Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

La vie après la mort (brève)

La vie après la disparition du corps de chair est exactement la même qu’avant. A quelques détails près il est vrai ! Seul change l’état d’esprit général (et collectif), autrement dit, la manière de considérer le déroulement de la vie. Ce sont les états d’esprit qui naissent et meurent ou qui apparaissent puis disparaissent, inlassablement, pas ce que nous sommes vraiment. Notre conscience individuelle ne cesse de se produire mais notre prise de conscience, relative à nos processus mentaux, se transforme radicalement lorsque nous ne sommes plus conscients des limites imposées par une forme mentale quelconque (et non pas uniquement par un corps de chair.)

Tout le monde redoute de mourir, parce que tout le monde commet l’erreur de s’identifier à ce corps de chair qui permet à une personnalité animique (ou « de l’âme », donc) de rencontrer certaines expériences particulières, inconcevables sans son intermédiaire. Mourir ne consiste pas en un acte douloureux ou redoutable : ce qui l’est, c’est la façon de mourir et, sans doute, l’idée que l’on peut se faire de la mort. Le corps « meurt » mais la conscience personnelle demeure. Évidemment, ce qui va pousser la personnalité hors du corps de chair et produire la séparation définitive ou « mort » pourra elle, être douloureuse (souffrance physique ressentie avant la mort.)

 

Sans l’idée d’un corps terrestre, l’âme est plus légère, car moins sensible à l’idée de limitation. C’est cette idée qui doit absolument mourir, si une âme désire vraiment progresser d’une forme d’expression consciente à une autre plus élaborée. Si l’enfant refusait de « mourir » au profit de l’adulte, nous resterions tous d’éternels enfants. Cela dit et selon toute apparence, lorsque l’on regarde autour de soi, on réalise que… L’enfant est toujours vivant en nous !

 

Serge Baccino

 

Le magnétisme curatif

Lorsque l’esprit est saturé de force vitale, il se met à irradier, à rayonner selon sa nature et en fonction des informations qui sont contenues dans une forme mentale spécifique, dynamisée par la force vitale. Plus une forme mentale contient de l’énergie, plus elle rayonne et transmet cette même énergie vers la périphérie. Tout ce qui se trouve « en résonance magnétique » (en sympathie ou syntonie) avec cette forme, bénéficie alors d’un apport non négligeable de force vitale.

De fait, une personne qui est en bonne santé peut transmettre une partie de sa vitalité à une autre qui est temporairement en état de carence énergétique. Cela dit, et attendu que le taux de vitalité dépend toujours de la qualité de notre état d’esprit, il n’est pas recommandé de chercher à soigner tout le monde et sans discernement ! En le faisant, on induit immanquablement deux effets psychologiques fâcheux :

– La personne qui était en carence d’énergie devient dépendante de l’énergie produite par les processus mentaux créatifs d’un autre.

– La personne peut ainsi éluder, en toute impunité, les  conséquences logiques de ses propres créations mentales.

 

L’idée n’est pas de laisser les autres se dépatouiller avec leurs propres aberrations mentales ! Elle vise un but « pédagogique » dont le thème principal est double : LIBERTÉ et RESPONSABILITÉ. En effet, l’idéal serait que chacun de nous comprenne cette vérité spirituelle :

« Nous vivons le contenu de nos pensées : à force de penser les mêmes choses, nous finissons par nous identifier à ce que nous pensons au lieu de nous identifier à celui qui pense toutes ces choses. »

Soigner consiste à tricher, tout compte fait ! Ou à prendre une avance sur l’évolution. Cela se résume à donner à une forme mentale, une qualité énergétique qui ne correspond pas à son contenu ! C’est un peu comme récompenser les élèves d’une classe qui ne font aucun effort pour comprendre leurs leçons.

 

main-paumeL’homme n’est pas sur Terre pour apprendre mais pour INCARNER. Il expérimente et peut ainsi croire être venu pour apprendre seulement. Mais l’homme n’est pas venu pour incarner un état d’esprit plutôt qu’un autre mais bien pour incarner le pouvoir et la liberté de générer toutes les formes mentales capables de servir de support à son pouvoir de créativité. Seul un fou, un inconscient ou un ignorant pourrait vouloir et désirer s’identifier à des formes mentales qui s’avèrent destructrices ou morbides pour lui-même ou pour autrui. Le véritable Magnétisme Curatif consiste à transformer le rayonnement de nos pensées avant de prétendre partager avec autrui ce qui est ainsi rayonné.

