Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Sur la télépathie (extraits)

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Dans son ouvrage intitulé «Traité méthodique de science occulte», le docteur Gérard Encausse, plus connu dans le monde de la tradition sous le pseudonyme de Papus, donne un exemple précis de ce qu’il appelle la « télégraphie psychique ». Les « anciens » auxquels se réfère l’auteur étaient des membres d’une société secrète musulmane. (Sans doute les Druzes)

 

 

 

« Les rapports anglais au sujet de la guerre des Indes à propos de la révolte des Cipayes signalent un fait bien curieux. Les bazars indiens savaient toujours les nouvelles des batailles et de leur issue deux heures avant que le télégramme ne les eût apportées. Cela tient du procédé de communication psychique employé par tous les Orientaux, procédé qui leur permet de supprimer le temps et l’espace. A l’appui de ce fait, voici le récit d’une aventure arrivée à M. Ferdinand de Lesseps : « La rapidité avec laquelle les nouvelles se transmettent en pays arabe est merveilleuse.
Voici un exemple frappant dont nous avons été témoin.
En mars 1883, M. Ferdinand de Lesseps, lors de son exploration des chotts du sud de la Tunisie pour la Mer Intérieure, débarqua le matin à Sfax.

 

 

Je le conduisis à la mosquée et lui présentai les notables musulmans.
Nous fîmes ensemble la prière.
Puis M. de Lesseps leur annonça qu’il était porteur d’une lettre d’Abd-el-Kader recommandant le projet du colonel Roudaire.
Il en donna lecture. Le soir, il se rembarqua et le lendemain, à la première heure, il débarquait à Gabès. Or, de Sfax à Gabès, il y a sept jours de marche par terre…
Pourtant, quand le soir même de son arrivée à Gabès, M. de Lesseps visita le village de Menzel où l’attendait la djemmâa, le chef des anciens le félicita sur la lettre de l’émir.
La bonne nouvelle, dit-il, lui était parvenue de Sfax dans la journée » ».

 

 

DR GERARD ENCAUSSE, 1865-1916

 

Le Principe des frites Mc Cain

fritesDans la série : « un pavé dans la mare »… Pour ceux qui connaissent la publicité sur cette célèbre marque de frites, il sera aisé de comprendre ma pensée. Pour les autres, qu’ils aillent faire un stage chez les Belges ! Avez-vous remarqué que certains étudiants en spiritualité parlent souvent et beaucoup d’amour ? Avez-vous remarqué aussi, que ces mêmes chercheurs de Lumière se réfèrent souvent à la compassion, la bonté, le pardon, le partage, etc. ?

 

 

Avez vous remarqué, encore, qu’ils énoncent de très beaux concepts spirituels sur tout ce qui touche à la luminosité ou au niveau d’évolution… Des autres ?frites2

Avez-vous remarqué, enfin, que ce ne sont pas toujours les plus vieux et les plus expérimentés qui veulent conseiller, aider, diriger et régenter ? Quand on parle trop, assis devant un plat de frites, les autres en profitent pour toutes les manger.

 

 

La sagesse, c’est comme les frites Mac Cain :

 

 

« C’est ceux qui en parlent le moins qui en consomment le plus !« 

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images frites, trouvées sur le Web et réputées fines, non huileuses et gratuites) 😀

 

Serions-nous multidimensionnels ?

Pour ceux qui ont eu le plaisir de connaître vraiment l’une ou plusieurs de leurs « vies antérieures« , il se pose une question d’une logique incontournable : Puisque je puis non pas « revoir » mais revivre l’une de « mes vies passées », dois-je en conclure que cette vie n’est pas passée mais PRÉSENTE quelque part et qu’elle continue de se « dérouler » en ce moment ?
En effet, comment une chose passée et terminée pourrait-elle se produire ? A moins que, justement, elle ne soit pas « passée » mais présente en la conscience de l’esprit universel… (les fameuses Annales Akashiques.)

 

 

 

Il est dit que la linéarité, c’est-à-dire le fait que la conscience objective puisse se dérouler en passant d’un objet d’attention à un autre, n’existe que sur cette planète et sur ce plan de conscience. Autrement dit, et selon tous les ésotéristes sérieux, le temps n’existe pas sur les autres plans de conscience ou, pour le moins, est-il considérablement différent de celui que nous connaissons. Mais s’il n’existe pas, comment pouvons nous avoir eu des vies « antérieures » ? A moins que toutes  » nos vies « , passées, présentes et futures, ne soient en train de TOUTES SE DÉROULER en cet instant même ? (En simultané.)

