Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Différences et vérités

Différences et vérités

Il est dit et accepté, presque unanimement, que nous sommes tous différents. Partant, comment pourrions-nous prétendre trouver puis proposer, une « vérité » qui soit acceptable par tous ? En fait, il ne s’agit même plus d’une question mais d’une affirmation ! Clairement, nous ne sommes pas capables de trouver puis de proposer à tous une seule vérité qui soit acceptable et qui puisse sembler « réelle » à tous. Oui mais voilà : ceci est loin d’être rassurant !

Même si nous acceptons cette prémisse au sujet de notre différence, voire de notre unicité, nous espérons, au moins en secret, trouver une vérité qui non seulement nous corresponde mais puisse correspondre aussi à tous. Et quand nous n’y arrivons pas, nous souffrons ou nous sommes en colère, arguant du double fait que l’autre « se trompe » puisque… Nous avons raison ! Fallait y penser.

Chacun tient à sa différence. Chacun tient aussi à sa vérité, qu’il s’empresse de « partager » avec d’autres, pour les plus aimables, ou d’imposer aux autres, pour les moins rassurés d’entre nous. Car être le détenteur d’une vérité unique et associable à toutes les mentalités, voilà qui a de quoi faire rêver plus d’une et plus d’un ! Et en ce moment de notre évolution terrestre, il y en a qui ne se gênent pas pour non seulement proposer leur vérité, plus ou moins originale mais, conjointement, démonter ou dénaturer celle des autres. Une double méthode qui semble avoir fait ses preuves et qui marchent. Surtout auprès des moins intelligents d’entre nous.

Pourrions-nous trouver une version intelligente ou, à tout le moins, objective du sujet ? Qui a raison ? Qui a tort ? Existe-t-il une vérité qui soit compatible avec le fonctionnement mental de tous les êtres humains présents sur cette Terre ou « en incarnation » ? Réponse : oui et… Non ! Oui, tout d’abord, parce que la solution à ce dilemme mental de « la vérité vraie » se trouve justement dans son impossibilité naturelle. Non, parce que, justement, du fait de cette même impossibilité de concilier ce qui ne peut pas l’être, il ne sera pas possible, avant sans doute très longtemps, de définir une vérité acceptable par tous, du fait même de ces différences.

Nous ne reviendrons pas sur le fait qu’aucune vérité ne semble convenir à tous. Un minimum d’observation devrait pouvoir nous convaincre de la chose. Mais nous avons mentionné la possibilité de trouver une solution acceptable par tout être humain intelligent, tout en respectant une différence naturelle qui, de toute manière, s’impose à chacun et à tous. S’il s’agit d’une astuce psychologique, disons qu’elle nous est offerte non seulement par la pluralité des vérités actuellement « sur le marché de la spiritualité » mais aussi par les réactions parfois épidermiques de certains qui semblent plus sensibles à « la fausse vérité des autres » qu’à leur propre vérité.

Autrement dit, il suffit de suivre certains écrits et les commentaires qu’ils font naître sur Facebook ou tout autre réseau social du même tonneau, pour réaliser que les gens sont plus enclins à critiquer la vérité des autres qu’à défendre tout naturellement la leur. Et par « défendre » leur vérité, nous entendons se borner à écrire, et par exemple, seulement sur ce qu’ils supposent être vrai et légitime. Imaginez un peu un romancier de science-fiction, qui au lieu d’écrire son roman et de ne se concentrer que sur son œuvre, perdrait son temps (ainsi qu’une partie de son amour-propre) à écrire au sujet des autres romanciers qui ne connaissent décidément rien à la science-fiction, la preuve : ils n’écrivent pas comme lui ni la même chose que lui !

Mais quelle est donc cette astuce, en résumé ? La voici sous une forme quelque peu contractée, pour gagner du temps.

Si nous partons de la prémisse, pour nous indéniable, que nous sommes tous différents, alors nous devons considérer avec tout le sérieux qui s’impose, cette autre prémisse que nous ne sommes pas tous rendus au même niveau d’évolution spirituelle. Et forcément, ce qui est vérité pour l’un, pourra apparaître comme « désinformation » ou mensonge pour un autre.

L’astuce consiste donc à conserver ces deux prémisses à l’esprit et en arriver à la conclusion logique qu’il faut, absolument, qu’il puisse exister des vérités différentes capables de satisfaire l’état d’esprit « en place » de chacun d’entre nous.

Autrement dit, il est essentiel que chacun puisse accéder à un niveau de vérité qui lui soit profitable ou, à tout le moins, qui ne lui soit pas préjudiciable. Ensuite, à chacun et à tous de faire évoluer croyances, certitudes ou même connaissances, au rythme de sa propre évolution spirituelle. Ce qui laisserait à chacun de nous le loisir de posséder non seulement « une vérité du moment », mais aussi (ou surtout), de pouvoir changer de vérité quand cela est jugé nécessaire ou profitable.

Cette version ou « astuce » peut sembler de prime abord être du réchauffé, car de nombreuses personnes ont déjà proposé de respecter l’avis de chacun et de tous en matière de croyance et vérités. Toutefois, rares sont celles et ceux qui ont pensé à ces deux détails qui nous semblent intéressants : premièrement, il n’est pas mentionné cette difficulté, pour un être, d’accepter une vérité d’autrui qui ne lui soit pas accessible, mentalement ou qui puisse le déranger, d’une quelconque façon. En second, personne ne semble remarquer un problème d’actualité qui, selon nous, serait en fait une solution, voire la solution à cet épineux problème.

Le fait qu’une personne ne puisse pas réussir à accéder à une manière de penser et de ressentir, n’indique en rien qu’elle soit « en tort » ou que l’autre personne puisse posséder une vérité de niveau supérieur à celle de la première. Cela indique seulement une incapacité latente à partager autre chose que tout ce qui est déjà présent, en tant que Mémoires, dans la subconscience d’une personne.

Cette personne pense et croit comme elle le fait, en fonction de son matériel mental, lui-même assujetti à son vécu et donc, à ses Mémoires.

De même, ce que nous acceptons pour vrai, même si c’est apparemment « nouveau pour nous », est en fait dépendant de tout ce qui se trouve déjà en nous. En cette partie de notre mental qui est plus ou moins consciente. Il s’agit donc, du moins au départ, d’une authentique incapacité à partager autre chose que… Ce qui nous partage déjà ! Car nous sommes en effet partagés, entre cette volonté d’avancer, d’apprendre plus, d’évoluer et de découvrir d’autres horizons mentaux, et cette peur immense, atavique, qui nous prend aux tripes, de lâcher le connu, rassurant et choyé.

Les Hindous nomment ce réflexe de ne se fier qu’au connu, reconnu et choyé, l’Aspect Vishnou. Vishnou représente (ou symbolise) l’aspect CONSERVATEUR de notre nature globale. Nous aimons et sommes attachés à tout ce que nous connaissons et qui nous procure du plaisir (en gros.) Tout naturellement, nous ne lâcherons un plaisir que pour un autre, plus grand encore. De même, nous ne lâcherons une vérité que pour une autre, plus rassurante et agréable.

Mais nous expliquions, plus haut, que bien peu de gens semblent remarquer un « problème » d’actualité qui, selon nous, serait en fait une solution, voire la solution à cet épineux problème. Quel est-il ? Selon toute apparence, il existerait une foule de vérités aussi différentes que contradictoires pour quelques-unes, et cela pourrait, selon certains, induire de graves problèmes de compréhension. En réalité, le manque de compréhension ne viendra jamais de ce qui existe en tant que différentes propositions de vérités. Le manque de compréhension vient toujours de l’âme humaine, à savoir, de « ce qui nous anime », et donc, de nos processus mentaux et des émotions qu’ils font naître.