Et pour transformer le rayonnement de ce que nous pensons, il faut transformer notre état d’esprit général. En somme et pour nous résumer, soigner, oui, mais il faut aussi expliquer au patient, pourquoi il est malade et comment ne plus avoir à être guéri par autrui ensuite !

Voilà qui mérite réflexion, non ?

 

Serge Baccino

 

Addenda au sujet de la réincarnation

avatar-Nounours2Dans ma dernière trilogie d’articles relatifs à mon passage chez «Bob vous dit toute la vérité», j’ai omis de mentionner certains faits et comme on me l’a fait remarquer, je me propose, par le biais de cet addenda, de compenser ce manque. La psychologie ésotérique enseigne que la personnalité a bien un commencement mais n’a pas de fin et qu’à ce titre, elle ne peut prétendre avoir de vies antérieures. En effet, ce qui débute à zéro ne peut avoir d’antécédents, même dans ce cas bien précis dans lequel «quelque chose» revient, comme évoqué plus loin dans cet article supplémentaire.

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paradigmePour simplifier mes explications un brin techniques, je vais prendre pour exemple la vie de deux personnes qui ont une « trajectoire spirituelle » (un vécu et des expériences) différente. Nous appellerons « Maurice » cet homme froid et matérialiste qui ne croit que ce qu’il peut toucher (voire détruire) et nous appellerons « Michel » cet autre homme qui, toute sa vie, a étudié l’ésotérisme et s’est exercé à être « le plus lui-même possible. » Or donc, Maurice vit durant 72 ans et sa vie est aussi sobre que sans intérêt. Il ne lui arrive jamais rien d’extraordinaire, il n’a jamais aimé, n’a jamais été aimé et n’aura servi à rien ni à personne. Bref, l’homme purement social et un être humain en dessous même du niveau lambda, qui n’aura même pas eu la bonne excuse de fonder une famille et qui croit que ce qui se trouve à l’extérieur et sous ses yeux, consiste en l’unique réalité. Maurice, comme des millions d’autres avec lui, avant lui et après lui, croit que dans la vie, si tu ne tires pas le premier, c’est l’autre qui t’abat d’une balle entre les deux yeux !

Maurice a eu un commencement, c’est-à-dire que lorsqu’il est né, il a été conçu à partir de l’âme unique qui permet à toutes les extensions d’un même Soi de se mouvoir (âme vient du Latin animus et anima, c’est à dire esprit et force vitale, pensées et émotions, soit tout ce qui anime un être humain et le rend actif et conscient d’exister.)

 

Changement2Partant de rien, la personnalité de Maurice s’est construite sur la base du subconscient maternel qui lui a permis de penser et de ressentir des émotions, certes, mais d’une manière conditionnée, car appartenant aux processus mentaux et aux émotions de quelqu’un d’autre (la mère.) Maurice a reçu, à sa naissance, une certaine « somme d’argent » qu’il devait ensuite faire fructifier afin de se créer un capital personnel, à savoir un état d’esprit (pensées, idées) et des états d’être (sentiments, émotions) qui soient vraiment à lui.

Mais comme il n’a pas compris « comment ça fonctionne », toute sa vie, il s’est contenté de « vivre de ses rentes », à savoir, reproduire l’état d’esprit maternel et ne connaître, d’émotions, que celles transmises par sa mère. Lorsque Maurice quitte son corps, il n’est toujours pas « quelqu’un » mais le simple duplicata de ses géniteurs. Comme il ne s’est pas créé sa propre individualité, qu’il n’est pas devenu « soi-même », autrement dit un Soi à son tour, il n’a pour option d’après-vie que ces deux choix :

1. Revenir sur Terre pour se réincarner et voir ainsi sa mémoire être effacée pour en hériter d’une autre et, cette fois, bosser sur ces matériaux de « prêts » pour se construire sa propre individualité.

