Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Pourquoi les plans

Pourquoi les Plans de Conscience ?

 

Pourquoi les Plans de Conscience, ces niveaux d’existence mentale de l’Après-Vie sur Terre ? Existeraient-ils sans l’humanité ? Non ! C’est l’humanité qui forme et qui maintient la présence de la plupart des plans invisibles sur lesquels nous allons après « la mort. » Les émotions négatives niées, refoulées, forment les sous-plans astraux inférieurs, qu’il nous faudra bien vivre et donc assumer, tôt ou tard. Les émotions « ordinaires » forment l’astral moyen, aussi insipide que ce que nous ressentions, de notre vivant dans la chair, sur Terre.

 

Les émotions « supérieures », celles auxquelles nous tenons tant, forment les deux derniers sous-plans astraux. Et il sera aussi difficile, après cette vie incarnée, de « nous en extraire », que durant cette vie incarnée, de nous en détacher. Les pensées les plus négatives forment les sous-plans mentaux inférieurs. Idées, pensées que nous refusons d’admettre et donc, d’assumer. Nous devrons le faire après cette vie, comme pour les émotions. Les pensées « ordinaires » nous maintiendront, après cette vie, dans des sphères mentales médiocres qu’il nous faudra apprendre à dépasser, puisque nous ne l’avons pas fait durant notre séjour sur Terre.

 

Les pensées dites « positives », celles que l’être humain affectionne tant, seront elles aussi difficiles à dépasser, lorsque l’on se retrouvera dans les sous-couches du mental supérieur. Seules les prises de conscience dûment acceptées, reconnues, nous permettront de nous propulser au-delà des plans astraux et mentaux, quels qu’ils soient, pour nous retrouver sur un niveau de conscience intermédiaire, nommé, dans certaines traditions « Le Pays de la Lumière Dorée. » Il s’agit ici et pour ceux qui connaissent, du Plan Bouddhique de certaines philosophies Orientales.

 

Il nous restera alors à faire un dernier effort pour atteindre « l’étage au-dessus », nous permettant de n’avoir que notre conscience pour « paysage », ambiance ou environnement spirituel. Conclusion : les différents Plans et sous-plans des Mondes de l’Au-Delà, ne peuvent se manifester que du fait que l’être humain est divisé dans sa conscience. 

 

Ce sont ces mêmes divisions qui forment les fameux « Plans » de Conscience, à savoir qu’à cause d’eux, la conscience ne sait que fonctionner à partir d’un environnement mental (idées préconçues) et d’ambiances astrales déterminées. C’est la personnalité qui forme les plans. Une individualité n’étant plus « divisible » par nature, elle n’est donc plus divisée : sa conscience fonctionne sans supports mentaux et astraux spécifiques ou durables. 

 

Si nous voulons vraiment sortir de nos limites ou les dépasser, nous devons abandonner cette habitude de penser et donc, de ressentir, à la moindre occasion, au moindre évènement, face à la moindre personne. Bien et mal ne sont que de simples points de vues, et ce sont ces mêmes points de vues qui nous positionnent (géolocalisent) ici plutôt que là, et inversement.

De l’Autre-Côté, ce sont nos processus mentaux (pensées/idées/croyances) ainsi que nos états d’âme (émotions, sentiments) qui décident de ces lieux de l’esprit dans lesquels nous séjourneront après la mort du corps physique.

 

Enfin, la polarisation est l’art de parler du bien en se situant du côté du mal, et vice-versa. Pourquoi ? Parce que pour parler du bien, pour le voir, il faut ne pas être sur ce pôle mais observer le pôle bien, depuis son opposé, le pôle mal. Ainsi, voir, c’est se positionner en sens inverse de ce qui est vu. Avis à celles et ceux qui adorent parler d’amour ou expliquent aux autres qu’ils doivent être « dans le cœur. »

 

Serge Baccino

 

Perte de confiance en soi

Origine de la perte de confiance en soi

 

De nombreuses personnes adultes doutent d’elles-mêmes, manquent singulièrement de confiance en elles. Mais d’où provient cette carence non négligeable qui frappe tant de personnes à notre époque ? D’où provient son origine ? La psy éso (psychologie ésotérique) propose une réponse qui à cet avantage de pouvoir être vérifiée et qu’il s’avère difficile d’éluder d’un simple revers de main.