Ou de nos Mémoires, si vous préférez cette version. De même que le choix d’articles différents dans un supermarché, ne sera un problème que pour ceux qui ne savent pas très bien de quoi ils ont vraiment besoin. Appauvrir les rayons dans l’espoir de « moins tenter » les clients, serait pour le moins une méthode naïve, pour ne pas dire mieux. Les supermarchés ont une politique inverse.

Ainsi, cette pluralité de vérités potentielles et applicables à qui veut bien en épouser une, plutôt qu’une autre, nous semble être une solution au problème. Le problème serait plutôt une absence de choix en la matière, une sorte de planification des consciences, avec volonté qu’un maximum de personnes épousent une seule et même vérité. Le manque de liberté s’apparente au manque de choix.

Si on s’amuse à suivre l’actualité spirituelle sur Facebook et par exemple, on a désormais le choix de croire que les extraterrestres vont venir nous sauver ou, et à l’inverse, qu’ils sont tous des comploteurs qui visent à nous maintenir en esclavage pour leurs besoins personnels.

Celui-ci nous poussera entre les mains salvatrices des anges et des archanges, tandis que celle-là nous apprendra (pour notre bien) que les anges et les archanges font partie d’un complot cosmique qui a pour but de nous réduire en esclavage. L’un nous apprendra que Jésus n’a jamais existé, tandis que l’autre nous demandera de nous repentir et d’embrasser les pas du Maître (qui serait le fils unique de Dieu, bien évidemment.) Il serait laborieux de citer toute la panoplie d’Archontes, de Reptiliens, de galactiques et d’autres races inconnues des hommes : notre but n’est pas de définir ce qui est vrai ou faux, ce qui est juste ou inutile, mais bien de démontrer que cette diversité poussée à l’extrême nous incite simplement à faire un choix, d’en tester les effets sur nous puis, éventuellement, de… Changer de crémerie !

La liberté consiste à choisir librement, tout en étant conscient qu’il ne s’agit là que d’un choix provisoire. Tout choix ne peut être que provisoire. Sauf si notre but ultime est de cesser carrément d’évoluer. Si tant est que la chose soit possible, bien évidemment. L’erreur, selon nous, serait de passer d’une croyance à une autre, en une recherche effrénée d’une vérité qui ne dépendra toujours que de celui qui la recherche ainsi.

Non pas qu’il n’y ait pas de vérité. Ni d’ailleurs qu’il y ait une vérité acceptable par tous. Simplement, nous devons nous fier à ce que nous ressentons, en restant lucide au moins sur un point : nous n’aurons sans doute jamais la preuve aussi définitive qu’absolue d’être « dans la vérité. » Mais nous pouvons vivre dans (ou selon) notre vérité du moment, en acceptant, en toute objectivité, que nous serons amenés à transformer notre état d’esprit et donc, de vivre selon une vérité toute autre.

 

Serge Baccino

 

 

PRP planétaire et remises en question du « moi »

PRP planétaire et remises en question du « moi »

 

Quelque chose est en train de se passer sur Terre. Là où jadis seuls les véritables initiés vivaient une certaine expérience transformatrice, des millions d’êtres humains vivent désormais cette même expérience. Ou la vivront sous peu. Le seul problème est que tandis que les initiés invoquent depuis toujours une telle expérience et la souhaitent de tout cœur, les autres se demandent ce qui leur arrive et ont tendance soit à se juger sévèrement, soit à avoir cette désagréable impression d’avoir carrément régressé.

 

De quelle expérience parlons-nous ? Du Processus de Réforme Psychologique ou « P.R.P. » pour faire plus court. Qu’est-ce qu’un PRP, au juste ? Il s’agit d’un long et laborieux travail sur soi, permettant à une personne de se libérer, en partie ou complètement, de tous les conditionnements psychologiques ou mentaux. En clair, le but est de se débarrasser de toute forme de limitations mentales, issues de l’éducation (parents) de l’enseignement (école) et de la vie sociale en général.

Les premiers initiés ont vite compris que l’on ne mesure pas la valeur et la puissance de l’être à des considérations telles que les facultés psychiques ou même mentales et encore moins à quelque possession matérielle que personne n’emporte jamais au-delà de la tombe. La qualité d’un être humain, ainsi que sa puissance à être, se mesure au niveau de liberté et de bonheur acquis.

 

Ainsi, les véritables initiés, ceux qui ne sont plus « en recherche » de ce qu’ils pourraient être mais sont désormais conscients de ce qu’ils sont déjà et deviendront encore et toujours, passent l’essentiel de leur temps à s’observer, à retourner leur conscience objective vers eux-mêmes, au lieu de la laisser vagabonder à la périphérie de leur être, c’est-à-dire vers ce que l’on nomme « l’extérieur » et bien entendu, « les autres » (l’altérité.)

De par cette habitude salutaire, ils réussissent à réaliser « en live » (au lieu de seulement l’apprendre puis de le croire) que tout passe toujours par le filtre de leur mental et que la moindre de leurs réactions ainsi que le plus léger sentiment, se produisent au sein de leur conscience et dépendent en exclusivité de tout ce qui se trouve déjà dans leurs Mémoires (subconscient.)

 

Tout ce qui a été mémorisé, refoulé, accepté ou nié, voilà ce qui CONDITIONNE la liberté ainsi que le bonheur de l’être. De là à en arriver à la conclusion logique que tout combat commence puis se poursuit en notre cœur seulement, il n’y avait qu’un pas que les initiés véritables ont eu vite fait de franchir, même s’il en coûtait, à la partie la plus humaine de leur être global. Mais il faut préciser que ce RETOURNEMENT (Métanoïa, en grec) de la conscience sur elle-même, si l’on peut dire, était recherché et favorisé par une foule d’exercices spirituels.

 

Il n’en va pas de même de tous ceux qui, désormais, vivent (ou subissent) une telle expérience vivante, plus ou moins bien vécue et pour cause ! Non pas que l’expérience en elle-même soit négative ou mauvaise. Loin de là ! Mais seulement parce que celles et ceux qui la vivent sont non seulement inconscients du processus, qu’ils ne l’ont pas invoqué et, surtout, parce qu’ils ignorent totalement où cela pourra bien les mener, en fin de compte. Il est donc tout à fait normal que de telles personnes s’interrogent au mieux, ou se fassent peur au pire !

 

Si nous comprenons, en gros, en quoi consistent le PRP et le fait que, jusqu’à ce jour, seuls les initiés correctement enseignés et préparés se confrontaient volontairement à ce type d’expérience libératrice, il nous reste à comprendre pourquoi d’autres, qui ignorent tout ou presque du sujet et qui n’ont rien demandé, partagent tout de même ce type d’expérimentation troublante. Troublante, du moins si on ne comprend pas ce que l’on est en train de vivre et pourquoi nous le vivons, alors que nous n’avons rien demandé à personne ni même à Dieu ! Parlons donc et surtout de celles et ceux qui « subissent » cette transformation intérieure qui n’a pas été spécialement ni même ouvertement désirée.

 

La personne qui vit le PRP, actuellement ou qui le vivra plus tard, a la très désagréable impression d’être soit assaillie par une cohorte de démons mentaux, soit en arrive à imaginer qu’elle est brusquement bourrée de défauts ou de schémas mentaux débilitants. En réalité, si la sensation est parfaitement exacte (présence soudaine d’un problème inhabituel), l’interprétation de cette même sensation n’est pas correcte du tout. La personne ne se trompe pas : la personne a été « trompée » par le fait que, jusqu’à ce jour, c’était le subconscient qui conservait en mémoire l’essentiel des conditionnements mentaux les plus agressifs ou affaiblissants. Et tout à coup, les vannes du subconscient s’ouvrent toutes grandes et laissent se déverser, sur la conscience objective, une partie conséquente de tout ce qui était tenu caché.