2. Demeurer ce qu’il est et l’éternité durant.

Quelques-uns choisissent de « Revenir » et donc, de mourir pour la seconde fois. Et s’ils choisissent de revenir, c’est pour réussir, cette fois-ci, de se construire une véritable identité spirituelle, assez forte et intéressante pour justifier une existence éternelle. Mais est-ce, dès lors, une réincarnation ? Non, ce n’en est pas une, car ce qui fut Maurice, en s’incarnant la première fois, est effacé (ou « meurt ») et à sa place apparaît une extension qui, une fois encore, n’a aucune antériorité et devra se construire elle-même en cours d’incarnation

Et cette nouvelle personnalité naissante, sans aucune antériorité, y parviendra peut-être en prenant pour base de travail, l’héritage génétique et spirituel de ses parents (et surtout le subconscient partagé de la mère, donc.) A nouveau ! C’est toute l’histoire qui recommence et en cas de « récidive », autant de fois qu’il le faudra pour obtenir une véritable identité spirituelle, un véritable Moi qui, une fois hors de la chair, deviendra alors un Soi à part entière, capable, à son tour, d’envoyer des « portions de lui-même » (extensions) au sein même de la matière et dans des corps de chair d’enfants à naître. Certains s’y essayent trois ou quatre fois !

 

influence-distanceEt en ce qui concerne Michel ? Pour ce dernier, les choses sont très différentes et bien plus simples en vérité ! Michel a employé d’une manière appropriée et intelligente, l’héritage culturel, génétique et spirituel de ses ascendants et à force de comparer ce qu’il vivait, pensait et ressentait avec ce que toutes ces choses faisaient naître en sa propre conscience personnelle, il en est arrivé à savoir faire le tri entre ce qui venait du « prêt » initial et ce qu’il avait lui-même construit, c’est-à-dire un état d’esprit, une sensibilité et une manière de concevoir la vie, les choses et les êtres, DIFFÉRENTS de tout ce « matériel » mental et astral se trouvant dès le départ en lui. Comme beaucoup d’autres avant lui, Michel s’est demandé, de très nombreuses fois, comment il pouvait être à la fois celui qui veut une chose, et cette « voix » lui parlant dans la tête et lui intimant de faire le contraire !

Comment pouvait-il désirer une chose avec force et avoir honte à la seule idée de la posséder, par exemple ? Et un jour, il en est arrivé à la seule conclusion logique, à l’expression de la plus stricte réalité : une des deux versions de son propre être n’est pas la bonne et doit être ignorée puis carrément effacée de la mémoire vitale qui forme son identité.

 

Alors, le jour où Michel quitte son corps de chair, il se retrouve de l’autre côté et se voit félicité par ses semblables, car il est «sorti de la Matrice», de cet inconscient collectif qui, en son temps, l’avait sustenté et aidé à se construire une véritable individualité. Et dès lors, Michel peut devenir son propre Soi (ou terminer ce qui avait été commencé sur Terre), car à présent il possède une chose précieuse, une chose sans prix : Lui-Même ! Et cela oui, mérite d’être vécu et expérimenté l’éternité durant ! Si vous avez des questions, je suis à votre disposition, sur mes pages Facebook uniquement.

 

Serge Baccino

 

Après l’émission chez Bob vous dit toute la vérité – Troisième et dernière partie

Avec ce troisième volet suite à mon passage chez « Bob vous dit toute la vérité », Il me reste à parler un peu de la vie après la mort, comme on dit généralement. Après la mort… Mais quelle mort ? Celle du corps, sans doute ? Même pas ! Le corps ne meurt pas : il perd juste sa cohésion première, se dissout ou se désagrège, pour redevenir de la poussière puis de l’esprit. De ce même esprit qui nous sert à penser ET à créer des formes mentales plus « solides », telles que les planètes, la terre, l’eau, le feu, la pierre, le bois, etc. L’esprit est créateur, dit-on… Évidemment, qu’il l’est puisque tout est fait d’esprit et que l’esprit est Dieu ! De la plus légère pensée à la plus colossale des étoiles, TOUT EST FAIT D’ESPRIT !

L’univers est esprit et c’est Mentalement que toutes choses sont créées, depuis toujours et à jamais.

D’un point de vu scientifique, l’esprit est de la Lumière rassemblée en un point et tournant autour d’un axe virtuel. Si vous préférez, l’esprit, c’est l’énergie cosmique, l’Alpha et l’Oméga de toutes choses, visibles ou invisibles. Lorsque notre personnalité actuelle est obligée de quitter le corps de chair, elle s’éloigne du monde terrestre et gagne, plus ou moins rapidement, le Plan de Conscience qui est le sien, c’est-à-dire le « Monde » Céleste qui correspond à sa fréquence de base, à sa signature vibratoire qui est unique, autrement dit, à la vitesse de vibration (période) qui est celle de son corps psychique ou « âme » (c’est pareil.)

