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Le chantage à la vaccination

Le chantage à la vaccination
(Ou comment l’État aura le dernier mot sur les mamans qui travaillent.)

Il est d’actualité de s’indigner en bonne mère de famille que l’on est.
«  Comment ? Vous dites onze vaccins obligatoires ? Et s’ils sont eux aussi frelatés, ce sera pareil ? » Réponse : Oui, ce sera pareil. Et d’ailleurs, personne ne dit que vous avez (encore) le choix (lisez le texte de loi en entier.)

Vous croyez-vous en démocratie ou quoi ?

Voici les faits purs et durs autant que crus, j’en ai bien peur et je m’en excuse par avance auprès de toutes ces mamans courageuses qui travaillent et ont de jeunes enfants à charge. Car cessons de nous voiler la face : les plus indigné(e)s seront évidemment les mères de famille qui travaillent !

Et ce qui les indignera plus encore, c’est lorsqu’elle vont réaliser, effarées, que le fait que la vaccination soit obligatoire ou non, légalement parlant, est bien le dernier de leur souci ! Le problème, si problème il y a, car le gouvernement a pensé à tout, comme vous allez le constater plus loin, c’est que le débat ne portera même plus sur la santé ou même sur l’abus médicinal (forcer à acheter un produit et faire les beaux jours des lobbies pharmaceutiques.)

Le vrai problème est ailleurs et il n’est pas question de législation ou d’abus de pouvoir mais de délit pur et simple ! En effet, la prise d’otage est illégale en France, du moins aux dernières nouvelles. Et toutes les mamans qui travaillent seront très bientôt prises en otages, puisque bien obligées de faire vacciner leurs mouflets, qu’elles le veuillent ou non !

Pourquoi ? Parce qu’elle travaillent, bien sûr ! Et quant on est une mère qui travaille, pas question d’essayer de faire chanter le gouvernement en le menaçant de ne plus mettre son gosse à l’école ! L’enseignement (et non l’école) est obligatoire, en France. Tout est d’ailleurs devenu « obligatoire », en France, au cas que vous auriez loupé un chapitre de notre vie politique.

Ici, le Maître-Chanteur, orfèvre en la matière, est le gouvernement lui-même. Si la mère veut que son fils soit instruit, elle doit le mettre à l’école, direz-vous ? Non, ce n’est pas là le véritable motif et toutes les mamans le savent très bien !
Si elles ne peuvent plus mettre leur gosse à la crèche, à la maternelle ou à l’école, fut-elle privée (et donc hors de prix) elles ne pourront plus aller travailler ! Voilà le véritable problème.

Et elles ont absolument besoin de mettre leurs enfants à l’école !

Et la vaccination à l’école est devenue obligatoire, pas la vaccination en elle-même ! Autrement dit, vous êtes libres de refuser de faire vacciner vos enfants, certes, MAIS dans ce cas, aucune école ne pourra les accepter (à cause des  » risques « , vous comprenez ^^) Vous captez la subtile manière d’imposer en faisant mine de proposer et de conserver à chacun et à tous, un même degré de liberté ? Sans compter qu’il s’agit-là d’un comportement plus qu’irrecevable en plus d’être farouchement antidémocratique ! Puisque impossible à contourner.

Dès lors, il n’est plus question de liberté, mais de savoir si les mamans pourront continuer d’aller bosser en paix ou pas ! Le débat véritable se situe à côté de celui que l’on essaye de nous fourguer à la va-vite, à grand coups de vraies fausses informations, véhiculées par des Médias qui ne cachent même plus leur corruption et leur allégeance aux pouvoirs en place.

Si les mères qui bossent toute la journée payent des cours privés à leurs gamins, elles dépenseront alors autant qu’elles ne gagnent, actuellement. Autant leur proposer de payer une nurse à domicile et à plein temps, et de se ruiner ainsi et encore un peu plus pour le fisc !

Car au cas où vous l’auriez oublié, la moitié de votre fric appartient déjà à l’État, et ce, avant même que vous l’ayez gagné ! Déclarer TOUS ses revenus, ainsi que TOUTES les dépenses incluant des mouvements d’argent, est aussi obligatoire à n’en plus pouvoir. Il ne manquerait plus que vous décidiez de payer des jeunes filles au noir pour garder vos enfants ! Vous voulez affamer nos Ministres tous maigres, ou quoi ? Non, le problème est insoluble et lutter n’est même plus une option d’actualité. La solution est de céder au chantage, à cette véritable prise d’otage socioculturelle, du jamais vue dans les annales, même de la France, pourtant bien troussée et dans toutes les positions depuis les tout premiers Rois de France.

Alors les mères vont céder au chantage, quelle autres solutions ?
De toutes manières, je puis vous assurer que des secrétaires d’État ont planché sur le sujet et qu’ils ont déjà prévu toutes les contre-attaques possibles et imaginables, envers celles et ceux qui se berceraient d’illusions en croyant pouvoir jouer aux petits malins qui passent outre ! La moindre de vos futures astuces est déjà éventée ! Un médecin complaisant, par exemple ? Ils seront tous traqués sans pitié et expulsés de l’Ordre des Médecins, qui ne se mettra jamais Big Boss à dos ! Certains collabo feront d’ailleurs mine de faire appel à la complaisance des médecins à ce propos, et ce seront en fait des contrôleurs mandatés par l’Ordre, déguisées en bonne mère de famille qui s’inquiète pour ses pauvres bambins ! Cela aussi c’est nouveau, car une telle organisation, une si grande variété de corps de métiers se liguant contre le peuple, cela ne s’était encore jamais vu ! Sauf dans un pays totalitariste, évidemment.

Or donc, si vous appréciez votre médecin, ne lui demandez pas de se commettre dans de fausses déclarations (faux carnets de vaccination), car ce seront alors ses organes génitaux que vous lui demanderez de poser sur le rebord du billot ou de la guillotine administrative ! Encore une fois, vous n’avez qu’une seule chose à faire : céder au chantage.
En fait, non, vous avez deux choses à faire : céder au chantage, certes, et parce que vous n’avez plus d’autres choix, et réaliser comment font les leaders politiques pour vous imposer des lois qui se retournent contre vous. Et la réponse est très simple : ils attendent sagement que vous continuiez à voter pour eux ! Hilarant, non ? Non ???

Finalement, que le hommes politiques abusent de ceux qui les mettent au pouvoir, c’est encore la meilleure manière de SECOUER LES CONSCIENCES et de leur faire ADMETTRE certaines réalités vexantes. Surtout pour le peuple. Et l’une de ces réalités et non des moindres, c’est que le peuple français semble être payé en retour et selon ses mérites.