 

Durant notre prime enfance, il nous fallait non seulement placer notre confiance en nos parents, voire en les adultes en général mais nous devions également, et dans une large mesure, au vu de notre jeune âge, répondre bien plus à leurs attentes qu’aux nôtres. En effet, comment faire obéir un enfant et lui inculquer un minimum de discipline, si ce dernier n’a aucune confiance en ses parents ? De même, comment l’instruire si l’enfant scolarisé, n’a aucune confiance en ses enseignants ?

 

Ajoutons  » pour faire bon poids  » (comme disaient les épiciers jadis) que bien souvent, la confiance est avantageusement replacée par un respect plus ou moins forcé, pour ne pas dire par une forme ou une autre de terrorisme psychologique. Qui oserait nier, en 2023, que les adultes n’impressionnent pas au moins les enfants ? Qu’ils ne marchandent pas avec eux au mieux, leur laissant penser que pour obtenir une chose désirable et donc naturellement désirée, il faut, au préalable, satisfaire les attentes (plus ou moins légitimes) d’autrui ?

 

Soyons plus précis : qui oserait nier le fait évident que la plupart des parents manipulent leurs gosses en arguant du fait que  » c’est pour son bien, il nous remerciera plus tard «  ? Il est humain (et non normal) de se donner bonne conscience quand on réalise, impuissant, qu’un enfant est très difficile à éduquer et qu’il n’en fait qu’à sa tête. Mais ceci n’empêche pas cela et reconnaître les faits pourtant évidents, serait un moyen d’expliquer, plus tard et à l’enfant, que ses parents n’avaient pas trouvé d’autres solutions. Ce qui est exact.

 

Mais à ce propos, que peut-il advenir lorsqu’un enfant possédant déjà un caractère bien trempé, est élevé puis éduqué… De force ? Car il s’agit alors bien de cela, à n’en pas douter. Et le fait d’argumenter et de se réfugier derrière les écrits de psychologues de supermarché en mal de reconnaissance des parents (les enfants n’achètent pas de livres ni ne vont à des stages) n’y changera rien. En matière d’enfance et de correcte éducation, il ne peut y avoir de compromis qui ne soit pas facturable, plus tard, à un enfant devenu adulte.

 

Partant, comment un adulte pourrait-il avoir confiance en lui, alors qu’on lui a fait sentir, son enfance durant, que sont avis, ses idées, ses ressentis et en un mot, tout ce qui aurait pu le caractériser et lui permettre de s’apprécier vraiment, avait moins d’importance que l’avis, les idées et les ressentis de ses parents et éducateurs ? Dans quelle mesure l’enfant devenu adulte, peut-il se fier à lui-même, en toutes matières, alors que PERSONNE,  pas même sa famille, ne lui a permis de le faire ? De quel degré d’habitude, réputée être une seconde nature, peut-il bénéficier ?

 

Certains s’écriront, indignés :  » Mais comment faire autrement que de se montrer plus ou moins sévère pour acquérir ce niveau de respect nécessaire à une correcte éducation ? «  La question est bien moins de connaître  » d’autres méthodes  » que de comprendre que le seul et véritable problème provient d’une mauvaise foi évidente de la part des parents, qui place l’enfant devenu adulte dans une situation des plus inconfortables, alternant besoin de faire des reproches aux parents et sentiment de culpabilité qui en résulterait, face à leur refus d’assumer leurs torts présumés.

 

Nous pourrions par exemple, et ici je m’adresse aux parents ouverts d’esprit et qui aiment  » pour de vrai  » leurs enfants, quel que soit leur âge actuel, avoir une discussion avec eux et leur expliquer qu’au vu des limitations propres à l’esprit humain et aux exigences sociales plus ou moins imposées, il n’était pas possible, à l’époque, de fournir une autre forme d’éducation que celle usuelle et reconnue pour seule valable par ceux qui décident de tout et pour les autres.

