Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Daemons et conscience de soi

Daemons et conscience de soi

Nous sommes arrivés après la formation de notre corps. En effet, d’abord notre corps a été formé dans le ventre de notre mère, puis ce corps, arrivé à maturité, est sorti de cette matrice humaine qu’est la femme puis, c’est au cours du temps, d’années en années, que notre conscience du  » moi  » est apparue. En somme, notre corps physique est né avant nous ! Réfléchissez et vous verrez !

Un tout jeune bébé n’est pas vraiment conscient. Du moins, pas conscient tel qu’il le deviendra plus tard lorsqu’il sera capable de dire  » Moi Je… »  Il n’est absolument pas capable de retourner son attention mentale vers lui-même et réaliser ainsi que quelque chose en ce corps et là et a conscience d’être ou d’exister. Au départ, le corps du nourrisson consiste en une interface permettant de synchroniser le point focal d’attention mentale incarné par le petit corps, avec l’évènementiel, c’est-à-dire avec tout ce qui se produit au-delà de ce très jeune corps et qui a un impact sur ce dernier.

Mais alors, depuis la naissance et jusqu’à ce moment magique où l’enfant réalise qu’il est vivant et conscient, qu’est-ce qui gère l’entité corporelle ? Réponse : les Daemons. Ce terme générique tiré du latin, rassemble toutes les formes mentales plus ou moins autonomes, plus ou moins conscientes. Cela va des processus mentaux les plus élaborés et capables de véhiculer la conscience, jusqu’aux processus mentaux les plus grossiers et qui ne permettent que des modes de réactivités vitale semblables à ceux des vers de terre ou de certains insectes les moins évolués.

Plus sobrement, nous pourrions comparer les Daemons à des programmes mentaux plus ou moins bien écrits (plus ou moins évolués.) Certains permettent un degré de réactivité qui se contente de singer la véritable vie, comme chez certains formes primaires animales, tandis que d’autres permettent l’expression de la conscience, comme certains animaux supérieurs et, bien évidemment, chez  l’être humain. Un bébé paraît conscient mais, en réalité, c’est l’ensemble des processus mentaux associés à ce même corps qui donne l’impression que ce corps est habité par quelque chose de distinct, de personnel ou d’individuel.

Ce sont donc les Daemons qui contrôlent et animent ce corps que nous appelons un bébé. Mais au début, il n’y a personne à l’intérieur de ce même corps, si nous pouvons l’exprimer ainsi. Cela dit, attention de ne pas confondre Daemons et… Démons ! Le terme générique de Daemons désigne l’ensemble des processus mentaux capables d’animer un corps de chair, de le rendre quasi autonome, en lui donnant l’apparence de la vie consciente. Quant aux démons, ce terme désigne simplement tout état d’esprit plus que négatif et capable d’engendrer malheur et souffrance.

Un démon est donc un état d’esprit morbide au mieux, destructeur au pire. Il ne s’agit pas d’une espèce de monstre mystérieux et sadique, tel que nous le dépeint avec une imagination débordante bien que largement morbide, l’industrie du cinéma américain. Une personne, même adulte, qui est animée d’intentions destructrices et dites animée par un démon. Autrement dit, par un état d’esprit hautement destructeur.

Ainsi, depuis la naissance et même avant, le corps humain est animé et géré par des Daemons. Ce qui semble être de la conscience de soi, est en réalité de la conscience  » par soi « , à savoir une forme inférieure de conscience relative aux processus mentaux. Rien de plus.  En somme, le corps possède sa propre conscience d’être, mais sous une forme moins élaborée que la conscience de soi, cette forme de conscience permettant de se distinguer et de son corps, et de l’ensemble des processus mentaux propres à ce corps.

Dans ce que l’on nomme parfois le corps subtil et que les ésotéristes nomment le corps psychique, qui est le résultat global de l’âme humaine (animus et anima, pensées et émotions), nous trouvons trois grands canaux éthériques, que sont le Canal Central (Sushumna Nadi, en sanskrit) et qui double la moelle épinière, la Canal Solaire (Pingala Nadi), situé à droite de la colonne, et le Canal Lunaire (Ida Nadi), situé à gauche de la colonne vertébrale (vu de dos.)

