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Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Le subconscient

subconscient-contenuPour ceux qui aimeraient avoir un rapide aperçu de ce qu’est le subconscient, du moins selon l’enseignement propre aux psychologues ésotéristes, voici ce que je puis en dire, très succinctement… Qu’est-ce que le subconscient ? Il est formé par la somme de l’intelligence de toutes les cellules de notre corps. Le subconscient comporte deux parties :

 

1. La première s’occupe des fonctions autonomes de notre corps (respiration, battements cardiaques, digestion, etc.)
2. La seconde consiste en une vaste bibliothèque dans les rayons de laquelle sont rangés et référencés les registres qui centralisent tout ce que nous avons vu, entendu, connu, compris, pas compris ainsi que toutes les infos que nous n’avons pas eu le temps ou le désir de traiter au coup-par-coup. En résumé, cette seconde partie de la double activité du subconscient, se réfère à tout ce qui a été emmagasiné, tout ce qui nous concerne, que nous en soyons conscients (mémoire, souvenir) ou non.

 

 

 

subconscient4C‘est dans le subconscient que se trouvent « engrammés » (mémoire qui pèse, car gravée dans la substance psychique) les divers traumatismes ou refoulements. Attendu que ce subconscient s’appuie sur nos cellules pour exister, il n’est pas étonnant que les diverses maladies qui nous affectent soient à l’origine d’une mémoire cellulaire saturée et donc d’un fonctionnement cellulaire compromis.

 

 

 

 

zones d'ombreÊtre malade, c’est un peu « se souvenir de force de nos diverses erreurs. » De toutes ces erreurs que nous aurions préféré oublier, d’ailleurs. Soigner les cellules c’est donc un peu « effacer les traces vivantes d’un passé qui commence un peu trop à peser en nous et sur nous. » Le subconscient contient des « zones d’ombre », c’est à dire que certaines cellules de notre corps fonctionnent mal et ne sont pas ou plus éclairées par la Lumière de l’Esprit en nous. Cette Lumière (de la compréhension) est nommée « Boddhicité » en sanskrit. C’est le fameux « Plan Bouddhique. »

 

 

 

 

Comment mettre de la lumière (compréhension) là où se trouvaient préalablement les ténèbres de l’ignorance ?
La plus grande des lumières est celle de la Conscience !
Ainsi, si vous focalisez votre attention consciente sur une zone quelconque de votre corps, vous faites immédiatement réagir les cellules de cette zones qui se mettent à briller de la Lumière spirituelle. Et cette Lumière est Pure Intelligence (3e Rayon Divin.)

Dès lors, l’ombre se transforme en Lumière, la subconscience en Conscience et les erreurs en Vérité. Je laisse le lecteur méditer sur ces quelques considérations, mais si vous voulez, vous pouvez émettre des commentaires et nous pourrons en débattre plus avant (sur Facebook, de préférence.)

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Va voir dehors si tu y es !

Que se passe-t-il lorsque les scientifiques et tout ce «personnel autorisé» bardé de diplômes en tous genres, décident de s’occuper de spiritualité et du fonctionnement de l’âme ? Voici un extrait, parmi les plus innocents, d’ailleurs (j’ai lu bien pire, croyez-moi) et je vous demande de noter l’allusion à des «déclencheurs», c’est-à-dire à «ce qui se passe au-dehors et qui vient réveiller ce qui existe déjà au-dedans», puis comparez une bonne fois pour toute la psychologie académique avec la psychologie ésotérique, et comprenez enfin pourquoi il faut tant d’années (et de fric gaspillé) à la première pour avoir d’éventuels effets.

 

Citation:
Reprogrammer son cerveau ?
On parle beaucoup aujourd’hui de reprogrammer son cerveau.Jill Ammon-Wexler, docteur en psychologie et spécialiste du cerveau, est une coach de réputation internationale. Parmi les exercices qu’elle propose, en voici un aux effets particulièrement remarquables :

Si vous voulez opérer des changements profonds dans votre vie, il est nécessaire de vous dégager de votre ancienne identité, de tous ces « déclencheurs » qui vous font automatiquement retomber dans vos anciens schémas.

Or, c’est votre environnement qui provoque les réactions inconscientes les plus puissantes. Regardez l’endroit où vous vivez et demandez-vous objectivement quel genre de personne habite là.

Faites la même chose pour votre lieu de travail : Quel genre de personne travaille dans ce lieu ?

Puis, faites la liste des six personnes avec lesquelles vous passez le plus de temps, et demandez-vous quel genre de personne s’associerait avec celles de votre liste.

Observez maintenant si vos réponses s’accordent avec la personne que vous souhaitez devenir. Si ce n’est pas le cas, quel environnement lui conviendrait et quel changement vous pourriez accomplir pour vous en rapprocher.
Vous n’allez sûrement pas changer de maison ou de travail en claquant des doigts, mais il y a certainement une petite chose par laquelle vous pouvez commencer maintenant.