 

 

 

Ne serait-il pas amusant de penser qu’en ce moment même, il existe un autre « moi » que… moi ? Ce moi là étant occupé à vivre l’une de « mes » vies….actuellement en cours, puisque le temps n’existe pas ! Allons plus loin : si toutes mes vies sont simultanées, alors il existe plusieurs « moi » qui se manifestent chacun sur un plan de conscience différent… Ne serait-ce pas là l’occasion de SE rencontrer et de SE PARLER vraiment à soi-même ? Et la somme de ces « moi » différents pourrait être… Le Soi !

 

 

 

On dit en effet que l’être humain est multidimensionnel, c’est-à-dire qu’il existe, en simultané, sur tous les plans de conscience à la fois. Serions-nous donc un « collectif » plus qu’un simple individu ? Tiens ! Pour la peine, je vais de ce pas contacter mon « moi » futur qui est sans doute occupé, dans trois mille ans, à négocier commercialement avec les habitants de la planète Andora !

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Paracelse (Extraits-citations)

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Théophraste Paracelse, éminent Rosicrucien du seizième siècle, a beaucoup écrit sur la magie noire, la sorcellerie et la superstition.
Il attribuait à la crédulité et à la déraison l’origine des croyances qui maintiennent l’homme prisonnier des idées les plus primitives. Il consacra toute son existence à lutter contre l’ignorance car, selon lui, c’est elle qui est responsable de toutes les formes que le mal peut prendre sur notre Terre. Des siècles ont passé depuis la mort de ce grand mystique, mais son but demeure vivant et d’actualité : répandre la Connaissance parmi les hommes, afin de les délivrer des préjugés et des conceptions primitives qui les empêchent d’évoluer vers une meilleure compréhension de leur origine divine.

 

 

« C‘est au moyen d’imaginations négatives que s’accomplissent beaucoup de fausses croyances qui ne sont ni des impressions, ni des incantations, ni des jugements, mais de simples superstitions pouvant être comprises par un exemple similaire.

Supposons que je sois imprégné par cette superstition : si j’entends une corneille crailler sur mon toit, j’estime que c’est le signe de la mort de quelqu’un (il existe de nombreux exemples similaires qu’il n ‘est pas nécessaire de citer).

 

Cette superstition peut me rendre moi-même malade ou tuer mon ami malade, pour les raisons que j’ai exposées dans mon traité sur la superstition. Ma méthode de protection est la suivante : je considère que le cri de la corneille est naturel et qu’il n ‘opère pas selon la folle idée des hommes et de moi-même.

Par ce moyen, ma superstition est détruite, car elle est rendue suspecte dès que je l’attribue à ma déraison.
Rien ne détruit plus complètement les superstitions que de les considérer comme insensées. Tout leur pouvoir nuisible est ainsi ôté.

C’est l’assentiment total qui conduit à l’action, et cet assentiment disparaît aussitôt si je pense à ma propre niaiserie et à la folie d’une crédulité aussi vaine.

 

Et cela n’arrive pas seulement dans le cas des corneilles, mais en de nombreux autres qu’il n ‘est pas nécessaire, et qu’il ne serait pas non plus utile, de rapporter dans un traité de longue vie.
L’on a suffisamment parlé du sujet des protections ».

 

 

THEOPHRASTE PARACELSE, 1493-1541

 

De la musique et des sons (extraits)

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Cyril Scott2La voix humaine fut le premier instrument que l’homme utilisa pour exprimer son sens inné de la musique et, lorsqu’il commença à croire en l’existence de Dieu, c’est au moyen du chant qu’il chercha à le vénérer et à obtenir sa protection.

Dans son ouvrage «La Musique – Son influence secrète à travers les âges», Cyril Scott montre bien en quoi les sons, le chant et la musique possèdent un pouvoir créateur lorsqu’ils sont l’expression de la Musique des Sphères, expression symbolique que les mystiques emploient pour désigner l’Harmonie Cosmique qui prévaut sur tous les plans de la Création et dont la source se trouve dans le Verbe lui-même.

 

 

«Tout au long des âges, philosophes, théologiens et savants ont eu conscience Cyril Scott3de l’importance des sons. Les Védas, que l’on considère comme les écritures les plus anciennes connues sur terre, prétendent que le Cosmos tout entier naquit de l’agencement des sons. Plus tard, l’Évangile selon Saint Jean exprime la même vérité : « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu ». L’auteur du Livre de Josué doit avoir eu connaissance lui aussi du pouvoir des sons, sans quoi il n’eût probablement pas écrit l’histoire de la chute de Jéricho.

