Archives de catégorie : Les brèves de la psy éso

Matrices et Création Continue

Matrices et Création Continue

(Les brèves de la psy éso)

Tout est matriciel. Tout n’est que codage. Tout est fait d’esprit, tout est créé en esprit. Rien n’est réel, car tout doit changer ou évoluer sans cesse. Si les choses existaient réellement, il n’y aurait plus d’évolution possible. Seules les formes mentales peuvent évoluer.

La Matrice Divine est un cadre général pour d’autres cadres généraux secondaires. Et chaque cadre général secondaire peut donner naissance à des infinités de lieux spirituels, qui eux-mêmes peuvent donner naissance à des sous-lieux spirituels, et ainsi de suite.

Imaginez des Grands Plans de conscience contenant d’autres plans de conscience, contenant eux-mêmes des centaines de sous plans, et vous aurez une vague idée de la Création Continue. Imaginez un penseur qui engendrerait des univers en esprit et dans son mental.

La Création Continue est tout, sauf réelle ! Si elle l’était, elle cesserait de se poursuivre inlassablement. Exister vraiment reviendrait à durer en l’état, sans aucune chance de devenir ou d’évolution. Si le réel existait, l’univers serait bloqué, condamné à n’être, l’éternité durant, que ce qu’il est, cela au risque de disparaître s’il lui prenait l’envie de changer.

Puisque tout n’est que matrices, que rien n’est réel, dans l’absolu, pourquoi vouloir être plus vrai que nature et rêver d’un monde plus réel que les autres ? Pourquoi ne pas transformer le problème de l’homme moderne en une solution générale, valable pour tous, mais différente pour tous ? (Du fait de la pluralité des réalités secondaires.)

 

Serge Baccino

 

Le moi ne contrôle rien

Le moi ne contrôle rien

(Les brèves de la psy éso)

C‘est vrai que nous ne contrôlons rien, tandis que nous sommes encore, peu ou prou, « sous contrôle » de forces au-dessus de nous.
Mais d’un autre côté, nous sommes responsables du fait que c’est nous qui attirons les êtres et les évènements, plus ou moins fastes.

Mais si nous devenons responsables et prêts à assumer notre vie, alors le contrôle diminue. Car nous ne sommes contrôlés, finalement, que parce que nous aimons bien être assumés, assistés, remplacés, etc. L’envie d’assumer signe le départ d’une véritable liberté. Cela transforme l’état d’esprit général.

Lorsque nous désirons être responsables, les contrôleurs maléfiques perdent du même coup le droit de nous contrôler. La règle est simple finalement : un seul contrôle, ou nous, ou n’importe qui ou n’importe quoi d’autre. Il faut à tout prix un contrôle, un principe directeur, quel qu’il soit, provenant de nous ou provenant des autres.

 

Serge Baccino

L’esprit n’est pas le véritable guide

L’esprit n’est pas le véritable guide

(Les brèves de la psy éso)

Nous croyons savoir ce qui va arriver, mais nous ne savons rien. Tout au plus, nous savons ce qui va cesser de se produire, mais nous ignorons quand et comment. Mais nous ne devons plus attendre, cela est contreproductif et nous oblige à « trouver le temps long. »

Nous devons cesser toute tentative pour informer ceux qui depuis deux ans refusent de l’être ou même, ont très peur de savoir puis de devoir ensuite réagir en conséquence. Il est même conseillé d’éviter autant que possible, de participer aux débats contradictoires qui fleurissent sur les réseaux sociaux. Même sur ceux soit-disant sécurisés. Les rixes verbales ou joute oratoires (ou scripturale), bien plus que simplement inutiles, consistent surtout à une guerre des nerfs et donc, à user notre moral au moins.

C’est notre prise de conscience individuelle qui va faire la différence, la part des choses ou, plus sobrement, qui va nous catapulter sur un niveau de conscience mentale duquel sont absents ceux et celles qui ne désirent pas savoir et encore moins comprendre ce qui se passe vraiment. Plus que jamais, nous n’avons plus qu’à attendre et à voir venir. Faire connaître notre mécontentement ne sert qu’à envenimer les choses et à offrir aux plus désœuvrés, l’impression que donner leur avis est une chose indispensable justifiant le fait qu’il nous soit imposé.

Il est possible que le mois de mai (2023) soit décisif pour les êtres évolués ou initiés. Il ne faut pas craindre le négatif, car ce dernier nous dévoile la vérité à propos d’une guerre des nerfs basée sur de simple idées, sur de l’illusion et surtout, sur la peur. Autant de fréquences mentales accessibles au plus grand nombre et que nous connaissons sous le terme générique de « Matrice humaine » ou encore, « Matrice artificielle. »

 

Serge Baccino

La patience vue autrement

La patience vue autrement

(Les brèves de la psy éso)

Nous devons faire preuve de patience seulement parce que nous attendons quelque chose et que cela dérègle notre subconscient. En effet, pour lui, on ne peut désirer une chose qui n’existe pas encore. Et si nous la désirons en esprit, c’est qu’elle existe déjà, en vérité. Par exemple, nous désirons aller à la boulangerie pour acheter du pain. Pour cela, la boulangerie ne doit pas exister après ou plus tard : elle doit être là, maintenant et avant même que nous puissions nous y rendre. Si la boulangerie n’existait pas, si le boulanger n’était pas encore né, impossible pour nous d’aller y acheter son pain.