 

En somme, puisque les parents se sont sentis obligés d’éduquer leurs enfants selon les normes en place, leur responsabilité est en partie dégagée et personne n’a plus à culpabiliser ou à craindre d’être jugé, voire rejeté sans appel. Mais attention ! Il ne s’agit absolument pas de chercher à se dédouaner en rejetant toute la faute sur la société et ses exigences ! Il est plutôt question de s’avouer puis d’avouer à l’ex-enfant qu’il aurait fallu fournir des efforts surhumains pour agir autrement en ce domaine. Et surhumain, ni un enfant ni même un adulte ne peuvent l’être.

 

Lorsqu’il n’est pas possible d’agir autrement, on peut considérer que l’action est réputée raisonnable et ne doit donc pas être jugée avec sévérité. Il est alors possible que les enfants devenus adultes puissent trouver en eux assez de bon sens pour ne plus en vouloir à leurs parents, d’autant que ce genre de discussion à cœur ouvert permet bien souvent aux descendants de réfléchir à leur propre responsabilité engagée vis-à-vis de leurs éventuels enfants.

En espérant que ces propos, loin de se vouloir culpabilisants, offriront à quelques-uns l’espoir de renouer enfin avec certains membres de leur famille qui leur en veulent depuis l’enfance.

 

Serge Baccino

 

N’être responsable de rien

N’être responsable de rien

N’être responsable que de soi signifie que l’on a de pouvoir que sur soi. La responsabilité marche toujours de pair avec le pouvoir. Nous n’avons aucun pouvoir sur les évènements présents ou sur les autres. De fait, mieux vaut non pas « se résigner » mais comprendre enfin qu’il ne sert à rien de chercher à maîtriser les différentes situations. Si on tente tout de même de le faire, on ne peut que se rendre malade inutilement. Mieux vaut initialiser de nouveaux évènements, cela en ayant le bon état d’esprit, celui qui affirme ce que l’on désire, plutôt que celui de nier l’existence de celui qu’on ne désire pas mais qui s’est produit tout de même.

Pourquoi nous ne pouvons rien faire dans le cas d’évènements présents mais qui nous déplaisent, nous contrarient ou nous mettent dans tous nos états ? La réponse est très simple et on ne peut plus logique : parce que les évènements qui se produisent maintenant, appartiennent au passé, à ce qui a déjà été créé et qui ne peut donc plus être changé. Les anciens appelaient cela « Le Karma présent, issu des processus mentaux du passé. »

Pourquoi nous ne pouvons rien faire dans le cas d’autres personnes dont les actes nous déplaisent, par exemple ? La réponse est encore plus simple : parce que n’étant pas maîtres de leur propre esprit, ce que ce dernier produit (processus mentaux) est toujours hasardeux voire déplorable. Tout d’abord pour eux, même si cela ne nous apparaît pas sur le moment, et ensuite seulement pour les autres.

En plus, pour eux aussi, les écrits, les paroles ou les actes, appartiennent au passé, lorsqu’ils ont subi des processus mentaux inconscients ou presque. Mais alors, que devons-nous faire ? Comment devons-nous réagir ? Il n’y a rien que nous puissions faire, aucune action n’est envisageable, une fois l’évènement ou l’acte produit ou posé.

Mais peut-on obtenir une action indirecte sur les évènements futurs et sur les autres, également dans le futur ? Oui, en nous rendant maître de notre esprit dès à présent, ceci afin que notre futur ne reproduise pas sempiternellement les Mémoires du passé. Il faut apprendre à penser autrement, différemment.

Si nous mettons de l’ordre dans notre esprit, cela aura une influence indirecte mais notoire, sur les évènements ultérieurs et sur les autres. Avec le temps, nous pourrons voir notre vie devenir plus calme et agréable. Tout le secret réside dans le fait que pour changer ce que nous créons (pensées) ou attirons (schémas mentaux), nous devons changer préalablement d’état d’esprit général ou au moins et en partie, réviser à la hausse la qualité de nos processus mentaux les plus usuels. Car ce sont ces derniers qui produisent ou attirent la plupart de nos problèmes.

