la qualité et à la force du flux énergétique au sein des Nadi, qui eux-mêmes sont sous la tutelle quasi-totale de la présence ou de l’absence de conditionnements mentaux. Être sain de corps et d’esprit et surtout, être évolué, spirituellement (conscient et libre) dépend donc de ce qui encombre et ralenti le fonctionnement de nos Chakra.

(Fin de l’extrait.)

 

Serge Baccino

Sur la Matrice et les dimensions

Sur la Matrice et les dimensions

(Extrait de l’enseignement de la psy éso.)

La matrice la plus contraignante et limitative est la 3eme Dimension, qui correspond au niveau de conscience du 3eme Centre énergétique (Manipura Chakra) et donc, à l’animalité de l’être, à sa partie instinctive, fondée sur les émotions les plus débilitantes (peur, doutes, jalousie, haine, etc.) et sur l’intellect le plus conditionné.

Chaque niveau de conscience ou Chakra, plan ou Monde, consiste en une matrice. Toute la Création Continue est matricielle. Tous les niveaux de conscience, toutes les dimensions, consistent en des matrices successives qui offrent simplement de plus en plus de liberté et de pouvoir à l’être conscient (le Soi.)

Une matrice, quelle qu’elle soit, est toujours de nature mentale. Elle est créée en esprit et dans le mental. Le rôle des forces de Résistance et d’Opposition (Forces de l’Ombre et Forces de l’Axe) est essentiellement de nous maintenir dans la 3D (ou ignorance spirituelle) ou, à tout le moins, dans la 4D, qui est comme une sorte de plan mental intermédiaire, et non un plan de conscience à proprement parler et dans lequel (ou depuis lequel) nous pouvons avoir la vie, le mouvement et l’être, comme disaient les anciens ésotéristes. En clair, personne ne vit dans ou depuis la 4D.

Les dimensions ne s’ajoutent pas au fur et à mesure ni ne se construisent en fonction de notre propre évolution : toutes les dimensions existent déjà, en simultané. Elles ne sont pas non plus étagées, à savoir les unes au-dessus des autres, mais se manifestent plutôt en mode surface, les unes à côté des autres, se chevauchant plus ou moins selon une trame subtile et très réactive, variant quelque peu en fréquence, au rythme de celles et de ceux qui s’y branchent et s’y produisent, plus ou moins longtemps, du moins si on se base sur notre manière humaine de mesurer  » le temps.  »

Nous ne devons pas attendre d’atteindre la 5D puisque cette dernière participe déjà de notre Nature intrinsèque. Vouloir l’atteindre reviendrait à vouloir atteindre notre 5eme Chakra, ou bien notre main gauche, par exemple. La 5D, ou ce qui est désigné par ce vocable moderne, est déjà  » en place  » et ne demande qu’à être débloqué, à rendre manifeste son potentiel, pour être plus précis.

En fait, si nous retirons, de notre plan mental usuel (niveau Chakra 4) tout ce qui l’encombre, le bloque ou simplement, conditionne son expression, nous passons tranquillement de la 4D à la 5D, en quittant définitivement le mode très limité d’expression, mentale et émotionnelle, de la 3D, soit du 3eme Chakra, évoqué plus haut.

(Fin de l’extrait.)

Serge Baccino

 

Mémoires et discernement

Mémoires et discernement

Tout est double : le sujet de la mémoire ne peut donc pas y échapper. Il existe deux formes de mémoires : celle relative à l’esprit de Dieu et celle relative à « l’esprit de l’homme. » Ou si vous préférez, il existe la Mémoire générale et impersonnelle de l’univers (ou du Tout Esprit) et il existe cette partie de l’esprit qui est impliquée dans l’Aventure Humaine.

En clair, la polarité « A » de chaque particule d’esprit, mémorise tout et définitivement. Cette mémoire-là étant celle de Dieu et consistant en son expérience propre, elle est ineffaçable. La polarité « B » de chaque particule d’esprit forme ce que l’on nomme « notre mémoire » (ou « mon esprit ») : C’est cette partie de la Mémoire globale de l’esprit divin qui est « effaçable. »

En réalité, on ne doit rien effacer mais remplacer une idée par une autre, nous convenant mieux, ponctuellement ou même définitivement (pour une vie terrestre, par exemple.) Si on se contente d’effacer, voire simplement « d’oublier », cela engendre un déséquilibre polaire au sein de l’esprit.