Le Canal Central s’occupe de la conscience, de la sensation, du mouvement et de la motricité. Le Canal droit s’occupe de laisser circuler l’énergie spirituelle qui construit la pensée et le corps, par la même occasion (ou le régénère.) Le Canal gauche permet la circulation de la force vitale, de cette énergie qui, en circulant dans notre système nerveux, produit les sentiments et les émotions. Le Canal droit (Pingala Nadi) débute dans le second Chakra (Ou Centre Sacré, en français et Swaddhistana Chakra en sanskrit) et se termine dans l’hémisphère gauche du cerveau, en croisant l’axe central du corps au niveau du chiasma optique (ou Centre Frontal, Ajna Chakra). Le Canal gauche débute dans le premier Chakra (Centre Coccygien, Muladdhara Chakra) et se termine dans l’hémisphère droit du cerveau, toujours en croisant l’axe médian du corps au niveau du front, juste un peu au-dessus de la ligne des sourcils.

C‘est au sein de ces deux Canaux ou Nadi, que circulent les Daemons, ainsi que l’énergie vitale spécifique à chacun de ces processus mentaux. Les deux Canaux latéraux, Ida et Pingala, canaux soli-lunaires, sont les deux autoroutes empruntées par les Daemons et l’énergie qui les sous-tend. Il va sans dire que les deux premiers Chakra (Coccygiens et Sacré) sont les deux sièges principaux des Daemons. Ou des démons ! Cela dépend essentiellement que la fréquence vibratoire des particules d’esprit qui composent ces formes mentales, ainsi que de la qualité de l’énergie qui leur est associée.

La circulation des deux énergies, dans les canaux soli-lunaires, est ce qui oppose une force magnétique contraire à la conscience, positionnée ordinairement tout autour du corps et attendant d’être rendue manifeste, ne serait-ce que par le biais des Daemons les plus élaborés, à savoir les processus mentaux les plus évolués et capables de manifester autre chose que des pensées. A ce stade de l’évolution des formes mentales, ce que l’on nomme l’Atome Germe (connu dans certaines traditions sous le vocable  » étincelle Christique « ) commence à être activé. Il est important que l’Atome Germe soit activé, car une fois que cela est fait, la conscience possède elle aussi sont lien magnétique lui permettant de relier la colonne vertébrale et de la magnétiser de plus en plus.

C’est cette force magnétique circulant le long de la colonne vertébrale, qui permet à la conscience de passer outre les deux barrages opposés par Ida et Pingala. Formulé autrement, notre sentiment de dualité est issu du double fonctionnement des canaux soli-lunaires. Lorsque la moelle épinière se retrouve magnétisée, l’activité des canaux latéraux décroît pour laisser la prépondérance à la conscience. En clair, nous pensons bien moins (Canal Solaire), nous avons moins d’émotions (Canal Lunaire) et sommes plus naturellement conscients (Canal Central.)

Pour les amateurs de symbolisme biblique, comparer ce qui est proposé ici avec Ésaïe, chapitre 60 et verset 19 :  » Ce ne sera plus le soleil qui te servira de lumière pendant le jour, Ni la lune qui t’éclairera de sa lueur; mais l’Éternel sera ta lumière à toujours… » Ne plus être éclairé ni par nos processus mentaux (le soleil) ni par les sentiments et les émotions qu’ils font naître (la lune) mais par  » le Seigneur « , à savoir la Conscience de Soi, qui est dite éternelle, car jamais elle ne varie.

