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Articles divers que le lecteur pourra kindleliser s’il le désire.

Le pouvoir des pierres

Le pouvoir des pierres (semi-précieuses.)

J’aimerais ici, présenter un autre aspect, voire une autre version du pouvoir des pierres. Je parle bien évidemment des pierres semi-précieuses, telles que les labradorites, les malachites, les améthystes, etc. Pour commencer, un rappel important : les Règnes sont « étagés » du plus bas, en termes de fréquence et donc de pouvoir, au plus élevé. Pour notre présent propos, nous considérerons qu’il est inutile d’aller au-delà du Règne humain.

Les pierres faisant partie du Règne Minéral (le premier et le plus bas, en termes fréquentiels), elles ne devraient pas pouvoir nous apporter plus que nous ne pouvons nous apporter nous-mêmes. En toute logique. Et pourtant… Ceux qui sentent que certaines pierres les rechargent ou les protègent, par exemple, ne se trompent pas. Ils sont juste mal informés (ou inconscients) au sujet des relations étroites et harmonieuses qui existent (ou devraient exister) entre les différents Règnes. Et surtout, ils sont mal informés au sujet de leur propre pouvoir.

Est-il vrai de dire que les pierres ont un pouvoir sur nous ? Oui et… Non ! Disons que les choses ne sont pas telles qu’elles paraissent être, ou sont moins « tranchées » que ne le laisserait entendre la version universellement adoptée (en spiritualité.) Les psychologues ésotéristes (ou psy éso) ont découvert cette loi animique (relative à l’âme, donc) en observant simplement la Nature et ses différents Règnes, en l’occurrence, les Règnes animal et humain. Comme ils le font depuis toujours, connaissant la loi de similitude entre ces mêmes Règnes (les quatre premiers en particulier.)

Observez un animal qui se nourrit et posez-vous cette question : mange-t-il tout ce qu’il trouve de consommable ? Observez un être humain qui en écoute parler un autre, qui donne un avis personnel : le second prend-il pour argent comptant tout ce qu’affirme l’autre ? Pour résumer et simplifier le propos, disons que l’animal sait ce qui est bon pour lui ou non, tandis que l’être humain ne retient que ce qui l’intéresse ou conforte l’état d’esprit déjà en place (en règle générale.) Tous deux n’acceptent et ne retiennent que ce qu’ils sont capables d’absorber et qui leur soit un minimum profitable.

Au niveau des pierres, nous aimerions que vous entriez de pleins pieds dans une forme de réalité bien plus magique que celle couramment admise. Les pierres ne « stockent » pas vraiment le pouvoir : elles se comportent comme le font spontanément les autres Règnes de la Nature. Elles se nourrissent de ce qui leur semble assimilable, de tout ce dont elles ont besoin, en somme, et « rejettent » carrément tout le reste, le restituant là où elles l’ont trouvé ou… En direction du point de départ (ou d’émission.)

Un chien régurgitera tout ce qu’il ne peut pas assimiler, le restituant pour ainsi dire « à la terre », l’endroit d’où proviennent toutes choses selon lui. L’humain ignorera tout ce dont il se désintéresse (ou qui ne l’arrange pas trop), et ce qu’il ne prendra pas « en conscience », sera restitué à l’inconscient collectif. Lorsque vous manipulez ou portez une pierre, c’est vous qui, le premier ou la première, rayonnez certaines fréquences. Le secret de cette connaissance hélas perdue, de nos jours, se résume au fait que de ce rayonnement, seulement dix pour cent (et au mieux), est de nature consciente. Plus sobrement, l’essentiel de notre rayonnement est inconscient.