Évidemment, celui qui use de cette partie de l’esprit du Tout se sentira déséquilibré. S’il persiste dans cette façon de réagir en violation de la Loi, il deviendra mentalement déséquilibré, voire pire. Nous devons donc REMPLACER une version mentale mémorisée, par une autre, soit meilleure, ponctuellement, soit carrément (et au mieux) opposée et complémentaire.

Exemple : nous pensons que nous avons manqué d’intelligence (ou autre) à un moment précis de notre passé. Nous réalisons brusquement que nous sommes en train de commettre une grossière erreur de jugement, car nous jugeons un acte posé sans en connaître les finalités, APRÈS en avoir connu les mêmes finalités (en connaissant les résultats et après coup.) Ce qui consiste non pas en un manque d’intelligence mais en un manque de discernement.

Le discernement arrivant avec l’expérience, cette expérience-là contribue donc à notre discernement futur. L’erreur est donc réparée, l’idée première remplacée par l’idée seconde, preuve s’il en est d’intelligence ! Une autre solution de remplacement durable, celle-là, est de prendre conscience qu’on ne peut jamais connaître les effets d’une cause avant que les deux n’aient pu avoir le temps linéaire de se concrétiser et nous, de les vivre.

En clair, nul ne peut savoir ce que va donner un acte quelconque avant qu’il ne porte ses fruits. Cette « loi secondaire » permet alors de ne plus se sentir bête en se souvenant d’actes passés alors que nous ne pouvions pas encore en mesurer les conséquences. Les divers interdits de l’enfance l’ont poussé à insister, à tenter de convaincre. Insister et convaincre devient donc un gage de réussite, de paix, de plaisir, de sécurité, etc.

Dans les familles nombreuses, les enfants apprennent très tôt à se lier ou même a se liguer pour réussir à convaincre les parents. D’où cette habitude de croire, plus tard, qu’à plusieurs, on est plus sûr de gagner, etc. A noter que sur Fb, on retrouve ce besoin de convaincre les autres, « pour les aider ou les instruire », alors que le seul besoin en présence est de se rassurer en créant des émules, des personnes partageant notre propre état d’esprit. Penser la même chose et à plusieurs est rassurant pour celles et ceux incapables de penser d’une manière autonome.

 

Serge Baccino

Ou il est question d’Inconscient Collectif

Où il est question d’Inconscient Collectif

Voici une question qui nous paraît intéressante : pourquoi est-il si difficile de changer ou même de seulement évoluer, pour une personne lambda ? Nous pourrions tout aussi bien demander pourquoi il y a des personnes qui se soucient de leur évolution comme de leur première paire de chaussettes, le résultat serait le même, car la cause est identique. Voici la réponse : parce que les gens, tous les gens, ne peuvent pas faire autrement que de penser, d’avoir des processus mentaux et que ces derniers sont tous puisés au sein de l’Inconscient Collectif (ou I.C. pour faire plus court.)

Cela dit, même si l’I.C. contient la somme des processus mentaux issus de l’esprit planétaire et utilisable par les autres humains, il existe tout de même plusieurs niveaux d’activités mentales, plusieurs « couches », pourrions-nous dire, ceci afin d’expliquer les différences entre les êtres. En effet, tandis que celui-ci présente des processus mentaux d’une grande élévation morale, en relation avec la qualité de ses actes, celui-là pense comme un charretier et est capable des plus viles bassesses. Ici, pour simplifier s’entend.

Dès lors, notre question pourrait gagner en précision si nous demandions plutôt pourquoi ceux qui se situent à un niveau mental relativement bas, ont tant de mal à s’extraire de la zone psychologique qu’ils occupent au sein de l’un des niveaux inférieurs de l’I.C. Présentée ainsi, cette question partirait d’une prémisse facilement vérifiable, en tout temps et sur la plupart des gens, que ces derniers stagnent véritablement sur l’un quelconque des niveaux ou des couches de l’Inconscient Collectif ou I.C. Qu’est-ce qui les empêche d’évoluer ? Ou, devrions-nous dire, qu’est-ce qui les empêche de réaliser qu’il serait urgent pour eux et pour autrui, qu’il le fasse (d’évoluer enfin) ?