Les textes des canons Orientaux les plus fiables affirment que  » La victoire est assurée lorsque les deux premiers Chakra passent sous la tutelle de la conscience de Soi.  » Ou lorsque ce ne sont plus nos pensées et nos émotions qui gèrent ou contrôlent notre vie. Ce sont d’ailleurs ces deux premiers Chakra en montant (Coccygien et Sacré) qui nous permettent d’incarner qui nous sommes vraiment, au lieu que ce soit les états d’esprit inconscients (Daemons/démons) qui le fassent pour nous et à notre place. Nous devons « faire corps » avec le corps de chair (nous incarner vraiment) et le transformer énergétiquement pour le faire « à notre ressemblance. »

Autrement dis, nous devons rendre conscient l’état d’esprit général avec lequel nous faisions corps au préalable. Dès lors, notre âme qui était déjà vivante, devient également consciente, et nous devenons l’esprit vivant et conscient, et plus un simple corps animé (réactif) et sans personne au gouvernail pour diriger le navire.

 

Serge Baccino

 

L’orientation mentale

L’orientation mentale

Pour commencer et pour camper le décor, voici la loi en présence (concernée) : « Nous expérimentons le contenu formel de ce vers quoi s’oriente notre attention mentale et ce sur quoi nous demeurons concentrés, le plus souvent (rythme) et le plus longtemps (durée.)»

Or, vers quoi s’oriente notre attention mentale, la plupart du temps ? Réponse : vers les emmerdes et les pensées les moins agréables. Pourquoi ? Parce que nous croyons que les évènements se produisent indépendamment de notre volonté et, bien sûr, de nos processus mentaux (quoique nous pensions, en somme.) Pourquoi cette croyance ? Parce que nos parents, lorsque nous étions de jeunes enfants, ont réussi à nous faire croire puis admettre que nous devions nous conformer à leur volonté, voire à des obligations inventés et donc, crées mentalement, par d’autres que nous.

Sur quoi restons-nous le plus souvent concentrés ? A quoi sommes-nous le plus attentif, en fin de compte ? Réponse : à ce qui se produit au-dehors et par la volonté et les processus mentaux d’autrui. Nous croyons toujours devoir obéir, nous conformer à ce que les gens et la vie, en général, nous proposent, voire nous imposent. Nous n’avons pas pu, enfant, faire le lien entre notre volonté, nos désirs et les évènements extérieurs. Nous ne savions pas que ce sont nos processus mentaux qui attirent les autres et engendrent des évènements que nous nommons ensuite « notre vie. »

Nous avons conservé en mémoire des schémas comportementaux en rapport avec le pouvoir supposé d’autrui, le modèle de référence étant, bien évidemment, celui de nos parents. Puis, plus tard, le schéma sera confirmé par tous ceux qui jouissent d’une quelconque autorité, quelle soit légale, morale ou religieuse, par exemple.

Comprendre comment nous fonctionnons et pourquoi, est le début de la libération spirituelle, prônée par les Maîtres spirituels du passé. Mais beaucoup en ont parlé, peu ont réussi à le vivre, car il leur manquait souvent la connaissance des lois et des principes du fonctionnement de l’esprit, telle qu’enseigné en psy éso.

 

Serge Baccino

Je deviens ou je suis ce que je suis conscient d’être

Je deviens ou je suis ce que je suis conscient d’être

Il est dit que nous sommes ce que nous pensons. En fait, nous devenons surtout ce que nous ressentons ! Si nous nous sentons faibles, nous le devenons ! Si nous nous sentons fort, nous le sommes immédiatement ! Bien sûr, nos pensées invoquent toujours leurs émotions connexes (qui leur sont liées), mais ce ne sont pas directement les pensées qui produisent nos réactions ainsi que notre vécu, mais bien nos émotions.

Un émotionnel qui nous poussera à vivre ceci, plutôt que cela, à nous sentir faibles ou fort, heureux ou le contraire. Ceci est tout particulièrement vrai et important dans le Monde de l’âme et donc, par extension, dans le Monde de la Magie. Tout le monde désire plus ou moins avoir accès à des secrets de magie et au pouvoir qu’ils confères, éventuellement. Mais rares sont celles et ceux qui comprennent qu’ils en font déjà, de la magie et ce, à tous les jours !

La magie, c’est quand l’âme agit, dit-on. Ce qui est tout à fait exact. Toutefois, la plupart des étudiants de la spiritualité en général et de  l’ésotérisme en particulier, s’interrogent sur comment faire en sorte que « l’âme agisse » ! Ils ne comprennent pas que l’âme agit… À chaque instant ! Que la moindre de leurs journées est magique !