 

Pourquoi nos différentes « misères morales » étaient-elles cachées à la vue de notre « moi » et de la conscience dite objective (relative aux objets des sens) ? Cette rétention, tout intelligente, permettait à la personne de traiter d’autres priorités de vie et tout cela était stocké en attente de traitement. Un traitement qui, à cause de nos vies citadines et trépidantes, n’a finalement jamais été effectué comme il se doit. Ici, le mot « traitement » doit être compris dans le sens logique d’« en être conscient et réagir en conséquence. » Par exemple, si je comprends brusquement qu’étant trop laxiste envers un ami, ce dernier en profite pour me manquer de respect ou pour me manipuler plus ou moins adroitement, je dois réagir en conséquence et changer mon comportement envers ce soi-disant « ami. »

Nul besoin de se montrer brutal ou de devoir « sévir » : il suffit de faire comprendre à cette personne que nous sommes conscients de sa manière de nous traiter, et qu’il doit immédiatement cesser ses frasques, s’il désire conserver notre amitié.

 

Hélas, ce type de réaction paisible mais ferme, consiste en une forme de « virilité mentale » dont de nombreux autres schémas nous interdisent la manifestation. En fait, peu de gens ont pu accéder et accèdent encore à cette forme de virilité mentale. Raison pour laquelle le monde ne connaît que deux types de réactions, typiquement surrénaliennes : le combat ou la fuite. En clair, soit les gens n’osent pas parler ou agir et préfèrent « suivre le troupeau », soit ils se mettent en colère, voire deviennent violents. Et rarement à bon escient ou… Avec les plus forts !

 

Or donc, que se passe-t-il sur Terre et actuellement ? Il se passe que le niveau de Conscience planétaire est en train de s’élever à toute vitesse, dépassant et de loin le niveau de conscience individuelle et l’entraînant inexorablement dans sa montée en fréquence. En bref, la planète, en tant qu’entité spirituelle, (Gaïa) évolue à une vitesse qui s’accorde très mal avec notre volonté que les choses ne varient jamais et demeurent en l’état (principe de Conservation.)

Outre les initiés, qui sont concernés au premier chef ? Réponse : tous ceux qui ont une recherche spirituelle quelconque ou qui œuvrent dans la spiritualité (enseignants, coaches, etc.)

Alors que, précédemment, ils étaient en droit de se montrer satisfaits de leurs acquisitions en divers domaines, les voilà assaillis par une foule de schémas mentaux, de doutes, de peurs, de remises en question à tout propos, etc. Ils se demandent évidemment ce qui leur arrive ! Et si ça ne leur arrive pas encore, qu’ils ne s’imaginent surtout pas être épargnés ! Viendra leur tour sous peu. Mais alors, que doivent-ils faire ou comment doivent-ils réagir ?

 

Tout d’abord, il faut absolument qu’ils comprennent le processus naturel « conscient/subconscient ». Le subconscient n’enfouit pas les informations (Mémoires) juste pour protéger l’être de la souffrance. Il les met de côté en attendant le jour où la conscience de veille ou objective, sera en mesure de traiter l’information. Par exemple, ce que nous vivons, très jeune, nous ne pouvons pas toujours le comprendre, n’est-ce pas ?

Alors le subconscient met les infos de côté, en attente de l’âge mûr ou de tout moment propice à une pleine et saine compréhension. On ne se libère que de ce que l’on a compris puis accepté. Sinon, on demeure « en danger de traitement futur », telle une épée de Damoclès suspendue au-dessus de nos têtes et menaçant de chuter sur nous à la moindre occasion.

 

Le subconscient, depuis des années, des décennies, pour certains, attend le moment opportun pour nous « servir » une information que, par ailleurs, nous n’avons aucunement l’intention de traiter. Ne serait-ce que par peur, honte ou autre émotions culpabilisantes du genre. Ce moment opportun, c’est à nous de le définir, à savoir lorsque nous nous sentons prêts pour affronter des « vérités » que nous n’avons guère envie de revisiter. Mais comme nous ne nous décidons jamais à « affronter nos démons intimes », alors ce jour tarde à n’en plus finir, car il n’est pas dans le rôle ou l’attribution du subconscient de décider à la place de la conscience.

De décider à la place de la conscience ? Et lorsque c’est la Conscience Planétaire Elle-Même qui s’élève et décide d’en finir avec toutes ces illusions mentales inutiles ? Alors le résultat est que le subconscient reçoit l’ordre d’ouvrir les vannes et de laisser remonter l’essentiel de ce qui n’a jamais été traité, à la surface (conscient.) En somme, la Conscience Planétaire décide à la place de ceux qui n’ont jamais eu la force ou le courage de se libérer de la peur et du manque de liberté.

 

Comment faut-il réagir ? Il suffit de comprendre que ce phénomène est naturel, libérateur et qu’il est de toute manière impossible à stopper. Soyez juste conscients de ce que vous vivez : ne vous jugez pas, n’ayez pas peur, tout ce qui commence a nécessairement une fin. Patientez ou mieux, jouissez du processus en lui-même, profitez-en pour vous connaître mieux mais souvenez-vous de l’essentiel : vous n’êtes pas ce que vous pensez, ni même, ce que vous sentez. Vous êtes la Conscience qui fait partie intégrante d’une bien plus grande qui, désormais, cherche à vous rendre libre et heureux.

Et avec ce que nous abritons tous, comme démons mentaux, comment pourrions-nous être libres et heureux ? Voilà ce qui explique, en peu de mots, ce qui se passe actuellement et qui touche (et touchera encore) des millions de personnes de par le monde.

 

Serge Baccino

 

 

Déblocage du Potentiel Humain

Déblocage du potentiel humain

 

Nous ne sommes pas tous conscients d’être et de vivre bien en dessous de notre véritable potentiel et donc, de nos véritables capacités. Cela parce que, depuis la naissance, tout concourt à nous limiter, d’une manière ou d’une autre. Quand ce n’est pas l’éducation, durant la prime enfance, l’école, puis l’université ou la vie active (entreprise, bureau, etc.) c’est la morale, la religion, la bien-pensance, la loi de ceci, les règlements de cela, les impôts, les taxes et, en règle générale, les décisions les plus importantes, prises par d’autres que nous et sous couvert de bien-être social général.

 

À force de déléguer, voire de donner le pouvoir décisionnel à d’autres afin de vivre plus paisiblement, l’être humain en est arrivé à ce constat des plus fâcheux : qu’il n’a plus aucun pouvoir, si ce n’est celui de penser. Et encore, « à voix basse », afin de ne pas déranger les voisins, s’exprimer librement étant devenu pour le moins compliqué. Pour ne pas dire mieux.

 

Depuis toujours, les ésotéristes évoquent cette possibilité de reprendre les rênes de notre propre vie et de redevenir capable non pas de faire tout et n’importe quoi, mais plutôt tout ce qu’il nous est possible de faire pour nous-mêmes sans pour autant déranger le sommeil des autres. Il est un fait que la plupart des gens sommeillent, rêvant de vivre au lieu de vivre leurs rêves.

