http://conversationpapillon.com – Extrait de l’entrevue de James Redfield, auteur du livre « La Prophétie des Andes », réalisée en français par Annie Laforest.
Voici un extrait de l’enseignement de Seth, transmis par le célèbre psychologue ésotériste et Channel Américain Jane Roberts :
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« Vos croyances construisent la réalité. Vos croyances individuelles et vos croyances collectives. L’intensité d’une croyance est extrêmement importante…
Et si vous croyez, pour le dire très simplement, que les gens vous veulent du bien, et qu’ils vont vous traiter avec gentillesse, c’est ce qu’ils feront. Et si vous croyez que le monde est contre vous, alors c’est ce qu’il sera dans votre expérience. Et si vous croyez… SI VOUS CROYEZ QUE VOUS ALLEZ COMMENCER A VIEILLIR A 22 ANS, eh bien c’est ce que vous ferez. Et si vous croyez que vous êtes pauvre, et que vous le serez toujours, alors votre expérience va vous prouver que vous avez raison. Vos croyances vous regardent en face quand vous vous regardez dans la glace. Ce sont elles qui constituent votre image. Vous ne pouvez pas échapper à vos croyances. Elles sont, néanmoins, la méthode par laquelle vous créez votre expérience. Il est important que vous compreniez que vous n’êtes pas à la merci de l’inexplicable, que vous n’êtes pas à la merci d’événements sur lesquels vous n’avez aucun contrôle, qu’il s’agisse d’événements psychologiques ou physiques, selon les termes que vous employez. Comme je vous l’ai dit, que vous croyiez que votre vie présente résulte d’incidents arrivés dans votre première enfance, ou dans des vies antérieures, sur lesquelles vous pensez n’avoir aucun contrôle non plus, ne fait guère de différence. Les événements qui vous concernent, vos vies, vos expériences, sont causés par vos croyances présentes. Changez les croyances et votre vie change. » –Seth-
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En règle générale, le « Diable » et « Satan » sont considérés par ceux qui ne sont pas versés dans le symbolisme initiatique, comme des concepts uniquement négatifs, morbides, voire malsains. En fait, il n’en est rien ! Le mot Diable provient du grec « dia-bolein » qui signifie en gros « qui va dans un sens opposé » (comprendre opposé à nos intérêts réels.) Le mot Satan vient à la fois de l’arabe et de l’Hébreu : « Sha-tan » et « Shaïtan », qui signifient tout deux « ce qui résiste » (en l’homme.) Donc, est « diabolique » et « satanique » tout ce qui, en l’homme, va dans le sens opposé à ses intérêts réels et qui résiste à toute forme de nouveauté (peur de ne plus maitriser ou gérer ce nouveau.)
Mais alors…. Est-ce à dire que si nous résistons (Satan) à l’Esprit qui veut nous Guider et si nous nous opposons (diable) à l’idée même qu’il puisse nous Pénétrer et se mélanger à notre essence animique et humaine, nous devenons « Cela qui a tort » ? Oui, oui, oui !
Est-ce à dire, à l’inverse, que si le Diable et Satan réunis semblent nous POUSSER à aller vers plus de liberté encore mais que nos schémas mentaux nous l’interdisent, ce Diable et ce Satan représentent dès lors CE QUI A RAISON ? Oui, oui, oui ! Je vous laisse méditer dessus, puis réagir, si vous le souhaitez. Vous avez même le droit de vous signer face à mes propos et de m’asperger d’eau bénite, pour faire bon poids !
Serge Baccino
J‘ai pensé qu’il serait agréable à certains qui ne connaissent pas encore bien ce sujet mais qui en ont vaguement entendu parler, de lire des condensés relatifs à la symbolique du corps humain, selon la psychologie ésotérique. Je me propose donc d’écrire quelques lignes sur le sujet, afin de satisfaire un peu votre curiosité. D’une manière générale, notre corps « compense » ! Et puisque l’esprit est créateur de formes, alors nous avons « le corps qu’on pense » ! Une petite astuce, juste pour vous rappeler que c’est l’esprit qui conditionne la chair. Mais attendu que nous ne savons pas toujours ce que nous pensons, au niveau des couches sous-jacentes de la conscience (subconscient), la seule façon, pour nous, de connaître de nouveau ce que nous avons jadis pensé mais que nous avons oublié depuis, c’est la somatisation.