 

Serge Baccino

Comprendre avec le ventre

Comprendre avec le ventre

Depuis l’enfance nous sommes confrontés au mensonge, à la duplicité et à l’incompétence des adultes à tenir leurs engagements et à se montrer vraiment attentifs et efficaces envers nous. De très nombreuses fois, nous avons senti que l’on nous mentait ou que l’on essayait de nous manipuler et en un mot, que l’on faisait tout le possible pour réussir à abuser de notre inexpérience et de notre naïveté. Le pire étant que, la plupart du temps, c’était censé « être pour notre bien » et qu’« on les remercierait plus tard » !

Cette façon de se comporter envers nous, encore très jeunes enfants, perturbait grandement nos facultés mentales. Et ne comprenant pas ce qui se passait vraiment, nous avons graduellement appris à ne pas tenir compte puis finalement, à « ne pas voir ». Cela de peur d’être dans l’impossibilité de traiter des informations contradictoires (« Je prétends t’aimer mais je trahis ta confiance. »)

À force d’être habitué à ce réflexe de ne pas voir, de faire mine que tout va bien, de « positiver », comme disent ceux qui se trahissent plus souvent que les autres, nous avons fini par ne plus voir du tout ce qui se passait vraiment autour de nous. La peur d’affronter des vérités ressenties comme étant déstabilisantes, nous a mis dans l’obligation de n’accepter et donc, de ne comprendre que ce qui ne mettait pas en péril notre (déjà fragile) équilibre mental.

Depuis ce temps, et alors que nous sommes rendus à l’âge adulte, il existe des choses que nous préférons ne pas comprendre, alors qu’une partie de nous l’a pourtant très bien compris. Le Maître de Galilée a dit : « Si je me tais, les pierres parleront… » Ici, il est moins question d’un homme que du Soi, de la conscience en soi de tout être humain, quel qu’il soit. Si nous refusons de mentaliser une information, nous commettons l’erreur de priver la conscience de cette même information.

Or, cela n’est pas possible. Cela viole une loi du fonctionnement de l’esprit. Ainsi, si la tête refuse d’assimiler une info, d’en tenir compte, de s’en pénétrer et donc, « de s’en nourrir », alors quelque chose d’autre le fera à sa place, une partie spécifique du corps humain (Pierre, Petrus, Pétra.)

Il existe une ancienne sentence ésotérique très peu connue qui, une fois remise au goût du jour, dit à peu près ceci : « Ce que tu refuses de comprendre avec la tête, tu t’en nourriras avec les intestins. » Le but étant d’assimiler, si ce ne sont pas les circonvolutions du cerveau qui « digèrent » l’information, ce seront celles des intestins, dont les formes évoquent assez fidèlement celles du cerveau. D’ailleurs, les intestins sont parfois considérés comme étant notre « cerveau somatique. »

Et puisque les infos dont nous refusons sans doute encore et toujours de tenir compte sont essentiellement négatives, voire « indigestes » (notez le mot), il est facile d’imaginer ce que nous imposons à nos intestins en refusant de regarder la réalité en face !

Pour le cerveau et/ou pour l’esprit, il n’existe aucune différence entre le fait d’assimiler une leçon et celui d’assimiler un bon repas. Ou un repas indigeste ! De fait, à la nourriture physique que nous ingurgitons, se mêlent étroitement des informations refoulées d’une nature très négative, voire destructrice.

Pas étonnant, partant, que nous soyons toujours en combat contre nous-mêmes. On parle parfois de « luttes intestines », et il faut prendre cette expression très au sérieux. Les intestins sont le foyer de guerres terribles entre les idées de bien et les idées de mal, en somme. En notre sein, une partie de nous en combat une autre en permanence. Ou presque.