Alors nous ressentons de la compulsion, de l’impatience, cela parce que notre subconscient ne comprend pas pourquoi la chose désirée n’est pas déjà là. Pour lui, tout existe déjà, tout est déjà disponible et à profusion. Il ne conçoit pas l’idée de séparation entre la chose désirée et le fait de l’obtenir : elle est déjà disponible et à nous. La patience est le nom donné à ce qui nous permet de violer une loi de l’âme et de nous placer dans un état de stress étalé dans le temps. Le temps pour nous de prendre conscience d’une chose qui fait déjà partie de l’actualité, mais pas encore de notre réalité personnelle.

Pour éviter ce stress, nous ne devons penser qu’à ce qui est déjà là et plus à ce que nous attendons, comme si la chose n’était pas déjà disponible et à nous attendre. L’espace entre la chose désirée et son obtention n’est qu’un espace mental, pas une distance physique. Selon les lois du fonctionnement de notre subconscient, c’est le contenu formel de notre mental qui décide de ce que nous devrons vivre ensuite. Si nous attendons de posséder quelque chose en imaginant qu’e cette chose est absente, elle le sera pour nous. Nous allons encore l’attendre et il nous faudra être patient.

Nous devons demeurer dans le temps présent, l’ici et maintenant, autrement dit, dans l’actualité planétaire que notre conscience est capable d’appréhender pour le moment. À ce niveau fréquentiel de l’esprit, tout est déjà disponible et n’attend qu’un geste mental (Mudra) de notre esprit pour nous tomber entre les mains.

 

Serge Baccino

Redescendre sur terre

Redescendre sur terre

(Les brèves de la psy éso)

L’éducation, l’enseignement et la vie sociale, en général, nous ont obligés à capituler, en termes de contrôle de soi. Cela a eu pour effet principal de nous forcer à quitter les Centres de la matérialité (les 3 premiers Chakra) pour nous réfugier dans le quatrième Centre en montant (le Cardiaque.) Dès lors, nous avons commencé à penser notre vie, au lieu de la vivre, à projeter nos idées de relations avec l’image que nous nous confectionnions des autres.

Résultat, nous en sommes arrivés à n’exprimer que nos problèmes, à ne voir que ces derniers et à n’user de notre volonté que pour nous opposer à des principes directeurs (schémas, conditionnements mentaux) qui sont eux-mêmes opposés à nos buts ainsi qu’à nos intérêts les plus immédiats.

Notre attention mentale a été détournée des trois premiers Centres énergétiques terrestres, ce qui les a appauvris « de nous » (de la conscience de soi) et les a « enrichis » (de la pensée programmée) des autres. Mais tandis que nous étions subjugués par les processus mentaux propres à cet étage (Chakra 4), les autres les ont remplis d’idées et de croyances aussi arbitraires que liberticides.

Les trois premiers étages de notre être global ont été squattés dès notre enfance et nous devons, à présent, réussir à en « redescendre » les étages et à les reconquérir. Voir à ce propos la relation évidente avec le mot VITRIOL : « Visite l’intérieur de la Terre, et en rectifiant, tu trouveras la pierre cachée.  »

 

Serge Baccino

Âme et engrammes

Âme et engrammes

(Les brèves de la psy éso)

Depuis tout jeune, nous avons du écouter, apprendre, retenir, restituer ce qui a été appris, plus ou moins accepté et, forcément, mémorisé, cela à cause de la durée et de l’intensité qu’il nous a fallu accorder à l’éducation, l’enseignement, etc.

C’est toujours l’âme, dans sa partie supérieure, qui tente de s’exprimer. Mais se faisant, elle doit passer par le corps. Or, ce corps n’est pas lié à l’âme mais à ce qu’il a appris à devenir, à être puis à exprimer de son mieux (interface sociale, « persona ».)

La personnalité révèle, par le corps, tous les engrammes issus de l’enfance. Ce qui est alors exprimé est relatif à tout ce qui n’est pas nous ou, au mieux, à un mix du plus mauvais effet.

Au travers de cette interface fausse, ce n’est pas l’âme qui s’exprime mais la personnification de l’être, lente et graduelle, avec ce qu’on lui a appris qu’il était, ce que l’on a réussi à lui faire croire qu’il devait être, etc. La vraie interface devrait être entre l’âme et le corps, une fois ce dernier débarrassé de ses engrammes.

Lorsque l’âme commence à être libérée, elle cherche compulsivement à s’exprimer et son forcing est ce qui provoque toutes ces maladies de l’âme, comme on dit (ou spirituelles.)

 

Serge Baccino