 

Tout le monde gagne les Plans supérieurs, après la mort physique ? Non, pas tout le monde, justement. Certains sortent à peine de leur corps que, déjà, ils regrettent de ne plus être acteurs conscients dans ce monde-ci ! Alors, pour des raisons qui n’appartiennent qu’à eux et qui varient, d’un être humain à l’autre, telle personne va demeurer dans la maison où elle a vécue et est morte dernièrement, telle autre va se contenter de suivre, passablement hébétée, l’un quelconque des membres de sa famille (ou un conjoint) tandis que cette dernière, ressentant une profonde aversion envers certains êtres vivants, va tout faire pour leur faire « payer » leur condition de « terrestre » bénéficiant encore d’un corps en parfait état de marche.

Que fait cette personne qui vient juste de pousser son dernier soupir dans un lit d’hôpital, entourée de sa famille proche qui, depuis deux jours déjà (car autant prendre un peu d’avance), pleure son départ avant même qu’il se produise ? Simplement, elle sort de son corps, jette un œil compatissant, attendri voire amusé sur ceux qui se serrent autour de cette coque vide qui fut son corps, puis elle s’élance,  à savoir que  par un simple acte de volonté allié à un profond désir, elle élève sa fréquence vibratoire et se retrouve ainsi propulsée vers des Mondes de Lumière. Il faut dire que cet homme n’était pas un homme ordinaire mais un grand initié aux choses de l’esprit.

 

Que fait cette autre personne qui, dans le même hôpital, rend l’âme le même jour et quasiment au même moment que la première personne ? Elle aussi est entourée de ses proches et lorsqu’elle se détache, presque à regret de son enveloppe charnelle, elle se retrouve bouleversée à l’idée d’être « morte. » Maladroitement et sans grands résultats, il est vrai, elle cherche à rassurer ceux qui entourent sa couche et pleurent en silence, mais ne réussit ni à les toucher ni même à se faire entendre d’eux. Elle ressent un moment de profonde solitude, de désarroi et même de peur car, se dit-elle, que va-t-il se passer à présent qu’elle est… Morte ?

Morte ? Mais comment pourrait-elle être « morte » alors qu’elle se sent vivante plus que jamais, ne ressent plus aucune souffrance et vois le monde d’une manière si précise et lumineuse, qu’il lui semble que les objets même sont éclairés depuis leur intérieur ? Mais que faire de sa vie ? Que sera cette vie, désormais ? Où doit-elle aller ? Vers qui ou vers quoi se tourner ? C’est ce genre de pensée qui tourne et retourne sans cesse, qui est encore présente en son mental lorsque cette personnalité accompagne le cortège funéraire qui gagne le cimetière et assiste aux funérailles de celui qui fut mais qui, désormais, semble ne plus être. Ne plus être pour ceux qui ont encore un corps ! Assister à son propre enterrement, est-ce là chose naturelle ?

 

Enfin, que fait cette troisième personne, là, dans son salon et plantée à côté de sa nièce qui lit, assise dans un fauteuil de velours brun ? Et pourquoi a-t-elle ce regard noir, méprisant pour ne pas dire haineux, tandis qu’elle regarde cette jeune femme qui ne fait pourtant de mal à personne ? Cette silhouette diaphane de la tante, décédée il y a plus de dix ans, déjà, la nièce ne la voit pas, ne la sent pas et ne sais pas que cette tante qui, de son vivant, la détestait déjà, la suit pas à pas depuis la fin de son adolescence, en fait depuis le jour où elle est décédée d’un arrêt du cœur après avoir, dans une colère noire, maudit toute sa famille ainsi que le moindre de ses descendants sur quarante générations !

Mais pourquoi telle âme nous quitte-elle dans un souffle et dans un sourire pour rejoindre d’une traite les Mondes de Lumière, alors que celle-ci ne sait pas ce qu’est la mort et ère comme une âme en peine, et que celle-là demeure sur Terre et parmi les humains, dans le seul espoir de leur nuire et de pourrir leur destin ? Nous pourrions être en droit de nous poser la question si, en vérité, nous ne connaissions pas déjà la réponse… Mais nous n’avons pas exagérément envie d’en tenir compte ou de la considérer comme acquise.