Saint Augustin disait d’ailleurs « Or, ce combat au fond de mon cœur n’était qu’un combat de moi-même contre moi-même. » Ici, le « cœur » n’est pas à prendre dans le sens de zone de la poitrine mais bien dans celui de « au cœur de l’être humain. » Et ce « cœur » se situe un peu plus bas que l’étage du muscle cardiaque, plus spécialement au niveau des intestins. Voilà peut-être de quoi méditer un peu sur cet intéressant sujet.

Serge Baccino

Quand les démons sont désœuvrés

Quand les démons sont désœuvrés.

Depuis que les plus hauts dirigeants des Forces de l’Axe, des Forces de l’Ombre, voire du Deep State, sur Terre, sont mis à mal, leurs agents exécutifs préférés, à savoir les démons, se retrouvent désœuvrés, car leurs mentors ne leur donnent plus aucunes directives. Et un démon sans directives ne peut, au mieux, que retourner à ses premières amours qui, et pour mémoire, consistent à pomper inlassablement l’énergie vitale à tout être vivant et (plus ou moins) conscient.

Ainsi, nous trouvons et par exemple, de plus en plus d’êtres humains affaiblis par le stress, la peur, les drogues l’alcool ou simplement la manipulation mentale de masse dont beaucoup ont été les victimes plus ou moins consentantes, en étant attaqués par de nombreux démons. Démons qui viennent se presser autour de l’aura astrale de ces infortunées personnes, attendant la plus mince occasion de passer à l’aura vitale. Et de cette dernière, ils espèrent avoir accès au corps vital lui-même.

Lorsque cela arrive, la personne se sent subitement fatiguée et aucun examen médical ne peut en découvrir l’origine. Et pour cause ! Avouons que l’on imagine mal un médecin généraliste annoncer à son patient : « Monsieur, vous êtes victimes d’attaques psychiques ! Une dizaine de démons sont collés à votre aura ! » Notons tout de même que cet état de fatigue soudaine ne doit pas être comparé à l’action tout aussi débilitante d’un virus. Il s’agit de quelque chose d’autre, de quelque chose de plus. Au cas où nous aurions peur de nous ennuyer si la vérolerie moderne bien connue, venait subitement à faiblir. Ou pire, si nous en devenions tous immunisés !

Cela dit, bien que de très nombreux humains aient été grandement affaiblis par ce premier type d’attaque concertée et évoquée ci-dessus, tous les démons ne sont pas capables de s’attaquer directement aux humains. Tant s’en faut. Ainsi, ce ne sont que les démons les plus puissants et les plus expérimentés qui osent s’attaquer aux humains parmi les plus affaiblis. Les autres doivent bien se contenter de quelque chose de moins « appétissant » mais de bien plus facile à phagocyter.

Et quelle plus belle victime toute désignée qu’un animal ! Mais pas n’importe quel animal, et assez peu les animaux sauvages (ou alors les plus petits et inoffensifs.) Les animaux visés en priorité sont nos animaux de compagnie. Pourquoi ? C’est là que ça peut devenir un brin déplaisant pour nous, leurs amis et maîtres !

Comme vous le savez peut-être, il existe des deals importants entre les Soi Naturels et les Déva. Nous n’adoptons pas « au hasard » tel chien, tel chat ou tel autre animal de compagnie. Pas mal de choses sont décidées avant l’incarnation de l’extension à naître. L’un des deals les plus courants est de profiter de l’état d’esprit plus ou moins élevé et équilibré d’un humain, pour permettre à un Déva, via son animal/extension, de s’offrir cette énergie mentale qui lui fait tant défaut mais qui est toujours hautement prisée.

En effet, en vivant au contact des humains, les animaux se nourrissent littéralement de l’énergie mentale qui leur est allouée par le biais de l’attention, du fait de s’intéresser à un animal, voire de l’aimer. Et comme on ne peut aimer quelque chose ou quelqu’un sans se concentrer sur l’objet de notre amour, chiens, chats et autres animaux de compagnie, transfèrent journellement de l’énergie mentale humaine à leurs Déva respectifs.