 

Source : http://www.phosphenisme.com/newslettre/newslettre_07_12_15.html

 

 

Pour ceux et celles qui n’auraient pas bien compris le gag, pas spécialement évident, j’en conviens, on peut développer un peu ensemble, si vous le désirez et ce, par le biais des commentaires mis à votre disposition sur ce « Vivre Livres ! »

 

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A propos de sectes

sectes2Le mot secte signifie en fait « section », c’est à dire « partie d’un tout. » Est sectaire tout ce qui n’est pas partagé par l’ensemble des êtres humains et, surtout, ce qui divise les hommes. Partant, tous les groupes, mouvements, partis politiques et toutes les religions du monde sont des sectes, car toutes ces choses ne sont, en fin de compte, que des « sections d’un Tout plus grand. »

 

 

 

sectes3En ce sens, l’État français, s’il ne bénéficie pas de l’aval de tous les français ou ne répond pas à leurs attentes légitimes, devient une secte. De même pour l’église catholique romaine, qui est une secte, du seul fait qu’elle ne bénéficie pas de la pleine adhésion de l’ensemble des êtres humains.

Évidemment, cela s’applique à toutes les autres religions et  idéologies, les Ordres Initiatiques, les diverses mouvances spirituelles, l’ésotérisme, le New-Âge, etc. Comme on le constate, avec un tel raisonnement, on ne va pas bien loin !

 

 

 

sectes-mentalIl me parait plus raisonnable de chercher plutôt en nous-mêmes ce qui pourrait bien nous couper de nous-mêmes ou bien d’autrui, nous sectionner bref, nous morceler et nous faire perdre notre intégrité première.

L’ego ainsi que le Moi-Idéalisé sont vraiment les deux aspects de notre être les plus aptes à nous fractionner. Parfois à un point tel que nos cellules en arrivent à se faire la gueule entre elles, voire à se battre les unes contre les autres ! Car d’où pensez-vous que proviennent des maladies telles que le cancer, par exemple ?

 

 

 

Nos cellules tombent parfois dans la plus terrible des sectes qui puisse exister. Une secte qui est conduite par deux Grands Gourous très dangereux et des griffes desquels il est devenu presque impossible de se soustraire, j’ai nommé l’ego et son inséparable collègue, le Moi-Idéalisé.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Observateur et observé

Krishnamurti2Durant des décennies, des initiés se sont cassés le bol à essayer de comprendre un apparent paradoxe repris avec bonheur (et agaçant beaucoup) par le célèbre Krishnamurti (pour ceux qui connaissent) Pour ceux qui l’ignore, quels que soient les « courants de pensée » présents en Inde, on pourrait tous les résumer en deux écoles différentes :
1. Celle qui présente le mode de fonctionnement erroné de l’esprit humain et qui en développe les causes, raisons et remèdes.
2. Celle qui présente le mode de fonctionnement correct (ou clarifié) de ce même esprit humain.

 

 

 

En somme, l’une place l’accent sur ce qui cloche et développe ce sujet tandis que l’autre place immédiatement l’accent sur la bonne façon de se servir de l’esprit et développe également le sujet sous toutes ses coutures. Le second « courant de pensée » est représenté surtout par les anciens Rishi de l’inde et par leurs dignes successeur, deux mille ans plus tard, les Siddha (Shivaïsme du Cachemire, Shiva-sutra)
Comme le savent ceux qui fréquentent notre association culturelle et notre forum, depuis plus de sept ans, à présent (note : écrit en 2013), Lætitia -ma femme- et moi-même, nous rattachons plus particulièrement à cette seconde École de pensée, délaissant largement la première qui, selon nous, ne peut entrainer que plus de confusion mentale encore. Surtout à notre époque moderne. Jugeons plutôt…

 

 

Selon la seconde École (Rishi et Siddha, les derniers étant les instructeurs de Gautama, soit dit en passant) l’individu est la conscience et non la pensée. Il n’est pas l’esprit mais se sert de l’esprit pour penser. Si l’individu s’identifie aux mouvements de l’esprit en lui (Karma Chitta), il se met à remuer au même rythme qu’eux et perd rapidement le contrôle de sa vie. L’homme pense, l’homme ressent, mais l’Homme Véritable n’est pas ce qu’il pense et ressent sans cesse mais  » cela «  qui observe tranquillement toutes ces choses en Témoin impassible (La Conscience, donc.)

 

 

 

Selon la première école (beaucoup plus connue et à l’enseignement bien plus répandu en Europe) l’observateur et l’observé sont identiques : il n’existe aucune différence entre l’homme et tout ce qui remue dans sa tête. Par exemple, lorsque un homme croit observer un évènement extérieur et le juge, il se juge en fait lui-même, car ce qu’il voit (observé) et celui qui voit (l’observateur, c’est à dire lui-même) ne sont pas séparés mais ne sont qu’une seule et même chose. Comme on peut le constater, il semblerait que les deux traditions se contredisent et présentent une forme de paradoxe mental difficile à concilier pour un esprit cartésien tel que celui d’un occidental.