Quant on est assez imprudent (pour rester poli) pour confier à d’autres, le pouvoir de décider de notre train de vie, de la santé de nos enfants, et tout cela, soit disant « pour avoir la paix », à quoi s’attendre d’autre ?

Avons-nous le droit de supposer que ceux que nous mettrons au gouvernement dans l’espoir immature qu’ils travaillent pour nous, ne seront pas tentés, une fois élus, de non seulement travailler pour eux mais en plus, se retourner contre la main qui les nourrit, afin de la mordre jusqu’au sang ? Et surtout, comment inspirer à tout un peuple autant soumis que programmé, et ce depuis des siècles, le souffle nouveau d’une liberté inusité mais si précieuse, quant on espère être enfin heureux ? La réponse est évidente : on le confronte à l’impensable, à l’inadmissible, et il se met à penser différemment et à ne plus admettre d’être celui qui est toujours assez bête pour placer au pouvoir ceux qui deviennent à chaque fois ses plus fidèles tortionnaires.

Combien de temps devrez-vous souffrir de la vindicte de ceux qui vous font chèrement payer le fait qu’ils n’existent que grâce à vous ?

Ou sinon, essayez de chercher l’étymologie des mots  » élu  » et  » élire  » et vous verrez qu’il n’y a pas lieu de se glorifier, quand l’on a du pouvoir que parce que les autres nous l’ont offert.

 

Serge Baccino

Vous avez dit tolérance ?

Épisode deux : le retour du Jet d’Ail.

 

Il existe un aspect non reconnu de l’intolérance : c’est l’intolérance de ceux qui ne supportent pas l’idée qu’ils ne sont pas acceptés ! Cela pourrait ressembler à un bon mot, à un gag ou à une manière de se dire que nous ne sommes pas clairs, nous qui nous croyons si « transparents » (ou « spirituels ») ! Mais le sujet entraine tant de colère et de haine, aussi inutiles que mal orientées, d’ailleurs, qu’il serait peut-être bon d’apprendre à freiner avant que ce soit la Grande Vie qui nous l’impose. Une bonne fois pour toutes ! Ainsi ce matin, sans vraiment le souhaiter ni même me rendre compte de ce que je faisais, je me suis retrouvé à lire des propos bien étonnants de la part de personnes prétendant « souffrir de l’intolérance d’autrui », alors que leurs propres propos étaient remplis… D’intolérance.

 

D’intolérance envers… L’intolérance ! Gag ! En fait, ils n’aimaient pas ce qu’étaient et vivaient les autres (cela ne vous rappelle t’il rien ?) Personne ne semble vouloir se poser la question de l’origine spirituelle (spirituel = « relative à l’esprit humain ») de l’intolérance, chacun étant bien trop occupé à s’en prétendre la victime innocente, bien évidemment. Ainsi, le Musulman se plaint d’être rejeté, lui dont la religion traitait jadis le Catholique de « chien de Chrétien » (vérifiez, au cas, puis rejoignez-nous en cours de route.) A son tour le Chrétien pleure ses plus fervents disciples, persécutés, jetés aux lions et malmenés au cours des siècles d’obscurantisme, en oubliant étonnement, QUI fut le plus raffiné et efficace en matière de sévices, d’obscurantisme et de persécutions en tous genres, nonobstant le fait que toutes ces choses, comme pour les premiers, étaient perpétrées au Nom de Dieu ! (Tant qu’à faire, autant se le mettre dans la poche dès le départ !)

 

Or donc, ce matin, je lisais les propos passablement contradictoires de personnes se réclamant qui de la « pure » Chrétienté, celle « sans concession aucune », comme il se doit pour un groupe se réclamant de Droit et d’Amour divins, ainsi que ceux de personnes homosexuelles, en ayant apparemment marre de se croire persécutés par la vindicte des premiers (les religieux, pieux jusqu’aux organes génitaux.)

Bien sur, il est facile de tout de suite déraper, en hurlant d’indignation (et surtout, d’incompréhension) : «  Alors quoi ? Les Homosexuels n’ont pas le droit de vivre et de le faire en paix ? » Certes, ils en ont le droit, voire le devoir ! Surtout en ce qui concerne la seconde partie : la paix ! Mais est-ce vraiment la paix, qu’ils désirent, au fond de leur cœur supposément agressé par l’intolérance d’autrui ?

Quant aux Chrétiens de la dernière heure, dont l’âme se dissolve à force d’être encaustiquée et fourbie à la va-vite, il semblerait que les homosexuels et ceux prônant l’avortement (par exemple et entre autres ), ne sont que des suppôts de Satan et – je cite – « ne valent pas mieux que les pédophiles. »(C’est du moins ce que je lisais il y a une heure à peine, je n’invente rien hélas !)

 

Tant d’amour, de compassion et de tolérance fais plaisir à voir, non ? Et puis vous savez pas ? Non ? Les femmes une fois enceintes, n’ont pas le droit d’avorter ! C’est un crime ! C’est Dieu qui l’a dit, n’est-ce pas ? Par le biais d’un livre. Car apparemment, Dieu est muet et ne sait qu’écrire. Aussi, quelle idée de croire, mesdames, que votre ventre vous appartient ! N’avez-vous pas compris qu’il appartient aux religieux qui seuls, connaissent – et font appliquer aux autres – la parole (écrite) de Dieu ?

Si on lève le pouce dans l’espoir de faire taire trente seconde tout ce beau monde rempli du désir de se battre bien plus que de celui de vivre en paix et respecté de tous, il en ressort quoi, finalement ? Il en ressort que toutes ces personnes sont intolérantes à n’en plus pouvoir ! Et le pire, c’est qu’elles n’en ont même plus conscience (ou plus envie de s’y arrêter, sans doute aussi.) Pourquoi est-ce que j’affirme haut et fort qu’elles sont devenues elles-mêmes intolérantes ? Parce que sous prétexte de liberté, elles font mine de fouler aux pieds celle des autres, tout bêtement.

 

Une histoire vieille comme les hommes et qui se répètent inlassablement et au cours de siècle, c’est vrai. Mais bon, « Bis répétita placent », dit-on. En vérité, quelle différence entre le Chrétiens attardé et vindicatif, et l’homosexuel qui exige que chacun l’accepte tel qu’il est et sans broncher et qu’il le confirme, socialement ou aux regard de tous ? Pourquoi serait-il plus « naturel » d’être homosexuel que chrétien ou islamiste ou je ne sais quoi d’autre encore ? Pourquoi devrait-on tous y souscrire sans mot dire ? Un tel état d’esprit porte bien un nom, il me semble, non ?