 

Une certaine spiritualité s’efforce de faire entendre que nous sommes tous liés, que nous ne faisons tous qu’Un, en quelque sorte. D’un point de vue pragmatique, la question est bien moins de savoir si cela est vrai, que de se questionner au sujet de l’absence, en nous, d’une telle perception et ce, tout naturellement. Autrement dit, si nous sommes tous liés, pourquoi n’en faisons-nous pas l’expérience directe et consciente ? La réponse coule alors de source : « Parce que même si la chose était vraie, nous n’en sommes pas conscients et de ce fait, nous ne pouvons pas vivre une telle relation unitaire. »

 

Une Loi de l’Ontologie (étude de l’être) nous apprend d’une part, que « nous ne pouvons pas vivre une chose dont nous ne sommes pas conscients », et d’autre part, que « nous ne pouvons pas être conscients d’une chose et en vivre une autre. » Fort de cette double affirmation, nous comprenons plus facilement pourquoi, si nous avons un tel potentiel vanté par les plus éminents spiritualistes du monde (passés et présents), nous n’en sommes pas conscients pour autant.

 

En un sens, et toujours d’un point de vue purement pragmatique, il est moins important de connaître l’origine ou la cause d’un problème que… De s’en débarrasser ! Une fois le problème éliminé, il est toujours loisible d’en étudier la cause, pour info et toute quiétude. Mais présentons le problème à l’envers, afin de vérifier que nous avons bien affaire à une loi du fonctionnement de l’esprit, et non au caprice passager d’une personnalité qui tient à donner son avis du moment. S’il s’agit d’une loi spirituelle (relative au fonctionnement de l’esprit, donc), elle est non seulement véridique mais surtout, reproductible à volonté, en tout temps et tout lieu.

 

Partons de cette question très simple : « Si nous étions conscients de notre potentiel, qu’est-ce que cela changerait en nous et autour de nous ? » Pour répondre à cette question inversée, il suffit de nous référer à une des deux lois de l’esprit mentionné plus haut : « nous ne pouvons pas vivre une chose dont nous ne sommes pas conscients ». Ainsi, si nous devenions conscients de notre potentiel, même graduellement, alors nous pourrions le vivre et donc, en avoir la jouissance et ce, en suivant cette même gradation. Et ceux autour de nous se rendraient compte d’un changement s’opérant en nous. Nous n’aurions pas besoin d’aller vers eux afin de « faire des émules », ce sont eux qui, tout naturellement, viendraient à nous, aussi graduellement que s’effectuerait notre transformation.

 

Est-ce à dire que nous attirerions tout et n’importe quoi ? Certainement pas ! Nous n’attirerions à nous que celles et ceux interpellés, favorablement, par cette évolution inespérée, du simple fait qu’une partie d’eux « reconnaîtrait » ce type de vécu et aurait à cœur d’en profiter également. Ce serait une sorte d’effet boule de neige (ou toute autre expression similaire.)

 

S’il est inutile d’évoquer plus longuement les méthodes pour contraindre l’être humain, supposément « pour son bien » et en faisant de lui un animal docile qui ne s’insurge qu’en aparté, il est par contre important de comprendre comment cela s’articule au niveau de son être profond et, en particulier, sur un de ses « corps », connu dans certains milieux comme étant le corps vital.

 

La vie universelle circule en nos différents « corps » (vital, astral, mental, etc.) mais le vital doit recevoir ici toute notre attention, du fait qu’il est responsable de la force avec laquelle… Tout est pensé, ressenti, vécu et fait ! Autrement dit, de la bonne circulation de la force vitale en notre corps vital, dépend… Tout le reste ! Et dans une grande mesure, même notre conscience ! En effet, nous pouvons être momentanément conscients d’un problème, mais si nous ne trouvons pas sa solution, c’est que nous n’en avons pas la force ! Une conscience forte vient à bout de tous les problèmes et permet de trouver la bonne conduite et la bonne parole en presque toutes les circonstances de la vie, qu’elles soient naturelles ou induites (par l’esprit humain.)

 

Bien sûr, la santé physique dépend de la libre circulation de l’énergie dans le corps vital, mais pas seulement, tant s’en faut ! Des états naturels tels que l’amour, la paix, la joie et le plaisir, par exemple, sont également tributaires d’une libre circulation énergétique au sein de ce corps vital. En somme, ce sont toutes les fonctions naturelles de notre âme qui dépendent de ce corps largement sous-estimé. Du moins tant que notre âme, c’est-à-dire « ce qui nous anime » (soit nos processus mentaux et nos émotions) s’exprime par le biais d’un corps de chair, sur Terre.

 

Il est temps d’effectuer cette prise de conscience salvatrice et qui nous protégera de la plupart des souffrances psychologiques connues et surtout vécues de nos jours : Nous ne sommes pas ce que nous pensons ! Nous ne sommes pas ce que nous ressentons : nous sommes cette conscience d’être qui fait ces choses (penser et ressentir.) De même, nous ne sommes pas nos croyances ni même nos certitudes et nous ne sommes en rien concernés par nos peurs, nos doutes ainsi que l’ensemble de nos limitations : nous sommes cela qui a CONSCIENCE de toutes ces choses.

 

Au fil du temps, notre conscience, à savoir « ce que nous sommes vraiment », c’est associé puis identifiée aux processus mentaux et à toutes les émotions qu’ils pouvaient engendrer. Dès que nous avons conscience de quelque chose, nous croyons immédiatement être directement concernés par cette chose mais en réalité, la seule chose qui puisse nous concerner, c’est cette prise de conscience, et non la chose rendue consciente.

 

Il est dit que « Tout est en nous. » Une bien jolie phrase qui ne veut rien dire si elle n’est pas suivie d’explications rationnelles, voire de preuves satisfaisantes pour l’intelligence. Pour comprendre cette phrase quelque peu mystérieuse, il suffit de se questionner de la sorte : « Puis-je prendre conscience d’une chose qui ne soit pas dans ma conscience ? » Autrement dit, dès le moment où vous prenez conscience d’un évènement quelconque, cette information n’est-elle pas dans votre conscience ? Dans le cas contraire, comment pourriez-vous en prendre conscience ?

 

Certes, la chose elle-même ne se trouve pas « dans votre tête », elle prendrait sans doute trop d’espace ! Mais l’imagerie mentale est bien à l’intérieur de votre conscience. Si les évènements se produisaient à l’extérieur, la conscience ne pourrait pas y participer. Même lorsque vous voyez quelque chose, votre vision n’est pas extérieure, l’imagerie mentale de ce qui est censé se produire « au-dehors » est vraiment dans votre conscience. Sinon, vous ne pourriez pas l’expérimenter. En somme, tout ce que vos sens vous rapportent, comme informations, est nécessairement transmis à votre conscience et c’est pour cela que vous en êtes informés.

 

Dès lors, vous ne pouvez pas connaître si un éventuel extérieur existe ou pas : vous ne pouvez vous référer qu’à vos perceptions intérieures (5 sens) de ce qui est supposé se produire « à l’extérieur. » Si vous dites et par exemple : « Mais je vois bien cet arbre, à l’extérieur et dans mon jardin ! », en réalité, vous percevez l’image mentale transmise via votre cerveau par votre sens de la vue, à votre conscience. Toutes vos perceptions sont nécessairement intérieures. Dans le cas contraire, il n’y aurait aucune relation possible entre votre conscience et ce qui se passe hors d’elle. Vous seriez coupés de l’actualité, en somme.