 

Autant nous demander pourquoi certains hommes sont bons et donneraient leur chemise, tandis que d’autres voleraient aux autres celle qu’ils portent, sans l’ombre d’un remord. Sans parler de ceux qui, en plus de voler leur chemise aux autres, en profiteraient pour leur ôter la vie ! Il en va ainsi du monde et de ceux qui l’habitent. Et il en va ainsi de l’après-vie et de tous ceux qui le peuplent. Il n’existe de « mystère » que pour l’esprit fermé des hommes ou pour les cœurs déjà trop meurtris pour être capables d’accueillir certaines vérités sans défaillir. Au-delà d’une émission chez Bob, j’aurai à vous reparler de ces choses mais si vous le désirez et en attendant, vous pouvez toujours questionner ou réagir à mes propos sachant que de toutes manières, c’est bien de notre vie à tous que je suis en train de parler (ou d’écrire.)

Cordialement

Serge Baccino

 

Après l’émission chez Bob vous dit toute la vérité – Seconde partie

Je terminais mon dernier article sur une note bien étrange il est vrai. Ainsi donc, nous n’aurons qu’une vie et non de multiples existences, aussi linéaires que successives ? La réponse est à la fois logique et imparable : Non, car cela n’est pas possible pour la personnalité ! Pourriez-vous, je vous prie, retenir ce « léger » détail que c’est pour la personnalité humaine que cela n’est pas possible ? Vous comprendrez ensuite (ou plus loin) l’intérêt de cette demande. Mais pour bien comprendre les faits, il nous faut tout d’abord remonter à la naissance, à votre naissance, si vous le voulez bien ! Lorsque vous êtes né, il est clair que vous n’étiez ni conscient de vous-mêmes ni en mesure d’assister à votre propre naissance ! Cela ne me semble pas difficile à admettre. Et si vous ne pouviez pas, en tant que « vous », assister à votre propre naissance, c’est simplement parce que VOUS n’étiez pas encore conscient d’exister ni même capable de dire « moi. » Votre vie a commencée au moment de votre premier souffle; c’est à ce moment que vous êtes vraiment né.

Ce sont vos parents et surtout votre mère, qui vous ont offert un corps de chair à « habiter » et, surtout, un subconscient à explorer, pour toute base de départ en matière de prémisses à l’expérimentation. Pour le présenter autrement ou au plus simple, comme vous veniez de naître et n’aviez donc ni antériorité ni mémoire, il fallait bien que votre vie puisse reposer sur des bases mentales (pensées) et vitales (émotions, perceptions, souvenirs, mémoire) de quelqu’un d’autre que… Vous ! Cette antériorité était surtout celle de vos parents, c’est à dire LEURS processus mentaux et LEURS émotions.

 

C‘est surtout votre mère qui vous a fourni cette base de départ. Tandis que votre futur corps se construisait dans le ventre de la future maman, vos cellules se confectionnaient un savoir et des souvenirs uniquement basés sur son subconscient à elle. Plus exactement, attendu que votre corps se construisait lentement et que vous n’aviez pas encore vécu ni rien expérimenter en tant que personnalité humaine et physique, votre mère et ce qui deviendrait plus tard « vous« , se partageaient la même subconscience. Cela vous étonne, dites-vous ? Pourtant, cela est à la fois rationnel et tout à fait vérifiable, du moins du point de vue de la dialectique, car la science dite « officielle » (sic) n’est pas encore arrivée à un tel niveau de prise de conscience et de savoir, du moins dans le domaine des lois et des principes du fonctionnement de l’esprit.

Qu’est-ce que le subconscient d’un être, si ce n’est la somme de l’intelligence de toutes les cellules de son corps ? Chacune de nos cellules a « mémorisé » la moindre de nos pensées, le plus élémentaire de nos sentiments, la plus faible et objectivable de nos émotions. Nos cellules se souviennent de TOUT ce que nous avons pensé et de tout ce que nous avons ressenti, et cela, depuis le jour de notre naissance ! Et devinez avec quoi se construit le corps du futur nouveau né, tandis que sa partie corporelle et animale (instinctive) repose dans le ventre de sa mère ? Il se construit à partir des propres cellules de la mère, oui !