Le chrétien refuse les autres « en l’état », tout comme l’islamiste, certains homosexuels et… La plupart des autres, qui n’ont même plus la force de se réclamer de tel bord ou de tel autre, tant ils ne savent plus comment se manquer de respect, en se disant tantôt « pour les uns » et tantôt « pour les autres ». C’est la dépersonnalisation sous son ultime forme, pour ne pas dire la « dé-cérébralisation. » Bien sûr, il est de bon ton de se dire Chrétien quant on « surfe » sur la page Facebook d’un catholique fervent et convaincu ! Ben tiens, on peut être français, on n’en est pas moins fin stratège !

 

De même, se dire « pour l’homosexualité » quand on fraye sur leurs pages est également de bon ton. A croire que le français ne sais plus à quel étiquette se condamner. Bien que certains passent de l’une à l’autre dans la même journée. En fait, ils changent si souvent de veste, que désormais, certains n’en portent même plus !

Cela dit, à quoi rime ce pamphlet outrancier pour qui a décidé de condamner à la va-vite plutôt que de comprendre ce qu’il tente de pointer du bout de l’âme ? Il semble énoncer des évidences, voire des platitudes. C’est fort possible. Du moins si le fait d’accepter l’autre « en l’état » et sans faire d’histoire dans l’espoir de le plier à soi, est devenu une chose impossible pour le Musulman, le Chrétien ou certains homosexuels. Et je ne cause même pas des autres, tant ils se veulent nombreux !

Bizarrement, chacun d’eux se plaint d’avoir du subir qui le racisme, qui l’intolérance « des autres. » Ce sont toujours « les autres », qui incarnent le Mal, suivez un peu, que diable ! Cela dit, voilà un bien drôle de manière de « montrer l’exemple », une fois que les uns et les autres ont fini par être « acceptés » par tous et par chacun ! Acceptés, disais-je ? Excusez-moi, j’ai quelque soucis avec les touches de mon clavier et en plus, ce qui n’arrange rien, je suis un peu idéaliste, quand je me laisse aller !

 

J’oubliais que faire semblant est devenu de mise, juste avant de crier haut et fort que l’on n’accepte pas que d’autres remettent en cause notre engagement envers une véritable DémoNcratie ! Mais existe t’il une solution à ce malaise général, me demanderez-vous dans un dernier souffle d’espoir ? (Oui, je sais, je commets aussi un peu de poésie, lorsque je me laisse aller.) Bien sur que oui ! D’ailleurs, l’esprit universel (ou Dieu, pour les intimes de toutes confessions) a depuis longtemps trouvé la solution ! Une solution que vous connaissez aussi, soit-dit en passant !

Que font de bons parents quand leurs deux enfants se chamaillent sans cesse ?bRéponse : Ils les séparent. Bah oui, c’est tout con, je sais bien ! Et s’ils le peuvent, ils offrent une chambre à chacun des deux. (Et la nuit au moins, ils ont la paix, mais chut, ne nous montrons pas par trop vexant.)

« Dans la Maison de Mon Père, il y a de nombreuses… Chambres… » Aurait pu tout aussi bien dire le Maître de Galilée. J’ai remarqué le problème réel de celles et de ceux qui placent apparemment la tolérance, l’intelligence et le bon sens, en première ligne : ils n’en font montre que pour prouver que les autres n’en ont pas !  Un peu léger, comme démonstration, ne croyez-vous pas ? Mais que chacun se fasse juge pour soi.

 

Car en fait, qu’est-ce qui est le plus important, en fin de compte, de vivre tranquillement son Islam, sa Chrétienté ou son homosexualité, ou bien d’aller faire la guerre à tous ceux qui ne sont pas d’accord avec nous ? Et d’ailleurs, de quel droits ne sont-ils pas de notre avis, ces salauds !

On se le demande. Personne ne semble avoir envie de voir puis de souligner que si vous allez CHEZ les Musulmans pour leur prêcher l’Évangile, vous êtes coupables de guerre ! Pourquoi ne pas rester dans la Maison de votre Père et plus particulièrement, dans la Chambre qu’il vous a allouée ? Lui sait très bien que vous n’êtes pas encore assez matures pour vivre en bonne compagnie de TOUS vos semblables (la preuve). Alors il vous a offert une Chambre à part !

S’il vous plaît, restez-y et n’en sortez que lorsque vous serez capables de faire montre de cette même tolérance que vous exigez à grands cris des autres. Merci pour la paix et bien être de tous ceux capables -non pas de suivre mon conseil (prout !)- mais de suivre le bon sens le plus élémentaire qui soit ! Un sens qui devrait aussi être le vôtre et vous profiter pleinement. Du moins si votre recherche de paix et de liberté POUR TOUS est sincère !

 

De l’Autre-Côté du Voile (après la mort du corps physique, donc), lorsque vous y serez, vous pourrez alors constater la véritable Sagesse Divine, qui consiste à allouer un plan entier à ceux qui ne sont pas encore capables de vivre en véritable et complète Communauté. Une Communauté n’est pas formé d’êtres seulement mais d’une intention commune de vivre une même chose, en toute liberté et respect de chacun. De l’Autre-Côté, il y a même des sous-plans, pour ceux qui veulent être (par exemple) religieux, mais à leur manière ! Voyez à quel point se Manifeste la Véritable Bonté, la Tolérance la plus authentique qui soit, du moins pour ceux encore capables de la voir puis de l’accepter.

S’il vous plaît : restez chez vous ! N’allez plus rechercher une excuse pour faire la guerre à ceux qui sont différents de vous, en allant lire puis critiquer d’autres pages que les vôtres !

A ce jeu là, vous serez toujours blessés et vous le savez très bien ! Comprenez enfin que les autres ne vous doivent rien ! Et encore moins le respect que vous refusez vous-mêmes de leur témoigner. Essayez d’en être enfin conscients ! Partagez vos idées, bien sûr, mais uniquement avec ceux qui les acceptent ou ont l’intelligence de les tolérer ! Mais ne réclamez pas des autres ce que vous êtes encore bien incapables de leur offrir à eux : la tolérance et la pleine acceptation de qui vous êtes vraiment.