Dans tout ce que vous rayonnez ainsi et à votre insu, la pierre ne retiendra que ce qui peut lui être utile et lui permettre d’évoluer, selon son Règne et les modalités qui sont les siens (à sa vitesse, pourrions-nous dire.) Tout le reste, elle vous le restituera ! Cela parce que, en vertu de son propre Règne, inférieur au vôtre et termes de fréquence, elle ne saurait qu’en faire, tout simplement. Mais souvenez-vous que votre rayonnement est inconscient à la base, OK ? Cela est d’importance. Selon le grand Principe de Polarité, « ce qui circule dans un sens devra circuler, tôt ou tard dans l’autre sens. »

Et au passage, la polarité devra changer, ainsi que les attributs propres à cette même polarité. Que signifie ce charabia technique ? Il pourrait se résumer ainsi : « Tout ce qui est parti de l’être humain et qui était de nature inconsciente, devra retourner à ce même être humain, mais en devenant conscient. » (Ou utilisable, assimilable, etc.) Ainsi, la pierre n’a en fait qu’un rôle mineur en l’occurrence. En réalité, c’est le pouvoir humain qui lui est restitué par la pierre, en mode conscient, qui permet au premier de prendre conscience d’une chose apparemment « ajoutée » (protection, pouvoir, etc.)

Nous pourrions aussi bien le formuler ainsi : les pierres servent à rendre conscient une partie du pouvoir que l’être humain ignore, alors qu’il sommeille en lui mais à l’état potentiel seulement. Les pierres ne dynamisent pas le pouvoir humain, comme l’affirment certains : elles se contentent d’inverser le courant ainsi que la polarité, de tout ce que l’humain rayonne en direction des pierres, faisant l’objet de son attention mentale. Les ésotéristes savent depuis très longtemps que l’énergie (ou la radiance) est véhiculée et plus spécifiquement orientée par l’attention mentale. Mais au sein de cette énergie, l’essentiel est encore de nature inconsciente. La pierre inverse donc ce processus.

En espérant que ces quelques considérations en inspireront plus d’un et plus d’une qui, grâce à leur intelligence et étant capables de « lire entre les lignes », trouveront ici matière à de fructueuses méditations. Pour ne pas dire applications !

 

Serge Baccino

Les trous de conscience

Les trous de conscience

Il y a la pensée et il y a la conscience. La conscience est continue, la pensée est dite séquentielle. Lorsque nous pensons, il y a des « trous de conscience », à savoir des espaces plus ou moins larges qui se situent entre deux pensées successives. C’est cet espace entre deux pensées qui nous intéresse ici.

Les anciens disaient que c’est justement dans cet espace entre deux pensées, que se situe la conscience. Ceci n’est qu’une demi-vérité. En fait, ce serait vrai SI, et seulement si, outre nos processus mentaux usuels (et nécessaires), nous étions des individus conscients. Mais pour la plupart, ce n’est pas le cas. De fait, pour la plupart, l’espace qui sépare deux pensées est vide. Non pas vide dans l’absolu, puisque le vide n’existe pas, mais vide d’eux-mêmes.

 Autrement dit, il n’y a personne de conscient de soi, entre chaque séquence de pensée. Cet état de fait a engendré une sorte de « stress animique », relatif à une forme d’intuition concernant les éventuels dangers consécutifs à ces espaces vides de soi. Alors les gens se sont mis à penser non pas d’une manière séquentielle, comme les animaux et leurs Déva, mais d’une manière dite « linéaire », à savoir le fait de maintenir un rythme le plus soutenu possible au niveau du flux de pensées. Une pensée après l’autre, et ainsi de suite.

Cette tentative pour le moins naïve visant à « combler les vides » par d’autres pensées et ce, sur un mode soutenu et répétitif, ne règle absolument rien au problème. Tout au plus le retarde-t-il. Hélas, le fait de diminuer le nombre de « trous de pensées » ne les supprime pas pour autant. Même divisé par dix, il reste des espaces vides de conscience de soi, du moins si la personne n’a pas encore réussi à s’individualiser, cela au point de devenir « autoconsciente » (conscience de soi.)

 Cela dit, en quoi est-il gênant de présenter ce type d’absence, de « trou » ou de « vide de soi » ? Le problème est assez simple et l’expression « absence de soi momentanée » répond déjà en grande partie à la question. En bref, tandis que nous sommes « absents à nous-mêmes », quelque chose d’autre peut être présent pour nous et à notre place. Voyez-vous la chose ?