La somatisation, c’est quand notre subconscience « donne corps » à nos processus mentaux, en incarne le contenu. Quand nous oublions de demeurer attentif à nos processus mentaux, notre corps COMPENSE cette carence par une somatisation quelconque. Il existe deux formes principales de somatisation :
*** La plus connue = La maladie !
*** La moins connue = Les kriya (sanskrit = effets ou réactions.)
Nous pourrions même dire que « La maladie c’est quand le mal à dit ce que l’intellect ou le « moi » n’avait pas envie d’entendre ! » Et c’est le corps qui exprime cela à notre place, ce qui engendre un désordre énergétique consécutif au divorce qui se crée entre ce que nous SAVONS et ce que nous avons ENVIE de retenir de ce que nous savons. Cette forme de somatisation est la plus courante. Par exemple, si vous avez trop de soucis et que vous pensez trop à des choses qui vous « rongent« , votre estomac va engendrer un ulcère. Si vous ne vous aimez pas ou/et que vous avez une très piètre opinion de vous même, c’est votre foie qui va en prendre plein la gueule, cela à cause de votre manque de… foi en vous !
Voyons à présent la seconde forme de somatisation : les kriya.
Certaines personnes qui avaient laissé de côté l’aspect purement spirituel de leur Nature, peuvent avoir des kriya, c’est-à-dire des réactions plus ou moins violentes, relatives à un changement radical de certains circuits énergétiques, ou encore, à cause d’une hyperactivité passagère de certains centres psychiques ou « Chakra » (sans le « s » au pluriel, c’est du sanskrit, pas du français !) Les kriya sont reconnaissables au fait qu’ils sont de nature psychique et ne ressemblent en rien aux symptômes des maladies les plus connues. Celui qui vit des kriya n’a pas trop envie d’aller consulter un médecin, car il a peur de se faire prendre pour un fou ! (Et on le comprend.)
Exemple de kriya :
*** Sortir de son corps, brusquement, la nuit, juste avant de s’endormir.
*** Avoir certaines parties du corps qui se mettent à chauffer, devenir glacées, vibrer, etc.
*** Sentir un courant d’air frais au bas du dos, au sommet de la tête ou sur le front, ou qui remonte de bas du dos jusqu’au sommet du crâne.
*** Sentir qu’on est très grand et voir une pièce dans laquelle on est, comme si elle était située plus bas que nous.
*** Sentir de l’énergie qui remonte du sol par nos pieds et circule « en bretelles » de chaque côté du tronc, derrière et ensuite devant.
*** Entendre des voix nous parler dans la tête, dans la poitrine ou légèrement décalées, sur la gauche de notre visage.
*** Se sentir touché, physiquement, par des êtres de l’invisible, etc.
Bref, tout ce que certains nomment « expériences psychiques« , est en fait des kriya, à savoir, des sortes de messages que l’être intérieur fait parvenir au « moi« ou à la personnalité physiologique.
Passons à présent ( et rapidement ) à la symbolique proprement dite, c’est-à-dire à ce qui nous permet de déchiffrer le langage naturel de notre subconscience. D’une manière générale, tous le côté droit du corps est lié au père, au futur, au mental et à l’activité. Le côté gauche est lié quand à lui à la mère, au passé, aux émotions et à la passivité. Nos jambes sont liés à la direction que prennent nos pensées (jambe droite) et/ou nos émotions (jambes gauche.) Nos bras représentent notre faculté à nous donner (droit) ce dont nous avons besoin (sans dépendance à autrui) ou à notre capacité à recevoir (gauche.)