 

Ou alors reconnaissez l’évidence : votre besoin impérieux de vous fighter, peu importe pour quelle obscure raison et avec qui, du moment que vous réussissez à cracher aux autres le venin que vous n’avez pas réussi à cracher en son temps et dans votre propre famille de sang. Car c’est dans sa propre famille, uniquement, que l’on peut le plus se sentir différent et rejeté. Admettez-le enfin puis passez à autre chose !  Ou voyez ça en famille et conservez précieusement votre linge sale pour le laver avec qui de droit. Faites-le au moins pour vous, si vous ne vous sentez pas capables de le faire pour autrui. Car sinon, vous ne serez JAMAIS en paix, sur la Terre comme aux cieux. Après, rien ne vous oblige à croire ces paroles…

Pour ma part, je peux bien m’entendre avec tous ceux qui s’entendent bien avec moi (fallait y penser, je sais, je sais.) Mais cela ne signifie pas que je sois « pour » la religion, l’homosexualité ou je ne sais quoi d’autre ! Je ne cautionne rien, j’accepte que tout existe, que cela me plaise ou non, car je sais et je comprends que je ne puis rien y changer. Alors, je fais avec ! Tout en conservant mes idées pour moi, ces questions ne me dérangent pas. Je ne suis ni « pour » ni même « contre », je laisse cet état d’esprit tranché à ceux qui n’ont pas d’autres options à leur disposition immédiate.

 

Par contre, j’avoue volontiers qu’une chose, une seule, me gène encore et quelque peu aux entournures : c’est le despotisme sous toutes ses formes !

Cette plèvre humaine lamentable qui consiste à tout faire pour imposer ses propres idées aux autres. Et le pire, c’est encore que ceux qui semblent défendre la même idée, me paraissent bien souvent plus tyranniques que les autres. Discutez à contrario avec un Végan, et vous m’en direz des nouvelles ! Bien heureux celui qui comprend que ceux qui sont actuellement « au pouvoir » sont exactement à leur place et n’ont d’ailleurs pas quittés celles qu’ils occupaient avant ! Ou du moins, ceux qui occupent à présent leur ancienne place, pourraient tout aussi bien occuper la leur et faire « aussi bien » qu’eux !

Sur ce, j’ai assez écrit, encore trop sans doute, mais du moins suffisamment pour alimenter les ragots ! Après tout, certains ne vivent que pour ça et par ça ! Il en faut pour toutes les bourses, comme le répétait une péripatéticienne de mes amies. Bien à vous tous et quelle que soit votre confession religieuse, vos idées spirituelles ou votre manière de faire l’amour, avec qui ou avec quoi !

 

Serge Baccino

De l’intérêt d’un enseignement spirituel à la « Tout et n’importe quoi. »

On le dit souvent, même si c’est sans trop y croire : « Les ésotéristes ont tendance à trouver du bon là où d’autres ne voient que du mauvais. » Mais il s’agit moins là d’une volonté de ne retenir que le Beau, le Bien et le Sain, que de bouder mieux encore, le Laid, le Mal et le Malsain à n’en plus pouvoir. L’idée est de savoir faire « feu de tout bois », comme seuls les initiés de l’ésotérisme savent le faire depuis toujours, sous la bienveillante inspiration de diverses Fraternités. Par exemple, nous voici rendus à une époque où chacun se croit obligé, après avoir lu un bouquin ou deux et suivi un ou deux stages de formation accélérée, de se présenter en instructeur, en guide spirituel ou en « Coach », comme il est actuellement de mode de se réclamer.

Est-ce mal ? Est-ce bien ? Est-ce seulement utile ? Je laisserai à chacun le soin de répondre personnellement aux deux premières questions, cela parce qu’elles me paraissent justement, relever de la seule personnalité qui observe, qui juge ou qui préfère comprendre tout d’abord. La dernière question paraît par contre bien plus intéressante. Et j’ai failli écrire « excitante » ! La question qui me semble la plus intéressante, dans l’immédiat est donc celle-ci :

« Cette recrudescence d’instructeurs et de guides humains est-elle seulement utile ? »

Ma réponse est sans appel : Oui ! Oui, et oui encore ! Quelques-uns s’imaginent encore qu’auparavant, la Connaissance Initiatique n’était réservée qu’à « une élite. » On serait en droit de se demander : « Une élite ? Soit, mais… Selon qui ou quoi ? » Si élite il existait, la vrai question ne serait pas de critiquer les faits, de les dénoncer ou même de s’insurger sur son apparente « injustice. » Une injustice qui, soit dit en passant, se résume à cette question plus de douze fois millénaire : « Pourquoi lui et pas moi ? » En effet, pourquoi certains auraient-ils le « droit » d’accéder à une véritable Connaissance, alors que d’autres n’auraient apparemment pas cette « chance » ?

Mais est-il vraiment question de « chance », au fait ? Peut-être devrions-nous trouver en nous le courage de nous poser cette redoutable question. Si redoutable, en fait, que l’on serait tenté de se dire qu’une partie de nous connaît déjà (et hélas) la réponse ! Or donc, quel pouvait bien être ce critère de sélection ? S’il y avait une élite ou supposée telle, nous serions en droit de nous questionner quelque peu à son sujet. Qui ou quoi décide du fait que celui-ci sera initié et fera partie de cette « élite », tandis que tel autre ne sera pas initié et n’en fera pas partie, voire jamais partie ?

Au premier regard, celui bien plus prompt à juger qu’à essayer de comprendre vraiment, on peut s’attendre à quelques commentaires plus ou moins obligeants. En effet, qui oserait s’arroger le droit et donc le pouvoir évidemment discutable, de trancher en la matière ? Quels sont d’ailleurs les critères de présélection, faisant que celui-ci sera pressenti mais pas celui-là ?

Avec ce genre de questionnement, celui qui l’initialise peut très vite se retrouver conduit à l’échafaud dont l’unique bourreau est la raison raisonnante lorsqu’elle est affectée par une foule d’idées préconçues, engendrant des émotions dont la qualité ainsi que la clarté laissent beaucoup à désirer. En clair, l’émotionnel s’empare très vite de ce genre de sujet, rendant rapidement tout forme d’échange aussi inutile que laborieux. Pour ne pas dire mieux !

Étonnement, personne ne s’est jamais posé cette savoureuse question : « Mais est-il seulement utile voire possible, que la volonté d’un autre se dresse en juge sur ce chemin qui nous sépare encore de la véritable initiation ? »

Plus sobrement, est-ce nécessairement un tiers qui fera de nous le membre d’une élite, si une quelconque élite il y a ?  La question est risquée, évidemment. Comme nous le comprendrons plus loin.