 De quoi s’agit-il ? Parlons-nous de « possession démoniaque » ou autre bizarrerie inquiétante ? Non, pas vraiment. Ou pour être plus précis, « oui et non à la fois » ! Il n’est pas question d’évoquer les démons ou autres joyeusetés bizarroïdes issues du Moyen Âge. Il est question de « véritable possession », dans le sens mental de ce terme, à savoir, le fait de ne plus posséder la faculté de penser librement et par soi-même, mais « d’être pensé » et si l’on peut dire.

 « Être pensé » au lieu de penser soi ? Oui, ne plus être aux commandes de ses propres processus mentaux conscients, mais voir déferler en notre mental une foule d’idées ne nous appartenant pas et issues d’on ne sait où. C’est du moins l’impression que cela pourrait donner et quand on a le loisir de le réaliser (en reprenant le fil de notre conscience ou de nos processus mentaux volontaires.)

 D’où proviennent ces processus mentaux paraissant autonomes et ne nécessitant pas notre intervention pour se produire de manière logique et ordonnée ? L’origine est connue depuis fort longtemps : l’Inconscient Collectif. Ce dernier est le réservoir à penser pour toute l’humanité. Lorsque nous ne voulons pas penser, il arrive très souvent que nous pensions tout de même, y compris à notre insu, sans que nous en ayons la moindre conscience.

Les rêves sont d’ailleurs un exemple fameux de ce processus de pensées autonomes. Nous ne cherchons pas à rêver et n’en avons pas la moindre envie ni volonté, et pourtant, nous rêvons tout de même. Cela parce que durant la période nocturne, nous ne sommes pas mentalement conscients. Le « vide de conscience de soi » est donc maximal, pour ainsi dire et pour simplifier à outrance.

Ainsi et pour nous résumer, l’espace entre deux pensées successives, n’est pas nécessairement rempli de conscience : il peut représenter une sorte d’opportunité malsaine, pour l’I.C. de s’immiscer dans nos processus mentaux volontaires. Le résultat est que nous croyons penser librement alors que nous sommes pensés par quelque chose d’autre que nous.

 Le problème, et qui nous a permis de faire allusion à une forme de « possession mentale », est que dès lors, nous risquons d’en arriver à la conclusion apparemment logique, que « nous avons de mauvaises pensées » (par exemple), alors qu’il s’agit de tout autre chose et qui ne relève en rien de notre responsabilité immédiate.

 Sans aller plus loin dans la partie théorique et donc technique de cet intéressant sujet, nous pouvons déjà en retirer quelques conclusions apaisantes pour notre moral, car nous venons de réaliser, en somme, que nous ne sommes en rien responsables de toutes les « saletés mentales » qui nous passent par la tête et que, finalement, nous ne sommes peut-être pas aussi négatifs ou « médiocres » que nous pouvions en être arrivés à le croire.

 Et rien que cela méritait la lecture de cet article, n’est-ce pas ?

 

Serge Baccino

Dichotomie mentale

Dichotomie mentale

Avez-vous remarqué que dès qu’une personne poste un sujet, surtout documenté, il arrive automatiquement une autre personne pour affirmer le contraire, pour dire que c’est faux, etc. ? Cela est fait pour créer une dichotomie mentale, à savoir obliger une personne à choisir entre deux versions pour lesquelles, évidemment, elle n’a aucune certitude définitive.

Ce que d’autres nomment « dissonance cognitive » n’est qu’un aspect secondaire d’un principe mental peu connu qui consiste à tenir compte du fait que le cerveau et le mental, ne peuvent se concentrer que sur un seul sujet à la fois et, surtout, ne peuvent s’appuyer (croire) que sur une seule affirmation à la fois. Dès qu’une autre version opposée mais non complémentaire apparaît, le mental devient fiévreux et ne sait plus quelle version entériner.

Le rôle du mental n’est pas de juger de la valeur d’une info mais de définir celle qui apporte le plus de sécurité. Notre corps a besoin de se sentir rassuré, de s’appuyer sur des enregistrements mentaux aussi durables que certains (ou considérés comme tels, puisque seule une version connue et retenue.) Ainsi, si vous voulez perturber gravement le mental d’une personne, il suffit de lui administrer souvent (rythme) et longtemps (durée) non pas des informations différentes et bien distinctes (ou séparées) mais des couples d’informations tendant à se nier mutuellement.