Pour le comprendre, il faut tout d’abord être informé du fonctionnement de l’I.C. Ce dernier fonctionne selon ce que nous pourrions appeler de « l’autosuffisance » énergétique et informationnelle. Ce qui signifie que l’I.C. reçoit autant qu’il donne, ce qui lui permet de plus recevoir encore, en terme d’informations et d’énergie. Par exemple, une personne qui serait branchée mentalement sur les premières couches de l’I.C. ne s’intéresserait qu’à elle et refuserait de dépenser la moindre goutte d’énergie pour venir en aide à autrui. Elle tire cet état d’esprit de l’un des contenu formel de l’I.C. et comme la personne est en accord avec cet état d’esprit, elle cautionne puis renforce la programmation, lui apportant plus d’énergie encore (ou de vitalité.)

En retour, l’I.C. va convaincre la personne du bien-fondé de son état d’esprit, ce qui alimentera encore plus cette même façon de penser au sein de cette couche de l’I.C., et ainsi de suite. Nous avons-là un superbe cercle vicieux autogène, ce qui est une autre manière de nommer l’autosuffisance évoquée plus haut. Il a été question, à une époque, de juger de la qualité morale et psychologique d’une personne au fait qu’elle est plus ou moins adaptée à son milieu. Et par extension, la personne est de ce fait réputée être aussi bien adaptée à sa situation géographique, à son époque, à son ethnie et à la société dans laquelle elle évolue. Ou est censée évoluer !

Or, il nous paraît un brin suspect de parler d’évolution, tout en arguant du fait qu’une personne devrait être parfaitement adaptée, ne serait-ce que socialement parlant. Le fait même de considérer une personne comme étant « adaptée » lui interdit, justement, d’évoluer vraiment. Si elle évolue, c’est au sein ou dans le cadre limité d’une société dont le principal souci semble vouloir limiter le niveau de conscience et donc, d’intelligence de ses représentants.

Être parfaitement intégré, aligné ou en harmonie avec la société actuelle et donc, avec un seul et unique niveau de fréquence mentale au sein de l’I.C., est assurément un signe de mauvaise santé mentale. Certain spiritualiste l’ont fort judicieusement compris et exprimé. C’est d’ailleurs cette quasi-impossibilité d’évoluer, en passant d’un niveau fréquentiel de l’I.C. à un autre, lui étant supérieur, qui a donné l’idée, à quelques-uns, de chercher des moyens de s’extraire de ces niveaux inférieurs de conscience mentale. Autrement dit et selon l’enseignement de la psy éso, de conscience par soi. ( note : conscience relative aux processus mentaux qui sont les nôtres.)

L‘une de ces « techniques » plus ou moins heureuses, consiste à tout faire pour tenter de se démarquer du reste du troupeau. Ce peut être par le biais d’habillements ou de coiffures sortant de l’ordinaire (au mieux) ou de tout autre artifice extérieur tendant à affirmer une éventuelle différence.  Hélas, ceci attire l’attention mais ne produit pas, loin s’en faut, de réelle différences. Si différence il doit y avoir, celles-ci ne peuvent être que MENTALES, et non s’appuyer uniquement sur des actes extérieurs.

Ce qu’ignorent ces infortunées personnes désirant se distinguer de la masse, c’est que L’I.C. contient déjà toutes les idées et formules permettant censément de « se distinguer ». En somme, le contenu de l’I.C. autorise l’âme humaine à se distinguer… Comme les autres ! (Ou dans les limites connues, si vous préférez.) Ajoutons qu’une personne passe inaperçue lorsqu’elle se trouve parfaitement alignée avec les ondes magnétiques de l’I.C. C’est un peu comme si elle se tenait en son centre et ne présentait aucune différence de potentiel (DDP) entre son propre état d’esprit et ce que propose le niveau auquel elle est intimement reliée.

Lorsqu’une personne cherche vraiment l’originalité, c’est comme si elle se décalait d’un côté ou de l’autre du cercle fermé de l’I.C. (ou encore en haut, ou en bas, etc.) Mais lorsqu’une personne s’approche trop de la lisière énergétique et informationnelle, l’I.C. réagit, et ce sous la forme concrète de l’un quelconque de nos amis ou proches parents, afin de tenter de nous ramener « à la raison » (ou « dans le cercle ») le plus vite possible. Pour l’I.C., passer la limite, c’est perdre le moyen d’informer une personne de ce qu’elle doit être, faire, dire, etc. C’est perdre tout pouvoir sur elle et donc, perdre de l’énergie.

 

Serge Baccino