Cependant, l’énergie du mental supérieur de l’humain n’est pas (encore) assimilable par les Déva et donc, par les animaux. Seule l’énergie du mental inférieur et moyen leur est accessible. Ainsi, ce ne sont que les processus mentaux de niveau (et donc de qualité) très moyens, qui permettent aux animaux de compagnie de faire évoluer leur Déva et d’évoluer eux, du même coup.

On dit que les processus mentaux d’un être humain peuvent rendre malade son animal de compagnie. Est-ce exact ? La réponse habituelle à l’enseignement de la psy éso est… Oui et non ! Lorsque le but est de s’instruire, ne le faire qu’à moitié n’est pas une méthode des plus rentables. Et lorsqu’on veut couvrir les principaux aspects d’un même sujet, les réponses doivent alors prendre l’allure de paradoxes ou d’antinomies. Du genre « Oui et non. »

À la question : « le contenu des processus mentaux d’un humain peut-il nuire à la santé physique et mentale d’un animal de compagnie ? », la réponse devrait être OUI. Mais à cette autre question, plus subtile ou plus élaborée : « les processus mentaux émettant de basses fréquences peuvent-ils nuire à ces mêmes animaux de compagnie ? » la réponse devrait être NON !

Comme précisé plus haut, ce sont justement ce qui, pour nous, consiste en de basses fréquences, qui peuvent aider à la confection d’un mental Dévannique (de Déva, donc) et au développement spirituel de l’animal. Des fréquences plus hautes ne seraient pas assimilables. Elles ne produiraient aucune nuisance. En fait, elles ne produiraient rien du tout ! Ainsi, ce sont nos processus mentaux jugés par nous comme étant laborieux, inutiles voire négatifs, qui concourent à l’évolution des Déva et de leurs diverses extensions.

Soit ! Mais alors, comment expliquer que les plus grands thérapeutes animaliers affirment (à raison) que l’état d’esprit du maître peut influer grandement sur, voire dénaturer, la santé mentale et physique de son animal de compagnie ? Ont-ils raison ? Bien sûr. Sont-ils tous capables d’expliquer la nuance que nous tentons de partager ici ? Sans doute que non. Sinon, ils en parleraient. Et quelle est cette nuance ?

Elle se retrouve au niveau des processus mentaux compensatoires, ceux qui tentent de nier la présence, pourtant effective, d’un défaut, d’une faiblesse ou de toute autre disposition mentale, jugée sévèrement puis rejetée ou nier par son propriétaire mental. Lorsqu’une personne tente de se mentir, d’éluder ce qu’elle réprouve en elle, d’être hypocrite en un mot, elle émet alors deux longueurs d’onde mentales totalement opposées et surtout, contradictoires.

L’animal capte parfaitement ces ondes et ni lui, ni son Déva ne sont alors capables de traiter puis d’assimiler ce type d’émissions mentales. Au niveau du Déva, il y a simplement rejet. Celui-ci comprend qu’il ne peut rien faire de telles informations contradictoires et refuse de les assimiler. Mais pour son extension terrestre, à savoir l’animal de compagnie, il en va tout autrement !

Ce dernier se retrouve littéralement baigné dans ces fréquences vibratoires morbides pour lui, et comme il est incapable de les assimiler mais qu’il tente de le faire tout de même, il manifeste tout d’abord des troubles du comportement (connus des ostéopathes animaliers) puis peut s’installer, à la longue et si son maître continue de se mentir, des maladies qui ne peuvent pas être soignées et encore moins guéries par la voie médicale ordinaire.

Voilà quelques éléments pouvant conduire à d’intéressantes conclusions, voire à un nouvel éclairage sur ce sujet.

 

Serge Baccino

Mission ou contre-mission

Mission ou contre-mission ?

Nous venons tous sur Terre pour une mission quelconque.
Généralement, pour commencer à être ou à faire une chose ou pour cesser d’être ou de faire une chose précise. Généralement, c’est pour cesser d’être ou de faire une chose jugée mauvaise aux yeux du Soi Naturel. Par exemple, cesser de fuir devant l’adversité ou assumer enfin nos véritables responsabilités (et non celles inventées puis projetées sur nous par d’autres.)