Et du même coup, il partage avec elle l’ensemble de son vécu, de ses souvenirs.

 

Mais pourquoi cela ? Pourquoi devrions-nous partager les pensées, les émotions et le vécu de notre mère ? La réponse est désormais évidente : A partir de quels autres matériaux pourrions-nous nous construire, sans cela ? Comment pourrions-nous être seulement capables de penser, de ressentir des choses, si nous démarions à zéro et sans aucun antécédent ? Et c’est le cas de toute nouvelle personnalité terrestre. Ainsi, depuis notre naissance, nous sommes occupés à nous construire en vue de naître pour la première fois en ce monde terrestre ! Et nous ne pouvions pas « démarrer » notre vie à partir d’un quelconque bagage spirituel et émotionnel antérieur puisque, antérieurement, nous n’existions pas encore !

C’est un peu comme démarrer un métier en tant qu’artisan sans posséder le moindre local, le moindre véhicule, le moindre article à vendre et avec même pas un centime d’euros en poche ! Pour nous lancer dans la vie professionnelle et en tant qu’artisan, il nous faut bénéficier d’une « avance »

Alors la Grande Vie nous accorde un « prêt » et ce dernier se présente sous la forme d’un subconscient partagé entre la mère et le futur enfant qu’elle porte. Et lorsque cet enfant naîtra, il aura à sa disposition un « bagage » qui, certes, ne sera pas le sien en propre, mais au moins, il aura quelque chose pour se « vêtir », pour ne pas arriver en ce monde nu et cru, comme disait ma grand-mère.

 

Il est important de se souvenir que dès son tout premier souffle, le tout jeune enfant va commencer à se construire sa propre personnalité. Il y parviendra d’ailleurs en COMPARANT les expériences qu’il rencontre, les unes après les autres, avec les pensées qui seront activées depuis sa mémoire cellulaire, et les émotions qu’elles produiront immanquablement. Le tout provenant inévitablement de la même source intérieure : la mémoire cellulaire maternelle. Et plus il comparera ce qu’il vit avec ce qu’il en pense et ressent « sur le coup » (spontanément), et plus il sera capable de définir une seconde manière de percevoir la vie, les choses et les êtres : la sienne ! En somme, cette interaction entre l’expérience objective et extérieure et ce que l’enfant va en PENSER et RESSENTIR à ce propos, qui produira une troisième condition : la conscience personnelle qui formera progressivement une personnalité distincte.

Question : Et si l’enfant n’y parvient pas ? S’il n’est pas capable de remplacer progressivement et complètement, le subconscient de sa mère par le sien propre, qu’arrivera-t-il alors ?

En règle générale, l’enfant une fois né a environ 22 ans pour SE parfaire, c’est à dire pour devenir « Parfaitement Lui-Même, » et non plus seulement un fac-similé de ses géniteurs. Certains parlent de « mémoire génétique » et cela ne me gène guère : Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse, une ivresse spirituelle issue de la véritable connaissance, celle qui libère, celle qui affranchit.

 

Inutile de vous mentir, car vous connaissez aussi bien que moi le résultat final : une personne sur mille, environ, réussit à se construire une véritable personnalité animique (de l’âme), les autres se contentent, leur vie durant, d’être soit une photocopie de leurs géniteurs, soit une personne qui passe sont temps à subir les deux schémas-maîtres antagonistes qui sont :

« Je reproduis l’état d’esprit de mes parents car je désire très fort leur ressembler et agir comme eux…«  Ou bien : « Je suis terrorisé(e) à la seule idée de devenir comme eux !« 

 

Non pas que chacun de nous ne soit, en fin de compte, qu’un « exemplaire loupé » de soi-même…. En fait, nous sommes tous, à la fin de notre adolescence, en prise avec une grande colère à la seule idée de ne pas être libre ou que cette même liberté ne soit pas totalement reconnue, acceptée et même fêtée ! Pour verser dans les sondages qui sont si prisés à notre époque, disons qu’une personne « ordinaire » (lambda) est « bien elle » (originale) qu’à quelques soixante pour cent. Le reste n’est qu’acceptation ou lutte de « papa-maman » en soi. Raison pour laquelle tout ce que vivent ces hommes et ces femmes « ordinaires », ressemble à s’y méprendre à tout ce que vivaient (ou ont vécu) leurs parents, en leur temps et tandis qu’ils n’avaient pas encore d’enfant.