Sans doute est-ce la raison profonde de sa plus que suspecte absence, au sein des différents discours de spiritualistes se réclamant de la justice pour tous et pour chacun ? C’est également ce que nous aurons le loisir de vérifier plus loin. Plutôt que de se poser cette angoissante question, dont la réponse nécessite bien plus de force de caractère que réelle « volonté de partage pour tous », référons-nous à son « pôle inverse », à savoir nos temps modernes, soit les années 2017 et plus. Quel est « le pôle inverse » d’une époque, à présent révolue, dans laquelle une élite spirituelle avait seule accès à l’Enseignement sacré et Initiatique, seul garant d’un changement intérieur véritable autant que probant ? Il s’agit d’une époque dans laquelle tout le monde et donc, n’importe qui, peut se mettre à instruire tout le monde, cela avec n’importe quoi, après seulement quelques rapides études, le temps étant désormais une denrée plus précieuse que l’or lui-même.

Très bien, mais en quoi cet état de fait, sans doute discutable autant que judicieux (selon qui aborde le sujet et à partir de quel état d’esprit spécifique) est-il révélateur de cette époque apparemment « révolue » ? Pour le comprendre, il est nécessaire d’écouter ou de lire, celles et ceux qui, avec courage, se lance dans la Ronde infernale du développement personnel.

Que disent ces personnes, après un rapide survol de tout ce qui leur est proposé sur le marché de la spiritualité moderne ? En substance, elles disent ceci : « Nous ne savons plus où placer notre confiance, tant sont nombreuse les tentations de suivre les promesses de celui-ci ou même de celui-là ! »

Ou encore : « Il existe tant de versions, d’idées opposées pour ne pas dire contradictoires, que nous ne savons plus à quel saint nous vouer ! »

Bien sur, cette manière de tourner les phrases n’est pas le fait des chercheurs sincères et de ceux qui le sont beaucoup moins : elles est de moi. Mais comme je le disais plus haut, « en substance » ou « dans les grandes lignes », voici à quelles conclusions navrantes en arrivent celles et ceux qui désirent progresser vraiment dans le domaine de la spiritualité. Un domaine dans lequel se côtoient Requins du Marketing et véritable initiés à la Sagesse antique, mais remaniée pour la faire correspondre aux besoins réels de nos contemporains.

En somme, sur une page Facebook vous pourrez trouver les offres alléchantes d’un gourou de pacotille en mal de reconnaissance ou gourmand en termes monétaires, et sur une autre page et juste après, une personne sincère, honnête et correctement initiée, qui désire vraiment partager de véritables connaissances.

Je laisse à chacun le soin et surtout, la pleine responsabilité de définir, pour lui-même et par lui-même, quelle est la quantité de personnages sains d’esprit et de cœur, et quelle est la quantité de personnages peu recommandables. L’idée est de vous faire entrevoir une vérité qui, si elle n’est pas « bonne à dire », sera précieuse à comprendre pour celles et ceux qui en ont marre de nourrir les affamées de l’âme qui se cachent sous le déguisement et l’enseigne opportunistes d’un restaurateur. Celui qui est affamé peut-il nourrir son prochain ? Voilà la véritable question. Or donc, les chercheurs de vérité, et quel que soit leur degré d’investissement et de probité mentale, ne savent plus vraiment à quel saint se vouer et donc, à quel prétendument  formateur ou Coach de vie se fier.

Comprenez par là qu’il existe assurément autant d’escrocs notoires et de mythomanes avérés, que de personnes sincères et capables de servir provisoirement d’enseignant. Comment s’y retrouver dans cette forêt (plus très) vierge de propositions plus ou moins alléchantes ? Comment faire confiance, après tout ce que l’on peut lire ou entendre ? Mais au fait, à qui ou à quoi devriez-vous « faire confiance », en l’occurrence ? En de simples humains comme vous, peut-être seulement un peu plus avancés dans la Reconnaissance de « Qui ils sont vraiment », ou à votre propre intuition ?

Et qu’en est-il de vos présumés « Guides » et « Anges » qui, depuis l’invisible, sont censés vous guider et veiller sur vous ? Ont-ils tous disparu, lors de quelque guerre cosmique autant que fratricide ? Ou est-ce votre confiance en vous et donc, votre confiance en eux, ce qui revient au même, qui a désormais déserté le cœur de l’homme ? Et s’il existait bien « une élite » ?

« Mais c’est affreux, ce que vous dites là ! », s’écrieront en cœur, grenouilles de bénitier et tous ceux apeurés à la seule idée de ne pas faire partie de cette élite. « Pourquoi eux et pas moi ? » A cette redoutable question, il existe une réponse plus redoutable encore :

« En effet, pourquoi pas toi ? »

Qui d’autre que vous peut prétendre accéder à une élite qui, forcément, existe que cela vous défrise ou vous réjouisse au plus haut point ? Une élite qui ne dépend pas d’une autre volonté que la vôtre, d’un autre effort que celui permettant de se hisser jusqu’au niveau enviable (et très envié) de cette élite humaine puis de s’y maintenir, coûte que coûte.

Mais quel rapport avec nos temps modernes ? Le rapport est évident, mais nécessite tout de même un peu de réflexion et de discernement. De réflexion posée ! Autant dire une analyse aussi « froide » qu’impersonnelle, ne laissant aucune place à toutes ces émotions aussi intempestives que dérisoires, qui accompagnent généralement ce genre de sujet, un tant soit peu subtil il est vrai.

Le rapport est évident, disais-je. Car posez-vous cette question : « Sur mille personnes désireuses de se lancer dans la spiritualité la plus authentique et sure, combien finissent par tomber sur des mécréants, et combien sur de véritables garant de la liberté de tous et de chacun ? »

Êtes-vous certain de vouloir connaître la réponse ? Or donc, qu’avons-nous là pour notre étude sociologique ? Nous avons un grand nombre (pour rester poli), de chercheurs qui n’arriveront, en fin de compte, qu’à perdre leur temps ainsi que leur argent. Et encore, cela pour les plus chanceux ! Les autres, pour « le très petit nombre », comme disait un Maître du passé, les choses se passeront différemment. Ces quelques personnes apparemment « chanceuses », accèderont à la plus enviable des positions humaines : celle d’être vraiment eux-mêmes et de goûter enfin à tout ce que cela implique !

Aux yeux de ceux qui ne savent que juger selon les apparences et qui désirent tout avoir tout de suite mais sans rien payer en retour, ne serait-ce que de leur patience et de leur sincérité, il semblera qu’il y ait de nouveau « une élite » ! Et, en effet, cette élite-là n’est en rien différente de la première, celle des temps jadis.

A nouveau, ce sont des femmes et des hommes simples, courageux et confiants en l’avenir de l’humanité, qui auront fait les efforts nécessaires pour s’élire eux-mêmes au statut de gens heureux et fiers de l’être. Autrement dit, au statut d’initié, de celui ou de celle qui, enfin, commence à être et à vivre vraiment.