A la longue, la personne se décourage, ne sachant plus à quel saint se vouer et fini par connaître une forme de « délestage mental » (ne plus être capable de comprendre et de choisir parmi une forêt d’informations contradictoires.) Ce type de personnage est alors parfaitement adaptée à un régime politique cherchant à faire passer toute et n’importe laquelle des informations lui étant utile à lui, et à lui seul.

 

Serge Baccino

3D et 5D quelles différences

La 3D et la 5D sont très différentes.
Dans la première, on se donne rendez-vous à une date ultérieure, par exemple le mois prochain, même jour, même heure. Si ce rendez-vous est honoré, on est satisfait. Si on le rate ou si ceux avec lesquels nous avions convenu de ce rendez-vous, ratent ce dernier, nous sommes mécontents, nous râlons !

 

Dans la 3D, nous sommes persuadés d’être aux commandes de notre vie, de tout contrôler alors que, bien évidemment voire « la preuve », nous ne maîtrisons rien du tout. Et surtout pas des évènements impliquant d’autres personnes, aussi paumées que nous le sommes.

Dans la 5D, non seulement nous avons compris tout cela mais de plus, nous l’avons accepté. Nous ne prévoyons plus, nous n’essayons pas de contrôler quoique ce soit ou qui que ce soit. Ainsi, l’état d’esprit est très différent et ressemble à une observation tranquille, qui sait que certaines opportunités se présenteront, tôt ou tard.

 

Dans la 5D, no stress ! Cela parce que l’on a enfin compris que tout est fait pour nous et non « contre nous. » Il n’y a donc plus rien à craindre, à croire, à attendre ou même à prouver. Il en va des circonstances actuelles comme de la 5D.
« Quand tout cela va finir ? », s’inquiètent les uns.
« Quand serons-nous de nouveau libres, comme auparavant ? », s’illusionnent les autres. En réalité, tout est déjà terminé et jamais nous n’avons été libres, auparavant.

 

Alors quoi ? Si tout est censé être terminé, pourquoi tout ne semble-t-il pas l’être ? La réponse est dans la question : « Comment pourrions-nous être libres déjà, sans nous en rendre compte, sans le réaliser ? » La question était dans la réponse : « Savions-nous, avant, que nous n’étions pas libres vraiment ? Dès lors, comment pourrions-nous prendre conscience instantanément de son contraire, la liberté ? »

Tout est double, mais se propose à notre mental sous la forme de pôles opposés et complémentaires. En clair, auparavant, nous pensions être libres mais nous ne l’étions pas. Nous étions seulement libres de le penser, en somme ! De fait, si nous pouvons être esclaves sans le réaliser, nous pouvons aussi bien être déjà libres sans l’avoir pour autant conscientisé.

 

Des Forces Invisibles mais bien présentes, sont actuellement à l’Œuvre. Elles épaulent d’autres forces qui elles, sont typiquement humaines, tandis que d’autres sont en plus incarnées.
Cette Alliance, unique en son genre, du jamais vu en fait, fonctionne « au minimum » en 5D.

Autrement dit et si les précédents propos ont été correctement compris, il est bien moins question de « fixer des dates » et de s’y tenir, que d’attendre patiemment que nous inventions ces dates, cela en créant ce que l’on nomme parfois « des fenêtres d’opportunités. »

 

Plus sobrement, ces Forces nommées « Alliance », pour simplifier, ne donneront jamais de dates en vue d’une éventuelle libération de ce joug que nous subissons tous, peu ou prou. Pourquoi ? Parce que, justement, nous le subissons en croyant devoir le subir ! Et par « nous le subissons », il faut comprendre que c’est chacun de nous qui, intérieurement, accepte de demeurer sous la tutelle démoniaque d’un état d’esprit général aussi liberticide que… Dépassé !

 

Mais tous ne le comprennent pas. Chacun attend que « dehors » soit libéré, afin de l’être, au-dedans. Ce qui est à tout le moins immature, pour ne pas dire affreusement naïf. Nul ne peut être libre depuis l’extérieur, et encore moins « grâce aux autres. » On est libre ou on ne l’est pas, on est responsable de soi, ou on cherche à rendre les autres responsables de notre manque de maturité spirituelle.