Donc, puisque la personnalité se façonne à partir de l’héritage psychologique de ses géniteurs, elle ne peut pas avoir d’antériorité et donc, de vies antérieures ! 

S’il vous plaît, est-ce logique ou non ? Cela dit, est-ce qu’il existe quelque chose qui puisse être considéré comme étant « d’autres vies qui se sont déroulées dans le passé » ? Oui, mais cela ne concerne pas la personnalité « en cours » d’incarnation mais son Soi, c’est-à-dire son être global, ce qu’elle serait si « Tout était descendu », lors de la naissance, pour le dire d’une manière simplifiée.

Toutefois, celles et ceux qui, en cours d’existence, réussissent à intégrer toute leur Soi-Conscience, celles-là et ceux-là peuvent, en effet, parler de « leurs vies passées » ! Mais seulement parce qu’ils ne sont plus de simples personnalités terrestres mais des individualités, des humains Réalisés ou des Maîtres, comme on le disait jadis.

Dites-moi que vous avez capté cette subtilité et je pourrais passer à la troisième et dernière partie de ce thème, le cœur en paix et l’esprit alerte ! A tout de suite (prochain article) pour la suite et fin !

 

Serge Baccino

 

Après l’émission chez Bob vous dit toute la vérité

Bonjour à tous !

 

Serge3Vous étiez nombreux à écouter, en direct ou en différé, l’émission chez Bob vous dit toute la vérité, et à laquelle j’ai été convié, le mercredi 04 décembre 2013 à 22 heures. J’en conserve un excellent souvenir et j’avoue m’être énormément amusé, surtout dans la seconde moitié de l’émission, au vu des thèmes qui étaient abordés et qui s’enchaînaient, les uns, les autres. Il est clair que Bob, on a intérêt à le suivre si on ne veut pas se laisser larguer ! Mais on se sent tout de suite en sécurité avec lui, même quand on est débutant, comme moi, et que l’on n’a jamais fait de radio auparavant.

C’est un professionnel qui sait rassurer, détendre et guider ses invités. J’ai eu également un très bon contact avec ses associés, Mathieu et Julie, tous deux aussi professionnels et précis qu’aimables et, ce qui ne gâche rien, d’humeur guillerette. Trois belles personnes que l’on a plus envie de quitter une fois qu’on les connaît ! Je me propose ici de vous faire un résumé écrit des grandes lignes de mon passage chez Bob, durant cette (petite) heure (trop courte !) qui m’a si aimablement été allouée. Bien sûr, je ne vais pas reprendre l’ensemble des thèmes abordés, mais seulement en restituer les grandes lignes, en particulier celles relatives au Karma, à la réincarnation et à la vie après la mort.

 

Karma10La version proposée au sujet du karma, est une version proposée « à la lumière de l’enseignement de la psychologie ésotérique. » Elle n’est pas faite pour plaire ou, à l’inverse, pour violenter les croyances des uns et des autres. Si elle dérange de trop, il suffit de ne pas y prêter crédit, voilà tout. Le mot « karma » n’est pas le nom d’une marque de lessive : il provient du sanskrit, la langue antique de l’inde. On traduit généralement ce mot par « Action » mais il s’agit là d’une mauvaise traduction. Un des Principes spirituels les plus connus (Principe de Polarité) énonce que « Tout est double. » En ce qui concerne le sens des mots sanskrits, il faut en tenir compte aussi. Le mot « Karma » considéré d’une manière isolée (ou pris seul), ne veut pas dire grand chose mais si on le couple avec le mot « Chitta » (l’esprit), le premier prend alors toute sa véritable dimension ! Pourquoi le mot Karma ne peut pas signifier « Action » ?

Parce qu’il ne peut y avoir d’action qui n’ait été préalablement pensée ! La pensée précède toujours l’acte.