 

On imagine sans peine l’angoisse de l’homme primitif incapable de comprendre l’origine des désirs et des aspirations qui le tourmentaient, et encore moins à même de les exprimer par des mots ou des sons.

La parole même devait être bientôt insuffisante, car il lui fallait un moyen plus puissant et cependant moins défini pour exprimer les supplications intérieures de l’être. Ce moyen, il le découvrit dans une forme rudimentaire de chant, et il comprit intuitivement qu’en chantant, ses requêtes et supplications semblaient être entendues et que ses souffrances étaient apaisées.

 

 

Cyril Scott4Il peut sembler étrange de dire que le premier éveil de la déité dans l’esprit humain se fit par la musique, et pourtant ce n’est que lorsque l’homme primitif comprit que ses prières étaient écoutées qu’il sentit qu’il devait y avoir un Être plus grand que lui, un Être qui pût veiller sur lui avec une attention paternelle.

On voit donc que depuis les premiers balbutiements de l’humanité, la musique fut associée à la religion et que les prêtres jouèrent un rôle prépondérant à sa naissance et tout au long de son développement.

Les archives akashiques montrent en effet que le premier prêtre qui fut assez désintéressé et pur pour se consacrer tout entier au service de l’humanité put entendre la musique des sphères supérieures et comprit que « la mélodie est la prière que l’homme adresse à Dieu, l’harmonie la réponse que Dieu fait à l’homme ».

 

 

Cyril Scott5Ce premier prêtre était, est-il besoin de le dire, dans l’impossibilité de transcrire en musique terrestre ce qu’il entendait, faute de moyens, mais le message qu’il reçut lui inspira l’idée d’apporter plus de variété dans la phrase musicale déjà existante. C’est alors que la musique se révéla comme un art aux possibilités les plus variées.

Ayant découvert la puissance des sons et des mantra, et ayant compris que l’on pouvait mettre certaines forces en action et obtenir des résultats tangibles par la répétition de certaines notes, les prêtres usèrent de cette forme de magie -car c’était de la magie- à des fins constructives et nobles durant les premières périodes de l’époque Atlantide. C’est ainsi que sous l’influence des Initiés, les sons étaient utilisés pour construire des formes harmonieuses de nature à inspirer de nobles pensées».

 

CYRIL SCOTT (1879-1970)

 

 

Sur la vision psychique (extraits)

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Geoffrey Hodson2La vision psychique et, d’une manière générale, la perception extrasensorielle, dépendent directement de l’activité psychique de nos deux glandes pinéale et pituitaire. Voici un extrait de l’œuvre de Geoffrey Hodson, écrivain contemporain et auteur de plusieurs ouvrages consacrés au mysticisme et à la spiritualité.

«De quelle nature sont ces facultés psychiques de l’homme ? Nous avons tout d’abord la clairvoyance, grâce à laquelle les limitations imposées à la connaissance par des conditions physiques peuvent, à des degrés variables, être surmontées.

 

Son usage permet de triompher des notions illusoires de dimensions et de séparations dans l’espace, aussi bien que des limitations de temps, de sorte que le voyant est à même de percevoir l’infiniment petit, de voir à distance, de connaître le passé et le futur, de percevoir les auras, etc..

La clairvoyance inclut un pouvoir de vision interne analogue aux rayons X, c’est-à-dire la possibilité de voir à travers les corps solides, possibilité qui peut utilement servir au diagnostic de la maladie.
Combinée avec la clairaudience, elle donne le pouvoir de voir et de converser avec ceux que l’on appelle à tort, les morts, avec d’autres entités désincarnées et avec la grande compagnie des anges.

 

 

Geoffrey Hodson3Il y a, dans le cerveau, des organes au moyen desquels cette vision étendue est rendue possible. Ce sont les glandes pituitaire et pinéale. Ces dernières sont considérées, par la science médicale, comme les restes atrophiés d’un organe qui fut pleinement actif aux tout premiers jours de l’évolution humaine.

Cette conception est acceptée par la science occulte qui ajoute, d’une part que ces deux organes auront à nouveau une fonction à remplir dans l’avenir et seront alors utilisés comme moyens de connaissance supra-physique, et d’autre part que leur développement peut être activé par l’emploi de méthodes spéciales.

Quand ils sont psychiquement développés et actifs, ils permettent de capter, au début, des longueurs d’ondes physiques nouvelles et, plus tard, des vibrations supra-physiques».

 

GEOFFREY HODSON