 

Il est un fait également qu’il y a souvent une nette différence entre ce dont vous pouvez prendre conscience et votre capacité à en faire quelque chose de bon pour vous ! Cela parce que dans certains cas, vous manquez de force d’âme pour réussir à faire face à votre prise de conscience. Et pas nécessairement pour faire face à ce qui se produit en réalité. Car entre ce dont vous pouvez prendre conscience et votre capacité à « traiter » correctement l’information, ceci afin de vous en rendre maître, au lieu d’en subir les effets, il y a souvent un espace…

 

Espace produit par le fait, justement, d’une mauvaise circulation de l’énergie vitale au sein des milliers de « Nadi » (circuits) qui forment ce dit « corps vital. » Ci-dessous une rapide esquisse des innombrables « Nadi » (circuits énergétiques) du corps vital (invisible aux yeux de la chair, évidemment), véritable trame énergétique vivante et qui ne demande qu’à devenir… Plus consciente !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Serge Baccino

 

Les changements actuels

Les changements actuels

Gaïa passe actuellement une Initiation Majeure. Elle reçoit les énergies complémentaires (Shiva) pour devenir elle aussi une Planète Sacrée (deux Logoï au lieu d’un seul, de Genre Féminin.)
La première énergie, celle d’origine (Gaïa) étant sous terre (noyau planétaire), les énergies pénétrantes/enveloppantes doivent donc se positionner à la surface et se répartir le long des méridiens planétaires. Puis l’énergie de la Conscience Nouvelle (Shiva) va pénétrer la croûte terrestre et descendre en direction de son noyau, via les humains « enracinés » et, surtout, capables de véhiculer momentanément ces puissantes énergies.

Pour ce faire, Shiva sera sans doute obligé de nettoyer en la hâte certains canaux (Nadi) humains, les purifier pour ainsi dire sans ménagement, et sans prendre le temps de fignoler. C’est cela qui a produit, produit et produira encore, certains malaises physiques ou même psychiques. Tous ceux qui se laisseront faire feront un bond non prévu dans leur propre évolution. Ceux qui résisteront vont être un peu plus malmenés et/ou plus longtemps. Ceux qui refusent carrément son passage par leur corps et leur âme seront laissés tranquilles mais risquent de devoir compenser ce manque d’esprit fraternel et communautaire d’une autre manière. L’avenir nous expliquera dans quelle mesure ou de quelle façon.

Certains qui se croyaient « un peu justes », vont passer ce test inopiné haut la main, presque sans être inquiétés. D’autres qui se supposaient modestement « à l’abri du mal » (sic), vont payer le fait de confondre « Je suppose être » avec « Je Suis. » Parmi tous ceux qui risquent de mal digérer les énergies en présence, il y a et il y aura bien sûr tous ces « spiritualistes de la dernière heure » qui se supposent avancés et très au-dessus des autres. Chez eux, on frôlera sans doute l’hécatombe psychologique. Évitez donc de trop les fréquenter et, surtout, de les contrarier au sujet de leurs certitudes et tout ira bien. Surtout pour vous.

De nombreux initiés vont se casser la gueule, comme toujours, comme à chaque fois. Veillez à ne pas faire partie du lot et tout ira bien. Il s’agit d’une sélection naturelle, d’un « test » que vous fait passer la Grande Vie elle-même pour voir si vous avez correctement appris et surtout, compris, qui vous êtes en vérité. Il n’y a que quelques mois à patienter et ensuite, tout rentrera dans l’ordre. Certaines choses seront devenues différentes, d’autres auront disparu et quelques autres auront fait leur apparition et ce, contre toute attente. Comprenez bien que « Qui vous êtes en vérité » ne sera jamais gêné par les énergies, aussi puissantes soient-elles. C’est qui vous n’êtes pas et n’avez jamais été et que, désormais, vous ne pourrez même plus faire semblant d’être, qui est faillible, faible et finalement mortel. Ne vous trompez plus d’identité et tout se passera bien pour vous.

Dans la pratique, comme réagir ? En cas de coup dur, ne vous plaignez pas, ne soyez pas défaitiste et réagissez promptement avec l’idée directrice de trouver la solution à un problème vous étant simplement confié. Vous n’êtes pas ce problème et n’en faites même pas partie, alors comment pourrait-il vous affecter ? Vous perdez un travail ? Cherchez-en immédiatement un autre : il sera forcément plus adapté à votre nouvelle vie ! Vous perdez un conjoint ? Cherchez-en un autre ! Vous ne possédez jamais rien : comment pourriez-vous « perdre » quelque chose ? Cessez de prendre les choses et les gens comme vos propriétés exclusives et définitives.

Cessez de croire qu’« à cause des » ou « grâce aux » AUTRES, vous êtes malheureux ou pouvez devenir « plus heureux » ! Quoi qu’il vous arrive, vous en êtes le seul et l’unique RESPONSABLE ! Quand vous l’aurez enfin compris et admis, vous deviendrez puissant et indépendant. Aucun mal ne peut arriver à celui qui ne l’attire pas à lui en croyant être concerné. Il ne vous arrive jamais rien à vous ! Mais VOUS faites arriver tant de choses, que c’est à croire que vous vous emmerdez dans votre vie quand tout va bien !

Dans la pratique : conservez présent à l’esprit que notre époque est la plus piégeuse de tous les temps. Comprenez que lorsque vous essayez de contrer un évènement, en plus de l’affronter, vous le confortez à l’aide de vos propres énergies ! Cela vous affaibli et vous rend vulnérable. Si au lieu de lutter (de geindre, râler, etc.,) vous trouvez en vous CE RÉFLEXE de comprendre le sens de ce qui SEMBLE vous arriver à vous, alors vous découvrirez ce qui, EN VOUS, a attiré l’évènement et vous a fait croire qu’il VOUS concernait. Courage, la Lumière n’est pas « au bout du tunnel » : de tout temps, elle a été, elle est et sera en vous, en tant que vous !

 

Serge Baccino

 

Vous avez dit hypnose ?

Vous avez dit hypnose ?

Quelques considérations à propos de l’hypnose dite régressive (Dossier.)

Avant tout, il est important de mentionner que l’auteur de ce texte n’est ni « pour » ni « contre » ce que l’on nomme de nos jours « l’hypnose régressive. » Son but est de démontrer deux choses en particulier qui ne pouvaient échapper à son discernement.

La première, que le terme « régressif », en plus d’être en droit d’inquiéter plus d’un Ontologiste ou d’un Métaphysicien, est à la fois impropre et ne peut en aucune manière s’inscrire au sein des lois et des principes du fonctionnement de l’esprit. Rien ne peut régresser, stagner oui, mais régresser, certainement pas. De plus, il est inutile d’aller visiter un hypothétique passé, alors que tout est présent, dans l’absolu. Le passé est toujours présent en nous. Dans le cas contraire, nous ne pourrions pas en prendre conscience présentement.

La seconde, que cette manière d’aider les gens, même si elle part évidemment d’une intention plus que louable, peut quelque peu aggraver une condition hélas peu connue ; celle de la dépolarisation – déjà énorme — de la glande pituitaire (Hypophyse.) Dans ce dossier, nous survolerons chacun de ces deux problèmes qu’il nous paraît intéressant de mentionner. Ensuite, libre à chacun de tout rejeter ou de ne retenir que ce qui lui semble utile.

Commençons par le premier problème relevé, du moins si on accepte le fait que la conscience une et indivisible, se manifeste simultanément par le biais des différents corps de manifestation.

L’Ontologie propre à la psychologie ésotérique (ou « psy éso »), nous apprend qu’il n’existe qu’une seule conscience partagée simultanément par tous les corps. Elle nous apprend également que « Cause et effets sont simultanés, dans le temps (maintenant) et dans l’espace (ce mental conscient.) »

Nombreuses sont les personnes qui se précipitent pour affirmer que « le temps n’existe pas », tout en se réjouissant à la seule idée de découvrir « leurs vies antérieures » ! Ce qui est pour le moins paradoxal. Si « autres vies » il y a, ces dernières ne peuvent qu’être simultanées, et non successives. De plus, ces autres vies n’ont rien à voir avec l’une quelconque d’entre elles « en cours », puisque chaque personnalité est unique et se forme durant l’incarnation. Une personnalité précise ne peut donc pas « avoir d’autres vies », passées et même en simultané. La place étant déjà occupée.