Cela dit, pour cesser d’être ou de faire quelque chose, il faut tout d’abord être cette chose ou la faire. Autrement dit, nul ne peut devenir courageux, par exemple, s’il ne nait tout d’abord au moins un peu trouillard. Ou encore, pour devenir instruit vraiment, il faut naître plus ou moins illettré. Il faut ce que l’on nomme en psy éso une DDP, à savoir, une différence de potentiel. Et devenir courageux lorsque l’on est pleutre, voilà une excellente DDP !

Le meilleur moyen pour obtenir ce que désire le Soi Naturel (ou SN) est encore et tout simplement de réincarner, avec une nouvelle extension, seulement des parties animiques appartenant à d’autres vies et donc, à d’autres extensions. Parties qui, bien évidemment, contiendront des aspect spécifiques liés à quelque limitation ou impossibilité rencontrée dans la vie de ces autres extensions et se retrouvant ipso facto parties intégrante de l’Âme générale du Soi Naturel.  Ainsi, la nouvelle personnalité/extension va se retrouver « armée » de solides limitations qu’il lui faudra ensuite dépasser, en cours d’incarnation.

Une fois ces « bouts d’âmes » associés au reste de l’âme de la personnalité/extension à naître, et puisque la personnalité est différente et que l’expérience vivante peut très bien différer grandement, il faudra encore mettre en activité ces morceaux de non-soi ajoutés à l’âme nouvelle. Pour y parvenir, le Soi Naturel pactise ou passe un contrat avec un des Daemons spécialisés dans le domaine que le S.N. veux dépasser. (Nota : un Daemon est une forme mentale semi-consciente qui, au départ, n’est ni « bonne » ni « mauvaise » mais qui suit seulement son propre programme interne.)

Et attendu qu’il est rare que le Soi Naturel ait le besoin de dépasser quelque chose de positif et d’agréable,  si la nouvelle mission imposée à l’extension est (par exemple) de dépasser une peur précise, le S.N. va passer un contrat avec un démon particulier. À l’évidence, on voit mal une forme angélique nous aider à traiter une forme mentale lui étant totalement opposée ! Pour vaincre le mal, il faut… Un spécialiste du mal. Ou une spécialiste.

Car ce démon est généralement un démon femelle dont la mission sera, une fois l’extension incarnée avec les morceaux d’âmes d’autres extensions à effacer ou à compenser, d’activer et de réactiver à la demande, le contenu émotionnel de l’âme (les bouts importés.) Ensuite, durant l’incarnation, la personne s’étonnera, plus d’une fois, de vivre ou d’expérimenter des états d’êtres ne correspondant pas (ou plus, si travail sur soi) à son état d’esprit général. Autrement dit, la personne ne comprendra pas pourquoi, alors qu’elle fait preuve de courage, en presque tous les domaines, elle devient effrayée dans un domaine précis, cela au point d’en perdre tous ses moyens.

Comme on le devine sans peine, cela est du à l’activation ponctuelle de ces morceaux d’âmes ajoutés et ne faisant pas partie intégrante du reste de l’âme de la personnalité/extension. Activation effectuée par le démon femelle, comme dans notre exemple. Généralement, comme il est quasi impossible de dépasser ou d’assumer l’activation des bouts d’âmes, par le démon (mâle ou femelle), la plupart des gens choisissent de fuir, de nier ou de « faire avec » ces moments de perte totale de contrôle de soi. Les moins scrupuleux choisissent même de projeter leur marasme personnel sur les autres, les rendant responsables de ce qui est pourtant vécu et ressenti de l’intérieur.

Voilà déjà de quoi méditer sur un intéressant sujet, présentant une des rares explications concernant un fait des plus troublants : comment une personne à l’esprit sain et aux manières agréables par ailleurs, peu subitement se transformer en… Un véritable démon !

 

Serge Baccino