 Alors oui ! Sachez que depuis toujours et pour toujours, il existe et existera « une élite », un groupe de gens ordinaires décidés à ne pas le demeurer et se donnant pour cela tous les moyens de se sortir la tête de leur postérieur !

Un groupe de gens peu nombreux, certes, car peu nombreux sont les personnes dont la recherche soit aussi sincère qu’honnête. Alors de telles personnes s’élisent elles-mêmes et s’offrent le droit de rencontrer celles et ceux aussi honnêtes et sincères qu’elles. Des personnes qui détiennent de véritables clefs, conduisant à de réels changements. Observez bien la Toile et jugez à quel point les gens paraissent indécis et en un mot, complètement paumés ! Est-ce un mal de présenter les faits ? Chaque année voit arriver sur le Marché (très juteux) de la spiritualité, des hommes et des femmes qui ont pour seul besoin d’être « pris en main », c’est-à-dire d’être complètement assumés. Alors puisque c’est réellement ce qu’ils cherchent, c’est ce qu’ils trouvent, en vérité !

Chacun trouve ce qu’il ne fait que posséder en lui-même et à son insu. L’extérieur n’est qu’illusoire bien que pratique pour réussir à se rencontrer. Un extérieur se faisant le fidèle miroir de l’intériorité des êtres. A celui qui a besoin d’être assumé, il sera donné celui qui a encore besoin de se sentir utile aux autres. Mais seul celui qui a besoin de liberté, trouvera celui qui a appris à être libre et qui est seul capable d’en montrer le Chemin, parsemé de trous, de pierres d’achoppement et d’épines. Alors celui-ci qui n’est sincère et honnête qu’occasionnellement, rencontrera celui qui n’est instruit et réalisé qu’imparfaitement. Ce qui n’est que justice, ne trouvez-vous pas ? Mais à celui dont la volonté et tendue de courage et dont la ferveur n’a d’égal que sa gratitude à recevoir, il sera donné l’or, la Myrrhe et l’Encens. Assurément.

Vous avez dit « élite » ? Moi je ne vois que des femmes et des hommes dignes de respect et capables de trouver celles et ceux qui sont exactement comme eux, mais avec seulement quelques années d’avance. Si ce texte vous interpelle, tant mieux pour vous ! S’il vous révulse, tant mieux pour vous ! Dans tous les cas, vous ne serez que face à vous et à votre propre Regard projeté sur le Monde. Cela, même les faux instructeurs commencent à l’enseigner ! Bien que tous ne soient pas encore disposés à le vivre.

Comme l’indiqueront d’ailleurs et au fil du temps, certains commentaires de ceux trop émotifs encore pour réussir à mentir sur leurs réactions épidermiques à ce qui les dérange durant leur sieste spirituelle.

Bien le bonjour à tous !

 

Serge Baccino

Pour revenir un peu sur cette histoire de secte…

se distinguerIl faut comprendre le cheminement psychologique d’un étudiant de la psy éso qui, après un an ou un an et demi d’étude, s’entend dire, un beau jour et par les membres les plus proches de sa propre famille, qu’il a changé, en particulier, depuis qu’il est entré dans « sa secte » ! Quand on comprend ce qui se passe exactement et que l’on y est préparé, on peut renvoyer l’ascenseur et clouer le bec instantanément à ceux qui le méritent (et dont on ne raffolait déjà pas, n’est-ce pas) et on peut démontrer aux autres (plus appréciés) qu’ils sont pour le moins gonflés.

Alors, qu’est-ce qui se passe, exactement ?

trop en demanderVoici la réponse, d’une logique hélas dévastatrice et incontournable. Comme vous le savez, vivre en communauté et, plus encore « en famille », cela réclame énormément d’efforts. Par exemple, de se montrer patient, tolérant, de fermer les yeux sur pas mal de choses, bref, de se trahir de plus en plus, avec les années, et cela sous le prétexte merveilleux de « conserver une ambiance positive », dans la famille ou dans un groupe quelconque.

Très bien, ça, c’est la partie facile à comprendre !

 

mdrEt tout d’un coup, on entre en psy éso et on apprend ce que l’on se fait à soi-même, jour après jour et cela, depuis des années, pour l’unique raison que nous sommes les seuls, de notre famille ou de notre groupe, à y croire encore et donc, à faire des efforts pour conserver une harmonie qui n’existe que dans notre Moi-Idéalisé ! Ou dans celui des autres. Alors c’est le choc.

On réalise notre degré d’auto-trahison ! Personne au monde ne saurait être plus efficace que nous pour nous trahir et nous faire un mal de chien ! Comme un âne !

Alors, l’air de rien, on commence à changer, à s’améliorer, même sans le vouloir ni même le réaliser, et cette amélioration passe par une période de réconciliation avec soi-même.

souffrance-sourireOn recommence enfin à s’aimer, à prendre soin de soi et, du coup, nous ne réussissons plus à nous trahir avec autant d’efficacité qu’auparavant !

Et comme nous ne portons plus le destin de la famille ou du groupe sur nos seules épaules usées par les ans, alors les autres commencent à sentir qu’il se passe quelque chose de « malsain. » Surtout pour eux !

Nous avons moins de patience envers leurs frasques, ils nous soulent bien plus vite et nous devenons conscients de leur méchanceté gratuite, de leur absence d’effort pour maintenir équilibre et harmonie au sein de « la famille/groupe », etc. En fait, nous réalisons deux choses :

La première: c’est qu’ils n’en n’ont jamais foutu une rame pour faire en sorte que la paix règne dans les chaumières.

La seconde : la plus étonnante, que nous n’avons plus envie de produire le moindre efforts, que nous sommes vidés et que ces autres, qui composent groupe ou famille, commencent à nous sortir par les trous de nez !

Il est clair que ces autres, justement, ceux incapables du moindre effort (Il est très important de noter ce fait !!!), s’affolent rapidement ! Car mettez-vous à leur place : jusque là et depuis des années, ils vivaient presque heureux sans efforts, puisque nous bossions pour tous, à leur place et en ce sens ! Et là, brusquement, leur vie toute entière s’effondre ! Pourquoi ? La bonne blague : parce que c’est nous qui tenions (ou portions) leur vie à bout de bras !