Ce n’est pas la personnalité humaine qui possède des extensions en simultané, comme nous le verrons lorsque nous aborderons le sujet du Soi Naturel. Ceux qui prétendent avoir vécu « des vies antérieures » ne comprennent pas que pour en prendre conscience maintenant, il faut que cette même vie « autre » se manifeste maintenant également. Car pour la conscience, seul existe le présent. Et si on peut « la contacter » tout en restant soi, cela démontre que les deux vies sont bien simultanées mais restent distinctes et n’ont rien à voir entre elles, outre le fait d’être au sein du Champ unifié de conscience (CUC, voir plus loin.)

Certains argumenteront, ce qui est compréhensible, du fait que lors de ces réminiscences, ils avaient la très nette impression de connaître celui ou celle incarnant cette autre vie. Il existe plusieurs manières d’expliquer ce phénomène, mais pour faire court, nous ne retiendrons que la manière Ontologique générale et celle propre à la psy éso (psychologie ésotérique.)

Ontologiquement parlant, s’il n’existe qu’une seule conscience qui se décline au travers de toutes les incarnations et ce, en simultané, il nous semble logique d’admettre que cette même conscience connaît tout le monde ! Et c’est au travers de ce que nous nommons « le Champ Unifié de Conscience » (CUC) que chacun est relié à chacun et peut en avoir le sentiment très net, pour peu que son cerveau soit mis au repos et que ses fréquences cérébrales avoisinent les 7 à 9 cycles par seconde (Alpha profond.) Lors d’une profonde détente, il est possible de se sentir relié à « quelque chose de plus grand », qui nous pousse à nous sentir unis à tous les êtres vivants et conscients.

Ce sentiment très fort ne laissant place à aucun doute quant à son degré de véracité, découle d’une connexion ponctuelle ou même récurrente (mais non durable) à ce Champ Unifié de Conscience.

OK, mais pourquoi cette vie-ci plutôt que celle-là ? Autrement dit, partant de la prémisse que nous sommes tous reliés par une seule et même conscience, pourquoi une personne se retrouverait-elle sensibilisée à telle incarnation simultanée plutôt qu’à telle autre ? Pour le comprendre, il suffit de faire appel aux états d’esprit et à leur contenu formel. Ou plus sobrement, au fait que peu ou prou, nous sommes tous reliés, en esprit, à ce que l’on nomme l’inconscient collectif. Au sein de ce dernier, véritable réservoir animique (relatif à l’âme, donc), les états d’esprit qui se côtoient le font grâce à leurs degrés d’affinités. Un peu comme le fait de ne se sentir lié qu’à celles ou ceux qui partagent un état d’esprit semblable ou compatible. Si nous nous sentons proches de celui-ci, plutôt que de celui-là, ce n’est pas pour rien.

Du point de vue plus ésotérique, et en particulier, selon l’enseignement de la psy éso, la véritable individualité, au départ, est le Soi Naturel. C’est cette entité vivante et consciente qui déploie plusieurs extensions (personnalités) en simultané (et non à la suite et dans le temps) qui toutes, sont reliées, du moins au départ, à une âme unique, celle de ce Soi Naturel. Ainsi, deux extensions (incarnations physiques personnelles) dont les âmes personnelles se situent « très proches » (psychologiquement parlant) l’une de l’autre, pourront, lors d’une période de grande détente physique et mentale, se connecter entre elles et s’imaginer, mutuellement, être « la réincarnation de l’autre. » Et vice versa.

Ce qui, avouons-le ici, présente un côté burlesque indéniable. En effet, des deux personnalités aux âmes personnelles si proches et donc compatibles, laquelle est la « réincarnation » de l’autre ? Réponse : aucune, puisque les deux, sensiblement différentes tout de même, se produisent en simultané dans la conscience du Soi Naturel qui, lui-même, existe en simultané dans la conscience d’un Soi Divin. La psy éso s’arrête au niveau du Soi Divin, supposant et à juste titre que pour une personnalité humaine (ou « moi » humain ou « ego »), cela est bien suffisant pour avoir une vie heureuse et réussie sur Terre. Et pour le moment, nous en sommes bien là, n’est-ce pas ?

Ce qui ne nous interdit pas de comprendre qu’au-delà des Soi Divins, il existe d’autres formes de conscience qui intègrent les premiers, qui elles-mêmes font partie de quelque chose de plus grand, et ainsi de suite, certainement à l’infini. Et plus nous « montons » (les fréquences mentales) et moins nous trouvons d’êtres distincts (mais non séparés), un peu comme une forme pyramidale se réduit vers ses sommets. En clair, c’est au niveau considéré comme « physique » que nous pouvons trouver le plus de diversité. Sur ce plan considéré comme « physique » ou pire encore, « extérieur à notre conscience », nous avons le net sentiment d’être « nombreux » et d’être tous aussi différents que distincts. Ce qui est exact d’un point de vue humain ou relatif. En remontant les dimensions, le multiple fait place à la rareté, sans doute pour en arriver à l’Un sans second. Mais laissons cela.

Voyons à présent en quoi l’hypnose régressive peut interférer dans le développement naturel (déjà bien perturbé) de la glande pituitaire ou hypophyse. Cette glande se présente sous la forme évocatrice de deux lobes distincts (voir images.) Le lobe antérieur, faisant face au front (antéhypophyse) est relié au « Je », à l’aspect masculin et actif, qui est censé s’occuper du processus d’idéation mentale et, en particulier, de donner forme à des idées constructives et donc, profitables, pour la personne physique. Le lobe postérieur, quant à lui et faisant face au lobe occipital, représente le « moi », l’aspect féminin, passif et maturant. C’est à partir de ce poste de contrôle que s’élaborent nos différents processus mentaux, nos conditionnements et habitudes, résultant de notre éducation, de l’enseignement, de la morale, des croyances diverses et de ce que l’on s’obstine encore à nommer « les règles de savoir vivre en société. »

En règle générale et dans les meilleures conditions (rarement présentes), le « Je » représenté par le lobe antérieur de la pituitaire, est supposé pouvoir fournir des idées directrices qui, si elles sont acceptées puis entérinées par le « moi », concourront à une vie aussi intéressante qu’épanouissante. Le « Je » proposera et le « moi » disposera, en somme.

 

 

Hélas, nos conditions de vie actuelles et, surtout, l’éducation fournie à nos enfants, font que ces derniers sont alignés d’office sur des règles incontournables qu’ils ont tout intérêt à suivre. Ce n’est plus le « Je » de l’enfant qui décide de ce qui pourrait être utile de penser puis de vivre, mais les règles de vie et de morale imposées par l’éducation, par le biais des parents puis de l’école ensuite.

En clair, l’enfant apprend à obéir à tout autre que lui et c’est le « moi » qui devient directif, en se servant pour cela de tout ce qu’il contient et qui a été fourré, pêle-mêle, dans son mental conscient et qui est ensuite passé dans le domaine subconscient, afin que l’enfant n’oublie jamais que ce n’est pas à lui (à son propre « Je ») de décider de sa vie ou même, de ce qu’il est permis de penser ou non.

Celui qui a inventé cette idée d’imposer aux enfants d’apprendre par cœur les choses supposées « importantes », a séparé le « moi » de ces mêmes enfants de leur propre cœur. Apprendre « par cœur » (afin de retenir) revient à se couper de son propre cœur pour laisser l’intellect conduire la personnalité. C’est Caïn (l’intellect) qui tue (fait taire) Abel (la sensibilité, le live, le vivant.) Lorsque le praticien en hypnose régressive accompagne son patient, il lui permet de se détendre pour avoir accès à ses mémoires. Mémoires qui toutes, sans exception, sont sous la responsabilité du poste de contrôle du lobe postérieur de la pituitaire ou du « moi ». Ce dernier est déjà hyperactif et le fait d’assister le patient revient à reprendre, pour un temps, le rôle des parents, des enseignants de l’école, voire du « patron » qui permet à la personne et donc l’y autorise, à chercher, dans un passé quelque chose qui ne s’y trouve pas.