Pour que l’âme n’agisse pas ou n’agisse plus, il faudrait faire cesser les processus mentaux. Nous arrêter de penser, en clair ! Or, cela est au minimum improbable, n’est-ce pas ? Du moins en règle générale. Si l’on pouvait cesser de penser et donc, de ressentir, nous pourrions faire cesser la magie ! Mais en réalité, le processus même de la pensée et ce qu’il enclenche, c’est-à-dire les émotions, consiste justement en le processus créateur constant de l’esprit !

Ne plus penser reviendrait à ne plus créer et ne plus créer reviendrait à ne plus rien vivre, que ce soit quelque chose de « bon » ou quelque chose de « mauvais ». Ou considéré comme tel. Or, la Création est dite continue, justement parce qu’il est très difficile de rester sans penser bien longtemps. Pour tout le monde.

Ne plus penser et donc, ne plus rien ressentir, revient à sortir de la Création Continue, à se placer « de côté » (ou en dehors), en laissant le flux universel poursuivre son élan Créateur mais… Sans nous ! Du moins pour un moment. C’est ce que font les Grands Maîtres et certains de leurs plus proches disciples avancés. Mais cela reste encore très aléatoire pour le commun des mortels.

Imaginez : vous êtes assis en silence, les yeux fermés, vous ne pensez à rien et vous êtes juste conscients… À ce moment et durant ce laps de temps sans pensées, vous êtes « hors création » et, du même coup, il ne se passe rien, il ne vous arrive rien, car vous n’êtes plus affectés par les mouvances mentales, par les modifications de votre esprit (Vritti, en sanskrit.)

Enfin, parlons plus intelligemment des fondements premiers et réels de la « magie blanche » et de la « magie noire », sachant que la magie, c’est quand l’âme agit, et que cette dernière est presque constamment en mouvement, créant ainsi pensées et émotions connexes…

Lorsque nos pensées sont négatives, orientées vers la peur et, en conséquence, qu’elles peuvent nous nuire en tout premier lieu, nous sommes bien en présence de magie noire, à n’en pas douter ! Nous sommes alors en train de « nous envoûter », de nous porter malheur, de nous faire du mal, psychiquement ! Nul besoin des autres pour ce faire, assurément !

À l’inverse, lorsque nos pensées sont positives, orientées vers la paix, la joie, l’amour ou le plaisir, nous pratiquons, sans trop le réaliser, la magie blanche ! En somme, toute forme de magie commence par soi-même, tout dépend du contenu formel de notre mental, et de la qualité de l’énergie qu’il invoque automatiquement.

Voilà qui devrait inspirer quelques lecteurs intuitifs.

 

Serge Baccino

 

La patience vue autrement

La patience vue autrement

(Les brèves de la psy éso)

Nous devons faire preuve de patience seulement parce que nous attendons quelque chose et que cela dérègle notre subconscient. En effet, pour lui, on ne peut désirer une chose qui n’existe pas encore. Et si nous la désirons en esprit, c’est qu’elle existe déjà, en vérité. Par exemple, nous désirons aller à la boulangerie pour acheter du pain. Pour cela, la boulangerie ne doit pas exister après ou plus tard : elle doit être là, maintenant et avant même que nous puissions nous y rendre. Si la boulangerie n’existait pas, si le boulanger n’était pas encore né, impossible pour nous d’aller y acheter son pain.

Alors nous ressentons de la compulsion, de l’impatience, cela parce que notre subconscient ne comprend pas pourquoi la chose désirée n’est pas déjà là. Pour lui, tout existe déjà, tout est déjà disponible et à profusion. Il ne conçoit pas l’idée de séparation entre la chose désirée et le fait de l’obtenir : elle est déjà disponible et à nous. La patience est le nom donné à ce qui nous permet de violer une loi de l’âme et de nous placer dans un état de stress étalé dans le temps. Le temps pour nous de prendre conscience d’une chose qui fait déjà partie de l’actualité, mais pas encore de notre réalité personnelle.