 

L’Alliance sait ces choses. Mieux encore : elle en a fait sa propre Loi ! Nous voulons devenir libres, au-dehors ? Très bien ! Alors nous devons, au préalable, nous libérer, au-dedans, de ce carcan mental qui nous tient lieu de dieu jaloux et sans aucune pitié pour un peuple qui lui voue pourtant un culte. En fait de dieu, nous serions plutôt en présence de démons ! Mais ces derniers ne se trouvent pas à l’extérieur, malgré les apparences, mais à l’intérieur.

Ou si vous préférez, cette nouvelle figure de style amusant, même les gens, à l’extérieur, sont consommés par un enfer qui leur est propre et donc, absolument intérieur. Si leur intérieur était libéré, l’extérieur le serait la minute d’après. Mais seulement pour eux.

 

En conclusion.

En 5D, nous ne pourrons plus projeter en pensant, c’est-à-dire essayer de fléchir un hypothétique destin à notre volonté propre. Nous serons simplement conscients de ce qui se propose à notre entendement, et par le biais du mental. C’est du moins ce qui se produira au début. Nous serons conscients de choses existant déjà et se bornant à se présenter à nous afin d’être rendues conscientes.
Ce qui fera de ces mêmes formes spirituelles, de l’esprit vivant et conscient. Même s’il ne s’agit pas là de la conscience telle que nous la concevons, en tant que personne physique et mentale.

 

Et un jour, une nouvelle Loi fera son apparition, et nous ne serons plus conscients de ce qui était et/ou sera, mais notre conscience générera, de son simple besoin d’être consciente d’elle-même, tout ce sur quoi elle pourra s’appuyer dans son lent mais inexorable processus de Réalisation de Soi.

 

 

Serge Baccino

 

Quelle section est la nôtre

Il existe actuellement deux grandes sections au sein du peuple.
La première cherche l’union, afin de faire respecter ses droits les plus inaliénables. La seconde a si peur d’éventuelles représailles, qu’elle préfère s’opposer à l’autre partie ou section du peuple, plutôt que d’affronter sa propre lâcheté, issue d’une évidente médiocrité mentale. Médiocrité héritée, comme expliqué plus loin.

 

Ainsi, à un certain degré de lâcheté, la seconde section du peuple en arrive presque à devenir courageuse. A sa manière s’entend. En effet, lorsque les représentants de la première section décident de s’unir pour être plus forts et faire respecter leurs droits, les lâches préfèreront, et de loin, se liguer contre eux, sans réaliser que nonobstant leur degré d’abrutissement mental, ils pourraient, avec le même degré d’agressivité, se joindre aux premiers, afin de vaincre une adversité qui n’existe, en fin de compte, qu’à cause d’eux.

 

Le peuple n’est pas faible : il est affaibli. Les gouvernements ne sont pas « forts » : ils profitent juste de la faiblesse des masses. Et ce qui affaiblit les peuples, c’est la division mentale, à savoir le fait de croire que « penser différemment » est la seule manière de se distinguer vraiment. Pour se distinguer, il suffit de définir ce qui, en nous, est de nous ou des autres. C’est ce qui est « des autres » qui nous divise. Une fois que l’être humain distingue qui il est vraiment, il devient le seul à être lui. Il n’est pas seul : il est « seulement lui-même. »

 

Or, tous ceux qui ont réussi à s’unir à leur propre Centre, à devenir vraiment eux, sans se sentir obligés de penser comme les autres dans l’espoir de faire partie d’un groupe quelconque, sont devenus des êtres humains authentiques, des êtres vivants et conscients. Ce sont ces êtres-là qui ne sont jamais seuls et qui attirent leur – ou sont attirés par – leurs semblables.