Beaucoup de gens refusent de se donner (bras droit/main droite) certaines choses (temps, attention, amour, pardon, etc.) ou sont incapables de l’ouverture nécessaire pour recevoir (bras gauche/main gauche) ce qu’elles attendent des autres et leur réclament pourtant à grands cris. Si leur vie ne vas pas dans le sens où ils le désirent (jambe gauche) ou s’ils sont temporairement incapables de voir où les dirige un état d’esprit passager (jambe droite), on est en droit d’attendre des problèmes de santé pouvant affecter les parties du corps concernées et évoquées plus haut.
Il est assez connu que des problèmes de vue peuvent être occasionnés par une volonté de ne pas voir certaines vérités dérangeantes, de même qu’une subite surdité peut provenir d’un désir de ne pas entendre ce qui fâche… Bref, toutes les parties du corps, organes internes compris, ont un langage qui leur est propre et connaître leur symbolique revient à comprendre tout ce qui nous avait échappé sur nous-mêmes, que se soit sciemment (peur d’affronter certaines réalités) ou inconsciemment (schéma mentaux compulsifs et inconscients.)
Il faudrait deux ou trois tomes pour offrir une liste exhaustive de toutes les parties du corps et de leur symbolique attitrée. Mais ces quelques infos sauront déjà alimenter votre curiosité et vous pousser à mener votre propre enquête sur ce vaste sujet. Pour les autres, les passionnés et, en particulier, pour ceux qui suivent nos cours de psy éso, il y a le séminaire, sur quatre jours, de « la symbolique initiatique et du corps humain. »
Serge Baccino
Le terme « dynamique » est de plus en plus employé. Par exemple, dans « psychodynamique« , qui signifie à peu près « capacité motrice de l’âme. » Un terme qui est employé, entre autre, en psychologie académique (ou « des écoles« ) et qui l’est également en psy éso. Mais cette dernière ne donne pas à ce terme moderne le même sens. Pour la psychologie ésotérique (et non académique), il n’existe pas une seule psychodynamique mais deux.
1. La première dynamique est la plus connue : c’est celle de l’âme (psuké) et nous parlons alors de « psychodynamique » pour faire référence à la capacité de notre âme à se mouvoir d’un état d’esprit à un autre. Par exemple, si je suis d’un état d’esprit morose depuis quelques heures et que, tout à coup, il me vient des pensées – ou se produisent des évènements extérieurs- qui me SORTENT de ce marasme psychologique, c’est que je suis en train d’expérimenter ou de vivre une « psychodynamique. » En fait et plus sobrement, je viens de passer d’un état d’esprit à un autre, simplement en orientant mon attention mentale sur des pensées différentes de celles qui accaparaient, au préalable, l’avant-scène de ma conscience. Les très jeunes enfants ont une psychodynamique assez impressionnante. Un bébé peut passer du rire aux larmes en seulement quelques secondes. Nous avons tous été, peu ou prou, les témoins étonnés et attendris, de ce phénomène.
Lorsque nous faisons référence à « l’âme« , en psy éso, nous faisons allusion simplement à « Ce qui nous anime« , et non pas ce concept nébuleux et employé à tort et à travers, qui se réfère à cette partie de l’homme qui est immortelle et participe des plans spirituels. Et « Ce qui nous anime » se résume à nos pensées et à nos émotions. Emotions et Sentiments sont engendrés par nos processus mentaux : à chacune de nos pensées, appartient son sentiment ou son émotion connexe (qui lui est reliée, donc.)
La psychologie ésotérique enseigne que nos pensées produisent des émotions qui elles-mêmes génèrent des courants électriques nerveux qui conditionnent notre manière de nous percevoir, d’exprimer ce que nous sommes, de considérer le monde extérieur et les autres, bref, notre vie elle-même. Nos pensées conditionnent notre vie. Cela parce qu’elles produisent ou induisent une forme secondaire de perception du monde, qui n’est pas nécessairement conforme à ce qui existe effectivement (l’actualité.)