 

 

 

processus mentaux4En effet, d’un côté il est affirmé que l’homme n’est pas ce qu’il pense et qu’il est en tous temps distinct de ses processus mentaux et de l’expérience qui en découle, tandis que d’un autre côté, il est affirmé que  » l’observateur (homme) et ce qui est observé (objet) sont identiques et non séparés « , et même que c’est de cette volonté de séparer les deux que naît la fameuse dualité qui engendre la souffrance ! De quoi y perdre notre latin, n’est-ce pas ? Pourtant, que se soit Patanjali, Ramakrishna ou, plus près de nous, Krishnamurti (cf: Société Théosophique) ou que se soit les anciens Rishi (- 8 000 ans) ou les premiers Siddha (- 6 000 ans), tous parlaient en vérité de la même chose, mais vu sous un angle totalement différent, voire carrément opposé (mais complémentaire.)

 

 

 

processus mentaux2Car s’il est vrai que puisque nous pouvons penser, c’est que nous sommes distincts de nos processus mentaux (il existe eux et nous), il est tout aussi vrai que le  » moi  » humain qui observe toutes choses est IDENTIQUE à tout ce qu’il observe (les deux étant une seule et même chose.) Comme entrainement amusant et instructif, je vous propose d’essayer d’expliquer, avec vos mots et à votre façon, en quoi ces deux versions pourtant (en apparence) opposées voire contradictoires, sont en fait les deux pôles d’une seule et même vérité (puisque tout est double.) Alors, qui se lance ?

 

 

 

paradoxePour vous rassurer, je vous dirais que des générations d’ésotéristes, de mystiques et autres initiés occidentaux, se sont littéralement cassés les dents sur cet apparent paradoxe, cela à cause d’une manière incomplète et inadaptée de présenter une vérité pourtant complète, parfaite et définitivement sublime. Lorsque ceux qui veulent participer auront donné leur version, nous essayerons ensemble de comprendre, avec nos mots modernes et donc plus adaptés, ce sujet d’une subtilité effrayante il est vrai. Et ainsi vous comprendrez pourquoi ce Grand initié qu’était Krishnamurti, fut tant incompris, critiqué et fut si dérangeant à son époque, même (ou surtout) aux yeux de certains gourous et instructeurs spirituels plus ou moins authentiques et compétents…

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Aimer ce que nous désirons

Il semblerait que de dire « Il faut aimer ce que nous désirons » soit un lieu commun, pour ne pas dire une grosse ânerie. En effet, puisque nous désirons une chose, c’est que nous l’aimons ! Faut voir… Ne vous est-il jamais arrivé de désirer une chose puis de culpabiliser à la seule idée d’y avoir songé ? N’avez-vous jamais ressenti de gène à l’idée de plaire à un ou une autre que votre conjoint  » officiel  » ? N’avez-vous jamais désiré que vos enfants vous lâchent la grappe et apprennent enfin à se démerder seuls, juste histoire de vous faire des vacances ?

 

 

 

honteOui, n’est-ce pas ? Et bien d’autres choses encore, toutes désirables mais pas toutes dignes de votre amour (pas toutes à cautionner, selon vos critères mentaux hérités) Si vous vous demandez encore pourquoi vous n’obtenez pas certaines choses alors que vous les désirez de toute évidence, posez-vous cette question :  » Est-ce qu’il pourrait exister une partie de moi qui soit honteuse à l’idée d’obtenir cette chose ou qui pense que si je l’obtiens, je perdrai ensuite ma paix ou ma quiétude mentale ? « 

Nous désirons tous beaucoup de choses, n’est-ce pas ? Obtenons-nous nécessairement toutes ces choses, même avec le temps ? A l’évidence non.

 

 

 

Ainsi, nous pouvons en déduire qu’il existe en nous des désirs qui ne sont pas « autorisés » par notre censeur intime, par une partie de nous qui se charge de juger, à notre place, ce qu’il est légitime ou non de désirer, ce qui est  » aimable  » (digne d’amour) ou pas. Nous avons de ce fait d’un côté un désir qui est réel, de l’autre une idée qui, tout en étant  » réelle  » (présente, se démontrant elle-même) est très certainement basée sur des concepts inutiles, dépassés voire faux. Ce sont les fameux conditionnements mentaux.

 

 

 

Pour qu’un désir se manifeste, nous devons, entre autres, l’aimer sincèrement.aimer les autres
Vous vous en souviendrez ? C’est une partie importante de l’une des Lois du fonctionnement de l’esprit, pas une simple idée lancée à l’aveuglette.

Ceux qui sont fervents adeptes de la  » Loi d’Attraction  » devraient s’en souvenir.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)