 

La Règle en la matière est on ne peut plus simple : on ne peut attirer les autres à soi que si on est soi et s’ils le sont aussi. Dans le cas contraire, ce sont nos schémas mentaux opposés mais complémentaires, qui s’attirent entre eux. A notre insu s’entend. Et du même coup, ne peuvent nous attirer à eux que ceux qui sont eux aussi de véritables individualités (du latin indivi : qui ne peut être diviser.) Celui qui cherche à « s’unir » aux autres se fond en eux et s’y perd, peu à peu. Celui qui réussit à s’unir à lui-même, pourra ensuite se lier à n’importe qui, sans jamais être attaché à personne ni à rien. C’est lui qui, toujours, tiens dans sa main droite, la corde qui l’unit aux autres ou aux choses, jamais l’inverse.

 

Le problème d’une des deux sections du peuple (la seconde), c’est qu’elle est désunie. Non pas seulement désunie en tant que section de ce même peuple et avec ses autres composants, mais du fait qu’aucun de ses représentant n’est capable de se représenter lui-même. Et quand l’homme est incapable de se représenter lui-même, il est représenté par un tas d’idée préconçues et, surtout, non remplaçables par d’autres, y compris meilleures pour lui mais qui pourraient le déstabiliser.

 

Pour de telles personnes, même la stabilité mentale n’est qu’une simple idée… Qui repose sur d’autres idées encore, tout aussi simplistes, pour ne pas dire mieux. L’idée de départ est que tout changement d’état d’esprit, correspond à une forme de « mort psychologique. » Métaphoriquement parlant, si on leur retire ce sur quoi ils se reposent, mentalement, ils risquent fort de perdre l’équilibre puis de tomber. Mais la vie n’est pas une simple métaphore. Et il ne faut pas confondre « équilibre » et « stabilité. »

 

Le besoin compulsif de stabilité équivaut à la peur du déséquilibre mental. Or, l’équilibre n’est atteint que dans le Mouvement. Le véritable équilibre du moins. Observez un funambule sur son fil, et vous comprendrez mieux ce dont il est question ici. Le soi-disant équilibre que recherchent les gens, ressemble plus à de la rigidité mentale, pour ne pas dire à de la rigor mortis (rigidité cadavérique.) Car nous devenons ce que nous pensons, ce sur quoi nous conservons notre attention mentale rivée, le plus souvent et le plus longtemps (rythme et durée.)

 

C‘est lorsque les choses changent, bougent et évoluent sans cesse, que la vie vaut vraiment la peine d’être vécue. Si sous prétexte de « sécurité » (en fait la peur de ne plus rien contrôler en cas de changement), on cherche à retenir ce qui devrait passer (états d’esprit ou autres), il ne peut en résulter qu’une peur panique à la seule idée que ce qui est censé nous rassurer, puisse disparaître subitement. Observez tous ces gens qui n’attendent qu’une chose, c’est que « tout redevienne comme avant » !

 

C‘est d’ailleurs pour cela que les jeunes générations, qui ont à peine eu le temps de connaître ce « avant », se sentent lassées et peu enclines à participer à un monde dans lequel elles ne réussissent pas à s’inscrire. Mais en même temps, elles craignent le changement, presque autant que leurs aînés, car elles sont conscientes de leur état d’esprit et de sa valeur véritable. Beaucoup d’entre ces jeunes gens, confondent d’ailleurs la valeur de leur état d’esprit, avec leur propre valeur. Ce qui est fâcheux.

 

En résumé, c’est parce que le peuple est formé non pas d’individualités capables de penser seules et d’une manière originale, mais de personnes dont l’état d’esprit est issu d’idées préconçues, voire prémâchées, que la division la plus complète règne, plus que tout gouvernement, sur la vie et sur l’avenir de ceux qui composent ce même peuple de soumis. De soumis à de simples idées qui n’ont même pas la bonne fortune d’accepter d’évoluer lorsqu’il leur est (enfin) proposé de le faire.

 

Plus que jamais, le terme « psychorigide » s’adresse à ce type de personnalités. Ceux qui désirent le changement ne sont sans doute pas complètement à l’abri de la peur de l’inconnu, mais eux au moins préfèrent se mettre potentiellement en état d’insécurité (l’inconnu) plutôt que de continuer à vivre tels des robots programmés au service de leurs maîtres incontestés.