Pour éviter ce stress, nous ne devons penser qu’à ce qui est déjà là et plus à ce que nous attendons, comme si la chose n’était pas déjà disponible et à nous attendre. L’espace entre la chose désirée et son obtention n’est qu’un espace mental, pas une distance physique. Selon les lois du fonctionnement de notre subconscient, c’est le contenu formel de notre mental qui décide de ce que nous devrons vivre ensuite. Si nous attendons de posséder quelque chose en imaginant qu’e cette chose est absente, elle le sera pour nous. Nous allons encore l’attendre et il nous faudra être patient.

Nous devons demeurer dans le temps présent, l’ici et maintenant, autrement dit, dans l’actualité planétaire que notre conscience est capable d’appréhender pour le moment. À ce niveau fréquentiel de l’esprit, tout est déjà disponible et n’attend qu’un geste mental (Mudra) de notre esprit pour nous tomber entre les mains.

 

Serge Baccino

Comprendre les dimensions

Comprendre les dimensions

(Les brèves de la psy éso)

Il est temps de comprendre vraiment ce qu’est une dimension, quelle qu’elle soit. Une Dimension est une somme d’états d’esprit conciliables qui donnent naissance à une vision commune. Ce que nous appelons  plan terrestre ou « 3D » est l’une de ces sommes d’états d’esprit combinables ou associables. Le raisonnement qui s’ensuit est donc relatif à cette somme au niveau des processus mentaux couramment employés, puisque reconnus voire choisis, comme seuls garants d’une « réalité » devenue unique car… Réellement unique !

Nous voyons donc que ce que l’on nomme « réalité » est en fait produit par une manière circonscrite de penser, élaborée au sein même d’un consensus mental. De fait, une personne ne se trouvant pas ou plus dans la 3D, aura du mal à se faire comprendre de ceux qui y demeurent encore. De même, elle ne comprendra plus guère ceux de la 3D, du fait que son mental est désormais et lui aussi, taré sur les limites d’une somme mentale (programmes) certes plus conséquente, mais nécessairement limitée par nature.

Partant, on comprend que si pour un 5D, les penseurs 3D deviennent inaccessibles, de la même manière, la pensée 5D présente de sérieuses limites pour un penseur de la 6D, 8D et plus. Tout est donc relatif, la bêtise tout comme l’intelligence ! Relative au plan de conscience à partir duquel ces notions arbitraires et typiquement humaines se manifestent.

 

Serge Baccino

Redescendre sur terre

Redescendre sur terre

(Les brèves de la psy éso)

L’éducation, l’enseignement et la vie sociale, en général, nous ont obligés à capituler, en termes de contrôle de soi. Cela a eu pour effet principal de nous forcer à quitter les Centres de la matérialité (les 3 premiers Chakra) pour nous réfugier dans le quatrième Centre en montant (le Cardiaque.) Dès lors, nous avons commencé à penser notre vie, au lieu de la vivre, à projeter nos idées de relations avec l’image que nous nous confectionnions des autres.

Résultat, nous en sommes arrivés à n’exprimer que nos problèmes, à ne voir que ces derniers et à n’user de notre volonté que pour nous opposer à des principes directeurs (schémas, conditionnements mentaux) qui sont eux-mêmes opposés à nos buts ainsi qu’à nos intérêts les plus immédiats.

Notre attention mentale a été détournée des trois premiers Centres énergétiques terrestres, ce qui les a appauvris « de nous » (de la conscience de soi) et les a « enrichis » (de la pensée programmée) des autres. Mais tandis que nous étions subjugués par les processus mentaux propres à cet étage (Chakra 4), les autres les ont remplis d’idées et de croyances aussi arbitraires que liberticides.

Les trois premiers étages de notre être global ont été squattés dès notre enfance et nous devons, à présent, réussir à en « redescendre » les étages et à les reconquérir. Voir à ce propos la relation évidente avec le mot VITRIOL : « Visite l’intérieur de la Terre, et en rectifiant, tu trouveras la pierre cachée.  »

 

Serge Baccino