 

vengeanceEt là, comme on n’en peut plus, qu’on dit « stop », ils réalisent que nous allons les laisser dans leur caca et qu’ils vont devoir apprendre à se torcher les fesses seuls, comme des grands ! De plus, comme nous ne jouons plus le rôle « enviable » de tampons, consistant à se prendre dans la tronche les éclats des uns et des autres, sans nous, ils risquent fort de se bouffer le foie et de détruire eux-mêmes la famille ou le groupe et ce, en très peu de temps !

Alors, eux qui sont bien placés pour savoir ce qu’est une secte (le truc d’où on ne sort pas sans s’attirer de grave emmerdes, vous voyez ?), vont nous faire culpabiliser, vont tout faire pour nous faire sentir qu’il n’est pas question que nous puissions nous sauver de cette secte nommée « famille » ou « groupe » (de ceci cela) ! Et du coup, le premier mot qui leur vient à la bouche, celui qui était déjà dans leur conscience et pour cause, c’est le mot « secte » !

Ils nous affirment que nous avons changé ! (Ben tiens !) Donc et forcément, nous sommes « tombés dans une secte » ! Ou du moins, dans une autre que la leur, ce qui serait bien plus exact !

 

sectes7Et comme le propre d’une secte est de ne jamais laisser se barrer ceux qui veulent la quitter, les membres de votre famille, en plus de vous insulter (voir plus loin), vont vous faire bien sentir qu’ils ne vont pas vous laisser faire, que vous avez intérêt à redevenir comme avant, sinon, vous allez le payer !

Au fait, pourquoi seriez-vous « tombé dans une secte » ?

La réponse est très vexante. Surtout pour vous ! Dire à une personne qu’elle a changé, qu’elle n’est plus la même, cela peut être synonyme d’évolution… Ce n’est pas un jugement de valeur, dirons-nous ici et pour simplifier. Mais lui dire que quelqu’un d’autre ou que quelque chose doit l’influencer, à son insu, cela revient à lui faire comprendre qu’elle ne peut pas avoir changé de son plein grès et par ses propres moyens ! Pourquoi ? Devinez ! Parce qu’elle est bien trop conne pour être capable de voir, par elle-même, dans quel merdier elle se trouvait, auparavant et dans lequel on la prenait pour une tanche !

 

subconscient-filsLa preuve ? Ben elle appartenait bien à cette famille (ou à ce groupe) depuis des années, non ? Et ce serait maintenant, comme ça, d’un seul coup, qu’il lui viendrait l’intuition de se faire abuser ? Qui croirait cela ? Moralité : dire d’une personne qu’elle a changée depuis qu’elle fréquente d’autres personnes ou groupes, revient à lui faire savoir sans ménagement qu’il ne peut en être autrement, car elle est trop stupide pour être capable de se mettre à penser puis à réagir différemment et cela, par ses propres moyens !

Vous captez bien le problème ? L’horreur dans toute sa splendeur ? Parfait !

 

s'ouvrir aux émotionsVous voici « armés » pour affronter, vaillamment, voire le sourire aux lèvres, l’épreuve qui consiste -non pas à tomber dans une secte- mais celle qui consiste à en sortir, sans la permission du Gourou (Chef de famille, leader du groupe) et bien sur, de ses proches lieutenants (frères, sœurs, etc.)

A vous les studios, l’info a été transmise ! Mission accomplie ! A présent, vous êtes majeurs et vaccinés : faites-en ce que bon vous semble ! Du moins si votre secte actuelle vous en laisse la liberté !

 

Serge Baccino

A propos des Illuminati

A toutes fins utiles et en guise d’introduction, précisons que le mot d’origine latine « Illuminati » étant déjà le pluriel de « Illuminato » (illuminé, au masculin singulier) il est inutile de mettre un « S » à « Illuminati » ! Si vous n’avez pas le désir de franciser l’anglais et toutes les autres langues, pourquoi le faire avec le latin ?

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IlluminatiOr donc, ce que très peu de personnes savent, de nos jours, c’est qu’au départ, les Illuminati n’étaient pas tels qu’ont les considèrent aujourd’hui. Ils étaient seulement les membres les plus avancés d’un Ordre initiatique qui était l’une des branches officielle -mais secrète- de la Rose-Croix. Leur but était de conserver la connaissance ésotériques, de la préserver de toute souillure (ajouts ultérieurs) et de la répandre, discrètement, lorsque les mouvements physiques extérieurs les parrainant, viendraient à disparaître, à cause de l’église catholique, les Régents successifs, auxquels vinrent s’ajouter, durant les deux derniers siècles passés, les gourous de la science académique dites « officielle. »

 

illuminati2Par la suite, les Force de l’Axe, c’est-à-dire les membres les plus influents d’une Loge Noire de très vilains sorciers, connue également sous le nom de « Ultima Thulé » (dont l’un des plus illustres membres fut Hitler lui-même), trouvèrent pratique de voler le nom ainsi que l’identité sociale des « Illuminati » et de se faire passer pour les véritables initiés de cette respectable branche ésotérique. Pourquoi agir ainsi ? Pour deux raisons aussi logiques qu’effroyablement efficaces, hélas :

La première : Pour faire porter le chapeau aux véritables Illuminati qui étaient inoffensifs mais un peu trop aimés et respectés, en leur temps, par les chercheurs sincères de l’ésotérisme et de la spiritualité.

La seconde : Parce que les Illuminati étaient les seuls à être assez instruits des lois du fonctionnement de l’esprit (Ontologie) pour réaliser ce que désiraient faire les Forces de l’Axe dans l’ancien Monde (l’Europe.) Et donc, ils étaient également les seuls à pouvoir dénoncer les agissements et autres campagnes de manipulations mentales des Forces de l’Axe (Loges de sorciers noirs.)

 

Une fois le forfait perpétré avec une diligence et un degré de réussite proprement écœurants, c’est-à-dire une fois le mot Illuminati définitivement associé au mal, aux complots et à la souffrance, il ne resta plus personne pour dénoncer les exactions de la Loge Ultima Thulé et pour défendre les Européens de cette engeance noire, de ceux qui, désormais, seraient connus sous le terme générique d’« Illuminati. »

 

astral-hommeQue devinrent les vrais Illuminati ? Il est facile de le deviner ! Ils ne purent lutter contre ce pouvoir effroyable qu’est LA CALOMNIE. Comprenant qu’ils ne pourraient gagner cette bataille en ayant le peuple Français (déjà si facile à manipuler) contre eux, ils décidèrent de changer de nom et poursuivirent leur tâche inspirante d’une manière confidentielle pour ne pas dire secrète (Sub Rosa) et, bien entendu, sur une échelle bien plus modeste. Ils demandèrent à leurs descendants de ne jamais révéler le nom sous lequel ils se feraient désormais reconnaître et appeler. Du moins, pas avant que les temps soient venus.