2. La seconde dynamique est celle de la Soi-Conscience (ou Conscience de Soi, c’est pareil.) Cette dynamique-là est beaucoup moins connue, car les ésotéristes – et les psy éso en particulier – sont les quelques rares à s’y référer, que ce soit dans leur travail (les exercices pratiques) ou dans leurs écrits. Cette dynamique est relative à l’énergie déployée par la conscience lorsque cette dernière réalise quelque chose. Cette réalisation (dans le sens de « prise de conscience« ) a pour effet immédiat de transformer non seulement sa manière de « voir » la vie, les choses et les êtres, mais également, de lui offrir LE POUVOIR de vivre, désormais, en conformité avec cette nouvelle réalité. Si la dynamique de l’âme engendre des changements dans notre façon de penser et dans notre comportement, sans qu’il nous soit utile de déployer le moindre effort, la dynamique du Soi transforme carrément notre réalité, aussi bien extérieure qu’intérieure, et sans efforts non plus.
Pour prendre un exemple, nombreuses sont les personnes qui croient, pensent ou acceptent cette idée que nous sommes tous divins, aussi bien en essence qu’en terme de possibilités. Mais rares sont celles qui l’on vraiment « réalisé » ou si complètement compris et admis, que leur vie même en a été entièrement et définitivement transformée. Les prises de consciences relatives à nos processus mentaux et aux sensations, perceptions et émotions qu’elles entraînent, ne sont pas suffisantes pour transformer notre vie. Pour cela, il faudrait que nous puissions bénéficier d’un POUVOIR bien plus conséquent, capable de transformer notre vie, du jour au lendemain, et sans la moindre action supplémentaire de notre part. Voici deux exemples qui vont nous permettre de bien différencier la première dynamique (de l’âme) de la seconde (de la conscience.)
Premier exemple.
Imaginez… Vous êtes marié(e) et vivez en couple, pour la troisième fois. Et pour la troisième fois également, vous découvrez, horrifié(e), que votre conjoint vous trompe avec l’une de vos connaissances ! Vous les surprenez tous deux dans un lit et… Dans une situation très peu équivoque ! Il s’agit bien là et à l’évidence, d’une prise de conscience, certes, mais cette dernière est relative au fonctionnement de vos sens objectifs, ainsi qu’à l’activité plus ou moins autonomes de vos processus mentaux et des (fortes) émotions qui en découleront. A la suite de cette mésaventure, la psychodynamique produite, transformera votre manière de considérer votre conjoint et, du même coup, votre manière de vous comporter avec lui. Il est même probable que cela vous confortera dans l’idée que les (hommes/femmes) sont rarement dignes de confiance.
(Retenez bien, s’il vous plaît, cette dernière phrase, en gras, pour la suite !)
Vous n’aurez pas d’efforts particulier à produire pour vous retrouver en état de confusion mentale, pour ressentir de la souffrance et de la colère. Ces choses-là seront produites par cette dynamique de l’âme, du fait même que vous venez de réaliser, par le biais de vos sens objectifs et des pensées et des émotions connexes, que quelque chose vient de changer, dans votre vie, à votre insu et contre votre volonté.
Il s’agit bien d’une prise de conscience, certes, mais pas vraiment d’une « réalisation« , car ici, la conscience que vous avez au sujet des évènements ayant entrainés ce changement de comportement, est relative aux sens et à ce qui vous a motivé (ou animé) par la suite, à savoir vos pensées et vos émotions. Mais il existe une tout autre conscience qui elle, n’est pas relative au fonctionnement de nos cinq sens objectifs. Ni même de nos processus mentaux et des émotions qu’ils feront naître. Cette conscience-là est dite « Vierge » (Mysticisme) ou « sans pensées » (yoga.) Elle est considérée comme étant totalement indépendante des sens physiques, des processus mentaux et des états d’âme.