Non pas « incontestables » mais bien « incontestés » (c’est-à-dire jamais remis en question par le robot de chair lui-même.)

Accepte ou pas, qui est encore libre de choix !

 

Serge Baccino (Tous droits réservés ©2021)

De 3D à 5D en passant par la 4D

De 3D à 5D en passant par la 4D

 

 

Je vous propose ici une autre manière de comprendre pourquoi vous ne réussissez plus à convaincre certaines personnes qu’elles se dirigent direct vers les abattoirs humains de l’E.P (l’état profond.)

Vous savez que nous changeons actuellement de fréquence planétaire. Nous passons graduellement de la 3D à la 5D. Mais pour cela, nous devons tenir compte de la 4D. Mais qu’est-ce que la 4D, au juste ? Ce n’est pas une dimension à partir de laquelle peuvent fonctionner de nouveaux trains d’ondes mentales (un Plan de vie, donc) mais un niveau fréquentiel permettant de changer la structure énergétique de l’actuelle matière et de l’éthériser.

 

 

En somme, la quatrième dimension (4D) est celle de la fréquence vibratoire propre aux choses et aux êtres. C’est elle qui « fixe » l’identité d’une forme, lui permettant de demeurer dans le temps. Pour changer ou évoluer, tout doit passer par cette étape de « rehausse vibratoire. »

Il y a et il y aura toujours de la « matière » (en fait, des formes mentales de structure éthérique), mais toutes les formes de matière ne vibrent pas à la même fréquence. Pour passer d’un Monde à l’autre, soit de la 3D à la 5D, il faut l’action de la Quatrième Dimension, qui est celle de la fréquence mais qui NE consiste PAS en un Plan de conscience « habitable » ou assez stable pour que l’humanité s’y exprimer quelques siècles ou millénaires.

 

 

Or donc, la planète est en train de quitter la 4D dans laquelle elle était graduellement entré en 2011/2012. Nous ne sommes pas encore dans une matière correspondant à la 5D mais nous ne sommes plus exactement en 3D. Résultat, tandis que des quelques-uns pensent déjà en terme de 5D, d’autres résistent et insistent pour demeurer mentalement au sein de la 3D. Pour cela, ils tentent de toutes leurs forces de nier le contenu mental appartenant à la 5D et qui est représenté par les prétentions diverses et jugées « complotistes » de tous ceux qui déjà, ne peuvent pas faire autrement que de penser en 5D.

 

 

Il faut comprendre ce qui se passe si l’ont veut éviter de juger grossièrement et risquer d’avoir le mental en mode régression temporaire (retourner en prépa 4D). Il faut comprendre que se servir du contenu mémoriel pour essayer de comprendre le Nouveau Monde est IMPOSSIBLE ! En effet, comment fonctionne la personne lambda demeurée en 3D ? Elle ne peut et ne sait que se référer à ses Mémoires, à savoir à tout ce qu’elle a déjà appris, à tout ce qu’elle juge crédible et, en un mot, au passé (le déjà appris et cautionné, donc.)

Demander à une personne qui fonctionne encore en 3D, d’accepter des idées qui appartiennent au Nouveau Monde de la 5D, revient à lui demander d’aller chercher dans ses Mémoires, le souvenir… Du futur ! Le futur pour cette personne qui s’imagine fonctionner au présent, est seulement connecté à tout le passé qui est présent en elle.

 

 

Pour une telle personne, le futur diffère de ce qu’elle connaît déjà et tient pour vrai, et ne peut, au mieux, que relever d’un fonctionnement incongru et/ou dangereux de l’imagination. Raison pour laquelle les personnes en 3D se moquent sans vergogne des propos de ceux dont le mental les a devancé dans le 5ème Monde (de la Création Continue.) Elles ne se moquent pas parce qu’elles sont méchantes ou bêtes, mais seulement parce qu’elle ne comprennent pas, au mieux, et ressentent de la peur, au pire. Insister dans le but de convaincre est n’est donc pas seulement inutile mais également naïf.

 

Si vous désirez poser des questions au sujet de ce court article, merci de le faire depuis mes pages Facebook.

 

 

Serge Baccino