 

Peur des autresCe que j’explique là est très peu connu, j’en suis conscient. Cela déclenchera peut-être un tollé de la part des inconditionnels du complot planétaire qui voient des Illuminati partout et sont prêt à dénoncer leurs voisins s’il fait mine de recevoir chez lui plus de trois personnes en même temps. Ne souriez pas, que croyez-vous qu’on fait certains français, durant la dernière guerre ? De nos jours, ce sont encore et toujours nos voisins qui nous dénoncent si nous construisons quelque chose sans en avoir reçu le permis !

Je suis surtout conscient qu’il est temps d’offrir, aux personnes intelligentes et donc, beaucoup moins faciles à endormir (manipuler) que leurs semblables, le peu qu’ils sont dores et déjà en droit de connaître à ce propos.

Mais voici mon conseil bienveillant : Ne croyez rien ! Ne me croyez pas sur parole non plus, faites simplement jouer votre intelligence, votre intuition et notez simplement ce que vous venez de lire ici, sur ce blog et en ce début d’année (écrit début 2014), puis conserver-le dans un coin de votre mémoire, pour plus tard.

On ne sait jamais; cela pourra vous aider à comprendre enfin certains « mystères apparents » qui nécessitent, pour être percés à jour, d’être munis de certaines clefs qui n’ouvrent pas de portes mais seulement l’esprit.

Qui l’ouvriront le moment venu.

 

Serge Baccino

Téléchargement et compagnie

Voici un court article que j’ai posté, il y a déjà bien longtemps, sur le site d’actualités bien célèbre Mécanopolis, dans la section « commentaires. »
J’ai pensé que, même s’il n’est plus guère original ni même « d’actualité », il pourrait néanmoins intéresser des étudiants de la psychologie ésotérique, attendu que, une fois encore, je me suis cantonné à ne parler que de ce que chacun désire ignorer avec application.

 

 

Serge écrit :

Bonjour,

Comme je remarque que personne n’a seulement songé à souligner un aspect pourtant évident du problème, je m’y attelle volontiers. Il est présumé que le chiffre de vente baisse à cause du téléchargement illégal (en gros et pour résumer.)

Or, il me paraît évident que pas un dixième des personnes qui téléchargent aurait l’intention d’acheter les produits ainsi acquits à « plus que bon marché. » De fait, même si le nombre de téléchargement illégaux baissait, je ne pense pas que les ventes puissent remonter en flèche.

J’imagine mal un adolescent entre 14 à 17 ans, trouver assez d’argent pour acheter pour des centaines d’euros de musiques et/ou de DVDs chaque mois ! Où prendrait-il l’argent, le pauvre chou ?

Le problème se situe donc ailleurs et, d’un point de vue purement psychologique, il démontre cette volonté jalouse de ne pas laisser profiter à d’autres de biens ne pouvant appartenir qu’à une élite d’individus (ceux assez friqués pour acheter chaque nouveauté dès sa sortie.) En gros, ça nous donne ceci :

« OK, tu n’as pas d’argent pour acheter mon produit, c’est ton problème, mais moi tout ce que je désire, c’est que tu n’en jouisses surtout pas comme ceux qui en ont les moyens ! »

On retrouve ici les deux frères jumeaux de la démocratie française : argent et pouvoir.
Mais attention : surtout pas au bas peuple ! Cela ne vous rappelle-t-il rien, Monsieur Danton ?

Les jeunes ne s’y sont pas trompé; ils savent pertinemment qu’ils n’auront jamais assez de fric pour se payer toutes ces bonnes choses que l’on agite sans aucune vergogne sous leurs jeunes nez à l’affût de tout plaisir (vous avez vu les pubs de ventes de disques ? Elles s’adressent à qui, selon vous, à votre grand-père ? )

Alors n’y tenant plus, désirant eux aussi profiter de toutes ces bonnes choses que l’on agite cruellement devant leurs bourses vides (je cause de fric, n’est-ce pas), ils n’ont d’autres solution que de télécharger.

Et c’est là qu’apparaît cette notion de PARTAGE qui différencie le vulgaire « pirate qui télécharge pour revendre » (celui-ci doit être effectivement puni) de celui qui ne fait que céder à son humanité et n’a d’autre désir que de faire profiter ces potes de ces mânes descendues du Web ! Et je le redis ici :

De toute manière, ils n’auraient jamais acheté ce qu’ils ont téléchargé.

Mon idée n’est pas d’encourager ou de défendre le téléchargement illégal mais plutôt d’en extraire dialectiquement l’un des aspects humains que beaucoup préfèrent ignorer.

Je ne ferai aucun commentaire désobligeant sur le pouvoir et les droits immenses que notre gouvernement concède bien rapidement aux industries du disque et de l’audiovisuel, car à ce stade, il n’est plus utile de nous faire l’affront d’en parler entre nous comme si ce détail pouvait encore nous échapper !

Bien cordialement à tous.

 

Voici à présent le témoignage d’un jeune homme d’une vingtaine d’années, inspiré par la lecture du texte ci-dessus :

 

Demain, à la fac, je vais en cours d’informatique.
On travaille sur certains logiciels spécialisés afin de créer des bases de données, des cartes, des images, etc. Nous avons évidemment un travail à rendre par rapport à ces logiciels et donc, par conséquence, nous en avons besoin.

Sans parler évidemment de passer de longues heures sur un poste informatique spécial à la fac (qui est pris par les cours la moitié du temps, d’ailleurs), voyons ce que cela coûterait à un bon étudiant de faire son travail chez lui…

Nous utilisons :

  • Pour les bases de données, pour ne pas faire de pub, un certain logiciel nommé « Access », d’une certaine entreprise archiconnue, que l’on peut acheter pour la modique somme de 399,00€.
  • Pour les images vectorielles, là encore je ne fais pas de pub, nous utilisons un certain « Illustrator », dont le prix, pour les étudiants, est de 357,60€ (prix public, quand tu l’achètes dans le commerce et sans la réduction : 859,92€).

Pour disposer de ces deux logiciels pourtant indispensables pour nos études en temps normal, un étudiant devrait débourser 756,60€. Chez moi, APL déduite, c’est 4 mois de loyer.

Alors certes le piratage est mal, interdit par la loi, et on t’envoie Mitterrand, mais n’empêche que certaines formes de piratage ont un côté beaucoup plus humanitaire qu’inhumain. (lol)

PS. Au fait, Access coûte 400€ et un certain logiciel de la suite Open-office fait la même chose et est gratuit.