Nos problèmes se manifestent tous au présent, n’est-ce pas ? C’est bien maintenant que nous en avons conscience ? Et cette prise de conscience est appelée « effet ». Ce que nous vivons maintenant, est un effet de ce que nous pensons maintenant. Cause et effet sont simultanés, vous en avez souvenance ? Si l’effet se manifeste maintenant et pour nous, pourquoi vouloir en rechercher la cause dans notre jadis ou pire, dans le jadis d’une vie autre que la nôtre ?

Tout est dans Tout, affirme un axiome hermétique. Tout est présent en Soi, pourrions-nous ajouter. Cela dit, si l’effet est nécessairement conscient (essayez de souffrir « inconsciemment », pour voir), la cause est souvent inconsciente (« Tout est double mais opposé et complémentaire »). Autrement dit, nous ne savons plus pourquoi nous souffrons, en gros. Ce qui a donné l’idée à certains d’aller fouiller dans la subconscience ou pire, d’aller se faire fouiller par un autre !

Pourtant, la règle est très simple : « cause et effet sont simultanés, dans le temps et dans l’espace. » En langage plus moderne, cela signifie qu’un effet et sa cause sont présents en nous, au sein même de notre conscience, cela à chaque fois que l’effet se manifeste à la conscience objective. Et si l’effet est dans notre conscience, bien qu’il donne la très nette impression de se manifester « à l’extérieur », la cause se trouve nécessairement dans notre conscience également. Et c’est parce que nous sommes habitués à ne nous fier qu’à la partie la plus superficielle de notre conscience (l’objective) que nous sommes persuadés de ne pas (ou ne plus) être conscient des causes.

En réalité, et même si la cause et son effet se manifestent à des niveaux différents d’une seule et même conscience, il nous est toujours loisible de visiter chacun de ces différents niveaux, afin d’y découvrir quelque trésor enfoui. Voire une Pierre sacrée. Celui qui connaît la mer ou qui s’y baigne régulièrement, sait très bien qu’il existe diverses profondeurs dans cette mer. Et selon la profondeur visitée, on peut trouver des espèces aquatiques différentes qui toutes, semblent ne se plaire qu’à cette profondeur particulière. Il en va de même pour l’Océan de Conscience. Bien que la conscience soit unique, elle contient de nombreuses profondeurs différentes.

C’est sur l’une de ces profondeurs que se situent les causes de toutes choses, tandis que les effets semblent préférer flotter à la surface des eaux.

À notre époque, le « moi » (lobe postérieur de la pituitaire) est suractivé. Des deux lobes, il est le seul à se taper tout le boulot, pourrions-nous dire en toute simplicité. Le besoin de plaire aux autres, de connaître « leur avis » et celui de dépendance plus ou moins marquée, tout cela provient d’une hyperactivité du lobe postérieur qui, rappelons-le pour l’occasion, est uniquement passif.

Ce n’est pas à lui de décider ou d’avoir des idées nouvelles, mais comme notre mode d’éducation est basé sur l’obéissance quasi aveugle et pour « le bien de tous » (entendez surtout celui des autres), plus personne ne sait se débrouiller seul et encore moins s’assumer complètement et en tous domaines.

Ne cherchez pas d’autres causes à l’aveuglement actuel des foules, à ce besoin d’une pensée unique permettant de suivre le troupeau et de se sentir ainsi « en sécurité ». Il est tentant, partant, de se dire que, peut-être, les initiés, depuis toujours, sont celles et ceux capables de penser par eux-mêmes et de ne pas se laisser embrigader dans des considérations aussi fallacieuses que morbides. Certains, qui tentent toujours désespérément de conduire ce monde, ont très peur de celles et ceux capables de penser seuls. Ils savent ce que cela signifie, à plus ou moins brève échéance. C’est la raison pour laquelle ils sont quasiment obligés de « faire taire » ceux qui, non contents d’être déjà plus ou moins libres, tentent (maladroitement) de libérer les autres.

Personne ne peut libérer personne. Chacun est son propre geôlier et chacun est son propre « sauveur ». Il n’y a pas de tyrans efficaces, seulement des faibles qui ont le besoin d’être assumés, même si cela implique de se faire tyranniser. Il est juste possible et même souhaitable, de reprendre le contrôle de sa propre personnalité et d’en devenir le principe directeur conscient. Et pour cela, il faut rétablir les correctes polarités, assagir le « moi » et activer le « je ».

Ce qui est le travail de tous les initiés du monde qui font autre chose que de parler de ce qui est ou n’est pas et mettent à profit le moment présent, en remerciant le passé de les avoir instruits sur eux-mêmes. Mais cela est une autre histoire…

 

Serge Baccino

 

Vous avez dit implants

Vous avez dit implants ?

Un mot commence à circuler depuis quelques temps.
Il s’agit du mot « implant. » Mais c’est quoi, un implant, au juste ?
Il serait fastidieux (et très long) de remonter aux origines de l’Aventure Humaine et de la création d’un Monde à part dans lequel un être vivant et conscient appelé « humain », serait placé pour expérimenter non seulement les plus basses vibrations connues et imaginables mais de plus (ou surtout), un sentiment très net de séparation avec le Divin.

De même il serait laborieux de traiter, d’une manière exhaustive, dans un article de ce genre et voué aux généralités, de certaines Forces d’opposition, dirons nous ici et pour simplifier, qui en ont profité pour condamner (ou tenter de le faire) l’humanité à une errance sans fin. Des Forces d’opposition ? D’opposition à quoi ? Pourrions-nous au moins préciser ? Nous le pouvons et dans les grandes lignes. D’opposition à cet élan vital de l’être humain en direction des sphères de conscience supérieures.

Il est des choses qui, en nous, s’opposent formellement à notre évolution, à notre sentiment d’appartenir à un Tout aussi vaste que cohérent. Et les implants servent justement à calmer au moins les ardeurs juvéniles d’une humanité qui en a marre de se trainer ventre au sol tout en étant certaine de savoir voler. Ou d’avoir su voler ? Peu importe la manière de placer la divinité de l’homme dans le temps, car pour le moment, nombreux et pas des moindres, se trompent encore confondant un passé illusoire avec un futur assuré par avance par la simple progression vers un but commun.

Nous ne préciserons donc pas d’où viennent ces implants ni qui ou quoi les a ainsi placés en nous. Mais nous pouvons déjà affirmer que la génétique y est pour beaucoup et que de générations en générations, certains implants ont été transmis (par reproduction) et ont fait leur office le moment venu et de la manière que nous allons préciser plus loin. Mais voyons tout d’abord ce que nous pouvons dire au sujet d’un implant, en général.

Il s’agit d’un programme précis, préréglé et invisible, du moins, aussi longtemps qu’il demeure inactif. C’est sur ce type de programmation de très haute technologie que se base l’I.A. universelle. Pour ceux qui connaissent déjà ce sujet, qui est lui aussi trop conséquent pour avoir sa place ici. Comment ça fonctionne, au juste ? Comment et pourquoi agissent ces fameux implants ? Avant de pouvoir l’expliquer, nous devons tout d’abord préciser le fait qu’il existe deux sortes d’implants : ceux semi-physiques et ceux vibrant à la fréquence du corps dit « éthérique », l’un de nos corps d’activités non physique, ou « non-matériel », si vous préférez, si tant est que quelque chose puisse être « matériel. » Mais laissons cela.