Second exemple.
Reprenons le même cas mais cette fois-ci, avec pour résultante dynamique, une prise de conscience au niveau du Soi et non au niveau de l’âme. C’est la troisième fois que vous surprenez votre conjoint dans les bras d’un(e) ami(e) mais cette fois-ci, et contre toute attente, il se passe quelque chose, en vous, de très différent des autres fois… Au moment où vous prenez conscience des faits, vous réalisez brusquement que ce ne sont pas les êtres humains qui se « trompent » entre eux (se font cocus mutuellement) mais leur intellect qui se trompe d’idéaux en tentant de NIER leur véritable Nature !
Vous venez de comprendre, « avec les tripes », d’une manière parfaite, définitive, « cosmique », que c’est dans la Nature de l’âme humaine d’aimer et de rechercher l’Aventure et le Changement et que c’est dans les choses statiques ou récurrentes que l’âme s’étiole à petit feu et en arrive à se confondre avec tout ce qu’elle pense et ressent sans cesse et, surtout, avec ses PEURS.
Ce ne sont pas les hommes et les femmes qui ne sont que rarement dignes de confiance, mais leurs schémas mentaux qui conditionnent l’expression de ce qu’ils sont vraiment et une vie durant. Et cette prise de conscience est si puissante, si illuminante, que votre vie est transformée ! Comme ça, « gratuitement » instantanément et sans aucun effort ! Non seulement vous ne ressentez plus aucune blessure morale et donc, n’éprouvez plus aucune souffrance mais de plus, vous n’en aimez que plus encore votre conjoint ! (qui se demande du même coup s’il ne rêve pas !) Vous l’aimez non pas parce qu’il vient de vous tromper (sic) mais parce qu’il vient de céder à sa Nature véritable et, du même coup, vient de cesser de se tromper lui-même.
« Tu ne commettras pas d’adultère », énonce l’un des dix commandements de la Bible. Et aussi : « Tu ne convoiteras point la femme de ton voisin. » Enfin, et pour ce qui nous intéresse ici, il est dit : « Tu n’auras pas d’autre Dieu que Moi. » Et brusquement, vous réalisez que le véritablement sens de ces commandements est celui-ci :
» Tu ne chercheras point à sentir une chose et en penser une autre, car ce serait là le plus sur moyen de te tromper, de te trahir. «
» Tu ne chercheras point à ressentir une émotion différente de la tienne, de celle qui procède de ta propre façon de penser et cela, même sous le prétexte qu’un autre en ressent une plus belle, plus lumineuse et élevée que cette émotion que tu tiens pour tienne. «
» Tu n’auras pas d’autre Principe Directeur ou Maître que ta propre conscience de Soi. «
Sans doute qu’énoncé de la sorte et au vu de l’exemple aux accents les plus délicats (sic), il est difficile d’imaginer qu’un être humain ordinaire puisse seulement espérer vivre ce genre d’Éveil Spirituel ! Et pourtant… Nombreux sont celles et ceux qui l’ont déjà vécu, le vivent actuellement et le vivront plus tard ! Les gens qui sont en recherche de plus de Lumière, d’amour et de paix, seraient bien plus heureux s’ils réalisaient à leur tour cette vérité :
Si l’homme souffre, c’est parce qu’il essaye de réaliser lui-même et sans l’aide de Dieu, ce que Le Second seul est capable de réaliser mais sans l’aide de l’homme.
Nos prises de conscience spirituelle (Soi-Conscience) contiennent un grand secret : Elles représentent le pouvoir de Dieu en action en nous et tout autour de nous. Elles sont surtout un moyen de faire cesser toutes formes de souffrances relatives à la peur et/ou à l’orgueil humain. L’homme ne peut rien sans son Dieu, il serait grand temps qu’il en prenne conscience afin de mettre un terme à cette aberration mentale qu’il nomme pompeusement « ma vie. »
Cordialement votre
Serge Baccino