 

Et si l’Action procède d’une pensée, alors les sages de l’Inde antique ne pouvaient pas l’ignorer et c’est vers ce qui précède tout acte, c’est-à-dire vers « l’esprit qui engendre les pensées », qu’il faut se tourner pour bien comprendre ce concept de karma. Or donc, si nous couplons le mot « karma » avec le mot « Chitta », nous obtenons alors l’expression « Karma Chitta. » Sachant que Chitta signifie « esprit » et que c’est vers la pensée qu’il nous faut nous tourner puisqu’elle précède tout acte, alors il est plus simplement question de « processus mentaux » que d’actes et de rétribution, suite à une existence prétendument passée.

 

Karma8Karma Chitta signifie « Mouvements de l’esprit » (mouvements au pluriel) Du coup, tout devient plus clair ! Le karma se réfère aux mouvements de notre esprit et donc, à nos processus mentaux, et non à quelque acte passé ou même présent. De toute manière, quoique nous fassions, quel que soit l’acte posé, une pensée en est toujours à l’origine. Il s’agit d’une loi, d’un axiome et donc, d’un fait irréfutable, qui se démontre tout seul, et non d’une traduction teintée de croyances surannées !

Ce sont nos pensées qui conditionnent nos actes, c’est-à-dire qui nous poussent, une fois la pensée émise, à agir de telle façon plutôt que de telle autre.

Voici ce qu’enseigne la psychologie ésotérique à ce sujet:

« Nous devenons ce que nous pensons ; nos pensées déterminent nos actes et conditionnent notre vécu. »

Il est dit également :

« Nous devenons tout ce sur quoi nous concentrons notre attention mentale, le plus souvent (Rythme) et le plus longtemps (Durée.) A force de penser à quelque chose, l’homme en arrive à vivre le contenu de ses pensées et fini par s’identifier avec tout ce qu’il pense. »

Il faut également comprendre un fait très important :

Pour chacune de nos pensées, il y a un sentiment connexe.

Autrement dit, si je pense à une chose triste, je ressentirai de la tristesse, car je ne peux ressentir que ce que je pense et en fonction de ce qui est pensé. De plus, chaque pensée est lié à une émotion qui demeure identique : si je pense toujours une chose précise, je ressentirai toujours la même chose, qui sera tout aussi précise.

Les émotions que nous ressentons ne peuvent varier que si nous changeons notre façon de penser.

 

Karma12Pour chaque pensée, une même émotion est liée et cette dernière demeurera invariable, du moins aussi longtemps que ne variera pas la pensée. Il est donc possible de transformer son karma, voire de l’annuler carrément, s’il nous semble difficile à vivre. Pour cela, il suffit de transformer notre façon de penser ! Si nous pensons différemment, nous ressentirons différemment et du même coup, nous vivrons différemment aussi. Il n’est pas possible de changer, de se transformer et d’évoluer, tout en conservant un mode de penser et donc un émotionnel très négatifs.

Et il est inutile de nous attaquer directement à nos émotions, car le combat est perdu d’avance ! On ne lutte pas contre le pouvoir vital (ou Divin.) Si nous voulons connaître d’autres sortes d’émotions et de sensations, nous devons seulement changer notre façon de penser, sachant que ce que nous sentons, pour le moment et qui nous déplaît, dépend uniquement de notre façon de penser actuelle !

Comme vous pouvez le constater, ce n’est pas si difficile que cela à comprendre ! Et, franchement, j’allais écrire « entre nous » (sic), ne pensez-vous pas cette version à la fois plus saine, naturelle et probable, que cette abomination que l’on vous a fait croire et qui est juste bonne à semer le trouble et d’autres sentiments tels que la culpabilité dans les consciences ? Vous n’avez rien à « payer » comme « dette », car il n’en est aucune qui vous ayez pu contracter dans une autre vie ! Et vous savez pourquoi ?

Parce que vous n’avez pas eu d’autres vies, vous n’en aurez pas d’autres (sur Terre) sauf si vous le souhaitez vraiment !

 

Karma13

 

Mais je suppose que cette dernière phrase nécessite un développement ! Je vous invite donc et par avance, à me rejoindre dans le prochain article que je me propose d’écrire à la suite de celui-ci.  Cet article faisant suite à celui-ci est nommée :

 

Après l’émission chez « Bob vous dit toute la vérité » – Seconde partie.

Il traitera des incarnations et des réincarnations et vous connaitrez enfin la véritable différence entre les deux ! Mais pour le moment et si vous avez des commentaires ou même des questions, je vous invite à venir en parler sur mes pages Facebook !

A tout de suite !

 

Serge Baccino