Les implants semi-physiques sont placés dans le corps de chair ou ce corps dont la fréquence spirituelle est la plus basse. Le second type d’implants se retrouve dans les corps non physiologiques, tels que le vital, l’astral et le mental. En plus du niveau où l’implant est censé agir (physique ou non), il y a l’effet qu’il est censé produire, le moment venu (voir plus loin.) En clair, un implant qui s’active dans le corps physique produira des maladies physiques anciennement nommées ‹ maladies spirituelles », car elles ne se produisent que chez celles et ceux qui sont « en recherche spirituelle. »

Un implant qui s’active dans les autres corps plus éthérés, produira et par exemple, une baisse du moral, une difficulté à avancer dans la vie, des émotions perturbantes ou encore, des états d’esprit très déstabilisants. Mais que les effets soient physiologiques, psychologiques ou spirituels (mentaux), le but est à chaque fois le même : empêcher la personne de monter trop en fréquence et/ou la décourager de toute idée d’évolution personnelle.

À présent que nous connaissons le but de la présence d’implants, dans l’être humain, voyons rapidement où se situent ces implants. Leur localisation, vous le pensez bien, relève d’une méthodologie et d’un sens de l’à-propos hors du commun. À croire que ceux qui les ont placés en l’être humain, connaissaient ce dernier bien mieux que lui-même. Ou avaient de très solides connaissances ésotériques (lois et principes du fonctionnement de l’esprit.)

On trouve donc des implants, et selon leur fréquence de base, soit dans ce que l’on nomme « les Chakra » (sans « S » même au pluriel, c’est du sanskrit, pas du français, merci), soit au niveau d’une glande endocrine, et même au niveau de certains organes clefs, tels que le cœur, le foie, la rate ou le pancréas, par exemple. Mais comment ça fonctionne, tout ça ? Et en quoi le fait d’avoir un implant positionné par exemple sur une glande endocrine, peut nous empêcher de nous élever en fréquence ?

Pour le comprendre, il faut savoir ou se souvenir que « nous sommes ce que sont nos glandes » et que notre état d’esprit, notre caractère et nos émotions, sont entièrement gérés par ces glandes, dont les plus importantes commencent à être connues du grand public. Ainsi, imaginez que vous entrepreniez un parcours initiatique, que vous pratiquiez des exercices psychiques ou spirituels et qu’en un mot, votre but soit d’élever votre fréquence animique (relative à l’âme, donc) et/ou physique, ceci afin de vous préparer à ce que beaucoup nomment « le saut dans la 5D. »

Que va-t’il se passer, selon vous ? Réponse : l’implant est « taré », c’est-à-dire pré-réglé sur une certaine fréquence butoir. Lorsque votre glande endocrine concernée par cet aspect de votre évolution, va se mettre à vibrer plus haut, elle va atteindre la fréquence pré-réglé de l’implant qui, du même coup, va se faire un devoir de « se mettre en route », de s’activer, en somme. Dès lors, sa propre vibration va avoir un effet hypnotique sur cette glande qui va se caler sur la fréquence imposée et qui, bien entendu, ne va jamais la dépasser. Du moins si personne n’intervient ou si la personne impliquée est apte à se laisser manipuler.

Et avant qu’un implant ne s’active, pouvons-nous le retirer ou nous en débarrasser, d’une quelconque façon ? Réponse : non ! Cela parce que lorsqu’un implant n’est pas activé, il est totalement invisible, y compris à la vue spirituelle. Ce n’est que quand il est activé par notre prétention à nous sortir de notre marasme mental usuel et commun au plus grand nombre, que l’implant se met en action et devient, de ce fait même, visible et donc, « parasitable » ou apte à être retiré. Ainsi, et même si un implant relève d’un niveau de technicité très élevé, sa faiblesse réside dans le fait qu’il ne peut s’activer sans se dénoncer lui-même, sans trahir sa présence en nous.

Un implant peut-il être désactivé, parasité ou même détruit, sans une action convenable et précise ? Oui, bien sûr, il peut pour ainsi dire « sauter naturellement » si la personne réussit, par son niveau d’évolution ou peut-être par sa volonté de progression, à monter en fréquence et « résister ainsi à l’envahisseur. » Bien que cette méthode dite naturelle peut s’avérer risquée, voire dangereuse, car la personne peut abîmer ses fragiles zones cérébrales ainsi qu’une ou plusieurs de ses glandes endocrines. D’ailleurs, et pour le dire d’une manière simple, lorsque l’implant saute sans action directe et ciblée, la personne a l’impression qu’elle va mourir ou qu’elle devient folle.

Certains maîtres spirituels du passé témoignent du fait qu’ils ont senti comme un bouchon de champagne qui sautait, au niveau du Centre Coronal (Sahasrara Chakra, en sanskrit), ou comme si leur tête allait brusquement exploser, ou encore comme si leur souffle avait été violemment expulsé de leurs poumons, etc. Ces expériences étant à chaque fois suivies de moments d’extase, d’élévation, de sortie de corps et autres phénomènes psychiques et/ou spirituels, indiquant très clairement le départ d’une nouvelle vie plus universelle ou bien moins limitée.

Il existe bien sûr d’autres effets, qui varient avec la personne et la position de l’implant qui saute sans aucune aide extérieure et intérieure. Parfois, ce que certains nomment « un Satsang » (« Être en présence d’un Soi réalisé », que d’autres nommaient jadis « être en présence des Saints ») suffit à faire éclater un implant, mais à chaque fois, l’effet est pour le moins marquant, ce qui n’est pas du goût de tout occidental qui se respecte !

Il existe déjà des individus qualifiés pour « extraire » sans effets par trop négatifs ou impressionnants, ces implants. Mais pour autant, est-il opportun de courir à droite et à gauche afin de trouver un personne capable de retirer un ou plusieurs implants ? La réponse est non, bien sûr que non ! D’autant que comme mentionné en amont, un implant demeure invisible et donc, inattaquable, cela aussi longtemps que la personne concernée ne l’a pas activé et donc rendu visible. Visible pour toute personne capable de le voir, bien évidemment.

Il est donc plus sage et même intelligent, d’attendre que l’un quelconque de ces implants se manifeste, nous indiquant ainsi que nous avons essayé de sortir de notre condition actuelle d’être humain se croyant aussi faible que limité. Gageons que dès que vos implants se manifesteront, vous le sentirez et « comme par hasard », quelqu’un se présentera à vous pour vous aider à vous en débarrasser. Avoir foi en votre Nature véritable devra alors être bien plus qu’une simple idée spirituelle des plus séduisantes !

Pour en terminer, j’aimerais faire passer une idée qui semble échapper à beaucoup de chercheurs de Lumière, comme on dit. D’aucuns se demandent pourquoi ils n’ont pas évolué plus vite ou plus tôt, regrettant de ne pouvoir s’y atteler qu’à un âge déjà conséquent et de ne pas s’y être pris bien plus tôt, par exemple juste au sortir de l’adolescence. C’est là que nous pouvons comprendre quelque chose de merveilleux : si nous avions été « prêts » bien plus tôt, nous aurions immédiatement attiré l’attention des Forces de Résistance et d’opposition. Et ces dernières nous auraient alors pris pour cible et il y a fort à parier qu’ils auraient réussi à vaincre, en nous, toute velléités d’évolution. Je laisse à chacun le soin de saisir la Beauté et la véritable compassion qui se cache derrière mes derniers propos sans doute maladroits, ou d’écarter cet ajout d’un revers de main et par libre choix.

Bien à vous tous qui désirez apprendre et comprendre.

 

Serge Baccino